#TOU!Warren
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yoobeeee · 4 months ago
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Am I the last DHMIS Two Of Us au fan guys?? 😭💔
I freaking love drawing puppets. I’m still working on the animatic I promise!! Just wanted to post some little doodles I haven’t yet shared.
DHMIS AU belongs to @bunnieswithknives
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aurevoirmonty · 2 months ago
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"Je pourrais mettre fin au déficit public en cinq minutes. Vous savez comment ?
Je ferais passer une loi qui dit que chaque fois qu'il y a un déficit budgétaire de plus de 3% du PIB, tous les membres du Parlement deviennent inéligibles pour une réélection."
Warren Buffett
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histoire-glitchienne · 2 years ago
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Bienvenue chez Les Warren… Un couple diablement controversé
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 Bienvenue chez les Warren « chasseurs de fantômes ». Ed se présente comme étant démonologue autodidacte, safemme quant à elle, se dit médium et claire-voyante, capable de communiquer avec les esprits. Le couple n’a jamaisdemandé d’honoraires pour leur travail. Néanmoins, leurs publications, leurs conférences ainsi que les consultations surdes films relatant leurs expériences paranormales leur a apporté un franc succès financier[1].
 Il existe un certain nombre d’articles et d’ouvrages retraçant le parcours professionnel des Warren ; la plupartd’entre eux sont élogieux et ne remettent pas en question la sincérité et l’honnêteté du couple ceci en ce qui concernecertains faits qu’ils relatent et qui seront repris au cinéma, notamment dans Amityville et The Conjuring. Notons quel’activité du couple Warren, à ma connaissance, n’a jamais été le sujet d’étude sérieuse mis à part, peut-être, l’article surlequel je me suis basée pour écrire cette chronique. En effet, les faits qui y sont relatés semblent beaucoup plus objectifsque le reste de la bibliographie qui leur est consacrée. L’un des principaux « problèmes » à souligner est le fait que laplupart des ouvrages ont été écrits par des proches des Warren, Gérald Brittle, par exemple. De ce fait, les propos sontsouvent élogieux et ne remettent rien en question, ni la vie « pieuse » des Warren ni la véracité des expériencesparanormales du couple.
Il en est de même pour les ouvrages publiés de manière plus tardive, comme c’est le cas pour Les dossiers Warren 1 et 2écrits par Marie Alsina, « blogueuse réputée » dans le monde francophone. Je pense qu’un bouledogue français, enadmettant qu’il puisse écrire, aurait une syntaxe et un style bien plus léger et agréable. En outre, à l’instar des «biographes » précédents, elle dépeint Ed et Lorraine Warren comme étant un couple « pieux », volant au secours des genspar pure bonté d’âme. À aucun moment, elle ne sous-entend que les faits rapportés par les Warren aient pu être exagérésvoire manipulés.
Néanmoins, les journalistes Kim Masters et Ashley Cullins travaillant pour The Hollywood Reporter[2] ont écrit un articleintitulé :  War Over « The Conjuring » : The Disturbing Claims Behind A Billion-dollar Franchise. Il s’agit sans doute del’un des articles les plus pertinents qui aient été écrits à ce sujet. De ce fait, à défaut de pouvoir effectuer une rechercheacadémique, par manque de sources et de ressources fiables, je proposerai ici, de retranscrire l’article dans les grandeslignes. Je me baserai également sur d’autres articles critiques majoritairement américains et anglais…
Les films “basés sur des faits réels… »
 Les spécialistes en marketing ont souvent trouvé pertinent et vendeur d’indiquer que le film d’horreur que l’ons’apprête à visionner est, soi-disant, « basé sur des faits réels ». Toutefois, il n’existe ni loi ni règle explicite réglementantl’usage de ce terme. De ce fait, les cinéastes sont absolument libres d’exagérer les faits prétendument « vrais » sansrisquer quoique ce soit. Il y a eu, dans le passé, des contestations en ce qui concerne certains faits dits «réels » rapportésdans les films tels que The Hurricane de Norman Jewison et Zero Dark Thirty de Kathryn Bigelow mais les tribunaux ontfait preuve d’indulgence. Remarquons tout de même que ces deux derniers films relatent davantage de « faits réels » queThe Conjuring. En considérant tous les faits surnaturels contenus dans les scénarios de cette série de films, il était évident,pour les réalisateurs et la production, que les spectateurs n’interprèteraient pas l’histoire au premier degré. Quoiqu’il ensoit, tant les crédules que les sceptiques se sont rués sur The Conjuring permettant à Warner d’engendrer un bénéfice d’1.2milliard de dollars. Ces profits ont été à la source d’une longue série de conflits et de controverses à propos des histoiresdu couple Warren.
Le couple Warren au cinéma versus dans la réalité…
 Le premier film The Conjuring, tourné au début des années 70, relate l’histoire d’une famille vivant dans uneferme du Rhode Island. Cette bâtisse serait hantée par l’esprit d’une sorcière. Ed et Lorraine, interprétés respectivementpar Patrick Wilson et Vera Farmiga, interviennent alors afin de libérer l’endroit de l’esprit maléfique. Le scénario n’est pasdénué de romantisme puisqu’à un moment donné Lorraine s’adresse à Ed en lui demandant : « Vous souvenez-vous de ceque m’avez dit lors de la nuit de noce ?» et à Ed de lui répondre : «  Vous avez dit que Dieu nous a réunis pour une raison.» Toutefois, comme nous l’avons souligné auparavant, leur couple n’était ni pieux ni idyllique puisqu’Ed entretenait une «relation » avec une fille de 15 ans et, d’après ce que l’on sait, Lorraine ne s’y est jamais opposée.
Penney…
 Ed Warren était âgé d’une trentaine d’années lorsqu’il rencontre, pour la première fois, son amante de 15 ans sacadette… Au début des années 60, le couple Warren ne gagnait pas encore des milles et des cents. De ce fait, Ed s’étaitfait embaucher en tant que chauffeur de bus à Monroe (Conneticut) alors que Penney était une lycéenne de la villevoisine. Les deux ont alors entamé une « relation amoureuse ». En 1963, elle emménageait chez le couple… En novembre2014, Penney aurait fait une déclaration évoquant ses souvenirs ; au début, elle dormait dans une chambre située en facede celle du couple. Quelques temps plus tard, un appartement fut construit pour elle, au-dessus de la maison des Warren.Elle partage ses souvenirs en racontant : « Une nuit, il dormait en bas (…) Une nuit, il dormait en haut[3]. »
 Or, même en 1963, une adolescente n’emménageait pas chez un couple sans se faire remarquer. Par ailleurs, levoisinage a dénoncé cette situation graveleuse et indécente. Et surprise…Penney (pas Ed !)[4] a été arrêtée par la policelocale. Selon sa déclaration de 2014, elle a passé une nuit dans la prison de North End à Bridgeport alors que les policierstentaient de la persuader de signer le procès-verbal rapportant l’affaire. Etant donné qu’elle refusait de coopérer, elle a dû,sur ordre du tribunal, se présenter à un bureau pour jeunes délinquants. (Alors qu’Ed n’est pas du tout inquiété…)[5]Penney aurait dit à plusieurs reprises qu’Ed était l’amour de sa vie. De son côté, le couple Warren la présentait tantôtcomme une nièce tantôt comme une pauvre fille recueillie par charité…
 En mai 1978, alors que Penney âgée d’une trentaine d’années tombe enceinte d’Ed. En 2014, elle confessera queLorraine l’a persuadée (forcée ?)[6] d’avorter puisque la naissance d’un bébé pourrait créer rumeurs et scandale au sein del’opinion publique et ainsi ruiner la carrière des Warren. Lorraine, en tant que « fervente catholique » aurait dit à Penney :« le vrai dieu, c’est l’argent [7]». Dans un enregistrement obtenu par The Hollywood Reporter, Penney raconte non sansémotion : « Ils voulaient que je dise à tout le monde que quelqu’un était entré dans mon appartement et m’avait violée, etque je n’avais aucunement l’intention de tomber enceinte. J’avais tellement peur. Je ne savais pas quoi faire, mais j’aiavorté. Le soir, lorsqu’ils sont venus me chercher à l’hôpital, ils sont sortis, m’ont fait la leçon et m’ont laisséetranquille[8]. » Elle a également affirmé qu’Ed pouvait être violent envers Lorraine. Un jour, il l’a frappée si fort qu’elleen a perdu connaissance. D’autres fois, il la giflait pour la faire taire : « Certains soir, je pensais qu’ils allaients’entretuer[9]. »
Néanmoins, Lorraine Warren semble vouloir empêcher que certains aspects sordides et embarrassants de sa vie de couplesoient exposés sur grand écran. Son contrat avec New Line (consultant) comprend des clauses inhabituelles. En effet, lesfilms The Conjuring ne devaient montrer qu’une image positive du couple. Toutes allusions concernant une relationextraconjugale ou une sexualité déviante devaient être exclues du scénario. L’avocate Jill Smith affirme qu’elle n’avaitjamais établi de telles clauses auparavant bien que certaines personnes cédant leurs droits d’auteur restreignent la libertéde représentation. Elle aurait effectué des transactions afin de restreindre de manière drastique certains aspects del’histoire apparaissant comme étant odieux puisqu’ils ne sont aucunement pertinents à la compréhension de l’histoire.Selon elle, le public n’est pas censé être au courant de tels agissements.
En 2013, peu après le lancement du dernier film, le producteur Tony de Rosa-Grund, a envoyé un courriel à la direction deWarners et de New line afin de les informer que l’histoire des Warren avait été fortement enjolivée. Il a déclaré dans soncourriel qu’une femme proche des Warren avait été : « mortifiée quant au portrait inexact de la relation entre Ed etLorraine Warren[10]. »
Nous ne savons pas comment la production a réagi à ces allégations mais ce que l’on sait de manière certaine se trouvedans le fait que l’on a continué à dépeindre les Warren comme étant un couple heureux, pieux et conventionnel. Warners’est refusé à tout commentaire. Ed Warren est décédé en 2006, et l’avocat de Lorraine Warren, Gary Barkin, affirmequ’elle n’a jamais été au courant de rien et que par. Le fait de son âge avancé, 90 ans, elle se trouve dans l’incapacité derépondre à ces allégations. Notons que les avocats des Warren ont souligné qu’il s’agissait d’une vendetta liée à unebataille juridique : Derosa-Grund a affirmé qu’il a été injustement exclu des suites et des retombées que le film a suscité,et plus particulièrement de profits financiers.
