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#aubergiste
vieillesboutiques · 6 months
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Boulanger, aubergiste, Saint-Didier-d'Aussiat, Ain, 1907.
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insanedoritos · 1 year
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[INKTOBER 2023] Day 08 & 09 - Fisherman & Innkeeper
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the inktober list I use this year is made by @sygneinl, please take a look at what he do ! (sorry for the bad image quality, i don't have access to a scanner right now)
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Nul n'ignorait la chaleur et la convivialité qui régnaient chez M. l'aubergiste. Sa boutique était le rendez-vous incontournable des villageois qui s'y pressaient pour se régaler de ses produits frais et locaux. Qu'il s'agisse de pain, de fromage, de fruits, de légumes, d'œufs, de miel ou de vin, tout y était savoureux et abondant. M. l'aubergiste accueillait chacun avec un sourire avenant et un mot aimable. Il appelait ses clients par leur petit nom et leur offrait volontiers une tasse de café fumant ou une part de gâteau odorant. Il se plaisait à leur conter des histoires et des anecdotes sur la région, à leur prodiguer des conseils avisés ou à les faire rire avec ses facéties. Chez M. l'aubergiste, on ne venait pas seulement pour la bonne chère, mais aussi pour partager et échanger avec toute la communauté. Mais un jour funeste, la boutique de M. l'aubergiste a baissé son rideau. Bouleversés, les villageois ont perdu un ami fidèle et un repère précieux. La boutique de M. l'aubergiste est restée close depuis ce jour. Elle est devenue le symbole d'une époque révolue, où la vie était plus simple et plus authentique. En réalité je ne sais pas si M. l'aubergiste était réellement comme ça, je l'ai imaginé comme ça. C'est la magie des vieilles enseignes, elles nous racontent beaucoup d'histoires !
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cafes-et-friandises · 5 months
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┃ Retour dans le temps
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「 𝙲𝙷𝙰𝚁𝙰𝙲𝚃𝙴𝚁𝚂 」 ▹ Xiao
─ ­ ­ 𝚃𝚈𝙿𝙴 ▹ One-Shot
─ ­ ­ 𝚁𝙴𝙰𝙳𝙴𝚁 ▹ ♀ Féminin
─ ­ ­ 𝙶𝙴𝙽𝚁𝙴 ▹ ­ Little Xiao | ♥ Romance | ♥ Rougeur en excès | ♥ Tendresse | ☆ Happy Ending
─ ­ ­ 𝚃𝚁𝙸𝙶𝙶𝙴𝚁 & 𝚆𝙰𝚁𝙽𝙸𝙽𝙶 ▹ R.A.S
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Note ­ ­ ▹ Ce One-shot est la seconde version du One-Shot : ❝ Retour dans le passé ❞, je me suis décidée à modifier ce One-shot, j'avais quelques petits problèmes avec le déroulement et la fin. Résultat, c'est un grow up de 1,6k de mots à 3.8k, j'espère que ce rework vous plaira. L'ancien one-shot sera toujours disponible. Je vous souhaite une : ❝ Bonne Lecture ! ❞
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─ ­ ­ ­ « Je ne suis pas réellement sûre de comprendre Verr Goldet... »
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Un sourire crispé s'était installé sur tes lèvres, alors que ton regard ne pouvait s'empêcher de disparaître sur la petite forme s'accrochant désespérément à sa jambe. Si la journée t'avait semblée classique, elle avait vite changée alors même que ses yeux lapis te regardaient avec tant de curiosité. Un sourire bienveillant naquit inconsciemment sur tes lèvres, visiblement attendrit par ce regard purement innocent. La jeune aubergiste prit son temps pour tout te répéter, essayant visiblement de comprendre, elle-même, ces mots rapportés par Souffle-Nuage.
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─ ­ ­ ­ « Il semblerait qu'avec de certaines circonstances, un adepte puisse reprendre l'apparence d'un enfant à cause de certains esprits, d'après Souffle-Nuage... » Verr Goldet ne pouvait pas l'expliquer autrement, Souffle-Nuage ne s'étant pas épanché sur le sujet. « Elle est restée assez évasive à ce sujet. (T/P), il y a bien trop de passage dans l'auberge et vous connaissez aussi bien que moi son caractère, je ne suis pas sûre qu'il soit sage de le laisser rester ici... »
─ ­ ­ ­ « Mais... »
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Ton regard glissa sur un Xiao aux joues légèrement plus rebondit, une bouille enfantine, dont de magnifiques grands yeux d'or liquide te regardait sans détour. C'était peu dire si ton cœur fondait devant cette vision plus qu'adorable du vigilant Yaksha, tu devenais complément prisonnière de ce petit être adorable. Une main passa dans tes (L/C) cheveux (C/C), remontant tes yeux vers la jeune femme qui attendait avec impatience la suite de tes mots.
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─ ­ ­ ­ « Je ferais de mon mieux... ? »
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Ce furent les seuls mots qui sortirent d'entre tes lèvres abdiquant devant les regard insistant du petit garçonnet froissant la robe de l'aubergiste. Allais-tu vraiment être à la hauteur ? Xiao t'avait de nombreuses fois répété que : " Tu étais trop maladroite pour te protéger ". Suite à sa déclaration, il s'était fait un point d'honneur à te protéger, comme si tu étais aussi fragile que du sucre. Celle-ci te remercia d'un sourire soulagé, passant une main douce dans les cheveux en bataille du petit Yaksha. Il la gratifia d'un coup sur la main, posant ses mains sur le haut de ses cheveux, alors qu'un air mécontent transformait ces traits enfantins, le rendant encore plus adorable. Tu ne pus retenir un doux gloussement attendri, une main couvrant rapidement ton rictus, peur de recevoir un regard noir du plus petit. Contre toute attente, celui-ci ne fit que te regarder, ses mains toujours placées sur le haut de sa tête, te dévisageant comme si tu étais devenue une créature étrange. Il te fixait de ses grands yeux, tu crus même y voir naître une certaine affection.
