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kingonews · 2 years
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DROITS DE L'HOMME EN CÔTE D'IVOIRE: LE RAPPORT DE LA FIDH QUI ACCABLE ABIDJAN.
DROITS DE L’HOMME EN CÔTE D’IVOIRE: LE RAPPORT DE LA FIDH QUI ACCABLE ABIDJAN.
Les mauvaises nouvelles se succèdent pour Alassane Dramane Ouattara. En effet, après l’affaire des 49 soldats ivoiriens prétendument mercenaires arrêtés à Bamako, c’est la Fédération internationale des droits de l’homme qui vient enfoncer le clou. Ainsi, selon la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH), la Ligue ivoirienne des droits de l’Homme (Lidho) et le Mouvement ivoirien…
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jhesite · 1 year
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“I get bored often. I've vertigo and I'm afraid of boredom; some time ago, I had a depression, to unconsciously be trendy maybe, caused by boredom or being boredom itself. If you write about boredom, it's that you're not bored. Boredom paralyzes or only makes you do destructive actions or puts you out in a state close to death. It was unbearable. No one could help me. I couldn't hold onto/cling to anything. When I say unbearable, I think the word is way far from the truth. It was deathly, yes. It was as if I was drowning in the air. I couldn't open any window on the street, in the world, on someone. Asphyxia. How to say it again... Weeks and months when moving required a huge effort and made me suffer as much as not moving. Unsupportable, yes, that's it. Absolutely unsupportable. Dishes were tasteless. A dead person who wouldn't be dead, a living person who wouldn't be alive. Alone, in an illimitable desert. Or, on the opposite, in a cell encircled by walls, very high, with a grey light on the very top, not able to read a book.“
Le solitaire, Eugène Ionesco
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ekman · 4 months
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Voici le visage du commissaire du peuple délégué à la censure pour la France, visa d’exploitation UE n°8563447. Cette sympathique tête d’abruti porte de nombreuses casquettes, toutes déformées par sa macrocéphalie gênante et sa réthorique de jésuite marxiste. 
Il s’appelle Christophe Deloire et il est à la tête (haha) de Reporters Sans Frontières, la fameuse assoce qui contribua, en des temps reculés, à la défense de quelques correspondants, photographes et autres reporters menacés, engeôlés, torturés... parfois butés. On se souvient d’ailleurs que son co-fondateur, l’affreuse girouette Ménard, y agit pendant de longues et néanmoins utiles années. ONG de terrain à sa création, “RSF” est progressivement devenue une sorte de chapelle morale à la con pour gauchiste en phase de recyclage, profil 45/55 ans, directeur des rédactions, déjà un divorce, une bicoque à Ré et les gosses HP en garde partagée. Aujourd’hui, “RSF” est une petite usine à gaz armée d’un budget annuel de huit millions d’euros (subventions publiques, mécénat et “fondations” sorosiennes à hauteur de 80 %), finançant la bagatelle de trois millions de “ressources humaines”. C’est vous dire si on est contents pour eux, leurs émoluments et leurs notes de frais. 
Cependant, notre carriériste ne se contente pas de ce job, car il est aussi directeur et vice-président du Centre de Formation des Journalistes, sorte de Saint Cyr pour futurs encartés du mainstream, escabeau vers la dynamique cooptatrice si chère à nos élites. Last but not least – comme écrivent encore les rescapés de la presse des années 2000, il a récemment été désigné pour occuper la tête des États Généraux de l’Information, énième pustule macroniste sensée réfléchir à la meilleure façon de bâillonner tout ce qui ne récite pas correctement la doxa informationnelle.
