#aimers bios

[chemila]

Hello Hello!!

My name is Chemila. It's a combination of my two personas Cheska and Jamila, so people can call me whichever. (If you want more details about that just ask<3)

I am still new to tumblr so I'm still in the learning process of how it works.

18+ Minors DNI

About Me!!

I will be turning 20 in 2025. I am bio female and pronouns are she/her. I am from the United States and my primary language is English, although I am in the process of learning Japanese.

I love games, music, anime, knitting/crocheting, writing/reading stories (mostly fanfics), drawing, and VTubers. I also roleplay sometimes

Anyways down below is a lot of information that no one asked for but I'm going to give it anyways.

Interests!!

Games:

Ikemen Series:

Ikemen Prince: Finished Clavis and Chevalier main routes. Currently on Chevalier's season 3 route. (Favorites: Clavis, Yves, Luke, Gilbert, Cyran)

Ikemen Villian: Currently on William's route (Favorites: William, Alfons, Elbert, Ellis, Victor)

Ikemen Vampire: Haven't been playing but currently on Mozart's route (Favorites: Mozart, Issac)

(For other otome/dating sims ask)

Others:

Love and Deepspace || Mystic Messenger ||Twisted Wonderland || Genshin Impact || Honkai Starrail || Wuthering Waves || Project Sekai

Etc

Music:

Kpop: BTS || Mamamoo || Stray Kids || Ateez || Blackpink || Twice || Day6 || TXT || etc

Jpop: Miki Matsubara || Ado || Yoasobi || LiSA || Aimer

Vocaloid: Mainly from Project Sekai

Anime:

Saiki K || Little Witch Academia || Kiss him not me || Kaichou wa maid sama || Kamisama Kiss|| Naruto

Fairy Tail || OHSC || Glitter Force/Glitter Force Doki Doki || A Silent Voice || Demon Slayer ||Food Wars || Free! || Diabolik Lovers || AOT || BNHA

Tsurezure Children || Hunter x Hunter ||Buddy Daddies || Spy x Family || JJK || Gakuen Babysitters || Kimi Ni TodokeThe Apothecary Diaries

Etc...

Movies/TV Shows:

Trolls Band Together | MLP | ATLA | LoK | Coco |Vivo | Over the Moon

That is all for my introduction, if there is anything that you would like to know, feel free to ask, or not, it's completely up to you.

I really doubt anyone would read all of this

[aquaegrimm]

Inspired from the song 'Torches' by Aimer. This design is available on Redbubble, link in bio!

[leblogdemarinaetjeanmarie]

SAMEDI 17 JUIN 2023 (Billet 1 / 3)

Le fait que nous n’ayons pas eu un hiver rude a malheureusement permis sur notre terrasse à plein de petites bébêtes de survivre… les pucerons entre autres, surtout les pucerons. Grrrrrrr !🤬🤬🤬

Du coup, alors qu’il y a eu sur Paris plus de 20 jours de beau temps d’affilée, cela a commencé début juin par une invasion massive sur nos lauriers.

Pierre, notre jardinier, vu que les produits chimiques ne sont plus autorisés, nous a fortement conseillé d’acheter sur Internet des larves de coccinelles, en spécifiant que les larves consommaient encore davantage de pucerons que les coccinelles elles-mêmes. Ce serait selon lui hyper efficace puisqu’il y aurait 2 vagues d’engloutissement de pucerons, d’abord par les larves puis les coccinelles.

Aussitôt commandées, (presque) aussitôt arrivées. Nous avons scrupuleusement respecté la « marche à suivre » et disposé les 3 paquets, préalablement ouverts, sur nos massifs.

Et nous avons attendu. Le lendemain, nous avons pu photographier en gros plan une larve sortie d’un paquet. Et puis nous avons encore attendu, patiemment attendu…

Au final, soit une grande majorité de larves sont arrivées mortes, soit leur réputation de dévoreuses de pucerons est largement surestimée. En tout cas, une chose est sûre, une semaine plus tard, la grande extermination n’a pas eu lieu.

Alors nous avons changé notre fusil d’épaule (c’est une image bien sûr) et nous nous sommes retournés sur un produit dont on nous a vanté les mérites en jardinerie : « SOLABIOL ».

Nous vous dirons dans une semaine si le produit est efficace ou pas… mais nous restons un peu sceptiques, les produits BIO ne nous inspirant qu’une confiance plus que très relative.

A ce sujet, une petite parenthèse sur la « main verte ».

Certains nous disent, parce qu’ils n’ont pas de plantes chez eux : je n’en mets pas parce que je n’ai pas « la main verte ». Or la main n’a rien à voir avec ça !

Il faut d’abord avoir envie d’avoir des plantes. Nous dirions plus précisément, « aimer en avoir ». Car l’amour compte et comptera beaucoup dans les relations que vous allez avoir avec elles. Un peu comme un chat, un chien… ou un enfant.

Ensuite, c’est « l’œil qu’il faut plutôt avoir vert »… c’est-à-dire les regarder. Ont-elles soif, besoin d’eau, ou au contraire en ont-elles trop. Et ce sont les feuilles qui répondent à ces questions. Leur langage est 1000 fois plus aisé à comprendre que celui d’un enfant car les réponses sont plus simples.

Et si vous les aimez, vous ne devez pas vous contenter de les regarder et de les admirer de loin. Vous devez vous rapprocher d’elles et, de fait, vous remarquerez alors de nombreux détails. Dont d’éventuelles maladies sur les feuilles, ou la présence de bébêtes qui peuvent nuire à leur santé, voire menacer leur survie.

Si votre animal est malade, vous allez voir un vétérinaire. Un enfant ? Un médecin. Eh bien les plantes, c’est pareil, il faut vous renseigner, soit sur Internet, soit dans une jardinerie. Vous vous apercevrez que tous les problèmes que pourraient avoir vos plantes ont une solution répertoriée.

Voilà, vous savez (presque) tout. Mais, vous l’aurez compris, l’essentiel, comme dans beaucoup de domaines, C’EST L’AMOUR !