De Rosa-Grund écrit : « Ed était un pédophile, un prédateur sexuel et un mari violent[11]. » Lorraine Warren a, en touteconnaissance de cause, couvert ses agissements pendant 40 ans. Selon lui, ils n’ont fait que de mentir au public. Contretoute attente, le scénario de The Conjuring 2, sorti en 2016, ne fait qu’amplifier l’image pieuse et idyllique du coupleWarren. Les experts juridiques affirment que Warners et New Line n’ont pas grand-chose à se reprocher en permettant unereprésentation autant romancée du couple. D’après eux, à la fin de chaque film, Warners inclut un avertissement : « Lesdialogues, ainsi que certains personnages et évènements contenus dans le film relèvent de la fiction[12]».
L’avocat Lincoln Bandlow, spécialisé dans le domaine de la production cinématographique, déclare : « Le film est moinsagréable si les chasseurs de fantômes sont une bande de connards que personne n’aime. Il faut que vos protagonistessoient sympathiques[13]. » Il poursuit en précisant que ces films ne racontent que des histoires de spectres et, de ce fait,ils ne sont pas strictement historiques. La procureure Lisa Callif, conseillère des producteurs indépendants, convient quele problème est davantage une question de relations publiques que de droit. Les cinéastes pourraient facilementargumenter que la version hollywoodienne ne reflète pas la réalité et se justifier en déclarant vouloir s’en tenir à la version« heureuse. »
Quant à Penney, aujourd’hui âgée de 70 ans, il semble qu’elle n’ait jamais reçu un seul centime de la recette des films,bien qu’elle y ait participé à plusieurs reprises. Elle ressent une grande rancœur envers Lorraine mais garde de bonssentiments à l’égard d’Ed. Par ailleurs, ils sont restés en bons termes jusqu’à sa mort, en 2006. Néanmoins, de manièreparadoxale, elle semble davantage en vouloir à Lorraine de ne pas l’avoir aidée à sortir de cette situation aliénante : «Etant plus âgée, je ne comprends pas pourquoi Lorraine m’a laissée vivre avec eux dans cette maison[14]. » D’autres fois,je m’interroge : « Pourquoi ai-je fait cela ? Pourquoi ai-je bousillé ma vie ainsi ? Parfois, je mets en colère en pensant àquel point l’on m’a privée de beaucoup de choses[15]. »
Derrière les phénomènes paranormaux…
 En 1990, Ed a prétendu avoir capturé la « dame blanche » sur une bande magnétique. Ce fantôme hanterait lecimetière Union à Easton, dans le Conneticut. En réalité, il s’agissait de Penney qui s’était fabriqué une robe avec desfeuilles blanches… Son but était évidemment d’aider Ed à maintenir sa réputation de « chasseur de fantôme ». Bien quel’article ne s’attarde pas sur cet aspect, il paraît évident que le couple Warren ait amplifié voire inventé les phénomènesparanormaux bien avant que les réalisateurs de films d’horreur n’entrent en scène.
En réalité, il n’existe que peu de sources soulignant l’exagération des « évènements paranormaux. » évoqués par lecouple. Quelques revues cinématographiques et journalistiques l’ont fait, c’est le cas par exemple de la revue HorreurQuébec. En effet, l’article Le procès du démon : l’histoire derrière « The Conjuring : The devil made me do it[16]»,souligne le fait que le couple semble avoir profité de la maladie mentale de certaines personnes en faisant croire qu’ils’agissait d’une possession démoniaque. En effet, dans The Conjuring 3, il est question d’un meurtre commis sousemprise démoniaque. Gérald Brittle[17], sous la direction à peine dissimulée de Lorraine, prétend retracer la « véritable »histoire de cette famille dans son livre The Devil in Conneticut. Suite à sa republication en 2006, une partie de la familleen question a porté plainte pour « diffamation », « détresse émotionnelle infligée intentionnellement et violation de leurdroit à la vie privée.[18]» Sans surprise, Gérald Brittle et les Warren ont maintenu leur version des faits précisant que si lefils de la famille avait été possédé, c’était uniquement par la faute de la mère et de la fille qui avaient côtoyé une sectesataniste…Rien que ça ![19]
En outre, une enquête menée par la New England Skeptical Society en 1997, a conclu que le couple Warren était, dans lemeilleur des cas, « des conteurs d’histoires de fantômes vides de sens et, au pire de dangereux fraudeurs[20]. »
[1] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [2] Magazine américain consacré à l’industrie du cinéma. [3] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [4] Commentaire personnel [5]Commentaire personnel [6] Hypothèse personnelle [7] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [8] Ibid. [9] Ibid. [10] Ibid. [11] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [12] Ibid. [13] Ibid. [14] Ibid. [15] Ibid. [16] https://www.horreur.quebec/le-proces-du-demon-l-histoire-derriere-the-conjuring-the-devil-made-me-do-it/ [17] Gérald Brittle est, en quelque sorte, le biographe attitré des Warren. [18] https://www.horreur.quebec/le-proces-du-demon-l-histoire-derriere-the-conjuring-the-devil-made-me-do-it/ [19] Ibid. [20] https://the-line-up.com/ed-and-lorraine-warren#
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booksfromtheunderground · 2 years ago
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Écrire comme Nathalie Sarraute
Après avoir suivi la routine d'écriture très casanière de Susan Sontag, il était temps d'écrire dans un hors de soi, de rendre son bureau d'écrivain toujours plus nomade. C'est pourquoi j'ai choisi, pendant une journée, de m'essayer à la routine d'écriture de Nathalie Sarraute.
Selon la BNF,
C’est sans doute au cours de la deuxième guerre mondiale – parce qu’à l’époque il s’agissait des rares lieux chauffés en permanence – que Sarraute conçut le rituel d’écriture qu’elle suivit presque jusqu’à sa mort, à 99 ans. Tous les matins, même le dimanche, elle se rendait à un café, « Le Marceau », avenue Marceau, à cinq minutes à pied de chez elle. Elle s’asseyait toujours à la même table et se faisait servir une tasse de café et un pot d’eau chaude. Elle se munissait de feuilles volantes, de ses cahiers de brouillon et de deux stylos feutres, au cas où l’un d’eux viendrait à lui faire défaut. Le café était tenu par des Libanais et les conversations en arabe, qu’elle ne comprenait pas, lui permettaient paradoxalement de se concentrer. Dans ce brouhaha ambiant, elle pouvait sans déranger murmurer ce qu’elle était en train d’écrire.
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Pour commencer à écrire, je me suis donc rendue dans la matinée dans un café non loin de chez moi, je me suis assise devant une fenêtre et j'ai pris un thé (évidemment). J'avais plusieurs objectifs d'écriture ce matin-là : écrire un peu dans mon journal, faire de l'écriture automatique puis me concentrer sur un appel à textes en anglais. Le tout sur papier, puisque Nathalie Sarraute écrivait sur feuilles.
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J'ai passé une dizaine de minutes sur mon journal, comme un échauffement. Puis, j'ai utilisé une autre de mes méthodes "d'inspiration" pour lancer une session d'écriture automatique : j'ai tiré au hasard une carte dans mon jeu de tarot (j'utilise Le Tarot surréaliste) et noté sa signification. Je suis tombée ce jour-là sur le 10 de bâtons, la suite des bâtons représentant la folie et le 10, selon Massimiliano Filadoro, le Blanc-Seing. J'ai pris quelques notes sur ce que ls significations données m'inspiraient, puis j'ai amorcé un récit.
Finalement, cette histoire m'a semblée parfaite pour intégrer mon recueil de nouvelles en cours d'écriture. J'en ai rédigé une page, puis j'ai échaffaudé un plan narratif assez vague pour me permettre une certaine liberté dans la rédaction. En tout, j'ai passé une heure sur ce début de nouvelle.
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J'ai terminé cette matinée d'écriture en me concentrant sur un appel à textes, celui du tout nouveau magazine littéraire & artistique Nowhere Girl Collective, fondé par Dakota Warren. Le thème de l'appel à textes de novembre est ouroboros, un symbole cyclique qui renvoie à l'auto-manducation, à l'autodestruction et au cycle de la vie. À partir de ce sujet, j'ai rédigé le premier jet d'un poème :
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Ayant rempli tous mes objectifs d'écriture pour la journée, je me suis alors rendue au cinéma pour voir Le Règne animal, réalisé par Thomas Cailley. La question du devenir-animal y rejoint celle du devenir soi et du coming of age, mêlant ainsi réflexion sur l'adolescence et, plus généralement, sur la nature humaine. J'ai beaucoup aimé ce film, très bien réalisé et qui aborde avec justesse la notion de deuil.
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Alors, plutôt Susan Sontag ou Nathalie Sarraute ?
Pour ma part, la routine de Sarraute m'a complétement séduite, et m'a qui plus est permise de trouver un café près de chez moi, parfait pour aller écrire dans un équilibré mélange de bruits ambiants et de silence, de mouvement et de tranquillité. Mes productions m'ont beaucoup plus plues que celles écrites la semaine dernière, dont je me suis très rapidement détachée ; j'ai amorcé une nouvelle qui me plaît bien plus que la précédente et je suis pour l'instant relativement satisfaite du poème écrit pour l'appel à textes.
Sur ce, l'on se retrouvera dans un prochain article.
Littérairement vôtre,
Ève
me trouver ailleurs :
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ririchanva · 11 months ago
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First~ **hugs** I miss you Riri!!
// Wah! *hugs back* Kit-kaaaat~! I mishu toooooo xD Ahahahaha while you didn't really place any request, I thought maybe an Izuku one-shot might be a good way to start things :3 Anyways, here's one just for you (based on our past roleplays~)
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Summary: As Usadori, Izuku Midoriya has seen many time-lines in order to figure out how to stop the supposed future that Shinso had come from. As he was looking into the many burrows in the warren, he spotted one where he...had a different family?