Ce tout petit Monsieur, cette authentique pompe à merde pour paraphraser Magritte dans son adresse à un critique acerbe, a conduit de main assurée une opération contre l’Arcom, via le Conseil d’État, au motif que la chaîne CNnews dérogerait de manière éhontée à la nécessaire représentation, sur son antenne, de sensibilités politiques diversifiées. Oui, CNews ne proposerait qu’une longue succession d’éditos et de pseudo-débats ultra fachos, indignes de la rayonnante démocratie française. Ne serait-il pas temps de sucrer leur fréquence à ces fumiers réacs, pense en substance ce petit Béria de bac à sable ? Cependant, es-tu certain de ne pas t’être trompé de cible ? Ne pensais-tu pas plutôt à la totalité des médias du service dit public ? Franchement, on se demande quel genre de promesse on a bien pu te faire pour que tu t’abaisses à ce point. Au pouvoir qui nous accable, tu sers le plat le plus dégueulasse qui soit, celui de la censure d’épuration, celle qui traduit un désir de vengeance amère. Ce qui te fait chier, Christophe Deloire, c’est qu’un média que tu ne pourras jamais contrôlé – et qui dit le contraire de ta Pravda publique en exposant les faits de la réalité de ce pays, puisse encore seulement respirer et laisse respirer des millions de Français. Ces Français-là – qui représentent quand même plus de la moitié des suffrages exprimés – te conchient, toi et ta clique de plumitifs vendus à un projet extra-territorial dont tu sers les desseins absurdes en pensant honorer tes vieilles lunes socialistes. 
Tu voudrais vivre comme Robespierre mais tu as peur de l’échafaud, tu voudrais mourir comme Marat mais tu ne te feras qu’enculer sous la douche. Pauvre toi, petit homoncule au crâne rempli de sérum égalitaire. Tu te crois pur et vertueux alors qu’il suffit d’observer ton regard vide pour comprendre que tu agis sur le seul fil de ton ambition démesurée. Ton envie de nuire est inversement proportionnelle à la taille de ta bite. Comment je le sais ? Sur le plateau de CNews où tu pensais pouvoir faire le bravache, tu t’es retrouvé le slip sur les chevilles, bizuté par d’ignobles nazis en colère. J’ai bien ri à observer ton désarroi. Tout compte fait, je te remercie pour ce moment passé chez ton vieux pote Bolloré.
J.-M. M.
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albad · 6 days
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Ce que j'ai lu de plus intelligent, à ce jour.
Libération
• 11 Juin 2024
• Par JOHANN CHAPOUTOT
• Historien, professeur d’histoire contemporaine à Paris-Sorbonne
Dans la nausée brune dont nous accable le pouvoir, les leçons des années 30
D’un côté, la possibilité d’une union des gauches que beaucoup croyaient irréconciliables. De l’autre, le compromis dangereux entre libéralisme autoritaire et fascisme, un classique du XXe siècle dont le macronisme use depuis 2017.
Les «années 30 sont devant nous», disait en 1990 le philosophe Gérard Granel, car ce qui a permis la catastrophe fasciste et nazie est toujours là : exploitation des humains, dévastation du monde, darwinisme social de la «concurrence» et de la «compétitivité», choix des riches, pour qui «mieux vaut Hitler que Blum». Mais, en histoire comme en politique, rien n’est jamais ni écrit ni joué. Dans la nausée brune dont nous accable le pouvoir, nous avons besoin de perspectives, et il faut remercier François Ruffin d’avoir, dès dimanche soir, posé l’alternative : la crise économique sociale, la désespérance, cela peut donner le nazisme, certes, mais aussi le Front populaire. Face à l’attaque du 6 février 1934 contre la Chambre des députés, un vaste mouvement social fait de militants socialistes et communistes et des syndicats a imposé l’union. Les appareils, de ces gauches que l’on croyait irréconciliables, fracturées par les scissions de1919-1921 entre léninistes et socialistes, ont suivi et ont conclu un accord de gouvernement : pari gagnant, aux élections municipales de 1935 comme aux législatives de 1936.
Psychologie infantile
On imagine mal l’effort que durent faire les communistes pour s’allier aux «partis bourgeois» et, de leur côté, les radicaux pour marcher avec les «bolcheviks». Ils ont évité à la France de 1936 une droite qui ne jurait que par l’austérité, l’ordre et, déjà, la solution autoritaire. Ils nous ont légué des acquis sociaux qui permettent, encore aujourd’hui, de vivre une vie humaine, et cette dignité conquise par les urnes, par les grèves, par le rapport de force avec un patronat séduit par la solution nazie et admirateur de Hitler.