[laurencenaturopathe]

Qui ne rêve pas de vivre mieux, plus longtemps et en pleine forme ? Voici le secret : prendre soin de soi, aimer et s'aimer !!!! 💞💗💖 La Naturopathie peut vous y aider en vous accompagnant de manière globale, holistique. Tant au niveau de vos habitudes de vie, de votre alimentation, de vos émotions, de votre regard sur vous-même... Je vous propose un plan d'hygiène personnalisé suite à un entretien, des massages, de la réflexologie... Lien dans la bio pour prendre rendez-vous www.laurencenaturopathe.com Prenez soin de vous 💗 #prendresoindesoi #naturopathie #holistique #mangermieux #santé #dormirmieux #rire #aimer #prendredutemps #réflexologie #marcher #sortir #nature #s'écouter https://www.instagram.com/p/CnJRw0EolLH/?igshid=NGJjMDIxMWI=

[zine-e]

J'ai publié 2 460 fois en 2022

5 billets créés (0%)

2 455 billets reblogués (100%)

Les blogs que j'ai le plus reblogués :

@fluent-in-lesbianism

@closet-keys

@girl-bateman

@wolfsnape

@musicalsandfluff

J'ai étiqueté 1 785 billets en 2022

Seulement 27% de mes billets ne comportaient pas de tag

#lol tag 😂😂 - 273 billets

#cats - 147 billets

#i'm gay - 139 billets

#me - 103 billets

#tumblr - 100 billets

#starkid - 96 billets

#art - 56 billets

#heartstopper - 56 billets

#( - 48 billets

#) - 47 billets

Tag le plus long : 134 caractères

#or like you’re asking what i think should happen to ‘criminals’ and i don’t even think criminalization should exist so how do i answer

Mes billets vedette en 2022 :

n°5

Wow ça existe encore Tumblr en 2022 ! j'ai cliqué son ton profil discord - curiosity no stalk - et oh étonnement, ce lien est toujours actif. J'arrive pas à classer si c'est une bonne découverte ou pas, mais INFP comme moi (et 2,5% de la population) c'est potentiellement pas trop horrible. Bon, Serpentard-Poufsouffle, tu dois aimer vivre dans les profondeurs... je comprends :) Juste un petit coucou à l'entrée de ta grotte, donc ! Reste #soyeuse ! Moa

Je crois savoir d'où tu sors grâce à ta signature. Tu veux trade ? #zunivers

Tkt, je regarde presque sans arrêt les bios des gens sur discord 💚

0 note - publié le 6 septembre 2022

n°4

Magalie!!!!!!! You're back!!!!!! I always get so happy to see you in my notifs 💜💜💜💜💜💜

💜💜💜 so happy to be back to Tumblr. I miss a lot of trends, no?

How are you doing lately, Jazzy? 💜

1 note - publié le 7 mai 2022

n°3

Zevent us at +1M while we are at 3h30 of the start of the event

twitch.tv/zerator

zevent.fr

3 notes - publié le 9 septembre 2022

n°2

hello??? will be posting some skam france stuff on here since there's the new season came out like nearly an hour ago !!

also, MAYA??

13 notes - publié le 5 janvier 2022

Mon billet n°1 en 2022

Zevent is a caritative event on twitch that will happened this weekend and starts with a concert Thursday evening.

Come see us, also on place.zevent.fr we had a r/place but with donations included and on the channel Zevent Plays, there will be Twitch Plays Pokemon

It's a small post but it speak from my heart 🤗

16 notes - publié le 6 septembre 2022

Obtenez votre année 2022 en revue sur Tumblr →

[miyuwuki]

birthday special: kawakami norifumi (03/25)

a/n: thank you <3 anon for reminding me that it’s our special boys bday! in honour of it, here’s a little sweet fluff and his love for music </3 also, PLEASE LISTEN TO THE MUSIC I PUT IN THIS. IT IS 10/10. 🌀 anon, 🐯 anon— IM LOOKING AT YALL

kawakami norifumi x reader

“nori! choose a number between one and twenty,” you asked your boyfriend, who was walking back with two drinks in his hand. he handed you the cafe au lait and sat down on the bench beside you.

“hmm, ten. because it’s the middle ground.”

you giggle and thanked him for the drink before taking a sip, sighing. “ten it is, expect something tonight!”

“y/n, if you’re gonna give me ten gifts then i choose zero. i don’t need anything.”

“too bad, no take backs!”

honestly, you weren’t going to give him ten gifts— because you’re a broke student who can barely afford at least one good gift. based on the number he chose, you planned on making a playlist filled with songs that remind you of him, and the number dictates the number of songs that you’ll add.

“do you wanna come by the spirit dorm caf later? i think miyuki’s baking a cake— i mean it was meant to be a surprise, but sawamura was so loud in the hallway this morning that i kind of found out.” he chuckled at the thought and planted a kiss on your forehead. you smiled and hummed, leaning into his touch. “sure! just text me when i should come.”

-

as kawakami attended practice, you stayed in your dorm thinking hard about the playlist and what songs you should put in there. you needed to choose a playlist name, and then a playlist cover, and you needed it to be special.

and then you got it.

playlist name: my pretty!

bio: you’re my happiness in human form. happy birthday nori! love, y/n <3

songs:

1. ONLY - lee hi

2. LOVE - kendrick lamar ft. zacari

3. DRAMA - iu

4. world we created - giveon

5. hotel room - forrest nolan

6. kataomoi - aimer

7. polaroid love - enhypen

8. star 1117 - ateez

9. rain song - epik high, colde

10. voice of wind - RADWIMPS

you found a cute little cat couple picture and made it as the cover, and right then you got a text from kawakami that read:

nori <3: come by! we’re finished practice,, love you

you quickly saved the link and smiled, grabbing his sweater and putting it on before heading out.

-

when you got to the caf, everyone greeted you warmly and offered you a whole bunch of food that miyuki allegedly cooked himself.

