Tumgik
#venus et fleur
desolationfires · 1 month
Text
Tumblr media Tumblr media
Venus et Fleur
24 notes · View notes
belleinblush · 1 year
Text
Tumblr media
Venus et Fleur Le mini round single
58 notes · View notes
bunnie4444 · 2 years
Text
MY FAVOURITE BRANDS 🎀
Tumblr media Tumblr media
trashy.com > sooo pretty lingerie and stuff for the bedroom LOVE
lacemade.com > OMG THEIR CORSETS AND DRESSES!!
agentprovacteur.com > all my lingerie are from here<3 they are the best - a lil pricey but worth it
venusetfleur.com > pricey but i love love love
lamer.com > best cream’s 4 the face
moonkissedcollective.com > their tanks>>>
dior.com > love their skin care and makeup of course
chanel.com > love their lipsticks
charlottetilbury.com > THE PILLOW TALK COLLECTION
laperla.com > y’all know I love cute lingerie
Tumblr media Tumblr media
56 notes · View notes
sayhoneysiren · 2 years
Text
Tumblr media
venus et fleur - capricorn
13 notes · View notes
pursuitist · 1 year
Text
Best Luxury Gifts for Mother's Day 2023
Chocolate and flowers are a safe option when it comes to a Mother’s Day gift, but it’s expected and, honestly… boring. Instead, we’ve rounded up ten unique Mother’s Day gift ideas that your mom would love and cherish for years. Venus et Fleur The Fleur Frame Eternity flowers have been around for a while, making them a reliable gift option that keeps giving for years. But have you seen the newest…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
girlofwindenburg · 6 months
Text
Tumblr media
Floral Arrangement CC Recommendations from Rionna
What is a build without flower arrangements? Boring. So I have decided to compile my favorites that I use to an extreme amount sometimes.
On the table:
Plush Pixels Hamptons Bouquet | CWB Dry Bouquet of Hydrangeas | Grandma's Ivy Basket
On the floor (from left to right):
CWB Vase of Delphinium | Tiffany Flower Bag | Peonies Bouquet | Venus Et Fleurs Flower Box | Hydrangea Basket | Peonies Apolis Market Bag
︵‿୨♡୧‿︵‿︵‿୨♡୧‿︵‿︵‿୨♡୧‿︵‿︵‿୨♡୧‿︵
Thank you to the talented cc creators @cowbuild @plushpixelssims @awingedllama @lunaticavillage @ars-botanica @yumia-x @sooky88
Reshade is Pearl by @pixelglam
262 notes · View notes
vampswan · 1 year
Text
Tumblr media
venus et fleur
450 notes · View notes
sur-nos-cendres · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media
PROJET — CITY ENTRE NOIRCEUR & LUMIÈRE — BIRMINGHAM — TEMPORALITÉ ACTUELLE.
Bonjour par ici. C'est avec joie que nous vous présentons notre idée, qui ne devrait pas tarder à voir le jour. Vous trouverez plus bas le contexte ! On si hâte de vous en faire découvrir plus. ♡
Il fut une ville où les gamins vénéraient le soleil, il est une ville où l’ombre est devenue reine. Trône de fer sur ces âmes égarées, presque piégées, entre ses bras, ils ne partiront pas, plus. Malsaine fascination, malsaine addiction, le pandémonium terrien est devenu l’éden des malheureux, et là où les légendes grandissent, les murmures se taisent, étouffés par les sanglots. On dit apercevoir des créatures aux prunelles d’or, là, sous les entrailles du pauvre fleuve, des présences aux mille noms dans l’opacité du crépuscule. Mais ce ne sont que des simulacres, qu’ils disent, aux éhontés venus s’éprendre du charme céleste des habitations délavées. Dans les sombres ruelles ou entre les coupe-gorges aux lueurs ocrées, le fil se tisse et étouffe les chairs, tous reliés par la force de leurs péchés, ils sont cet amas de corps décriés par les béats. Regardez-les, regardez-moi, regardez-vous, vous ne valez plus rien. N’aspirez vous plus à rien ? Mécréants, avares, insipides, le dessein n’est plus en leur faveur, il suffit de leur porter un regard : se meurent déjà les espoirs avant même de quitter les caboches. Sous les astres, c’est une sordide promesse qui se dessine, aller sans retour entre les bras charnus de l’enfer dantesque. On ne quitte plus Birmingham, on y meurt, on y renaît, mais on y reste à jamais, marqués par l’emprise. Pourtant, la lumière se fraye déjà un chemin vers l’antre des loups, il suffit de l’observer, voilà qu’elle hurle : alors, sur mes cendres ils crachent leur spleen, font fleurir les fleurs d’un mal trop ensoleillé, la noirceur s’en ira, c’est juré.