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─ ­ ­ ­ « Je vous le confis, (T/P). Faîtes attention, comme vous avez pu le voir, il a un certain caractère. »
─ ­ ­ ­ « Effectivement. » Un gloussement accompagna tes mots, alors que rapidement, tu te mettais à la hauteur du garçonnet tendant tes bras vers lui. « Et si nous allons manger du tofu aux amandes ensemble, Xiao ? »
─ ­ ­ ­ « Je ne suis pas sûre qu'il vo-... »
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Verr Goldet n'eut le temps de terminer sa phrase que timidement et calmement le petit garçon se décrocha de sa robe pour s'avancer vers tes bras tendus. Son regard ne quittait jamais tes yeux (C/Y), avant que ses petits doigts ne s'enroulent qu'autour de ta main. Une douce chaleur monta jusqu'aux joues rondelettes du garçonnet, les teintant doucement d'un petit rouge timide, tandis qu'il regardait le sol. Qui aurait pu penser que Xiao, le vigilant Yaksha, était en réalité un adorable petit garçon timide dans sa jeunesse. L'information montant au cerveau, tu posas délicatement tes lèvres sur sa joue, enroulant tes bras autour de lui. Léger comme une plume, pas plus haut que trois pommes, le petit Xiao se retrouva confortablement prit dans ton étreinte. Ses bras s'enroulèrent autour de ton cou, ses cheveux te chatouillant la joue, tandis qu'il se cachait contre toi, visiblement mort de gêne. Il te semblait si fragile et si mignon en cet instant, alors que quelques minutes plutôt il aurait pu mordre la main de Verr Goldet.
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─ ­ ­ ­ « Nous serons à l'étage, est-ce que Yanxiao pourra nous apporter des tofus ? »
─ ­ ­ ­ « Sans problème. » Hocha Verr Goldet, visiblement rassurée d'avoir trouvé une personne de confiance pour s'occuper de Mini-Xiao. « A tout à l'heure (T/P). »
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D'un signe de tête pour la jeune femme en guise de remerciement, tu quittas sans plus tarder le hall d'entée de l'auberge. Mal à l'aise à cause de cette foule de voyageurs aux yeux curieux, tu avais hâte de t'extirper de tout ça. Montant les escaliers avec hâte, le petit garçonnet dans les bras, tu sentais son regard d'or sur ton visage, étrangement curieux. Pourquoi mini-Xiao t'observait avec tant d'insistance ? C'était à peine si d'ordinaire, il t'épargnait ne serait qu'un coup d'œil. Même si son aura n'était pas aussi imposante que d'ordinaire, mini-Xiao te stressait légèrement à te détailler sans rien dire.
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─ ­ ­ ­ « (T/P). »
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Il avait marmonné ton prénom sans même s'en apercevoir, comme s'il cherchait à comprendre quelque chose. T'observer ne faisait que le rempli de plus en plus de questions sur ces sensations inconnues qui lui traversaient le corps. En entendant sa petite voix t'appeler, bien que très faiblement, un petit sursaut te traversa l'échine. Interrogative, la prunelle (C/Y) de tes yeux se posèrent sur l'enfant qui se gela sur place en les rencontrant. Sa petite tête semblait réfléchir à toute allure, ne s'attendant clairement pas à recevoir ton attention avec le tout petit murmure de rien du tout de ton prénom. N'ayant pas le courage, ou sans doute pas réponse à te donner, il se cacha timidement dans le creux de ton cou, fuyant l'interrogative de ton regard.
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─ ­ ­ ­ « Xiao, tout va bien ? Tu te sens mal quelque part ? »
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Même si sa timidité te paressait très claire, tu ne pouvais t'empêcher de t'inquiéter au vu de sa petite main fermement accrochée au-dessus de son cœur. Est-ce qu'il y avait un effet secondaire à sa situation ? Et si Souffle-nuage n'était pas au courant ? Légèrement stressée, tu terminas rapidement de monter les escaliers de la tour pour rejoindre la terrasse du bâtiment. À peine arrivée, tu posas doucement l'enfant sur une vieille table en bois, avant de t'accroupir l'instant d'après devant Xiao. Celui-ci semblait fuir ton regard, n'osant pas ouvrir la bouche. Il te semblait à la fois mal à l'aise et étrangement perdu, ce qui était plutôt normal si l'on prenait en compte ses tout juste quatre ans.
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─ ­ ­ ­ « Xiao ? »
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Muré dans son mutisme, le jeune garçonnet ne t'épargna pas ne serait-ce qu'un regard. Tu avais cette douloureuse impression de revenir à votre première rencontre, mais cela n'allait pas te décourager pour autant. Tu l'avais fait une fois, tu l'avais déjà fait parler ou apparaître devant toi juste pour passer le temps ou juste pour discuter avec lui, enfin tu faisais plus un monologue et lui te prêtait une oreille attentive. Malgré toi, un sourire nostalgique se plaça inconsciemment sur tes lèvres tandis que tes doigts passèrent avec tendresse dans les cheveux du jeune garçon. Détournant rapidement le regard, pour le pas rencontrer le regard noir de Xiao, tu te contentas de calmement observer le magnifique paysage des plaines de Liyue que vous offrait la tour.
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─ ­ ­ ­ « C'est ici que nous nous sommes rencontrés pour la première fois. » Commenças-tu d'une voix tendre, te remémorant sans peine cette première rencontre, elle était gravée dans tes souvenirs. « Tu étais aussi froid que la glace et bien trop méfiant envers une simple vagabonde perdue dans cette immense auberge. Pourtant, à ce moment-là, même si j'avais l'impression que tu me jetterais par-dessus la rambarde si je n'avais pas une bonne excuse pour t'avoir dérangé, je t'ai trouvé magnifique. » Te remémoras-tu avec un petit rire, ayant facilement capté l'attention du petit garçon. « Je n'ai aucun instinct de survie, tu avais raison. Je t'ai trouvé vraiment mignon alors que tu aurais pu me tuer... »
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Ton regard était si doux, si amoureux que Beidou en aurait probablement vomi rien qu'en l'apercevant, avant de te taquiner pour quelques dizaines d'années. Perdue dans ton propre monologue, pendant que ton regard survolait le paysage roux en face de toi, tu ne remarquas pas les adorables petits joues rebondies du garçonnet se colorer tout doucement d'un petit rouge. Il ne comprenait pas pourquoi, mais tout son corps brûlait et lui criait de s'enfuir, de s'enterrer sous vingt kilomètres de terres avant d'exploser littéralement de gênes. Pourtant, le mini-Xiao ne bougea pas, comme pendu à tes lèvres écoutant sagement tes divagations.
