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#Sous la Peau
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Sous la peau
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Et puis un jour il avait découvert des cicatrices sur les cuisses de Guenièvre, de longues marques blanches, parfaitement horizontales.
Sous la peau - MadameClaude - Kaamelott [Archive of Our Own]
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deescontinuity · 8 months
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Horrible nouvelle à propos de mon doigt qui s'était coincé dans la porte : la partie cassée de mon ongle est tombée, et la sensation du doigt à ce niveau là est juste HORRIBLE
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fayes-fics · 4 months
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When The World Is Free ✨Masterpost✨
Pairing: Benedict Bridgerton x fem!reader, WW2 AU.
Rating: General audiences, except chapters 10 (which can be skipped) and 15 both of which are 18+/minors DNI.
Status: COMPLETE (40k words)
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Synopsis
It is late summer 1939, when you arrive in Paris from New York to begin a year of adventure. A deal struck with your parents to see a little of the world before settling down and marrying your ‘childhood sweetheart’ Stanley.
You soon find yourself with a spirited young English housemate Eloise, enjoying all that the cosmopolitan European city has to offer…. Until a few weeks later when war is declared. In this newly uncertain world, Eloise’s mother dispatches her brother to bring her home. Your plan is to board a ship back to America… but circumstances conspire to leave you possibly trapped in France with no way home. Eloise refuses to leave the country without you, even as you secretly grow attached to her beguiling brother, Benedict, who is everything Stanley is not.
There appears to be only one solution to your dilemma to ensure safe passage out of the country as invasion seems imminent…  but it will mean your life is forever changed, even when the world is free again.
Built from a story outlined and requested by @amillcitygirl
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Chapter Links
Chapter 1 : Sous le ciel de Paris
Chapter 2: La Valse de Paris
Chapter 3: C'est Un Gars
Chapter 4: Le Rideau Tombe Avant La Fin
Chapter 5: Sans Y Penser
Chapter 6: J'ai Dansé Avec L'Amour
Chapter 7: Mon Ami M'a Donné
Chapter 8: Je N'en Connais Pas La Fin
Chapter 9: Partance
Chapter 10: Hymne à L'amour (18+ rating, minors DNI)
Chapter 11: Non, Je Ne Regrette Rien
Chapter 12: Je T'ai Dans La Peau
Chapter 13: С'est Lui Que Mon Cœur A Choisi
Chapter 14: Un Coin Tout Bleu
Chapter 15: La Vie En Rose (18+ rating, minors DNI)
Epilogue: Peace Ever After
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Titles: Fic title taken from the song ‘The White Cliffs of Dover’ By Vera Lynn (1942). Chapter titles will likely all be Edith Piaf songs.
Disclaimer: While I have tried my best to research the time period and the history of events, ultimately, this is a work of fiction and may have some factual inaccuracies. This may be due to the nature of the requested storyline and/or the author's unintended errors. Credits: dividers by @/saradika [x], gif by @/captainbucky-yt [x]
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borgien · 2 months
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debout, attaché, bras levés, yeux bandés, demeurer ainsi un long moment, suffisamment pour que la notion du temps s’efface, pour que toutes sortes d’idées me traversent l’esprit me laissant dans un sentiment étrange où se mêlent craintes et désirs exacerbés, exaltés...
puis, la sentir se coller à moi, sentir dans mon dos nu ses seins au travers d’une fine étoffe caressante, sentir ses doigts effleurer ma peau, attiser mon désir, sentir ses ongles griffer légèrement ma chair, sentir son souffle éveiller mon derme...
puis, sa main se glisse dans mon boxer, chemine sous mes couilles, les soupèse, les serre légèrement, remonte sur mon sexe à demi bandé, découvre le gland, doigts le caressant, sa main remontant vers mes narines, se glisse entre mes lèvres, elle chuchotant : « goûte, goûte à ton sexe... »
puis, sa main se glisse à nouveau dans mon boxer, chemine entre mes fesses, caresse mon anneau culier, un doigts s’y faufilant, sa main remonte vers mes narines, se glisse entre mes lèvres, elle chuchotant : « goûte, goûte à ton cul... »
puis, se détachant de moi, moi attentif au moindre de ses gestes, voulant connaître ce qui m’attend...
des lanières de cuir dans lesquelles je reconnais un martinet, glissent sur ma peau, caressent mon dos, mes seins, elle se rapprochant et chuchotant : « je vais laisser des marques partout sur ta peau pour que tu saches à qui tu appartiens, je ne m'arrêterai pas jusqu'à ce que tu sanglotes ou que tu me supplies d’arrêter, ce n'est qu'à ce moment-là que je passerai doucement mes lèvres et mes doigts sur ces marques. . .
