Tumgik
#axel oxenstierna
jamtlandsarkiv · 1 year
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Recently, I saw this poll.
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I refuse to believe that there are 91 Swedes in the Hetalia fandom on Tumblr who happened to see this poll, of which 70 voted for Berwald. The voter turnout on the big Hetalia fandom polls is between 1000 and 1500, there's no way nearly 10% of this fandom is Swedish.
But it also reminded me of one of my greatest pet peeves about the Hetalia canon.
I HATE THE NAME "BERWALD OXENSTIERNA" FOR SWEDEN!!!!
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Disclaimer: The name "Berwald Oxenstierna" is not offensive. People who choose to use that name are not doing anything wrong beyond annoying me (and anyone else who cares about giving Sweden a name that reflects average Swedes).
Let's take a look at each part of this name. "Berwald" is not a Swedish name. It's not even a first name. This is a last name of German origin. Himaruya probably derived it from the Swedish-German composer Franz Berwald. Nobody in Sweden today has "Berwald" as a first name.
"Oxenstierna", on the other hand, is a Swedish name that has been documented since the 13th century. It's one of the oldest Swedish noble families that still has descendants carrying the name today. Swedes will immediately recognize this name from Axel Oxenstierna, who was the Lord High Chancellor of Sweden from 1612-1654, de facto ruler of Sweden while Queen Christina was a minor, and credited with establishing the foundation of the modern Swedish state.
In Sweden, German last names have a posh reputation, because German immigrants to Sweden were often businessmen and much wealthier than the locals. If you were to use "Berwald Oxenstierna" as a double last name (and I suppose "Carl Oscar Wilhelm 'Nobbe'" as his first names), it would sound like a parody of someone with noble heritage and a posh upbringing.
Even if you don't use "Berwald", using the name "Oxenstierna" for Sweden directly implies that he has noble heritage. Modern Swedish society doesn't have the strict class divisions of the past, but it's still easy to tell if a name is noble or a commoner name. Noble names with living descendants are protected and people can't adopt them without a family connection to the name.
In summary: Unless your Sweden is supposed to come off as a comically pompous aristocrat (or a wannabe) who gets to pick whatever name he wants, don't use "Berwald Oxenstierna". Most non-Swedes can't even spell it anyway.
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thesoulmustbebreath · 1 month
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Buongiorno!!! ☕
Buona domenica e buona giornata a tutti!!! 🤗🌞
State sereni e godetevi questo giorno..
Vivetelo al meglio e sorridete..
Lucia 💓
Luli ❤️ Lu 💖🌞🌊♾️
Tutto ciò
che non contribuisce in niente
alla tranquillità dell’animo
è indegno della nostra attenzione.
- Axel Oxenstierna
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celluloidrainbow · 2 years
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THE GIRL KING (2015) dir. Mika Kaurismäki Crowned Queen at the age of six, Kristina of Sweden was thrust into a labyrinth of power and tradition, where a court of austere, Lutheran men pressure her to marry and produce an heir to fulfill her destiny. She finds sanctuary and love with her lady-in-waiting, the beautiful and elegant, countess Ebba Sparre, although the Chancellor, Axel Oxenstierna, pressures her to pair with his son, Johan. Soon the forces around the Queen realize that Ebba is the key to controlling her, but they underestimate Kristina's brilliant mind and her drive to be free. (link in title)
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alonewolfr · 7 months
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Il mondo è un vasto teatro in cui ognuno interpreta la sua parte con la maschera sul naso.
|| Axel Oxenstierna
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lennart11412 · 2 months
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Gustavus Adolphus (9 December [N.S 19 December] 1594 – 6 November [N.S 16 November] 1632), also known in English as Gustav II Adolf or Gustav II Adolph,[1] was King of Sweden from 1611 to 1632, and is credited with the rise of Sweden as a great European power (Swedish: Stormaktstiden). During his reign, Sweden became one of the primary military forces in Europe during the Thirty Years' War, helping to determine the political and religious balance of power in Europe. He was formally and posthumously given the name Gustavus Adolphus the Great (Swedish: Gustav Adolf den store; Latin: Gustavus Adolphus Magnus) by the Riksdag of the Estates in 1634.[2][3][4]
He is often regarded as one of the greatest military commanders in modern history, with use of an early form of combined arms.[5][6] His most notable military victory was the Battle of Breitenfeld in 1631. With his resources, logistics, and support, Gustavus Adolphus was positioned to become a major European leader,[7] but he was killed a year later at the Battle of Lützen. He was assisted in his efforts by Count Axel Oxenstierna, the Lord High Chancellor of Sweden, who also acted as regent after his death.
Gustavus Adolphus - Wikipedia
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us-cj · 5 months
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𝕬𝖓 𝖓𝖊𝖘𝖈𝖎𝖘, 𝖒𝖎 𝖋𝖎𝖑𝖎, 𝖖𝖚𝖆𝖓𝖙𝖎𝖑𝖑𝖆 𝖕𝖗𝖚𝖉𝖊𝖓𝖙𝖎𝖆 𝖒𝖚𝖓𝖉𝖚𝖘 𝖗𝖊𝖌𝖆𝖙𝖚𝖗?
"Do you not know, my son, with how little wisdom the world is governed?" — Axel Oxenstierna, Count of Södermöre, 1583–1654.
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societascriticus · 7 months
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La Reine Garçon (Opéra de Montréal)
D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, in Societas Criticus Vol. 26-01 : www.societascriticus.com
Argument
Acte 1
Stockolm, milieu du 17ième siècle.
