APEROL SPRITZ
đ¶ïž Pour un Verre âą 2 doses de liqueur amĂšre, Aperol âą 3 doses de vin mousseux italien, Prosecco
âą 3 doses dâeau pĂ©tillante âą 1 rondelle dâorange
đ¶ïž Ătapes
⹠Verser la liqueur amÚre dans une coupe remplie de glaçons.
⹠Allonger avec le vin mousseux et le soda, puis mélanger à l'aide de la cuillÚre.
âą Garnir de la rondelle dâorange
CLASSIQUE ITALIEN
Il est le Roi de lâĂtĂ© et des terrasses, lâAperol Spritz !
ĂlĂ©gant et plein de finesse, ce Cocktail apĂ©ritif a vu le jour en Italie, mais son origine est Ă©volutive. Les soldats Autrichiens prĂ©sents Ă Venise au 19e siĂšcle agrĂ©mentaient toujours leur vin dâun âsplashâ de soda pour quâil sâapparente davantage au Riesling quâils avaient lâhabitude de boire. Vers les annĂ©es 1920-1930, les liqueurs amĂšres italiennes, amari, ont pris part au mĂ©lange.
Ce nâest quâautour de 1990 que le Prosecco fait son apparition dans le verre, pour enfin obtenir la recette de Spritz que lâon consomme aujourdâhui.
Câest en 2010 que la marque Aperol sâest appropriĂ© le Spritz pour en faire lâun des Cocktails les plus consommĂ©s au Monde, notamment grĂące Ă des campagnes de marketing Ă grand dĂ©ploiement.
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Quelques trucs bien. Mai 2024
Ces âQuelques trucs bienâ sâinspirent directement des â3 trucs bienâ de Fabienne Yvert, publiĂ© au Tripode.Â
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volontĂ© rĂ©guliĂšre de gratitude et dâoptimisme.Â
Recevoir des compliments sur notre travail dâĂ©quipe et lâaccueil dans le serviceÂ
FĂȘter les mamans sur trois gĂ©nĂ©rations. Ăchanger des plantes fleuries Ă entretenir comme lâamourÂ
Ătre prĂ©sente pour valoriser lâĂ©tablissementÂ
Recevoir un message de rĂ©confort et de soutien dâune collĂšgue suite Ă une criseÂ
PrĂ©parer le premier barbecue de la saison dans le jardin. Inviter les amisÂ
Jardiner en famille et planter dans le potagerÂ
Bricoler en famille et amĂ©liorer la pergola dâune toile dâombrage
Organiser lâanniversaire de mon fils : 24 ans dĂ©jĂ !Â
Aller aux bĂ©bĂ©s nageurs avec ma fille et mon petit Mateo. Ătre Ă©claboussĂ©s de bonheurÂ
Superviser le sauvetage dâun oisillon mĂ©sange, tout juste sorti du nid et dĂ©jĂ guettĂ© par la minette. Laisser du temps aux petites ailes fatiguĂ©es
Recueillir la confidence dâune collĂšgue. Me sentir honorĂ©e de sa confianceÂ
Surligner ma lecture au stabilo rose. Prendre des notes « En cas dâamour »
Mettre short et tongs pour la premiĂšre fois cette annĂ©e. Enfin !Â
Passer une vraie journĂ©e dĂ©tente : repas en terrasse, spa et massage. Exceptionnel et dĂ©licieux ! Et cadeau de mes enfants !Â
Passer une journĂ©e en montagne avec ma fille et sa famille. Passer dâune saison Ă lâautre en quelques heures. Surmonter le mal dâaltitude pour admirer le parc des animaux sauvages : bisons, cerfs, chevaux et sangliers, et le reste de la faune dans cet espace protĂ©gĂ©
Passer une journĂ©e en Italie avec ma sĆur et ma fille. Faire le plein de soleil et de rireÂ
Ăcouter ma niĂšce lire sa production dâatelier dâĂ©criture dĂ©tournant les contes classiques. Me souvenir de mes propres textes dĂ©tournĂ©s. Conclure par « je me suis bien amusĂ©e » et lâencourager Ă continuerÂ
Boire un verre de vin blanc en regardant le coucher de soleil du lundi de la reprise, comme pour prolonger le temps de vacances
RĂ©pondre positivement Ă une invitation Ă dĂ©jeuner. PrĂ©voir dâapporter une bouteille de vin blancÂ
Planter et rempoter sur la terrasse avec mon fils. Arroser en attendant la pluie (pour une fois) qui favorisera lâenracinement
Accueillir un nid de mĂ©sanges sous lâĂ©vacuation de ma terrasse. Les savoir lĂ du regard sur leurs allers et venues, et de lâĂ©coute de leurs pĂ©piementsÂ
Passer du temps avec mon petit Mateo. MâĂ©merveiller et mâĂ©mouvoir de son dĂ©veloppement. Lâencourager des deux mains Â
Aller Ă la jardinerie pour fleurir ma terrasse de rose et de bleuÂ
Passer une journĂ©e pluvieuse sous la couette. Attendre le retour du soleilÂ
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â Retour dans le temps
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ă đČđ·đ°đđ°đČđđŽđđ ă âč Xiao
â   đđđżđŽ âč One-Shot
â  Â đđŽđ°đłđŽđ âč â FĂ©minin
â   đ¶đŽđœđđŽ âč  Little Xiao | â„ Romance | â„ Rougeur en excĂšs | â„ Tendresse | â Happy Ending
â   đđđžđ¶đ¶đŽđ & đđ°đđœđžđœđ¶ âč R.A.S
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Note
  âč Ce One-shot est la seconde version du One-Shot : â Retour dans le passĂ©Â â, je me suis dĂ©cidĂ©e Ă modifier ce One-shot, j'avais quelques petits problĂšmes avec le dĂ©roulement et la fin. RĂ©sultat, c'est un grow up de 1,6k de mots Ă 3.8k, j'espĂšre que ce rework vous plaira. L'ancien one-shot sera toujours disponible. Je vous souhaite une : â Bonne Lecture ! â
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â   Â « Je ne suis pas rĂ©ellement sĂ»re de comprendre Verr Goldet... »
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Un sourire crispĂ© s'Ă©tait installĂ© sur tes lĂšvres, alors que ton regard ne pouvait s'empĂȘcher de disparaĂźtre sur la petite forme s'accrochant dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă sa jambe. Si la journĂ©e t'avait semblĂ©e classique, elle avait vite changĂ©e alors mĂȘme que ses yeux lapis te regardaient avec tant de curiositĂ©. Un sourire bienveillant naquit inconsciemment sur tes lĂšvres, visiblement attendrit par ce regard purement innocent. La jeune aubergiste prit son temps pour tout te rĂ©pĂ©ter, essayant visiblement de comprendre, elle-mĂȘme, ces mots rapportĂ©s par Souffle-Nuage.
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â   Â « Il semblerait qu'avec de certaines circonstances, un adepte puisse reprendre l'apparence d'un enfant Ă cause de certains esprits, d'aprĂšs Souffle-Nuage... » Verr Goldet ne pouvait pas l'expliquer autrement, Souffle-Nuage ne s'Ă©tant pas Ă©panchĂ© sur le sujet. « Elle est restĂ©e assez Ă©vasive Ă ce sujet. (T/P), il y a bien trop de passage dans l'auberge et vous connaissez aussi bien que moi son caractĂšre, je ne suis pas sĂ»re qu'il soit sage de le laisser rester ici... »
â   Â « Mais... »
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Ton regard glissa sur un Xiao aux joues lĂ©gĂšrement plus rebondit, une bouille enfantine, dont de magnifiques grands yeux d'or liquide te regardait sans dĂ©tour. C'Ă©tait peu dire si ton cĆur fondait devant cette vision plus qu'adorable du vigilant Yaksha, tu devenais complĂ©ment prisonniĂšre de ce petit ĂȘtre adorable. Une main passa dans tes (L/C) cheveux (C/C), remontant tes yeux vers la jeune femme qui attendait avec impatience la suite de tes mots.
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â   Â « Je ferais de mon mieux... ? »
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Ce furent les seuls mots qui sortirent d'entre tes lĂšvres abdiquant devant les regard insistant du petit garçonnet froissant la robe de l'aubergiste. Allais-tu vraiment ĂȘtre Ă la hauteur ? Xiao t'avait de nombreuses fois rĂ©pĂ©tĂ© que : " Tu Ă©tais trop maladroite pour te protĂ©ger ". Suite Ă sa dĂ©claration, il s'Ă©tait fait un point d'honneur Ă te protĂ©ger, comme si tu Ă©tais aussi fragile que du sucre. Celle-ci te remercia d'un sourire soulagĂ©, passant une main douce dans les cheveux en bataille du petit Yaksha. Il la gratifia d'un coup sur la main, posant ses mains sur le haut de ses cheveux, alors qu'un air mĂ©content transformait ces traits enfantins, le rendant encore plus adorable. Tu ne pus retenir un doux gloussement attendri, une main couvrant rapidement ton rictus, peur de recevoir un regard noir du plus petit. Contre toute attente, celui-ci ne fit que te regarder, ses mains toujours placĂ©es sur le haut de sa tĂȘte, te dĂ©visageant comme si tu Ă©tais devenue une crĂ©ature Ă©trange. Il te fixait de ses grands yeux, tu crus mĂȘme y voir naĂźtre une certaine affection.