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chic-a-gigot · 3 months
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La Mode illustrée, no. 11, 15 mars 1868, Paris. Chlamydes Kachmir. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Robe en poult-de-soie brune de deux teintes (étoffe changeante), simplement bordée d'une grosse corde de soie; grande chlamyde-cachemire fond gros bleu à riches dessins orientaux, et frange assortie. Chapeau blanc en tulle, avec fleurs de pommier; brides-écharpes bordées de rouleaux en satin blanc.
Robe en faye gris d'argent, garnie avec trois rouleaux en velours gris qui garnissent le bord inférieur et remontent sur chaque côté d'une rangée de gros boutons en travers en même velours gris; mêmes ornements garnissant les poches, et formant sur le corsage montant une berthe carrée; chlamyde-cachemire fond blanc doublée de soie cerise, avec grands dessins persans et frange assortie. Chapeau en tulle noir moucheté, avec brodes-écharpes fixées sous le menton par un camée de jais; bandeau-diadème en velours noir, avec cinq camées en jais noir; ombrelle pareille à la robe, doublée de taffetas blanc; gants à trois boutons en peau de Suède.
Dress in brown poult-de-silk of two shades (changing fabric), simply edged with a thick silk rope; large chlamyde-cashmere (cashmere mantle) on a blue background with rich oriental designs, and matching fringe. White tulle hat, with apple blossoms; scarf straps edged with rolls of white satin.
Dress in silver gray faye, trimmed with three rolls of gray velvet which garnish the lower edge and go up on each side with a row of large buttons across in the same gray velvet; same ornaments garnishing the pockets, and forming a square berthe on the rising bodice; chlamyde-cashmere (cashmere mantle) on a white background lined with cherry silk, with large Persian designs and matching fringe. Hat in speckled black tulle, with embroidered scarves attached under the chin with a jet cameo; black velvet tiara headband, with five black jet cameos; parasol similar to the dress, lined with white taffeta; three-button gloves in suede skin.
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lisaalmeida · 9 days
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C’est une dame en noir au baiser envoûtant
Qui livre ses douceurs à nos lèvres gourmandes;
Sa peau a quelquefois le parfum des amandes
Ou, selon qui la veut, celui du rhum brûlant
Sous son habit foncé, la neige frémissante
Octroie à nos papilles sa tendre volupté
Légère et vaporeuse, elle nous fait rêver
A de tendres contrées aux passions grandissantes
Cette dame est en fait un dessert délicieux
Que j’aime préparer et aussi partager;
J’y mets mon savoir faire afin de lui donner
Le goût fin d’un nectar venu du fond des cieux.
Brabantia ** (2007)
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coolvieilledentelle · 7 months
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Elle aimait les fleurs, les livres et la délicatesse. Et alors? Que saviez-vous des secrets sous la peau du cœur?
Sandra Dulier- (Carnets poétiques)
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jacquesdor-poesie · 2 months
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Ecrire avec l’ombre des mots
la solitude invisible
des cœurs aimants
Sentiment endormi
La pluie aussi
Et à l'intérieur de chaque larme
Le petit incendie d'un chagrin
Qui aimerait sécher au soleil
"Je vous aime"
Mots si douloureusement épique
Quand ils restent lettres mortes
Ou deviennent champ de tournesols calcinés
Écrire avec de la cendre
Un amour impossible-mais-vrai
Son comique vague à l'âme
Ses rivages de paradis sans issue
Seuls les rêves
Soie de sa peau
dans le miel de ses gestes
Seuls les rêves
Dire alors "je vous rêve"
Pour ne déranger aucune pénombre
N'émerveiller ni ne décevoir
La moindre attente
Le moindre cauchemar
Du silence garder le trésor
Sa cachette est sous l'escalier
Votre beau visage à la fenêtre
Que fixe l'étoile polaire
Belle transparence de ses paupières
Qu'on imagine
Que dire de ses lèvres
Quand elle observe le ciel
On dirait le murmuré des pensées
Un mystérieux insecte serti dans un sourire
Sans ailes la neige
Partition blanche et nue
Vole aussi bien que la lumière
Bras grands ouverts
J'aimerais être le fil
Du funambule et vous y voir arpenter
Le durable périmètre de ma mélancolie
Celle que j'ai aujourd'hui
Car demain elle aura fondue en totalité
Avec les glaciers
Les déserts
Les vies rêvées et le sentiment profond
D'une absence abyssale
Imaginaire peut-être
Mais avec laquelle je suis né
jacques dor
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homomenhommes · 7 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 179
La touze 2011 - 2
J'ai passé la nuit avec mon Théo et les jumeaux. Probablement pour retarder encore un peu l'échéance ! Au réveil, mon Théo était accroché à Tac !! Je me suis glissé hors du lit et j'ai rejoint notre chambre (à Marc et moi). Je l'ai trouvé (Marc) endormi avec Ed et Jean. Je les ai laissé et suis descendu prendre un café.
