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#Venus et Fleur
silk-swan · 1 month
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𝐵𝒶𝒷𝓎 𝓅𝒾𝓃𝓀 𝓁𝒾𝓀𝑒 𝓂𝓎 𝓈𝑜𝓊𝓁
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desolationfires · 5 months
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Venus et Fleur
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belleinblush · 2 years
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Venus et Fleur Le mini round single
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bunnie4444 · 2 years
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pursuitist · 1 year
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Best Luxury Gifts for Mother's Day 2023
Chocolate and flowers are a safe option when it comes to a Mother’s Day gift, but it’s expected and, honestly… boring. Instead, we’ve rounded up ten unique Mother’s Day gift ideas that your mom would love and cherish for years. Venus et Fleur The Fleur Frame Eternity flowers have been around for a while, making them a reliable gift option that keeps giving for years. But have you seen the newest…
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t-ashe · 3 months
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Venus et Fleur
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lisaalmeida · 2 months
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Sens-toi libre d'exprimer qui tu es vraiment. Sens-toi libre de t'affranchir du regard des autres. Sens-toi libre d'aller vers tes rêves. Sens-toi libre d'exprimer ce qui est en toi.
Tu es unique et tu es libre. Ne vis pas pour correspondre à ce que les autres attendent de toi, mais vis pour honorer ce souffle de vie en toi.
Tu es venu seul dans ce monde et tu repartiras seul. Alors, la responsabilité de ton bonheur est entre tes mains. N'attends personne pour te rendre heureux. Sois la source de ton propre bonheur. Ce que les autres t'apporteront sera un plus, mais pas une condition pour que tu sois heureux. Fais rayonner la lumière que tu as en toi. Ta lumière n'éteindra pas celle des autres. Tout comme la leur n'éteindra pas la tienne. C'est comme un champ de fleurs chaque fleur à son parfum, sa couleur et sa forme. Même si elles sont toutes des fleurs, chacune est unique.
Manifeste donc ton unicité. Et donne-toi juste le droit d'exister et d'être toi-même.
Doux papillon
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vampswan · 1 year
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venus et fleur
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alicedusstuff · 1 month
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lost soul au 2(french)
C’était un jour agité sur la montagne de fleurs et de fruits. Pour une raison quelconque, tous les singes étaient très bruyants aujourd’hui ; et c’est sans doute cela qui a forcé le roi à quitter sa réflexion pour regarder la porte depuis le confort du lit de la chambre de Macaque.
­-Je pense que ce n’aurais pas été ton jour. Les singes sont bruyants aujourd’hui.
Wukong n’a pas osé se mettre sous les couvertures. Il n’avait pas envie de mettre du désordre dans la chambre de son ancien ami. Alors il s’était simplement allongé là, sachant parfaitement qu’il ne trouverait pas le sommeil. L’endroit était resté tel qu’il l’avait trouvé à son arrivée sur la montagne. Des feuilles de papiers étaient même restés sur le sol et prenaient la poussière. Quelques dessins à l’effigie de Wukong pouvaient être aperçus sur dans un des tiroirs à moitié fermé du bureau de Macaque. Certaines poudres reposaient gentiment sur la commode du singe de l’ombre, le placard où il cachait ses déguisements était fermé ; et l’un de ses coffres débordait toujours de rouleaux, tissus, et trésors en tout genre. La chambre était bien trop rangée malgré les quelques affaires qui dépassaient du rangement implacable de Macaque. Wukong s’aimait à penser que ce petit grain de désordre était une habitude que le macaque à six oreilles avait pris de lui avec le temps. La seule chose que Wukong avait touché était les senteurs que Macaque utilisait pour parfumer sa chambre. Une odeur de vieux papier et de fruits sucrée dans lequel Wukong se plongeait les quelques fois où il venait ici.
Wukong ne put pas rester bien longtemps à penser, car les cris de ses sujets lui cassaient les oreilles. C’était devenu insupportable. Qu’est ce qui pouvait bien les mettre dans un état pareil ? Wukong essaya au mieux de comprendre ce qui était dit ; mais ce qu’il se disait était dit et mélangé tant que Wukong ne put mettre le doigt sur aucun mot propre.
­-Il semblerait que je doive te quitter bourgeon. Mon royaume m’appelle.
Aussitôt dit, Wukong sauta du lit et sortit de la chambre. Immédiatement, dans le couloir, une foule de singe se tournèrent vers leur roi au moment où il ferma la porte derrière lui. Il se passa une seconde où tout le monde sembla s’assurer que c’était bel et bien leur roi qui sortait de la chambre du décédé qui était presque considéré comme le second roi de la montagne. Puis, la foule de singe lui sauta dessus. Petit comme grands, démons singes comme singes normaux. Tous ce qui se trouvait dans le couloir l’écrasèrent de soulagement, enfouissant leur roi sous une montagne de singe.
­-Hey les gars. Vous allez me tuer là. Se moque le roi.
Personne ne trouva ça drôle. Wukong fit de son mieux pour se dégager avant de demander plus d’explications. Pourquoi diable y avait-il autant d’agitation dehors et à l’intérieur ? La réponse lui fut donné par un singe étranger que Macaque avait ramené à la montagne. Wukong se souvient de lui car Macaque l’avait présenté lui-même, lorsque Wukong était rentré après avoir été chassé par le moine.