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â   Â « Je vous le confis, (T/P). FaĂźtes attention, comme vous avez pu le voir, il a un certain caractĂšre. »
â   Â « Effectivement. » Un gloussement accompagna tes mots, alors que rapidement, tu te mettais Ă la hauteur du garçonnet tendant tes bras vers lui. « Et si nous allons manger du tofu aux amandes ensemble, Xiao ? »
â   Â « Je ne suis pas sĂ»re qu'il vo-... »
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Verr Goldet n'eut le temps de terminer sa phrase que timidement et calmement le petit garçon se dĂ©crocha de sa robe pour s'avancer vers tes bras tendus. Son regard ne quittait jamais tes yeux (C/Y), avant que ses petits doigts ne s'enroulent qu'autour de ta main. Une douce chaleur monta jusqu'aux joues rondelettes du garçonnet, les teintant doucement d'un petit rouge timide, tandis qu'il regardait le sol. Qui aurait pu penser que Xiao, le vigilant Yaksha, Ă©tait en rĂ©alitĂ© un adorable petit garçon timide dans sa jeunesse. L'information montant au cerveau, tu posas dĂ©licatement tes lĂšvres sur sa joue, enroulant tes bras autour de lui. LĂ©ger comme une plume, pas plus haut que trois pommes, le petit Xiao se retrouva confortablement prit dans ton Ă©treinte. Ses bras s'enroulĂšrent autour de ton cou, ses cheveux te chatouillant la joue, tandis qu'il se cachait contre toi, visiblement mort de gĂȘne. Il te semblait si fragile et si mignon en cet instant, alors que quelques minutes plutĂŽt il aurait pu mordre la main de Verr Goldet.
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â   Â « Nous serons Ă l'Ă©tage, est-ce que Yanxiao pourra nous apporter des tofus ? »
â   Â « Sans problĂšme. » Hocha Verr Goldet, visiblement rassurĂ©e d'avoir trouvĂ© une personne de confiance pour s'occuper de Mini-Xiao. « A tout Ă l'heure (T/P). »
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D'un signe de tĂȘte pour la jeune femme en guise de remerciement, tu quittas sans plus tarder le hall d'entĂ©e de l'auberge. Mal Ă l'aise Ă cause de cette foule de voyageurs aux yeux curieux, tu avais hĂąte de t'extirper de tout ça. Montant les escaliers avec hĂąte, le petit garçonnet dans les bras, tu sentais son regard d'or sur ton visage, Ă©trangement curieux. Pourquoi mini-Xiao t'observait avec tant d'insistance ? C'Ă©tait Ă peine si d'ordinaire, il t'Ă©pargnait ne serait qu'un coup d'Ćil. MĂȘme si son aura n'Ă©tait pas aussi imposante que d'ordinaire, mini-Xiao te stressait lĂ©gĂšrement Ă te dĂ©tailler sans rien dire.
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â   Â « (T/P). »
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Il avait marmonnĂ© ton prĂ©nom sans mĂȘme s'en apercevoir, comme s'il cherchait Ă comprendre quelque chose. T'observer ne faisait que le rempli de plus en plus de questions sur ces sensations inconnues qui lui traversaient le corps. En entendant sa petite voix t'appeler, bien que trĂšs faiblement, un petit sursaut te traversa l'Ă©chine. Interrogative, la prunelle (C/Y) de tes yeux se posĂšrent sur l'enfant qui se gela sur place en les rencontrant. Sa petite tĂȘte semblait rĂ©flĂ©chir Ă toute allure, ne s'attendant clairement pas Ă recevoir ton attention avec le tout petit murmure de rien du tout de ton prĂ©nom. N'ayant pas le courage, ou sans doute pas rĂ©ponse Ă te donner, il se cacha timidement dans le creux de ton cou, fuyant l'interrogative de ton regard.
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â   Â « Xiao, tout va bien ? Tu te sens mal quelque part ? »
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MĂȘme si sa timiditĂ© te paressait trĂšs claire, tu ne pouvais t'empĂȘcher de t'inquiĂ©ter au vu de sa petite main fermement accrochĂ©e au-dessus de son cĆur. Est-ce qu'il y avait un effet secondaire Ă sa situation ? Et si Souffle-nuage n'Ă©tait pas au courant ? LĂ©gĂšrement stressĂ©e, tu terminas rapidement de monter les escaliers de la tour pour rejoindre la terrasse du bĂątiment. Ă peine arrivĂ©e, tu posas doucement l'enfant sur une vieille table en bois, avant de t'accroupir l'instant d'aprĂšs devant Xiao. Celui-ci semblait fuir ton regard, n'osant pas ouvrir la bouche. Il te semblait Ă la fois mal Ă l'aise et Ă©trangement perdu, ce qui Ă©tait plutĂŽt normal si l'on prenait en compte ses tout juste quatre ans.
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â   Â « Xiao ? »
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MurĂ© dans son mutisme, le jeune garçonnet ne t'Ă©pargna pas ne serait-ce qu'un regard. Tu avais cette douloureuse impression de revenir Ă votre premiĂšre rencontre, mais cela n'allait pas te dĂ©courager pour autant. Tu l'avais fait une fois, tu l'avais dĂ©jĂ fait parler ou apparaĂźtre devant toi juste pour passer le temps ou juste pour discuter avec lui, enfin tu faisais plus un monologue et lui te prĂȘtait une oreille attentive. MalgrĂ© toi, un sourire nostalgique se plaça inconsciemment sur tes lĂšvres tandis que tes doigts passĂšrent avec tendresse dans les cheveux du jeune garçon. DĂ©tournant rapidement le regard, pour le pas rencontrer le regard noir de Xiao, tu te contentas de calmement observer le magnifique paysage des plaines de Liyue que vous offrait la tour.
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â   Â « C'est ici que nous nous sommes rencontrĂ©s pour la premiĂšre fois. » Commenças-tu d'une voix tendre, te remĂ©morant sans peine cette premiĂšre rencontre, elle Ă©tait gravĂ©e dans tes souvenirs. « Tu Ă©tais aussi froid que la glace et bien trop mĂ©fiant envers une simple vagabonde perdue dans cette immense auberge. Pourtant, Ă ce moment-lĂ , mĂȘme si j'avais l'impression que tu me jetterais par-dessus la rambarde si je n'avais pas une bonne excuse pour t'avoir dĂ©rangĂ©, je t'ai trouvĂ© magnifique. » Te remĂ©moras-tu avec un petit rire, ayant facilement captĂ© l'attention du petit garçon. « Je n'ai aucun instinct de survie, tu avais raison. Je t'ai trouvĂ© vraiment mignon alors que tu aurais pu me tuer... »
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Ton regard Ă©tait si doux, si amoureux que Beidou en aurait probablement vomi rien qu'en l'apercevant, avant de te taquiner pour quelques dizaines d'annĂ©es. Perdue dans ton propre monologue, pendant que ton regard survolait le paysage roux en face de toi, tu ne remarquas pas les adorables petits joues rebondies du garçonnet se colorer tout doucement d'un petit rouge. Il ne comprenait pas pourquoi, mais tout son corps brĂ»lait et lui criait de s'enfuir, de s'enterrer sous vingt kilomĂštres de terres avant d'exploser littĂ©ralement de gĂȘnes. Pourtant, le mini-Xiao ne bougea pas, comme pendu Ă tes lĂšvres Ă©coutant sagement tes divagations.
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â   Â « Ce jour-lĂ , je ne regrette pas de t'avoir rencontrĂ©. » Racontas-tu avec une tendresse infinie, ton cĆur battait rapidement, alors que tes joues se colorĂšrent trĂšs lĂ©gĂšrement de rosĂ©. « Mon sens sixiĂšme sens devait le savoir que je te rencontrerais et ne te lĂącherais plus jamais. » Rien que de parler de tes sentiments, te rendait incroyablement timide, mais pourtant, tu n'arrivais pas Ă t'arrĂȘter. « J'aime que tu fasses partie de ma vie. »
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Ă la fin de ta confession, bien que ce soit Ă mini-Xiao et non Ă l'adulte, le (C/Y) de ton regard se tourna de nouveau vers le petit garçon dont les joues brĂ»lait de rouge. Il ne comprenait pas, Ă son Ăąge, il ne comprenait pas tout, bien qu'il soit plutĂŽt intelligent, il ne comprenait pas pourquoi son corps rĂ©agissait comme ça. Il sentait son visage brĂ»ler, son cĆur battre dans ses tempes alors qu'il semblait Ă deux doigts de sortir de sa poitrine. Et pourtant, mĂȘme si ça lui faisait mal, il se sentait bien et Ă©trangement heureux qu'il aurait pu... Qu'est-ce qu'il pourrait faire ? Il n'en savait rien, il ignorait ce qu'Ă©taient ces sentiments, il ne savait pas ce qui lui arrivait, une nouvelle fois, sa main s'accrocha une nouvelle fois Ă son haut. Son regard perdu sur le parquet en chĂȘne de l'auberge, il ne remarqua pas l'Ă©tat de panique dans lequel il t'avait plongĂ©, trop assourdit par ses propres battements de cĆur erratique, pas encore habituer Ă son ouĂŻe de Yaksha.