35 notes · View notes
zialinart · 5 months
Text
Tumblr media
Mon cadeau secret santa pour @saemi-the-dreamer ptit dessin et ptite fic même si bon, j'écris pas beaucoup donc c'est sûrement un peu bancal
Il était déjà la fin de l'après midi quand Arthur commença sérieusement à s'impatienter. Ca faisait au moins 3 bonnes heures que lui, une bonne partie des représentants les plus importants du monde breton et des délégations venues d'autres pays pour l'occasion attendaient. Et encore eux ils avaient la chance d'être assis, lui commençait à avoir sérieusement mal aux pieds. Et bon sang la couronne de fleur que Guenièvre avait insisté à lui faire porter lui grattait sérieusement le crâne. Il se tourna une fois de plus vers Perceval qui, tenant son rôle de témoin très sérieusement se tenait totalement immobile, les mains croisées :
Non mais bordel qu'est-ce qu'ils foutent ?
Vous voulez que j'aille me renseigner sire ?
Vous voulez dire comme les trois autres fois où vous êtes allés vous renseigner et vous êtes revenus bredouille ? Je sais pas vous vous sentez capables de trouver le chemin des vestiaires cette fois ou je vous colle un intendant pour vous accompagner ?
Non mais les autres fois je suis tombé sur Karadoc ça m'a perturbé, là c'est bon il est assis y'a pas de mouron à se faire sire.
Ok mais dépêchez vous, et dites leur de se bouger aussi ou je sens que l'église va se transformer en un champ de bataille romain-visigoth
De son point de vue il pouvait observer toute la salle et voyait clairement que des alliances commençaient à se défaire au fur et à mesure que les gens s'impatientaient. Les représentants des pays qui parlaient la même langue étaient très agités et parlaient de plus en plus fort, semblant ne pas s'entendre sur le goût du vin, dont ils avaient probablement déjà un peu abusé. D'un côté c'était la seule chose à faire en attendant. Perceval partit se renseigner et Arthur alla se chercher une coupe lui-même, histoire d'actionner un peu ses jambes. Il avait été plutôt fier de son idée de renouveller son mariage avec Guenièvre à la mode catholique, en invitant les plus grands noms du coin afin de montrer qu'il était revenu en tant que roi et que le royaume se portait bien désormais. Mais maintenant qu'il était là, face à tout ce monde qui s'impatientait, il se sentait plutôt nerveux. Bon sang qu'est-ce qu'elle foutait ? C'était pas si foutu compliqué d'enfiler une robe potable pour l'occasion, de se faire un peu tresser les cheveux et boum, mariage et on n'en parle plus.
Qu'est-ce que vous foutez retournez à votre place espèce de trou du fion !
La voix de sa belle mère resonna derrière lui tandis qu'il se servait un verre. Ah, au moins si elle était sortie du vestiaire c'est que c'était bientôt fini
En attendant que votre fille daigne se montrer faut bien que je m'occupe
Oui, bah c'est bon vous vous êtes occupés retournez à l'autel, là Elle le poussa vers le fond de l'église tandis qu'il protestait
Faites gaffe bordel c'est un costume spécial pour l'occasion j'ai pas envie de le tâcher en renversant du vin
Vous avez qu'à pas faire votre poivrot au moins pour une soirée. Pis toute façon croyez moi vous aurez pas besoin d'alcool quand vous la verrez.
Elle le laisse planté là, retourna s'asseoir auprès de Léodagan et secoua celui-ci qui s'était endormi sur son banc. Arthur prit une gorgée de vin en réfléchissant à ces dernières paroles étranges. Oui ok, il avait été assez peu discret ces derniers temps sur les regards qu'il lançait à Guenièvre mais enfin de là à ce que sa belle mère le remarque. Le goût acre du vin le fit hoqueter et il s'énerva mentalement sur les paysans qui n'étaient même pas capables de fournir un vin correct pour le mariage de leur roi. A ce moment là Perceval revint, accompagné de Bohort, l'un en bleu, l'autre en vert pour représenter les deux parties du mariage. Pourquoi Guenièvre avait choisi Bohort comme témoin ça le dépassait, après tout il ne les pensait pas si proches. Mais d'un autre côté il n'avait pas été tellement attentif aux passes temps et aux amis de sa femme durant le temps qu'il avaient passé ensemble. Il se promit mentalement de changer ça.
Ah bah c'est pas trop tôt c'est bon elle va venir ou il faut que je reporte à après-demain ?
C'est bon, c'est bon sire, dit Bohort avec un sourire jusqu'aux oreilles. Sauf votre respect vous allez être plutôt impressionné de ce qu'on a fait avec du simple tissu
Je m'en fous un peu de votre tissu Bohort j'aimerais bien commencer le processus pour que les gens finissent pas par s'étriper dans une église.