Dans la tempête, le comte Karl Gustav, général des armées de Suède et cousin de la reine Christine demande à celle-ci de l’épouser. Christine refuse, prétextant qu’elle doit se consacrer essentiellement à faire de son royaume l’un des plus sophistiqués qui soit.
Le comte Johan, fils oisif et vaniteux du chancelier Axel Oxenstierna, s’ennuie dans ce royaume paisible et sans heurts. Son père lui propose de conquérir le cœur de Christine et ainsi, d’accéder au trône.
Axel évoque la naissance de Christine, que l’on qualifie de « reine-garçon ». La comtesse Ebba, dame de compagnie de la reine dont Christine est secrètement amoureuse, vient la divertir. Christine est troublée par cet amour. Elle se confie au philosophe René Descartes qu’elle a fait venir en Suède pour l’instruire sur les passions secrètes de l’âme et particulièrement sur l’amour dont elle souhaite se libérer du joug. Descartes l’initie à la notion du libre arbitre.
La reine veuve, Marie-Éléonore de Brandebourg, mère de Christine et personnage terrible, ajoute à la pression du mariage et révèle à sa fille un douloureux souvenir d’enfance. Furieuse et déstabilisée, Christine chasse Ebba, sous prétexte
que sa présence la trouble.
Johan, suivi de sa cohorte d’hommes-cerfs, tente à son tour de séduire Christine, mais sombre dans le ridicule. Blessé dans son orgueil face au refus de la reine, il lui rappelle les multiples problèmes que son obstination à rester célibataire va
surement provoquer.
Christine et Ebba se réconcilient. Axel et Johan décident d’écarter la comtesse Ebba de la cour.
Acte 2
Tout comme Karl Gustav, le mal d’amour ne quitte pas la reine et l’absence d’Ebba à la cour lui devient insupportable.
Au théâtre anatomique, Descartes fait la démonstration physique que l’âme siège dans une petite glande au cerveau où toutes les passions se rencontrent. Christine lui demande si l’on peut exciser l’amour de cette glande.
Axel se montre scandalisé par cette démonstration profane et tente de raisonner avec la reine. Mais celle#ci, ne trouvant plus de bonheur dans son propre pays, menace de répondre à l’invitation du Saint#Siège à abjurer sa foi luthérienne,
à abdiquer et à assumer le statut de reine-vierge catholique, libre de son intimité.
Seule, Christine demande au ciel si elle devrait abandonner sa foi, son père et son pays, bref, tout ce qu’elle est pour devenir celle qu’elle désire être.
Ebba vient à Christine pour lui demander de bénir son mariage. Christine l’invite plutôt à se joindre à elle et à partir pour Rome. Ebba tente de la raisonner et de lui faire valoir l’anormalité de ce geste, et Christine la chasse pour toujours. Effondrée, inconsolable, Christine trouve un certain réconfort dans les bras de Karl Gustav qui de nouveau lui témoigne son amour et lui rappelle ses devoirs de souveraine.
À la surprise générale, Christine annonce qu’elle abdique en faveur de son cousin Karl Gustav, en le désignant comme son successeur. Elle part pour Rome où elle compte se convertir au catholicisme, espérant ainsi échapper aux contraintes de son statut de reine et vivre selon son libre arbitre.
Johan, amer, reconnaît tout le ridicule de sa situation et jette le blâme sur Axel, son père.
En épilogue, Christine savoure toutes les libertés retrouvées, sauf l’amour, dont elle est toujours sous l’emprise.
Compositeur : JULIEN BILODEAU
Librettiste : MICHEL MARC BOUCHARD
Distribution
Chef d'orchestre : JEAN-MARIE ZEITOUNI, Canada
ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE MONTRÉAL
CHOEUR DE L'OPÉRA DE MONTRÉAL
Christine, reine de Suède : JOYCE EL-KHOURY, Canada
Comte Karl Gustav : ETIENNE DUPUIS, Canada
Comtesse Ebba Sparre : PASCALE SPINNEY, Canada
Le chancelier Axel Oxenstierna : DANIEL OKULITCH, Canada
Comte Johan Oxenstierna : ISAIAH BELL, Canada
René Descartes : ERIC LAPORTE, Canada
Marie-Éléonore de Brandebourg : ALINE KUTAN, Canada/Arménie
Assistant de Descarte : ALAIN COULOMBE, Canada
Source : https://www.operademontreal.com/
Commentaires de Michel Handfield, M.Sc. sociologie (2024-02-12)
J’ai bien aimé. C'est sûr qu'il fallait des coupes dans le texte, car, chanté, cela allonge le temps d’une représentation. Ayant vu la pièce (TNM, novembre 2012) et le film (FFM, 2015) je savais que certaines choses étaient coupées ou devaient passer par allusion. C’était le cas de l’opposition à Descartes par exemple, car elle était assez forte au point que dans le film on reprend la thèse qu’il est mort empoisonné à l'arsenic selon de la correspondance découverte dans les années 1990. Vous trouverez ces détails dans mes deux textes antérieurs, sur La Reine Garçon, qui se trouvent en annexe plus bas.
Le librettiste et le compositeur (1) ont su intégrer quelques fantaisies – comme lorsque « Johan, suivi de sa cohorte d’hommes-cerfs, tente à son tour de séduire Christine, mais sombre dans le ridicule. » - pour alléger le tout, ce qui fut très apprécié du public, car on a entendu quelques rires à l’occasion. C’est que cette histoire est assez sombre, la Reine Christine voulant ouvrir son peuple à l’art et la culture alors que celui-ci est sous le joug du rigorisme luthérien.