“y/n-san! welcome to kawakami-senpai’s super ultimate eighteenth birthday party!” sawamura yelled, flailing his arms in front of you. you laughed and ruffled his hair, continuing to look for your boyfriend. but it was interrupted yet again when sawamura stood on the table. “okay everyone! before we eat the cake let’s give our gifts!”

finally kawakami emerged from the crowd and spotted you, smiling widely before speeding up to give you a hug. “you made it,” he mumbled, tightening his grip on you. you scoffed playfully but still embraced him back, “of course, silly.”

“okay y/n! what do you have for kawakami?” sawamura beamed, looking around you. a questioned look formed on his face, “you have nothing?”

“haha, y/n didn’t get you anything.” miyuki teased.

a blush formed on your cheeks and you frowned, “i—”

“i told them not to get me anything,” kawakami explained, getting a grip on your hand. “and that’s fine. i just wanted them to be here.”

your heart skipped a beat, flushed that your boyfriend stood up for you despite having a gift (just not a physical one). you timidly pat his shoulder, “uh, i actually do have one, it’s just, you can’t hold it.”

kawakami turned to you and cocked his head to the side, an indication of asking “what is it?” you pulled out your phone, sending him the playlist link, and told him to check it. you carefully observed his expressions as he did.

his eyes widened, and his thumb scrolled through all the ten songs.

“it’s not much, i just put a playlist for you because i know you love music, and there were so many songs that reminded me of you that i—” you took a breath, “put that together. i hope you like it.”

he looked up from his phone and gave you another hug, this time tighter. “i love it,” he whispered, “oh my gosh, i love it so much. thank— thank you. thank you thank you thank you.”

“i’ll get you a better—”

“this is the best gift. thank you.”

“goodness me why are we all even here?” kuramochi snorted.

kawakami laughed and continued the gift exchange: miyuki cooked and that was his gift, the second years (sawamura, haruichi, and furuya) all pitched in to get him a new mp3 player, and kuramochi bought him all the latest magazines. it was such a good birthday, and when he got back to his dorm, he fell asleep listening to the playlist you got him using the new mp3 player he got.

it was undoubtedly, the best birthday ever.

*＊✿❀reblogs and likes are appreciated❀✿＊*

[nebuleuse-mirobolante]

Toi et moi ,on à même pas les même sensations ,la même vibration,le même corps et on aura pas la même mort

La norme est une injonction dévastatrice.

Il m'est difficile à avouer spontanément par exemple que le cannabis me rend psychotique ,me fait entendre des voix et me rend gravement paranoïaque.

Il est compliqué d'admettre que je déteste réellement le goût de l'alcool même de la bière sauf très rarement quand il à un goût excessivement sucré.

Je n'ai jamais aimer les boîtes de nuit aux bruits stridents et infernaux ,des soirées aux discussions aussi banale avec la profondeur d'un anus de petit  caillou perdu.

Je n'aime pas non plus la pénétration,la fellation .

Ça me fait personnellement penser à un légume visqueux qui essaie de rentrer en toi et qui pend comme une gorge  dindon ou plutôt comme une peau d'homme de 90 ans  lavé à l'eau de javel dans une maison de retraite.

J'aime les plaisirs non grégaires,les trip ou tu jubile seule en délirant en toi ,t'exalte seule dans tes pensées  bizarroïde que personnes ne partagerais avec toi ou en se forçant un peut avec un rire coincé et aussi jaune qu'un vieux parking sale dans le 93.

Mon voyage c'est de boire de la tisane aux fleurs de jasmin,de fumer de la passiflore ,du lotus bleu ou autre  ,de peindre des extraterrestres et des êtres étranges racontant mes histoires de vie ,de rentrer en transe chamanique seule dans ma chambre dans une sorte de convulsions cosmique où votre corps tremble et bouge comme un appareil de massage déglingué qui court seul dans tout les sens .

J'aime collectionner des tas sachets d'herbe et de plantes relaxantes, parfois assez  légèrement psychoactives mais souvent légales , efficaces ,exotiques avec des noms bizarres et que personne ne connais.

Je n'ai jamais eu un sentiment d'extase devant les séries et les films surtout les classiques.

Star Wars m'ennuie terriblement.

J'ai l'impression de voir des aliens un peut handicapés à cause d'une prise excessive de cocaïne comme ces gens un peut ivres et surtout très bête qui se donnent des coups de sextoy ou de balaie  géant  dans les testicules en pleine soirée parisiennes.

La seule chose qui est bien ce sont leur couleurs mais on en trouve dans n'importe quel supermarché des bâtons clignotants pour faire le ménage surtout en période de Noël ou durant la fête des mères pour faire plaisir aux machos ridicules qui découvrent leur cuisine comme un musée sacrée 

Puis dans ce film  je trouve ridicule l'espèce de bonhomme bizarre avec son déguisement de soignant complètement  paranoïaque durant la pandémie du Coranavirus qui respire comme un vieux cancéreux sociopathe et pédophile devant un petit enfant  naïf qui attend ses bonbons.

Je n'ai jamais vu Harry Potter et m'en porte très bien quand l'idée de Game of Thrones ne me fait ni chaud ni froid .

Voir un petit garçon sous lsd et crack qui vole sur le balaie de sa grand mère avec des lunettes de professeurs de mathématiques vivant dans la cave de ses parents en Dordogne ne m'a pas convaincu .

Les discussions dans les cafés m'ennuie .

Les petites bourgeoises bohèmes hypocrites, un peut  mignonnes mais pas trop futées  dont la seule discussion est le nouveau  restaurant thaïlandais bio pas loin de chez elles  ,les manèges de Disneyland et Léon le gros boulet qui était tellement bourré qu'il à vomis dans la culotte de sa copine à la dernière soirée tendance de la fac .

Cela ne m'intéresse pas plus que l'orgasme d'un porc epic dans un village paumé en Corée du Nord.

Je n'ai jamais aimer la normalité.

J'aime sortir de mon corps la nuit,rencontrer des types farfelus et j'ai vécu tant de choses  bizarres comme de foutre un coup de pied dans les burnes à un contrôleur RATP du bus de nuit au milieux de pleins de magazines gay qui tombaient par tout et que j'avais trouver totalement défoncée en pleine nuit .