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â   Â « Xiao ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ? » L'appelas-tu en vain, le garçonnet ne semblait pas te donner la moindre attention. Tu n'eus pas le choix, tu attrapas ses deux joues entre tes mains, avant de redresser dĂ©licatement son visage dans ta direction. « Xiao, qu'est-ce qu'il t'arrive ? »
â   Â « J'ai chaud, (T/P). » Prononça-t-il alors qu'il semblait se calmer lĂ©gĂšrement en rencontrant l'inquiĂ©tude prĂ©sente dans tes billes (C/Y). « Il tape vite. Je veux partir. Mais, je me sens bien. Je suis content. Je suis trop content. Mais je comprends pas. »
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Tout aussi perdue que lui, tu semblas te calmer lĂ©gĂšrement quand il exprima son bonheur. Tes mains glissĂšrent de ses joues, lĂ©gĂšrement rassurĂ©e, pour atterrir sur ses cuisses observant plus attentivement son visage, cherchant le moindre signe de mal-ĂȘtre. Cependant, tout ce que tu rencontras : fut un rĂ©el bonheur. Son visage rayonnait, il Ă©tait bien diffĂ©rent de son lui habituel composĂ© voir indiffĂ©rent, il Ă©tait rayonnant de bonheur. Ses prunelles d'or liquide brillaient de joie et ses fines lĂšvres se courbaient trĂšs lĂ©gĂšrement d'un sourire heureux. Comment Xiao pouvait-il ĂȘtre aussi adorable ? Est-ce que ton Xiao adulte pouvait, lui aussi, rayonner pareillement ? Rien qu'Ă l'imaginer, tu sentais ton cĆur fondre devant ce petit ĂȘtre adorable. Rassurer, tu poussas un soupir de soulagement, t'effondrant la tĂȘte la premiĂšre sur les genoux du mini-Xiao.
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â   Â « Je suis soulagĂ©e. Ne me refais plus peur comme ça. » Bougonnas-tu faussement au petit Yaksha alors que ton visage ne put s'empĂȘcher d'afficher un beau sourire. « Tu es si mignon. »
â   Â « DĂ©solĂ©e (T/P). » S'excusa-t-il d'un air sincĂšre en dĂ©tournant le regard de ton visage souriant. « Le sourire de (T/P) me donne chaud ici. »Â
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MĂȘme s'il Ă©tait bien diffĂ©rent de son lui adulte, il avait quelques mimiques ou rĂ©flexes similaires au Xiao adulte. Logique sachant qu'il est lui. C'Ă©tait rafraĂźchissant d'avoir un Xiao un peu plus ouvert sur ses sentiments, ou tout du moins, un peu plus bavard. Quand celui-ci te montra son cĆur tout en parlant, ton esprit ne put s'empĂȘcher de s'emballer pour faire Ă©cho aux propres battements de ton palpitant. T'aimerait-il aussi ? Ou serait-ce juste toi et tes propres divagations amoureuses prĂ©cĂ©dentes qui te rĂ©pondaient Ă ton souhait. MĂȘme si tu essayais d'oublier l'idĂ©e, ça faisait sens avec tout ce que mini-Xiao avait dit. Tu avais besoin de te calmer et de t'Ă©tirer les jambes, qui devenaient douloureuses en restant trop longtemps accroupies, tu te redressas.
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â   Â « Il te met mal Ă l'aise ? »
â   Â « Non. J'aime que (T/P) me sourit. » Te corrigea-t-il avec une expression Ă©trangement satisfaite de ses explications. « J'aime aussi que (T/P) me fasse des cĂąlins ou me porte. J'aime aussi Ă©coutĂ© (T/P) parler. »
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Ne devras-tu pas l'arrĂȘter ? Ta conscience te criait qu'il le fallait, au cas oĂč Xiao se souviendrait de ce moment et pour prĂ©server ses pensĂ©es. Mais ton cĆur lui te criait, t'implorait presque de le laisser continuer, bien trop contente d'enfin entendre les sentiments bien enfouis de l'homme que tu aimais. MĂȘme s'il Ă©tait un enfant, ce qu'il ressentait en cet instant appartenait au Xiao plus ĂągĂ©, il Ă©tait impossible qu'un bambin puisse dĂ©velopper une confiance ou de l'affection en te rencontrant il y a Ă peine dix minutes. Le choix Ă©tait compliquĂ©, mais tu n'eus pas le temps de pousser plus loin que Yanxiao apportait une assiette bien garnie de tofus aux amandes.
D'un sourire chaleureux pour le cuisinier, tu ramassas l'assiette de ses mains avant de t'asseoir Ă ton tour sur la vieille table. Celle-ci grinça, alors que tu mettais la porcelaine entre les mains du plus jeune qui prit rapidement place sur tes cuisses. AdossĂ©e contre le mur extĂ©rieur de l'auberge, tu regardas d'un Ćil tendre le petit garçon manger, enfin dĂ©vorer, les sucreries moelleuses. Avait-il peur qu'on lui vole ? Ses joues gonflĂšrent comme celles des hamsters. Il Ă©tait bien trop craquant pour ton pauvre petit cĆur.
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â   Â « Tu peux prendre ton temps, tu vas t'Ă©touffer. Ne t'inquiĂšte pas, je ne t'en volerais pas, personne ne t'en volera. »
â   Â « Ce n'est pas grave si c'est (T/P) qui m'en prend. »
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Ă quel point pouvait-il ĂȘtre adorable ? N'y tenant plus, tes lĂšvres se posĂšrent sur sa joue, absolument conquise par le petit ĂȘtre innocent sur tes cuisses. Ses joues rougirent d'un seul coup, mais il ne fit aucun geste pour se dĂ©faire de ton emprise, apprĂ©ciant, d'un plaisir coupable, sentir tes lĂšvres sur ses joues. Comment Ă©tait-il arrivĂ© Ă s'asseoir sur tes cuisses ? Pourquoi ses mains Ă©taient-elles si petite ? Xiao s'adaptait tout doucement Ă sa situation, ses souvenirs remontant petit Ă petit Ă la surface. Pas encore noyĂ© dans la gĂȘne, pas rĂ©ellement conscient de la quantitĂ© de baisers dĂ©posĂ©s sur ses petites joues, il se laissait faire.
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â   Â « Si mignon. Ce n'est pas ton tofu que je vais dĂ©vorer, mais toi, mon adorable Xiao. »
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Tes bras l'entouraient, il sentait ta chaleur bercer son corps enfantin alors que ton rire rĂ©sonnait au creux de son oreille. Tes paroles avaient du mal Ă s'imprimer, mais dĂšs qu'elles le furent, tout son corps brĂ»la de gĂȘne, il s'Ă©tait complĂštement raidi dans ton Ă©treinte. Cet homme voulait disparaĂźtre. Il ne savait plus quoi faire. Il ne savait plus comment rĂ©agir. Il Ă©tait mortifiĂ©. Il voulait partir et en mĂȘme temps, il pouvait profiter encore plus longtemps de cette douce chaleur qui le cĂąlinait. Pourrait-il en profiter une nouvelle fois quand il serait Ă nouveau dans son corps d'adulte ? Non. Il le savait dĂ©jĂ . Alors pour une fois, pouvait-il cĂ©der Ă son dĂ©sir Ă©goĂŻste ? Avec son corps dans cet Ă©tat, il ne pourrait pas remplir ces devoirs de Yaksha. MĂȘme si sa rigiditĂ© et sa loyautĂ© au souverain de la roche l'appelaient Ă faire son devoir, son souhait, son dĂ©sir, mortel d'ĂȘtre tenue entre tes bras prenaient le pas.
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â   Â « Je t'aime tellement Xiao. »
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C'Ă©tait une confession naĂŻve et imprudente Ă faire Ă un Yaksha, c'Ă©tait ce que pensait Xiao alors qu'il avait l'impression de sentir son cĆur raisonnĂ© dans tout son corps. MĂȘme s'il se sentait lĂ©gĂšrement coupable d'avoir entendu ta confession tandis que tu pensais sans doute qu'il ne s'en souviendrait pas, il se sentait rempli de bonheur. Tu t'adressais sĂ»rement ces sentiments Ă son lui enfant, mais il en Ă©tait quand mĂȘme heureux. Il se sentait heureux, mais son esprit s'embuait petit Ă petit. Il se sentait Ă©trangement lourd. Est-ce Ă cause de son physique d'enfant ? Il ne pouvait que s'en douter. ApaisĂ©, par le sommeil et ton cĆur battant contre son sommeil, il se laissa bĂąiller Ă s'en dĂ©crocher la mĂąchoire, ses yeux luttant contre le sommeil.