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─ ­ ­ ­ « Ce jour-là, je ne regrette pas de t'avoir rencontré. » Racontas-tu avec une tendresse infinie, ton cœur battait rapidement, alors que tes joues se colorèrent très légèrement de rosé. « Mon sens sixième sens devait le savoir que je te rencontrerais et ne te lâcherais plus jamais. » Rien que de parler de tes sentiments, te rendait incroyablement timide, mais pourtant, tu n'arrivais pas à t'arrêter. « J'aime que tu fasses partie de ma vie. »
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À la fin de ta confession, bien que ce soit à mini-Xiao et non à l'adulte, le (C/Y) de ton regard se tourna de nouveau vers le petit garçon dont les joues brûlait de rouge. Il ne comprenait pas, à son âge, il ne comprenait pas tout, bien qu'il soit plutôt intelligent, il ne comprenait pas pourquoi son corps réagissait comme ça. Il sentait son visage brûler, son cœur battre dans ses tempes alors qu'il semblait à deux doigts de sortir de sa poitrine. Et pourtant, même si ça lui faisait mal, il se sentait bien et étrangement heureux qu'il aurait pu... Qu'est-ce qu'il pourrait faire ? Il n'en savait rien, il ignorait ce qu'étaient ces sentiments, il ne savait pas ce qui lui arrivait, une nouvelle fois, sa main s'accrocha une nouvelle fois à son haut. Son regard perdu sur le parquet en chêne de l'auberge, il ne remarqua pas l'état de panique dans lequel il t'avait plongé, trop assourdit par ses propres battements de cœur erratique, pas encore habituer à son ouïe de Yaksha.
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─ ­ ­ ­ « Xiao ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ? » L'appelas-tu en vain, le garçonnet ne semblait pas te donner la moindre attention. Tu n'eus pas le choix, tu attrapas ses deux joues entre tes mains, avant de redresser délicatement son visage dans ta direction. « Xiao, qu'est-ce qu'il t'arrive ? »
─ ­ ­ ­ « J'ai chaud, (T/P). » Prononça-t-il alors qu'il semblait se calmer légèrement en rencontrant l'inquiétude présente dans tes billes (C/Y). « Il tape vite. Je veux partir. Mais, je me sens bien. Je suis content. Je suis trop content. Mais je comprends pas. »
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Tout aussi perdue que lui, tu semblas te calmer légèrement quand il exprima son bonheur. Tes mains glissèrent de ses joues, légèrement rassurée, pour atterrir sur ses cuisses observant plus attentivement son visage, cherchant le moindre signe de mal-être. Cependant, tout ce que tu rencontras : fut un réel bonheur. Son visage rayonnait, il était bien différent de son lui habituel composé voir indifférent, il était rayonnant de bonheur. Ses prunelles d'or liquide brillaient de joie et ses fines lèvres se courbaient très légèrement d'un sourire heureux. Comment Xiao pouvait-il être aussi adorable ? Est-ce que ton Xiao adulte pouvait, lui aussi, rayonner pareillement ? Rien qu'à l'imaginer, tu sentais ton cœur fondre devant ce petit être adorable. Rassurer, tu poussas un soupir de soulagement, t'effondrant la tête la première sur les genoux du mini-Xiao.
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─ ­ ­ ­ « Je suis soulagée. Ne me refais plus peur comme ça. » Bougonnas-tu faussement au petit Yaksha alors que ton visage ne put s'empêcher d'afficher un beau sourire. « Tu es si mignon. »
─ ­ ­ ­ « Désolée (T/P). » S'excusa-t-il d'un air sincère en détournant le regard de ton visage souriant. « Le sourire de (T/P) me donne chaud ici. » 
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Même s'il était bien différent de son lui adulte, il avait quelques mimiques ou réflexes similaires au Xiao adulte. Logique sachant qu'il est lui. C'était rafraîchissant d'avoir un Xiao un peu plus ouvert sur ses sentiments, ou tout du moins, un peu plus bavard. Quand celui-ci te montra son cœur tout en parlant, ton esprit ne put s'empêcher de s'emballer pour faire écho aux propres battements de ton palpitant. T'aimerait-il aussi ? Ou serait-ce juste toi et tes propres divagations amoureuses précédentes qui te répondaient à ton souhait. Même si tu essayais d'oublier l'idée, ça faisait sens avec tout ce que mini-Xiao avait dit. Tu avais besoin de te calmer et de t'étirer les jambes, qui devenaient douloureuses en restant trop longtemps accroupies, tu te redressas.
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─ ­ ­ ­ « Il te met mal à l'aise ? »
─ ­ ­ ­ « Non. J'aime que (T/P) me sourit. » Te corrigea-t-il avec une expression étrangement satisfaite de ses explications. « J'aime aussi que (T/P) me fasse des câlins ou me porte. J'aime aussi écouté (T/P) parler. »
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Ne devras-tu pas l'arrêter ? Ta conscience te criait qu'il le fallait, au cas où Xiao se souviendrait de ce moment et pour préserver ses pensées. Mais ton cœur lui te criait, t'implorait presque de le laisser continuer, bien trop contente d'enfin entendre les sentiments bien enfouis de l'homme que tu aimais. Même s'il était un enfant, ce qu'il ressentait en cet instant appartenait au Xiao plus âgé, il était impossible qu'un bambin puisse développer une confiance ou de l'affection en te rencontrant il y a à peine dix minutes. Le choix était compliqué, mais tu n'eus pas le temps de pousser plus loin que Yanxiao apportait une assiette bien garnie de tofus aux amandes.