Contains: Spoilers from the Quirk and Miracles main story, but not necessarily canon to it. Time Shenanigans. Based on a Tumblr RP. Slight angst and fluff. Deku having the Bunny Miraculous. OCs that belong to @moonxsuncelestials
Word count: 1,221
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Quickly.
I must find solutions.
Various ways to prevent the horrid future.
Those were in the mind of one Izuku Midoriya, holder of One-For-All and the student of All Might.
Although...that was not quite right.
While it was true he was the 9th wielder of a mysterious power accumulating past heroes that also were users of OFA, he was currently a different type of hero.
Training under Master Fu, Izuku was given a magical device called a Miraculous. An object that a frantic Hitoshi Shinso was reluctant to give him, but did not have any other options. Then again, Izuku understood why the brainwashing quirk user was hesitant. Izuku was a wild card of a tactician.
And so, under the hero name of Usadori, the green haired male was sitting in what seems to be a vast space that held portals of different timelines and sifting through all of them. Many that had a Chat Blanc flooding the world as he sat alone. Or many that had either himself or Kacchan turning evil...
As he was waving a hand one by one through these portals, he stopped at one that made him falter.
He saw himself but older...and he wasn't alone.
In fact, Usadori watched as he saw his young adult civilian self was walking inside what seemed to be a traditional looking home, almost resembling the Todoroki residence but much nicer...more warm and welcoming than what house his dear friend Shoto grew up in.
"Tou-san! Kaa-san! Jade! I'm home!" The other him on the other side of the portal called, looking around as he was taking off his shoes.
This confused Usadori for a moment because one, he knew his father was overseas for work...well, the bastard never returned home since his announcement of being quirkless at the age of four. The second thing was, who was Jade?
The rabbit user's question was soon answered in a form of a little boy running towards Izuku with a smile.
"Izuku-nii!" The little boy chirped as he soon was wrapping his tiny arms around Izuku's legs, giggling softly as blue eyes looked up at him happily, "You're home!"
"Yeah...I'm home, Jade. Aaaaand I come bearing gifts~" Izuku bent down and brought the little boy in his arms and chuckled, tapping the kid's nose before he looked around, "Where's our parents?"
“IZUKU XIAO LONG MIDORIYA GONG!”
Usadori jumped at the sound of a voice and blinked when his other self was paling for a moment, the little boy then having a cheeky smile on his face, almost as if saying 'ooh! you're in trouble now!'
Stomping into the foyer entrance where the two boys were at, came a tall figure with cerulean blue hair that is tied into a ponytail and deep, cat-like red eyes. And he looked miffed. While gliding wisp-like behind the man is another tall male that had a glowing enthral look to him, that matched for his sapphire blue hair and violet eyes. Usadori would think, 'They are a beautiful pair.'
A smile was on the angelic looking male that showed that he was also sort of upset about something, but holding it back as the first man marched over to Izuku, who placed the little boy down.
"...Tou-san, whatever I did, it is all Bael-san's fault--"
"Don't you be giving me lies, boy. We raised you better than that." The first male snorted as he folded his arms, showing the muscles he had, his aura reminding Usadori of Eraserhead for a moment, "You know you worried your Mother and I?"
Usadori frowned, looking at the portal further to where Inko Midoriya was, but there was no sign of her. This made the rabbit user close his eyes for a moment, thinking, 'Ah...perhaps this is a world where Inko was not his mother? And these two were his parents?'
That...is quite the world.
Usadori kept watching as he watched himself stuttering and waving his hands around with excuse after excuse, until the second male decided to move forward, giving a soft smile before saying with a strong voice.
"We are not angry--"
"Speak for yourself, Beloved--"
"Sai Gong, you better not be interrupting me right now..."
"...Sorry, Lapis, my love."
Lapis narrowed his eyes, making the other man raise his hands up in surrender as he smiled towards Izuku once more.
"While your father and I are worried from you once again running off with your friends in dangerous situations, I understand why you do it. Despite being involved with the family affairs, Izuku, I wish you would at least tell us before you up and vanish like that. It almost gave me a heart attack when your Uncle Yun had to call me that you almost got hurt during a mission?"
"I know, a-and I'm sorry Kaa-san. Really, I thought I'd be back before Jade's bedtime..." Izuku breathed out, but not before he felt arms around him and blinked as he then looked up to Lapis.
"We know you are growing into a strong warrior, Izuku, my darling. But you have to remember that you have a family that loves and worries about you now. What would Inko-san think, bless her soul, if she hears you are dragging yourself injured with broken bones?" Lapis then looked over at his husband and raised a brow, "Darling, get over here and hug your eldest!"
Sai Gong was quick too wrap his strong arms around both Izuku and Lapis, his anger gone as he then chuckled, "Your mother's right, Izuku. Next time leave a damn note or something before you go off like Toshinori, ya hear me? Or you're grounded."
"Tou-san, I'm twenty one, I'm no longer that high school boy you took under yours and Kaa-san's wings."
"You're still our boy, and that still makes you little in our eyes," Lapis teased, as he then picked up Jade and let the little one join in what seems like a family hug.
Usadori watched with a soft and somewhat envious look as he watched Sai Gong take Jade and walk away along with Izuku following him while talking a mile a minute about something that happened that day. They look like a proper family... Usadori would think bitterly, but then remembered that he still had his mom. So it seems this world's Inko Midoriya had passed on, at least according to Lapis' words.
Speaking of the man, Usadori had a strange feeling that Lapis could feel him because he stayed behind and looked over to where Usadori was, as if he could see him.
"...I know you're there and I know you aren't a threat...but whoever you are, I hope that you can find what you are looking for..."
Usadori almost opened his mouth to reply to Lapis but then shook his head. There...there was no way that Lapis could actually know that he was watching, right?
...Right.
Usadori was about to swipe the portal away to go and observe the next time-line, but almost froze when the voice spoke again.
"You have people that love you, Izuku. Whether it is your time or mine, let it be known that you are not alone..."
And with that, Usadori quickly made the portal disappear, the words still fresh in his mind and heart.
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jc-en-chemin3 · 1 year ago
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Le 12 mai de Castro à A Fonsagrada 20 km.
Hier soir belle ambiance mais c'est compliqué de discuter en étant aussi nombreux dans une salle très sonore du coup j'ai bien discuté avec Franck le Toulousain qui était à côté de moi.
Pas de petit déjeuner ce matin donc juste un café soluble offert par Hanne et des amandes.
Quelques km après mon départ je suis rejoint par Jeremy avec qui je marche jusqu'à ce que la pente nous sépare car il monte beaucoup plus vite que moi.
On se retrouve tous pour un vrai petit déjeuner dans le premier bar après 9 km de montée.
Sur ce chemin on a l'impression d'être une grande famille en marche alors que personne ne se connaissait il y a 5 jours.
Hier pour prendre des photos je suis sorti du chemin quand tout à coup j'ai entendu jean Claude you are on a wrong way.
Il s'agissait d'un couple d'Australiens que j'avais croisé et qui connaissaient mon prénom par Jeremy et qui m'ayant vu sortir du chemin avait couru pour me rattraper... maintenant je sais qu'ils s'appellent Betsy et Warren et sont adorables.
Il est là l'esprit du chemin.
Ultreeia
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photos-car · 1 year ago
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reasonsmandy · 2 years ago
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Could you please write reader and warren getting married in vegas whilst drunk and on tour with band ?
That's for sure one of my favorites, hope you like it 🫶🏾 good reading
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Ils souhaitaient trouver un ancêtre de Trump esclavagite Mais manque de chance, la recherche révèle que parmi les dirigeants américains actuels et anciens, seul Trump ne descend pas de "propriétaires d'esclaves". Au moins 100 membres du dernier Congrès américain sont des descendants directs de colonisateurs, aussi appelés propriétaires de plantations, représentant environ 8 % de démocrates et 28 % de républicains. Le groupe comprend d'éminents politiciens tels que les sénateurs républicains Mitch McConnell et Lindsey Graham, et la démocrate Elizabeth Warren. En ce qui concerne la présidence américaine, l'étude montre que tous les chefs d'État actuels et anciens encore en vie, y compris Biden, sont directement liés aux propriétaires d'esclaves noirs. La liste, qui comprend de grands noms comme Jimmy Carter, George W. Bush, Bill Clinton ou encore Barack Obama, comporte une seule exception : Donald Trump.
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falsedivined · 2 years ago
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━━  ⊰  [  gong  yoo  ,  38  ,  cisgender man  ,  he/him  ]  the  ton  is  buzzing  !  have  you  heard  ?  HAN  YEJONG  ,    FIRST  LORD  OF  THE  ADMIRALTY  has  arrived  in  mayfair  !  i  have  been  told  that  he  is  +  LOYAL  &  +  DILIGENT  but  are  also  -  UNDERHANDED  &  -  GRANDIOSE  but  we  shall  know  more  about  them  as  the  season  progresses.  they  aim  to  FIND  HIMSELF  A  BRIDE  before  the  season  ends.  we  cannot  be  too  sure  but  it  is  said  that  their  loyalties  lie  AGAINST  THE  CROWN.  how  true  ?  we  are  yet  to  find  out.