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â   Â « Il faut croire, que tu sois en modĂšle rĂ©duit me fait parler plus facilement. » Te lamentas-tu ensuite d'un coup d'Ćil vers l'enfant qui sombrait tout doucement. « Je suppose que ce petit corps a besoin d'un peu de repos. Tu peux dormir, Xiao, je veille sur ton sommeil. »
â   Â « Merci. Je t'aime. »
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C'Ă©tait un murmure. Un murmure qui aurait dĂ» ĂȘtre inaudible. Un murmure que tu avais entendu. Un murmure qui fit battre ton cĆur comme un fou. Avais-tu rĂȘvĂ© ? Est-ce encore ton esprit qui s'emballait ? Mais tu ne pouvais pas lui demander. Il dormait si paisiblement. DĂ©posant l'assiette de cĂŽtĂ©, tu t'Ă©tais rĂ©signĂ©e, dĂ©plaçant ton regard sur le cĂŽtĂ© pour s'Ă©garer sur le paysage. Un brin d'air soufflait, caressant avec chaleur vos peaux, ondulant les cheveux dĂ©sordonnĂ©s de l'enfant. Petit Ă petit MorphĂ©e t'entraĂźna avec elle au son doux des marchand et du brouhaha lointain des voyageurs de l'auberge.
Ta respiration était lente, toujours profondément dans les bras de Morphée, quand Xiao se réveilla. La lune était haute dans le ciel ancre de Liyue, et la température bien plus fraßche que des heures plutÎt. Les souvenirs bien en mémoire, le Yaksha te couvrait d'un regard empli d'affection, d'une adoration nouvelle. Est-ce qu'un jour, il avait pu se sentir aussi débordant d'amour et de bonheur ? Sûrement pas. C'était nouveau, il lui faudrait du temps pour s'y habituer, mais ce n'était clairement pas désagréable. Il avait peur de te réveiller, mais il ne pouvait pas te laisser à l'extérieur. Aussi précautionneux qu'avec le plus précieux des trésors, Xiao te ramassa comme une mariée, avant de t'emmener dans une des chambres de l'auberge, la sienne, enfin du moins celle que Verr Goldet lui avait attribué dans l'espoir qu'il s'en serve.
Il t'allongea prĂ©cautionneusement sur les draps, te recouvrant par la suite d'une couverture. Xiao prit un instant, un instant pour t'observer dormir. Il hĂ©sitait Ă caresser tendrement Ă ta joue. Il avait peur de te rĂ©veiller. Est-ce une erreur de t'avoir rĂ©pondu ? Ătait-ce son erreur de t'aimer ? Les humains Ă©taient Ă©phĂ©mĂšres... Alors qu'il y pensait, Xiao pouvait entendre sa voix, celle de Bonanus. Elle avait toujours Ă©tĂ© idĂ©aliste, mais elle lui avait dit tant de fois de ne pas rejeter l'amour qu'il ressentait. Si pour lui, c'Ă©tait une faiblesse, pour elle, il pouvait ĂȘtre la signification d'une force qui pouvait soulever des montagnes. Maintenant, qu'il commençait Ă en faire l'expĂ©rience, qu'on lui offrait cet amour, il ne pourrait plus la revoir et lui dire le contraire.
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â   Â « Je t'aime, (T/P). »
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Ce besoin, il ressentait ce besoin de redire ces mots, mĂȘme si dormait. Sa main gantĂ©e glissa tendrement sur ta joue, elle Ă©tait hĂ©sitante, de peur de te rĂ©veiller. Pourtant, ça fait dĂ©jĂ quelques bonnes minutes que tu Ă©tais rĂ©veillĂ©e. Aussi dĂ©licat qu'il le voulait, il Ă©tait impossible que tu ne te rĂ©veilles pas. Tes yeux (C/Y) s'ouvrirent accompagnĂ©s d'un dĂ©licat sourire. Ta main se posa sur la sienne, l'emprisonnant avec tendresse contre ta joue.
Â
â   Â « Moi aussi, Xiao. » Lui rĂ©pondis-tu, laissant son visage une nouvelle fois se colorer timidement par des teintes de rosĂ©es. « Tu repars ? »
â   Â « Je... Oui. »
â   Â « D'accord... J'attendrai. »
Â
Bonanus avait raison, et il avait bien fait d'y cĂ©der. Tu Ă©tais (T/P), son humaine, celle qui l'attendrait jusqu'Ă ce qu'il revienne. Celle qu'il aimerait. Celle qui chĂ©rirait Ă travers les Ăąges. Celle qu'il attendrait Ă son tour. Celle qu'il voulait rendre heureuse. Celle qui lui offrait dĂ©sormais un endroit oĂč rentrer. Celle qu'il protĂ©gerait avec son foyer. Pris d'un courage nouveau, bien que timide, il posa avec tendresse ses lĂšvres sur les tiennes. Ce baiser fut simple, innocent et court, mais il Ă©tait rempli de promesses. Il ne lui en fallut pas plus avant de disparaĂźtre dans la nuit profonde de Liyue, l'esprit lĂ©ger, avec qu'un dĂ©sir : rentrer.
Â
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02/09/2023 -- Photo 10:
Allez on sort des photos +18 pour revenir quelques temps sur les photos classiques. LĂ pour le coup, je pense avoir une anecdote, trĂšs basique d'ailleurs mais ce n'Ă©tait pas du tout ce que je cherchais Ă la base, ça devrait ĂȘtre une photo classique et au final ça se transforme en verre Ă la piscine. Au final le rĂ©sultat est sympa, je l'aime beaucoup ^^
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TrÚs chouette découverte que cet écrivain.
Ce roman est extrĂȘmement original. Il commence comme un thriller (une adolescente de 13 ans disparaĂźt le soir du nouvel an dans un petit village anglais) et en conserve la tension. Mais la narration est totalement diffĂ©rente dâun policier classique.
En fait, on lorgnerait presque (presque seulement !) du cĂŽtĂ© dâElizabeth Strout et ses chroniques des petites communautĂ©s du Maine⊠On a une forme de chronique de la vie rurale Ă©talĂ©e sur treize ans, avec mariages, divorces, dĂ©cĂšs, naissance⊠mais⊠mĂȘme si le narrateur est omniscient et quâil entre dans les consciences aisĂ©ment, sâattardant sur tel ou tel Ă©vĂ©nement, les paroles prononcĂ©es, les sentiments les plus enfouis, on a davantage lâimpression dâun double dispositif, trĂšs astucieux et trĂšs fluide : la narration est bien souvent faussement externe ; beaucoup de phrases commencent par « on a vu Untel faire ceci » ou « on a entendu Untel dire cela ». Et de plus, le narrateur observe Ă©galement la vie de la faune et de la flore, et mĂȘme des bĂątiments !
Comme si la disparition de Becky affectait le village intĂ©gralement, les humains, qui reprennent peu Ă peu leurs trains trains tandis que lâenquĂȘte sâessouffle, mais aussi les oiseaux, les insectes, les fougĂšres, les rĂ©servoirs dâeau, les collines⊠lâauteur mĂȘle dans les mĂȘmes paragraphes ce qui a trait aux habitants qui nous deviennent au fur et Ă mesure familiers, et ce qui touche Ă la nature, comme si tous, hirondelles, papillons, et couples usĂ©s avaient le mĂȘme statut. Câest assez dĂ©concertant et gĂ©nial. Certaines phrases reviennent dans chacun des chapitres qui correspondent Ă une annĂ©e aprĂšs la disparition, car la rĂ©pĂ©tition fait partie de nos vies, elle marque le temps qui avance, et le quotidien ainsi rĂ©pĂ©tĂ©, ni tout Ă fait le mĂȘme, ni tout Ă fait un autre, devient presque poĂ©tique, mais dĂ©formĂ© par cette disparition, cette anomalie quâon oublie sans lâoublier. Le lecteur suspend son souffle, sâattend Ă quelque chose, en lecteur aguerri aux Ă©nigmes policiĂšresâŠ
Mais ce nâest pas vraiment le sujet du roman. Le sujet Ă mon sens est Ă la fois lâhumanitĂ© de chacun, le deuil, et le temps. Jâai Ă©tĂ© Ă©blouie par lâattention portĂ©e aux dĂ©tails, des plus prosaĂŻques aux plus jolis (naissance de renardeaux, par exemple), jâai essayĂ© dâimaginer le colossal sens de lâobservation de lâauteur qui a rĂ©ussi Ă restituer un petit monde entier, comme sous une cloche de verre, soigneusement examinĂ© Ă la loupe. Soigneusement triĂ© aussi pour nâen garder que des morceaux choisis, des miniatures.
Et pourtant, au fond, on est renvoyĂ© Ă lâinsondable, aux secrets des cĆurs et des corps. Câest un sacrĂ© exercice de style, mais qui nâest pas vain ou purement esthĂ©tique, il bouleverse nos habitudes de lecteurs, nos attentes et invite Ă une nouvelle façon de regarder autour de soi.
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Quelles sont les activités préférées d'Aro ?
La musique a un effet apaisant sur le roi, surtout la musique classique. Il a un faible pour Mozart, qu'il a d'ailleurs rencontré, ce que tout le clan sait. D'ailleurs, les recrues apprennent vite qu'il ne faut jamais lancer leur maßtre sur certains sujets, dont Mozart ou Van Gogh.
