#araignée sa mère

[rusticpotatoes]

ma voisine elle frappe à ma porte en panique cet aprem pour que je vienne tuer une araignée parce qu'il y a personne chez elle et qu'elle est trop grosse

jlui dis ''ok pas de souci j'arrive pour la sortir''

ptdr j'arrive dans le salon je vois le morceau sur le rideau carrément on voyait ses pinces s'actionner ?!? ok j'ai compris pourquoi la voisine elle tremblait et était à deux doigts de pleurer mdr

je voulais archi pas la tuer de base mais là vraiment j'ai jamais vu une araignée aussi GROSSE alors je lui ai foutu des coups de pelle à balayette et la gow elle était encore vivante, elle était même pas écrasée

conclusion : jsuis une adulte sans peur mais j'ai tué un enfant d'aragog et j'ai peur qu'iels viennent se venger dans la nuit.

[ashley2art]

Catalogue d'exposition 2023

Par Ashley Mwalumba Lombaya

Louise Bourgeois, Maman, 1990

Louise Bourgeois, Maman , 1990 Du haut de ses 10m , elle rapelle la forme d'une araignée. Maman est une oeuvre emblématique de ls placticienne Louise Bourgeois. Son thorax ainsi que son abdomen sont fait dans la majorité des versions en bronze. La sculpture fait hommage a la mère et comprend un sac contenant 26 oeufs en marbre rapellant l'aspect maternelle de l'oeuvre. Elle se distingue des tendances abstraites mises en œuvre par de nomrbeux sculpteurs contemporains : elle choisit de représenter un animal en respectant ses principaux traits anatomiques (huit pattes, aspect général ...).

2. Cecily Brown , The Girl who had everything, 1998

Cecily Brown, The Girl who had everything, 1998

Brown est parfaitement consciente de la tradition de l’histoire de l’art qui la précède ; en effet, son travail existe comme une collusion esthétique entre les disciplines des maîtres anciens et de l'expressionnisme abstrait. Cette oeuvre se distingue par sa confusion stimulante et ludique des frontières traditionnellement perçues entre l'abstraction et la figuration

3. Jenny Saville, Propped, 1992

Jenny Saville, Propped, 1992

Inspiré par les écrits de féministes féminines, le travail de la peintre britannique contemporaine Jenny Saville remet depuis longtemps en question le plaisir visuel masculin et hétérosexuel qui, selon Mulvey, doit être démantelé. Dans son oeuvre Propped de 1992, représente son corps nu sur un tabouret phallique. Ses mains agrippent avec force ses cuisses et ses bras rapprochent ses seins. Elle embrasse les imperfections du corps, attirant l'attention sur les imperfections qui sont magnifiées par l'échelle de 7 pieds sur 6 pieds du tableau.

4. Tracey Emin, My Bed, 1998

Tracey Emin, My Bed, 1998

Tracey Emin a conçu l'installation intitulée My Bed (1998) après une longue période d'alité suite à une mauvaise rupture. Cette oeuvre est spéciale parce à cause de son contenu explicite .Les mouchoirs froissés, des vêtements tachés par les règles, des cigarettes, des bouteilles de vodka vides, un test de grossesse, du lubrifiant et des préservatifs entouraient son lit.

5. Jeff Koon, Balloon Dogs, 1994

Jeff Koon, Balloon Dogs, 1994

Balloon Dogs est une sculpture monumentale de l'artiste américain Jeff Koons représentant un chien sculpté à partir d'un ballon. Il existe différentes versions de cette sculpture en acier inoxydable. Réalisées entre 1994 et 2000, elles présentent chacune une couleur différente.

6. Antony Gormley, Angel of the North, 1998

Anthony Gormley, Angel of the North, 1998

L' Ange du Nord est une sculpture contemporaine d' Antony Gormley , située à Gateshead , Tyne and Wear , en Angleterre. Achevée en 1998, elle est considérée comme la plus grande sculpture d' ange au monde et est vue par environ 33 millions de personnes chaque année en raison de sa proximité avec les routes A1 et A167 et la ligne principale de la côte Est . [1] [2] La conception de l'Ange, comme beaucoup d'œuvres de Gormley, est basée sur le propre corps de Gormley. Le matériau en acier patinable COR-TEN donne à la sculpture sa couleur rouillée et oxydée distinctive. Il mesure 20 mètres (66 pieds) de haut et a une envergure de 54 mètres (177 pieds), plus grande que celle d'un Boeing 757 . 

[christian-dubuis-santini]

Au début, c'est un minuscule grain blanc parmi tant d'autres dans les fines mailles d'un nid de soie ; un beau jour, le grain commence à courir dans toutes les directions.

il grandit, on distingue des pattes minuscules, une tête blanche solidement armée, un corps rose et transparent: puis, à partir de plaques qui se figent comme une peau sur du lait, un corps gris, comme une peau sur du lait, une pellicule grise se dessine : c'est la carapace. La mygale prend alors son aspect définitif et plutôt inquiétant. Mais elle ne s'appuie ni sur sa démarche de petit monstre ni sur la puissance de ses chélicères qui déchirent vertueusement les chairs les plus fermes, ni même sur son redoutable venin.

Elle se méfie. Et cependant, alors que les autres araignées ne comptent que des ennemis sur terre, elle n'en a qu'un qu'elle craint fort de rencontrer un jour au point de renoncer au monde dans lequel elle vit.

Sitôt qu'elle a été chassée par sa mère du dos sur lequel jusque-là grouillaient ses petits, la jeune mygale affronte seule l'immensité menaçante et cherche un talus à creuser. La nuit tombe, et elle se met au travail avec beaucoup d'ardeur: de ses pinces elle érode le sol et fore son terrier. À l'aube, la voilà installée dans sa demeure, à l'abri, derrière l'opercule rond fait de six couches alternées de terre et de toile: la toile vers l'intérieur, la terre vers l'extérieur, et si exactement taillée en biseau qu'il ne laisse apparaître aucun indice de de la cachette. Une charnière en fil permet de manœuvrer la porte, aussi étanche que le sas d'un sous-marin.

Maintenant qu'elle se sent protégée par l'obscurité, la mygale poursuit tranquillement son forage, entassant vers l'entrée la terre dont elle se débarrassera pendant la nuit.

En quelques jours, c'est un enchevêtrement d'embranchements et de labyrinthes dont certains se terminent en cul-de-sac, les autres, fermés par des opercules aussi parfaits que la porte d'entrée, donnent accès à des chambres confortables et sombres dont elle change continuellement.

Lorsque son travail est terminé, l'araignée se réfugie et ne bouge plus.

Elle n'en sort qu'à la tombée de la nuit pour chasser, et encore, pas si souvent.

Toutes les six semaines, une mouche lui suffit et elle peut rester des mois sans se nourrir.

Aucun événement dans sa vie si ce n'est la visite des mâles qui, grâce à l'odeur que la femelle répand, trouvent l'entrée du terrier, y pénètrent avec force et s'y perdent. C'est ainsi que l'on trouve vingt ou trente cadavres de prétendants dans chaque terrier. Un seul d'entre eux atteint la chambre nuptiale et, ayant accompli sa tâche, va mourir à l'extérieur. Mais le pompile (comme le calicurgue annelé) ne se trompe pas de chemin. Il court tout droit au fond du terrier où l'attend l'araignée. Deux fois plus grosse que lui et beaucoup plus venimeuse, elle en aurait vite raison, mais en vertu d'une convention singulière, il n'arrive jamais qu'une mygale attaque un pompile, ni ne tente de s'en défendre.

Ce prédateur la pique près du bulbe rachidien avec un seul aiguillon, pond un œuf sur son corps paralysé et sort, en fermant soigneusement derrière lui toutes les issues.

La mygale survivra ainsi, immobilisée, jusqu'à ce que la larve issue de l'œuf du pompile se soit rassasiée de la chair fraîche restante.

(Jacques Brosse, L’ordre des choses)

[le-mec-libre]

Bourgeois est née dans une famille de tapissiers et ses parents dirigeaient une usine de réparation de tapisseries. Enfant, Bourgeois a été traumatisée à plusieurs reprises, d'abord par la découverte que son père avait une liaison avec sa nounou, et ensuite par le décès de sa mère alors que l'artiste avait 21 ans. sa carrière de dix ans s'est concentrée sur les thèmes de la procréation, de la naissance, de la maternité, de la féminité et des relations, souvent avec une lentille freudienne. Une grande partie de son travail est gouvernée par deux symboles : un phallus, représentant son père, et l'araignée, représentant sa mère.

Dans mon dernier message, j'ai eu la pensée fugace en crochetant que je me sentais comme une araignée tissant une toile, et une toile est la maison d'une araignée. Cela me rappelle une de mes plus grandes inspirations, Louise Bourgeois.

[atthedas]

Quelques personnages attendus

Crédits : Icones de Factions par Mâo.

Sur Ainsi tomba Thédas, tous les trois mois environ, nous mettons en avant de nouveaux personnages prédéfinis attendus par nos membres et intégrés à l'univers ! Si vous souhaitez profiter d'un petit voyage en Thédas avec l'assurance de trouver du jeu, n'hésitez pas à jeter un œil à cette petite fournée.

ANJA ROSENMÜLLER - Âge : 22-23 ans. Genre : Féminin. Peuple : Humain. Nation d'origine : Anderfels. Occupation : Ménestrelle au service de la Commanderie de Starkhaven. Religion ou Croyances : Chantrie andrastienne. État civil : Libre. Fiche prédéfinie ici.