D'un sourire chaleureux pour le cuisinier, tu ramassas l'assiette de ses mains avant de t'asseoir à ton tour sur la vieille table. Celle-ci grinça, alors que tu mettais la porcelaine entre les mains du plus jeune qui prit rapidement place sur tes cuisses. Adossée contre le mur extérieur de l'auberge, tu regardas d'un œil tendre le petit garçon manger, enfin dévorer, les sucreries moelleuses. Avait-il peur qu'on lui vole ? Ses joues gonflèrent comme celles des hamsters. Il était bien trop craquant pour ton pauvre petit cœur.
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─ ­ ­ ­ « Tu peux prendre ton temps, tu vas t'étouffer. Ne t'inquiète pas, je ne t'en volerais pas, personne ne t'en volera. »
─ ­ ­ ­ « Ce n'est pas grave si c'est (T/P) qui m'en prend. »
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À quel point pouvait-il être adorable ? N'y tenant plus, tes lèvres se posèrent sur sa joue, absolument conquise par le petit être innocent sur tes cuisses. Ses joues rougirent d'un seul coup, mais il ne fit aucun geste pour se défaire de ton emprise, appréciant, d'un plaisir coupable, sentir tes lèvres sur ses joues. Comment était-il arrivé à s'asseoir sur tes cuisses ? Pourquoi ses mains étaient-elles si petite ? Xiao s'adaptait tout doucement à sa situation, ses souvenirs remontant petit à petit à la surface. Pas encore noyé dans la gêne, pas réellement conscient de la quantité de baisers déposés sur ses petites joues, il se laissait faire.
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─ ­ ­ ­ « Si mignon. Ce n'est pas ton tofu que je vais dévorer, mais toi, mon adorable Xiao. »
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Tes bras l'entouraient, il sentait ta chaleur bercer son corps enfantin alors que ton rire résonnait au creux de son oreille. Tes paroles avaient du mal à s'imprimer, mais dès qu'elles le furent, tout son corps brûla de gêne, il s'était complètement raidi dans ton étreinte. Cet homme voulait disparaître. Il ne savait plus quoi faire. Il ne savait plus comment réagir. Il était mortifié. Il voulait partir et en même temps, il pouvait profiter encore plus longtemps de cette douce chaleur qui le câlinait. Pourrait-il en profiter une nouvelle fois quand il serait à nouveau dans son corps d'adulte ? Non. Il le savait déjà. Alors pour une fois, pouvait-il céder à son désir égoïste ? Avec son corps dans cet état, il ne pourrait pas remplir ces devoirs de Yaksha. Même si sa rigidité et sa loyauté au souverain de la roche l'appelaient à faire son devoir, son souhait, son désir, mortel d'être tenue entre tes bras prenaient le pas.
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─ ­ ­ ­ « Je t'aime tellement Xiao. »
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C'était une confession naïve et imprudente à faire à un Yaksha, c'était ce que pensait Xiao alors qu'il avait l'impression de sentir son cœur raisonné dans tout son corps. Même s'il se sentait légèrement coupable d'avoir entendu ta confession tandis que tu pensais sans doute qu'il ne s'en souviendrait pas, il se sentait rempli de bonheur. Tu t'adressais sûrement ces sentiments à son lui enfant, mais il en était quand même heureux. Il se sentait heureux, mais son esprit s'embuait petit à petit. Il se sentait étrangement lourd. Est-ce à cause de son physique d'enfant ? Il ne pouvait que s'en douter. Apaisé, par le sommeil et ton cœur battant contre son sommeil, il se laissa bâiller à s'en décrocher la mâchoire, ses yeux luttant contre le sommeil.
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─ ­ ­ ­ « Il faut croire, que tu sois en modèle réduit me fait parler plus facilement. » Te lamentas-tu ensuite d'un coup d'œil vers l'enfant qui sombrait tout doucement. « Je suppose que ce petit corps a besoin d'un peu de repos. Tu peux dormir, Xiao, je veille sur ton sommeil. »
─ ­ ­ ­ « Merci. Je t'aime. »
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C'était un murmure. Un murmure qui aurait dû être inaudible. Un murmure que tu avais entendu. Un murmure qui fit battre ton cœur comme un fou. Avais-tu rêvé ? Est-ce encore ton esprit qui s'emballait ? Mais tu ne pouvais pas lui demander. Il dormait si paisiblement. Déposant l'assiette de côté, tu t'étais résignée, déplaçant ton regard sur le côté pour s'égarer sur le paysage. Un brin d'air soufflait, caressant avec chaleur vos peaux, ondulant les cheveux désordonnés de l'enfant. Petit à petit Morphée t'entraîna avec elle au son doux des marchand et du brouhaha lointain des voyageurs de l'auberge.
Ta respiration était lente, toujours profondément dans les bras de Morphée, quand Xiao se réveilla. La lune était haute dans le ciel ancre de Liyue, et la température bien plus fraîche que des heures plutôt. Les souvenirs bien en mémoire, le Yaksha te couvrait d'un regard empli d'affection, d'une adoration nouvelle. Est-ce qu'un jour, il avait pu se sentir aussi débordant d'amour et de bonheur ? Sûrement pas. C'était nouveau, il lui faudrait du temps pour s'y habituer, mais ce n'était clairement pas désagréable. Il avait peur de te réveiller, mais il ne pouvait pas te laisser à l'extérieur. Aussi précautionneux qu'avec le plus précieux des trésors, Xiao te ramassa comme une mariée, avant de t'emmener dans une des chambres de l'auberge, la sienne, enfin du moins celle que Verr Goldet lui avait attribué dans l'espoir qu'il s'en serve.
Il t'allongea précautionneusement sur les draps, te recouvrant par la suite d'une couverture. Xiao prit un instant, un instant pour t'observer dormir. Il hésitait à caresser tendrement à ta joue. Il avait peur de te réveiller. Est-ce une erreur de t'avoir répondu ? Était-ce son erreur de t'aimer ? Les humains étaient éphémères... Alors qu'il y pensait, Xiao pouvait entendre sa voix, celle de Bonanus. Elle avait toujours été idéaliste, mais elle lui avait dit tant de fois de ne pas rejeter l'amour qu'il ressentait. Si pour lui, c'était une faiblesse, pour elle, il pouvait être la signification d'une force qui pouvait soulever des montagnes. Maintenant, qu'il commençait à en faire l'expérience, qu'on lui offrait cet amour, il ne pourrait plus la revoir et lui dire le contraire.