Il trouve du plaisir aussi en composant des morceaux sur son piano.
Il aime particuliĂšrement lire surtout les Ćuvres classiques, bien qu'ils soient aussi un grand fan des romans actuels, mais jamais il ne l'avouera Ă qui que ce soit. Cependant, Sulpicia est bien placĂ©e pour savoir que la moitiĂ© de la bibliothĂšque de son mari est remplie de livres qui ont moins de 5 ans.
Il aime rencontrer de nouvelles personnes sans nĂ©cessairement utiliser son don. Il aime comprendre l'humanitĂ© et regrette souvent les temps anciens oĂč il pouvait s'Ă©terniser avec un artiste et partager un verre de "vin".
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La fibre optique est un fil en verre ou en plastique dans lequel passe internet, elle permet une connexion plus rapide que le réseau classique en cuivre.
Il existe 3 types de connexions utilisant la fibre :
Fiber to the home (FTTH) qui signifie fibre jusqu'au domicile dont la connexion Ă internet est exclusivement en fibre. C'est le mode de connexion le plus rapide.
Fiber to the last amplifier (FTTLA) qui signifie fibre jusqu'au dernier amplificateur dont la connexion Ă internet est Ă la fois en fibre et en cuivre. La partie en fibre s'arrĂȘte au niveau d'une armoire situĂ©e dans la rue ou un boĂźtier dans un immeuble et le reste de la connexion est en cuivre.
Fiber to the building (FTTB) qui signifie fibre jusqu'Ă l'immeuble dont la connexion Ă internet est Ă©galement Ă la fois en fibre et en cuivre. Dans ce cas, la partie en fibre s'arrĂȘte au pied de lâimmeuble et le reste de la connexion est en cuivre.
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[Somewhere, you have an other.]
I - Le Chariot
On dit que quand tu commences Ă chercher quelque chose, tu le trouves partout. Si tu penses que 11h11 a une signification particuliĂšre, tu as tendance Ă regarder ta montre Ă cette heure prĂ©cise. Comme un mystĂšre attendant d'ĂȘtre dĂ©couvert. Mais dans mon cas, je suis sĂ»r que c'est ce mystĂšre qui m'a trouvĂ©.
RĂ©cemment, les cartes de tarot de Leonora Carrington, une artiste surrĂ©aliste, ont Ă©tĂ© rĂ©Ă©ditĂ©es. Elle les a dessinĂ©es dans les annĂ©es â60 et bien que ces cartes soient trĂšs belles et mĂ©morables, elles ont gĂ©nĂ©ralement Ă©tĂ© oubliĂ©es Ă cause de ses peintures. InspirĂ©es du Tarot de Marseille, les cartes de Carrington Ă©taient classiques mais aussi injectĂ©es de son propre style unique. Je les ai adorĂ©s. TrĂšs peu de paquets de cartes ont Ă©tĂ© fabriquĂ©s, donc, ils se sont tous vendus avant que je puisse en obtenir un. Ce que je ne savais pas alors, c'est que je n'avais pas besoin de les possĂ©der pour que les cartes fassent partie de ma vie.
Tout a commencĂ© dans une librairie prĂšs de chez moi. La femme devant moi dans la file d'attente avait un sac fourre-tout avec une Ă©pingle de l'Amoureux dessus. Le dessin de Leonora. J'ai seulement pensĂ© Ă ce moment-lĂ que c'Ă©tait super et que je devrais en acheter un aussi (mais en fait, je ne l'ai pas trouvĂ© en ligne). Plus tard, quand je prenais un verre avec un ami, j'ai remarquĂ© que le gars assis Ă cĂŽtĂ© de nous au bar avait un tatouage de la Papesse sur son bras. Encore une fois, la conception exacte de Leonora. Avant que je puisse lui poser la question, il avait disparu. Quelques jours plus tard, je suis allĂ© chez un disquaire pour chercher le nouvel album de Regina Spektor. Je l'ai trouvĂ©, mais Ă©trangement, il y avait un autocollant de carte du tarot de l'Amoureux dessus. Connaissant la rĂ©ponse, j'ai demandĂ© au propriĂ©taire, qui, bien sĂ»r, mâa dit qu'il ne l'avait jamais vu auparavant.
Ensuite, les choses sont devenues vraiment Ă©tranges.
J'avais rĂ©ussi Ă me convaincre que ce n'Ă©taient que des coĂŻncidences jusqu'Ă l'apparition des trois prochaines cartes. L'une est venue quand j'ai commandĂ© un cafĂ© et que le barista a dessinĂ© le Papesse au lieu d'Ă©crire mon nom au sur le gobelet en carton. Quand j'ai demandĂ© qui avait fait mon cafĂ©, on m'a dit que leur quart de travail venait de se terminer. Une autre carte m'a trouvĂ© au travail, lors d'une confĂ©rence oĂč j'ai reçu de nombreuses cartes de visite que je n'ai regardĂ©es qu'une fois l'Ă©vĂ©nement terminĂ©. L'un d'eux Ă©tait simplement une petite carte avec l'Empereur. Sans les dĂ©tails du contact.
La prochaine carte est apparue six mois plus tard, alors que je pensais que tout Ă©tait fini. Le Chariot. ĂpinglĂ© Ă la porte de mon appartement.
Quelque chose m'avait trouvé. Quelque chose qui voulait jouer.
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Un petit goût de Provence...
Un Martini classique fait peau neuve lorsqu'il est garni d'olives séchées à l'huile sur une brochette de martini parfumé aux olives et au romarin.
âȘïžPour rĂ©aliser ce Cocktail aux saveurs de Provence, il vous faut...
đ«2 doses de gin
đ«2 cuillĂšres Ă cafĂ© de vermouth
sec
đ«1 brin de romarin
đ«Olives dĂ©noyautĂ©es
âȘïžRĂ©alisation
đ«Dans un shaker, mettez lee 2 doses de gin, les 2 cuillĂšres Ă cafĂ© de vermouth sec avec de la glace pilĂ©e.
đ«Secouez vigoureusement, puis filtrez et verser dans un verre Ă pied.
đ«Enlevez les feuilles du bas de 2 pouces d'un brin de romarin et piquez-les dans les olives dĂ©noyautĂ©es
đ«Ajoutez les et ajoutez-les Ă la boisson.
Fermez les yeux, écoutez les cigales, et... dégustez !
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La fin des grands empires et des civilisations
  âNous autres, civilisations, savons que nous  sommes mortellesâ, Ă©crivait Paul ValĂ©ry au lendemain de la Grande Guerre⊠Perse, Ă©gyptien, inca, aztĂšque, maya, grec, romain, moghol ou, plus tard, europĂ©ens puis amĂ©ricain⊠les  empires se sont effondrĂ©s un Ă un, avec les civilisations qui les avaient portĂ©s, le plus souvent non dans la guerre, mais parce qu'ils ont âpourriâ de l'intĂ©rieur. Et il semble qu'il y ait comme un plafond de verre : trĂšs peu d'Empires ont dĂ©passĂ©Â les 250 ans de notre âparadigmeâ europĂ©en. LâHistoire pourrait-elle nous convoquer devant son tribunal ?
La naissance et la fin des Empires a toujours exercĂ© une forme de fascination, que montre le nombre de livres sur âThe rise and fall of the XYZ Empireâ, âVie et mort de tel Empire. Depuis la nuit des temps, certains peuples ont imposĂ© leur domination, pour une cause identifiable : le fer, l'or, la foi ou l'esprit âmais jamais le hasard. Plus tard, ils ont tous disparu (âTout empire     pĂ©riraâ, dit un adage jamais dĂ©menti), pour des raisons multiples : crises de croissance, allongement sans fin des lignes de contrĂŽle, non-assimilation des populations conquises, Ă©puisement de âla sourceâ (gĂ©nĂ©ralement : une ville, un roi guerrier), paupĂ©risation Ă©conomique, affaissement du modĂšle, faiblesse militaire ou apparition et renforcement de rivaux intĂ©rieurs et extĂ©rieurs. Lâambition ou le rĂȘve dâĂȘtre universel et Ă©ternel finit toujours par se heurter Ă la rĂ©sistance de plus fort que soi, et le temps-qui-passe multiplie les opportunitĂ©s de voir se dresser des âchallengersââ qui rĂȘvent de contester ce qui est, au nom de leur propre â'ĂȘtreâ ou du refus de leur âavoir Ă©tĂ©â soumis ou vaincus.