« Je n'ai pas honte de dire que je suis la lâcheté incarnée. J'ai peur de tout : des araignées, des serpents, des mages, des sourcils froncés et par dessus tout des engeances. Alors pourquoi suivre la garde ? Parce qu'il faut affronter ses peurs, un peu, et surtout parce que ces héros maudits méritent l'honneur des plus beaux chants. J'ai rencontré Senaste et Ateesha à Weisshaupt et depuis je les suis un peu partout, grâce à la volonté de la Commandeure-garde surtout. J'ai même eu la chance de monter sur un griffon. Mais passer l'union ? Jamais de la vie. Je ne suis qu'une artiste. Écrire des chansons et les chanter est le seul don dont je dispose pour les aider, et on me dit plutôt douée même si mon caractère enjoué les agace parfois. »

ARLISA. Âge : 32-33 ans. Genre : Féminin. Peuple : Elfe. Nation d'origine : Marches Libres (Starkhaven). Occupation : Marchande de bibelots. Religion ou Croyances : Libre. État civil : Mère célibataire. Fiche prédéfinie ici.

« Plus que les autres Elfes et autres pauvres gens, je me suis accrochée et j’ai eu de la chance : mon commerce est devenu l’étal de nombreux produits artisanaux du bascloître et il plut aux Humains de la ville. J’ai ainsi réussi à m’extraire du fond de la cité, hélant et m’enrichissant parmi ces marchands qui me toléraient. Mais voilà : la Guerre des Rats éclata, l’assassin avait réveillé de vieux démons et l’on me rappela que ma place n’aurait été due qu��à la chance. Du jour au lendemain, je peinais à nourrir mes enfants, et l’on se permit de s’en prendre plusieurs fois à mon étal : combien de fois mes mains ont-elles saigné car j’avais dû le reconstruire, seule ? Peut-être qu’aujourd’hui je peux compter sur le support de ce filou de Rivénien, grâce auquel les choses vont un peu mieux - mais pour combien de temps avant que ce ne soit définitivement la fin pour moi ? Avant que sur l'autel de l'Enclin, enjoint par les Elfes et les Humains, l'on sacrifie ce que j'ai eu tant de mal à construire ? »

FRANZISKA. Âge : 28-29 ans. Genre : Féminin. Peuple : Humain. Nation d'origine : Névarra. Occupation : Ancienne chirurgienne de guerre, elle tient désormais un office plus ou moins autorisé entre sa maison de Cairnayr et les quartiers défavorisés de Starkhaven. Religion ou Croyances : Libres. État civil : Mariée à Copper. Fiche prédéfinie ici.

« Les mains dans le sang, les pieds dans la boue, chirurgienne de talent pourtant reléguée aux quartiers les plus démunis et malfamés de Starkhaven… Souvent, on me demande pourquoi j’exerce dans la saleté et la pauvreté, pourquoi une mère de famille comme moi met les doigts dans le cambouis plutôt que d’exercer par les herbes et les sortilèges ; je réponds qu’heureusement que le Créateur m’a mise sur leur chemin pour leur permettre de poser des questions aussi stupides. Peu importe qui je suis et d’où je viens. Peu importe que, parfois, je repense à ce que j’ai laissé derrière. Peu importe ce que j’ai pu faire pour en arriver là : l’essentiel c’est que je sais ce que je fais lorsque l’on me confie leurs vies. Je ne veux montrer à personne à quel point j'ai peur, oui : peur de ceux qui nous ont toujours menacés, de ceux qui sont censés nous protéger et de cet Enclin qui ravage tout sur son passage ; peur de perdre cette vie si fragile que j'ai su me construire loin de la fuite. Pourquoi nous faut-il toujours courir ? »

KEITH FARWELL. Âge : 46-47 ans. Genre : Masculin. Peuple: Humain. Nation d'origine : Marches Libres (Tantervale). Occupation : Chercheur sénior à la tête de la délégation. Religion ou Croyances : Chantrie andrastienne. État civil : Célibataire. Fiche prédéfinie ici.

« Oui, je suis petit : pour les deux recrues malines qui s’imaginaient innover en blaguant sur ma taille réduite et ma grosse voix, l’affaire est déjà entendue ; pour tous ces géants d’ambitions ou de richesses, ils s’offusquent expressément de voir un Nain chez les Chercheurs de la Vérité, et je m’humilie à devoir justifier que je suis bien chantriste comme eux. De Tantervale, d’où je viens, on raconte que l’on s’agrandit dans la Lumière du Créateur : mais j’ai beau avoir passé des décennies à accomplir Son œuvre, à protéger Sa Divine, à avoir souffert dans leur dernière Marche Exaltée ; on ne me rappellera au final que mon ridicule. Sûrement que leurs moqueries cachent des intentions mauvaises, de vils secrets ; sûrement qu’en creusant dans le passé de toutes ces grandes gueules, je trouverais de quoi à mon tour les descendre dans le trou de leur médiocrité. Rien ne m'échappe.

Qu'ils m'arrêtent. »

VARLAS TANASSAVIR. Âge : 38-39 ans. Genre : Masculin. Peuple : Elfe. Nation d'origine : Clans dalatiens (Shiralen). Occupation : Ancien unique archiviste du clan Shiralhen, désormais l'un des deux Archivistes du clan Tanassavir. Religion ou Croyances : Panthéon dalatien. État civil : Marié. Fiche prédéfinie ici.

« Mon ancien clan ne comprend pas que je me mette autant en retrait, que je laisse l’Archiviste Rahnmyatha prendre les rênes et que j’intervienne si peu dans les décisions. Moi qui les ai pourtant toujours menés avec fermeté et bienveillance, qui suis d’ordinaire déterminé et sage. Ils ne comprennent pas parce que je ne leur montre pas les doutes qui me traversent depuis le combat contre le démon et aussi ceux inhérents à cette organisation pour le moins inédite. Ce combat a vu périr nombre des miens, dont ma propre jumelle et a marqué mon visage comme mon âme. Désormais, dans mes sommeils agités, les démons me murmurent et me tentent, prennent un visage connu, le mien ? Ou celui de ma sœur ? Quelle est cette famille dans laquelle je ne me retrouve plus ? »

À côté de ces prédéfini.e.s en sont attendu.e.s de nombreux.ses autres, comme de beaux scénarios, pré-liens et familles proposés par nos membres ! Nous n'attendons que vous.

[gedjub]

260324 Maybachufermarkt:

"Ich bestell' auch ein Chicken Mal nochmal neu"

und

"Das war doch nicht gut einkalkuliert, Jakob."

+ J'apprends à m'énerver.

290324 deux bouts de temps, deux aiguilles entre les doigts, serrer les applatit, la matière monte au dessus de la pulpe et des ongles, un pic plat.

+ Croire est plus rapide que ne pas croire, ou en tout cas plus glissant.

300324 "J'ai une partie de ma maison qui est consacrée à ce que je mets dans mon sac." Moi, répété par Manon, ce qui rend la phrase drôle.

310324 un son

Entre les dents

Tu cours

Sur un tapis blanc

Devant un escalier mouillé

Que tu prends

On ne sait

Pas à pas

Si tu montes

Ou tu descends

Laquelle est le reflet

Et les nuages

Cachent ton cœur âgé

Qui continue de marcher

Eux

Va-et-vient

Ont une fin

Hors-champ

Où tu réapparais

010424 Rien n'est fini, ni le mot, ni son sens, ni la chose.

020424 "... Car si vous répondez à toutes les longueurs d'ondes, vous gaspillez de l'énergie pour fabriquer du nectar pour quelqu'un qui n'en boira jamais." (Le génie caché des plantes, Arte)

+ Le fantôme dans la pièce

S'endort sur tes genoux

C'est doux et il s'y enfonce

C'est si bon! Mais tu tousses

Le bond qu'il fait

Maintenant il est

Le fantôme

dans la pièce au dessus.

+ Armature ôtée, j'ai mal et je vis, je sens tout ce que tu me fais. Tu m'as eu à défaut, avec défauts, et tu me tues dans la vie amoureuse.

+ Ventre vide, ventre mou

+ Si tu ne me donnes pas de mots, je comprends tout à la fois et le flou n'est pas adversaire.

030424 à l'heure de marcher je reste et je regarde le mur. Une araignée bouge et m'oblige de la suivre. Ensemble arrivées à la fenêtre, nous faisons demi-tour, Elle dans ma main, moi dans la forêt. Perdues, nous grimpons. En haut, debout, campées et balancées, nous observons le monde. J'ai ma clé dans ma poche, je ne sais pas comment j'ai fait ça.

040424 Manette m'a dit des poèmes.

+ Gide dit de Poussin, qui n'a jamais été l'éleve de personne ni n'a jamais eu d'élève, que "son défaut même de virtuosité et la lenteur de sa main persévèrent sa secrète valeur."

+ Le géant s'est foulé la cheville sur une montagne et s'est noyé dans l'océan.

+ Le noir dans l'ombre des montagnes vu depuis l'avion me rappelle les cieux noirs de mes histoires de jeunesse. Les personnages et les objets n'avaient pas besoin de lumières artificielles dans ces mondes-là.

050424 Des lumières de la corniche on voyait la mer noire.

+ Le musée d'art trop moderne

+ Du train, duo côté fenêtre, un album de '97 dans les oreilles, je savoure les coquelicots en ligne mélangées de ces autres fleurs qui sont jaunes, elles vont toutes à Marseille, je vais à Montpellier, on se croise, on se séduit de l'oeillet dans les champs entre mer et mer.

+ Et deux refrains différents dans la même chanson ? (Byrne, Daddy go down: semi-refrains)

+ Maintenant des fleurs blanches dans les rangs également, et les arbres, et les maisons, et les montagnes, tout ça se précipite à Marseille! Seul le ciel vient avec moi.

080424 Katja a dit: "Il faut chercher les trous avec les yeux."

+ Cezanne, ouvre-toi

Korma Police

(Fred)

Il vaut mieux une catho à l'escalade qu'une scato à l'écalade. (Pao)

+ La parole est au greffier fatigué d'être.