Samir et Ammed étaient déjà sur le pied de guerre et les machines tournaient (cafetière, bouilloires...) une montagne de croissants, pains au chocolat et autres viennoiseries encombraient le centre de la table. Un plateau entre les mains je suis sorti prendre mon petit déj sur la terrasse déjà ensoleillée. L'eau calme de la piscine m'a attiré et je me suis glissé à l'eau pour réveiller mes muscles. Je finissais ma première demi-heure de nage à contre courant quand Ric m'a rejoint. Il passe sous moi et le courant artificiel le pousse dans mes bras. Je suis obligé d'interrompre ma nage et nous nous embrassons. J'ai pu mieux le regarder que la veille. Son assiduité à la salle de muscu lui a forgé un superbe body. L'épilation intégrale fait ressortir le moindre bosselé de sa peau, un vrai gym-queen. Nous passons une autre demi-heure à nager avant d'être rejoint par les autres.
Nous cédons la place à Franck qui veut lui aussi se " décrasser ". Mais il a plus de mal, dérangé régulièrement par un nouvel arrivant qui saute dans le bassin. Ammed change mon café devenu froid et, accompagné de Ric, je descends une demi-douzaine de croissants !
Vers 10h, tout le monde est réveillé. Le tour de la piscine est coloré avec tous les peignoirs. A 11h, Julien arrive avec son camion frigorifique. Je le reçois avec Samir et Ammed. Il nous explique le rangement des plats sur les étagères puis Samir le reconduit, il ne nous rejoindra que ce soir (la boutique à faire tourner). Nos amis du sud, Alex et Johan arrivent peu de temps après. Pour faire une blague aux autres, j'emmène Johan se changer. Je lui passe le même maillot que celui que je porte et un peignoir de la même couleur. Nous nous ressemblons toujours autant et je vais voir qui va se tromper. Il y a peu de gens qui connaissent nos amis du sud. J'observe du salon son arrivée sur la terrasse. quelques amis se plantent jusqu'à ce qu'il ouvre la bouche. Ce n'est pas qu'il a une dentition pourrie mais nous n'avons pas tout à fait le même timbre de voix ! Il a beau essayer de masquer cette différence par un enrouement finement trouvé, mais ça ne marche que quelques minutes de plus. Je sors à mon tour de la maison et là, c'est un concert de " mais c'est qui celui là ? ", " je savais pas que tu avais un frère jumeaux ", " putain la ressemblance " etc. Nous faisons notre petit effet puis l'arrivée des Parisiens, Kev avec Bo-gosse et Moitié, de Seb et Nicolas, de Pierre avec Olivier ainsi que de Jean Black balaye notre bluff. En deux temps et trois mouvements, ils nous rejoignent, arborant les nouveaux maillots. Pour Jean Black et les 20cm au repos qui occupent son entre cuisse, j'avais choisi avec soin un des maillots Aussiebum avec soutien couilles. Ce n'est pas qu'il ait vraiment besoin de mettre en avant les atouts que lui a fourni la nature mais c'est plutôt pour éviter qu'ils tombent. D'ailleurs il me remercie et me dit que c'est la première fois qu'il se sent aussi bien dans un maillot.
Encore un nouveau 1/4 d'heure de présentation. Puis ça cause dans tous les sens. Kev retrouve avec plaisir les connaissances de La Palmyre. Moitié apprécie la place de choix que nous avons réservé à son oeuvre dans le grand salon et Bo-gosse a déjà repéré les petits culs qu'il ne tardera pas à se faire.
Il ne nous manque que les " travailleurs " qui ne nous rejoindrons que dans l'après midi et la soirée.
Dans l'eau s'improvise une partie de Water polo qui dégénère vite à partir du moment où un maillot vole sur la terrasse. Marc rappelle à tous, avant que cela dégénère, qu'il est formellement interdit de juter dans la piscine. Du coup nous les voyons tous sortir. Pas un n'a la nouille molle ! Jean Black fait son effet avec ses 30cm. Bo-gosse aussi capte les regards avec ses 24cm.