La normalité est d'un ennuie.

Laissez moi profiter de ma tisane et joints aux fleurs de  jasmin ,de mes dessins d'extraterrestres et d'êtres étranges,de mes fantasmes bizarres ,de ma passion pour les Couleurs et de ma fête quotidienne du Orange que je fête ... seule .

Laissez moi seule avec mes jets de peintures que je lance partout quand je saute partout comme une chèvre sous amphétamine durant un concert de techno au milieux de jeunes défroqués aux odeurs de putois révoltés.

Laissez moi un jour me marier avec une Couleur dans une salle que j'aurais louer sous les regards réprobateur des gens de la mairie qui se demanderont pourquoi ils et elles sont là

Laissez moi être une femme anormale ,qui n'a pas une sexualité classique  ,une mal baisée interstellaire qui se fout de la gueule de ses mauvais baiseurs qui ne sont que des sales petits branleurs aux peaux de légumes pendantes et pas efficaces.

Je veux avoir le droit d'exister et de respirer  dans mon anormalité,de ma folie car il faut le grain de folie dans chaque  fruit sinon on finit toutes et tous broyés dans une vieille compote moisie. 

Nébuleuse

[soulliegrl]

among the star nebulae, i wish to be with you, i wish your love to warm me up and comfort me, you are my choice 구리 ♡

je suis un ami des étoiles, je suis la lune qui vous attend toujours, recevant de vous la lumière et la chaleur, je suis heureuse de vivre pour vous aimer, 𝗴𝘆𝘂𝗿𝗶♥︎

sinto-me poeira cósmica, entre asteróides, planetas e sóis. querendo entrar em tua órbita, amar-te para sempre, e além!

gyuri bios ♥︎

follow me on twitter @llisagf

[lesrecettesdetiti]

Coucou tout le monde. Je participe au #SundayFoodChallenge créé par @cherinebchichie et administré par @plumeetprose_officiel Pour ce 27ème volet, le #thon est à l'honneur. Cest pour cela que je vous propose ma Salade à secouer au thon... et pas que lol. Pour la recette, retrouvez la sur mon site (lien en bio et tapez Thon en recherche. Super pratique pour le boulot ou le pique-nique (entre deux averses lol😂). Passez une bonne soirée. Et sans plus tarder, voici la liste des participantes : @plumeetprose_officiel @petit_bohnium @chrystelch @malel_cooking @lesrecettesdetiti @sugardises_gourmandises @sucresales_by_nadiaali @wassimadardour @plats_et_gourmandises @hanane_hamza_patissiere_ @my_little_gourmet N'hésitez pas à cliquez sur les comptes particpants pour les decouvrir, aimer et vous abonner. Merci pour les copines ❤😘 (à Le Konacker) https://www.instagram.com/p/CS4kao6oTm9/?utm_medium=tumblr

[mcmcntomorii-later]

      — lol so i guess somewhere between moving blogs I just didn’t add the vehicles that Mukuro owns as well as the weapons she likes to use and her seiyuu??? lmao that’s been added to her bio now. they’re also below the cut if you’d like to look w/out having to go to the bio page:

Vehicles Owned: A Black AVENTADOR LP 700-4 with scissor doors and a neon purple under glow. Her late fiancé's Motorcycle, Ouroboros: A large motorcycle with extraordinary maneuvering capabilities and with a combination of polished black metal over brushed gold mechanics. On either side of the front tires is an expandable compartment that fits various short swords / small weaponry. The bike switches to reverse easily and seems to be able to keep itself upright and driving even without a driver. The bike seems to have a hip-based turning system, as even though it has handlebars. It also utilizes both a non-returning throttle and a dual throttle system, as Ouroboros seems capable of both maintaining its speed and accelerating when the rider's right hand is busy wielding a weapon. It is also possible the throttle is controlled by foot. Ouroboros also possesses an internal storage compartments on either side of the front axle where the rider stores any small weapons into the bike. The bike also has a top speed of 400 kmph (approximately 250 mph) and has an oval-piston twin cylinder engine.

Weapon(s) of Choice: A pair of trench knives as well as various vials of poisons and venoms.

Seiyuu: Aimer

[omagazineparis]