+ Sophrote et la linguistchique

110424 Se poser et voir le monde, Jean-François Billetter: j'ai l'intuition qu'on peut entendre le résultat, qu'importe qui on est, mais que la description du chemin de Bonnard ou d'un autre esprit brouille la recherche du chemin propre, qui peut être très très très différent.

+ Luc: "La résine est une hérésie" (en parlant de chaux, évidemment)

"J'ai même pas senti le poulet, j'ai senti que les champignons! On dirait des chips!" (Blablabus Montpellier Marseille)

+ Décrire la bête marseillaise (Gérald)

220424 Bah, ces coquilles valent bien les hippocampes séchés de mon enfance, que ma mère a jetés. Tout aussi passionnantes, elles ne sont pas cadavres. Cela leur enlève un sombre attrait dont je me passe volontiers.

+ Collectionneur des restes de ma vie, aujourd'hui je mets tout à donner. Presque tout, n'oubliant pas la demi-mesure fraîchement apprise. Homme de peu de passé, avance mieux. Je libère ainsi mes yeux intérieurs, c'est bien là que la douleur siège.

+ Tant de belles choses non notées, mais j'avais trop mal. Je m'efforce maintenant de ne plus exagérer.

+ Je suis un vent dans une forme molle qui était liquide. (Paul Valéry: "[...] tout solide actuel a passé par la phase liquide, fonte ou solution." L'homme et la coquille, folio sagesses p. 72)

... Dans l'aqueux je n'eûs pu entrer ! Suis-je né vent du mouvement de la construction de cet être de chair? Petit à petit, soufflant de plus en plus, ou s'y préparant, à mesure que l'embryon se formait et se creusait d'organes ? Y étais-je enfermé jusqu'à la sortie à l'air libre? Ou suis en fait le premier flot d'air libre entré dans ce corps qui s'est ouvert à moi? Un bout transparent, fluide et volant du monde, de l'univers, peut-être, venu de loin et mené jusqu'à cette bouche qui m'accueillis?

[ditesdonc]

Les vacances au Chollard. 1959 1960 1961

Texte de Jean-Claude Long

(Dans le numéro 3, Jean-Claude Long avait partagé ses souvenirs d’enfance à Curtin. En voici la suite.)

Le Chollard est un hameau dans un chemin de terre, entre les routes Vézeronce-Morestel et Morestel-Curtin. La maison est plus petite, on plante un acacia, les toilettes sont au fond du terrain et servent de villégiature aux araignées. Des vacanciers occupent la maison voisine, une brunette, Colette, fait de la balançoire. Au Chollard, ce n’est plus pareil, l’enfant est à l’école primaire. Sept ans, « l’âge de raison », dit-on. Il fait maintenant partie du monde qu’il observait à Curtin, c’est l’action qui compte, moins la féérie contemplative. La grande affaire, au Chollard, c’est l’agriculture ! La ferme d’Alexis Meunier est toute proche : vaches, chevaux, poules, canards, canetons duveteux qui ne se gênent pas pour faire caca dans mes mains, une chèvre irascible liée à un piquet au fond d’un pré, où elle me traine un jour. Charrettes, machines étranges et fascinantes. Monter sur un char, comme un Romain, c’est amusant ! L’enfant a vu au cinéma Ben-Hur et la fameuse course.

Il suit l’agriculteur et sa fille Marie-Thérèse, quinze ans environ, dans les champs de tabac et de maïs.

Quel vacarme, quelle poussière, du saucisson, du vin, des gâteaux, c’est le jour de la batteuse !

Un matin, juché sur une charrette, l’enfant, suivant les instructions du fermier, conduit le cheval, Blond, et passe devant la maison où sa mère sa grand-mère et sa sœur prennent leur petit déjeuner.

J’ai rarement été aussi fier dans ma vie, peut-être le jour de ma « Médaille d’or » au Conservatoire. Des années de travail contre dix minutes de merveille.

Le tabac sèche au grenier, l’odeur est enivrante ; on égrène le maïs à la veillée.

Nous fréquentons les enfants de la famille Desvignes, qui habitent à côté de la ferme Meunier. Chantal, Isabelle, adolescentes, viennent à la maison pour jouer aux petits chevaux, au cinq-mille, ou au bouchon. René grimpe avec moi dans les charrettes du père Meunier et se fout un peu de moi, parce que je ne suis « pas bien leste ». J’aime bien Monique, une fille de mon âge, qui court vite dans ses jupettes, « les jambes à l’aise », comme dans une chanson d’Anne Sylvestre que je découvrirai quinze ans après. Un jour de retour à Lyon, je veux absolument lui dire au revoir en l’embrassant. Elle ne veut pas, et je la poursuis sous ses moqueries gentilles. Comme on rigole ! Je joue à l’amoureux désespéré, elle est pliée !...Monsieur Desvignes a une traction avant Citroën 15 et nous trimballe parfois. Des garçons, Guy Escomel, Christian Riboult, viennent voir ma sœur, ils montrent leur habileté et leur vaillance en moulinant le café le plus vite possible. Drôle de parade nuptiale !

Mémé Louise suit le Tour de France à la radio. Anglade, trahi par l’équipe de France, Bahamontès, Graczyck, Rivière, sont nos chevaliers. La carte et le tableau des vainqueurs d’étapes, ainsi que les maillots jaunes, sont affichés dans la cuisine. Un jour à la sieste, l’enfant découvre dans un tiroir des articles de journaux avec les photos des coureurs suant, grimaçant, poussiéreux, dans des paysages inconcevables de précipices et de neiges éternelles à l’arrière-plan. Fascination absolue ! Je garderai longtemps cette passion, jusqu’aux tristes années Armstrong.

La vie, la mort, avancent. Mémé Louise nous quitte en février 1961, le dernier été au Chollard se passe sans elle. Hassenforder, Cazala, Darrigade, ont perdu une supportrice, André Bourrillon une auditrice. Le Chollard, c’est la fin de la petite enfance, ce sont les années Ecole primaire : vélo sans roulettes dans le chemin, pétanque avec des grosses boules de couleur, en bois, badminton (on dit « volant ») Tonton Maurice n’a plus la quatre chevaux mais une Dauphine. La grande table accueille les repas familiaux, les jeux de société, ce qui rend ma mère si heureuse ! L’enfant devra affronter le CM2, « préparation à la 6ième »sans les encouragements de mémé Louise.

Je voudrais avoir des nouvelles de Marie-Thérèse Meunier, Chantal, Isabelle, Monique Desvignes. Christian Riboult. L’acacia !

"Le Printemps", Sandro Botticelli, 1478-1482

[aforcedelire]

Du côté sauvage, Tiffany McDaniel

Coup de cœur 🖤

Arc et Daffy sont deux jumelles qui vivent au bord de la rivière, à Chillicothe dans l’Ohio, et qui n’ont pas une vie franchement saine. Élevées par leur mamie Milkweed jusqu’à leur neuf ans, elles retournent avec leur mère et leur tante, dans une maison délabrée et hantée par la dépendance : celle de leurs parents à l’héroïne et aux seringues, celle des hommes à la violence. Ensemble, Arc et Daffy fuient leur quotidien et les araignées à coup d’imagination débordante nourrie des récits de leur grand-mère. Devenue adulte, Arc lutte toujours avec ses souvenirs lorsque l’on découvre le corps d’une femme noyée dans la rivière. Et bientôt, les cadavres s’accumulent.

Cette sensation particulière de flottement et de perte quand tu refermes un roman que tu as adoré, qui t’a transportée, transpercée... D’abord, quelle joie de renouer et retrouver l’écriture de Tiffany McDaniel, son lyrisme, sa beauté et sa brutalité ! De faire la connaissance de nouveaux personnages, d’assister à des nouveaux chemins de vie pas toujours glorieux. Du côté sauvage est un chef-d’œuvre, un coup de (au) cœur, une histoire au souffle romanesque puissant, qui se picore et se dévore, où on prend son temps et où n’a plus le temps. Je l’ai trouvé très dur : la vie d’Arc et Daffy, leur dépendance, la violence dans laquelle elles ont grandi, les hommes-araignées qui prennent tout sans demander, parce qu’ils le veulent et qu’ils le peuvent, leur mère et leur tante qui ne sont plus que les fantômes de ce qu’elles étaient… Les 700 pages sont intenses, un mélange onirique et cauchemardesque. Et savoir que Tiffany McDaniel s’est inspirée d’une série de crimes non élucidés donne un aspect encore plus fascinant à ce roman déjà fort puissant. Je n’ai pas forcément tous les bons mots pour décrire mon ressenti, mais qu’est-ce que c’était bien ! Quelle claque !

18/02/2024 - 02/03/2024

[comme-du-monde]

Val-Terreur 4 Livre de prières aranéennes

Voici les restes d’un livre de prières aranéennes, découverts sous les lattes du plancher d’une demeure abandonnée, en bordure de Val-Terreur. Un cercle avec quatre lignes de chaque côté (une araignée) était gravé au bas de la porte, ce qui attira l’attention du frumentaire Caius. Que ces prières servent d’avertissement : les Aranéens du Nouveau Monde sont toujours actifs, et ce même aux frontières de l’Empire. Que ces prières servent aussi de rappel : les Aranéens du Nouveau Monde sont aussi frappés de la Damnatio Memoriae. Ils iront rejoindre les autres ennemis de l’Empereur, les CAVIARDÉ et les disciples de CAVIARDÉ dans l’oubli.