Pour les hommes de Pouvoir, pourquoi l’instruire s’il est heureux ainsi? Comme je l’ai écrit dans mon texte sur la pièce, ils tiennent d’ailleurs ce discours à la reine :
« On a besoin de bras, pas de cerveaux. Traite ton peuple en idiot et il t'aimera, surtout s'il a sa bière, du sport, du travail et des combats ! »
Très contemporain si je pense au Trumpisme qui va chercher l’appui des fondamentalistes religieux avec presque le même discours : On a besoin de bras pas de cerveaux. Traite ton peuple en idiot et il t'aimera, surtout s'il a sa bière, du sport, du travail et un camion pickup F-150 par exemple !
C’est comme si la culture leur était inaccessible et élitiste, ce qui est faux. Cela s’apprend et se développe. Chacun peut en tirer quelque chose. Naturellement, si on flatte l'ignorance et qu' on méprise la culture et les intellectuels pour en détourner nos fidèles et les manipuler, ce qui se voit en religion et en politique, c'est une autre histoire très machiavélique. On n’a qu’à penser à cette candidate républicaine au poste de secrétaire d’État, Valentina Gomez, qui a brulé des livres qu’elle jugeait inacceptables moralement ! (2)
Un opéra pour notre temps qui, je l’espère, s’exportera. Exporter de la culture serait déjà un gain sur l’obscurantisme qui revient par en arrière.
Ai-je vraiment besoin d’en dire plus?
Note
1. Compositeur : JULIEN BILODEAU :
Librettiste : MICHEL MARC BOUCHARD :
2. https://twitter.com/ValentinaForSOS/status/1754964444776443937
Annexe
Les deux numéros de la revue desquels sont tirés ces deux textes se trouvent en ligne à Bibliothèque et Archives Canada et Bibliothèque et Archives nationales du Québec dont voici les liens :
- https://epe.lac-bac.gc.ca/100/201/300/societas_criticus/pdf/index.html
- https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/61248
Christine la reine garçon au TNM
D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, Vol. 14 no 11, Textes ciné et culture : www.societascriticus.com
DU 13 NOVEMBRE AU 8 DÉCEMBRE 2012
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De MICHEL MARC BOUCHARD, avec une mise en scène SERGE DENONCOURT
DISTRIBUTION
Catherine Bégin : Marie-Éléonore de Brandebourg / Céline Bonnier : Christine / David Boutin : Karl Gustav , Le généralissime / Éric Bruneau : Comte Johan OXENSTIERNA / Louise Cardinal : Duchesse Erika Brähe / Jean-François Casabonne : René Descartes / Mathieu Handfield : L’ALBINOS / Robert Lalonde : Axel OXENSTIERNA / Magalie Lépine-Blondeau : Ebba Sparre / Gabriel Sabourin : Hector Chanut
LA DURÉE
Approximativement 1 h 15 pour la première partie; entracte de 20 min; et 50 min pour la dernière partie
UNE HISTOIRE BRULANTE VENUE DU FROID
Une création de Michel Marc Bouchard est toujours un évènement, d’autant plus que, pour la première fois, il aborde un grand sujet historique : la reine Christine de Suède. De sa plume généreuse, il réinvente cet être hors du commun, excessif, traversé par les grandes forces — le spirituel, le politique, le passionnel — qui façonnent le destin d’un être humain. Serge Denoncourt, dont le sens aigu de la théâtralité se déploie particulièrement dans les évocations du passé, a choisi l’électrisante Céline Bonnier pour incarner la plus incandescente des reines.
Le château d’Uppsala, 1649. La terrible reine Christine, laide et séduisante, plus mâle que ses hommes de guerre, plus politique que ses diplomates, plus érudite que ses savants, fait venir dans son royaume de grisaille et de glace le philosophe français René Descartes afin qu’il lui enseigne le mécanisme des passions qui habitent l’âme et le corps humain. Tiraillée entre le masculin et le féminin, entre foi et savoir, entre la rigueur de Luther et les splendeurs du catholicisme, entre son amour pour une femme et l’État qui exige un héritier, Christine de Suède cherche la vérité, sa vérité — en dépit de la rapacité des nobles, de l’ardeur des prétendants, de la folie de sa mère et, surtout, en dépit des fulgurances de ses propres passions.
Commentaires de Michel Handfield ()
En Suède, « on raille les intellos et on boit sa bière » se plaint la reine Christine qui voudrait élever son peuple à un autre niveau. Mais, on est des travaillants : bucherons, mineurs, militaires... Du vrai monde! Pas des rêveurs comme ce Descartes qui remet en cause nos habitudes et nos croyances! Un étrange!
On a besoin de bras pas de cerveaux. Traite ton peuple en idiot et il t'aimera, surtout s'il a sa bière, du sport, du travail et des combats!
On pourrait croire à une adaptation tant cela nous ressemble! Mais, c'est basé sur des faits historiques vérifiables. Malheureusement, car les parallèles entre la Suède sous Christine (1632 à 1654) et nous, québécois d'aujourd'hui, sont frappants. Si frappant qu'ils font peur; comme si, sous nos airs évolués, parce que nous avons maintenant une télé de 72 pouces (venant d'Asie) pour regarder de la lutte (à défaut de hockey, vu la grève de la LNH) avec notre grosse bière entre les jambes et notre sac de « chips » sur les genoux, on ne l'était pas tant que ça, évolué! On est « basic » finalement, comme ces Suédois d'un autre temps qui aimaient boire et avoir une bonne bataille! Vouloir en faire autre chose et leur enlever leurs croyances – luthérienne - était une hérésie aux yeux de l'entourage de la reine. Surtout, ne remettons rien en cause!