Moitié se jette aux pieds de Jean Black et se met à le sucer profond. Les plus jeunes ne reviennent pas du fait qu'il le mange quasi en entier. Je reste parmi les spectateurs. J'aimerai bien savoir s'il va y réussir, après tout il se prend régulièrement les 24cm bien plus épais de Bo-gosse.
Les autres s'égaillent mais je remarque qu'ils se mettent par 3 ou 4 au minimum.
Il faut 10mn environ pour que Moitié pose ses dents sur le pubis de Jean Black (JB). Il nous confie que c'est rare qu'un mec y arrive. Depuis que je l'ai initié aux mecs (JB), ce n'est que le troisième à y arriver. Du coup je vois qu'il en profite et en cadence pour que Moitié trouve sa respiration, il lui lime la gorge. Ed à mes cotés veut s'y essayer. Moitié s'écarte et Jean Black pivote pour " servir " Ed. Ce dernier en avale facilement presque 25cm avant que ça bloque. Il se recule et recommence. Il en avale un peu plus mais recule rapidement en toussant. Moitié s'apprête à reprendre Jean Black en bouche mais Ed s'entête et reprend le gland en bouche. Il le suce un peu puis commence à l'avaler de nouveau. Cette fois ci il force et alors que des larmes coulent de ses yeux, il n'en laisse que 2cm à l'air libre. Quand il recule, il nous dit qu'il va y arriver. Sa gorge n'a pas encore pris aussi long mais plus large, oui et de me citer un de mes clients méchamment monté (en fait la majorité de mes clients !). Il nous dit qu'il fait encore un essai et Jean Black laisse faire. Moitié le conseille alors qu'il arrive au stade précédent. Nous voyons de nouveau des larmes couler sur ses joues mais il insiste et devant nous ébahis il y réussit. Jean Black le retient quelques secondes, plaqué contre lui puis le relâche. Il le laisse reprendre son souffle puis tire à nouveau la tête d'Ed contre lui à fond. Plus il le fait et plus cela nous semble facile pour Ed. Ed passe le relais à Moitié et ceux qui comme moi le regardaient faire le félicite avec de grandes claques dans le dos. Quand il nous dit être content d'y être arrivé, c'est d'une voix que nous ne lui connaissons pas ! Il a du perdre une bonne octave avec ce petit exercice. Avec les autres spectateurs, nous profitons de ses nouvelles dispositions et nous passons à tour de rôle dans sa bouche. C'est sans aucune résistance au passage dans sa gorge que nous pouvons enfoncer nos cm. Mes 20cm passent sans provoquer le moindre renvoi, c'est le cas des 22cm de Marc venu voir ce qui se passait dans notre coin. Bo-gosse essaye ses 24cm et l'expérience d'Ed lui sert bien car, là, le diamètre est autrement plus épais que la longue bite de JB. Théo, avec sur ses épaules le bras de Tac ouvre de grands yeux à la vue de la performance se son frère.
Je quitte ce groupe pour aller avec Seb, Nicolas et Franck. Accepté, je mélange ma langue avec celle des autres puis elle glisse sur la peau de Nicolas jusqu'à trouver sa bite. J'embouche le beau morceau qui régale habituellement Seb. Pour plus de confort, je me couche sur le dos et continu ma pipe sur un Nico à genoux en train de sucer Franck. Je sens une bouche, que je devine être celle de Seb, couvrir mon gland. Il me trouble car sa pipe s'arrête à mon gland avec lequel il joue. Aspiration, roulage de " pelle ", pointage dans mon trou et mordillement du frein, tout y passe et c'est très bon. J'en avais presque oublié la bite qui occupait la mienne (de bouche). LMes mains de Nico sur ma tête m'ont rappelées à mes devoirs. Nico s'est mis à me limer la gorge avec son gland à grand coup de reins qui le faisait presque sortir de ma bouche mais s'enfoncer très certainement au fond de ma gorge. C'est à ce moment là que Seb m'a aspiré dans sa gorge. De surprise j'ai faillit larguer la purée. Nous nous sommes étalés afin que chacun suce une bite tout en se faisant sucer. Dans le mouvement j'ai pu voir que chacun était occupé avec quelqu'un et que les sodomies étaient déjà d'actualité.