Mais le Front populaire a fait long feu, et il faut en tirer les leçons jusqu’au bout. Les radicaux (le Parti républicain, radical et radical-socialiste, pour citer son nom exact) étaient l’équivalent idéologique et sociologique du PS actuellement, un parti d’élus, modéré, tiraillé entre une aile droite sensible à l’ordre, à l’autorité, très distante des mouvements sociaux, et quelques belles figures de gauche, comme Jean Zay, Pierre MendèsFrance et, oui, Edouard Daladier. C’est pourtant lui qui, après avoir fait l’union, a opéré en 1938 la même bascule qu’en 1926 et 1934 : après avoir été élus à gauche (cartel, néocartel, puis Front populaire), les radicaux, deux ans plus tard, ont rompu l’alliance et ont abandonné le pouvoir à la droite (1926) ou bien se sont alliés avec elle (1934 et 1938).
Cette remarquable constance dans le revirement, on la retrouve au PS –élu à gauche en1981, avant le «tournant» de la «rigueur» de 1983 réclamé par Jacques Delors, vainqueur en1997, avant de mener une politique de privatisations plus marquée que celle de Chirac et de Balladur, signataire des accords de la Nupes en 2022 avant de s’en détacher un an plus tard.
Autre leçon des années 30, à droite maintenant. Inutile d’épiloguer sur les motivations d’Emmanuel
Macron dans cette dissolution. Il est fort possible qu’il imagine sortir vainqueur de ce nouveau «pari». La rencontre des institutions monarchistes de la Ve République et d’une psychologie infantile conduit à croire à la thaumaturgie : après avoir survécu à la séquence des gilets jaunes par une répression violente et massive, un chèque de 10 milliards et le «grand débat», il a imaginé éteindre l’incendie néo-calédonien par sa seule présence (c’est raté) et, donc, dans le franglais des managers LREM, «prendre son risque».
Une morale de «trader» qui «assume» d’autant plus volontiers qu’il ne subit jamais les conséquences de ses actes: d’une victoire du RN pâtiront les étrangers, les pauvres et les faibles ainsi que les militants de gauche et les écologistes, soit ceux qui sont déjà conspués par les macronistes et le RN. Car ceux-là sont généralement d’accord sur tout. Après une petite embardée souverainiste et sociale, avec Philippot, Marine Le Pen est revenue aux fondamentaux de l’extrême droite – pro-business, antisociale et anti-écologiste.
Les «libéraux» et l’extrême droite ont toujours le même ennemi – la gauche redistributive, qui conteste un ordre social injuste et une économie qui détruit les femmes, les hommes et le vivant. Ils ont les mêmes marottes : fiscalité favorable aux riches, promotion des hiérarchies «naturelles» (au détriment de toutes les minorités, ouvriers, femmes et jeunes compris), exaltation de «l’ordre» (injuste, donc contesté et imposé par la matraque), rapport distant et distrait à la norme et à l’Etat de droit, destruction de l’environnement et répression massive des «écoterroristes»…
Usure du pouvoir
Beaucoup se demandent, en effet, ce qui changera si un•e RN est à Matignon et à l’Intérieur: ce seront les mêmes blindés Centaure qui rouleront contre les opposants à l’A 69 et les Kanak, les mêmes LBD qui crèveront les yeux, les mêmes grenades qui arracheront des mains. Ce sont bien les libéraux italiens et les élites sociales qui ont installé Mussolini au pouvoir en 1922, les libéraux autoritaires qui, avec les milieux d’affaires, ont fait le choix de Hitler fin1932, et les partis libéraux (FDP, FPÖ, CNI, puis UDF) qui, par «anticommunisme», ont accueilli et ont recyclé les anciens fascistes, nazis et collaborateurs d’Europe en 1945. Dernière leçon à méditer : le pari de l’usure au pouvoir. Levons l’hypothèque selon laquelle «en leur donnant les clés, ils prouveront leur nullité et seront discrédités à l’avenir». On a déjà entendu ce raisonnement en1922 et en1932 et on aurait mieux fait d’écouter Goebbels, qui confiait à son journal : «Nous entrons et nous n’en sortirons plus, sauf morts.» Promesse tenue par celui qui tua ses enfants et son épouse, avant de se suicider devant le bunker. Rappelons que les nazis, dans les années 30, étaient vus comme des partenaires politiques et économiques de premier choix : ils avaient détruit la gauche la plus ancienne et la mieux organisée du monde, avaient relancé les fondamentaux de l’économie allemande par des commandes d’armement massives et avaient fait de l’Allemagne une zone optimale d’investissement, où tous les capitaux se pressaient, tandis que le Point ou le JDD de l’époque, rêvaient de décrocher une interview de ce fameux «chancelier Hitler».