« Il te ressemble un peu » avait rit Macaque à l’époque. « Il est très bruyant. »
Wukong se souvient qu’il n’a pas aimé l’attention que portait Macaque à ce nouveau venu, et les deux amis s’étaient disputés pour une raison dont Wukong ne se souvient même plus après.
­-Mon roi, vous avez disparu depuis trois jours et trois nuits, et vous n’aviez averti personne d’un quelconque départ. Tout le monde s’inquiétait de votre absence. Nous avons pensé le pire.
Wukong écarquilla les yeux. Les cernes sous ses yeux semblaient tirer sur sa peau. Et ses orbites étaient un peu trop sèches. Le roi ferma les yeux et se les frotta pour les humidifier un peu, sous le regard inquiet de ses sujets en première ligne devant lui.
­-Je vais bien. Annonce le roi en clignant plusieurs fois des yeux sous l’inconfort d’avoir les yeux secs.
Il ne s’était pas rendu compte qu’ils l’étaient jusqu’à ce qu’il écarquille les yeux. Combien de temps ne les avait-il pas fermés ? Combien de temps était-il resté à perdre son regard dans le plafond de la chambre de son ami ?
­-Je vais bien. Répète le roi en continuant de cligner des yeux. Mais, trois jours ? Vraiment ?
Les singes hochèrent la tête. Dehors, le vacarme s’était arrêté. Quelqu’un a dû les prévenir que leur roi était retrouvé. Wukong cligna encore plusieurs fois des yeux. Des larmes coulèrent avant de finalement laisser une vue floutée par les larmes à Wukong.
-Woah…euh… Un dernier clignement pour chasser l’eau de ses yeux, et sa vue fut de nouveau claire. Désolé de vous avoir inquiété les gars. J’ai juste fait une super grosse sieste.
C’était un mensonge. Cela faisait des lustres que Wukong n’arrivait pas à dormir, à moins que l’un des petits singe ne vienne se reposer sur lui. Un frisson familier parcourut Wukong. Il l’ignora et se pressa de rassurer son peuple. Il attrapa quelques petits dans une main, pris la main de quelques petits démons singes de l’autre, et laissa le reste de ses sujets, le suivre hors du temple.
À l’extérieur, le reste de son peuple s’était réuni autour du temple. Ils formaient un mur immense de singe qui entourait l’entrée du temple. Wukong se rendit compte alors, à quel point son peuple était inquiet. Il n’y avait pas eu de telles assemblées depuis longtemps. Il soupira et murmura dans sa barbe.
­-J’ai vraiment le dont d’inquiéter tout le monde, hein bourgeon ?
Il était évident que Macaque ne lui répondrait pas. Mais il aimait penser que le singe de l’ombre aurait pu l’entendre peu importe où il se trouvait. Comme cela a toujours été le cas lorsque Macaque était de ce monde.
­- Ah…on dirait que j’ai fait peur à tout le monde hein ?
Comme un seul singe, le mur de primate hocha la tête plusieurs fois. Puis, un murmure fort commença à parcourir la foule. Wukong suivit le son inquiet de là où il a commencé, et le suivit se propager dans la foule en vague. Chacun voulait donner son avis. Wukong ne dit rien. Il laissa un temps s’écouler avant de demander le silence, et demander à une personne de se charger de représenter la troupe. Un chuchotement bref se fit entendre avant que la troupe ne donne un nom.
« Shi Luo »
Le même singe que Wukong avait vu plus tôt ; celui que Macaque avait ramené sur la montagne, s’écarta du lot. Maintenant que Wukong le voyait, il pouvait remarquer à quel point le singe était jeune. Il allait certainement atteindre sa maturité dans quelques années, mais il était encore assez jeune. Sans doute un peu plus jeune que lui et Macaque l’étaient la première fois qu’ils s’étaient croisés. Il avait une fourrure aussi claire que les nuages, qui virait au noir au niveau de la queue. Sa peau était un peu plus grise que celle de Macaque, et un masque bleu recouvrait ses yeux. Le jeunot se rapprocha au plus proche de Wukong avant de s’incliner de la même façon que le faisait Macaque lorsque ce dernier se mettait à agir comme son vassal devant des étrangers de la montagne. Le geste pinça le cœur de Wukong. Il serra sa prise sur ses vêtements.
­-Qui es-tu ? Demande Wukong.
Le singe au marquage bleu leva les yeux vers Wukong, et les cligna plusieurs fois avant de s’empresser de répondre le plus poliment possible.
­-La vieille Lune m’a donné le nom de Shi Luo. Je suis le premier protégé de la veille Lune, votre altesse. Je serais celui qui vous offrira la voix de votre peuple aujourd’hui.
Wukong ne savait pas que Macaque avait des protégés. Il savait que lui et le singe de l’ombre trouvaient souvent des singes en difficulté, et les ramenaient à la montagne. C’était un quelque chose que Wukong était sûr que Macaque avait continué à faire après son départ ; mais les appeler protégés était excessif. Cela donnait un mauvais goût dans la bouche de Wukong. La voix de Macaque le gronda dans sa tête. Comme si Macaque avait deviné que les prochaines actions de Wukong allaient être stupides. Wukong décida de ne rien faire. Il hocha lentement la tête, il interrogerait de Shi Luo plus tard.