Pour accélérer les choses, j'ai été le premier à glisser de la bite que je suçais à l'anus de son propriétaire. Quand j'ai senti la langue qui me suçais passer à ma rondelle, j'ai su que mon initiative avait fait le tour. Kpotages et nous nous sommes essayés au " petit train ". Explications techniques : Seb sur le dos, les jambes écartées et relevées se faisait prendre le cul par Franck tout en lui roulant un patin. Moi, je me suis collé au dos de Franck et lui ai mis mes 20cm dans l'oignon tour en repoussant l'ensemble afin de dégager mes fesses. Ces dernières, contractées par l'effort, n'ont laissé passer qu'avec difficulté les 20cm épais de la queue heureusement bien raide de Nicolas. Quand nous avons fini de nous emboiter, le plus dur restait à faire, bouger sans faire s'écrouler la " construction ". Pour stabiliser j'ai écarté les jambes tout comme Franck et une âme charitable est venu mettre un gros coussin dans les reins de Seb. Nous nous sommes limés un bon moment appréciant les culs que nous perforions comme les bites qui occupaient nos fondements. Puis la position demandant trop d'efforts musculaires, nous sommes revenus à des pratiques plus " classiques " aboutissant à des éjaculations en cascades sur le ventre et le torse de Franck couché entre nos pieds.
En récupération, j'ai jeté un oeil sur nos amis. Théo, le mien, se faisait démonter le cul par Igor tout en suçant la queue de Tac. Ils se sont trouvés ces deux là ! et d'ou j'étais je pouvais entendre les commentaires que ;Tac faisait à son père sur le plaisir qu'il y avait à enculer mon Théo. Je déplaçais mon regard qui s'est fixé sur Bo-gosse en train d'enculer Ric. Si on compare Ric et Moitié, c'est le jour et la nuit, David et Goliath. Autant Moitié est fin typé minet, autant Ric est musclé et Gym Queen. Mais ça n'a pas l'air de troubler Bo-gosse plus que cela. Je m'approche d'eux et lui demande ce qu'il pense de mon élève (après tout c'est bien moi qui l'ai initié aux plaisirs entre mecs). Bo-gosse me dit que j'ai bien enseigné et que mon élève à bien retenu ses leçons. Que la pipe que Ric lui avait fait tenait du chef d'oeuvre et que son cul lui procurait une symphonie de plaisirs et de me glisser à l'oreille qu'il en tirait des sensations similaires à celles que je lui avait moi même procurées. Je caressais la taille de Ric et glissait mes mains sur ses tétons. Déjà le passage de ma paume dessus lui a fait de l'effet et Bo-gosse s'en est aperçu. Quand je les ai pris entre les doigts et que j'ai commencé à les rouler entre, les contractions su la bite qui le remplissait se sont amplifiées autant en force qu'en rythme. Bo-gosse a trouvé cela géant. Je lui confiais alors l'extrême sensibilité de Ric au travail des tétons. Bo-gosse s'est alors couché sur le dos de Ric et ses mains sont venues remplacer les miennes. Il a lui même modulé les pincements et autres écrasements de téton en fonction de son ressenti sur sa bite. Je l'ai laissé faire, l'avertissant juste de ne pas y aller trop fort sous peine de faire jouir son " instrument ". Il s'est freiné un peu mais rapidement s'est pris a jeu et il a fait exploser Ric. Les contractions anales de Ric, générées par son plaisir, ont essoré les couilles de Bo-gosse. Et ce de façon suffisamment peu discrète que tout ceux qui avait déjà joui s'en sont tournés vers nous !
Comme j'attendais mon tour pour prendre une douche (aux nouvelles installées en bout de terrasse), mon Théo m'a pris par la main et m'a entrainé vers le sous sol et la salle de muscu. Là, nous nous sommes douchés, seuls. Je l'ai lavé tendrement me doutant que ce serait une des dernières fois à ce stade de notre relation. Il s'est mis à parler, avec hésitation il m'a dit tout ce qu'il avait ressenti en voyant, parlant, et baisant avec les jumeaux et Tac en particulier. Tout penaud, il regardait le sol des douches. Je l'ai pris dans mes bras et l'ai soulevé jusqu'à mettre son visage devant le mien et j'ai posé mes lèvres sur les siennes. C'est lui qui a ouvert la bouche et j'ai senti sa langue glisser entre mes lèvres. J'ai entrouvert ma mâchoire et ma langue est venue à la rencontre de la sienne. Elles se sont trouvées, enroulées alors qu'il ceignait ma taille de ses jambes. Ce petit con m'a fait bander et je l'ai senti bouger jusqu'à ce que mon gland caresse sa rondelle. Son bras droit a alors quitté mon cou auquel il s'accrochait pour venir tenir ma queue afin de s'asseoir dessus. Planté sur ma queue jusqu'à mes couilles, il m'a dit qu'il m'aimerait toujours. Nous avons fait l'amour calmement, doucement, chacun appréciant je pense la dernière fois seuls tous les deux. Quand nous sommes remonté, nous avons croisé Tac qui cherchait mon Théo. Profitant que nous ne soyons que tous les trois, je l'ai prévenu que s'il lui faisait du mal, il aurait affaire à moi et que malgré note amitié antérieure, je lui en mettrais une. Tac a bien compris le message et il m'a serré dans ses bras pour me rassurer.