Bohort se rangea du côté de la mariée, toujours souriant, et Arthur remarqua que Léodagan s'était eclipsé, sans doute pour pouvoir accompagner la mariée jusqu'à l'autel, c'était bon signe. Même si bon, ils étaient déjà mariés depuis 30 piges techniquement il n'avait pas vraiment sa main à lui donner. Il sursauta alors qu'un orgue commença à résonner dans la salle. Ils avaient un orgue dans le coin ? Encore un détail qui luil avait échappé. Il déposa son verre de vin sur le côté tandis que les invités se levaient, certains de façon un peu vacillante. Deux petites filles apparurent du fond de la salle et dispersèrent des pétales de rose tout le long de l'allée. Et puis elle apparut au bras de son père. Sa machoire tomba et il oublia tout. Les trois heures d'attente, les invités qui s'engueulaient, le vin dégueu, même ses pieds. Elle était vêtue d'une robe en tulle blanche recouverte de fleurs bleues jusqu'à la taille. Ses cheveux lui tombaient sur les épaules en cascade, avec seulement une couronne de fleurs similaire à la sienne sur la tête. Elle était magnifique. Elle arriva à sa hauteur et Léodagan lui donna sa main et retourna s'asseoir. Elle lui sourit timidement tandis que le prêtre se mettait en position.
Vous dites rien ?
Je euh Pour une fois il était sans voix, tout juste capable de la parcourir du regard bouche bée.
C'est les fleurs c'est ça ? J'ai dit à Bohort que ça faisait trop mais il était sûr que c'était la mode et puis Merlin les a fait pousser exprès et du coup…
Il lui posa un doigt sur la bouche avant qu'elle ne s'emballe trop.
Vous êtes parfaite, réussit-il seulement à murmurer
Son visage s'illumina et elle rougit un peu.
Il sourit à son tour réalisant que la cérémonie lui tenait finalement plus à coeur qu'il ne le pensait. Leur premier mariage avait été un simulacre politique. Celui-ci était un mariage d'amour.
32 notes · View notes
homomenhommes · 3 months
Text
saga : SOUMISSION / DOMINATION 118
le WE arrive, Marc est là.
Pour lui faire plaisir, j'organise au pied levé une touze où Jimmy et Ed seront présents. J'invite aussi Ric, nos voisins Bruno et Arnaud ainsi qu'Igor et les jumeaux. Nous verrons arriver dans la soirée Eric après ses cours de conduite moto.
Dès 13h je ramenais Ed et Ric. Il est de plus en plus Gym-Queen ! Mais ça lui va bien. Igor dépose les jumeaux dès 14h et Arnaud nous rejoint après avoir entendu nos cris au bord de la piscine. Nous échangeons les nouvelles, car ça fait quelques temps que nous ne nous sommes retrouvés tous. Malgré qu'ils soient presque tous en période d'examens, ils n'auraient raté ce WE pour rien au monde. Sans " adultes " nous passons tous l'après midi entre nous à nager, bronzer et faire les cons (poursuites, bagarres, arrachage de maillot pour ceux qui en portent, ...).
Nous bandons tous par moment, surtout les deux petits nouveaux mais nous nous retenons pour la soirée. Ce qui n'empêche pas les pelles appuyées. Comme il fait bon, nous en sommes encore là quand les autres arrivent en fin d'après midi. Samir et Ammed servent l'apéritif sur la terrasse. Je fais attention à Ed et Jimmy, il ne faudrait pas qu'ils soient malades à trop boire ! Les " adultes " se mettent en maillot ou nu et nous passons un moment entre piscine, et terrasse. Evidement mes deux petits nouveaux sont le point de mire. Ils sont sollicités sans arrêt et bandent continuellement. Ric apprend à Jimmy à sucer sous l'eau. Il faut dire qu'avec ses capacités respiratoires, il est le spécialiste et tous ceux qui ont concouru contre lui se sont bananés. Nous rions tous aux apparitions en surface de la tête de Jimmy toussant ou rouge pivoine. La touze démarre sur la terrasse. A par nos deux serveurs, nous sommes tous nus et toutes les bites des actifs se trouvent une bouche ou deux pour s'occuper d'elles. Les jumeaux sont de plus en plus mignons, l'effet " copie conforme " se renforce et ils sont devenu encore plus indifférenciables. Sauf question sexe (pas les dimensions, les goûts). La partie, dégénère / commence vraiment avec l'arrivée d'Eric. Ses 26cm ont toujours accéléré les choses ! Ric lui saute dessus et s'enfile sa bite directe jusqu'aux couilles. Les deux jeunes n'en reviennent pas, il leur faut encore pas mal de préparation pour arriver à cela ! Eric s'empare de la tête de Ric et lui bourre la gueule le laissant à peine respirer. A 4 pattes Ric tortille du cul dans l'espoir que quelqu'un s'en empare. C'est chose faite dans les minutes qui suivent par Marc, puis Igor, puis Bruno. Comme Eric continu de s'enfoncer dans sa gorge, j'encule aussi Ric et Tac fait de même après moi. Pendant que Tac et moi nous occupions du cul de Ric, les trois " petits " se faisait entreprendre. Cotes à cotes, Jimmy, Ed et Arnaud à 4 pattes se faisaient enculer respectivement par Igor, Bruno et Marc. Comme Tic attendait son tour, je lui ai dit de rejoindre les autres et à coté de mon mec, je me suis mis à le sodomiser. L'ensemble faisait très " film porno ". Nous 8, en train de mater le trio Eric, Ric et Tac. Eric suffisamment lubrifié par la salive de Ric s'est kpoté pour remplacer Tac. Après échange de place, il s'est introduit en Ric (habitué au manche de son paternel, il s'est ouvert comme une fleur pour laisser passer la batte noire jusqu'aux couilles). Tac est venu se faire sucer successivement par notre brochette d'enculés. Au bout d'un moment, Tac, comme moi était en manque de queue dans son cul. Nous avons été nous placer en " jambon ". Lui entre Igor et Ed et moi entre Bruno et Jimmy. Tic pour ne pas être en reste et même si enculer n'est pas sa préférence, s'est intercalé entre Marc et Arnaud.