D'avoir fait venir ce Descartes de France, dérangeait, avec ses idées sur la religion, les astres et l'autodétermination, plutôt que le prédéterminisme et l'ordre divin. Que la reine le suive au point de remettre en question son propre devoir de femme, qui devrait se marier et enfanter pour le bien du royaume, s'en est trop. Un diable que ce philosophe français. Il décèdera d'ailleurs en Suède et l'on soupçonnera l'empoisonnement. Après, la reine ne sera pas ménagée pour la forcer à se marier, sauf qu'elle leur fera tout un pied de nez! Femme de tête, elle nommera son cousin à sa place, l'adoptant comme ce fils qu'elle n'a pas! Élevé comme un garçon par son père, son comportement ne serait pas si surprenant que cela aujourd'hui. Mais, à l'époque, « it was shocking! »
Dans un pays dominé par un conservatisme religieux, elle est beaucoup trop différente au gout du temps. Garçonne jusque dans ses sentiments, elle semble attirée par Ebba, sa dame de compagnie, ce qui n'est pas acceptable. Puis, elle cite Ninon de Lenclos, libertine et femme d'esprit, enfermée aux Madelonnettes. Alors, sous la chape du Luthéranisme, elle ne peut que s'attirer des ennuis ainsi qu'à sa bonne amie, ce qui l'amènera à quitter sa Suède pour préserver sa liberté! Elle se fera catholique et s'en ira à Rome, où elle aura une relation sentimentale avec le cardinal Decio Azzolino nous dit-on sur Wikipédia, de quoi faire tourner son père dans sa tombe, lui qui avait battu les papistes lors de la guerre de Trente Ans.
On est ici dans Machiavel. Pourquoi changer les choses si le peuple ne veut pas changer et croit qu'il aura sa chance ainsi? Laissons le croire! Pourtant, La Boétie avait bien expliqué ce qu'est la servitude volontaire un siècle plus tôt! Et, « c'est [aussi] ce que Machiavel a fait voir avec évidence. En feignant de donner des leçons aux rois, il en a donné de grandes aux peuples. Le Prince de Machiavel est le livre des républicains » a écrit Rousseau un siècle après le règne de Christine! (1) Mais, on n'avait pas compris. (2) En fait, a-t-on même compris aujourd'hui? Si on a besoin de poser la question, c'est un peu donner la réponse : NON!
« Seuls les déviants ont besoin de changer l'ordre du monde pour qu'il leur ressemble » dira Axel Oxenstierna, son oncle et chancelier, interprété par Robert Lalonde. Mais, il n'aura pas gagné son pari de contrôler la destinée de Christine et de son fils avec lequel elle fut élevée. Elle aura été plus forte stratège qu'eux. Femme élevée en garçon elle avait su tirer les avantages des deux sexes, mais aussi retenir quelques-unes de leurs faiblesses!
Une pièce forte intéressante sur la prise en main de sa destinée, avec ses joies, ses peines et ses misères, car tout à un prix, que ce soit la soumission ou l'affirmation de soi. Et Christine le paiera dignement.
Notes
1. Rousseau, Jean-Jacques, [1762] 2002, Du Contrat Social, Les classiques des sciences sociales (PDF): http://classiques.uqac.ca/, p. 44
2. Voici les dates : Christine a régné de 1632 à 1654. Le prince de Machiavel fut publié en 1532. Le Discours de la servitude volontaire de La Boétie le fut en 1549! Quant au Contrat Social de Rousseau, ce fut en 1762.
Références
La Boétie, (1549) 2006, Discours de la servitude volontaire, "Les classiques des sciences sociales" : http://classiques.uqac.ca/
Machiavel, Nicolas, 1996 [1532], Le prince, Paris: Booking International.
Femmes de rêve, femmes de caractère  ! (1) Nos commentaires sur BEIJING Carmen et la reine garçon
D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, Vol. 17 no 7, Textes ciné et culture (FFM 2015) : www.societascriticus.com
a) BEIJING CARMEN
vu le dimanche 30 aout 2015
Couleur, 95 minutes, Chine, 2015
Réalisation : Wang Fan
Scénarisation : Wang Fan
Direction photo : Han Xiaosu, Andreas Thalhammer
Montage : Zhang Yifan
Interprètes : Li Rui, Cary Woodworth, Zhao Jian, Dong Chun, Zhuan Ran, Xu Yiming
Musique : Cha Ainan
Synopsis
Le film est librement inspiré de la nouvelle de Prosper Mérimée, Carmen. Chorégraphe américain, Coen se trouve à Beijing pour les répétitions d’une adaptation moderne de Carmen. Mais il n’arrive pas à trouver la candidate idéale pour le rôle-titre. Jeune orpheline aborigène, Ye Men a été adoptée et élevée dans une atmosphère libre et insouciante par une femme âgée de la tribu Wa, au sud-ouest de la Chine. À la suite d’un incident, Ye Men doit quitter le village, mais non sans avoir le cœur gros étant donné qu’elle laisse derrière elle Ai Yong, son amoureux. Ye Men se retrouve donc à Beijing et déniche un travail de serveuse et de chanteuse dans un restaurant. Une discussion avec un client trop entreprenant impressionne Coen, qui se trouve là, subjugué par le tempérament de la jeune fille. Il laisse sa carte d’affaires sur la table. Ye Men se présente à l’endroit des répétitions et accepte de se joindre à la troupe, ne sachant pas que cette nouvelle direction pourrait la conduire, personnellement, dans l’univers amoureusement torturé créé par Mérimée.