­-Parle.
Ordonne-t-il enfin. Shi Luo ne se fit pas prier.
­-Nous sommes inquiets pour vous votre altesse. Des sifflements positifs s’élevèrent de la foule, encourageant le singe les représentants, à parler. Vous êtes restés des années à pleurer une personne qui n’existe plus. La montagne à besoin de leur roi. Nous pleurons avec vous la perte de la vieille Lune, mais vous ne pouvez pas vous laisser dépérir ainsi. Encore une fois, nous avons besoin de vous. La montagne n’a pas connu de véritables beaux jours depuis que vous avez cessé de sourire. Certains des fruits que la vieille Lune adorait ne donnent plus de fruits, comme si vous l’aviez commandé. Les humains et les démons s’aventurent un peu plus près de la montagne à chaque jour qui passent, et nous craignons que, si le chagrin ne vous tue pas, ce sera la prochaine attaque à l’encontre de la montagne qui prendra vos immortalités.
Wukong émit un rire moqueur à la dernière phrase du jeune singe. S’il pouvait mourir de si peu, il serait déjà parti depuis longtemps. Son immortalité le condamnait ainsi, à vivre sans Macaque.
­-Ne vous en faites pas. Je ne mourrais pas de si peu. Et je m’occuperais de vous.
Shi Luo leva les yeux vers la foule qui s’était remise à murmurer en désordre. Wukong réussit à retenir quelques mots. Mais visiblement, Shi Luo réussit mieux que lui à assimiler ce qui intriguait tout le monde dans la troupe. Il arrivait certainement à démêler les inquiétudes de tout le monde par ce qu’il avait les mêmes préoccupations. C’est comme cela qu’il démêlait si bien le charabia de mot si fermement gribouillé.
­-Nous vous croyons mon roi. Mais nous tenons à vous. Nous aimerions que vous puissiez vivre à nouveau malgré le départ de la vieille Lune.
Le jeune homme sembla vouloir dire quelque chose. Il hésita une seconde, jeta un regard à la troupe, demandant s’il pouvait parler du sujet délicat que tous, semblaient avoir pensé, avant d’ouvrir à nouveau la parole.
­-Nous pensons que vous devriez peut-être chercher un nouveau compagnon.
La fourrure de Wukong se hérissa de colère. Il ignora même le fait que le plus jeune impliquait que son amitié avec Macaque était plus que cela. Ses griffes s’enfonçaient dans ses paumes pour essayer de ne pas tuer le jeunot tout de suite. Les petits qui étaient sur lui, descendirent en sentant la tension monter. La gorge de Wukong se serra, il fit de son mieux pour retenir la boule de rage au fond de son œsophage. Ignorant le danger, Shi Luo continua.
­-La vieille Lune est, et restera irremplaçable. Mais… nous pensons que peut-être, si vous trouviez quelqu’un pour combler le vide qu’elle… qu’il a laissé ; vous seriez capable de passer à autre chose. Il n’est pas bon de s’attarder sur le même problème indéfiniment. Nul ne peut vaincre la mort, une fois qu’il l’a traversé.
­-J’ai vaincu la mort. Grinça Wukong. Je suis allé aux enfers et ai retiré mon nom de la mort elle-même. Rien ne m’est impossible. Je suis Le grand roi singe égal au ciel. Et je le dis aujourd’hui et maintenant. Rien ni personne ne remplacera Macaque.
­-Ce n’est pas ce que je voulais dire… Nous pensons…
­-Alors ne pensez plus.
Wukong se tourna directement vers sa troupe, les crocs à découvert.
­-Alors c’est ça ? Vous voulez que je trouve un remplaçant à Macaque ?
Un brouhaha se fit entendre. Shi Luo repris la parole pour pouvoir retranscrire ce que la foule pensait et que Wukong avait déjà compris.
­- Nous ne voulons pas de remplaçants à la vieille Lune. Nous souhaitons seulement votre bonheur, grand-père Sun. Shi Luo hésita avant de dire ce qu’il pensait personnellement. La vieille Lune était une personne logique. Elle serait d’accord avec cette décision.
­-Assez !
Le cri de Wukong se répercuta dans toute la montagne. Chacun se tût.
­-Je ne veux plus jamais vous entendre, ne serait-ce qu’évoquer cette idée stupide. C’est un ordre. Si jamais l’un d’entre vous le fait, je l’écorcherais vif, moi-même.
Suite à ses mots, Wukong s’enfonça dans la forêt. Les singes ne le retinrent pas. Ils attendirent que leur roi parte avant de chuchoter.
­-Notre roi a perdu la raison.
Entendait-on.
­-La perte de grand-mère Lune l’a brisé.
Se chuchotait entre les parois.
­-Notre roi ne pourra plus être le même.