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I Unité Gloire à Aranea, gloire à la toile cosmique qui unit chaque être Gloire aux Fruits divins qui mûrissent en chacun Le Premier, qui éveille l’esprit Le Second,  qui nous lie à nos frères et sœurs Le Troisième, qui lève le voile Le Quatrième, qui montre le chemin Le Cinquième, qui offre les savoirs d'innombrables mondes Le Sixième, qui est le don des langues Le Septième, qui ouvre la porte au Royaume intérieur Le Huitième, qui tisse l’Unité Gloire aux Fruits divins qui mûrissent en chacun Gloire à Aranea, qui porte les Huit en tresse Gloire à la Couronne Irpicoïde qui balaie le Cosmos de son message divin Incandescent

II Mère Aranea Bénie soit la Mère Que ses plaies se ferment, que son sein se réchauffe Et accueille l’Enfant L’Enfant qui la berce et efface ses souffrances Bénie soit la Mère Que sa mémoire persiste, que ses mains se durcissent Et châtient  l’Adversaire L’Adversaire qui l’aveugle et amoindrit ses sens Maudit soit l’Adversaire Qui rompt l’Unité Bénie soit la Mère

III Ambition Chasseur! Parcours l’ouest en quête d’une proie qui s’offre En dessein d’Unité Cueilleur! Récolte le Septième au métatarse Infuse la Vérité Pionnier! Explore l’inconnu qui masque Le labyrinthe de la Mère Pèlerin! Porte les Fruits en tresse Partage ton secret prudemment L’Adversaire te guette

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Le reste est illisible. Le frumentaire Caius découvrit aussi une sorte de racine– ou un fruit séché qu’il décrivit comme ayant l'apparence d’un doigt démesuré, momifié. La chose était dans une bouteille en verre et submergée dans le vinaigre. Le livre, la bouteille et son contenu sont soumis au bon jugement de l’Empereur.

De la main du Scribe impérial Archives personnelles de l’Empereur Adofar I, Février 924 ab Urbe condita

[yes-bernie-stuff]

◀ 20 SEPTEMBRE ▶ La Bonne Semence

Ce qui se voit est temporaire, mais ce qui ne se voit pas est éternel. 2 Corinthiens 4 : 18

Nous n’avons pas ici de cité permanente, mais nous recherchons celle qui est à venir. Hébreux 13 : 14

Fourmi ou hirondelle ?

Une fable raconte qu’une jeune hirondelle, voyant les fourmis si actives, leur demanda le but de leur travail. « Nous faisons nos provisions pour l’hiver », répondirent les petites bêtes. « C’est fort sage, reprit l’hirondelle, je vais faire comme vous ». Et elle se mit à poursuivre mouches, araignées et autres insectes et à les amonceler dans son nid. « Que fais-tu là ? » demanda sa mère étonnée. « J’amasse des provisions pour l’hiver, les fourmis m’ont appris à agir ainsi. – Mon enfant, laisse ce soin aux fourmis. Elles n’ont pas d’ailes comme nous ! Quand l’été sera fini, nous quitterons ces lieux et nous nous en irons vers un pays où nous ne manquerons de rien ». Chrétiens, sommes-nous des fourmis ou des hirondelles ? Passons-nous notre temps à amasser des biens pour l’avenir ? Nous ne serons pas toujours des habitants de la terre. Notre maison terrestre, c’est-à-dire notre corps humain, n’est qu’une tente, mais nous avons une maison éternelle dans les cieux (2 Corinthiens 5 : 1). Bientôt, à la venue de Jésus, nous nous en irons vers lui. Ne nous laissons pas absorber par les soucis de la vie, et n’amassons pas fiévreusement des trésors qui périssent. Nous sommes appelés les citoyens des cieux (Philippiens 3 : 20), car nous attendons le retour et le règne du Seigneur Jésus, notre Sauveur. Lecteur, peut-être étranger jusqu’ici à ces réalités spirituelles, n’êtes-vous pas préoccupé par la question de votre avenir éternel ? Aujourd’hui encore, Dieu vous offre son pardon et la vie éternelle par la foi en Jésus. - Lire plus ici :

[hocarre]

Petite création d'une Yokaï

Le village était calme, silencieux alors que le vrombissement des flammes couvrait les râles d’agonies de ces pauvres âmes qui rendaient leurs derniers souffles. Mais le bruit le plus horrible était ce son strident de plaisir que les deux monstres produisaient pendant leur union macabre, et cela pour une seule nuit. Cette chasse et guerre de territoire avaient réveillé une ancienne passion mortelle.

La Jorogumo avait tissé une toile épaisse pour maintenir solidement son coriace adversaire, un Tsuchigumo, qui était solidement entravé dans une toile gluante. Et cette yokai le chevaucher dans un rythme endiablé telle une reine araignée. Elle maintenait son partenaire monstrueux au sol, prenant son plaisir faisant craquer l’illusion de cette beauté fatale pour révéler sa véritable nature, une humanoïde aux caractéristiques arachnoïdes et monstrueuse. Les deux Yokais avaient lutté griffes et crocs tout en écrasant les habitations et ses pauvres habitants où c’était déroulé leur combat et cette lutte de forces égales avait été remplacé par cette union improbable. La Jorogumo se déhanchait sous la passion et fini par desserrer la prise qu’elle avait sur ses fils et le mâle en profitait pour filer sans demander son reste une fois sa tâche accomplie. Autant cet horrible monstre au corps d’araignée et à l’instinct de tueur était puissant et fort face à cette frêle femelle, autant, il était faible comme un humain face à cette dernière dans cette situation où elle pouvait le tuer et le dévorer en l’espace d’un instant. Mais son instinct de survie avait été le plus fort et il filait sans demander son reste, le fier guerrier au code d’honneur, devenait temporairement un fuyard que son clan pouvait destituer de sa place de chef.

La futur mère reprenait ses esprits et regardait les lieux avant d’émettre un cri strident qui rameutait auprès d’elle, toutes les araignées de la forêt, grâce à leur aide, elle aménageait les lieux rapidement recouvrant les ruines, de toiles d’araignées, d’ossements et de reste de bouillie humaine, un endroit parfait pour accueillir ses futurs ses cocons précieux qui allaient protéger sa progéniture. Ces derniers allaient mettre plusieurs mois pour délivrer, ou non, au monde, leurs petits habitants. Ce village qui était maintenant vide serait le sanctuaire parfait pour voir cette future vie apparaître et croître. Mais pour le moment, c’était un lieu de désolation, de mort, des fils de toiles volaient au vent, porté par les brises qui parcouraient les lieux. Cette même brise qui faisait tournoyer lentement et sur eux même, les poches d’œufs que l’horrible femme araignées avaient disséminer un peu partout. Certaines ne pourraient jamais voir le jour, d’autres auraient libérée de leurs coques collantes et résistantes, des araignées bien plus grosses que le commun des mortel, mais bien trop petites et frêles pour être un Tsuchigumo et bien trop difforme pour devenir une ravissante Jorogumo.

Mais un, un en particulier avait délivré un soir de pleine lune rouge, la seule création parfaite que cette union inhumaine et contre-nature avait formé. Une fillette, mi-humaine, mi-araignée, qui tiendra ses pouvoirs de sa mère, et l’appétit de son père, ce qui la mènerait à avoir une vie chaotique et non-lisse comme un fil de soie. Cette dernière s’était échappée de son cocon en l’éventrant et portait son regard vers la pleine lune, ouvrant tous ses yeux les uns après les autres. Yeux qui avaient une magnifique teinte rubis, bien plus claire que ses cheveux rouges comme le sang.

Elle avait fini par sortir de son reste de son cocon, ses pattes monstrueuses semblaient, vouloir s’effondrer sous son poids de fillette qui semblait avoir quatre ans. Elle fixait l’astre intensément, comme hypnotisée par celui-ci mais un bruit brisa le silence et elle s’enfuie le plus rapidement possible, avec une vitesse incroyable avant de se hisser dans l’ombre du feuillage de l’arbre qui avait apporté sa protection pour sa poche de soie. Elle scrutait les lieux, remarquant une chouette, le bruit provenait de ce petit animal étrange. Après un moment à la regarder, intriguée, elle savait ce qu’elle devait faire, son instinct se réveillait en elle, comme une fleur en train d’éclore. Elle savait quel bute, elle devait atteindre.

[sjlordi]

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[C]l'empire de Forhost

Les survivants de la peste ont fuit leur continent mère pour coloniser un continent cent fois plus grand que le leur leur vaisseau s'est écrasé au centre de ce continent dans une cuve entourée de montagnes qui les isole du reste du continent les premiers colons ont bâti des villes et ont fondé leur royaumes ils se sont assemblé pour proclamer un empereur ce relatif calme à lancé la première ère où l'empire était bâti dans une forêt de sapin vertigineux et dense l'empire pris pour capitale Nebula le continent grouillait d'araignées celle ci était intelligente et pouvait imiter une voix humaine ou attaquer en meute ces monstres ont ravagé les royaumes lointains avant que l'empereur bâti une muraille pour fermer l'empire à ces araignées venu du reste du continent

Les humains du continent décimé par la peste ont fuit sur leur continent lunaire orbitant à chaque ans au dessus de leur continent ils avait calculé la trajectoire mais les calculs était faussé leur astronomes avait donc recours a un calcul qui se basait sur la seule constante qui leur permettrait d'atteindre le continent ils avait choisi comme repère une constellation et son étoile la plus brillante était leur base de calcul ils décidèrent de nommer l'étoile d'[habigaelle|http://aminoapps.com/p/s2p0g6w]

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Maple V orbite le continent

Maple V orbite le continent et scrute la crevasse où l'empire de Forhost se situe les première photographie du continent révèle un empire médiéval qui semble avoir bati une muraille le long des chaînes de montagnes de l'empire Maple V détermine la géographie des forêts