âLa fin des empiresâ (Editions Perrin), sous la direction des historiens Patrice Gueniffey et Thierry Lentz, raconte, explique et analyse la naissance, le dĂ©clin et la chute des plus grands empires, depuis le gĂ©nie militaire  d'Alexandre le Grand⊠jusqu'au soi-disant soft power Ă©conomico-politique de Washington (le plus brutal et le plus impitoyable n'Ă©tant pas forcĂ©ment celui qu'on croit !), en passant par le modĂšle romain dit âclassiqueâ et son hĂ©ritier byzantin, par les empires des steppes (Attila, Gengis-Khan, Tamerlan), l'Empire ottoman, les  empires amĂ©rindiens et le binĂŽme latino-continental espagnol, prĂ©cĂ©dant le XX Ăšme siĂšcle des idĂ©ologies (1914-1991) qui a vu tour Ă tour s'effondrer l'empire des Habsbourg, le IIIe Reich, le Japon militariste, puis, aprĂšs la guerre froide, le communisme soviĂ©tique, hĂ©ritier inhumain et Ă©pouvantable de l'impĂ©rialisme sĂ©culaire de la dynastie des Romanov.
BrisĂ©s dans leur histoire par les deux guerres mondiales, par la faillite des totalitarismes et par le dĂ©clin de l'Europe qui avait peu ou prou dominĂ© le monde depuis le XVIe siĂšcle, les empires ont pu sembler condamnĂ©s avec âLa Fin de l'histoireâ (F. Fukuyama â1992). Mais si les empires existants disparaissent, tout se passe, en fin de compte, comme s'il existait une cause cachĂ©e, de nature humaine, que mon maĂźtre AndrĂ© Siegfried dĂ©signait par âL'Ame des peuplesâ (une anecdote âpersoâ : dans les annĂ©es â55, j'empruntais les âcartesâ de mes amis pour aller suivre ses cours Ă Sciences Po, avant de le retrouver, plus tard et plus officiellement, au CollĂšge de France oĂč jâai eu la chance de mieux le connaĂźtre)
Car l'impĂ©rialisme, mĂȘme mort, semble renaĂźtre sans cesse de ses cendres : les avatars de la Chine, l'Ă©ternel retour de la Russie, les rĂȘves âottomaniaquesâ d'ErdoÄan, le poids sans cesse renouvelĂ© des Etats-Unis, et mĂȘme âl'Ummaâ arabo-musulmane, ce rĂȘve de la ârenaissanceâ d'un califat fantasmé⊠tout, dans l'Histoire, exprime la nostalgie de temps âheureuxâ, mĂȘme inventĂ©s, comme le rĂȘve islamiste (cf. âLa gestion de la Barbarieââ2004). A l'opposĂ© de ce programme ravageur, âLa fin des empiresâ est essentiel pour connaĂźtre hier,    comprendre aujourd'hui, et prĂ©voir demain. Câest, plus qu'un livre d'histoire, une Ă©tude sur l'Histoire, car⊠quels points communs peut-on trouver, intuitivement, entre la GrĂšce antique, les empires mongol puis moghol, le IIIe Reich allemand, les empires coloniaux français ou portugais et lâempire aztĂšque, par  exemple ?
Et pourtant, il ne se peut pas qu'il n'y en ait pas : depuis 5000 ans, des organisations politiques ont rassemblĂ© des peuples, des langues et des religions sous la fĂ©rule dâun empereur âen armesâ prĂ©tendant peu ou prou Ă une vocation ou Ă un destin universels. RĂ©sultat : un âEmpireâ ne se dĂ©finit pas par son    étendue (lâempire napolĂ©onien âfaitâ'8,6 millions kmÂČ en 1811, et lâempire des steppes fondĂ© par Gengis Khan, 33 millions kmÂČ Ă son apogĂ©e, du Pacifique Ă la Turquie actuelle)⊠ni par la durĂ©e (mille ans pour lâEmpire byzantin, sept ans pour le IIIe Reich)⊠ni par une religion (il existait 30 000 dieux, vernaculaires ou importĂ©s, dans la Rome ImpĂ©riale⊠d'oĂč sans doute la cĂ©lĂšbre expression : â'Ils sont fous, ces romainsââ !)⊠et encore moins par le mode de gouvernement qui va d'une large autonomie aux peuples soumis (AthĂšnes, Rome) Ă une centralisation paranoĂŻde (la Sublime Porte, la Grande Russie, ou la tentation de l'ogre  dit ââeuropĂ©enââ actuel).
Les raisons de la crĂ©ation d'un Empire sont peu nombreuses et bien connues : il faut et il suffit d'un homme qui en rĂȘve, d'un dieu qui le soutient, et de quelques critĂšres de nature militaire : les armes de cuivre des hittites ne pouvaient que se rompre devant les Ă©pĂ©es de fer des Ă©gyptiens, les flĂšches des Incas devant les tromblons des Conquistadores, la flotte vĂ©nitienne devant le â'feu grĂ©geoisâ et l'Europe de 1800 devant l'idĂ©e de NapolĂ©on de faire se dĂ©placer les unitĂ©s de la Grande ArmĂ©e plus vite que tous ses ennemis, âd'Espagne en Autricheâ (cf le cĂ©lĂšbre monologue de Flambeau). Mais aussi notre belle infanterie devant la ruĂ©e des Panzers de GudĂ©rian, en mai 40, et notre armĂ©e conçue pour l'Europe devant les mille ruses des âBá» Äá»iâ fanatisĂ©s de Ho Chi Minh⊠L'idĂ©e motrice, finalement, serait une tentative d'arrĂȘter l'histoire (en la figeant dans une structure dont la taille assurerait une forme d'Ă©ternitĂ©) mĂȘme si cette tentation a toujours Ă©tĂ© vouĂ©e Ă lâĂ©chec⊠ce qui n'empĂȘche pas la vraie fascination qu'elle continue d'exercer.
En revanche, les causes de leur effondrement sont multiples : lâambition dâuniversalitĂ© se heurte aux rĂ©sistances⊠le temps qui multiplie les opportunitĂ©s ⊠l'administration de territoires immenses⊠les mĂ©canismes de succession (cas de lâempire carolingien et de lâempire mongol, qui Ă©clatent en autant de royaumes que dâhĂ©ritiers)⊠la dĂ©sagrĂ©gation interne (pour lâempire soviĂ©tique)⊠la faiblesse ou la folie (Hitler et Staline, ces frĂšres ennemis)⊠le coĂ»t du maintien d'un un appareil militaire suffisant (la principale menace pour les Ătats-Unis)⊠les intrigues pernicieuses de la Cour ou du Harem (la Sublime Porte)⊠et le recours aux troupes mercenaires (Rome, et dynastie Qing, en    Chine)⊠l'inconscience des menaces et la trahison (Byzance)⊠lâinutilitĂ© de la super-structure du Saint Empire romain germaniqueâŠ. Les causes sont nombreuses : presque autant que les Empires !
Que nous rĂ©serve la suite ? En fin de compte, se pencher sur la fin des empires, câest sâinterroger sur leur retour, favorisĂ© par le dĂ©clin de l'Europe : la chute de lâUnion SoviĂ©tique semble avoir Ă©tĂ© le dernier Ă©pisode de la notion    classique d'Empire⊠(en pire⊠si j'ose !), mĂȘme si l'Ă©volution de la construction bruxelloise nous fait rĂ©gresser vers lâĂ©poque mĂ©diĂ©vale du Saint Empire romain germanique âqui avait rĂ©ussi Ă coiffer des duchĂ©s et des citĂ©s dans un ensemble Ă peine moins inconsistant que lâactuelle Union EuropĂ©enne, en    tentant âc'est patent dans le second casâ  de contrer l'Etat-Nation, en le dĂ©crĂ©tant, contre toute Ă©vidence, populiste, rĂ©actionnaire, dĂ©magogue ou europhobe, voire âillibĂ©ralâ â ce qui ne veut rien dire. Mais rien ne les arrĂȘte : ils se croient Ă lâabri et osent tout et n'importe quoi
Ce concept d'Etat-Nation, qui a âfaitâ l'Europe, est nĂ© au XIII Ăšme siĂšcle en France quand Philippe Auguste a dĂ©crĂ©tĂ© : âLe Roi est Empereur en son royaumeâ, illustration d'une volontĂ© de renforcer l'institution royale et d'assurer sa suprĂ©matie sur toute autre puissance. LâĂtat-Nation  connaĂźt ses dĂ©buts rĂ©els Ă la Renaissance et devient la forme normale dâorganisation politique dans la seconde moitiĂ© du XIXe siĂšcle. Paradoxalement, câest en Europe et par l'Europe-institution quâil semble se dĂ©liter maintenant, dans un  pas de deux entre les âmodĂšlesâ d'Empire et d'Etat-Nation.. Que nous rĂ©serve la suite ? Lâavenir semble hĂ©siter entre  des empires Ă©conomiques (USA), thĂ©ocratiques (l'islam) ou iso-messianiques (Chine), la pĂ©rennitĂ© dâĂtats-Nations, lâEurope-institution dĂ©jĂ ratĂ©e, dâautres formats Ă crĂ©erâŠ
H-Cl.
PS. : Dans mes recherches pour cet Ă©ditorial, je suis tombĂ© sur la liste des dix plus grands empires de l'Histoire, ce qui pourrait intĂ©resser certains dâentre vous, Amis lecteurs. ââSic transit gloria mundiââ : voilĂ comment disparaĂźt la gloire du monde⊠Cette liste, recopiĂ©e ââin textoââ, raconte une autre vision de lâHistoire du monde : une nette domination des pays ââdu Croissant dâorââ jusque vers lâan mil de notre Ăšre, puis lâAsie jusquâau XIIIĂš siĂšcle⊠et lâEurope  ensuite (lâEmpire AmĂ©ricain qui en est le pseudopode nâest pas mentionnĂ© dans cette Ă©tude : il est trop flou dans ses limites mais nous savons qui est le chef, aujourdâhui). Et demain ? Qui ? OĂč ?