Les murmures résonnèrent encore et encore, reflétant la panique du peuple. Tout le monde aimait Macaque. Mais même eux savaient que la mort était définitive, et qu’ils ne pouvaient rien faire à ce sujet si ce n’est aller de l’avant. Il n’était pas question d’oublier le passé. Mais on ne devait non plus être ralenti par ce dernier. Ceux qui avaient survécu à l’incendie de la montagne de fleur et de fruits comprenaient certainement le mieux le roi singe. Mais même eux savaient que le roi devait agir comme tel. Macaque ne reviendrait pas. Tout comme les morts de ce jour-là. Cela faisait des mois, des années, quelques siècles, que le roi pleurait Macaque. Il ne pourrait pas le faire pour l’éternité. Il devait se ressaisir. Mais Wukong restait le même enfant têtu qui avait sauté dans la cascade. Et il ne voulait pas voir la réalité en face.
chapitre 1 _ chapitre 2_ Chapitre 3
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Tout a commencé avec un papillon noir et un cauchemar. Il s’est envolé devant moi, hors de ma portée, et alors j’ai réalisé que rien de tout cela n’était la réalité. Et pourtant je jurais de l’avoir vu, il était sombre, hypnotisant, mal venu. En un battement d’ailes je revoyais tes prunelles. Je t’ai couru après, dans un rêve bien trop réel. Et il s’est volatilisé, comme s’il n’avait jamais existé, fruit d’un fantasme refoulé. Il a disparu et le goût amer de l’échec m’ait apparu. Comme notre union, c’était un fantasme, un peu fantasque, une pauvre idée saugrenue.
Les sourcils froncés, le cœur lourd et l’esprit préoccupé, je suis retournée d’un pas ferme dans le jardin. Le cauchemar m’avait eu, mais ce n’était pas un signe du destin, une simple coïncidence d’un cauchemar et d’un papillon noir. Les abeilles butinaient, les oiseaux s’envolaient, les fleurs fleurissaient. Tout était normal, je n’étais pas folle, pas plus que cette nature frivole. Et le revoilà. D’un coup d’œil, je l’ai aperçu, posé sur le muret. D’un noir profond, comme un mauvais présage.
Il ne volait pas, comme pour m’apprendre une leçon, attendant toute mon attention. Puis d’un battement d’ailes, il s’est envolé, et j’en suis restée hébétée. Un sourire idiot a fendu mon visage : ses ailes étaient d’un noir sans espoir à l’extérieur, et resplendissantes de couleurs à l’intérieur.
Comme une métaphore, j’ai compris que l’amour ne pouvait être compris des autres. Qu’ils ne voyaient pas ce que je te trouvais. Mais que nos cœurs s’étaient envolés, et que pour moi, tu les avaient déployés. Ces ailes multicolores, ces humeurs, ces douleurs. J’ai vu la complexité de tes ailes, sous la pluie et sous le soleil. J’ai eu accès à ton intimité, à ton rire et à ton toucher. Et j’espère de tout mon cœur que malgré les ailes sombres que tu me montres désormais, tu caches quelques part des ailes bien plus élaborées, et que tu les montres à celles et ceux qui sauront les respecter.
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zialinart · 9 months
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Mon cadeau secret santa pour @saemi-the-dreamer ptit dessin et ptite fic même si bon, j'écris pas beaucoup donc c'est sûrement un peu bancal
Il était déjà la fin de l'après midi quand Arthur commença sérieusement à s'impatienter. Ca faisait au moins 3 bonnes heures que lui, une bonne partie des représentants les plus importants du monde breton et des délégations venues d'autres pays pour l'occasion attendaient. Et encore eux ils avaient la chance d'être assis, lui commençait à avoir sérieusement mal aux pieds. Et bon sang la couronne de fleur que Guenièvre avait insisté à lui faire porter lui grattait sérieusement le crâne. Il se tourna une fois de plus vers Perceval qui, tenant son rôle de témoin très sérieusement se tenait totalement immobile, les mains croisées :
Non mais bordel qu'est-ce qu'ils foutent ?
Vous voulez que j'aille me renseigner sire ?
Vous voulez dire comme les trois autres fois où vous êtes allés vous renseigner et vous êtes revenus bredouille ? Je sais pas vous vous sentez capables de trouver le chemin des vestiaires cette fois ou je vous colle un intendant pour vous accompagner ?
Non mais les autres fois je suis tombé sur Karadoc ça m'a perturbé, là c'est bon il est assis y'a pas de mouron à se faire sire.
Ok mais dépêchez vous, et dites leur de se bouger aussi ou je sens que l'église va se transformer en un champ de bataille romain-visigoth
De son point de vue il pouvait observer toute la salle et voyait clairement que des alliances commençaient à se défaire au fur et à mesure que les gens s'impatientaient. Les représentants des pays qui parlaient la même langue étaient très agités et parlaient de plus en plus fort, semblant ne pas s'entendre sur le goût du vin, dont ils avaient probablement déjà un peu abusé. D'un côté c'était la seule chose à faire en attendant. Perceval partit se renseigner et Arthur alla se chercher une coupe lui-même, histoire d'actionner un peu ses jambes. Il avait été plutôt fier de son idée de renouveller son mariage avec Guenièvre à la mode catholique, en invitant les plus grands noms du coin afin de montrer qu'il était revenu en tant que roi et que le royaume se portait bien désormais. Mais maintenant qu'il était là, face à tout ce monde qui s'impatientait, il se sentait plutôt nerveux. Bon sang qu'est-ce qu'elle foutait ? C'était pas si foutu compliqué d'enfiler une robe potable pour l'occasion, de se faire un peu tresser les cheveux et boum, mariage et on n'en parle plus.