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Minilune de Forhost

Maple V envoie une sonde avec à son bord un astronome sur la lune qui orbite le continent de Forhost la lune de Forhost est un rocher d'un diamètre de 800 miles c'est une lune désolée composée de roche et de glace mais suffisante pour abriter la vie l'astronome photographie la surface de la lune de forhost Maple V pointe son radar sur la lune qui révèle des cavités et des entrailles une mission est lancée pour creuser dans les profondeurs de cette lune Maple V orbite sur la lune de Forhost le satellite Mez 2 doit alors orbiter la lune avec à son bord quatres astronomes dont la mission est de creuser et explorer la couche intérieure de la lune Mez 2 envoie une capsule contenant les astronomes qui atteri le 2 décembre une cavité est découverte une entaille dans la roche d'une petite bute qui s'enfonce le chemin est étroit et la lumière s'estompe lorsque ces astronomes découvre une porte de vingt mètres en creusée dans la roche une civilisation existe sur la lune qui est unique de l'empire de Forhost

Civilisation de la minilune

La civilisation est une multitude de clans qui vivent dans les crevasses de la lune ils ne sont pas humains ce sont des humanoide qui sont à hauteur de mi homme squeletique qui semble avoir une connaissance du cosmos très grande les astronomes ayant eu un contact estime que cette civilisation serait à l'origine venue du plafond cosmique et aurait colonisé des continents et lunes céleste les astronomes nomme la lune Toltar

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Toltar

Toltar est la première lune du continent Forhost et une colonie d'un empire originaire du cosmos ayant coloniser la lune il y'a presque deux millénaires sans prendre contact avec les humains de Forhost qui n'avait pas idée que leur lune abritait une race venue du cosmos la Lune Toltar à une masse de 800 miles sa superficie fait de Toltar une minilune qui orbite le continent de Forhost et donne une lueur blanche au continent la nuit la lune terrestre elle est la véritable lune de toute la planète faisant que Forhost à deux lunes ou les lunes jumelles

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Cosmos

Le 27 décembre Maple V entame sa dernière mission rejoindre la constellation d'habigaelle et découvrir les cinq étoiles qui sont une civilisation cosmique extra stellaire le vaisseau fait une ascension lente et observe et photographie le ciel dans sa plus haute altitude Maple V enregistre des ondes électriques qui viennent d'un nuage le vaisseau se dirige vers ce signal et découvre un continent céleste qui semble abriter une civilisation

Dimension perdue

Maple IV continue son orbite autour de la planète à ras de la mer de nuage qui est la frontière vers le bas monde mais en octobre le vaisseau cesse d'émettre sa radio les astronomes du continent céleste qui participe à la mission d'exploration de Maple IV dont l'objectif est de déceler des traces de vie à l'extérieur de la montagne planétaire sont coupé par la perte de contact au vaisseau Maple IV est pris dans un orage d'une rare intensité qui n'est pas connu sur un quelconque continent cet orage crache des éclairs rouge et des nuages noir opaques englobe le vaisseau faisant une nuit noire Maple IV est piégé dans une brume le radiographe indique que le vaisseau qui était à environ 200 000 000 000 de miles à l'est du continent céleste se trouve à 1 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 de miles les astronomes sont abasourdis par les instruments de bord qui indiquent une gravité faible et aucune lueur de soleil détectée de même que toute trace de civilisation ou de simple nuage est inexistante dans les milliards de miles de la position du vaisseau Maple IV est soudain le témoin d'un événement étrange une masse de terre se dévoile dans l'obscurité la brume de nuage noire cache la vision laissant paraître quelques pas devant eux les restes d'une terre désolée qui semble se situer dans le cosmos lointain les astronomes du vaisseau Maple IV se demande si ils ont fait un saut temporel dans lequel ils ont était transporté à un continent fantôme ou alors ils ont traversé sans le voir une faille qui défie les lois du temps amenant à une dimension inconnue dans laquelle le monde n'a jamais connu le soleil ni même le ciel le vaisseau Maple IV réalise que le vaisseau n'est pas affecté par une gravité ou une attraction orbitale du continent un orbite est donc inutile puisque le vaisseau pourrait se perdre dans un océan infini de nuage noir jusqu'à la fin de l'univers les astronomes prennent le risque d'envoyer une sonde pour scruter leur environs qui transmet une vision au vaisseau la sonde est lancée droit dans la brume et révèle un château médiéval en ruine puis des ruines de tours qui semblent s'étaler au loin une muraille se dresse aussi haute que le ciel les ondes de détection révèle que le monde dans lequel est piégé Maple IV est ravagé par un parasite contagieux inconnu qui affecte toute trace de molécules Maple IV stationne à quelques pas d'altitude d'une petite crevasse de plaine grasse d'herbe plate inconnue la plaine révèle alors une forêt de sapin dense si épaisse que les astronomes doivent parfois grimper et escalader des sapins pour outrepasser une fois sorti de la forêt les astronomes voit alors un carnage d'une armée assiegeant une forteresse les canons tonnent mais les astronomes remarque que les humains sont des spasme vert qui semble courir plus vite et traversent les murs de la forteresse malgré leur armures les astronomes sont témoin d'une bataille de deux armées fantôme dans une dimension perdue condamnée à errer dans une nuit noire

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Parasite noir

Les astronomes avait une sensation bizarre dans leur front ils avait une douleur fainte qui leur donnait une somnolance les astronomes qui avait fouler la terre était infecté par le parasite localisé dans le cerveau ce parasite était inconnu de la médecine et semblait dangereux mais néanmoins pas mortel le parasite était un organisme vivant qui se logeais dans la cervelle ce parasite semble avoir éradiqué une partie de la dimension qui est désolée de vies les astronomes détecte une masse de roche qui flotte à une centaine de miles au dessus de la terre de brume c'est la lune noire celle ci fait un orbite lunaire les astronomes s'intéresse alors au parasite comment il se nourrit celui ci garde la conscience intacte et affecte l

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Incendie de Nebule

Le 31 octobre 1021 Maple V est témoin aux côtés des Forhostiens de leur pire catastrophe depuis leur arrivée sur le continent le soir du 31 octobre 1021 une grange prend flamme les sauts d'eau ne viennent pas à bout de l'incendie qui se propage aux champs vers 18 heure le chemin de terre qui mène à la capitale voit des fumées s'élever dans la nuit ces fumées sont portées par le vent les cendres allument des foyers éparse qui se propage aux fermes lesquelles s'allument comme des allumettes c'est le pire incendie de l'histoire le feu met sous terre la capitale environ 90 pour cents de Nebule péri dans les flamme

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Nebule suite à l'incendie

L'empire de Forhost était pas préparer à cet incendie qui à ravagé non seulement leur capitale mais aussi leur agricultes leur champs leur fermes leur provisions tout est parti en fumée dans la nuit les tonnes de sauts d'eau envoyés à la capitale ont pu sauver le palais impérial et le parlement mais la ville est éradiquée de la carte l'empire garde Nebule comme leur capitale le chaos engendré à presque causé la chute de l'empire mais celui ci perdura et Nebule fut rebâtie en l'an 1022

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Hors de l'univers

Maple IV coincé dans une dimension perdue situé hors des limites de l'univers selon les premiers calculs le vaisseau est à l'extérieur même de l'univers ce qui est théoriquement impossible les astronomes croient que l'expansion de l'univers devrait atteindre cette dimension et émete une hypothèse sur les dimensions hors des limites le calcul de Maple IV prouve que un univers vide dénué de toute forme de astrophysique se forme à l'extérieur de l'univers mais selon le calcul la position de la dimension est prouvée faussée par le calcul lui même le vaisseau est dans le cosmos le second calcul prouve donc que la dimension est dans le cosmos et non en dehors mais un calcul finit de semer le doute les astronomes sont alors contraint de conclure que la dimension n'existe pas et que le vaisseau Maple se trouve donc dans une dimension perdue

Errance

Maple IV stationne au dessus d'une bute de terre ayant envoyer des astronomes visiter le sol ces astronomes ont découvert un château en ruine signe d'une civilisation éteinte depuis des siècles le vaisseau erre dans cette dimension où toute loi est étriquée il n'y à pas de trace de molécules pourtant des parasites infectent les astronomes qui dans le vaisseau sont sain et n'ont aucun virus ou parasite avec leur analyses

La vallée des larmes

Les astronomes se plonge au-delà du château un épais brouillard noir leur bloque la vision ce brouillard devient gris et de la pluie se met à pleuvoir en averse les plaines d'herbes sont gorgées d'eau et des flaques se dresse sur les bord d'un chemin comme si les astronomes était amené à un endroit par une entité les astronomes sont face à une montagne et la contourne pour finir dans une vallée un panneau de bois émoussé se trouve au pieds de la vallée un language inconnu est écrit mais les astronomes ne comprennent pas alors qu'ils progressent dans la vallée des arbres et buisson sortent de la brume noire soudain les astronomes sont pris de fatigue ils semble exténué de leur expédition et décident dès lors de faire un feu de bois ils prennent des branches et des buissons et allument un feu ils se posent autour et la fatigue les affaiblissent le constat est le même cette vallée les affectes et les force à rester ils décident de dormir quelques heures et regagner le vaisseau mais alors qu'ils s'endorment à même un sol froid et détrempé des bruits étrange viennent les perturber ces bruits semblent être d'origine inconnue des branches cassée des buisson qui se font écarter une entité est peut-être dans la vallée c'est un danger et les astronomes décident de scruter leur alentours et de suivre les bruits en vain pendant une heure les astronomes courent après une hallucination après un silence les astronomes reviennent à leur feu de camp éteint l'étrangeté les submerge mais ils sont écroulé par leur marche et la gravité pèse sur leur frêle jambes les astronomes allume le feu de camp et s'endorment à leur réveil les