La partie étant bien lancée, personne n'a eu l'envie d'aller au donjon.
Avant qu'un de nous ai joui, nous avons redistribué les cartes. Jimmy s'est assis sur la queue d'Eric laissée libre par Ric. Comme il est encore débutant, je suis venu vérifier que tout se passait et que tout passait bien. Doucement, il s'est assis dessus, je n'étais pas le seul à mater la pénétration ! Ed admirait l'aisance de Jimmy à s'enculer, les autres amusés par la différence de gabarit (petit beur fin contre grand black musclé). Puis les corps ont exigé de juter et nous nous sommes remis les uns sur les autres, les autres dans les uns etc. Avec Tac en fin de partie, nous avons joint nos bites pour enculer Ric, pour Ed ce genre de plan c'est encore un peu tôt même si il prend des bites TTBM. La double sodo a été géniale. Son trou est souple tout en étant capable de serrer nos queues jusqu'à les bloquer, ce qu'il n'a pas manqué de faire. La douleur passagère est venue renforcer l'excitation. Après un bon moment, Tac et moi n'avons pu nous retenir et quand j'ai senti Tac juter, je me suis vider dans ma kpote. Ric a spasmé sur nos bites empêchant tout mouvement alors qu'il me jutait sur le ventre et le torse. Ce n'est que quand il a été complètement vidé qu'il nous a libéré. Etalés, encore emmêlés, nous avons matés les autres se finir. Eric à la demande d'Igor élargissait le cul de Tic, d'après ce que j'ai compris il souhaite pouvoir le double sodomiser avec Tac. Malgré quelques grimaces, Tic avait l'air de prendre son pied, nous l'entendions dire " encore, encore " à chaque pénétration.
Bruno se terminait dans le cul de Jimmy, Marc douchait au sperme Arnaud. Igor, après avoir enculé Ed, se finissait au fond de sa gorge. Au dernier moment nous l'avons vu se reculer et lui juter sur le torse. Tac s'est alors levé et est allé récupérer de sa langue le sperme paternel avant d'aller le partager avec Tic encore secoué des dernières contractions musculaires d'Eric.
J'attrapais Ed alors qu'il s'élançait pour plonger dans la piscine et leur apprenais que la douche était obligatoire après la touze avant de retourner à l'eau. La piscine ne devait pas devenir un aquarium à spermes.
Après une bousculade des plus jeunes pour se doucher, nous nous sommes tous retrouvés dans l'eau pendant que nos beurs de services faisait le barbecue.
Après dîner, nouvelle scission des tranches d'âges. Ed et Jimmy se sont fait questionner grave par les quatre autres. En premier de savoir qui ils étaient, puis comment c'est que de faire des passes. C'est surtout de Tic et Tac que venaient les questions. C'est deux là sont des vrais chaudasses ! La nuit qui a suivi, nous avons gardé avec nous Jimmy et Ed. Baiser sans kpote quel pied ! Mes deux poulains étant exclusivement passifs (même si bandant quand même), nous nous sommes retrouvés, Marc et moi collés des hanches aux épaules à enculer chacun un ptit cul après s'être bien fait raidir à coups de langues. Nous n'avons pas arrêté de nous échanger les culs, pour leur plus grand plaisir.
Cela nous a permis de tenir un bon moment, l'excitation subissant une baisse d'intensité à chaque changement ! Après quelques " galipettes " entre nous 4, je suis sorti dans le couloir de l'étage où l'oreille collée aux portes des différentes chambres, j'ai pu entendre bien d'autres bruits que des ronflements. D'après les voix, Tic et Tac s'occupaient d'Eric et dans la salle de baise (la chambre spéciale à deux très grands lits et paroi plus plafond en glace) j'ai deviné Igor et Bruno, baiser Arnaud et Ric.