Duel-duo exclusif
Avec un RN à 50 % dans les forces de l’ordre, des médias droitisés et un pouvoir faible et violent qui, de l’affaire Benalla à la répression des écologistes, a méticuleusement repris le vocabulaire, la grammaire et les idées du RN, il vaut mieux éviter de prendre ce risque, d’autant plus qu’une victoire électorale peut vite déchaîner des militants identitaires qui savent pouvoir compter sur des sympathies dans la police dont certains syndicats, le 19 mai 2021, manifestaient, devant l’Assemblée nationale, en présence du ministre de l’Intérieur et du préfet de police de Paris, contre la «Justice» et la «Constitution».
Le compromis entre libéralisme autoritaire et fascisme est un classique de l’histoire du XXesiècle. Il se tisse sous nos yeux depuis2017, dans des médias qui nous imposent les cadrages et les thèmes de l’extrême droite, chez un pouvoir qui a fait alliance avec elle (pour installer un duel-duo exclusif, voire pour voter avec elle), et au détriment d’une population dont tous les sondages montrent qu’elle imagine, désire et rêve autre chose que l’individualisme forcené, la toxicité managériale, la compétition permanente et la dévastation du monde. Certaines élites font le choix du pire pour leur propre intérêt et l’imposent à des peuples hypnotisés par des médias biaisés. Qui se souvient que, en 1933 encore, l’écrasante majorité des Allemands rejetait la guerre ?
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aurevoirmonty · 2 months
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« L’étouffement des désirs par la satisfaction des besoins, telle est la police parcimonieuse, l’économie sordide, découlant des facilités dont nous accablent les machines, qui viendra à bout de nos races. »
Pierre Drieu la Rochelle, Le Jeune Européen (1927)
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leparfumdesreves · 11 months
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"Il y a le soleil qui délire et qui danse Au-dessus du jardin pétillant de couleurs Il y a le soleil qui fait valser les fleurs Et chanter les oiseaux subitement en transes.
Il y a la lumière inondant la campagne, Submergeant sous son or les blés blonds ondoyants Il y a le grand ciel transparent comme du verre et flamboyant teintant d’un bleu foncé la mer jusqu’en Espagne.
Il y a la garrigue odorante et trop sèche Dont la beauté fanée exhale des senteurs De lavande et de thym
Il y a la moiteur Des corps qui ont trop chaud, La peau devenue rêche.
Sous les rayons d’acier d’un soleil implacable Et il y a la plage et son sable en fusion La mer qui s’évapore en presque ébullition Dans l’énorme chaleur d’un été qui accable Et qui rend fou le Monde au bord de l’explosion.
Oh ! Puisse-t-il renaître en une autre éclosion…"
Vette de Fonclare "Délire d'Été"
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jloisse · 6 months
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Une journaliste explique la réalité de la vie en Palestine 🇵🇸
• Journaliste Antisémite ?
• Le dossier israélien 🇮🇱 est accablant.