Saint-Valentin : le jour idéal pour prendre soin de soi

Que vous soyez en couple ou célibataire, la Saint-Valentin devrait être une journée destinée à vous aimer vous, avant toute autre personne ! Il est souvent important de se recentrer sur soi-même pour pouvoir profiter plus pleinement de l’autre. Cette année, plus que jamais, la Saint-Valentin, doit être un moment où vous vous chouchoutez avant tout. Détendez-vous pour la Saint-Valentin Cette année, la Saint-Valentin tombe un dimanche, vous n’avez donc aucune excuse pour ne pas vous accorder du temps ! Même s’il est parfois difficile de relâcher la pression et de se décharger de toutes nos responsabilités ne serait-ce que quelques heures, il est pourtant primordial de souffler ! Profitez donc de cette journée pour mettre votre travail de côté ou vos enfants devant la télé (non ce n’est pas un crime) et allez vous faire couler un bain ! Pour une atmosphère plus cozy, n’hésitez pas à allumer des bougies et éteindre la lumière. Nous vous conseillons les Bougies de Charroux qui sont 100 % artisanales, fabriquées à la main et made in Europe. Elles se déclinent dans des dizaines de couleurs et de parfums. Vous trouverez forcément chaussure à votre pied !  Quant à votre savon ou vos soins, faites confiance à The Body Shop et son coffret spécial Saint-Valentin pour vous faire sentir bon la fraise et avoir une peau à croquer ! Garni d’un gel douche, d’un baume corporel et d’un baume à lèvres, l'huile de pépin de fraise repulpera et redonnera de l’éclat à votre teint. Sélection Saint-Valentin © Ingrid M. Prenez soin de votre peau... Avec la pollution et le froid de l’hiver, cette journée de Saint-Valentin est une bonne occasion pour prendre soin de sa peau. Nous vous proposons une petite routine à adopter pour une hydratation en profondeur. Le coffret Eau Précieuse est idéal pour commencer. Le gel nettoyant est la première étape pour éliminer les impuretés et préparer votre peau aux soins suivants. Quant à la lotion, sa double fonction purifiera votre peau et l’assainira en favorisant l’élimination des points noirs. Pour l'hydratation, nous vous conseillons les boosters d’Hello Body ! Très concentrés, ces soins priorisent la performance pour donner à la peau ce dont elle a besoin. Le booster à l’acide hyaluronique est parfait pour un soin optimal, et pour compenser le manque de soleil, celui à à la vitamine C redonnera de l’éclat à votre teint. L'avantage avec ces boosters Hello Body c’est qu’ils sont personnalisables pour correspondre à vos besoins ! Pour les peaux les plus déshydratées, nous vous conseillons d'ajouter l'huile sèche Dermaclay à base d'huile d'argan. Une fois votre visage boosté, n’oubliez pas votre corps ! Le baume fondant Dermaclay, entièrement bio, est composé de beurre de karité, d’huile de macadamia et d’aloé vera qui viennent nourrir et renforcer le film protecteur de la peau contre le froid de l’hiver. Dossier : La Cryolipolyse : la liposuccion par le froid ... et de vos cheveux Ne négligez pas vos cheveux ! C'est le moment parfait pour prendre le temps de les chouchouter. Pour l'occasion, nous vous conseillons la gamme Andrew Fitzsimons de Primark : shampoing, conditionner, masque... tout y est pour avoir une chevelure soyeuse ! Faîtes ce que vous aimez Avec le stress de la vie quotidienne, on a tendance à courir partout, s’occuper de tout, et donc, s’oublier un peu. Profitez de la Saint-Valentin pour faire quelque chose que vous ne prenez jamais le temps de faire. Cela peut être une manucure. Ô Magazine vous recommande Violeta Nails, un petit salon tenu chez Violeta elle-même, au cœur de Paris, dans le XIVe arrondissement. Violeta est spécialisée dans la manucure russe et la pose d’ongles en gel. Avec douze ans d’expériences à réaliser des nails arts tendances et uniques ! Vous pouvez lui donner le champ libre pour sublimer vos mains ou vous pouvez arriver avec une idée précise en tête et elle réalisera vos souhaits ! Si vous êtes de Paris, n’hésitez pas à la contacter par Instagram pour prendre rendez-vous.  Rien de tel que de se faire plaisir en décorant son lieu de vie, et en achetant des fleurs ! Les Ateliers Ouchamp, vous proposent des bouquets au procédé spécial permettant de conserver la fraîcheur des créations pendant plusieurs mois, voire des années. Testez quelque chose de nouveau pour la Saint-Valentin Et si vous profitiez de la Saint-Valentin pour tester de nouvelles choses dont vous avez envie ? Un massage aux pierres chaudes, un peeling ou pourquoi pas se lancer dans l'épilation semi-définitive ? Avoir des poils est tout à fait naturel, cela dit, pour des raisons esthétiques certaines personnes préfèrent s'en séparer. Comme c'est la période idéale, nous avons testé pour vous, l'épilation à la lumière pulsée avec le Silk-expert Pro 5 de Braun. Il est à ce jour le plus efficace pour la diminution visible des poils en seulement 4 semaines. Il s’adapte automatiquement et en continu à votre teint de peau pour assurer un équilibre optimal entre efficacité et sécurité. Les plus : la facilité d'utilisation et la qualité d'un service professionnel depuis chez soi ! Maintenant c'est à vous de jouer ! Que vous soyez seule, entre ami(e)s ou en couple, nous vous souhaitons de passer une belle journée de la Saint-Valentin sous le signe de l'amour de soi... et des autres ! :) Read the full article

[manieresdedire]

Cauchemar

Le virus "ZC3A²" avait fait des ravages dans la démographie des continents, interrompu les processus de création de richesses.

En Nortavera, pays en pointe sur la scène internationale avant le XXe siècle, après les élans de solidarité envers les victimes, les manifestations de reconnaissance envers ceux qui avaient soigné, approvisionné, transporté, assuré les sécurités, l’individualisme et la recherche par tous les moyens d’un profit pour soi, avaient triomphé.

Des patrons fraudaient allègrement à l’indemnisation du chômage partiel en faisant travailler leurs salariés chez eux tout en les déclarant chômeurs, licenciaient et embauchaient aussitôt un salarié dont la rémunération était largement financée par l’État dans le cadre d’un plan favorisant l’accès des jeunes à l’emploi. Des chefs d’entreprise se querellaient, ne payaient plus un loyer, un contrat dont l’exécution avait commencé, conservaient la TVA plus longtemps, demandaient à la garder pour toujours. Le clou : ils se déclaraient faillis et la loi les autorisait à se débarrasser de leurs dettes, d’une partie de leur personnel et à racheter à vil prix leur propre entreprise.

Des salariés avaient mis en avant un imaginaire droit de retrait pour, aux frais de la princesse, échapper à la fois au salariat et quelques jours au confinement, en famille, clandestinement et à la campagne.

Des chômeurs prétextaient des pathologies les exposant plus que d’autres au virus quand il leur était proposé un nouvel emploi.

Quelques professeurs (très peu) doublaient la durée de leurs vacances avec de semblables subterfuges.

Des travailleurs indépendants et des commerçants ultra-libéraux se trouvèrent à gagner plus d’argent en cessant toute activité qu’en travaillant, grâce aux généreuses modalités de calcul des indemnisations.

Personne ne songea à lire ce petit bouquin passionnant et diabolique de Paul Lafargue , " Le droit à la paresse", pour justifier intelligemment son refus de "l’étrange folie" de "l’amour du travail" en le fustigeant philosophiquement. Était-ce trop demander d’au moins simuler l’intelligence ?

Une pluie diluvienne d’aubaines s’était abattue sur un pays où les "jamais-contents" - non nécessairement les "sans-le-sou" -, ne furent pas davantage satisfaits (fallait s’y attendre), mais complétaient, comme jamais, leurs livrets d’épargne qui ne leur rapportaient plus grand chose depuis des lustres, privant la croissance de l’un de ses puissants leviers.