b) THE GIRL KING
D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, Vol. 17 no 7, Textes ciné et culture (FFM 2015) : www.societascriticus.com
Vu le vendredi 4 septembre 2015
2015, Couleur, 102 minutes, Allemagne, Canada, Finlande, Suède, Compétition mondiale
Équipe de production
Réalisation : Mika Kaurismäki
Scénarisation : Michel Marc Bouchard
Direction photo : Guy Dufaux
Montage : Hans Funck
Interprètes : Malin Buska, Sarah Gadon, Michael Nyqvist, Lucas Bryant, Laura Birn, Hippolyte Girardot, François Arnaud, Patrick Bauchau
Musique : Anssi Tikanmäki
Synopsis
Nous sommes au XVIIe siècle et la reine Christine entend bien faire de la Suède le pays le plus moderne d’Europe. Élevée comme un garçon sous un strict contrôle luthérien, cette souveraine énigmatique, flamboyante et imprévisible fait face à une forte résistance dans son désir d’éduquer ses sujets et de mettre fin à la sanglante guerre de Trente Ans entre les protestants et les catholiques. Christine a du mal à vivre avec son irrésistible passion pour sa dame d'honneur, la superbe comtesse Ebba Sparre. En même temps qu’elle découvre l'amour et la passion, elle tente de comprendre l'humanité et les forces violentes qui conspirent contre elle. Déchirée entre ses aspirations politiques et personnelles, elle choisit de prendre l'une des décisions les plus controversées de l'Histoire.
Commentaires de Michel Handfield ()
Dans Beijing Carmen on n'est pas dans l'opéra, car la musique est tout autre que celle de Bizet, mais dans le caractère de Carmen. Celui qui vient de la nouvelle de Mérimée. (2) Si ne pas avoir la musique peut déranger ceux qui s'attendent à voir Carmen, elle indique aussi qu'on ne voit pas Carmen, mais bien Beijing Carmen !
Prosper Mérimée écrivain, historien et archéologue français a écrit Carmen (nouvelle) en 1845. Dans celle-ci elle est une jeune gitane. Ici elle est transposée en une Wa du Yunnan. (3) Si, dans la nouvelle originale, Carmen était manipulatrice et « utilisait ses charmes et ses atouts féminins pour arriver à ses fins » (4), c'est un caractère plus moderne de fille indépendante qui veut prendre sa place qui ressort du film. Mais, était-ce dans l’œuvre originale comme lorsqu'on relit Manon Lescaut (5) avec les yeux d'aujourd'hui? Je ne peux le dire, car je n'ai pas lu Carmen, mais j'ai lu Manon Lescaut et je ne serais pas surpris qu'il en soit ainsi : Carmen est Carmen comme Manon fut Manon. Seule notre vision a changé avec le temps. Elles étaient des filles de notre temps avant l'heure. Des précurseures.
Carmen est donc un film sur le caractère. Ici, on est face à la force de la fille et la faiblesse de l'homme qui cède à la jalousie, car il veut la posséder ! Fort intéressant et moderne. Et, que dire de Li Rui qui porte ce rôle. On est dans l'érotisme juste de la façon dont elle campe ce rôle à l'écran. Il va sans dire que j'ai aimé ce film.
Dans la même veine est la Reine garçon ! Autre femme de caractère, la reine Christine (6), qui a régné sur la Suède de 1632 à 1654 au moment où les guerres de religion divisaient l'Europe. Elle veut sortir son royaume de l'ignorance et du travail de bucheron et fait donc venir Descartes. (7)
René Descartes, qui dit que la curiosité est une richesse, est anachronique pour le peuple et l'entourage de la Reine. D'abord, pour ces luthériens, Descartes représente le pape. Quant à son entourage, tous ne sont pas prêts à suivre la reine sur cette question - « On a besoin de bras, pas de cerveau » lui dira même sa mère - ni son rapprochement avec Rome. Elle quittera d'ailleurs son Royaume en abdiquant pour son cousin qu'elle a fait son fils adoptif !
Quant à Descartes, il est mort empoisonné à l'arsenic selon de la correspondance découverte dans les années 1990. C'est d'ailleurs la thèse que reprend ce film. (8)
Lors de la période des questions, certains ont manifesté bruyamment du mécontentement parce que ce film était en anglais et non sous-titré en français. Mais, s'il fut d'abord écrit en français par Michel Marc Bouchard, duquel texte fut aussi tirée la pièce « Christine la reine garçon » jouée au TNM en 2012 (9), il fut traduit en anglais pour ce film de Mika Kaurismäki; une commande pour cette coproduction Allemagne, Canada, Finlande, et Suède. Mais, pourquoi ne pas plutôt avoir applaudit le fait qu'un auteur d'ici, qui écrit en français, peut aussi écrire pour une coproduction internationale même si elle est tournée en anglais? N'est-ce pas là un signe que la langue n'est pas toujours une barrière si chacun y met du sien. Un bon auteur, même s'il est francophone, n'a pas à être laissé de côté de nos jours avec les traducteurs professionnels qui peuvent l’assister. À l'ère de la mondialisation et des nouvelles technologies, la langue ne doit plus être une barrière et ce film le démontre.
Par, contre, et cela mérite d'être souligné, ce qui se passait à la cour à l'époque de la reine Christine était en français. Si ce film la rappelle à la mémoire, en Suède il y a toujours plus de fascination pour son père que pour elle, parce qu'existe toujours le sentiment de la trahison de leur reine qui s'est faite catholique.