De retour sur la terrasse, nous avons rejoint les affamés qui avaient commencer à taper dans le buffet.
JARDINIER
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South Africa
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alexar60 · 9 months
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Au revoir
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Imagine,
L’homme rencontre la femme.
Il n’a d’yeux que pour elle,
Et lentement son cœur s’enflamme.
Autour de lui, tout devient irréel,
Alors, il approche de la dame.
Comprenant que l’attirance est mutuelle,
Il discute avec elle et tombe sous son charme.
Ils échangent leur numéro, il la revoit souvent.
De cette rencontre est né un amour éperdu
Caché dans des chambres d’hôtels hors du temps.
Seulement, cet amour l’épuise, il se sent vaincu.
Il décide donc de mettre un terme au bon moment.
Après avoir fait l’amour, elle s’endort comme un loir.
Il en profite et sort de sa vie sans lui dire au revoir.
Imagine,
La femme croise de nouveau l’homme.
Il a vieilli, mais il est encore plus beau.
Elle décide de l’inviter boire un rhum,
Parce qu’elle l’a toujours dans la peau.
Elle l’écoute parler de son épouse et de ses mômes,
Pendant qu’elle se retient d’éclater en sanglots.
Avant de se quitter, soudain son ventre papillonne.
Dès lors, elle l’embrasse, et le passé ressurgit aussitôt.
Ils revivent cette fougue qu’ils croyaient perdu
Cachés dans des chambres d’hôtels hors du temps.
Seulement, cet amour est impossible. Elle l’a toujours su.
Elle décide donc de mettre un terme au bon moment.
Après avoir fait l’amour, il reste seul dans son désespoir,
En la regardant partir de sa vie sans lui dire au revoir.
Alex@r60 – août 2023
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drackarys · 9 months
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L'auto stoppeur
Lors d'un week end ou nous avions 3 heures de route, nous avons croisé un auto stoppeur sur le bord de la route.
Le pouce bien en l'air, 25 ans, le gros sac a dos, les cheveux aux vent, le short multi poches, la chemise ouverte, le débardeur blanc.
Nous le faisons monter a l'arrière, et commençons à discuter de tout, de rien.
Il nous dit partir rejoindre des amis et que nous sommes fort sympathiques de l'emmener.
Pour l'occasion de notre weekend, j'avais mis une jupe assez volante et un débardeur près du corps. Il faisait chaud.
Mon mari a fait dévier la conversation, en demandant à notre invité, s'il avait une petite amie, si cela faisait longtemps qu'il était parti, s'il avait été pris en auto stop par denombreuses personnes, si parfois cela avait dévié....
Nous avons vite compris que notre nouvel ami n'était pas contre un peu d'action.
Mon mari lui a donc demandé de glisser sur le siège derrière lui afin de pouvoir me regarder a sa guise.
Il m'a fait ouvrir mes cuisses et enlever mon string.
Tout en conduisant (vive les voitures automatiques), mon mari a commencé à me caresser la peau de mes cuisses.
Il faisait chaud, très chaud...
Il a alors demandé à notre invité de se mettre sur le siège derrière moi et lui a donné feu vert pour me peloter autant qu'il le souhaitait sans restriction....
J'ai vite senti ses mains se promener le long de mes seins, glissant sous mon débardeur afin de les soupeser, de les pincer, faisant rouler mes tétons entre ses doigts.
Elles ont continué leur chemin vers ma jupe, et il n'a pas fallut longtemps a ce jeune homme pour trouver l'entrée.
Il a senti mon excitation, l'humidité de mon antre et y a très vite glissé ses doigts.
Il se les aient léchés puis en a fait de même avec ma bouche.
Une main sur un sein, l'autre sur mon clitoris, il a commencé sa stimulation, tout cela sous le regard de mon mari qui faisait courir sa main sur ma cuisse.
Il n'a pas fallut longtemps pour que mes cris remplissent l'habitacle de la voiture.
Mon mari a arrêté la voiture sur le bas côté, m'a embrassé goulûment puis m'a dit de passer a l'arrière pour remercier notre auto stoppeur le temps de finir la route. Il ne restait que 15 minutes pour le faire venir avec ma bouche.
Au vue du niveau d'excitation, vous pouvez imaginer qu'il n'a pas fallut 15 minutes a notre ami pour venir entre ma bouche sur son sexe et mes mains sur ses boules...