Allez expliquer à des gens qui, quelques mois plus tôt, remplissaient leur caddie de pâtes et de rouleaux de papier-cul et qui, en bonne santé physique, formaient de longues files sur les trottoirs d’un grand port de l’extrême nord-ouest du Pays pour être dépistés - on se demandait si ce dont ils soufraient était si difficilement dépistable - qu’il leur fallait dépenser leur argent pour que l’économie se refasse la cerise, que les gens retrouvent du boulot !

L’État, l’Assurance chômage, l'Assurance maladie, la Retraite, les Collectivités territoriales, servaient leur prestations en mode "open bar" et tous leurs ressortissants s’accoudaient au comptoir. Le Fisc, la Collecte des Cotisations, mettaient la pédale douce dans le recouvrement des sommes dues à la demande des débiteurs. Il n’y avait plus de contentieux.

Tous les lobbies se pressaient au guichet des ministres pour demander la levée des contraintes, l’octroi d’avantages, de subventions, d’aides et de crédits non remboursables (un nouveau “concept”) dont ils n’avaient parfois pas besoin, qu’ils encaissaient et plaçaient en bourse à des fins de spéculation.

Pour la première fois, selon un scenario que personne n’aurait osé écrire, on eut une illustration concrète de ce que signifiait le "ruissellement de l’argent". Une jeune présidente à qui, à peu près tout avait jusque-là souri, déclarait quelques mois plus tôt, que le phénomène se produisait quand les gens d’en haut, prenaient des initiatives et gagnaient tant d’argent qu’il ruisselait vers les gens d’en bas, le long de la corde de course en montagne à laquelle ces derniers étaient accrochés, suivant le chef éclairé et hardi, certains par un pied, d’autres par le cou. Là, sans les patrons, ni le travail, on obtenait de bien meilleurs effets. Les économistes n’osaient pas dénoncer la transmutation de l’or en plomb, ni le "bon argent" en monnaie de singe. Les risques d’inflation faramineuse puis de banqueroute étaient pourtant considérables.

Dans le monde, les gouvernants promettaient tout, des conteneurs de milliards exprimés dans toutes les monnaies du monde étaient déversés aux deux bouts des sociétés : les entreprises et les gens "d’en bas". L’entre-deux, le plus nombreux, s’inquiétait d’avoir à acquitter de nouveaux et douloureux impôts destinés à pallier les conséquences de l’extravagante et prodigue “fête des survivants” avant que l’inflation rogne encore plus leur pouvoir d’achat. Avec l’effet attendu qu’elle dévalorise les dettes étatiques himalayennes générées pour acheter la paix et lisser sur longue période la surmortalité liée au virus. Les défauts de paiements effaceraient ce qu’il resterait des monumentales ardoises qui devaient contribuer à faire réélire les gestionnaires de la crise ou à les laisser finir tranquillement leurs mandats.

Pendant ce temps, les milliardaires - à part une poignée d’immensément riches qui s’auto-déclaraient solidaires et généreux, tout en se gardant de faire le moindre don à leur État - serraient les fesses et se faisaient discrets. Ils redoutaient un impôt qui les aurait spécifiquement visés. On aime bien crier avant d’avoir mal dans ce monde-là.

En Nortavera, de populeuses cohortes de citoyens, sans bien comprendre ce qu’il se passait, s’engagèrent à ne jamais plus voter, en privilégiant à l’avenir, la véhémence et la violence pour obtenir des avantages.

Le gouvernement prenait des mesures visant à enrayer l’épidémie, mais on lui opposait que c’était trop tard, trop tôt, que le moment était mal choisi, que sa politique sanitaire était illisible, qu’elle n’était pas assez énergique, qu’elle était brutale, liberticide, pusillanime, que les indicateurs de la progression de la pandémie et de son aggravation étaient trompeurs, la preuve les morts du dimanche qui n’apparaissaient dans les statistiques que le mardi... Les moins de vingt-cinq ans se fiaient à d’autres statistiques qui les disaient moins exposés aux conséquences tragiques d’une contamination, alors ils s’asseyaient groupés, serrés, sur les recommandations destinées à protéger les personnes fragiles. Ceux dont les entreprises s’enrichissaient de rassemblements risqués ne voulaient connaître de chiffres que ceux qui se rapportaient à leurs caisses enregistreuses et aux boîtes à espèces dissimulées sous leurs tables. Ils manifestaient devant les hôtels des représentants déconcentrés de l’État en demandant la liberté de commercer et de vivre (eux) à en mourir (les autres).

Les cultivateurs faisaient des razzias sur les produits phytosanitaires et ré-ouvraient leurs armoires métalliques provisoirement “cadenassées” avec de vieux sandows où leurs saloperies attendaient, confinées, des "jours meilleurs" sans se douter, quelques semaines auparavant, que ces derniers étaient proches. Les viticulteurs bio s’arrangeaient avec les contraintes de leurs cahiers des charges. L’herbe ne repoussait plus nulle part. Les abeilles mouraient de plus belle, le miel, nouvel or jaune se faisait rare mais, heureusement les chinois avaient inventé une mélasse de substitution qui ne valait pas tripette mais trompait maints acheteurs. Les éleveurs dopaient leurs bêtes pour les épaissir et vendre du gras et de l’eau au prix du muscle - normal en ces temps de sécheresse sévère -. Des fonctionnaires dysfonctionnaient, ceux qui d’ordinaire contrôlaient, dérapaient, fermaient les yeux sur les malhonnêtetés. Les boites de nuit qui n’avaient pas l’autorisation d’ouvrir se transportaient dans les bars qui eux, l’avaient. Les fous défilaient contre le masque, les crétins, bien plus nombreux aussi. On cassait la figure de ceux qui vous demandaient de le porter. On cassait la figure de ceux qui ne le portaient pas. Le même sort attendait ceux qui le portaient qui étaient parfois les mêmes que ceux qui vous demandaient de le porter, mais pas forcément. On enregistra des cas de bagarres de masqués entre eux et de non masqués entre eux. Des tuniques mauves tentaient de s’en mêler mais s’emmêlèrent dans leurs revendications, au point de passer pour des militants syndicaux radicaux luttant pour "du travail pour tous” ce dont certains ne voulaient surtout pas (dans les deux camps) et se retrouvaient à chahuter méchamment, une ancienne comique scatologique qui disait les aimer plus que tout et qui voulait aussi devenir présidente de la République pour faire aboutir leurs revendications, affirmait-elle. Aussi quand cette dernière déclara :” Je lâche rien, en tout cas pas maintenant !”, on ne fut pas sûr de bien comprendre.