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QUICK  FACTS
NAME:  han  yejong  NICKNAME:  yejong  AGE:  thirty-eight  PLACE OF BIRTH:  london,  england  ETHNICITY:  korean  GENDER:  cisgender  man  PRONOUNS:  he/him  ORIENTATION:  bisexual  RELIGION:  nominally  anglican,  atheist  PARENTS:  unknown  (  unknown  )  &  unknown  (  unknown  )  SIBLINGS  unknown  LANGUAGES:  korean,  english,  french  (  fluent  )  danish,  portuguese  (  conversational  )  greek,  mandarin  (  half-forgotten  )   EDUCATION:  royal  naval  academy  OCCUPATION:  first  lord  of  the  admiralty  HOBBIES  &  INTERESTS:  sailing,  natural  philosophy,  mathematics,  astronomy  RESIDENCES  3  park  crescent  (  london  )  merton  place  (  surrey  )
PARALLELS.
andrei  bolkonsky  (  war  &  peace  )   septimus  warren  smith  (  mrs.  dalloway  )    jon  snow  (  a  song  of  ice  and  fire  )    john  watson  (  arthur  conan  doyle  )   faramir  (  the  lord  of  the  rings  )
SNAPSHOT.
tl;dr  scholarship  kid  risks  his  life  for  his  country  and  doesn’t  end  up  dying  but  does  end  up  suffering  ego-death  which  is  perhaps  Worse
aka  andrei  bolkonsky  if  he  was  born  poor tw   for  post-traumatic  stress  disorder,  mental  health  issues,  warfare,  burning/fires,  death,  gore,  child  abandonment
your  death  says:    you  will  remember  the  cannonfire.
the  sky  is  clear,    the  winds  favourable.    your  sailing  master  tells  you  that  the  northeasterly  winds  mean  that  you  should  unfurl  and,    after  thinking  it  over,    you  forward  the  suggestion  to  the  riggers,    your  command  met  with  cheerful  voices  and  a  fair  degree  of  laughter.    they  do  not  see  you  as  their  superior,    not  really,    but  you  find  that  you  can’t  begrudge  them  their  lack  of  respect,    having  always  felt  more  at  home  in  the  cabins  than  the  wardroom.    they  fail  to  observe  the  proper  decorum  with  you  and  you,    fool  that  you  are,    allow  them  this.    you  allow  them  everything.    there  is  nothing  so  dearer  to  you  as  the  goodwill  of  your  fellow  men  and,    now  that  you  have  it,    you  have  sworn  not  to  let  go  of  it.    
in  the  horizon,    so  near  that  you  could  taste  smoke  on  your  tongue,    copenhagen  burns.
in  the  quiet  of  quiets,    so  soft  you  can  almost  pretend  it  doesn’t  exist,    your  death  will  whisper  in  your  ear:    remember  the  cannonfire.
words  so  loud  they  erase  everything  else,    guilt  so  nagging  it  drags  you  down  and  weathers  you  from  the  inside  out:    stories  replace  memories  replace  selfhood  replace  everything  you  think  you  know.    every  church  you  see,    you  think  of  burning  spires.    every  plaza  is  strewn  with  the  ruins  of  houses  and  the  gore  of  flesh.    every  blue  sky  is  marred  with  the  pockmarks  of  smoke.
every  unknown  child,    you  think,    could  have  been  you:    mere  foundling  wrapped  in  a  blanket  not  even  embroidered  with  your  own  name,    mere  slip  of  paper  telling  the  orphanage  what  it  was    —    didn’t  they  know  that  the  wind  could  have  carried  your  name  away?    —    before  growing  into  a  child  that  had  something  to  prove.    the  late  duke,    too,    had  something  to  prove:    charity  is  next  to  godliness,    and  perhaps  he  wanted  to  touch  the  edge  of  divinity.    you  were  a  test  case,    meant  to  say  something  about  opportunity  and  diligence  and  worthiness  in  outcomes.
make  no  mistake:    you  were  a  charity  case.
the  bombardment  lasts  twenty-two  days.    on  wednesdays,    you  would  toast  for  yourselves,    for  nobody  else  would  think  of  you.    your  death,    just  off-stage,    laughs  and  laughs  and  laughs:    for  it  is  certainly  thinking  of  you.    on  thursdays,    you  would  toast  to  wars  and  sickly  seasons.    here,    you  toast  with  death,    for  it  is  only  through  war  and  sickness  that  your  star  burns  ever  brighter,    promotions  rationed  by  the  cord  of  life.    on  fridays,    you  toast  to  willing  foes.    
some  nights,    you  just  stand  on-deck  to  take  in  the  vision:    copenhagen,    burning.
you  tell  yourself  that  you  will  remember  this:    the  sound  of  cannonfire,    the  ruckus  of  children  crying  for  their  parents,    the  smell  of  burning  wood,    the  bitter  tang  of  smoke  as  it  hits  your  eyes,    the  sound  of  cannonfire,    the  sound  of  your  own  voice  ordering  for  the  bombardment,    the  taste  of  soot,    the  salt  of  the  sea,    the  sound  of  cannonfire,    the  sound  of  death,    the  sound  of  screaming,    the  sound  of  cannonfire,    the  sound  of  cannonfire,    the  sound  of  cannonfire—
on  fridays,    you  toast  to  willing  foes.
your  death  says:    you  will  remember  the  cannonfire.  
the  sky  is  so  blue,    the  day  you  almost  die.    copenhagen  has  been  won,    and  denmark  brought  to  her  knees.    the  royal  navy  rules  the  seas.    you  die  with  the  taste  of  smoke  on  your  tongue.    there  are  no  enemies.    there  is  no  battle.    your  men  mishandled  the  cargo  of  shells,    leading  to  a  huge  conflagration.    there  is  no  cannonfire.    there  is  no  bombardment.    the  sky  is  the  sea  is  the  horizon  is  endless  blue  as  you  die.
they  come  to  you  as  you  lie  dying,  but  you  have  no  memory  save  for  the  blue.    
they  tell  you,    weeks  later,    that  you  talked  about  cannonfire.
your  death  says:    i  am  too  easy.
A  DEEPER  LOOK.
tw   for  post-traumatic  stress  disorder,  hanging
got  the  post  of  first  lord  of  the  admiralty  entirely  too  young:  mainly  through  a  matter  of  savvy  politicking,    underhanded  dealings,    and  hero-worship.    he  vaguely  enjoys  the  same  kind  of  celebrity  that  horatio  nelson  does,    without  exactly  following  the  same  career,    and  so  is  looked  at  to  be  one  of  the  more  eligible  bachelors  for  the  season.  
his  near-death  incident  on  board  the  hms  pompee  just  as  it  was  about  to  dock  plymouth  obsessed  the  press  for  days,    leading  to  court-martials  aplenty  for  his  subordinates,    eventually  finding  the  allegations  of  endangerment  and  negligence  meritorious  and  sentencing  them  to  hang    —    adding  yet  another  thing  to  his  guilt.
dabbles  in  substances  to  ameliorate  his    —    obviously  undiagnosed,    since  this  is  the  19th-century    —    ptsd:    his  habit  has  been  getting  worse  and  worse,    though  he’s  getting  better  and  better  at  hiding  it.
WANTED  CONNECTIONS.
fellow  military  men  whom  he  absolutely  connects  to  more  easily  in  just  a  fundamental  level  than  with  civilians.    is  fundamentally  anti-war  after  his  experiences,    so  he  detests  glory-hunters,    but  will  nevertheless  seek  understanding  first  and  foremost  from  this  group.
people  he  does  business  with:    his  naval  prowess  brought  with  it  some  certain  authority  in  all  things  related  to  the  sea,    and  he’s  definitely  pooled  his  investments  in  certain  mercantile  efforts.
former  romances/friendships/associations/etc  that  was  cut  short  by  the  call  of  war:    save  for  the  intermittent  short  visit  here  and  there,    this  is  really  only  the  third  season  he’s  attended.    any  prior  relationships  made  in  his  first  season    —    around  the  time  of  the  peace  of  amiens    —    would  be  welcome,    especially  if  such  a  romance  seemed  headed  towards  an  engagement.    perhaps  your  muse  was  willing  to  wait,    even,    but  yejong  couldn’t  live  with  the  idea  of  making  someone  a  widow.
on  that  same  note,    his  goal  right  now  is  to  secure  a  bride,    as  he  now  thinks  it  unlikely    —    with  his  recent  injury  and  his  position  in  the  admiralty    —    to  get  called  up  and  thus  considers  himself  free.    does  approach  things  rather  scientifically:    definitely  has  a  list  of  qualities  he  likes  to  see  in  a  match,    reminiscent  of  anthony  bridgerton.
he  exerts  effort  in  scientific  pursuits  and  funnels  his  money  accordingly:    he’s  been  campaigning  for  a  magnetic  survey  of  england  as  well  as  cutting  a  passage  through  the  open  polar  sea  so  as  to  bolster  profits.
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yoobeeee · 11 months ago
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DHMIS TOU au animatic!!
I imagine David and Rowan trying to dump Warren off somewhere to get rid of him (also the animatic is unfinished lmfao)
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ALSO OTHER DOODLES IM WORKING ON OF THEM!!! @bunnieswithknives I’ve been wanting to post on here for so long 😭
DHMIS au belongs to @bunnieswithknives
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jpbjazz · 24 days ago
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LÉGENDES DU JAZZ
DAVE TOUGH, LE DUR À CUIRE AU COEUR TENDRE
“Dave never got in the way; he didn’t overplay. What we need today are a few more Dave Toughs.”  
- Dizzy Gillespie
Né le 26 avril 1907 à  Oak Park, dans les Illinois, David Jarvis Tough (à ne pas comfondre avec son petit-neveu du même nom qui était aussi batteur) était le plus jeune fils de James Tough et Hannah Fullerton, deux immigrants qui étaient nés à Aberdeen, en Écosse. Tough avait deux frères, George et James, ainsi qu’une soeur, Agnes. Le père de Tough était caissier dans une banque. Il s’intéressait également au secteur immobilier et au marché des matières premières.
Tough avait neuf ans lorsque sa mère était morte d’apoplexie en 1916. En 1921, lorsque le père de Tough s’était remarié avec une des soeurs de son ancienne épouse, il avait continué de l’appeler ‘’tante.’’
Tough avait commencé à s’intéresser à la batterie dès son plus jeune âge. Tough avait été particiculièrement influencé par le batteur de La Nouvelle-Orléans Warren ‘’Baby’’ Dodds, qui avait fait partie des célèbres Hot Five et Hot Seven de Louis Armstrong.
À l’âge de quinze ou six ans, alors qu’il étudiait au Oak Park High School (il n’avait jamais obtenu son diplôme), Tough s’était lié d’amitié avec le saxophoniste Bud Freeman, qui était membre de la légendaire Austin High School Gang, un groupe d’adolescents qui avaient entre quatorze et dix-sept ans à l’époque. Les membres du groupe avaient grandi ensemble à la Austin High School de Chicago. En 1922, le groupe était composé de Freeman au C-melody saxophone et au saxophone ténor, de Jim Lanigan au piano et au sousaphone (une sorte de tuba), de Jimmy McPartland au cornet, de Dick McPartland au banjo et à la guitare et de Frank Teschemacher au saxophone alto et à la clarinette.