Qu'est-ce que vous foutez retournez à votre place espèce de trou du fion !
La voix de sa belle mère resonna derrière lui tandis qu'il se servait un verre. Ah, au moins si elle était sortie du vestiaire c'est que c'était bientôt fini
En attendant que votre fille daigne se montrer faut bien que je m'occupe
Oui, bah c'est bon vous vous êtes occupés retournez à l'autel, là Elle le poussa vers le fond de l'église tandis qu'il protestait
Faites gaffe bordel c'est un costume spécial pour l'occasion j'ai pas envie de le tâcher en renversant du vin
Vous avez qu'à pas faire votre poivrot au moins pour une soirée. Pis toute façon croyez moi vous aurez pas besoin d'alcool quand vous la verrez.
Elle le laisse planté là, retourna s'asseoir auprès de Léodagan et secoua celui-ci qui s'était endormi sur son banc. Arthur prit une gorgée de vin en réfléchissant à ces dernières paroles étranges. Oui ok, il avait été assez peu discret ces derniers temps sur les regards qu'il lançait à Guenièvre mais enfin de là à ce que sa belle mère le remarque. Le goût acre du vin le fit hoqueter et il s'énerva mentalement sur les paysans qui n'étaient même pas capables de fournir un vin correct pour le mariage de leur roi. A ce moment là Perceval revint, accompagné de Bohort, l'un en bleu, l'autre en vert pour représenter les deux parties du mariage. Pourquoi Guenièvre avait choisi Bohort comme témoin ça le dépassait, après tout il ne les pensait pas si proches. Mais d'un autre côté il n'avait pas été tellement attentif aux passes temps et aux amis de sa femme durant le temps qu'il avaient passé ensemble. Il se promit mentalement de changer ça.
Ah bah c'est pas trop tôt c'est bon elle va venir ou il faut que je reporte à après-demain ?
C'est bon, c'est bon sire, dit Bohort avec un sourire jusqu'aux oreilles. Sauf votre respect vous allez être plutôt impressionné de ce qu'on a fait avec du simple tissu
Je m'en fous un peu de votre tissu Bohort j'aimerais bien commencer le processus pour que les gens finissent pas par s'étriper dans une église.
Bohort se rangea du côté de la mariée, toujours souriant, et Arthur remarqua que Léodagan s'était eclipsé, sans doute pour pouvoir accompagner la mariée jusqu'à l'autel, c'était bon signe. Même si bon, ils étaient déjà mariés depuis 30 piges techniquement il n'avait pas vraiment sa main à lui donner. Il sursauta alors qu'un orgue commença à résonner dans la salle. Ils avaient un orgue dans le coin ? Encore un détail qui luil avait échappé. Il déposa son verre de vin sur le côté tandis que les invités se levaient, certains de façon un peu vacillante. Deux petites filles apparurent du fond de la salle et dispersèrent des pétales de rose tout le long de l'allée. Et puis elle apparut au bras de son père. Sa machoire tomba et il oublia tout. Les trois heures d'attente, les invités qui s'engueulaient, le vin dégueu, même ses pieds. Elle était vêtue d'une robe en tulle blanche recouverte de fleurs bleues jusqu'à la taille. Ses cheveux lui tombaient sur les épaules en cascade, avec seulement une couronne de fleurs similaire à la sienne sur la tête. Elle était magnifique. Elle arriva à sa hauteur et Léodagan lui donna sa main et retourna s'asseoir. Elle lui sourit timidement tandis que le prêtre se mettait en position.
Vous dites rien ?
Je euh Pour une fois il était sans voix, tout juste capable de la parcourir du regard bouche bée.
C'est les fleurs c'est ça ? J'ai dit à Bohort que ça faisait trop mais il était sûr que c'était la mode et puis Merlin les a fait pousser exprès et du coup…
Il lui posa un doigt sur la bouche avant qu'elle ne s'emballe trop.
Vous êtes parfaite, réussit-il seulement à murmurer
Son visage s'illumina et elle rougit un peu.
Il sourit à son tour réalisant que la cérémonie lui tenait finalement plus à coeur qu'il ne le pensait. Leur premier mariage avait été un simulacre politique. Celui-ci était un mariage d'amour.