Les rescapés archi-minoritaires des mouvements pas tout à fait populaires d’avant-crise s’étaient convertis au terrorisme, les flics cognaient, les pompiers avaient peur. Les négociateurs des syndicats multipliaient par dix les montants de leurs prétentions en se disant "dans le bordel ambiant, ça pourrait marcher et même si on en obtient le cinquième, on les aura bien niqués". Et ça marchait.

Les humanistes de gauche ne savaient que dire, les humanistes de droite priaient, les extrêmes-droites jubilaient et inventaient des histoires à dormir debout, mais que des fractions non négligeables de peuples gobaient. Les pragmatiques faisaient n’importe quoi au nom du pragmatisme, versaient dans l’opportunisme et commettaient au moins une grosse erreur par jour qui coûtait la vie à des gens (on n’arrivait pas à les dénombrer), les réalistes ne réalisaient pas ce qui arrivait, les gauches et les droites traditionnelles s’étaient dissoutes, les ultra-libéraux n’en finissaient pas de manger des chapeaux en exigeant plus d’État. Les extrêmes-gauches se rapprochaient des extrêmes-droites ayant déjà en commun la dénonciation de tout, l’absence de projet économique et politique un peu élaboré - qui les eût fait ressembler à tous les autres et les eût exposés à l’intelligence de probables contradicteurs - dans le but d’ajouter au trouble et de venir y pêcher. On eut même un "Front populaire" (sic.) de Zeflay à Chaudour en passant par trois ou quatre plumitifs additionnels. Les sécessionnistes de tout poil se marraient : le foutoir était favorable à leurs causes.

Les chefs de village, de bourg et de ville qui avaient, dans un vaste mouvement de rébellion impolie, tant dénoncé, au moment du Grand Déballage, le fait que la présidente les tinssent pour quantité négligeable, et qui s’employaient à dire, urbi et orbi, que "chef élu, c’est vraiment trop dur" - les sondeurs estimaient alors à plus de 50 % le mouvement de leur prochaine désertion -, se représentèrent tous comme un seul homme et une seule femme (qui, au mieux, serait 1ère ou 2ème adjointe, ce qui en dit long sur les conseils de ces communautés, sur les hommes et la noblesse de leurs ambitions) aux échéances suivantes. Ils n’avaient pas obtenu de nouvelle revalorisation de leur "indemnité de fonction", mais y croyaient encore et s’ouvraient, le temps d’une demi douzaine d’années supplémentaires, une nouvelle période de chantage à la grève administrative et au boycott de la collaboration inter-collectivités territoriales et étatiques. Les présidents de Régions se rêvaient Rois en leur Pays, levant l’impôt, rétablissant les langues de jadis qu’il ne parlaient pas, armant des policiers provinciaux (recalés des concours nationaux), imaginant des croisades pour des causes insensées, rendant une justice conforme à leurs intérêts, bâtissant des résidences royales plus somptueuses que les hôtels de région qui avaient déjà coûté des blindes (au passage, la réinvention de l’amour courtois n’était pas prévue). Les grands chefs déconcentrés de l’État entraient en dépression et se convertissaient (selon le lieu et la nature des terrains de leur affectation) à la pêche en rivière ou au gros en mer et à la culture des rosiers et de potagers, ou demandaient leur mutation dans des emplois très subalternes. Les bourgmestres des grandes villes se prenaient pour les premiers magistrats de villes illustres, libres, grandioses et uniques, à l’instar de ce que furent au moyen-âge, Venise, Florence, Anvers, Amsterdam. Ils ne connaissaient pas les villes de l’Orient proche, de Chine, d’Inde... qui, avant celles de l’Europe avaient étincelé et stupéfait. Certains étaient incultes et préféraient la moto à la lecture.

Il comprit qu’il était suivi. Il se mit à courir. De plus en plus vite. Son cœur battait à tout rompre. Sa poitrine en feu lui faisait un mal insoutenable. Des autos, des tracteurs, des chars, des bateaux, des hélicoptères, des drones, des buggys, le pourchassaient. Sa vie allait finir là...

Il s’éveilla en sueur... Mauvais cauchemar. Il était en France, un bien beau pays, celui des lumières et des droits de l’Homme. Son peuple y savait faire les révolutions. Tout allait bien. Même s’il fallait prendre garde.

Serge Lebahy

(Ce billet n’est pas un pamphlet. C’est le compte-rendu d’un cauchemar terrible dont les scènes s’inscrivant dans la mécanique chaotique et insensée des rêves, ne sauraient être rapprochées, sans mauvaise foi, d’une quelconque actualité. Toute ressemblance avec un pays réel, des épisodes de vie, des groupes de personnes et des individus réels, résulterait de fortuités regrettables)

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Hi I am Fritz Aimer Java Dublar but you can call me ”MOY” if you want. I live in Brgy.Abuanan, Bago City and I am 18 years old. I am the youngest from the twelve siblings in our family. I really love to play Basketball and computer games like almost boys do. My bio “Prayer means Everything” means that we must have faith in GOD whatever it is and whatever it takes.

[nikanndros]

the high-school fake dating au

High school is possibly the worst place on earth. It’s like it was made to cater to the catty elite, but anyone who is different, or weird, or even just shy gets a target put on them. Laurent is different. His hair is too long, and he prefers actually going to class to learn rather than gossip, and he reads throughout his lunch break. And yeah, sometimes people give him shit for it, but Auguste has always told Laurent to be better than the assholes, so he’s never let that bother him much.