Notes
1. Clin d'oeil à la chanson Femmes de rêve de Claude Dubois : www.youtube.com/watch?v=DwBFaA2Dopo
2. https://fr.wikipedia.org/wiki/Carmen_(nouvelle)
3. https://fr.wikipedia.org/wiki/Wa_(ethnie)
4. https://fr.wikipedia.org/wiki/Carmen_(nouvelle)#Personnages_principaux
5. https://fr.wikipedia.org/wiki/Manon_Lescaut
6. https://fr.wikipedia.org/wiki/Christine_de_Suède
7. https://fr.wikipedia.org/wiki/René_Descartes
8. https://fr.wikipedia.org/wiki/René_Descartes#Su.C3.A8de_et_fin_de_vie
9. Handfield, Michel, 2012-11-23, Christine la reine garçon, in
Societas Criticus, revue d'actualité et de culture, Vol. 14 no 11, Textes
ciné et culture.
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ma-pi-ma · 3 years
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Il mondo è un vasto teatro
in cui ognuno interpreta la
sua parte con la maschera sul naso.
Axel Oxenstierna
29 notes · View notes
norsesuggestions · 7 years
Note
please tell me about which swedish rulers I should fight, why and if I would win over them or not
because you said “ruler” and not monarch, i am going to take some liberaty and also discuss prime ministers, nobility and such like, which for the majority of swedens history often of equal influence and power than the monarch, or even during certain epochs, actually much more important to the rule of sweden than the monarchs:
Axel Oxenstierna, Lord High Chancellor of Sweden during the reign of Gustav II Adolf and Queen Christina (in office between1612–1654):
this dude was basically the actual de-facto ruler of sweden during Gustav II Adolfs wars, and during the youth of Queen Christina.
he famously given the credit for laying the foundation for the modern adminstative state appartus of sweden. among things he did, was creating the adminstrative län in sweden, a system still in use today.
was also a TOTAL DICKHEAD. during his rule, particulary the oppression of sami people increased. obssesed with starting wars. wanted to create and then uphold the swedish empire created by the conquering of Gustav II Adolf. in general a bad dude.
FIGHT HIM. if you will win? idk, but like, it your damn duty to fight axel oxenstierna if you are face to face with him.
(not saying that Queen Christina and Gustav II Adolf were blameless or something, but this dude is very much the one who held the reign for the practical politics of the swedish state during in particular the epoch of Gustav II Adolf constant warfare).
Per Albin Hansson, Swedish Prime Minister 1932–1936 and 1936–1946. leader of the socialist democratic party of sweden 1925–1946.
dude most famous for popularizing the concept of “det svenska folkhemmet”, a concept which was…. extremaly influential on modern sweden. and which i do not have space to explain here.
BUT, crucial to the ideology of folkhemmet was the the stable heterosexual couple. well amusingly so, Per Albin did actually have two seperate families, and two seperate wives, of which he never told anyone in the public eye about.
so please fight him, do it by mentioning this fact, and you will win i promise. do it!
Olof Palme, Prime Minister of Sweden 1969–1976, 1982-1986, leader of the socialist democratic party of sweden 1969-1986.
this dude was famous for being quick-witted and have a sharp tongue in political debates. so yes fight him, to make him happy, because political discoure was his fave thing.
then hug him, and tell him from me, and a large majority of swedens population, that we miss him very much ever sense he got murdered in 1986, and that we wish he was still with us (because then he could yell at the politics of the current socialist democratic party among things)
do not fight him seriously. just play fight with him, and then give him a loving hug (also perhaps ask who murdered him, we still have no idea in sweden to this day….).
Jean Baptiste Bernadotte [royal title, rarely used today in sweden: Karl XIV Johan], King of Sweden 1818–1844
the replacement for the heir of Gustav III, of which the parliement also disliked. found in a bar by the swedish ambassador by chance according to legend. the ancestor of the current royal family of sweden.
also, forced norway in a union with sweden, which was a major dick move. fight this dude, he was a general in napeolons army, so you will most likely lose, but do it anyway.
Oscar II, King of Sweden 1872–1907and King of Norway 1872–1905
some nobody swedish king who tried to win back the power for the royalty over the parliement. pffft. a doomed project! he was alive during the rise of the working class movements in sweden, which demanded seats in the swedish parliment, and also when it became totally clear for all that Norway would not be that damn forced union that Bernadotte forced them into, anymore.
of which the different dates he ruled sweden and norway gossips about.
old-fashioned grump, fight him. you will win, just like the dissolving of the union of norway and sweden, and the march of democracy won during his lifetime. you might say, why fight with someone who is already laying down? well, he has a very punschable face.
do it!
honorable mention: different irrelavant monarchs of sweden during the 20th, 19th century, 18th century who we do not even learn the names of in school, because they were tbh mostly, or entiraly irrelevant to the actual politics of sweden:
fight them. they are laying down i know. but do it. you will win (just as the politicans of sweden won over them in life).
Gustav III, King of Sweden, 1771–1792:
tried to not be irrelavant as the majority of the 18th century swedish monarchs were. well, he was not irrelavant, but failed entiraly in bringing back the power to the monarch, because he got ya know
murdered by the parliement because of it
but, well, because he is going to get murdered, it feels like a over-kill to actually fight him. look at a play with him or something instead! he was a fan of the arts, so just trick him into believing you are totally on his side.
then join the murder conpiracy i guess *shrugs*
Karl IX, King of Sweden 1599– 1604:
this is the father of Gustav II Adolf, which is what is mostly known for today in sweden. He was one of the many sons of Gustav Vasa, who fought among eachother for the swedish throne after Gustav Vasas death.
also known for, according to legend, dying because of the pure rage of seeing the danish army in the distance (or well heart-attack brough upon by rage at seeing the DANES).
this dude is therefore clearly very ready to fight, but you should not, because you will lose. he did after all win that power-battle between the sons of Gustav Vasa and ended up on top. so, WELL, he is clearly terrifying.
avoid Karl IX at all costs.