Je les ai laissés à leurs turpitudes, vautrés dans la luxure et suis revenu vers mes amis pour dormir.
JARDINIER
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
+
Tumblr media
quelle météo pour la suite du mois de Mars ?
20 notes · View notes
jeanchrisosme · 3 months
Text
J'ai aimé connaitre ton autre monde, tes blessures et ta langue inconnue. J'ai aimé recommencer le monde avec toi, jusqu'à l'aube nouvelle. J'ai aimé tous nos instants : du premier regard jusqu’à la dernière étincelle. De la seconde où nos cœurs se sont reconnus, jusqu’aux heures où le feu et l'eau s'avouent un amour impossible. J’ai aimé apprendre de notre rencontre et de nos chemins divergents. J’ai aimé les heures calmes, les minutes folles, les chemins de nos peut-être, quand mes étoiles s'accrochaient à ton ciel. J’ai aimé tes colères, tes doutes, ta tendresse et tous tes murmures de lumières. J’ai aimé tes mains sur mes rides, les pas déjà faits, les mots jamais dits, entre la nuit et l'aurore, sur le bord de l’instant et partout où tu rêvais. J’ai aimé notre premier film, notre dernier train et même tous les lieux où l’on ne sera jamais. J’ai aimé tes gestes maladroits, tes éclats de rire et j’aime quand tu sais que tu dors encore au creux de ma mémoire… J’aime ces souvenirs qui viennent de toutes ces années où je t’attendais. Quand, avec toi, je ne voulais que des premières fois. J’aime parcourir nos instants et les rêves et demi, les graver en moi à l’échelle du temps. Retrouver dans le parfum des fleurs cette idée de nous qui fige nos instants d’éternité. Des paupières d'étoiles, à l'ombre de tes cils, la chaleur de mes mains sur ta peau attentive. J'aime te voir sourire et dessiner au crayon de mes nuits, un rêve où tout m’éblouit. J’aime les étoiles que tu mets à côté du soleil quand je te vois partout. Dans la neige et la pluie, au milieu de mes orages. Dans le sourire des mères quand elles portent la vie. Dans tous les rêves des enfants devant les premiers bruits du monde. Entre les lignes et dans la marge. Dans le blanc, le noir et toutes les couleurs qui prennent feu. Dans les matins qui m’attendent, quand je ne sais plus où je commence et où tu finis. Entre les uns et les autres, entre l'espace que tu laisses et le temps qui nous reste. J'aime tes mots. Quand, venus d’un hasard, l'alphabet conduit au verbe aimer, tes mots redressent les ratures et soulèvent la ligne d’horizon. J’aime tes appels, du premier pas, jusqu’à la dernier syllabe. J’aime même les silences qui les précédent, quand tu te tais pour me dire l’essentiel. J'aime quand tu reviens, quand tu retrouves ma route et que tu rêves plus fort que le destin. Même si c’est pour me dire que ton cœur bat de l'aile et qu’il ne sait plus voler. Et que le passé et le présent coïncident rarement…
15 notes · View notes
lesillusionsterrestres · 10 months
Text
Le vendeur de roses
Tumblr media
© Photographie de Steve McCurry
Il y a ce vendeur de roses qui traîne tout le temps dans le quartier, avec des fleurs plein les bras. Il arpente les terrasses de restaurant à la recherche d’amoureux transis dînant aux chandelles.
Mais Ravi – c’est son prénom, enfin, c’est celui que je lui ai inventé, en espérant qu’il le soit un jour parce qu’il fait tout le temps la tête. Comme si le flot d’amour qu’il tenait contre son corps à longueur de journée, manquait à sa vie. Est-ce qu’il offre des roses à sa femme, Ravi ? Est-ce qu’il a une femme, Ravi ? J’imagine que non, autrement, il aurait un peu plus de soleil sur le visage.
Mais il est fort, Ravi, parce qu’il arrive quand même à fabriquer une lumière artificielle lorsqu’il se poste devant des clients potentiels. « Rose, 2 euros. Rose, 2 euros. » Et souvent, sa lumière halogène fait illusion auprès des touristes – déjà éblouis par les lumières clinquantes d’un Paris qui n’aurait pour atouts que la Tour Eiffel et les Champs-Élysées.
Après avoir fait sa vente, Ravi s’éteint de nouveau. Son regard est sombre, et de toute évidence, si l’on criait « Âllo, y a quelqu’un ? », au fond de la cavité de son cœur, l’écho de notre voix nous reviendrait en plus triste, en plus désespérée.
Je me suis souvent demandé : « C’est quoi son histoire à Ravi ? » Mais Ravi ne parle pas français. Il maîtrise tout juste les quelques mots qui lui servent à présenter ses roses sur les terrasses. Je crois qu’il sait aussi baragouiner quelques mots en anglais. Mais comme c’est une langue que je ne sais moi-même pas baragouiner, c’est pas demain qu’on va pouvoir se parler. On peut pas aller bien loin avec Hello, Thank you et I love you, quoi que, on peut quand même aller quelque part : saluer, remercier, et dire l’amour. Tu m’diras, c’est un peu la base.