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alicedusstuff · 10 months
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Pensée nocturne_version française
Wukong n'a jamais écouté les conseils de Macaque. Chaque philosophie sombre était contrée par une pensée heureuse. Chaque avertissement était balayé d'un revers de la main, effacée d'un baiser, soufflée d'un câlin, ou épousseté de l'idée d'un idéal incertain. En soit, tout ce que le Macaque pouvait dire qui n’allait pas dans le sens du légendaire roi singe était ignoré de la plus belle des manières. Et ce n’est que maintenant, dans le creux de son lit, au milieu de la nuit, coincé dans les bras de la cruelle personne qui l’avait tant de fois rejeté et désiré à la fois, que l’esprit de Macaque lui fit un rappel bruyant de sa condition. 
"Wukong ne m'écoute pas…" réalisa Macaque. 
Et l'idée même que cette réalité se répète à nouveau dans le futur dans lequel il se trouvait le paralysait. Était-il sain de reprendre sa relation avec Wukong ? Non. Ça ne l'était certainement pas. Macaque savait plus que trop bien ce que l'un et l'autre voyaient en eux. Le singe de pierre voyait en Macaque, le compagnon fidèle et aimant qu'il regrettait avoir assassiné. Et le singe de l'ombre voyait en Wukong le doux bonheur brûlant qui l'avait forcé à tout nier pour se laisser consumer jusqu'à la tombe. 
C'était clair que si Macaque et Wukong s'étaient une fois  aimés sincèrement à leur premier "je t'aime"; ils n'aimaient tous deux chez l'autre,  aujourd'hui,  que le souvenir fané qu'ils représentaient. 
Aucun d'eux ne se connaissait plus. Leur mouvements restaient en synchronisation; mais ils n'étaient plus harmonisés de la même façon qu'avant. La différence entre ces deux faits était aussi fine et confuse que la différence entre amour et adoration. 
"Wukong ne m'aime pas." Réalise Macaque pour la seconde fois, tandis que son  souffle s'accélère. 
Le singe à la fourrure de jais se retourna dans son lit, et se blottit dans les bras de son compagnon. Depuis la destruction de la maison de Wukong sur la montagne de fleurs et de fruits, le singe de pierre était en cohabitation avec Macaque. La situation les avait rapprochés, et ils avaient alors décidé de reprendre leur relation, depuis longtemps brisée. Mais maintenant, Macaque doutait. Il aurait dû dormir. S'il s'était endormis,  il n'aurait pas pensé autant. Pourquoi diable ne dormait-il pas ? 
Macaque ferma fortement les yeux. Ses muscles se tendirent sous l’effort, comme si tout son corps essayait de le forcer à dormir. Malgré tout, le geste ne fait que rendre Macaque encore plus conscient de ses pensées parasites. Il ne devrait pas penser. Il ne devrait vraiment pas laisser son esprit lui jouer des tours. Mais il n’y pouvait plus rien. Chaque tentative mise en œuvre pour faire disparaître les pensées sombres était conclue par une vague encore plus forte de pensées obscures. 
Dieux! N'allaient-elles pas se taire !?
-Macaque. 
Le cœur de Macaque loupa un battement et ses oreilles s’agitèrent une seconde. Macaque tentait de regarder autour de lui. Il leva les yeux vers Wukong pour voir si ce dernier dormait réellement. 
Avait-il imaginé la voix du sage ? 
Le souffle de Macaque s’arrêta, uniquement pour écouter la respiration de Wukong, s’assurer de si ce dernier était bien celui qui avait ouvert la bouche, ou s’il avait juste entendu une voix. 
Cela lui arrivait souvent à l’époque. Les ombres lui sussuraient toujours un aperçu du futur, ou du passé de temps à autre. Et c’était si réel que Macaque avait du mal à les différencier de la réalité. Mais ces derniers siècles, il avait été seul quand ces manifestations vocales lui étaient arrivées. 
Le souffle de Wukong était régulier, et lourd. Sa peau était chaude. Et bien que Macaque adorait se coller à cette fourrure qui sentait le soleil; il était, là maintenant, bien trop concentré à s’assurer du fait que Wukong dormait bel et bien. 
-Wukong ? 
Murmurra Macaque, incertain, malgré le fait évident que son compagnon n’avait pas pipé mot. La respiration de Wukong changea de rythme, comme si ce dernier s'était réveillé à l’appel de Macaque. Mais non. Il dormait toujours. Macaque le savait. Le singe de l’ombre sourit, satisfait, et mis à l’aise dans les bras de Wukong; s’agitant comme un petit oiseau qui essayait de s'ébrouer pour retirer la pluie de ses plumes. Puis, quand il fut enfin bien installé, il ferma les yeux encore, essayant de remplacer ses inquiétudes par le battement de cœur de l’homme qu’il aimait. 