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Maple V fait contact

Après quelque années sur le continent une menace se propage sur l'empire forhost fragile de la perte de Nebula dans un incendie un mal étrange venu des confins du continent vient ravager les terres de l'empire c'est la peste arachnide depuis la construction de la grande muraille impériale l'empire n'a plus était visité par les araignées géantes qui imite des voix humaine pour leurrer et manger vivant leur proies l'armée joue un rôle vital dans le maintien de l'harmonie de l'empire quelques fois les armées du mur rase au delà de la muraille et provoque des pestulence en lâchant des cadavres infecté par des virus bénin comme une simple infection de la gorge en quelques mois les araignées disparaissent les soldats ne comprennent pas et lancent une expédition hors du mur ce qu'ils découvre est terrifiant les grottes sont remplies d'araignées en décomposition celle ci sont recouverte de pustule et leur ventre doublé de volume de couleur verte les parasites et vers dégustent leur festin ce qui est survenu est la première peste arachide les araignées ont était infecté par un virus qui à éradiqué les trois quarts de l'espèce qui est en voie d'extinction l'armée semble réjouie d'être débarrassée d'une menace mais ce qui attend l'empire est en fait l'après coup de leur décennie d'infestation des terres au delà du grand mur les terres sont désolée les plaines plantes forêts grouille de parasite et il à suffit d'une poignée de soldats de l'expédition d'avoir touché une araignées et inhaler une brume de pustulence pour contracter le virus arachide la peste qui à anéanti les araignées s'est transmise à l'homme

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La peste arachide

La peste arachnide est de loin le pire cauchemar un virus d'un autre monde qui déforme le code génétique de ses victimes pour les étriquer en horreur arachnide les malades ne sont pas juste contagieux mais aussi des monstres le virus prenait le contrôle du cerveau d'une araignée pour l'obliger à traîner en meute et répandre la peste à ses semblables et reproduit le même schéma pour les soldats malades le long du mur un mal se répand les soldats tombent malade de la fièvre puis la paleur et les pustule enfin leur conscience s'évade et laisse place à une coquille vide décorées par des parasites dont le virus est à l'origine ce virus développe une tumeur à laquelle il transmet une partie de l'adn de son hôte pour lui donner vie des araignées grouille dans les estomacs et intestins des malades mais la phase terminale est un cauchemar le virus détraque le code génétique à sa guise et prend le contrôle du corps entier les malades se voit pousser des pattes d'araignées sur les bras les jambes se détachent et deviennent des larves le malade croule d'agonie alors que des araignées le dévore l'estomac pour en ressortir la gorge est un nid de parasites géant qui opportuniste d'un contact se jette sur la tête d'une victime depuis la bouche du malade la peste arachnide devient un fléau pire que la peste zyphonique l'empire menace de s'effondrer alors que un tier de la population est infestée mais un miracle survient

Maple V qui orbite le continent remarque des anomalies les traces de vies se taisent dans le silence alors que la muraille est intacte les analyses bactériologique sont alarmante il s'agit d'un virus inconnu pour les astronomes ils décident de rechercher dans leur domaine de la médecine le moyen de venir à bout de ce virus mais il semble résistant et mute ce qui empêche la médecine conventionnelle d'opérer les astronomes ont donc l'idée de se tourner vers la chimie pour empêcher le virus d'avoir son emprise en quelque heures les tests de laboratoires révèlent la dangerosité du virus mais les chercheurs trouvent un moyen de traiter la peste arachnide avec un mélange d'alchimie et de médecine ce remède peux être répandue à grande échelle Maple V lance une mission pour bombarder de gas aérien des pans entier de l'empire afin de sauver les restes de la civilisation Forhost

Fin d'un monde

Les astronomes de Maple IV se réveillent à une vision apocalyptique le ciel est devenu encore plus sombre une pluie diluvienne s'abat sur l'équipage mais au loin plusieurs lueurs rouge observe depuis les nuages noirs les astronomes l'un d'eux contacte le vaisseau Maple IV sans réponse dans la tempête d'épais éclairs rouge foudroyant ballaient au loin les arbres qui prennent flamme les astronomes se replie en arrière soudain Maple IV les survole à quelques pieds du sol le vaisseau vole en rasmoquette vers l'orage celui-ci est aspiré dans la brume de nuages noir et disparaît

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La dimension

La dimension est en théorie à la fin de son cycle les orages sont annonciateurs d'un ouragan d'une force incroyable qui s'apprête à anéantir le continent et les centaines de continents encore non explorés par Maple IV la dimension se trouve hors du temps et de l'espace dans une dimension perdue dans laquelle des centaines de continents ont évolué avant qu'un épisode cataclysmique ne plonge ce monde dans une nuit noire d'orage et de parasites

Émeutes carcérale

Lors de la découverte des moteur à nuage les humains du continent céleste batîrent neuf citadelles immense flottant dans le ciel ces imprenable citadelles volante était la première ligne de défense du continent céleste en cas d'invasion la sixième sur ordre de l'empereur devint la plus grande jamais construite elle était autant une base militaire de l'armée aérienne céleste puis enfin la prison de l'empire où les pires criminels était envoyé un seul vaisseau de l'armée amenait les détenus dans la citadelle impériale les détenus était envoyé à Hongaria la plus grande base de l'armée aérienne céleste de là le vaisseau était fouillé dans un hangar pour éviter une évasion les condamnés était envoyé dans la prison volante pendant des siècles cette prison était la plus sévère de toute celle du continent ayant la réputation d'être la fin de tout criminel en l'an 1021 une épidémie de fièvre frappe les détenus la détention des condamnés étant la pire dans la citadelle une émeute éclate des cellules sont brûlée un incendie se propage dans le haut de la prison où se trouve les classe C les moins dangereux les émeutes se propage les gardes perdent le contrôle de la prison l'armée céleste est envoyée écraser la révolte qui prend toute la prison c'est la plus grosse émeute carcérale qui met à l'épreuve l'armée certains vaisseau dans la confusion sont pris d'assaut pour fuir sur le continent

Orage cosmique au Moldränd-Land

Le Moldränd-Land est frappé par l'orage surnommé olaf cet orage s'apprête à frapper l'empire moldröve d'une puissance phénoménale le pays entier se prépare au déluge qui s'abattre en décembre sur le pays entier les Moldröves sont noués par leur sort qui semble s'assombrir alors que les premiers signes de cet orage apparaissent la longue nuit est la première phase qui précède de manière indéterminée l'orage d'épais nuages noir se forme à ras du sol et bloque la lumière les Moldröves se retrouve piégés dans une nuit aussi noire que le sort qui noue l'empire les barricades s'érigent dans les villes les village sont barricadé par des planches en bois de chariot le 8 décembre l'orage olaf commence à s'abattre sur le Moldränd-Land en quelques secondes le tonnerre met le feu au pays et les vents et la pluie balaient toute les habitation la grande Rétania est dévastée la capitale Höldrofdgor est rayée de la carte les dégâts sont incalculable le Moldränd-Land secoué par l'orage olaf se relève de sa pire blessure le pays est envahi par la neige et les habitations en cendres et incendiée brûlent pendant que l'empereur prend la parole et edt diffusé par radio dans l'empire l'armée est mobilisée pour aider à la reconstruction pourtant à Höldrofdgor sur une petite allée un nuage noir émane des radiations rouge

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Maple IV refait surface au Moldränd-Land

Une foule observe le nuage qui émet une onde là une distorsion commence de laquelle est vue la dimension perdue et le vaisseau Maple IV qui semble voler vers la distorsion la foule en panique fuit lorsque le vaisseau apparaît plus proche une onde électrique éclate tout les lampadaires et Maple IV sort du trou de vers le vaisseau est immobile au dessus du quartier

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Maple II condamné au cauchemar éternel

Maple II devait entamer une descente dans la mer de nuage noirs qui sépare le monde du monde du bas mais le vaisseau quelques miles dans la mer de nuage coupe son signal radar et disparaît des ondes le 2 décembre 1018 Maple II est présumé explosé par la pression de la mer de nuage la sonde Mez 4 survole la zone ou le vaisseau s'est muté pour au final révéler une faille dimensionnelle reconnaissable à des éclairs rouge et cette fois violet la faille aspire la sonde Mez 4 qui révèle une photographie d'ensemble d'une masse de terre à la taille inimaginable des lueurs révèle des civilisations dimensionnelle le vaisseau Maple II est en orbite autour du continent dans lequel il fait une nuit noire et le climat est froid et nordique c'est la dimension du cauchemar éternel qui s'est ouverte piur engloutir quiconque y entre le mage noir ayant eu vent de la mission de Maple II l'aurait piégé dans sa dimension dans laquelle il à piégé sept empires touché par sept horreurs enfin sept cauchemars sont les mage noirs choisi pour sceller la dimension et empêcher les entrant de s'en échapper

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les sept empires

Les sept empires sont sept empires piégé dans le cauchemar éternel depuis 200 ans la distortion à rendu le continent cauchemardesque cent mille fois plus grand que le continent céleste la superficie des empires est vertigineuse leur population est d'environ 2 milliards à 5 millairds par empires les sept empires sont l'imperial realm une monarchie autocratique qui est le centre du monde fermé par une grande muraille de plus de huit mille miles d'altitude trois fois la muraille de Scalburgie et la plus grande puissance militaire du continent l'empire à vaincu son cauchemar celui des invasions d'araignées et de fantômes à l'est se trouve l'empire des cathédrales une terre désolée envahie par les cathédrales des ombres géante annihilant la vie sur leur passage à l'ouest l'empire

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Cinquième guerre de l'humanité

Après la défaite novgore tous les continent fêtait la fin de la dernière guerre les bases d'un nouveau monde dans lequel la paix serait durable était lancée par les réformes des moldröve vainqueur ils transformaient un empire totalitaire en une monarchie et une union de nations les novgors avait perdu la guerre mais le monde s'ouvrait à eux et il était inimaginable de recommencer un conflit dans les temps qui suivirent l'après guerre du moins les humains n'avait pas prévu qu'une force supérieure les observait et venait d'avoir une opportunité inouïe d'écraser l'humanité