Göran Persson, Socialist Democratic Party, Prime Minister of Sweden 1996–2006,
Carl Bild, Moderate Party, Prime Minister of Sweden 1991–1994,
Fredrik Reinfeldt, Moderate Party, Prime Minister of Sweden 2006–2014
the triangle of evil and in general horrible swedish prime ministers of my own life-time. please fight all these guys and their neo-liberal reforms of swedish politics!
FIGHT THEM! (well not with violence literally, because these guys are all still alive, and saying such things would be threath according to swedish law i think. but you know, fight them with words and politics).
(our current prime minister, the socialist-democratic Stefan Löfven is not listed because i have not yet made up my mind about him as a person. these other 3 dudes i have a personal vendetta against!!! we will see with Löfven, if he ever shows enough personlity for anyone to figure out who he is).
Final words
so that was some of them! making this kind off list is hard for sweden, we have existed as a nation for several hundreds years. when we should start count the start of sweden remain in debate, but well, often we calculate the state of sweden from the reign of Gustav Vasa, with start in1523, but ALSO, we often include medieval sweden in our calculations and and…. its complicated? yes?
my point, there are so many people to list in the category of “rulers of sweden”, so haha, this is just a selection of some of them. we are missing the majority of them on this list!  
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tyiaunia-harris · 2 years
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Aph Ladonia 🇸🇪🕹💻🎨🖌
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Axel Claes Oxenstierna
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simple-persica · 3 years
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I need to know more about this au. It sounds awesome!
Ok hell yeah! Now when. say there's a lot there's a l o t, so I'll try to keep it concise!
The main focus of this AU has honestly shifted to Björn Køxen (Sweden, if you'd believe it) and his house called the Oxenstierna House. Björn's considered a lord as his family played a big role in the development of Tren (his home village) and they have a deity living in their property.
Björn lives in The Oxenstierna House with his husband Timo, children Hjördis, Matilda, Peter, and Axel, and their dog Kukkamuna. Matthias, Björn's stepbrother in this AU, stops by the house whenever he can and eventually starts bringing Prince Lukas and Prince Emil with him. Eventually his squire Thora and the two princesses Ida and Hekla with him, the whole family :]
Most of what some friends and I have come up with have been mostly focused on world-building and backstories, so there's not really a clear "story" yet. But the general idea is "Everybody passes through The House at one point or another and then hijinks ensue."
Here's a little peek at what deities can look like:
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Buongiorno!!! ☕
Buon venerdì e buona giornata a tutti!!! 🤗🌞
State sereni e godetevi questo giorno..
Vivetelo al meglio e sorridete..
Io penso a svegliarmi con una buona colazione e un ottimo caffè e..al lavoro..
👋👋👋🌞💖
Lucia 💓
Luli ❤️ Lu 💖🌞🌊♾️
Tutto ciò
che non contribuisce in niente
alla tranquillità dell’animo
è indegno della nostra attenzione.
- Axel Oxenstierna
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95jezzica · 3 years
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Tanker om Sveriges etternavn? 👀 Er forresten enig med Björn - synes det passer veldig bra 👌
[Translation of ask in Norwegian: " Thoughts about Sweden's surname? (I) agree with Björn by the way - (I) think it fits very well. "]
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Answer: Sure thing, and thanks!
Himaruya gave Sweden the name Berwald Oxenstierna. I've gone over my thoughts about the name Berwald in my previous post "Hws Naming Sweden", but as a short summary for those who haven't read that post (yet? 👀) :
- Even if I for various reasons personally use the name Björn instead, there's nothing inheritable wrong with the name Berwald.
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Now; This is something that's also true for his surname - Oxenstierna, and the majority of the Hetalia fandom seem to have agreed this is most likely a reference to the man Axel Oxenstierna.
Sure, it's an unusual Swedish surname, but it exists and have done so for a very long time. However, it should also be noted that the name isn't necessarily the best fit for (hws) Sweden, since Oxenstierna is a protected surname over here and a name only descendants to the Oxenstierna family are allowed to keep.
Without going too deep into details the Oxenstierna family were very high ranking nobles in Sweden, to the point that I would argue their family is as royal you could get without the actual royal title. Heck, Axel Oxenstierna was even essentially the acting regent of Sweden when Princess (later Queen) Kristina was still a minor and King II Adolf had died.
It's partly because of this that I've begun to use the surname Steilsson (Iceland's canon surname) more for (hws) Sweden over the years instead, especially in Human AUs where I don't want Sweden to be almost royal. Personally I strongly see Nor, Den, Swe and Iceland as siblings anyway - so giving them the same surname in at least Human AUs works out just fine.
Steilsson means "son of Steil", and the format of the surname is and was very common in Scandinavia. Karlsson, Andersson, Eriksson, Johansson and Svensson are just a few other examples of common surnames in Sweden, all which essentially means "son of [name]".
Sometimes I still use Oxenstierna simply because it's the name the Hetalia fandom will recognize (& I don't want to cause too much confusion since I've already changed my Sweden's first name into Björn), but when I want to joke around a bit and/or need another surname I give Sweden the surname Svensson instead.