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silk-swan · 25 days
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jeanchrisosme · 7 months
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J'ai aimé connaitre ton autre monde, tes blessures et ta langue inconnue. J'ai aimé recommencer le monde avec toi, jusqu'à l'aube nouvelle. J'ai aimé tous nos instants : du premier regard jusqu’à la dernière étincelle. De la seconde où nos cœurs se sont reconnus, jusqu’aux heures où le feu et l'eau s'avouent un amour impossible. J’ai aimé apprendre de notre rencontre et de nos chemins divergents. J’ai aimé les heures calmes, les minutes folles, les chemins de nos peut-être, quand mes étoiles s'accrochaient à ton ciel. J’ai aimé tes colères, tes doutes, ta tendresse et tous tes murmures de lumières. J’ai aimé tes mains sur mes rides, les pas déjà faits, les mots jamais dits, entre la nuit et l'aurore, sur le bord de l’instant et partout où tu rêvais. J’ai aimé notre premier film, notre dernier train et même tous les lieux où l’on ne sera jamais. J’ai aimé tes gestes maladroits, tes éclats de rire et j’aime quand tu sais que tu dors encore au creux de ma mémoire… J’aime ces souvenirs qui viennent de toutes ces années où je t’attendais. Quand, avec toi, je ne voulais que des premières fois. J’aime parcourir nos instants et les rêves et demi, les graver en moi à l’échelle du temps. Retrouver dans le parfum des fleurs cette idée de nous qui fige nos instants d’éternité. Des paupières d'étoiles, à l'ombre de tes cils, la chaleur de mes mains sur ta peau attentive. J'aime te voir sourire et dessiner au crayon de mes nuits, un rêve où tout m’éblouit. J’aime les étoiles que tu mets à côté du soleil quand je te vois partout. Dans la neige et la pluie, au milieu de mes orages. Dans le sourire des mères quand elles portent la vie. Dans tous les rêves des enfants devant les premiers bruits du monde. Entre les lignes et dans la marge. Dans le blanc, le noir et toutes les couleurs qui prennent feu. Dans les matins qui m’attendent, quand je ne sais plus où je commence et où tu finis. Entre les uns et les autres, entre l'espace que tu laisses et le temps qui nous reste. J'aime tes mots. Quand, venus d’un hasard, l'alphabet conduit au verbe aimer, tes mots redressent les ratures et soulèvent la ligne d’horizon. J’aime tes appels, du premier pas, jusqu’à la dernier syllabe. J’aime même les silences qui les précédent, quand tu te tais pour me dire l’essentiel. J'aime quand tu reviens, quand tu retrouves ma route et que tu rêves plus fort que le destin. Même si c’est pour me dire que ton cœur bat de l'aile et qu’il ne sait plus voler. Et que le passé et le présent coïncident rarement…
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vivaciousofficiall · 10 months
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promises-of-paradise · 2 months
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Paul Gavarni and the Junots
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A portrait of Constance Aubert, née Junot d'Abrantès, by Paul Gavarni, December 1839.
In the appendix of a biography of Laure Junot sent to me by my friend @apurpledust, I found some poems and an article by the French writer and illustrator Paul Gavarni relating to the Junot family. Laure Junot and her daughters Josephine and Constance were all published writers, and inhabited the same artistic social circle that Gavarni did.
Article by Gavarni about the last volume of the second edition of "Memoirs of the Duchess d'Abrantès", published after her death:
original French:
Nous voici arrivés à la dernière page de ces mémoires d'une grande dame écrits par une femme artiste: livre dans lequel se confondent deux célébrités, dont chacune aurait suffi à bien des ambitions. Et quelque frappé qu'on soit d'une organisation si riche, on l'est plus encore du sentiment de dignité personnelle qui la soutint et la développa. Mme d'Abrantés a été un exemple bien rare de cette véritable grandeur que les événements ne sauraient atteindre. Un orage emporte un empire autour d'elle, puis les années viennent; elle a perdu presque un trône; et cependant elle est restée le front élevé au-dessus de la foule. Voilà ce que trouveront d'abord dans les livres qu'elle a faits ceux qui cherchent la vie sous ses beaux aspects. Lisez! Pétillante d'esprit, jolie femme, avec ce grand nom, cette couronne ducale, tout cet or, toute cette gloire, de combien d'hommages, et de quels hommages a dû être entourée la jeune duchesse d'Abrantés! Et il lui a falla se résigner à perdre tout cela, et, tout cela perdu, trouver dans la supériorité de son intelligence une consolation pour tant de regrets! et se faire à cinquante ans une nouvelle vie! une autre gloire! A-t-on bien songé à ce qu'il y avait de vraie noblesse dans ce courage? Nous ne saurions contester celle-là, nous autres artistes, nés du peuple, si fiers de notre aristocratie parce qu'elle vient de nous, mais qui voyons tant de noblesse dans le travail. Mme d'Abrantès travaillait comme pas un de nous ne le pourrait faire. Elle n'écrivait pas seulement quatre fois autant qu'un homme de lettres, elle dessinait encore, elle jouait la comédie, elle composait de la musique; ou bien elle bêchait les fleurs de son jardin, ou classait son herbier, ou même brodait quelques tapisseries. Faut-il joindre à ces travaux les soins du monde, les visites dont elle était assiégée tout le jour, les longues causeries du soir, une correspondance affairée, pour admirer cette existence si prodigieusement active! Voilà de quelles louables choses fut remplie la seconde moitié de cette vie douée de renommées si di-verses. Les jours de la duchesse avaient été brillants, sans doute ; mais ceux-ci n'étaient-ils pas aussi glorieux pour l'auteur de l'Amirante de Castille? Ne devait-elle pas voir avec un bien légitime orgueil se presser autour d'elle ce jeune essaim d'artistes dont elle était devenue la reine? Ces potes diront que c'était une abeille d'or arrachée au manteau de l'Empire et tombée au milieu de nous. Aussi les hommes qui se réunissaient d'habitude chez la duchesse d'Abrantès étaient-ils de deux âges et de deux sortes: des hommes à cheveux blancs portant des noms faits avec des batailles gagnées, et des hommes nés avec le siècle et se faisant des noms avec des livres, des opéras ou des peintures. On la voyait sourire à ces deux aristocraties qui la revendiquaient à titre égal, et dont elle était également honorée. Je me rappelle aujourd'hui un mot charmant qu'elle dit un soir à propos de ces doubles affections : le vieux M. Suchet, le frère du duc d'Albuféra, était venu souffrant ce soir-là se mettre dans le coin d'un petit salon où elle accourut inquiète de lui, s'écriant: "C'est que j'aime bien mes vieux amis, moi!" Puis, elle se retourna vers quelques uns de nous autres, et nous tendant la main, comme pour nous empêcher d'être jaloux, elle ajouta: "Et mes jeunes aussi, au moins !" Nous l'aimions tous; jeunes et vieux, nous nous sommes acheminés vers Chaillot pour lui faire une triste et dernière visite, un dernier cortège, et nous l'avons ramenee jusqu'au cimetière de Montmartre: là, quand on nous a eu jeté un peu de terre sur ce cercueil qui nous a pris à jamais cette bonne amie, pour toute oraison funèbre nous avons pleuré.