Prémisse de la guerre

Le continent du nord le vieux continent et le continent polaire sont en ruine la quatrième guerre à détruit tout sur son passage pas un seul pan de terre ne fut épargné là ou la guerre frappe elle laisse morts sang larmes et destruction mais la quatrième était la plus brutale avec un bilan de 800 millions de morts les continents dévastés venait de sortir d'une guerre terrible qui avait anéanti les économies le Moldränd-Land était la lumière d'un monde qui avait sombré dans la nuit de la guerre l'empire moldröve s'était relevé et avait pris l'initiative de ne pas punir l'empire novgor qui avait anéanti le continent et mené à la ruine la capitale impériale moldröve ayant massacré plus de 200 millions de moldröves dans leur course au remplacement ethnique les moldröve était les plus touché par la guerre et avait tout les motifs de briser l'union de l'empire novgor mourrant l'entièreté de l'humanité voulait que les novgors payent le prix de la guerre des massacres des boicheries mais les Moldröves avait encore besoin des novgors en vie et non démanteler l'empire novgor les Moldröves avait plus urgent que la vengeance la guerre était finie les novgors était à la mercie des Moldröves ils ont reconstruit cet empire donné une constitution faisant naître onze nations ethnique de façon que une guerre soit évitée le continent devait panser ses plaies c'était l'an 993 qui se déroulait comme la pire des périodes

Observation du continent céleste

L'empire kami envoie les croiseurs de l'armée d'invasion kami qui se cache et se camoufle dans les nuages épais les kamis intercepte les ondes du continent et peuvent localiser les villes avec la densité de l'onde les croiseurs émettent des ondes qui scrute le sol céleste et leur donne un accès au paysage céleste enfin les kamis envoie des espions en simulant une brume pour déposer au sol des espions qui après quelques mois donne leur recherche

Invasion du continent céleste

Invasion de la scalburgie

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Capitulation

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Le bout du monde

Maple IV aussitôt réapparu remarque que le trou de vers est ouvert le vaisseau est aspiré en spaghetti et semble ne plus avoir de masse sur le quartier traversant des pôles électriques passant au travers les particules du vaisseau étant déjà à l'autre bout du trou de vers Maple IV est envoyé par ce trou de vers à la localisation où le vaisseau avait était aspiré dans la dimension le trou de vers se referme derrière et le bout aussi laissant le vaisseau continuer sa mission où il s'était immobilisé Maple IV continue en rasmoquette une orbite lente les lunes deviennent plus immense à mesure que le vaisseau s'enfonce dans l'immensité de la planète en dessous une mer de nuage noir qui amène au bas monde les astronomes n'ont pas de théories sur le sol de la planète mais si les légendes sont vraie des restes de civilisations aurait pu perdurer

Le bout du monde un continent de rêves qui se cache dans un crépuscule de nuages jaune épargné par les parasites les guerres et les tempêtes un archipel de continents traditionnels partageant un empereur divin qui dirige l'empire rose avec une constitution l'archipel est au courant de l'existence des terres lointaines et des continents céleste son astronomie dépasse celle de l'empire céleste

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Seiboun

Seiboun est la capitale impériale de l'archipel rose avec ses 108 millions d'habitants c'est la plus grande capitale de l'humanité elle dépasse Kyobun capitale de la Scalburgie et ses 59 millions d'habitants Masukudan capitale impériale kami et ses 105 millions d'habitants sa croissance est en rapide montée la concentration de population s'explique du fait que durant l'invasion kami des pans de population se sont rassemblée à la capitale qui était naturellement protégée par sa distance de l'invasion Seiboun est disposée en plus de 52 préfectures qui sont dirigée par des gouverneurs chacun choisissent le gouvernement de Seiboun la capitale regroupe le pouvoir impérial et le pouvoir des îles principales ses avenues sont jonchée de fleurs rose ses baraquements en bois sculpté peint en blanc donne le surnom de la capitale des fleurs

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Culture

La culture est paysanne et sort d'une période féodale l'archipel s'est lancé dans une innovation de machineries et d'engin volant à grande vitesse qui vole au dessus de l'océan d'eau contenue par la mer de nuages blancs la population de l'archipel est très enracinée à ses traditions la monarchie à une place centrale dans les foyers puisque l'empereur est le maintiens de la paix de l'archipel

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Provinces autonome et autogouvernée

Les provinces de l'archipel sont pour la plupart divisée sur un archipel d'îles elle même divisé en préfecture des grande îles sont des province autogouvernée comme Saigan au nord est qui dispose de sa constitution un régime divisé en une quarantaine de préfecture qui sont assujetti à un gouvernement royal de l'île et un gouverneur impérial les trois grandes îles qui forment les îles principales de l'archipel sont regroupée en un seul et même gouvernement royal les îles de Saifei et de Ginsaka ont leur gouvernement royal et sont des provinces autonomes qui commerce avec les îles principales l'île de Hodeiwa est autogouvernée comme l'île de de Saigan qui est sa voisine l'île de

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Climat

Le climat est tropical les îles sont mêlée de jungle géantes et de forêts tropicale les sentiers sont oscillant entre marécages rose et montagne enneigées dans l'intérieur des terre à rendu l'archipel doté de cultures toute soumise au même empereur

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Administration

L'archipel est une monarchie fédérale une unions de provinces autonomes et autogouvernée le pouvoir est en partie maintenu par l'empereur

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Ouverture au monde

L'archipel s'est ouvert au monde en 945 lorsque les kami ont essayé d'envahir en vain l'archipel celui ci s'est défendu la résistance désespérée à dissuader l'empire kami de prolonger son invasion de l'archipel rose déjà embourbé en Scalburgie

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[mytherbalegwladys]

Nom: Huā Prénom: Duyi Surnom: Cerisier

Espèce: Esprit-arbre Sexe: Féminin Alignement: Bien

Âge: 21 Taille: 163cm Yeux: Vert Personnalité: Elle est douce, gentille et pacifique. Mais parfois colérique et naïve.

Famille: -Tree Spirits (ancêtres) -Sandy (père adoptif) -Ping (frère adoptif) Alliés: Les Quatre Furies, Shang Long, Sun Wukong, MK et sa team, Ping le panda Ennemis: Les démons, Scorpion Demoness, Jīng Xiēzi

Aime: La nature, les animaux sauvages, l'environnement, les thés glacés N'aime pas: La pollution, la déforestation, le braconnage, la destruction

Armes: Qiang (lance) Habilités: Style de la Mante religieuse, Naturakinésie, Télépathie Animale

Histoire: Duyi Huā est la descendante des esprits des arbres. Elle est recueillie tout bébé par une femelle panda et son petit (Ping) dans la forêt. A l'âge de 10 ans, Duyi perdit sa mère adoptive à cause la déforestation et se retrouve à nouveau orpheline avec Ping. Plus tard, elle et son frère adoptif sont adoptés par Sandy qui les élève comme leurs enfants. A 21 ans, elle entend parler des Quatre Furies et devient fan de Laohu Bing. Duyi découvre dans son rêve qu'elle est la descendante des esprits des arbres, les alliés du Roi Singe.

Voix: français - Cerise Calixte; anglais - Amanda Lee; chinois - Zhu Ke'er

Thème: 

Nom: Xiēzi Prénom: Jīng Surnom: Beauté Maléfique

Espèce: Démone-Scorpion Sexe: Féminin Alignement: Mal

Âge: 16 Taille: 157cm Yeux: Violet Améthyste Personnalité: Elle est sérieuse, séduisante et têtue.

Famille: -Scorpion Demoness (mère) Alliés: Les démons-araignées, Red Son, Macaque, Tai Su Ennemis: Sun Wukong, MK et sa team, les Quatre Furies, Shang Long

Aime: Les scorpions, les araignées, la musique de rock N'aime pas: L'insecticide, les insultes

Armes: Un fouet Habilités: Style du Scorpion, l'Hypnose, Toxikinésie, Umbrakinésie

Histoire: Jīng Xiēzi est la fille de la légendaire Scorpion Demoness. Elle est élevée comme une princesse et se lie d'amitié avec Red Son et ses parents. Elle travaille seul, mais sa mère l'interdit de sortir, car elle est trop jeune pour s'aventurer seule.

Voix: français - Maeva Méline; anglais - Alison Brie; chinois - Li Shimeng

Thème: https://www.youtube.com/watch?v=h98vAgTQihs

Nom: Su Prénom: Tai Surnom: Guerrier-Léopard

Espèce: Humain Sexe: Masculin Alignement: Neutre

Âge: 17 Taille: 165cm Yeux: Bleu céleste Personnalité: Il est naïf, nerveux et compréhensible.

Famille: -Père inconnu (décédé) -Neyla Su (décédée) Alliés: Jīng Xiēzi, Macaque Rivaux: Les Quatre Furies, Shang Long Ennemis: Roi des rats

Aime: Faire de la moto, le sport, les félins, sa mère N'aime pas: l’harcèlement, être un esclave, les rats, les traitres

Armes: Deux lames Habilités: Aérokinésie, Style du Léopard, les pouvoirs mythiques

Histoire: Tai Su est le fils de l'archéologue, Neyla Su. Enfant, lui et sa mère fessaient des fouilles, où ils rencontrent le jeune Laohu Bing qui vient d'être adopté par Sun Wukong. Tai et Laohu passèrent du bon temps à s'amuser et à s'entrainer ensemble. Des années plus tard, Neyla appelle les Quatre Furies pour aider Tai, qui volé un objet sacré pour le vendre au Roi des rats. Mais peu après l'arrivé de Laohu et de Neyla sur les lieux, celle-ci est mortellement blessé par une flèche empoisonnée. Fou de chagrin, Tai rejette la faute sur son ami d'enfance pour l'avoir fait venir dans le danger. En explorant seul la montagne, il découvre une peau de panthère des neiges à l'autel, il l'enfile et libère un pouvoir mythique. Tai est choisie pour devenir le guerrier-léopard.