Svensson is a very common surname here in Sweden, but since the name Sven means "the Swede" this also means the surname Svensson basically means "the Swede, the son of the Swede". And that's why my humor finds it hilarious to give (hws) Sweden the surname Svensson. xD
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In all honesty (hws) Sweden's surname is very versatile and can be adapted a lot depending on how you view the Nordics or even what kind of fanwork you're doing, such as nation-verse or Human AU. The only one I would actively recommend against is giving Sweden the surname Køhler (Den's fanon surname) or Bondevik (one of Nor's canon surnames).
Køhler because I have a very hard time imagining Sweden would ever keep a Danish surname with Danish spelling, and Bondevik because of the bad connections with the name in Norway.
Given how popular the pairing is, I will mention that in a SuFin scenario I even encourage the surname Väinämöinen over Finland taking's Sweden's surname. Väinämöinen is a powerful name I doubt (hws) Finland would want to change anyway.
[. For those who know me it's no secret I like SuFin as a pairing, but I also I feel a iffy about how many SuFin-fans still seem almost obsessed with making Finland out to be "Sweden's small, cutie, wife". <.<
Personally I think letting Finland keep Väinämöinen as his surname would also help highlight the fact Finland is Sweden's equal in a relationship, and hopefully remind people that Finland is an incredible strong and independent nation of his own. Again though, that's what I think. ]
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To summarize this long post:
Use Oxenstierna if you want, people. It isn't necessarily wrong - it just doesn't exactly fit either. Especially in human AUs when you don't want Sweden to be almost royal. At the same time it's the name most of the Hetalia fandom will recognize.
However, if you want another surname then Sweden's name is very versatile and there are many different options you can go with - a few examples being Steilsson, Svensson ("the Swede, son of the Swede" 😂 xD) or even Väinämöinen depending on what you write/draw.
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Once again a long post, but I hope you all enjoy this! 😄
Thanks for the ask, iFindus!
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Count Johan Oxenstierna (Lucas Bryant) The Girl King (2015) 22/ 22
Johan Oxenstierna: A great success, father! She's leaving with a quarter of Sweden's wealth. Ten years on the throne, Ten years of... whims. She said she never wanted to submit herself to a man now she's off to kiss the ring of the most powerful man of all. The Pope! A great success, father! I hope the Pope enjoys her company. She's only 28 years old. She has her whole life ahead of her, enough time to put the rest of Christianity through hell. 
Axel Oxenstierna: I saved Sweden. 
Johan: I saved Sweden? 
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rabbitcruiser · 3 years
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Tyresö Palace, Sweden (No. 1)
Tyresö Palace (Swedish:Tyresö slott) is a 17th-century palace in Tyresö, Stockholm County, Sweden, about 25 km south-east of central Stockholm.
The construction of the palace began in the 1620s and completed in 1636 by the Lord High Steward (Swedish: riksdrots) Gabriel Oxenstierna. He also constructed the nearby Tyresö Church (Swedish:Tyresö kyrka), which was inaugurated with his own burial in 1641.
The palace was inherited in 1648 by Maria Sofia De la Gardie, who had married Gustaf Gabrielsson Oxenstierna, nephew of Swedish Regent and Lord High Chancellor Axel Oxenstierna. Both she and her husband's family were extremely wealthy. Maria Sofia resided in Tyresö Palace, from where she managed her estates around the Baltic Sea, until 1694. Between 1699 and 1737, the writer Maria Gustava Gyllenstierna lived at the palace.
Source: Wikipedia
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linguenuvolose · 4 years
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Italian loans in Swedish: risk
The word risk has quite a fun story in Swedish (ok to be fair I wrote my thesis on loanwords so I think all of their stories are fun). Its origin in Italian seems to be a little unclear so I’ll just focus on its history in Swedish. It appears for the first time in 1626: “Att armeen icke må sättias vthi någhon fhara eller risico“ (That the army may not be put in any danger or risk), written by the king Gustav II Adolf (known for being a successful military leader, dying in Lützen and being the father of queen Kristina). During the 1600′s in general Swedish gets a lot of loanwords from Italian (often mediated through French and German), and especially during the first half of the century they are often words related to warfare (which isn’t strange considering the amount of wars going on in Europe at the time). As we can see the king spelt the word risico, which indicates it being borrowed from the Tuscan risico (compared to modern Italian rischio). In Norwegian and Danish you still say risiko but in Swedish the modern word is risk. 
Some fun ways to spell it through time have been: “resico 1632—1637. riesieco 1629. risco 1703. risico 1626—1889. risigo 1659. risk 1801 osv. risque 1742—1793″ (from SAOB). I particularly like riesieco, which was the way Gustav II Adolf’s Lord High Chancellor Axel Oxenstierna decided to spell it. 
As you can see in the 1740′s we get the French form risque for the first time (French also borrowed the word from Italian, but from the form risco), note that this form coexists with risico for about 150 years. The 1700′s was a big period for French in Swedish (and European languages in general) so it’s not strange that we would re-borrow the word in this more prestigious form. The fact that the modern spelling risk started appearing in the early 1800′s is probably related to Carl Gustaf af Leopold’s Afhandling om Svenska stafsättet (Treaty on the Swedish spelling system) from 1801 in which he argued for a more Swedish spelling of loanwords, a position followed by the Swedish Academy (of which he was a board member) when they published their first glossary (SAOL) in 1874. Leopold’s treaty was also the first ever normative spelling form that Swedish got.
Shout out to @injerigna [x] @arabskaya-devushka [x] and @theeaumiel [x] who all have made posts on loanwords and inspired me to make this post!
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