English translation:
Here we have arrived at the last page of these memoirs of a great lady written by a woman artist: a book in which two celebrities merge, each of which would have sufficed for many ambitions. And as struck as we are by such a rich organization, we are even more struck by the feeling of personal dignity which sustained and developed it. Madame d'Abrantés was a very rare example of this true greatness that events could not achieve. A storm carries away an empire around it, then the years come; she lost almost a throne; and yet she remained with her forehead raised above the crowd. This is what those who seek life in its beautiful aspects will first find in the books she wrote. Read! Sparkling in spirit, a pretty woman, with this great name, this ducal crown, all this gold, all this glory, with how many tributes, and with what tributes the young Duchess of Abrantés must have been surrounded! And she had to resign herself to losing all this, and, having lost all this, find in the superiority of her intelligence a consolation for so many regrets! and make a new life at fifty! another glory! Have we thought carefully about the true nobility in this courage? We cannot dispute this, we artists, born of the people, so proud of our aristocracy because it comes from us, but who see so much nobility in the work. Madame d'Abrantès worked as none of us could do. She not only wrote four times as much as a man of letters, she also drew, she acted, she composed music; or she dug the flowers in her garden, or classified her herbarium, or even embroidered a few tapestries. Must we add to these works the cares of the world, the visits with which she was besieged all day long, the long evening chats, a busy correspondence, to admire this existence so prodigiously active! These are the laudable things the second half of this life endowed with such diverse fame was filled with. The duchess's days had been brilliant, no doubt; but were these not also glorious for the author of the Amirante de Castille? Shouldn't she have seen with legitimate pride crowding around her this young swarm of artists of whom she had become the queen? These friends will say that it was a golden bee torn from the mantle of the Empire and fallen among us. Also the men who usually gathered at the Duchess of Abrantès' house were of two ages and of two kinds: white-haired men with names born from battles won, and men born with the century and becoming names with books, operas or paintings. We saw her smile at these two aristocracies who claimed her as equals, and by whom she was equally honored. Today I remember a charming remark that she said one evening about these double affections: old Mr. Suchet, the brother of the Duke of Albufera, had come unwell that evening to sit in the corner of a small living room where she runs worried about him, exclaiming: “It’s because I really like my old friends!” Then she turned to some of us, and holding out her hand, as if to stop us from being jealous, she added: “And my young ones too, at least!” We all loved him; young and old, we headed towards Chaillot to pay her a sad and last visit, a last procession, and we took her back to the cemetery of Montmartre: there, when we had a little earth thrown on this coffin which forever took this good friend from us, for every funeral oration we cried.
Below the cut are two poems written by Paul Gavarni on the album of Constance Aubert, the second daughter of Laure and Jean-Andoche Junot:
The first poem:
original French:
Les Rêves.
Quel autre monde rêvez-vous? Et que voulait votre âme errante? Loin d'un présent qui désenchante, Où sont vos pensers les plus doux?
Quels chants vous sont mélodieux? Qu'attend la foi qui vous est chère? Et de quel autel solitaire Voyez-vous le ciel de vos dieux?
Si, de beaux jours trop inconstants Vous avez vu venir l'automne, Pour les roses d'une couronne Regrettez-vous quelques printemps?
Où votre âme dans le lointain, Voit-elle un ange sur la route? La magique voix qu'elle écoute Lui dit-elle: "hier" ou "demain"?
Votre orgueil était-il jaloux Du faste des rois de la terre? Et sur un trône imaginaire En secret vous endormez-vous?
Livrez-vous de vastes Etats A des conquêtes idéales? Rêvez-vous l'éclat des cymbales, La palme ou la mort des combats?
Flattant de plus humbles désirs, Peut-être une muse pensive De quelque image fugitive Rajeunit-elle vos loisirs...
Mais, au charme du souvenir, Tout ce qu'on a se décolore: Le passé, que son prisme dore, Brille aux dépens de l'avenir.
Laissez le poète chanter Des plaisirs où son luth convie: Il prodigue à rêver la vie Le temps qu'il a de la goûter.