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─ ­ ­ ­ « Je t'aime, (T/P). »
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Ce besoin, il ressentait ce besoin de redire ces mots, même si dormait. Sa main gantée glissa tendrement sur ta joue, elle était hésitante, de peur de te réveiller. Pourtant, ça fait déjà quelques bonnes minutes que tu étais réveillée. Aussi délicat qu'il le voulait, il était impossible que tu ne te réveilles pas. Tes yeux (C/Y) s'ouvrirent accompagnés d'un délicat sourire. Ta main se posa sur la sienne, l'emprisonnant avec tendresse contre ta joue.
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─ ­ ­ ­ « Moi aussi, Xiao. » Lui répondis-tu, laissant son visage une nouvelle fois se colorer timidement par des teintes de rosées. « Tu repars ? »
─ ­ ­ ­ « Je... Oui. »
─ ­ ­ ­ « D'accord... J'attendrai. »
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Bonanus avait raison, et il avait bien fait d'y céder. Tu étais (T/P), son humaine, celle qui l'attendrait jusqu'à ce qu'il revienne. Celle qu'il aimerait. Celle qui chérirait à travers les âges. Celle qu'il attendrait à son tour. Celle qu'il voulait rendre heureuse. Celle qui lui offrait désormais un endroit où rentrer. Celle qu'il protégerait avec son foyer. Pris d'un courage nouveau, bien que timide, il posa avec tendresse ses lèvres sur les tiennes. Ce baiser fut simple, innocent et court, mais il était rempli de promesses. Il ne lui en fallut pas plus avant de disparaître dans la nuit profonde de Liyue, l'esprit léger, avec qu'un désir : rentrer.
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burningvelvet · 1 year
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The Byron-Shelley circle reports from Lake Geneva, 1816…
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Mary Shelley’s journal entry for July 28th, 1816:
“Sunday, July 28 (Montalègre). — I read Voltaire’s Romans. Shelley reads Lucretius, and talks with Clare. After dinner he goes out in the boat with Lord Byron, and we all go up to Diodati in the evening. This is the second anniversary since Shelley’s and my union.”
Excerpt of a letter from Percy Shelley to his friend Thomas Love Peacock, July 28th, 1816 — he is still recounting the short trip he, Mary, and Claire took to Mont Blanc:
“We have bought some specimens of minerals and plants, and two or three crystal seals, at Mont Blanc, to preserve the remembrance of having approached it. There is a cabinet of histoire naturelle at Chamouni, just as at Keswick, Matlock, and Clifton; the proprietor of which is the very vilest specimen of that vile species of quack, that, together with the whole army of aubergistes and guides, and indeed the entire mass of the population, subsist on the weakness and credulity of travellers as leeches subsist on the sick.
The most interesting of my purchases is a large collection of all the seeds of rare alpine plants, with their names written upon the outside of the papers that contain them.
These I mean to colonise in my garden in England, and to permit you to make what choice you please from them. They are companions which the Celandine — the classic Celandine — need not despise; they are as wild and more daring than he, and will tell him tales of things even as touching and sublime as the gaze of a vernal poet.
Did I tell you that there are troops of wolves among these mountains? In the winter they descend into the valleys, which the snow occupies six months of the year, and devour everything that they can find out of doors.
A wolf is more powerful than the fiercest and strongest dog. There are no bears in these regions. We heard, when we were in Lucerne, that they were occasionally found in the forests which surround that lake.
Adieu. S.”
Undated letter sent from Claire Clairmont to Lord Byron next door, July 1816:
“Pray if you can send M. Polidori either to write another dictionary or to the lady he loves. I hope this last may be his pillow. & then he will go to sleep; for I cannot come at this hour of the night & be seen by him; it is so extremely suspicious. I have not seen you all day. I know you must be home by ten because Geneva shuts at that hour & I will be with you at a ¼ past ten, so remember.”
Another undated letter sent from Claire Clairmont to Lord Byron next door, July 1816:
“I would have come to you to night if I thought I could be of any use to you. If you want me or any thing of or belonging to me I am sure Shelley would come and fetch me if you ask him. I am afraid to come dearest for fear of meeting any one. Can you pretext the copying. Tell me any time I shall come & I will because you will have then made your arrangements. Every thing is so aukward. We go so soon. Dearest pray come and see us pray do. Good bye. I cannot find a wafer S — says he won't look at my note so don't be offended. Good bye dearest. Pray come & see us.”
In the summer of 1816 on Lake Geneva Percy Shelley, Mary Godwin (later that year, Shelley), their nanny Elise, their infant son William, and Mary’s step-sister Claire Clairmont, all lived at Maison Chapuis, less than a ten-minute walk from Byron’s much larger Villa Diodati next door. Claire and Byron had met in the past and began an affair in England that Spring. She fell in love with him and introduced him to Mary privately on April 21st. Earlier that day, Byron had signed the deed of separation from his wife, and on the 23rd he would sail away from England forever. Byron decided to vacation in Geneva while he planned his relocation to Italy that Fall. He took John Polidori with him as his traveling doctor while he recovered from a binge-drinking episode; Polidori was a recent medical school graduate who also aspired to be a writer. Claire urgently followed Byron and convinced Mary and Percy to join her, reliving the trio’s continental tour of 1814. After Byron and Shelley initially met at Geneva’s Hotel d'Angleterre, they decided to rent a boat together and managed to rent neighboring residences. The households would spend most of the summer together. Claire would give birth to her and Byron’s daughter that winter, and in subsequent years the Shelley and Byron households would follow each other around Italy.
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claudehenrion · 3 months
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L'auberge volante.