La base, mais pas assez pour raconter toute une vie. Alors, comme nous n’avions pas les mots pour nous parler, avec Ravi, je me suis mis à imaginer son histoire.
*
Ravi n’a pas toujours vendu des roses. Quand il avait 20 ans, dans son pays, au Pakistan, il vendait des oranges. Il était pauvre et vivait dans un bidonville avec ses parents et ses deux frères.
Dans une décharge, il avait dégoté une carcasse de voiture toute rouillée dont il ne restait quasiment rien, sinon le squelette décharné, simple et piteux. Mais c’était tout ce qu’il fallait à Ravi, qui avait accès à la beauté de cette épave, invisible aux yeux de tous. Avec son grand frère, ils ont ramené le trésor jusqu’à leur bidonville. Ravi savait déjà ce qu’il allait en faire. Il avait déjà tout imaginé et, dès le lendemain, il mettrait en place son projet. Il irait au grand marché acheter des oranges, négociées au meilleur prix. (Ravi était le plus grand négociateur de tous les temps : il négociait sans parler. Son sourire adoucissait tous les prix). Il viendrait ensuite revendre les oranges dans le quartier. La carcasse de voiture serait le meilleur des présentoirs.
C’est comme ça que le commerce florissant de Ravi a commencé, et qu’il a gagné en peu de temps le titre de : « Vendeur d’orange à la carcasse ».
Un jour, une jeune fille est venue près de son étal pour admirer ses oranges. Elle les regardait avec un émerveillement inconnu pour Ravi, comme s’ils étaient des petits soleils rangés dans un écrin d’obscurité. Alors, lui, regardait ses yeux à elle, et un nouvel émerveillement naissait encore. Il la trouvait belle comme le jour. Comme un jour prodigieux qui annonce le monde. Mystérieuse aussi, comme la nuit. Comme une nuit majestueuse qui promet l’infini.
Que faisait-elle là ? Qui était-elle ? Est-ce qu’elle venait lui murmurer un secret ? Qu’elle avait trouvé la clé du mystère des rêves ? Les mains de Ravi étaient moites tout à coup, sa gorge sèche, et son corps tremblant. Il ne comprenait pas grand-chose à ce qui était en train de lui arriver. Il ne savait pas comment s’appelait ce sentiment qu’il observait s’épanouir en lui. Il souriait. C’est ce qu’il savait faire de mieux, de toute façon. Et elle lui souriait en retour. Elle faisait ça encore mieux que lui, pensa-t-il. Et cela lui réchauffa le cœur. Elle a pris une orange. Il a refusé sa pièce.
Elle est revenue le lendemain, avec son mystère et ses yeux qui nourrissent toutes les misères. Il a osé lui demander son prénom. Elle a osé lui donner. Shala. Il était heureux de pouvoir la prononcer. Shala. Cette fois il aurait voulu la retenir, sauf que les mains moites, la gorge sèche et le corps tremblant. Il l’a regardée partir avec son orange. Il aurait voulu lui donner toutes les oranges du monde.
Ravi a sursauté de bonheur lorsqu’elle est revenue le troisième jour. Elle avait une question. Une de celle qui marque sans qu’on le remarque. Une de celle qu’on ne pose jamais à un inconnu, parce qu’à la fois trop banale et trop intime, trop légère et trop profonde, trop drôle et trop sérieuse. Une de celle qui fait mine de rien, mais qui a le pouvoir de faire jaillir de la poésie.
« Pourquoi vends-tu des oranges ? Et pas des fraises ou des bananes ? »
Et Ravi avait répondu, sans trop réfléchir : « Parce que l’orange de l’orange flatte ma carcasse, comme nul autre fruit. L’orange rend les choses belles et magiques. »
Shala avait aimé la réponse de Ravi, et elle était repartie avec son orange belle et magique. Ravi aurait voulu la retenir, encore, mais elle s’était éclipsée comme une lune trop pressée de rejoindre sa nuit.
Il a espéré qu’elle revienne le lendemain. Une quatrième fois. Et cette fois, « je la retiendrai » s’était dit Ravi, pour de bon. Je lui dirai combien elle est belle, je lui dirai que je veux la connaître, que je veux passer mes journées près d’elle, à admirer au fond de ses yeux, toutes les beautés cachées de ses ombres, qu’elle est un grand soleil, et surtout, il lui dirait, qu’il voudrait l’embrasser. Oui, il s’était dit que cette fois, il oserait lui dire qu’il rêve de l’embrasser. Qu’il se ficherait d’avoir les mains moites, la gorge serrée et le corps tremblant, qu’il arrêterait d’avoir peur et qu’il lui dirait tous les jolis mots qui lui sortent du cœur.