Except. Except, then there’s his mortal enemy, Aimeric. Aimeric is six months younger than Laurent, and they were childhood best friends, right up until Laurent’s dad fired Aimeric’s dad and Aimeric decided he had to take it out on Laurent.

It’s not usually that much of a problem, until the first day of Laurent’s final year of high school.

The issue is that all (three!) of Laurent’s friends were a year above him. Which means they’ve all graduated now. Which means that Laurent no longer has a shield of protection. Which means Aimeric finally has free range to attack Laurent in whatever way he sees fit.

The plan comes into action during roll call. Laurent knows this, because everyone in the class seems to simultaneously get a notification on their phone - Laurent included. Everyone at Marlas State High School is a member of the secret MSHS facebook group. When everyone’s phones vibrate in unison like this, it only means one thing - new gossip.

Roll call ends and they are all set free to walk to their first period classes and check their phones on the way.

MSHS Secrets Anonymous Poster: Found Laurent de Vere’s secret blog!!! crowned-and-laurelled.tumblr.com - read the bio omggg 37 likes | 60 comments | 9 minutes ago |

Laurent doesn’t need to click the link. He already knows what the bio says. He wrote it. He shoves his phone back into his pocket and gets halfway to class before he thinks, fuck this, and heads for the sick bay.

“It’s first period,” the office receptionist says, skeptically.

“I have a headache,” Laurent snaps.

Luckily, the sick bay is empty, so he can sit down on the uncomfortable bed in there and try not to freak out.

He’s been careful with this blog! He doesn’t tag anything or make personal posts. He even used a really old email address from when he was a kid to sign up. The only things that prove that it’s his is the profile picture - an artistically blurred photo of him - and the three word bio: Laurent, 17, gay.

He buries his head in his hands. His phone is going off with notifications like it never has before. Gay, gay, gay. Why the fuck did he write that?! There’s only one person who could have done this - Aimeric. Aimeric is the sole person in their school that was friends with Laurent when he was using that email address. He must have used that to search for Laurent’s blog.

This is so fucked up. Laurent had a very specific plan for his coming out - namely, to do it in university and also never speak to anyone from high school again. Sure, there have been rumours before, but this is practically a signed declaration. The torture this year is going to be relentless.

Laurent spends another twenty minutes with his head in his hands, when the door opens and in comes the receptionist and -- Damianos Akielos. Laurent immediately wants to die. Damianos - or Damen, as everyone calls him - is most definitely the most popular guy in school. Hell, he’s probably the most popular guy even in the schools he doesn’t attend, he has that many friends. Not only is he loved by just about everyone, but he’s also in three different sports teams, and the captain of the environmentalist committee at the school. When he smiles, literal sparkles appear around his face. Laurent once went to one of his wrestling matches and had a week of uncomfortably hot sex dreams afterwards.

“-still no excuse for fighting,” the receptionist is chastising him. And yet she still manages to sound more affectionate than when she’d been questioning Laurent’s headache.

“Aw, Miss Halvik,” Damen says, in a syrupy voice. “I didn’t know you cared.”

She laughs, and then instructs Damen to take the ice off of his cheek in twenty minutes, before leaving.

Damen sighs when the door closes, and then looks up and spots Laurent. “Oh!” he says, eyes widening. “Laurent, hi, you’re-- are you okay?”

“I’m in sick bay,” Laurent replies, testily. “So evidently not.”

Damen has the gall to look concerned. It’s not like he and Laurent have ever been friends or anything like it. “What happened? Did someone hit you?”

“I have a headache,” Laurent replies. “Your endless questions aren’t helping.”

“I’m sorry.”

They both fall silent after that. Despite the ice pack clutched to his face, Damianos still looks beautiful. His skin is flawless and brown, and his curls form perfect little ringlets that are just long enough to get in his eyes.

After a moment, Damen carefully says, “Did you get your headache before first period?”

Laurent looks away.

Damen takes that as an answer. He speaks as if Laurent is a skittish baby deer. “I’m sorry about that post, but I promise it’ll blow over. It’s just the start of a new year and everyone is desperate for drama. Something else will happen for them to focus on soon, I’m sure of it.”

Laurent levels Damen with a cold look. “It’s easy to be optimistic,” he says, “when you’re straight and perfect and everyone loves you. I doubt they’ll even let me last the year here.”

Damen frowns. “Do you really think that?”

“That you’re an optimistic idiot? Yes.”

“I mean that you won’t be able to stay here.”

Laurent sighs. “There’s a reason,” Laurent says, “that I didn’t come out on my own terms already.”

Damen falls into a thoughtful silence again for some time. “Do you think it would be the same for me? If I were --not straight.”

Laurent scoffs. “Everyone who saw you dating Jokaste last year has little doubt that you’re straight.”

“But if I wasn’t,” Damen insists.

Laurent shrugs. “I don’t know. You’d probably be fine. They’d all call you brave and keep loving you anyway. I’m an outcast, they’re all probably just happy for another reason to hate me.”

“Do you want to date me?” Damen bursts out.

It’s hard not to roll his eyes. “Just because I like men,” Laurent says, “doesn’t mean I want to fuck you.” He very specifically doesn’t say no, though.

“No,” Damen says, “I mean. What if we-- If I’m so popular then, wouldn’t it...make it easier… if we were dating?”

Laurent scowls. “You mean you want to pretend to date me so that people aren’t so fucking awful to me?”

“If you think that would help you,” Damen says, earnestly. “And any other not-straight students here.”

The worst thing is - it’s actually really tempting. Damen is offering to be his beautiful, bulky, human shield. It sounds like something out of a low budget rom-com.

“You dated Jokaste,” Laurent says, stupidly. “Everyone knows you’re straight.”

“Bisexuality exists, just FYI,” Damen replies. He’s smiling a little now, like he thinks Laurent is cute or something. What the fuck. “Listen,” he stands up. “I’m going to go back to class now. I can’t really afford to miss much more of history. But the offer stands. Think about it, and come sit with me at lunch if you decide you’re up for it.”