C'est souvent que je vous parle de GK Chesterton, le géant britannique de la pensée, dont George Bernard Shaw, son ''adversaire et ami'', disait ''C'est un génie colossal''. Je conserve le souvenir du choc que j'ai eu en le découvrant (c'était en ''Prépa'', sous la recommandation d'un de ces formidables professeurs à la culture gigantesque qui nous accueillaient dans leur classe avec une intelligence illimitée et une volonté de transmettre qui frôlait parfois l'irrationnel). J'avais dans les 19 ans et un cerveau tout neuf, prêt à tout avaler, à tout ingurgiter, à tout dévorer... et je me souviens de la décision immédiate (dont les effets se font attendre encore aujourd'hui !) de lire TOUT ce qu'avait écrit cet auteur...
J'ai profité des derniers ''ponts-de-mai'' pour relire ''L'Auberge volante'', ce chef d’œuvre que Pierre Boutang vient de ressortir de l'oubli (Ed. Les Belles Lettres)... La trame de cet ouvrage écrit en 1914 raconte l'histoire d'un jeune Irlandais qui rentre au pays après avoir guerroyé contre les turcs (alliés de l'Allemagne, en 14/18), et à qui son meilleur ami apprend que, sous l'influence maléfique d'un fanatique musulman qui a réussi à se faire élire, un décret va faire fermer tous les ''Pubs'' du Royaume Uni... Un français a déjà du mal à imaginer l'immense catastrophe que pourrait représenter un tel drame pour tout habitant des îles britanniques... mais il est impossible au monde entier d'imaginer ce que cela peut signifier pour un irlandais... Et tout laisse à penser que, il y a cent ans, la catastrophe était encore plus grande !
Il s'agit d'un livre prophétique dont la lecture devrait attirer l'attention de ceux, très minoritaires et quelque peu ostracisés par la ''bien-pensance'' (qui ne sait penser que ''de traviole''!), qui, dans notre Occident européen ou ce qu'il en reste, espèrent encore en des lendemains heureux pour tout ce que nous aimons tant, songent encore à relever certains défis, et persistent à croire qu'il est encore possible de rester fidèles à notre héritage, à notre Histoire, à nos modes de vie et à nos chères traditions, à notre joie de vivre et –pour certains-- à la foi de leurs pères. Il ne fait pas de doute qu'un tel livre serait inconcevable aujourd'hui : son auteur –s'il trouvait un éditeur !-- serait cloué au pilori, sous les habituelles insultes (toutes ''ad hominem'' et sans le moindre lien avec le texte !) de notre pseudo ''intelligentzia'' --ce mot étant devenu pour les cuistres un synonyme de Libé, de l'Obs, de Bfm/TV, de France Inter, de tout l'audio-visuel d'Etat, et des autres fabricants de ''fakes-dans-le-sens-du-vent'' !
Je reprends le résumé de ce brûlot prémonitoire : les politiciens anglais, influencés par ce turc islamique (NB en 1914, le doublon mortifère ''islam'' et ''islamiste'' n'avait pas encore été fabriqué par les progressistes) qui rêve de changer les mœurs ''décadentes'' de son nouveau pays soi-disant d'adoption, décident d'interdire la vente d'alcool en Angleterre et pour cela adoptent des lois pour fermer les auberges, ces célèbres ''Pubs'' qui sont une des raisons de vivre de nos voisins et amis... et une des armes qu'ils ont su mettre au point pour résister aux rigueurs humides de leur climat... Un homme malicieux s'associe alors avec un aubergiste pour lutter contre cette offensive. A eux deux, ils vont inventer de multiples subterfuges pour contourner cette loi scélérate, et ils vont se promener dans les campagnes, avec, dans leur carriole, un énorme fromage de Stilton, quelques tonneaux de ''cervoise tiède'' et, par mesure de sécurité, un peu de bon vieux rhum... et aussi une grande enseigne au nom de l'Auberge Volante, qu'ils plantent sur des devantures improbables où ils s'installent pour regarder leurs concitoyens redevenus heureux de s'offrir un verre dès qu'ils aperçoivent l'enseigne.
Autour de ce canevas amusant, la belle plume de Chesterton nous livre des gags et des apartés ironiques sur la société anglaise de l'époque, et nous offre une belle satire des hommes politiques, des belles anglaises, des journalistes du temps... et de presque tout le monde (y compris les ''redresseurs de torts'' qui écrivent aux journaux, en réaction à un article qui ne va pas ''dans le bon sens de leur mauvaise histoire''), mais aussi de la religion. Un livre surprenant, bourré de phrases aussi dérangeantes que ''les hommes de notre temps se sont complètement trompés sur la vie humaine. Ils semblent attendre ce que la nature n'a jamais promis et ils essaient de ruiner tout ce que la nature a vraiment donné''.... Ce pourquoi je vous en parle, c'est pour le simple raison qu'il est, chaque jour qui passe, plus proche de notre triste actualité... et de la Charia'a...
Là où, évidemment, le bât blesse, côté ''livre prémonitoire'', c'est que les temps ont bien changé, et que, alors que Chesterton déchaîne son imagination dans un monde encore marqué par 20 siècles de civilisation chrétienne qui imprègnent encore la société, les mêmes faits se passeraient aujourd'hui dans notre jungle sans foi mais avec trop de lois (le plus souvent inutiles ou perverses), qui se dit athée pour ne pas avouer qu'elle est toute entière orientée vers une volonté de destruction de toutes ses bases et de tous les fondements sur laquelle elle repose encore... monde où il n'y a plus la moindre place pour l'humour, la dérision, la critique descriptive (donc : non-hostile), voire le plus petit désaccord, sauf à être ostracisé complotiste ou ''d'extrême droite''.
Venant juste après le 'Choc des Civilisations'' de Samuel Huntington, dont nous parlions il y a peu, je dois vous avouer, Amis-lecteurs, que le fait de relire ce livre tant d'années plus tard, m'a tout-à-la fois ébloui –ça, c'est le côté ''intelligence époustouflante de Chesterton''-- et plongé dans une mélancolie mi-triste / mi-nostalgique, devant ce qu'est devenu le monde entre ces deux lectures. Un petit siècle a suffi pour qu'un jeu intellectuel soit transformé (''déformé'', plutôt) en un cauchemar sans lendemains possibles, qui risque de se produire à tout instant –même si, pour parler comme ceux qui refusent de voir ce qui peut les déranger, ''nous n'en sommes pas là'' !