Mais Shala n’est pas revenue le lendemain, ni le jour d’après, ni les autres jours, ni aucun autre jour. Shala n’est jamais revenue. Et Ravi a arrêté de vendre des oranges. Le cœur n’y était plus.
Peut-être que Shala n’aimait pas les oranges, après tout. Peut-être qu’elle préférait les fraises ou les bananes. Oui, c’est ça qu’il aurait dû lui demander. Peut-être qu’elle préférait les fraises, qu’elle préférait les bananes. Peut-être qu’elle n’aimait pas les fruits ? Peut-être qu’elle rêvait de roses.
Alors, quand son grand frère lui a parlé du business de vente de roses à Paris, Ravi s’est tout de suite dit : « Mais oui, les roses ! Shala rêve de roses ! » Et peut-être qu’en vendant des roses à Paris, il la recroiserait de nouveau… et il pourrait enfin lui dire tous les jolis mots qu’il n’a pas su lui dire. Il lui offrirait des roses, par milliers. Et ils pourraient enfin s’embrasser. Ils pourraient enfin s’aimer.
*
Mais bien sûr, c’est pas du tout ça l’histoire de Ravi. Sa vraie histoire est moins jolie, moins tristement jolie. Plus dur. La carcasse, les oranges, Shala, et tout et tout, très loin de la réalité. La réalité c’est que Ravi est parti loin de sa famille, se fait exploiter parce qu’il n’a pas de papier, partage une minable chambre de bonne avec 8 autres colocataires dans la même situation que lui. La réalité, c’est que Ravi travaille comme un acharné pour un salaire de misère. C’est Sofiane qui m’a raconté tout ça un jour, et il m’a même donné le vrai prénom de Ravi. À une lettre prêt, j’y étais. Mais il faut croire qu’une lettre change tout. Avec une lettre, on passe du conte féerique à la réalité sordide.
Quoi qu’il en soit, je souhaite toujours qu’il soit ravi, le vendeur de roses, qui s’appelle Raki.
// Dédé ANYOH //
41 notes · View notes
Sans Valentin.
Cette année je ne fêterai pas la St Valentin, comme c'est le cas depuis plusieurs années déjà. Je ne serai même pas chez moi, comme ça l'homme avec qui je vis ne se sentira pas "obligé" d'aller m'acheter des fleurs. On va passer le couplet de la fête commercial et le refrain de "l'amour c'est tous les jours qu'on le prouve et pas à une date précise", généralement ce sont les radins qui s'empressent de balancer ce genre de connerie ! J'aime la St Valentin ! J'aime qu'on fête les amoureux. Pas besoin d'offrir quelque chose de cher, les plus beaux cadeaux sont ceux que l'on fait soi-même, que ce soit une carte, une lettre d'amour ou un repas maison. L'important c'est que ce soit réellement fait avec et par amour. Et dans mon couple, il n'y a plus d'amour, en tout cas plus dans le sens amoureux du terme. Il y a du respect, il y a de la tendresse bien caché, jamais démontré physiquement mais plutôt dans des minuscules attentions du quotidien. Il y a la responsabilité de deux parents envers leur fils, un travail d'équipe, une amitié en quelque sorte. Mais plus aucun mot d'amour, plus jamais de geste tendre, aucun câlin, pas un seul baiser et le sexe a disparu de notre couple depuis 6 ans ! Nous faisons chambre à part depuis toujours. Il n'est venue s'installer chez moi qu'en 2020 au début du confinement, j'avais une chambre de libre. Et si vous faite un petit calcul rapide, 6 ans sans sexe, ça remonte à avant 2020 ! Tout ça c'est pour vous brosser un tableau qui vous permettra de mieux comprendre ma situation. Donc la St Valentin, hors de question qu'il me la fête autrement que par un "Bonne st Valentin" au téléphone, vu que je ne serai pas chez moi ! Pourtant, chaque année j'espère que ce jour-là, j'aurai quelqu'un qui me la souhaitera de tout son cœur, avec autant d'amour que j'en aurai pour lui, même s'il est loin. Mais je crois que mon côté romantique me faire oublier la triste réalité des relations.
Allez va, ce n'est pas si grave ! Deux jours avant le 14 février, c'est mon anniversaire ! Là au moins, je sais qu'il y aura quelque chose à fêter .
14 notes · View notes
cestmoiquand · 1 month
Text
Après avoir eu des discussions bienveillantes avec des proches, ils ont et j'ai constaté que j'ai vécu une dépression saisonnière, que j'ai subi en pleine face...