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abridurif · 3 months
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Ce grand découragement à vivre, ma mère le traversait chaque jour. Parfois il durait, parfois il disparaissait avec la nuit. J’ai eu cette chance d’avoir une mère désespérée d’un désespoir si pur que même le bonheur de la vie, si vif soit-il, quelquefois, n’arrivait pas à l’en distraire tout à fait. Ce que j’ignorai toujours c’est le genre de faits concrets qui la faisaient chaque jour nous quitter de la sorte. Cette fois-là, peut-être est-ce cette bêtise qu’elle vient de faire, cette maison qu’elle vient d’acheter – celle de la photographie – dont nous n’avions nul besoin et cela quand mon père était déjà très malade, si près de mourir, à quelques mois. Ou peut-être vient-elle d’apprendre qu’elle est malade à son tour de cette maladie dont lui va mourir ? Les dates coïncident. Ce que j’ignore comme elle devait l’ignorer, c’est la nature des évidences qui la traversaient et qui faisaient ce découragement lui apparaître. Était-ce la mort de mon père déjà présente, ou celle du jour ? La mise en doute de ce mariage ? de ce mari ? de ces enfants ? ou celle plus générale de tout cet avoir ? C’était chaque jour. De cela je suis sûre. Ça devait être brutal. À un moment donné de chaque jour ce désespoir se montrait. Et puis suivait l’impossibilité d’avancer encore, ou le sommeil, ou quelquefois rien, ou quelquefois au contraire les achats de maisons, les déménagements, ou quelquefois aussi cette humeur-là, seulement cette humeur, cet accablement ou quelquefois, une reine, tout ce qu’on lui demandait, tout ce qu’on lui offrait, cette maison sur le Petit Lac, sans raison aucune, mon père déjà mourant, ou ce chapeau à bords plats, parce que la petite le voulait tant, ou ces chaussures lamés or idem. Ou rien, ou dormir, mourir. Marguerite Duras, L’Amant, Les Éditions de Minuit, 1984, p. 22-23
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raisongardee · 5 months
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"La technique le dote de rallonges extérieures presque indéfinies, mais elle ne saurait, avec tous ses efforts, ajouter une coudée à sa stature intérieure. Elle accable de ses "merveilles" le plateau de l’avoir sans pouvoir jeter le moindre contrepoids dans celui de l’être."
Gustave Thibon, Retour au réel, 1943.
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Ce que cache un masque
Votre âme est une arlequinade, à la Watteau, Fantomatique ou carnavalesque ambiance Où le pauvre Lelian joue sa chanson de transe. C’est toujours une mascarade, un beau tableau
Hanté de Colombine et de piètres Pierrots, Ces accablants clowns blancs qui donnent la cadence Des sonnets en silence et leurs correspondances Levant le verre et l’œil, la robe ou le chapeau.
Il reste le fantasque et la galanterie, Ils vous tirent des frasques et mièvres fééries, Puisqu’au jeu de patience advient le jeu de dupes.  
Voyez la débâcle aux joues, souris de façade, Voyez le spectacle qui joue, là sous ses jupes Et sous son masque noir, ami, la mascarade.
- Fabienne PASSAMENT. 2023
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icariebzh · 4 months
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"Sans haine mais pas sans colères, mon poème peut montrer les dents, quand une foi arrogante menace du bâillon les infidèles, les athées, les libertaires, et promet l'ordre moral aux libertins, aux affranchis qui dénoncent l'imposture d'un péché de chair, la lapidation de la femme adultère, la beauté qu'on enferme dans l'insulte d'une burqa. Des misérables avilissent l'amour et la vie et l'on s'attriste qu'ils ne puissent deviner que si leur dieu jaloux n'est pas un voyeur, il regarde dans les coeurs, pas dans les lits! Pour un oui, pour un non, une caricature, une image non conforme à leur orthodoxie, les voilà en émoi, rameutant le troupeau, en appelant à la censure, au meurtre, à la croisade; ils crient au sacrilège en feignant d'ignorer que le sacré des uns n'est pas celui des autres, qu'on est pour son voisin toujours un peu dans l'hérésie. Car ces inféodés, ces dévots qui s'indignent du blasphème semblent incapables de comprendre jamais que le respect humain est dû à la personne, pas à son credo, ses opinions, ses utopies. Bien sur, je connais des croyants convaincus que sans la liberté de conscience aucune adhésion jamais ne vaudrait rien, qui connaissent le doute et parfois même les tempêtes sous un crâne et qui n'ont cure des pauvres crédulités nées du clapot des cerveaux. Déchirés entre la louange et le refus, ceux-là dont le souci d'autrui oriente la prière, qui voudraient rédimer le monde en misant seulement sur la ferveur et la bonté, sont à mes yeux le seul argument en faveur du divin. Mais je crois trop que leur "créateur" est à l'image fraternelle du meilleur de leur humanité pour ne pas penser qu'ils l'ont inventé! Pour ma part je le confesse, depuis longtemps la messe est dite, le discrédit jeté sur ces relents de religions, ces allégeances à la lâcheté superstitieuse, aux angoisses qui nous accablent, à la peur de la mort, du vide et de l'insignifiance; Je n'ai pas le goût des soumissions, des prosternations ni des genoux à terre. La dignité de mes héros intimes est d'être filles et fils de Prométhée, d'avoir volé le feu au ciel et de lui montrer parfois le poing. Et je me plais à croire que si un dieu existait qui valût quelque considération, il serait de toute éternité du côté des esprits critiques, des rebelles, des insoumis, des mécréants." Michel Baglin-"Si dieu existait" -
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biarritzzz · 5 months
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Le discours autour de l’immigration a vraiment changé.