Le théoricien qui fabrique une théorie nouvelle pour raconter un événement nouveau n'est pas très dangereux. Mais celui qui part d'une théorie fausse et regarde ensuite toute chose comme devant uniquement servir à la vérifier, est un dangereux ennemi de la raison humaine. Le premier correspondrait à peu près au personnage du roman de Chesterton, mais le second se retrouve à chaque minute de nos vies, polluant les milieux autrefois dits ''d'élite'' : c'est une illustration au trait à peine ''forcé'' de tous nos politiciens, prêts à toutes les compromissions pour recueillir quelques voix venant de ''l'immigration'', comme de tous nos journalistes, intoxiqués par tous les miasmes qu'a semé la prédominance injustifiée de la Gauche dans la vie intellectuelle de l'Occident—ramené à un spectre de ce qu'il a été, à cause de cette erreur initiale jamais corrigée.
Contrairement à ce que racontent nos soi-disant ''élites'', législateurs compris, l'islamisme et ses dérives sanglantes ne sont pas du tout liés au concept de ''religion'' (que le brave peuple avalerait, dit-on, mieux, utilisé au pluriel : il faut dire : ''c'est la faute des religions'' pour dire ''je hais le catholicisme'') : c'est le meilleur moyen qu'aient trouvé nos Jocrisses pour noyer le poison. A l'opposé complet de ce cette invention perverse, il faut dire et redire que l'islamisme est indéfectiblement lié à l'islam—ce qui n'est ni une accusation ni un rejet : tous mes commentaires autour du Coran témoignent de ma nostalgie de temps -que j'ai tellement aimés-- où il appelait à d'autres ressorts qu'à la seule haine.
Dois-je rappeler –c'est un exemple, déjà cité-- que les terrains sur lesquels a été érigée la superbe Cathédrale Saint-Pierre de Rabat ont été offerts au Protectorat français il y a 100 ans (c'est hier, et c'est si loin, pourtant !) par deux familles musulmanes (les Bargach, que j'ai fort bien connus, et les Mouline, dont un fils était un ami de Lycée) ''pour que les chrétiens puissent prier leur Dieu''. Autres temps... Mais comme il était amical, ouvert et intelligent, le ''monde d'avant'' !
Certain mots (et.. la Vérité !) sont aujourd'hui interdits, par trouille de nuits de violences, de bagnoles brûlées, et les flics sont eux-mêmes sommés de ne plus se défendre, par un système législatif bien plus légaliste que légitime. A l'heure du triomphe de l'affreux ''politiquement correct'' des gauchos infréquentables, de la peur des réactions d'une religion devenue intolérante ou, plus simplement, de la crainte de craintes innommées, je continue à espérer que ceux des musulmans qui se disent (souvent à juste titre) ''intégrés'' et prêts à assumer, jusque dans ses détails, une appartenance à la culture du pays où ils ont décidé de vivre, témoignent enfin de cet attachement dont rêvent tous les ''français de souche... qui n'osent même plus revendiquer ce titre, dont ils devraient être si fiers, pour tant de belles et bonnes raisons, tant qu'on ne bricole pas l'Histoire… en lui tournant le dos : si n'importe qui est capable d'écrire des stupidités aussi énormes que le faux ''Front populaire'' qui n'est ni l'un ni l'autre, tout le monde n'est pas capable d'écrire une ''Auberge volante''... !
H-Cl.
PS – Je n'ai pas voulu que nous nous quittions sur un commentaire --forcément pessimiste-- sur le gouffre sans fond où sombre notre chère et ex-merveilleuse France. Mais des impératifs de déplacements s'ajoutant à la convalescence de mes récents pépins de santé me forcent à interrompre notre dialogue, qui deviendra hebdomadaire jusqu'au 10 septembre, si Dieu le veut (date à reporter sur vos agendas...)... sauf si, comme c'est prévisible, de grands événements forcent une reprise épisodique de nos échanges. Bonnes vacances, et un immense ''Merci'' pour votre patiente et indulgente fidélité.
Claude Henrion.
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yespat49 · 5 months
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Quand le français était universel
Détail d’un ouvrage multilingue rassemblant une cinquantaine de textes – histoire, géographie, cosmographie, littératures et religions (entre 1307 et 1350) “Sourdez vous le cul tost et apareillez a diner !” Comment activer un aubergiste, réprimander un valet ou insulter un chauffard dans la France médiévale ? Les manuscrits exposés à la bibliothèque de l’université de Cambridge, en…
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domstaubin · 1 year
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“Aubergiste” / Oil pastel on paper / 8″ x 11″
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lepetitlugourmand · 2 years
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Troisième dîner du Festival des Étoilés @montecarlosbm Les Chefs @yannickalleno et @bruno_verjus ont orchestré une symphonie gastronomique hors norme en grande convivialité et belle amitié, tels des aubergistes du Bonheur et des poètes Gourmands. C'est au sein du très chic et discret, @hotelhermitagemc (intimement appelé l'hôtel des connaisseurs), que s'est déroulé le tout premier quatre mains du @pavyllon_montecarlo du chef multi-étoilé Yannick Alléno. Le chef recevait son ami doublement étoilé Bruno Verjus, grande figure de la scène gastronomique parisienne et française. Bruno Verjus est un Chef atypique et unique au franc parler et à la sincérité absolue. Ce Poète des assiettes, ce Michel Simon des cuisines, manie aussi bien le verbe que la cuillère avec précision et justesse, tel un Cyrano des fourneaux, qui à la fin de l'envoie touche les âmes de sa profonde volonté de nourrir l'esprit par le corps. Tous deux, épaulés de leurs belles équipes de cuisine - Guillaume Bellayer, Maxime Vaslin pour Yannick Alléno et Jules Letteron, Giuseppe Mariani pour Bruno Verjus - ont proposés un menu placé sous le signe de la splendeur des produits et de la Nature dans une « simplicité » époustouflante de vérité et de puissance, comme l’incroyable Oeuf Badaboum au coeur coulant de caviar, la Noix de Saint-Jacques cuit dans un beurre de moelle et truffe blanche, le Jardin éphémère en monochrome d’une betterave en force de ses racines, le Homard est dans toute sa véracité en cuit-cru parfait, de son identité, le Bar en texture est maturé et se repulpe de l’acide verjus en vertu, le gourmand chou farci au foie gras s’étoffe des petits côtelettes d’un agneau fondant d’ici. Les douceurs vibrent de vie d’un galet en croustille de poire et d’une tartelette chocolat infusée de la salinité du câpres et adoucis de l’iode noisette du caviar. Ce brillant et prodigieux troisième dîner du Festival était non sans rappeler ces moments de gastronomie d’autrefois, de ces aubergistes et chefs à l’épatante gouaille, qui vous recevaient chez eux comme des amis : un moment suspendu! #gastronomie #yannickalleno #brunoverjus #monaco #montecarlo #cotedazurfrance #visitmonaco (à Pavyllon Monte-Carlo, un restaurant de Yannick Alléno) https://www.instagram.com/p/Cj3AmsRDYa5/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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cornerinthefade · 1 month
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About spirits sexuality - unpublished draft of research article
Introduction
Nothing about the Fade or spirits is simple, especially not that. It would be very unwelcome to project our people's sexuality onto spirits. Spirits do not always have a sense of self and their point in existence is fulfilling their purpose.