En l’espace de quelques années, le groupe avait commencé à se produire régulièrement au Lewis Institute (qui avait éventuellement fusionné avec le Armour Institute of Technology pour devenir l’IIT), où Tough suivait des cours de langue et de littérature. Lecteur insatiable, Tough semblait avoir tous les talents: en plus d’écrire des poèmes, de peindre et de dessiner, il avait accompagné des poètes comme Max Bodenheim, Langston Hughes et Kenneth Rexroth dans un club appelé le Green Mask. Le saxophoniste Bud Freeman avait même écrit dans son autobiographie intitulée You Don’t Look Like a Musician (1974) que Tough l’avait emmené voir une exposition du peintre Paul Cézanne au Chicago Art Institute. Le clarinettiste Mezz Mezzrow, qui adorait raconter des histoires, avait décrit ainsi la personnalité de Tough dans ses mémoires ‘’Really the Blues’’ publiés en 1946:
‘’Dave Tough, who tipped delicately over his words like they were thin ice, always used to lectire me on how important it was to keep your speech pure, pointing out that the French and people like that formed their vowels lovingly, shaping their lips just right when they spoke, while Americans spoke tough out of the corners of their mouths... I thought Dave’s careful way of talking was too precise and effeminate. He thought I was kind of illeterate, even though he admired my musical taste and knowkledge. He was always making me conscious of the way I talked because he kept on parodying the slurs and colloquial kicks in my speech, saying that I was just trying to ape the colored man.’’
Il faut dire que Tough était beaucoup plus instruit et cultivé que la plupart des musiciens de jazz de l’époque. Tough avait d’ailleurs toujours été un peu partagé entre sa carrière de musicien et son désir de devenir écrivain. Toujours selon Freeman, Tough avait été très choqué lorsqu’il avait appris qu’il n’avait jamais lu The Sun Also Rises d’Ernest Hemingway.
Même s’il ne faisait pas officiellement partie de Austin High School Gang, Tough, qui avait appris à jouer en autodidacte, avait commencé à jouer avec le groupe comme batteur. Avec le temps, la Austin High Gang s’était produite sous différents noms, dont les Blue Friars et les Husk O’Hare’s Wolverines. Tough était d’ailleurs devenu un membre régulier de ce dernier groupe. En 1927, le guitariste Eddie Condon avait dirigé le groupe dans le cadre de deux sessions des McKenzie and Condon’s Chicagoans. Même si ces enregistrements avaient contribué à augmenter la popularité des membres du groupe, Tough n’avait pu en profiter, car il venait de se marier et avait poursuivi sa carrière en Europe. C’est Gene Krupa qui avait assuré sa relève avec le groupe. Il faut dire que le choix de carrière de Tough et son alcoolisme avaient contribué à envenimer ses liens avec sa famille.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Tough avait amorcé sa carrière professionnelle à l’âge de dix-huit ans en 1925 en se produisant avec le pianiste “Jumbo Jack” Gardner, le chanteur et saxophoniste Art Kassel et le violoniste Sig Meyer. Il avait aussi joué avec les Husk O'Hare's Wolverines.
À la fin des années 1920, Tough avait partagé son temps entre les États-Unis et l’Europe où il avait vécu durant deux ans, se produisant souvent avec le clarinettiste Danny Polo. À la fin de la même décennie, Tough avait joué comme accompagnateur à Nice, Ostend, Berlin et Paris en compagnie du guitariste George Carhart et le clarinettiste Mezz Mezzrow. Le prince de Galles, qui avait été brièvement roi d’Angleterre sous le nom d’Edward VIII en 1936, avait même remplacé Tough à la batterie dans le cadre d’une de ses performances.
Retourné aux États-Unis en 1929, Tough était entré dans ce que son biographe Harold S. Kaye avait appelé sa ‘’période noire.’’ Ne négligeant pas pour autant sa carrière musicale, Tough avait joué et enregistré avec les big bands de Benny Goodman et Red Nichols. Pour compléter ses sources de revenus, Tough avait également eu une chronique dans le magazine Metronome dans laquelle il avait donné des conseils aux jeunes batteurs. Tough mettait toujours beaucoup d’humour dans ses chroniques. Par exemple, il avait déjà suggéré aux jeunes batteurs quelle marque de chewing gum adopter. Par exemple, il avait écrit dans une de ses chroniques: ‘’After considerable spade work on my research into the effects of chewing gum on swing-drumming, I have turned up a few hitherto unpublished secrets or world-shattering importance: George Wettling and Maurice Purtill chew nothing but Juicy Fruit. James Crawford, the gent who beats out all that gyve [jive] with Lunceford - solid man ! - prefers Spearmint. The two Rays, McKinley and Bauduc, are Black Jack men down to the ground.’’
Dans un autre extrait, Tough avait parodié le style d’Ernest Hemingway. Il écrivait: ‘’But I can say this, sir, that Chick Webb is much better than whom and who and he’s good and he’s very, very good and he does everything there is to be done to a drum and he does it beautifully and sometimes he plays with such stupefying technique that he leaves you in a punch drunk stupor and ecstatically bewildered as this sentence has wound up to be.’’
Après avoir été très malade en 1932 (en grande partie en raison de sa dépendance envers l’alcool), Tough s’était installé à New York en 1935 où il avait fait partie du grand orchestre de  Tommy Dorsey et joué avec Red Norvo et Bunny Berigan. Au début des années 1930, Tough avait beaucoup enregistré en Europe, notamment pour la compagnie Tri-Ergon.
Tough avait divorcé en 1936, mais il s’était pas remarié avant le milieu des années 1940. Même s’il avait continué de jouer du dixieland, notamment avec Bud Freeman, Jack Teagarden, Eddie Condon, Mezz Mezzrow et Joe Marsala, Tough était souvent passé d’un groupe à l’autre.
Dans les années 1940, Tough avait fait partie des big bands de Charlie Spivak et Claude Thornhill, et du Symphonic Swing Orchestra du clarinettiste Artie Shaw (1941). Après être entré dans la Marine, il avait d’ailleurs joué dans l’orchestre militaire de Shaw de 1922 à 1944. Informé des problèmes d’alcool de Tough, Shaw lui avait affecté un garde du corps pour l’empêcher de tomber en bas de la scène. Shaw précisait: ‘’He was an alcoholic, and, like all alcoholics, he always found things to drink. I’d assign a man to him if we had an important concert coming up- say, for the crew of an aircraft carrier - and that man would keep an eye on him all day. This was so he wouldn’t get drunk and fall off the bandstand, which he had done a couple of times.’’
Après avoir passé l’année 1943 dans le Pacifique, Tough, qui souffrait d’épilepsie, avait été démobilisé pour raisons de santé. Il faut dire qu’à l’époque, l’épilepsie était très mal comprise, et était souvent confondue avec une maladie mentale. Shaw était très proche de Tough, car les deux musiciens avaient beaucoup de choses en commun. Comme Shaw l’avait expliqué plus tard:
‘’I first knew Davy in the thirties when he was with Tommy Dorsey, and we’d go up to Harlem to listen to music. He was a sweet man, a gentle man, and not easy to get to. He was shy and reclusive. He had great respect for the English language. He read a lot and I read a lot, so we had that in common. During the Second World War, he was in my Navy band, and we’s manage to get together once in a while with 124 American musicians and talk [...]. I think he was the most underrated big-band drummer in jazz, and he got a beautiful sound of his instrument. He tuned his drums, he tried to achieve on them what he heard in his head, as we all do, and I think he came as close as you can get. He refused to take solos. Whenever I pointed to him for twelve or eight or four bars, he’d smile and shake his head and go on playing rhythm drums.’’
Après s’être rétabli, Tough s’était remarié avec Casey Majors, une Afro-Américaine qu’il avait rencontrée à Philadelphie. Après avoir joué avec Eddie Condon, Jerry Gray, Muggsy Spanier et Will Bradley, Tough avait participé à la tournée de Jazz at the Philharmonic (JATP). Il s’était alors joint au First Herd de Woody Herman.
Même s’il était d’apparence plutôt frêle (il pesait seulement 98 livres), Tough avait toujours été un batteur plutôt puissant. Rendant hommage à Tough après sa mort, le batteur Buddy Rich avait déclaré: ‘’His energy force was so stong that you’d think there was a 400-pound guy sitting up there.’’
Perfectionniste, Tough n’appréciait pas tellement de jouer en solo. Il était aussi reconnu pour détester la musique commerciale que plusieurs orchestres de swing devaient interpréter pour survivre. Même s’il avait un talent suffisant pour jouer avec les plus grands groupes de l’époque, il était souvent insécure et insatisfait des groupes avec lesquels il était forcé de jouer. Après avoir quitté l’orchestre de Tommy Dorsey au début de 1938, Tough avait fait de brefs séjours dans le groupe de Bunny Berigan avant de retourner avec Dorsey et de se joindre aux grands orchestres de Benny Goodman et Bud Freeman. De plus en plus imprévisible, Tough s’était joint au big band de Jack Teagarden en 1939 avant d’aller jouer avec le petit groupe de Joe Marsala sur la 52e rue l’année suivante. Après avoir de nouveau rejoint l’orchestre de Goodman puis celui de Marsala, Tough semblait enfin avoir trouvé sa niche comme membre des groupes d’Artie Shaw.
DERNIERES ANNÉES
Même s’il préférait jouer avec des petits groupes, Tough avait obtenu ses plus grands succès comme membre du big band de Woody Herman (les fameux ‘’Herds’’) en 1945. À l’époque, le bebop était à son apogée, et Tough avait joué un grand rôle dans son développement. Même s’il admirait énormément Max Roach, Tough n’avait pas beaucoup de respect pour le bebop, qu’il avait qualifié de "musical clowning." Même si la collaboration de Tough avec le big band de Woody Herman avait fait de lui une grande vedette, il n’avait jamais pu s’adapter à l’évolution du jazz.