Dans les plis d'un manteau royal L'ennui s'enveloppe et se cache, Et, dans les combats, le sang tache Les panneaux du char triomphal.
Un moment peut éterniser Les regrets que laisse une idole Dont la scintillante auréole S'évapore au premier baiser.
Mais l'amour, ce léger sommeil, Ce rêve d'un jour vaut la vie... Et qu'importe à l'âme ravie Ce qu'en peut coûter le réveil?
English translation:
The Dreams
What other world do you dream of? And what did your wandering soul want? Far from a disenchanting present, Where are your sweetest thoughts?
What songs are melodious to you? What does the faith that is dear to you await? And from what lonely altar Do you see the sky of your gods?
If, beautiful days too fickle You saw autumn coming, For the roses of a crown Do you regret some spring?
Where you soul in the distance, Does she see an angel on the road? The magical voice she listens to Did she tell him: "yesterday" or "tomorrow"?
Was your pride jealous Of the splendour of the kings of the earth? And on an imaginary throne Do you fall asleep in secret?
Do you deliver vast states To ideal conquests? Do you dream of the brilliance of cymbals, The palm or the death of combat?
Flattering the humblest desires, Perhaps a pensive muse Of some fleeting image Rejuvenates your leisure...
But, to the charm of memory, Everything we have is fading, The past, that its prism gilds, Shines at the expense of the future.
Let the poet sing Of pleasures where the lute is suitable: He lavishes on dreaming of life The time he has to taste it.
In the folds of a royal cloak Boredom wraps itself up and hides, And, in the battles, blood stains The panels of the triumphant chariot.
A moment can last forever The regrets that an idol leaves Whose sparkling halo Evaporates with the first kiss.
But love, this light sleep, This one-day dream is worth life... And what does it matter to the delighted soul What can waking up cost?
The second poem:
original French:
La Pie de la Prison
Du grain qu'ils ont semé, laissez la fleur éclore. Allez! Margot; la loi leur a permis des fleurs. Eh! quoi, méchant oiseau, vous revenez encore De ce triste jardin becqueter les primeurs!
N'en privez pas au moins leurs jours que rien n'abrège; Les ans laissent ici de bien longues saisons, Margot, et de l'hiver ils n'ont eu que la neige; N'allez pas du printemps leur ôter les bourgeons;
Et qu'au moins du soleil un bouquet les console. Demain, le savez-vous! ils attendraient en vain Ce printemps qu'aujourd'hui votre audace leur vole. Margot, les prisonniers vous donnent de leur pain!
Comme cet oiseau noir il est une pensée Qu'ici le malheureux apporte avec ses jours, Qu'il nourrit et son âme et qui, toujours chassée, Dès qu'il voudrait sourire, hélas! revient toujours.
C'est le deuil qui le suit, c'est la voix qui le raille, C'est le regret qui veut de son moindre bonheur; Tourment qui de son lit a remué la paille Et out le bec aigu lui cherche au fond du cœur.
C'est la faim d'être libre. Un oiseau mord la cage; Vous voulez à la vôtre attacher un roseau, Souvenir des jardins dont vous aimiez l'ombrage, Amis, et vous coupez les ailes d'un oiseau!
English translation:
The Prison Magpie
From the seed they sowed, let the flower bloom. Come on! Margot; the law allowed them flowers. Hey! what, wicked bird, you come back again From this sad garden to peck at the early fruits!
Do not deprive them at least of their days which nothing shortens; The years leave many long seasons here, Margot, and all they had in winter was snow; Do not go and remove their buds in the spring;
And may at least a bouquet console them from the sun. Tomorrow, do you know! they would wait in vain This spring that today your audacity steals from them. Margot, the prisoners give you their bread!
Like this black bird, there is a thought That the unfortunate brings here with his days, Which he nourishes and his soul and which, always chased away, As soon as he would like to smile, alas! always comes back.
It is mourning that follows him, it is the voice that mocks him, It is regret that wants his least happiness; Torment which from its bed stirred the straw And the sharp beak searches the depths of his heart.
It's the hunger to be free. A bird bites the cage; You want to attach a reed to yours, Remembrance of those gardens whose shade you loved, Friends, and you clip the wings of a bird!
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exilenpagaille · 2 months
Text
J’ai eu mon frère en FaceTime et il m’a raconté qu’au boulot une fois il était venu avec une chemise manches courtes, à fleurs (tahitienne) et qu’il y avait une meuf qui trouvait que ça faisait bizarre voire pas trop approprié. Alors déjà qu’est ce qu’elle veut l’aigrie de service qui ose pas mettre de couleur dans sa vie? Puis, comment dire que je m’y attendait pas, on vient des îles et on a eu l’habitude de faire ca. Notre père qui est ingénieur va au boulot avec ses chemises à fleurs, on a jamais remis ça en question quoi. Mais la meilleure partie de l’historie c’est que tous ses autres collègues trouvaient ça trop bien au contraire. Aujourd’hui c’était son dernier dans la boîte et tous ses collègues en plus de lui avoir fait des cadeaux de fou, lui ont offert une superbe chemise à fleur et sont TOUS venus habillé avec une chemise du même style pour foutre le seum a l’autre conne. J’adore voilà 🥰
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