Sexuality grants us pleasure first, and sometimes reproduction. Though spirits are very different to our specy, I will use these two concepts to define what is their sexuality.
Due to lack of data and understanding, I would not address spirits' gender.
Sexuality amongst spirits
Pleasure, for spirits, doesn't come with physical touch. It is not a sensory overwhelming, but an overload of fulfillment of their purpose (in giving and receiving), according to their nature.
Strong, powerful spirits handle more complex ideas and can partner with a different type of spirit.
The compatibility between the types of spirits is yet to be define, but here are a few exemples I could witness.
Wisdom-Wisdom
Two spirits of Wisdom engage in heavy philosophical debate, they intertwin their ideas and bring new thoughts. At some level, the idea is so powerful that a new spirit of Wisdom is formed.
Compassion-Wisdom
I had the rare opportunity to assist to the formation of a new spirit during an intense exchange between Compassion and Wisdom. A spirit of Benevolence.
[not yet written]
I'd be curious to attend a Command-Justice intercourse and to compare it to the laws of our nations.
From far, it could look like a deep, passionnated or enthousiastic conversation. The spirits shines more and more as their contentment grows.
Inter-species sexuality
Spiritual way
Our species can technically engage into those activities with spirits, though it migth require some skills or knowledge to reach a satisfying level. You will experience heavy intellectual or emotionnal pleasure, mind/heart satisfaction. It is unknown if a spirit can be formed from such a partnership but theorically I don't see anything preventing it.
Physical way
As for physical sex as we meant it, we all know it's mostly the area of a desire demon. At this date, I do not know any spirit form who would perform physical coitus. As far as we know, we theorically can think a spirit form of a desire demon could still perform it, as long as we have "pure intentions", but sex is still based on desire and migth twist them. I heard rumors of spirits of passion, and perhaps a love spirit could. But healthy and happy sexuality can also be performed without these endearment feelings. That's why my main guess is spirits of flourishing, but I never met one.
Spirit sexuality looks as rich and beautiful as ours, but it is important to understand the difference in their nature to better understand them.
Relyn Aubergiste - Former researcher for the University of Orlais
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vieillesboutiques · 8 months
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Aubergiste, Saint-Jean-sur-Veyle, Ain.
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latribune · 2 months
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ibonoco · 4 months
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My heart sways between sun and rain
“L’espérance, c’est sortir par un beau soleil et rentrer sous la pluie.” Gene Kelly – I’m singing in the rain Jules Renard, de son nom complet Pierre-Jules Renard, naît le 22 février 1864 dans le petit village de Châlons-du-Maine, en Mayenne. Fils d’un aubergiste et d’une mère stricte, il grandit dans un environnement rural qui marquera profondément son œuvre. Très tôt, il développe une…
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christophe76460 · 4 months
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10-366 Une mouche
L'adresse est; https://soundcloud.com/jlgaillard/une-mouche
Comme John Wesley prêchait à Dublin, un certain personnage de la ville, très opposé à ces prédications, mais grand amateur de musique religieuse, résolut d’assister à l’une d’elles, mais seulement pour entendre les cantiques accompagnant la prédication. Décidé à ne rien écouter d’autre, il se bouchait les oreilles pendant toute la durée des intervalles entre les chants.
Mais tandis que notre homme se bouchait si fermement les oreilles, une mouche se posa sur sa figure. La démangeaison devint intolérable au point qu’il leva la main pour chasser l’insupportable bestiole. Ce fut assez pour qu’il entende Wesley citer à cet instant précis ces mots répétés six fois dans les Evangiles :
« Qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende. »
Cloué par la surprise, il continua d’écouter. Sa conscience fut atteinte et ne lui laissa plus de repos.
Son passé était celui d’un aubergiste enrichi mais de mauvaise réputation et il revenait sans cesse devant lui. Il suivit toutes les prédications de Wesley, jusqu’à ce qu’il trouve enfin le repos, en recevant Jésus comme Sauveur.
Dieu a ses moyens, grands ou petits, pour attirer l’attention. C’est peut-être un incident, un contretemps, un petit problème irritant… Que veut-il dire ? Ne nous bouchons pas les oreilles; cela pourrait être pour notre plus grande perte.
« Alors s’ouvriront les yeux des aveugles, s’ouvriront les oreilles des sourds, » Esaïe 35 : 5.
« …Fils de l’homme, reçois dans ton cœur et écoute de tes oreilles toutes les paroles que je te dirai ! »Ezéchiel 3 : 10.
« Que celui qui a des oreilles pour entendre entende. » Matthieu 11 : 15.
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hightyross · 6 months
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Cet aubergiste dit qu'il MANQUE DE SAISONNIERS mais que le TRAVAIL EST S...
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