Décrivant un concert du groupe au Paramount Theater de New York en 1945, le critique Burt Korall écrivait:
‘’A bluish light hit the rising stage as the Herman band rose out of the pit, playing Woody’s familiar theme, ‘blue Flame.’ When the 16-piece band hit stage level, it exploded into ‘Apple Honey’ and immediately displayed great ensemble power as it dashed through this up-tempo ‘head’ arrangement. My eyes were on the little drummer. He went about his business with little of the grace of a Krupa and Jones, and none of the fireworks of Rich. But the excitement built as Tough, without physically giving the impression of strength, manipulated the band much as an animal trainer would a beautiful hard-to-control beast, making it respond to him. He cracked the whip under the ensemble and brass solo passages adding juice and muscle to the pulse and accents. Each soloist got individual treatment - a stroke here, an accent there, a fill further on, all perfectly placed. He moved the band from one plateau to another, higher and higher. By the time the band was about to go into the final segment, the audience was totally captured. There was a point during this last section when it felt as though the band would take us through the roof. When the piece came to the end with four rapid bass drum strokes, I couldn’t figure out what he had done. He had been in the foreground only once during a four bar break [...] otherwise his was the least self-serving performance I had ever witnessed. I turned to my friend. ‘He has no chops. How’d he do it ? What happened ?’ He smiled, not quite as puzzled as I. ‘It might not have seemed like much’, he said. ‘But whatever he did, he sure lit a fire under that band.’’’
Le batteur Ed Slaughnessy, qui avait longtemps joué avec le groupe du Tonight Show et qui avait vu jouer Tough avec l’orchestre de Herman alors qu’il avait quinze ou seize ans, avait ajouté:
‘’No drummer could match his identity. He used a heavy stick with a round tip. He had the widest tempo, the broadest time sense, and in that way he was like Elvin Jones. He was always at the center of the beast, even though he gave the impression he was laid back. He played loosely, with not much tension on the stick, and he tuned his drums loosely [...]. He was a master cymbal player - maybe the greatest of all time [...]. He had a very loose high-hat technique, and he was always dropping in off beats on it with his left hand. He often used cymbals for punctuation where other drummers used rim shots or tom tom beats. He told me he didn't want to interrupt the rhythmic wave. When he played, he looked sort of like a bird, his arms moving in birdlike arcs. But they moved as if he were playing under the water - not very heavy water. He was a surprisingly strong brush player, and he could easily carry a big-band number with brushes. He hated soloing. I remember in 1946, when he'd won the down beat poll and he was with Joe Marsala at Loew's State Theatre, and Marsala announced, 'We will now have a drum solo from Dave Tough, winner of the down beat Poll,' Davy looked like he was having his wisdom teeth pulled. He was always putting himself down, by saying things like 'I can't even roll on the goddam snare,' or, talking about bebop drumming, 'I can't change gears now and play the way you guys do.' He always liked everything that was new, though. He listened to all the young drummers, and he thought Max Roach was terrific.’’
Woody Herman, qui avait adoré jouer avec Tough, l’avait qualifié de ‘’giant rhythm player.’’ Il avait ajouté: ‘’With the least amount of ‘chops’, Dave inspired a whole big screamin’ band with his subtleties and strong feeling for time. And he was probably the most gentle, the kindest, one of the grooviest cats you’d ever want to know.’’
L’alcoolisme de Tough l’avait éventuellement forcé à quitter le groupe d’Herman en septembre 1945. Il était alors retourné jouer avec son vieil ami Joe Marsala. En 1946, Tough avait aidé le guitariste Eddie Condon à ouvrir un club à Greenwich Village. Il avait aussi travaillé sur la 52e rue avec le saxophoniste Charlie Ventura et Bill Harris, l’ancien tromboniste de Woody Herman.
Même s’il avait tenté de reconvertir sa carrière dans l’écriture (il était aussi poète), la dépendance de Tough envers l’alcool avait continué de s’aggraver. Décrivant les problèmes d’alcoolisme de Tough, le pianiste Jess Stacy avait déclaré:
"He'd always had trouble with drinking. I used to see him all the time before I joined Benny Goodman, in 1935, and he was in terrible shape. He looked like a bum and he hung out with bums. He'd go along Randolph Street and panhandle, then he'd buy canned heat and strain off the alcohol and drink it-this being during Prohibition. I played with him in Goodman's band in 1938, right after Krupa left and Goodman was running through drummers a mile a minute. Goodman said to Tough one day just before show time, 'Hey, Davy, I want you to send me,' and Tough replied, 'Where do you want to be sent?' He was a brilliant little guy, and I always wondered if he wasn't torn between being a writer and being a drummer."
Même s’il s’était de nouveau installé à New York en 1935, Tough n’était pas suffisamment rétabli pour jouer sur une base régulière. Comme l’avait fait remarquer le pianiste Joe Bushkin:
 "I was with Bunny Berigan at the old Famous Door, on Fifty-second Street, in 1935, and Davy'd come by with his drums and set up and sit in. It was the fashion then to take the Benzedrine strip out of an inhaler and put it in a Coke, and he'd do that for courage. When he drank too much, he was gone. He was totally out of body. Sometimes, when I was still batching it, I'd take him home with me. He weighed less than I did. I've always been around a hundred and twenty-eight, but he must have been close to a hundred pounds. He was so much of an artist that having a bank account would have been appalling to him. He was a natural musician who did things effortlessly, and that always made you comfortable."
Même si en novembre 1947, Tough s’était produit aux côtés du cornettiste Muggsy Spanier lors de l’ouverture du club Blue Note de Chicago, il était sur la pente descendante. Tough venait d’obtenir son congé de l’hôpital des Vétérans de Newark, au New Jersey, le 8 décembre 1948 lorsqu’il avait eu une nouvelle crise d’épilepsie. Dans sa chute, la tête de Tough avait heurté le trottoir, ce qui avait provoqué une fracture du crâne qui lui avait été fatale. Il était mort le lendemain matin. Tough n’ayant aucun papier d’identité sur lui, personne n’avait réclamé son corps, qui était demeuré à la mort durant trois jours. Il avait seulement quarante et un ans.
Même s’il était mort très jeune, sa légende avait continué de survivre. De nombreux albums documentent son travail avec les grands orchestres de Benny Goodman, Woody Herman, Tommy Dorsey, ainsi qu’avec plusieurs autres artistes. Les spécialistes de la batterie continuent toujours d’étudier son style de jeu. Le batteur britannique Bob Henrit, qui s’était rendu célèbre pour son travail avec le groupe Argent and the Kinks, avait rendu hommage à Tough en ces termes: “He cut chunks out of them to broaden their sound and removed strategic rivets to shorten it. He was famous for his ‘blurred’ ride figures where the sounds of strokes seemed to run into one another; this may well have come from his choice of heavy sticks with a round bead.” Quant à Dizzy Gillespie, il avait commenté: “Dave never got in the way; he didn’t overplay. What we need today are a few more Dave Toughs.”  
Tough a été intronisé au sein du Big Band and Jazz Hall of Fame en 2000. C’est le batteur Shelly Manne qui avait interprété le rôle de Touch dans le film The Five Pennies (1959), qui retraçait la carriere du cornettiste Red Nichols.
Le poète et écrivain Kenneth Rexroth a dressé le portrait de Tough dans un roman autobiographique dans lequel il était dépeint sous le pseudonyme de Dick Rough. Mais malgré l’emploi de ce pseudonyme, il était facile de reconnaître le personnage de Tough lorsqu’on examinait certains extraits de l’ouvrage. Rexroth écrivait:
“One night a skinny little boy came in with a whole mess of drums. For once we all realized we had a great artist. It was Dick Rough [Dave Tough], the first and greatest of the hipsters and one of the few really great musicians in the history of jazz. It turned out that he also wrote poetry no better or worse than my own, a precocious kid’s poetry. He and I became friends. In spite of the entire repertory of minor vices which were to become part of the jazz-man stereotype of a generation later, he was always welcome in the place. High, sick, gone, lushed, or just plain scared, everybody still loved him. He’s been dead these many years, but I understand that a manuscript of his poetry still survives somewhere, and I wish some publisher would find it and take a look at it.”
Dans son livre, Rexroth avait aussi qualifié Tough de ‘’first and greatest of the hipsters and one of the few really great musicians in the history of jazz.’’ Quant au producteur Dave Dexter, il avait livré un portrait plus nuancé de Tough en le décrivant comme ‘’one of the two or three greatest drummers of all time, a sad guy, such a sad little guy.’’ Adoré par ses pairs, Tough avait inspiré le commentaire suivant au batteur Mel Lewis: ‘’One thing about Dave Tough: he always was Dave Tough, just as Buddy Rich always was what he was. Tough realized we are what we are. The important thing is to be put into a musical situation where what you are can ‘happen.’ Tough had found his place with Woody Herman.’’ Décrivant le style de Tough, le critique Bob Wilber avait précisé:
"His cymbal playing was completely legato - that is, each cymbal ring melted into the next one. He fashioned a kind of cymbal shimmer behind whatever band he played with. It was a lateral flow. He kept his bass-drum heads very loose, so that he got a dull thud instead of a boom-boom-boom. And he used a great many bass-drum off beats, in the manner of the early bebop drummers. He also developed a habit on slow tempos of implying double time, thus giving the tempo a lift and a double edge. It's a device every modern drummer uses."
Lionel Hampton, qui admirait énormément Tough, l’avait décrit comme “the most imaginative drummer we ever had in the business.’’ Il avait ajouté: Everything the man hit was musical. If he tapped the floor, it was musical.” Quant à Artie Shaw, il avait commenté: “Dave Tough was probably the most underestimated drummer of all and… so musical.” 