Comment je le sais :
- j'avais pas envie de me lever le matin et de bosser. Je l'ai évoqué plusieurs fois. J'avais pas d'idées noires, juste 0 motiv et énergie
- 0 envie de sortir de chez moi après le travail et le week-end
- j'ai pris de la vitamine D, des oméga 3 et du fer, j'étais heureuse et je savais que ça faisait effet quand je finissais les plaquettes
- j'ai pris du poids
- j'ai déménagé en l'espace de 3 semaines, j'avais trop à gérer en même temps
- depuis le 7 octobre, je suis là et en même temps, je me demande où est-ce qu'on va ?
- 0 libido, et quand ça allait mieux c'était quand la plaquette de complément alimentaire était finie
- j'ai pas fait un bon trimestre à l'impro et du coup, moins été sélectionnée pour des matchs/cabaret
- beaucoup à fleur de peau, mais différent de quand c'est hormonal
- 0 goal de vie, de saison, 0 motiv tout court
Les gens autour de moi ne me l'ont pas dit, ni brusqué avec ce sujet. C'est venu dans une conversation, j'ai réfléchi de mon côté et évoqué le sujet avec des gens bienveillants
Comment j'ai su que ça allait mieux ? Quand je me suis barrée en vac, au soleil et que tout était easy pizzy
Qu'est-ce que je peux mettre dans ma vie pour ne pas resubir ça l année prochaine ? Partir 3 mois au soleil, ce n'est pas réalisable.
9 notes · View notes
Text
L’effroyable destin de l’arbre de Robin des bois - 28 Minutes (23/10/2023) - Regarder l’émission complète | ARTE
L'arbre Sycamore Gap, isolé au pied de deux collines dans un paysage spectaculaire, se trouvait tout près du mur d'Hadrien, érigé à l'époque romaine pour empêcher l'invasion des barbares, un site classé au patrimoine mondial de l'Unesco. En 2016, il avait été élu «arbre de l'année».
Tumblr media
Dans le film Robin des Bois, sorti en 1991, on voyait Kevin Costner et Morgan Freeman marcher devant cet arbre impressionnant, qui faisait le bonheur des randonneurs dans le nord-est de l'Angleterre.
Tumblr media
C'était l'un des arbres les plus photographiés du Royaume-Uni. Mais jeudi 28 septembre 2023, des promeneurs ont découvert sa souche à nu. Et le reste de l'arbre couché sur le mur. Le gestionnaire du parc national a rapidement déclaré qu'il avait été «délibérément abattu». La police de Northumbria, qui a ouvert une enquête, a annoncé jeudi après-midi l'arrestation d'un adolescent de 16 ans. «Les dommages causés à l'arbre sont le résultat d'un acte de vandalisme délibéré», a-t-elle affirmé dans un communiqué. L'adolescent est en garde à vue. Les évènements d'aujourd'hui ont provoqué le choc, la tristesse et la colère», a souligné le directeur de la police Kevin Waring. Plusieurs habitants de la région se sont rendus sur les lieux, comme pour rendre hommage au Sycamore Gap. Des fleurs ont même été déposées près de la souche, devant le cordon de sécurité mis en place par la police. «J'éprouve un réel sentiment de perte», a dit Tony Gates, le directeur de la Northumberland National Park Authority, le gestionnaire du parc national. «Nous avons eu des gens en larmes aujourd'hui», a-t-il ajouté. «Nous avons été submergés par les messages sur les réseaux sociaux, sur notre site, de personnes sincèrement touchées par cette perte». L'organisation pour la protection du patrimoine National Trust s'est dite, sur X (ex-Twitter), «choquée et désespérément triste». «Nous savons combien cet arbre est aimé par les locaux, au niveau national, et par tous ceux qui l'ont vu». Cet arbre est «un élément important et emblématique du paysage depuis près de 200 ans», a ajouté le directeur du National Trust, Andrew Poad. De nombreuses personnes, notamment des membres de groupes de randonnée, ont partagé leur consternation et leurs souvenirs heureux près de l'arbre, sur place et sur les réseaux sociaux. «C'est une honte que quelqu'un soit venu pour vandaliser ce beau coin de la nature», a dit Ryan Knotman, un technicien de 40 ans. Au début de l'année, j'étais assise en train de faire du crochet au sommet de la colline pendant que mon mari et mon fils grimpaient sur la paroi à côté de l'arbre, un homme a expliqué avoir demandé sa femme en mariage au pied du Sycamore Gap. Selon Tony Gates, certains ont même dispersé ici les cendres de leur proche décédé. La députée locale Mary Foy a dénoncé un «acte de vandalisme bête» et «déchirant» d'un lieu iconique du Nord-Est de l'Angleterre
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
25 notes · View notes
vivaciousofficiall · 6 months
Text
green juices, alo, pilates x strength training, range rover sport, infrared sauna, lymphatic drainage, vintage chanel, james turrell, silk bedding, meditation, spiritual retreats, agent provocateur, venus et fleur, blow outs, gua sha, sea moss, cartier panthere watch, personal shoppers, green salads, french tutor, travel, business meetings .
the girls that get it get it.
24 notes · View notes