Avant, on nous serinait tout le temps le couplet sur l’intégration. Aujourd’hui l’élite sait bien que ça ne fonctionne plus, qu’on a des yeux et des oreilles et qu’on sait très bien que les immigrés n’ont jamais eu la moindre intention de s’intégrer et encore moins de s’assimiler. Quelques exceptions ici et là qui confirment la règle.
Donc maintenant on nous met le paquet sur la France/l’Europe multiculturelle, la diversité est une force gnagnagna. Constat d’échec accablant.
En gros: va falloir s’y faire les zouzous. Les bagnoles de pauvres bougres brûlées au Nouvel An, les émeutes dès qu’une racaille se fait buter (pas assez souvent) ou que Fatima a envie d’un nouvel écran plasma et d'une nouvelle machine à laver, les musulmanes qui réclament de pouvoir mettre un voile, un burkini ou une burqa où qu’elles aillent, les coups de couteau chez Leclerc ou Leroy Merlin, les kebabs qui colonisent l’espace public, la viande halal dans tous les rayons, les fusillades liées au trafic de drogue toutes les semaines.
C’est pas beau le multiculturalisme? Allez, réjouissez-vous! On pourrait être le Japon et sa population à 99% japonaise. C’est chiant et nul, non?
C’est tellement mieux le multiculturalisme et la diversité. Comment? L’Europe était déjà multiculturelle pendant des siècles, vous dites? L’Europe, avec ses nombreuses langues, ses traditions variées, ses histoires similaires et en même temps si différentes?
Non mais le monde change, mon bon monsieur. C'est comme ça, faut l'accepter. Quant à moi, je vis bien entendu loin de la diversité dans mon quartier paisible de bobos, je ne prends jamais les transports en commun, je mets mes gosses dans des écoles privées et je vante le vivre-ensemble depuis mon loft de 100m2 du 16e arrondissement. Les seules fois où je suis confronté à cette merveilleuse diversité c’est quand Mamadou me livre ma commande Uber Eats. D’ailleurs et c’est bien que vous m’y fassiez penser: il faut importer encore plus de Mamadou en Europe parce que qui va me livrer mes repas que je suis trop paresseux à me cuisiner ou à aller récupérer au restaurant du coin?
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Tu vois, mon ami, le monde se divise en deux catégories, il y a ceux qui ânonnent le "sellezéceux" (ou le "àtoutezéàtousse") de la novlangue, et ceux qui désirent apprendre à parler français. Apprendre à parler correctement sa propre langue est le premier moment du système immunitaire… Pour eux, il y a la langue, toujours verte, de Victor Hugo:
«Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.
Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime.
Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime.
Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,
C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.
Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
Le sombre accablement d'être en ne pensant pas.
Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
N'a jamais de figure et n'a jamais de nom ;
Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère,
Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère,
Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
Ils sont les passants froids sans but, sans nœud, sans âge ;
Le bas du genre humain qui s'écroule en nuage ;
Ceux qu'on ne connaît pas, ceux qu'on ne compte pas,
Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
L'ombre obscure autour d'eux se prolonge et recule ;
Ils n'ont du plein midi qu'un lointain crépuscule,
Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
Ils errent près du bord sinistre de la nuit.
Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière
Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière,
Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l'on va,
Rire de Jupiter sans croire à Jéhova,
Regarder sans respect l'astre, la fleur, la femme,
Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l'âme,
Pour de vains résultats faire de vains efforts,
N'attendre rien d'en haut ! ciel ! oublier les morts !
Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
Fiers, puissants, ou cachés dans d'immondes repaires,
Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés ;
Et j'aimerais mieux être, ô fourmis des cités,
Tourbe, foule, hommes faux, cœurs morts, races déchues,
Un arbre dans les bois qu'une âme en vos cohues !»
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formulapai · 6 months
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ajd j’étais déjà trop énervée à cause des personnes qui accablent lando de tout et de rien juste pcq ils l’aiment pas mais le malaise vagal devant les clients c’était le pompon sur la Garonne, carrément j’ai envie de démarrer des daronnes donc j’ai quitté Twitter pour la soirée, si je voyais un tweet de plus cracher sur la gueule de Norris j’allais sortir la fourche et la torche comme la bonne française que je suis
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aurevoirmonty · 3 months
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« L’Ukraine a perdu… nous avons une armée de majorettes à côté des Russes » indique un rapport secret de l’armée française.
L’armée française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piqué le président au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels défense expliquent « l’affolement » de l’Élysée, où les chefs de partis sont invités ce jeudi 7 mars à évoquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face à Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoqué un tollé en Europe et écopé d’un désaveu américain. Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent, eux, être « tombés de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armée de majorettes ! », raille un haut gradé, persuadé que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’Élysée, on assume la position : « Le président voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimétrés et calibrés ».
Au ministère des Armées, dans l’entourage de Sébastien Lecornu, on défend la parole présidentielle : « L’état des forces en Ukraine est très préoccupant. Les propos du président appellent à un sursaut et montrent qu’on est à un tournant. » Comment en est-on arrivés là ? Plusieurs rapports confidentiels défense, que Marianne a pu consulter, évoquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries européennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyée par du matériel occidental, allait renvoyer l’armée russe à Moscou. Rédigés cet automne, les « retex » (retours d’expérience) de l’opération sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisée dans la boue et le sang et ne s’est soldée par aucun gain stratégique », écrit un rapport confidentiel défense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accès. En amont, la planification, imaginée à Kiev et dans les états-majors occidentaux, s’est révélée « désastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dès que les premières lignes de défense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait […] Ces phases préliminaires fondamentales ont été faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en défensif : c’est-à-dire la volonté du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport évoquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituées l’ont essentiellement été sur le plan administratif » et les formations n’ont pas duré plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vétérans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont été lancés à l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avérée inexpugnable ». Sans aucun appui aérien, avec du matériel occidental disparate et moins performant que l’ancien matériel soviétique (« vétuste, facile d’entretien, et apte à être utilisé en mode dégradé », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bénéfices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage électronique pénalisant, côté ukrainien, l’utilisation de drones et les systèmes de commandement ». « L’armée russe est aujourd’hui la référence “tactique et technique” pour penser et mettre en œuvre le mode défensif », écrit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du génie lui ayant permis de construire des ouvrages défensifs (« absence presque totale de ce matériel côté ukrainien, et impossibilité des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un général russe), ont été minés dans des proportions énormes (7 000 km de mines).
Les généraux occidentaux, tout particulièrement américains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel désastre, mais leur arrogance a été plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de défense russe malgré plus de 5 mois d’offensive.