Au cours de sa carrière, Tough s’est produit avec des grosses pointures du jazz comme Bud Freeman, Woody Herman, Eddie Condon, Red Nichols, Red Norvo, Artie Shaw, les frères Tommy et Jimmy Dorsey, Bunny Berigan, Claude Thornhill, Jack Teagarden,  Mezz Mezzrow, Muggsy Spanier, Charlie Spivak, Bobby Hackett, Dave Matthews et Benny Goodman. Il avait enregistré un seul album comme leader pour la petite compagnie Jamboree. Même s’il n’appréciait pas tellement le bebop et qu’il était demeuré avant tout un batteur de swing et de dixieland, le sens du rythme de Tough et sa profonde connaissance du jazz avaient fait de lui un des batteurs les plus influents de tous les temps. Également poète et intellectuel, Tough était considéré par certains comme le premier musicien ‘’bohémien’’ de l’histoire du jazz. Caractérisé par son sens de l’innovation, Tough n’avait jamais cessé d’expérimenter et était devenu un des batteurs des plus originaux de l’histoire du jazz.
©-2025, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique (rouge)
SOURCES:
CERRA, Steven A. ‘’Dave Tough: 1908 -1948.’’ Steven A. Cerra, 2025.
‘’Dave Tough.’’ Wikipedia, 2025.
‘’Dave Tough.’’ All About Jazz, 2025.
‘’Dave Tough.’’ Biographs.org, 2025.
‘’Nearly a century ago, Dave Tough helped define Chicago jazz drumming.’’ Jazzbluesnews.com, 7 décembre 2020.
‘’Remembering Dave Tough.’’ WordPress.com, 5 décembre 2008.
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yes-bernie-stuff · 2 months ago
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Mardi 15 avril
La crainte de ralentir la croissance
« Dis aux Israélites de se remettre en marche » Exode 14.15, PDV Pour progresser, il ne faut pas avoir peur de faire des erreurs. Comme l'affirme le professeur Warren Bennis : « L'erreur est simplement une autre manière de faire les choses. » Il faut donc s'attendre à commettre des erreurs en chemin et les considérer comme une preuve que l'on va dans la bonne direction. Avec la mer Rouge devant eux et les chars de Pharaon à leur poursuite, les enfants d'Israël paniquent. Dieu dit à Moïse : « Pourquoi est-ce que tu m'appelles au secours ? Dis aux Israélites de se remettre en marche » (v.15). Lorsqu'ils obéissent, la mer Rouge devient un chemin vers la victoire et un cimetière pour l'ennemi si redoutable. Si on attend de trouver le meilleur chemin ou le chemin parfait, on n'arrivera jamais à rien. C'est comme rouler sur une route inconnue la nuit. Idéalement, on aimerait avoir une vue d'ensemble de l'itinéraire avant de partir. Ou, on ne le découvre que peu à peu. Au fur et à mesure que l'on avance, la route se dévoile. Alors, si on veut voir une plus grande portion de chemin, il faut se lancer. Prenez l'engagement de mettre en œuvre votre plan de croissance et de vous y tenir pendant au moins douze mois. Ce faisant, vous prendrez goût au processus et, à la fin de l'année, vous pourrez apprécier le chemin parcouru. Ésaïe dit : « Agrandis l'espace de ta tente, tend des toiles plus larges pour t'abriter, ne calcule pas tes dépenses. Allongez les cordes et fixez bien vos piquets. En effet, tu vas te répandre de tous côtés » (Esa 54.2-3, PDV).
B365 — Plan de lecture Sophonie 3, 2 Rois 23.31-24.7
Prière du jour Merci Jésus car tu me montres le chemin.
Le mot du jour écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2025 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2025
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loudengineerballoon · 2 months ago
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John Fitzgerald Kennedy et la Déclassification : Un Mystère Toujours d'Actualité écrit par Gairouard Brian-Thomas
John Fitzgerald Kennedy, 35ᵉ président des États-Unis, assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas, reste l’un des personnages les plus fascinants de l’histoire moderne. Son assassinat a donné lieu à des décennies de théories du complot, de controverses et de demandes incessantes pour la déclassification complète des documents liés à l’affaire. Malgré les promesses répétées des administrations américaines, l’accès aux archives reste partiel, alimentant encore aujourd’hui le doute et les spéculations.
Les Enjeux de la Déclassification
Après l'assassinat de JFK, la commission Warren, chargée de l’enquête officielle, a conclu que Lee Harvey Oswald était l’unique coupable. Toutefois, cette version a toujours été contestée, notamment en raison des incohérences relevées dans l’enquête et des témoignages contradictoires.
Face à ces doutes, le Congrès américain a voté en 1992 le JFK Records Act, imposant la divulgation progressive des documents classifiés relatifs à l’affaire. Ce processus devait aboutir à une déclassification complète en octobre 2017. Cependant, sous l'administration Trump, puis Biden, certaines informations sont restées censurées pour des raisons de « sécurité nationale ».
Pourquoi Certains Documents Restent-ils Classifiés ?
Malgré la publication de plusieurs milliers de pages de documents, certaines pièces cruciales restent inaccessibles. Plusieurs raisons sont avancées pour justifier ces censures :
1. Protection des sources et des méthodes des services secrets : La CIA et le FBI auraient infiltré des groupes liés à Oswald et souhaitent éviter de révéler leurs méthodes d’espionnage encore utilisées aujourd’hui.
2. Rôle de la CIA et des opérations clandestines : Certains soupçonnent que la CIA ait eu connaissance des intentions d’Oswald ou même qu’elle ait été impliquée d’une manière ou d’une autre.
3. Relations internationales sensibles : Des documents indiquent qu’Oswald avait des contacts avec des diplomates cubains et soviétiques, ce qui pourrait relancer des tensions diplomatiques.
Les Dernières Révélations
En décembre 2022, l’administration Biden a déclassifié plus de 13 000 documents supplémentaires, mais environ 3 % des archives restent encore inaccessibles. Ces nouveaux fichiers ont confirmé que la CIA surveillait Oswald avant l’attentat et qu’il avait tenté d’obtenir un visa pour Cuba et l’URSS, mais sans révéler de complot plus large.
Toutefois, l’absence de transparence totale continue de nourrir les soupçons, certains estimant que des preuves accablantes sur une conspiration interne au gouvernement américain pourraient encore être cachées.
Vers une Déclassification Complète ?
Les défenseurs de la vérité espèrent que d’ici quelques années, tous les documents seront enfin révélés. Cependant, plus le temps passe, plus la suspicion grandit sur le fait que certaines informations ne verront jamais le jour.
L’assassinat de JFK restera-t-il à jamais un mystère ? La déclassification complète pourra-t-elle un jour faire la lumière sur ce drame historique ? Pour l’instant, l’affaire continue de hanter l’histoire américaine, entre secrets d’État et quête de vérité. Écrit par Gairouard Brian-Thomas
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christophe76460 · 2 months ago
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VERSET DU JOUR:
"PRENEZ, EN TOUTES CIRCONSTANCES, LE BOUCLIER DE LA FOI, AVEC LEQUEL VOUS POURREZ ÉTEINDRE TOUS LES TRAITS ENFLAMMÉS DU MALIN." (Éphésiens 6.16)
« Satan sème le doute chez les êtres humains depuis le jour où il demanda à Ève dans le jardin d’Éden : "Dieu a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ?" (Genèse 3.1). Dès l’instant où vous ouvrez la porte au doute – même un tout petit peu – Satan entre en force et suscite l’incertitude, le désespoir et la dépression. De quoi avez-vous besoin quand vous êtes la cible de tels "traits enflammés" ? De foi – et de certitude.
La certitude consiste à croire aux promesses de Dieu quand tout va mal dans votre vie. Il vous faut brandir le bouclier de la foi, douter de vos doutes et être certain de vos certitudes. La plupart des gens font exactement le contraire. C’est de la folie pure et simple. C’est de nos doutes que nous devons douter et de nos certitudes que nous devons être certains. Si vous manquez de foi, vous trébucherez sous les attaques de Satan.
La Bible dit : "Qu’il vous soit fait selon votre foi" (Matthieu 9.29). Que cela signifie-t-il ? Vous devez croire aux promesses de Dieu, même quand les circonstances semblent les démentir.
Lorsque Satan envoie ses traits enflammés du doute contre vous, appuyez-vous sur les promesses de Dieu et levez le bouclier de la foi. »
(Rick Warren, Pasteur)
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aurianneor · 8 months ago
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Les 1% les plus riches sont en guerre contre le reste du monde
“Il y a bien une guerre des classes, mais c’est ma classe, la classe des riches, qui fait la guerre, et nous la gagnons”. Warren Buffett – Good Reads: https://www.goodreads.com/quotes/123058-there-s-class-warfare-all-right-but-it-s-my-class-the
“Le terrorisme est la guerre des pauvres. La guerre est le terrorisme des riches.” Ustinov Peter: https://www.grainesdepaix.org/fr/ressources/sinspirer/aphorismes/le-terrorisme-est-la-guerre-des-pauvres-la-guerre-est-le-terrorisme-des-riches
Comment cette guerre se manifeste-elle?
En France, comme ailleurs, l’éducation nationale a pour mission d’éduquer les futurs citoyens et de réduire les inégalités de chances de réussite. Il n’y a aucune volonté des gouvernements aux bottes des ultra-riches de remplir ces missions. Le système scolaire manque de moyens et sert de garderie pour des parents qui travaillent beaucoup trop.
Le travail à plein temps ne permet pas de se renseigner suffisamment pour être un citoyen actif. Les ultra-riches souhaitent fatiguer la population pour éviter qu’elle réfléchisse. Les Bullshit jobs se multiplient. Il n’est absolument pas nécessaire de travailler autant et si loin de son domicile. Les cas de harcèlement au travail sont nombreux. Les burn-out se multiplient. Ce travail rend malade et le coût de la mauvaise santé liée au stress, à la nourriture industrielle et au sédentaristme est supporté par les contribuables. Il nécessite des crèches et des écoles ainsi que du parascolaire payés également par les contribuables. Le coût environnemental est également important: bouchons aux heures de bureau, routes plus grandes pour les gérer, trains trop pleins, distances parcourues en voiture pour se rendre au travail, etc.
La redevance télé est payée par tous les citoyens. Hors, cette télévision ne leur permet pas d’acquérir les savoirs pour voter en connaissance de cause. Le public serait idiot et ce serait pour faire de l’audimat qu’on leur proposerait uniquement des contenus divertissants. Ce devrait être des experts qui expliquent leurs recherches qui passent à la télévision publique.