     1 - Empire britannique (35 500 000 km2 en 1920)
     2 - Empire Mongol  (33 200 000 km2 en 1279)
     3 - Empire russe (22 800 000 km2 en 1895)
     4 - Empire espagnol (22 000 000 km2 en 1810)
     5 - Dynastie Qing (14 700 000 km2 en 1790)
     6 - Empire colonial français (13 500 000 km2 en 1939)
     7 - Califat abbasside (11 100 000 km2 en 750)
     8 - Califat omeyyade (11 000 000 km2 en 720)
     9 - Dynastie Yuan (11 000 000 km2 en 1310)
     10- Empire colonial portugais (10 400 000 km2 en 1820)
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Les shamans et les ombres
Dans l'archipel des 7 mers les shamans sont apparus il y a des centaines d'annĂ©es, personne ne sait vraiment d'oĂč ils viennent et d'oĂč provient leur magie. Actuellement les shamans n'ont pas d'organisation propre et unique. Certains shamans forment d'autres shamans, ce qui permet d'apprendre Ă mieux maitriser ses pouvoirs et devenir plus puissant, d'autres encore prĂ©fĂšrent se former seul mais cela prend plus de temps. Plus rares sont ceux qui ne s'intĂ©ressent pas Ă leur magie, s'ils ne s'en servent que trĂšs rarement ils ne sont donc pas trĂšs aguerris. Â
Les shamans autrefois se sont rassemblés pour créer une entité puissante mais les velléités de chacun ont eu raison de leur organisation. Subsiste encore ce découpage des pouvoirs en ordres qui permet d'identifier chaque shaman et son pouvoir. Il existait un systÚme d'apprentissage et les shamans étaient beaucoup plus puissants à l'époque. Aujourd'hui ils ne représentent plus autant une menace qu'avant, mais peuvent s'avérer utiles dans bien des contextes. On les retrouve ainsi un peu partout : comme conseillers de certains ducs, à bord de certains navires, comme artisan au service des Feyrborn pour la construction des vivenefs, entre autre... Tout est possible pour un shaman.
Enfin les shamans ne se soutiennent pas forcĂ©ment entre eux, chacun poursuit son but, mĂȘme si certains pensent qu'il serait intĂ©ressant de commencer Ă se rĂ©unir...
⊠Le signe
A la naissance un shaman n'est pas diffĂ©rent d'un autre ĂȘtre humain. Ils jouissent donc en gĂ©nĂ©ral d'une enfance classique et ne font pas l'objet d'un quelconque rejet de la part de leurs gĂ©niteurs Ă cause de leur magie. C'est Ă l'adolescence, sous le coup d'Ă©motions puissantes, que les premiers pouvoirs du shaman apparaissent. A ce moment lĂ , les pouvoirs sont gĂ©nĂ©ralement incontrĂŽlables, et cela est exacerbĂ© lorsque le jeune shaman est instable psychologiquement. A la premiĂšre pleine lune suivant la premiĂšre manifestation du pouvoir, le corps du jeune shaman est marquĂ© d'un signe, comme un tatouage gravĂ© sur la peau. Ce signe devient la preuve formelle qu'il est un shaman. A partir de ce moment lĂ le jeune shaman sait qu'il en est un. GĂ©nĂ©ralement presque aucun d'entre eux ne parvient Ă l'age adulte sans avoir dĂ©couvert son potentiel.
⊠Formation
Comme il n'existe plus d'organisation, ni de systĂšme maitre/apprenti, le shaman se retrouve livrĂ© Ă lui mĂȘme. Cependant il existe des shamans qui cherchent Ă en former d'autres, il est donc possible de se former au contact d'une personne plus expĂ©rimentĂ©e. Et cela s'avĂšre ĂȘtre un atout important pour maitriser plus rapidement son pouvoir. En gĂ©nĂ©ral le maitre exerce la mĂȘme magie que l'apprenti dont il a la charge.
Néanmoins il est possible pour un shaman de se former seul, en s'entrainant quotidiennement à l'usage de son pouvoir. Il mettra un peu plus de temps qu'un individu formé pour maitriser sa magie, mais il n'est pas impossible d'arriver à un trÚs haut niveau de maitrise.
*Les niveaux de maitrise sont détaillés en 4 stades dont vous découvrirez tous les contours à l'ouverture du forum...
⊠Pouvoirs - Les ordres magiques
âą L'ordre d'opale : les membres de l'opale sont des soigneurs. Ils peuvent guĂ©rir des blessures, rĂ©parer des os, apaiser des esprits en Ă©tat de choc, rĂ©duire le rythme cardiaque, etc. Ils agissent principalement sur le corps. C'est un pouvoir qu'ils ne peuvent pas appliquer Ă eux mĂȘme. Ils ne peuvent pas non plus ressusciter une personne. A l'inverse ils leur est possible de maintenir un peu plus longtemps en vie une personne sur le point de mourir sans pouvoir lui Ă©pargner la mort, cela ne peut durer que quelques minutes Ă quelques heures. Ils peuvent Ă©galement aggraver certaines blessures existantes s'ils poursuivent un but un peu moins noble.
âą L'ordre d'amĂ©thyste : les membres de lâamĂ©thyste sont capables de manipuler la matiĂšre dure telle que le mĂ©tal, la pierre, le bois ou encore le verre. Ils sont capable de plier la matiĂšre Ă leur convenance c'est Ă dire modifier son Ă©tat molĂ©culaire, le faire passer d'un Ă©tat solide, Ă un Ă©tat liquide par exemple, ils peuvent dĂ©placer les objets grĂące Ă leur esprit, modifier leur composition, leur forme, etc. Les manipulations sont nombreuses. En gĂ©nĂ©ral les membres de cette ordre maitrisent une matiĂšre mieux qu'une autre et il faut des annĂ©es d'entrainement pour parvenir Ă manipuler totalement Ă sa guise la matiĂšre.
⹠L'ordre d'émeraude : les membres de l'ordre d'émeraude sont capables de maitriser la matiÚre végétale. Ils peuvent en effet faire pousser une fleur, un arbre plus rapidement, ils savent reconnaitre les plantes toxiques ou non, connaissent leurs propriétés de façon trÚs instinctive. Ils sont en général assez bon dans la fabrication d'onguents et de remÚdes, autant que de poisons mortels⊠Ils sont également protégés contre la toxicité de certaines plantes, ainsi avaler un poison végétal ne leur fait absolument rien.
âą L'ordre du saphir : les membres de l'ordre du saphir sont capables de maitriser lâĂ©lĂ©ment de l'eau et de l'air en mĂȘme temps. Leur pouvoir est simplement liĂ© Ă l'oxygĂšne qui est Ă©galement prĂ©sent dans l'eau. Ils peuvent ainsi manipuler l'eau, la faire passer d'un Ă©tat liquide Ă un Ă©tat solide ou gazeux, ils peuvent aussi influer sur le temps qu'il fait, crĂ©er des vents, des bourrasques, des tempĂȘtes pour les plus puissants. Ils sont Ă©galement capable de sentir des changements de pression atmosphĂ©rique et ainsi sentir un vent, une ondĂ©e en approche.
⊠Les ombres - Liés pour la vie
Les ombres dĂ©signent des individus liĂ©s par un lien magique Ă un shaman. Un shaman ne peut ĂȘtre l'ombre d'un autre shaman, c'est un lien qui nâexiste qu'entre un humain et un shaman. Chaque shaman est liĂ© Ă une ombre, mais ils peuvent vivre toute leur vie sans avoir rencontrĂ© celui Ă qui il est liĂ©.
L'ombre est un atout pour le shaman car il est une sorte d'amplificateur des pouvoirs du shaman et en gĂ©nĂ©ral celui-ci canalise mieux sa magie quand son ombre est prĂšs de lui. Naturellement il existe une harmonie entre l'ombre et le shaman. Les relations peuvent ĂȘtre un peu discordantes entre les deux, mais ils finissent toujours par se retrouver. C'est une sorte d'Ăąme sĆur, or il ne prĂ©dĂ©termine en aucune maniĂšre un lien amoureux mĂȘme s'il est possible.
Bien qu'il soit une force pour le shaman, l'ombre peut aussi ĂȘtre une faiblesse. Si l'ombre meurt il affaiblit nĂ©cessairement le shaman, mĂȘme s'ils ne se sont jamais rencontrĂ©s. Ainsi un shaman qui perd son ombre ne pourra jamais ĂȘtre aussi puissant qu'il l'a Ă©tĂ©. Â
âą Reconnaissance
Comment un shaman peut reconnaitre son ombre et inversement ? Certains peuvent chercher des années sans tomber sur son autre. Cependant un lien magique les uni et ce lien peut les guider l'un à l'autre naturellement. Certains shamans essayent de se couper de ce lien pour ne pas avoir à rencontrer son ombre, d'autres cependant vont écouter ce lien et se mettre à chercher ardemment.