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Un nombre effrayant d’hommes ont été envoyés à la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est déterminée à en faire tuer beaucoup plus pour le même résultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gérer leur troupe de réserve, pour garantir l’endurance opérationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unités avant leur usure complète, mélange les recrues à des troupes aguerries, ménage des périodes de repos à l’arrière régulières… et « a toujours eu un réservoir de force cohérent pour gérer les imprévus ». On est bien loin de l’idée répandue à l’ouest d’une armée russe envoyant ses troupes à la boucherie sans compter… « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes à la manœuvre interarmées à l’échelon du corps d’armée capables de défier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne défensive », conclut ce rapport confidentiel défense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer à rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrêter les hostilités ».
Un gradé français résume : « Il est clair, au vu des forces en présence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
Deuxième constat : le conflit est entré dans une phase critique en décembre. Selon nos sources militaires à Paris, l’armée ukrainienne est passée, contrainte et forcée, en mode défensif. « La combativité des soldats ukrainiens est profondément affectée », mentionne un rapport prospectif sur l’année 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitié, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentré de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes détruisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accélérer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armée ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 à 800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici à l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront près de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire à l’été.
La rupture du front à Avdivka est symptomatique. Cette place forte était censée être imprenable.
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Maintenant qu’elle est tombée, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne défensive et ils doivent en créer une à la hâte, ce qui les pousse à jeter dans la brèche leurs maigres réserves. Ces unités, engagées à terrain découvert pour ralentir les Russes, sont rapidement détruites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arrière du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unités dans cette opération et cela se ressentira lors de l’inévitable offensive russe du printemps ou de l’été.
En matière de matériel, la balance est tout aussi déséquilibrée : l’offensive ratée de 2023 aurait « tactiquement détruit » la moitié des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais été aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra être mise sur pied cette année. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rôdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu être envisagé de renforcer l’armée ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, à l’arrière, permettant de libérer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradé, confirmant une « montée en puissance » de militaires occidentaux en civil. Même si deux wagons américains, vraisemblablement utilisés par la CIA, sont accrochés au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitié la présence de forces spéciales en Ukraine. « Outre les Américains, qui ont autorisé le New York Times à visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dément pas la présence de forces spéciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation… Troisième constat : le risque de rupture russe est réel. C’est la dernière leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armée française. Le 17 février, Kiev a dû abandonner la ville d’Avdiïvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-là de bastion fortifié. « C’était à la fois le cœur et le symbole de la résistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­Avdiïvka », tirant une série de leçons accablantes. « Les Russes ont changé leur mode opératoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la première fois à grande échelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bétonnés de plus de 2 m. Un enfer pour les défenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
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De plus, les Russes utilisent des réducteurs de son sur les armes légères d’infanterie afin de déjouer les systèmes de détection acoustique sur le terrain. « La décision de repli des forces armées ukrainiennes a été une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudaineté et son impréparation », faisant craindre que ce choix ait été « plus subi que décidé par le commandement ukrainien », évoquant un possible début de « débandade ». « Les forces armées ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possèdent pas les capacités humaines et matérielles […] pour tenir un secteur du front qui est soumis à l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien à Avdiïvka montre que, malgré l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rétablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste à savoir ce que les Russes feront de ce succès tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un ébranlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils à « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derrière Avdiïvka le permet », signale ce document récent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mêmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant à paraître faible quand on est fort ». Selon cette analyse, après deux ans de guerre, les forces russes ont donc montré leur capacité à « développer une endurance opérationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensité basée sur l’attrition continue de l’armée ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratégique nouvelle, où l’armée russe semble en position de force face à une armée ukrainienne à bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissé, à envisager des renforts de troupes ? Une perspective réaliste face à la situation opérationnelle du moment, qualifiée de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraître réaliste d’un strict point de vue tactique peut se révéler irréaliste d’un point de vue stratégique et diplomatique », soupire un gradé français.
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thème de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisé une grossière opération d’intoxication.
📌 CYBER – Des nouvelles cyberattaque pro-russes contre la France Avec @emiliebrouss, @ericbrunet et @cyberguerre C’est en ce moment sur #LCI #La26 ⤵️ pic.twitter.com/anUTXNa6wZ — LCI (@LCI) March 11, 2024
Les Ukrainiens n’auraient jamais dû suivre la juiverie occidentale, à présent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir à leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut déclencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
Démocratie Participative
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