Voix: français - Donald Reignoux; anglais - Zach Aguilar; chinois - Yang Tianxiang

Thème: https://www.youtube.com/watch?v=vfEyMmm0BEU

[lebelgequilit]

[Le Belge qui veut trouver le secret!] ✧ 🄻🄴 🄹🄾🅄🅁 🄾🅄 🄼🄾🄽 🄿🄴🅁🄴 🄽'🄰 🄿🄻🅄🅂 🄴🅄 🄻🄴 🄳🄴🅁🄽🄸🄴🅁 🄼🄾🅃 ✧ Avant tourte chose, merci à @editionsfdeville pour la confiance et merci à @lisezvouslebelge pour cette superbe proposition! ✧ A la question "Quel père ne veux-tu pas être ?", j'ai ma réponse! Et dans ce livre, où l'on ressent la souffrance et la quête de vérité, je sais qui je ne veux pas être! ✧ William, 42 ans, qui boit trop depuis sa rupture avec Anaïs, a gardé ses distances avec son père, Kasper. Sa mère est nommée, et vient juste de décéder où les souvenir qu'il retient sont les doigts appuyants, avec plaisir, sur les araignées. ✧ Kasper, père raciste, préférant les casque allemand et le charisme du Fürher au bonheur partagé avec William. Pas étonnant quand on est un père autoritaire et distant! ✧ Bref, William se sent au sein d'une famille médiocre, sans amour. ✧ Remis difficilement de sa rupture avec fiancée, William décide de partir en voyage avec Kasper, afin de se rapprocher de son père, vieillissant et d'humeur orageuse, et d'y trouver certaines réponses au secret de famille qui le ronge. ✧ Pour affronter la relation avec son père, il part en Islande, sur les traces de Pierre Loti que lisait son père. ✧ « 𝒥'𝒶𝒾 𝒸𝑒𝓉𝓉𝑒 𝒸𝒽𝑜𝓈𝑒 𝑒𝓃 𝓂𝑜𝒾, 𝓁𝒶 𝓂𝒶𝓁𝒶𝒹𝒾𝑒, 𝓅𝒽𝓎𝓈𝒾𝓆𝓊𝑒 𝑒𝓉 𝒶𝒻𝒻𝑒𝒸𝓉𝒾𝓋𝑒. 𝒪𝓃 𝒹𝒾𝓉 𝓆𝓊𝑒 𝓅𝑜𝓊𝓇 ê𝓉𝓇𝑒 𝓊𝓃 𝒽𝑜𝓂𝓂𝑒 𝓃𝑜𝓊𝓋𝑒𝒶𝓊, 𝒾𝓁 𝒻𝒶𝓊𝓉 𝓉𝓊𝑒𝓇 𝓁𝑒 𝓋𝒾𝑒𝒾𝓁 𝒽𝑜𝓂𝓂𝑒 𝓆𝓊𝒾 𝓈𝑜𝓂𝓂𝑒𝒾𝓁𝓁𝑒 𝑒𝓃 𝓈𝑜𝒾. 𝒹𝑒 𝒸𝑒 𝓋𝑜𝓎𝒶𝑔𝑒, 𝓁𝑒 𝓋𝒾𝑒𝒾𝓁 𝒽𝑜𝓂𝓂𝑒 𝓃'𝑒𝓈𝓉 𝓅𝒶𝓈 𝒸𝑒𝓁𝓊𝒾 𝓆𝓊'𝑜𝓃 𝓅𝑜𝓊𝓇𝓇𝒶𝒾𝓉 𝓅𝑒𝓃𝓈𝑒𝓇 » ✧ Vous l'aurez compris, ce roman, dérangeant parfois, est basé sur la relation père-fils. Le manque d'amour d'un être important peut provoquer, plus tard, des dégâts importants et parfois irréversibles. ✧ Le narrateur, William, est attachant, mais parfois déchirant, que l'on a envie de protégrer. L'auteur à réussi à rendre réel, la relation tragique d'un père et de son fils où parfois, une confrontation est nécessaire pour que la glace soit enfin brisée. Une lecture incisive, animale, allant droit au but....mais surtout bouleversante! Wow! (à Iceland) https://www.instagram.com/p/Ck3NUvmjvKa/?igshid=NGJjMDIxMWI=

[akenarth]

Mille excuses

J'étais tranquillement en mode sommeil paradoxal quand soudain j'ouvre les yeux. 

"J'ai mal au pied"

La gueule enfariné, les yeux qui se referment, je me tourne sur le côté. 

"Aï! J'ai mal à mon pied?!"

Cette fois j'ouvre les yeux et j'allume la lumière. 

"Mais ?! On m'a piqué au pied?! Bordel mais sa fait mal!? C'était quoi?!"

Me refusant à croire à l'unique explication logique, je me convaincs que c'était une araignée et je retrouve le sommeil. Le lendemain au travail mon doigts de pied a gonflé. Il n'y a de doutes pour personne, mais je continue à rejeter l'idée. 

De retour à la maison, je me dirige vers ma chambre pour inspecter le lit. J'ai à peine tiré le drap que le scolopendre de la taille d'une fourchette sort de sous mon oreiller pour se réfugier sous mon matelas. 

Mon cœur ne fait qu'un tour, ma respiration est coupée, mon imagination invente des milliers de scènes qui terminent toutes par le même résultat : "J'ai dormi avec un Mille Pattes!!!??!"

Mon courage me pousse à prendre une hache et un pot de peinture (mais pourquoi ??!!), et de surveiller la chambre jusqu'à ce que ma mère arrive pour gérer la situation! 

J'ai été d'une grande d'aide, j'ai sursauté quand la hanse du pot de peinture ma frôlé la jambe. 

"Ahhhhhhh!!!"

"Quoi il est là ?!"

"Non c'est le pot qui m'a touché !"

"Mais lâche ce truc et vient soulever le matelas avec moi!"

"Il est pas lourd tu verras maman... va sy toi"

Heureusement que j'étais là pour faire l'inspecteur des travaux finis, sinon elle aurait mis de la bombe partout !

C'est seulement 1h après qu'il est sortie de sous le meuble télé (mais comment ?!? Grff) et qu'elle l'a écrasé avec sa claquette. J'ai géré la situation en pointant du doigt où le jeter après que ma mère l'ai étripé. 

Ouuuuuuf!!!

Heureusement que je suis un adulte responsable et indépendant ! . . . . .

Merci Maman !

[albad]

Je dédie ce post à mes enfants et aussi mes petits-enfants et à et à tous les enfants de la terre

Puissent-ils avoir la clairvoyance et le courage que nous n'avons pas eus (et je ne leur demande pas de nous pardonner).

Nous y voilà, nous y sommes. Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l'incurie de l'humanité, nous y sommes.

Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l'homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu'elle lui fait mal. Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d'insouciance.

Nous avons chanté, dansé.

Quand je dis « nous », entendons un quart de l'humanité tandis que le reste était à la peine.

Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos pesticides à l'eau, nos fumées dans l'air, nous avons conduit trois voitures, nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du bout monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie, créé des clones, franchement on peut dire qu'on s'est bien amusés.

On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme faire fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement modifiées sous la terre, déplacer le Gulf-Stream, détruire un tiers des espèces vivantes, faire péter l'atome, enfoncer des déchets radioactifs dans le sol, ni vu ni connu.

Franchement on s'est marrés.

Franchement on a bien profité.

Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu'il est plus rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de biner des pommes de terre.

Certes.

Mais nous y sommes.

A la Troisième Révolution.

Qui a ceci de très différent des deux premières (la Révolution néolithique et la Révolution industrielle, pour mémoire) qu'on ne l'a pas choisie.

« On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins.

Oui.

On n'a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis.

C'est la mère Nature qui l'a décidé, après nous avoir aimablement laissés jouer avec elle depuis des décennies.

La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets.

De pétrole, de gaz, d'uranium, d'air, d'eau.

Son ultimatum est clair et sans pitié :

Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l'exception des fourmis et des araignées qui nous survivront, car très résistantes, et d'ailleurs peu portées sur la danse).

Sauvez-moi, ou crevez avec moi.

Évidemment, dit comme ça, on comprend qu'on n'a pas le choix, on s'exécute illico et, même, si on a le temps, on s'excuse, affolés et honteux.

D'aucuns, un brin rêveurs, tentent d'obtenir un délai, de s'amuser encore avec la croissance.

Peine perdue.

Il y a du boulot, plus que l'humanité n'en eut jamais.

Nettoyer le ciel, laver l'eau, décrasser la terre, abandonner sa voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en partant, veiller à la paix, contenir l'avidité, trouver des fraises à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes, en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon là où il est, (attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce charbon tranquille) récupérer le crottin, pisser dans les champs (pour le phosphore, on n'en a plus, on a tout pris dans les mines, on s'est quand même bien marrés).

S'efforcer. Réfléchir, même.

Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être solidaire.

Avec le voisin, avec l'Europe, avec le monde.

Colossal programme que celui de la Troisième Révolution.

Pas d'échappatoire, allons-y.

Encore qu'il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui l'ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante.

Qui n'empêche en rien de danser le soir venu, ce n'est pas incompatible.

A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le retour de la barbarie, une autre des grandes spécialités de l'homme, sa plus aboutie peut être.

A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution.

A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons encore ...

Fred Vargas