-Je t’aime Mac…
Macaque se tendit et leva des yeux surpris vers Wukong dont le rythme reprit un ton plus agité, laissant échapper au sage quelques ronflements. C’était une phrase dite de façon incompréhensible. Les paroles d’une personne endormie. Peut-être même que ce n’était rien de plus que les mots échappés tout droit des rêves de Wukong, mais Macaque les avait entendus de façon bien trop claire. 
Wukong avait dit qu’il aimait Macaque. Il avait dit Mac! Pas Liu Er. Wukong n’avait pas utilisé l’ancien nom de Macaque. Il avait…Wukong a…il aimait…il…!
Le cœur de Macaque battait trop vite dans sa poitrine. Il cognait si fort que le singe de l’ombre eut peur que le son réveille Wukong. Oh par pitié, faites que Wukong ne se réveillerait pas. 
Si il le faisait, il verrait certainement le visage rouge de Macaque, et le sourire qu’il était incapable de faire disparaitre. Les yeux du singe à la fourrure de jais montreraient certainement tout l’amour qu’il portait à Wukong? et Macaque n’était pas prêt à ce que Wukong voit cette expression de lui. Ce serait tellement honteux. Il se sentirait si déshonoré, si Wukong découvrait à quel point des mots aussi simples avaient excité le singe à ses côtés. 
C’était stupide de penser ainsi. Mais le Macaque serait prêt à tuer Wukong, plutôt que de lui avouer combien une simple phrase avait été efficace. Suffisamment pour lui permettre d’effacer ses doutes, et lui permettre de dormir à nouveau.  Dieu! Macaque détestait tellement Wukong! Ce crétin était beaucoup trop adorable pour le bien du singe de l’ombre. 
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prosedumonde · 9 days
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C’est pas ce qu’on voulait ? Faire la guerre pour faire la paix. On est ensemble, c’est une paix. Jeudi, je te confie ce corps que je hais et cette tête que j’ai en horreur. Je te confie ma bêtise et mes faiblesses, laisse-moi fondre en toi et renaître sous ta peau. Les sirènes ne m’effraient pas. Elles ne m’atteindront pas. Je meurs dans un nous. C’est une paix.
Eden Levin, Jeudi
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morphinedoutretombe · 3 months
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J'en rêve... J'en crève... De ta peau blafarde sous mes doigts... Comment m'endormir sans toi... Le plafond de ma chambre je le connais que trop... Te regarder illuminerait mes nuits... Ta chaleur remplacerait ma couette usée autant que mon corps... Je me traîne péniblement jusqu'à tes pieds... Espérant inlassablement que tu me tendes la main... Je suis juste une ombre dans ta vie... Inconscient de mon existence...
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borgien · 7 days
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Goûter au cuir...
A un moment elle passera le martinet sur vos lèvres et vous pourrez goûter furtivement le goût du cuir.... Elle s'écartera de votre joue... Le martinet se baladera ensuite sur votre corps, en passant par le cou, la poitrine, les seins, le ventre, les hanches, le sexe, et remontant et redescendant à plusieurs reprises. Parfois il s'écartera pour mieux s'écraser ensuite sur votre peau, cette fois sans surprise, hormis l'endroit où il va s'écraser. Ce ballet dure plusieurs minutes et elle devinera qu'il vous plaît en regardant vos tétons se durcirent de plus en plus. Puis il descendra, enfin, sur l'intérieur de vos cuisses, les petites tapes dessus vous indiquant de les écarter, jusqu'à son maximum, pour un meilleur accès à votre intimité... Les lanières de cuir du martinet se frotteront sur votre intimité, à travers le tissu de boxer, en vous faisant ondulé le bassin. Des tapes viennent frapper vos couilles, la douleur étant atténuée par le morceau de tissu. Le manche du martinet vient maintenant se glisser sous votre boxer afin de constater votre érection (car vous bandez). Elle le retire pour le poser sur les lèvres de votre bouche, en vous demandant de goûter à votre queue. Puis plus rien pendant plusieurs secondes, vous vous demandez ce qu’ele prépare. Ce n'est plus de l'appréhension mais de l'envie qui vous traverse l'esprit... 
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unhommeordinairesblog · 9 months
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Je touche son bras, la peau douce à l'intérieur de son poignet, et j'amène son bras vers moi et j'embrasse sa paumé, l'intérieur de son poignet, l'endroit doux. Les plaques bougent sous nous, les continents et les mers.
Kevin Canty
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