Inversement l'ombre va sentir comme un vide en lui tant qu'il n'aura pas rencontrer son shaman. Instinctivement il sent le lien magique se tisser, mais ne saura pas l'identifier, bien qu'il puisse se laisser guider.
âą Le lien magique
Le shaman et l'ombre sont liĂ©s par un fil invisible qui relie leurs Ăąmes l'une Ă l'autre. Ce lien impact fortement l'ombre, qui lorsqu'il rencontre son shaman se sent dĂ©finitivement liĂ© par la pensĂ©e et par le cĆur Ă son shaman. L'ombre a la capacitĂ© de ressentir les Ă©motions de son shaman et avec le temps lorsque le lien s'est fortement resserrĂ©, il peut presque capter quelques unes de ses pensĂ©es, dĂ©velopper des intuitions concordantes avec celles de son shaman.
A l'inverse il est plus rare que le shaman ressente les Ă©motions de son ombre, ni ĂȘtre en mesure de capter ses pensĂ©es. Cependant le lien magique leur permet de sentir la prĂ©sence de leur ombre Ă chaque instant. Plus le lien est fort plus cette intuition se renforce Ă©galement. Il faut des annĂ©es pour un shaman et une ombre puissent dĂ©velopper un lien puissant. Plus ils s'entendent, plus ils sont liĂ©s.
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James & Suzy
DĂ©jĂ quinze minutes quâelle attendait et toujours rien Ă lâhorizon. Elle avait la sensation de perdre
son temps et elle détestait ça. Et cerise sur le gùteau, il tombait des cordes. Ne voyant toujours rien
venir elle dĂ©cida, Ă contrecĆur, de rentrer chez elle. Au diable sa soirĂ©e, elle rĂ©essayera demain.
Câest alors que contre toute attente, elle entendit une voiture la klaxonner, elle se retourna et vit une
voiture arriver Ă sa hauteur. Le conducteur Ă©tait un jeune homme blond avec une casquette noire, Ă
ses cĂŽtĂ©s se trouvait une jeune fille rousse en chemise Ă carreaux. Il lui demanda ce quâelle faisait
ici, elle lui rĂ©pondit quâelle rentrait chez elle parce que son nouveau chĂ©ri, qui devait lâemmener en
soirĂ©e, lui avait fait faux bond. Ayant subi le mĂȘme sort avec ses amis, il lui proposa de venir passer
la soirée avec eux. AprÚs quelques instants de réflexion elle accepta la proposition et monta avec
eux. Sur le trajet elle apprit que les deux jeunes se connaissaient depuis le lycée et étudiaient à la
mĂȘme fac dâhistoire. De son cĂŽtĂ©, elle Ă©tait secrĂ©taire dans une agence de communication. Rendue Ă
lâappartement du jeune homme, qui sâappelait James, elle les aida Ă prĂ©parer lâapĂ©ritif. Alors quâils
prĂ©paraient, il lui revint en mĂ©moire quâelle avait pris deux bouteilles de vin avant de sortir de chez
elle tout Ă lâheure. Ils accueillirent la nouvelle avec joie et les ajoutĂšrent Ă leur stock. Une fois
installĂ©s et pour lui souhaiter la bienvenue, Suzy lâinvita Ă servir la premiĂšre tournĂ©e. Elle dĂ©boucha
donc sa bouteille de Bordeaux et en servit une lampĂ©e Ă ses hĂŽtes, en les remerciant de lâavoir
accueillie si chaleureusement et de lâaider Ă oublier son dĂ©but de soirĂ©e ratĂ©. Ils lui offrirent un
sourire chaleureux en réponse et trinquÚrent avec entrain pour ouvrir le bal. BientÎt on entendit
sâenvoler joie et candeur, rires et bonheur, la jeune femme sâĂ©mouvant petit Ă petit du jeune couple
de colocataires, sâattendrissant de leur complicitĂ© et sâamusant de leurs pitreries. BientĂŽt, la fatigue
vint toquer Ă la porte et lâĂ©quipĂ©e se trouva trĂšs vite prise de somnolences, ils dĂ©laissĂšrent alors
leurs verres, espĂ©rant que cela les aiderait Ă attĂ©nuer la torpeur, mais rien nây fit, James finissant
mĂȘme par sâendormir sur le canapĂ©. Soucieuse, Suzy demanda Ă son invitĂ©e le degrĂ© des bouteilles,
mais ne trouva rien dâinhabituel, le vin Ă©tant dâun degrĂ© tout Ă fait classique. Câest alors quâelle
remarqua un dĂ©tail inhabituel. Alors quâelle bĂąillait Ă sâen dĂ©crocher la mĂąchoire et avait de plus en
plus de mal Ă garder les yeux ouverts, sa consĆur semblait ĂȘtre parfaitement rĂ©veillĂ©e. Essayant tant
bien que mal dâĂ©lever la voix, elle lui demanda ce quâil y avait vraiment dans ses bouteilles et
pourquoi elle ne subissait aucun effet, le silence fut sa seule et unique réponse. Puis elle la vit
regarder sa montre et se lever pour aller fermer la porte, éteindre les lumiÚres et débrancher le
tĂ©lĂ©phone. DĂ©semparĂ©e elle se rassit et fondit en larmes. Câest alors quâelle lâentendit sâapprocher
dâelle et lui dire dâune voix douce quâelle nâavait pas Ă sâinquiĂ©ter. Pour les remercier dâavoir Ă©gayĂ©
sa soirĂ©e elle allait prendre soin dâeux et ferait en sorte quâils ne sentent rien. Puis elle lâaida Ă sâallonger sur le canapĂ© avant dâaller dans la cuisine prĂ©parer son matĂ©riel. BientĂŽt MorphĂ©e devint
le maĂźtre des lieux et la jeune femme se mit au travail en fredonnant gaiement.
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« Nous voyons dans la musique classique lâessence et la somme de notre culture, car elle est son geste et sa manifestation la plus Ă©vidente et la plus rĂ©vĂ©latrice.
Nous possĂ©dons en elle lâhĂ©ritage de lâAntiquitĂ© et du christianisme, un esprit de piĂ©tĂ© sereine et courageuse, une morale dâun chevaleresque inĂ©galable. Car câest en fin de compte le sens dâune morale que revĂȘt toute manifestation classique de culture, lâabrĂ©gĂ© en un geste dâun idĂ©al du comportement humain. »
Hermann Hesse, Le Jeu des perles de verre.
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La femme des annĂ©es 20 a une nouvelle silhouette la minceur devient une rĂ©fĂ©rence et pour la premiĂšre fois, le bronzage devient populaire. Elle porte les cheveux courts Ă la garçonne, quâelle cache sous un chapeau cloche pour les sorties. La robe chemise fait une entrĂ©e trĂšs remarquĂ©e dans la garde-robe, elle est dĂ©clinĂ©e par de nombreux crĂ©ateurs et est portĂ©e par toutes dans des couleurs vives. Ces annĂ©es on voit naĂźtre une petite rĂ©volution pour la premiĂšre fois, les femmes dĂ©voilent leurs jambes. La robe de jour et la jupe remontent au-dessus du genou avant de reprendre de la longueur dans la seconde moitiĂ© de la dĂ©cennie. Les premiers vĂȘtements taille basse apparaissent Ă cette pĂ©riode. Le corset, trop contraignant, est proscrit tandis que le corsage met en valeur la taille et le dĂ©colletĂ©. ParallĂšlement, les premiers pantalons pour femmes voient le jour. La mode est au vĂȘtement qui brille : paillettes, sequins et perles de verre sâincrustent sur les robes. Coco Chanel propose la petite robe noire pour la premiĂšre fois en 1926. Elle deviendra un classique de la mode des annĂ©es 1920, alors que cette couleur Ă©tait alors rĂ©servĂ©e aux enterrements et sera surnommĂ©e la Ford de Chanel, Madeleine Vionnet de son cĂŽtĂ© sâimpose avec ses robes au drapĂ© impeccable. La fin de dĂ©cennie est marquĂ©e par la crise Ă©conomique, il devient donc de bon ton dâĂȘtre discrĂštement Ă©lĂ©gant
90 ans plus tard
Ralph Lauren Printemps 2012 PrĂȘt-Ă -Porter
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Marseille. Je suis retournĂ© au MusĂ©e des Beaux-Arts aprĂšs quelques annĂ©es.. Â
Entre les Ćuvres classiques, il y avait aussi une mini expo de Tamar Hirschfeld : âGrillĂ©eâ avec ses Ćuvres en verre.
- les 2 premiĂšres : âLa TĂȘte Double et ses Concombresâ inspirĂ©e de lâ âHermĂšsâ celto-ligure de Roquepertuse
-Â âMonsieur Pyromaneâ
-Â les 2 dâaprĂšs :Â âLa PoĂȘleâ
-Â âLes Croissants Fertilesâ
-Â âDes Larmes de Feuâ
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