Les journaux ont été rachetés par des milliardaires qui contrôlent ainsi la presse, donc l’accès à l’information des citoyens. Celle-ci n’est plus un contre-pouvoir.
Les acquis sociaux obtenus par la IVème République avec le Front Populaire sont remis en cause.
La sécurité sociale est de plus en plus menacée. De moins en moins de médicaments sont remboursés. Les hôpitaux de campagne ont fermé. Il y a des désert médicaux.
Les principaux syndicaux bénéficient de cet état de guerre car ils vendent de la protection à des individus appeurés. Les grévistes doivent retourner au travail en n’ayant obtenus que des miettes. “Les syndicalistes ont tellement l’habitude de ne rien faire que lorsqu’ils font grève, ils appellent ça une journée d’action” disait Coluche. Il disait également: “Faire faire la grève à 18 millions de mecs pas inscrits, c’est pas un problème, mais leur faire reprendre le boulot quand les revendications ont pas abouties, c’est plus dur déjà.”
Le chômage a vu sa durée réduite. “A la télé ils disent tous les jours : “Y a trois millions de personnes qui veulent du travail”. C’est pas vrai : de l’argent leur suffirait;” disait encore Coluche
Les allocations retraites ont été réduites.
Le coût du logement ne cesse d’augmenter et ne permet pas aux plus pauvres de vivre près de leurs lieux de travail. Les propriétaires sont en majorité les ultra-riches et les élus qui augmentent les prix pour gagner encore plus d’argent.
Les Restos du coeur n’ont jamais eu autant de personnes à nourrir. La précarité se répand partout. A l’échelle mondiale, la majorité de la population a faim. Quand la population demande des conditions meilleures, c’est des armes de guerre qui leur font face. Ce sont les Etats aux mains des plus riches qui sont violents et qui refusent la démocratie.
L’expérience menée par Cyril Dion de 150 personnes tirées au sort qui reçoivent les experts pour décider de ce qu’il faut faire pour l’environnement, montre que tous les citoyens sont capables de comprendre les enjeux si on leur en donne les moyens. Il ont même fait du meilleur travail que les élus professionnels, sortis des grandes écoles et aux bottes des ultra-riches. Ceux-ci se sont empressés de mettre au placard la plupart des mesures proposées par les 150.
Les 150 – des citoyens s’engagent après la convention citoyenne pour le climat | Documentaire LCP : https://youtu.be/d87ebaDlq7M?si=C9FTlq2UJuL_2YtU
Les plus riches sont responsables des plus gros écocides dans le monde: ils détruisent les forêts dont la forêt amazonienne, polluent les mines, détruisent les fonds marins, imposent des conditions telles aux agriculteurs qu’ils détruisent les terres, qui, à force de produits chimiques, risquent fort de devenir stériles, et maltraitent les animaux.
Ils bénéficient d’énormes avantages fiscaux pour payer peu d’impôts. Leurs entreprises reçoivent de l’argent public (par exemple, pendant la pandémie). De l’argent public est dépensé pour soutenir les banques quand celles-ci ont pris des risques peu raisonnables et ont provoqué des pertes pour ces riches.
Épisode 4/44 : Les ultra-riches fuient-ils l’impôt ? – France Culture: https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/entendez-vous-l-eco/entendez-vous-l-eco-emission-du-lundi-16-septembre-2024-9946758
Ils font semblant de jouer le jeu du partage du pouvoir avec le peuple tant que cela ne remet pas en cause leur suprémacie. Mais en cas de risque de vrai changement, ils n’hésitent pas à user de la force. Par exemple, la répression sanglante des manifestations du premier mai à Chicago.
Journée internationale des travailleurs – Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_internationale_des_travailleurs
Pourquoi les riches s’enrichissent et les pauvres s’appauvrissent ? – TV5 Monde: https://information.tv5monde.com/economie/pourquoi-les-riches-senrichissent-et-les-pauvres-sappauvrissent-75048
Ce que les riches pensent des pauvres – Sciences Po: https://www.sciencespo.fr/fr/actualites/ce-que-les-riches-pensent-des-pauvres/
The class war in American politics is over. The rich won.- Vox: https://www.vox.com/2014/9/3/6098677/the-class-war-in-american-politics-is-over-the-rich-won
Dans l’Antiquité, juste avant la démocratie athénienne, le peuple vivait dans une terrible misère et il y a eu des manifestations. Face aux revendications des pauvres, les oligarques ont prêté serment de faire le plus de mal possible aux pauvres. Quand Solon est devenu le premier maire d’Athènes, les riches ont préféré jeter leur fortune à la mer plutôt que de payer l’impôt. Un siècle plus tard, quand Sparte menaçait Athènes, les descendants des oligarques ont trahi la cité et ont massacré les Athéniens. Sparte, avec Alexandre, a récompensé leur trahison en les installant comme tyrants. C’était la tyrannie des trente.
Les Trente – Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Trente
La guerre civile à Rome a opposé les oligarques à la plèbe car ils refusaient que la loi limite leur richesse comme le proposaient les frères Gracques. Jules César défendait le peuple. Après son triomphe, après avoir vaincu Pompei, les oligarques sont allés jusqu’à l’assassiner. Les assassins se sont défendus en accusant César de vouloir être empereur. Rien de son vivant ne permet de corroborer cette thèse. César avait dit ne pas vouloir être empereur mais tribun de la plèbe, c’est-à-dire le défenseur du peuple contre les riches, poste qui existait au Sénat. Il avait bien affirmé vouloir appliquer les lois Gracques.
Campagnes militaires de Jules César – Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Campagnes_militaires_de_Jules_C%C3%A9sar
Vivre comme si il n’y avait pas de guerre, c’est se mettre en danger.
Deux amis (Gérard Jourd’hui) – Chez Maupassant S01E04: https://youtu.be/jjW9Nh_k-us?si=A8Eydj3LFVMlyyiu
Il faudrait que la police et l’armée défendent le peuple plutôt que de protéger ceux qui se sont accaparés du pouvoir sans égards pour la volonté du peuple.
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Les 1% les plus riches sont en guerre contre le reste du monde: https://www.aurianneor.org/les-1-les-plus-riches-sont-en-guerre-contre-le-reste/
The richest 1% are at war with the rest of the world: https://www.aurianneor.org/the-richest-1-are-at-war-with-the-rest-of-the-world/
Avant les Gilets Jaunes, l’agression planifiée: https://www.aurianneor.org/la-video-ci-dessus-date-du-1er-mai-2018-avant-les/
Police, Armée: https://www.aurianneor.org/police-armee-manif-des-policiers-je-suis-gilet/
Rob the poor to feed the rich: https://www.aurianneor.org/rob-the-poor-to-feed-the-rich/
Limiter la richesse individuelle: https://www.aurianneor.org/limiter-la-richesse-individuelle/
Wall Street (1987): https://www.aurianneor.org/wall-street-1987/
Travail, le tout ou rien: https://www.aurianneor.org/travail-le-tout-ou-rien/
El ausentismo laboral: https://www.aurianneor.org/el-ausentismo-laboral/
Les travailleurs: https://www.aurianneor.org/les-ouvriers/
Inmigración: https://www.aurianneor.org/inmigracion/
Donner ou pas donner?: https://www.aurianneor.org/donner-ou-pas-donner-donner-de-largent-a-un/
Les humiliés de la République: https://www.aurianneor.org/les-humilies-de-la-republique/
Demain – Chapitre 1 – L’Agriculture: https://www.aurianneor.org/demain-chapitre-1-lagriculture-demainlefilm/
Le logement: https://www.aurianneor.org/le-logement/
Nano Confiance: https://www.aurianneor.org/nano-confiance-affaire-des-oeufs-contamines-les/
Le parapluie à cachetons: https://www.aurianneor.org/le-parapluie-a-cachetons-la-recherche-sur-les/
Le Pérou, la biodiversité en danger: https://www.aurianneor.org/le-perou-la-biodiversite-en-danger/
Choisir sa presse: https://www.aurianneor.org/choisir-sa-presse-le-monde-diplomatique-medias/
4-day workweek: https://www.aurianneor.org/4-day-workweek/
Tomorrow – Chap 5: L’éducation: https://www.aurianneor.org/tomorrow-chap-5-leducation-demainlefilm/
Oui à la liberté pédagogique pour tous: https://www.aurianneor.org/oui-a-la-liberte-pedagogique-pour-tous-profs/
“The world has enough for everyone’s need, but not enough for everyone’s greed”: https://www.aurianneor.org/the-world-has-enough-for-everyones-need-but-not/
Heaven For Everyone – Queen: https://www.aurianneor.org/heaven-for-everyone-queen-this-could-be-heaven/
Le revenu de base, c’est possible: https://www.aurianneor.org/le-revenu-de-base-cest-possible-the-instrument/
“For to win one hundred victory”…: https://www.aurianneor.org/for-to-win-one-hundred-victories-in-one-hundred/
Le chiffon rouge Moderne: https://www.aurianneor.org/le-chiffon-rouge-moderne-le-chiffon-rouge/
Je peux susciter l’espoir: https://www.aurianneor.org/je-peux-susciter-lespoir-about-this-film-have-a/
Le levier économique: https://www.aurianneor.org/le-levier-economique-charles-stewart-parnell/
Banca: https://www.aurianneor.org/banca-the-merchant-of-venice-william/
Depuis que j’ai arrêté de travailler Et que j’ai recommencé à réfléchir, J’y gagne!: https://www.aurianneor.org/depuis-que-jai-arrete-de-travailler-et-que-jai/
Les autorités illégitimes: https://www.aurianneor.org/les-autorites-illegitimes/
Quelle époque!: https://www.aurianneor.org/quelle-epoque-soyons-daccord-emmanuel-macron/
L’écoterrorisme: https://www.aurianneor.org/lecoterrorisme/
Avoir la majorité du pouvoir sans la majorité des votes: https://www.aurianneor.org/avoir-la-majorite-du-pouvoir-sans-la-majorite-des-votes/
Vème République, toujours là…: https://www.aurianneor.org/veme-republique-toujours-la-to-read-this-in/
Tomorrow – Chap 4: La démocratie: https://www.aurianneor.org/tomorrow-chap-4-la-democratie-the-panama/
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