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#c'est ton anniversaire
lilie-stuffs · 6 months
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Crescent city fête ses 4 ans.
Comme chaque année, le mois d'avril est le mois anniversaire sur le forum. Pour l'occasion, un design toujours un peu différent ; des animations ; et une nouvelle intrigue. 4 années déjà que le forum a été repris en main. 4 années avec des moments de dingue, des membres adorables. 4 années avec des soucis aussi, parce que ceulleux qui ont déjà tenu un forum le savent, c'est pas toujours une partie de plaisir. Mais fin avril, ça fera 4 ans. C'est juste dingue. 4 ans de design aussi. Je ne sais pas comment je fais pour me renouveler à chaque fois xD En tout cas, joyeux anniversaire bébé ♥ @crescent-city-rpg
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logogreffe · 26 days
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How to use "même" in French : [Part 1]
1. Même = same J'ai le même livre chez moi // I have the same book at home C'est pas le même // It's not the same (one) C'est pas la même chose // It's not the same thing
2. Même = even Même ma mère a oublié mon anniversaire // Even my mother forgot my birthday N'y pense même pas ! // Don't even think about it ! Je suis tombée et je n'ai même pas eu mal ! // I fell and it didn't even hurt. Même si = even if Même s'il s'excuse, je t'interdis de l'inviter à nouveau // Even if he apologises, I forbid you to invite him again.
Children often say things like : - "Même pas mal " : it's a shortened version of "J'ai même pas eu mal" = it didn't even hurt [you say this to look brave, and most of the time it did actually hurt] - "Même pas peur" : shortened version of "J'ai même pas eu peur"= I wasn't even scared - Même pas cap ! : shortened version of "tu n'es même pas capable [de le faire] !" (lit translation : You can't even [do it] !) = Dare you ! 3. Soi-Même = oneself/yourself moi-même = myself toi-même = yourself lui-même/elle-même = himself / herself nous-même = ourselves vous-même = yourselves eux-même = themselves (when the subject isn't defined you'll have to use "soi-même") Cette sculpture est magnifique, tu l'as faite toi-même ? // This sculpture is beautiful, did you make it yourself? Il y a certaines choses dans la vie qu'il faut faire soi-même // There are certain things in life you have to do yourself Etant moi-même mère de deux enfants, je sais de quoi elle parle // As a mother of two myself, I know what she's talking about.
4. Other expressions with "même" En ce moment même = in this very moment En ce moment même, ils ne sont que 3 à la cérémonie // In this very moment, there are only 3 of them at the ceremony. Au moment même... = just as... / in the very moment... Au moment même où j'ai fini ma phrase, la porte s'est ouverte // Just as I finished my sentence, the door opened. Au moment même où je t'écris, ton avion a surement déjà décollé // In the very moment [by the time ?] I write this, your plane has probably already taken off au même moment = meanwhile / at the same time Ce samedi 24 août à 21h les cloches des églises parisiennes sonneront toutes au même moment. [X]// On Saturday 24 August at 9pm, all the churches in Paris will ring their bells at the same time. Au même moment, dans le village d'à côté, la fête bat son plein // Meanwhile, in the village next door, the party is in full swing. même au moment... : even at the time.../even when.. Même au moment de partir elle trouve le moyen de me mettre en colère // Even when it's time to leave, she finds a way to make me angry. le jour même = the very day, on the very day Le jour même de ma naissance, le toit de la maison a pris feu // The very day I was born, the roof of the house caught on fire le soir même = the very evening, on the very evening Le soir même, ses valises étaient prêtes // That same evening, her/his suitcases were packed. en même temps = at the same time J'arrive à faire deux choses en même temps // I can do two things at the same time. Note : "en même temps" can also mean "then again" En même temps, c'est pas de ma faute si je suis en retard, Gregoire ne sait tout simplement pas lire une carte // Then again, it's not my fault if I'm late, Gregoire simply can't read a map ! En même temps que... = at the same time as ... Elle est arrivée dans la pièce en même temps que lui // She arrived in the room at the same time as he did.
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sabinerondissime · 3 months
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Weekend ! Ce soir c'est réunion de famille presque au complet, pour fêter, avec quasiment un mois d'avance, les 31 ans de ma douce. Quand ton enfant né au mois d'Août, tout le monde est en vacances le jour de son anniversaire, même elle, mon petit pigeon voyageur, qui sera quelque part au Portugal ce jour-là . Seul absent, mon 3em, qui est bénévole au festival Les nuits de l'Erdre. Donc là, je profite d'un peu de calme avant la tempête même si, n'étant pas du genre à me prendre la tête, ce sera simplement un apéro dînatoire, avec un gâteau fait par ma super belle-fille pâtissière, bien entendu !
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theungracefulpasterie · 3 months
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Second part of @imaushisimp 's request !
A/N : Sorry for the long time I took, I got a lot of exams and I had a hard time finding inspiration. Anyways, hope you'll like it !! (It'll still be in French as you have requested)
P.O.V : You throw a surprise party for him (Dazai)
Warning : get a tiny tiny bit heated towards the end.
Dazai
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Ça fait 2 ans que tu fais partie de l'Agence, 2 ans qu'un certain homme parsemé de bandages sur tout le corps est entré dans ta vie. L'année dernière, lors de votre anniversaire, c'est Dazai qui a tout organisé. Mais cette année, tu as décidé que c'était ton tour de faire de cette journée la meilleure. Tu décida donc de faire de cette fête une surprise et de convié tout les membres de l'Agence.
~~little timeskip~~
Tu avais tout prévu. Vous alliez passer toute une après-midi à fêter votre amour avec tout vos amis, puis une balade au parc entre amoureux au crépuscule pour admirer le coucher du soleil et enfin pour finir la soirée chez toi.
"Bon, c'est quand que je peux voir ?", dit-il impatiemment. Tu lui avais mis les mains devant les yeux et essayait de le guider tant bien que mal à le guider jusqu'au bureau.
"Oh mais attends !!", tu soupiras parce que t'avais l'impression de parler à un enfant. Vous étiez enfin arrivé devant la porte et tu lui enlevas tes mains de ses yeux. "C'est bon, tu peux ouvrir la porte !".
Il ouvrit la porte quand tout le monde cria "Surprise !!" et sauta sur lui, à ça de l'écraser au sol avec leur poids. Tu éclatas de rire et il se leva endolori.
"C'est pas drôle !", dit-il en faisant semblant de faire des yeux de chien battu pour attiser ta pitié. Il reprena son air sérieux et admira toute la décoration. "C'est... c'est toi qui a fait ça ?", dit-il en te regardant comme si il te croyait pas.
"Et oui ! Avec l'aide de tout le monde bien sûr...", tu répondis en regardant ailleurs et en rougissant. Dazai venu vers toi, entoura ta taille avec un de ses bras et te pris par le menton et approcha son visage du tien et dit d'une voix suave et séducteur comme il sait bien le faire : "C'est magnifique, ça te reflète parfaitement chéri." Et il t'embrassa tendrement. Tu entouras tes bras autour de son cou et tu te laissas faire par ce baiser envoûtant. Tout le monde sifflait et vous disait de réserver pour ce soir, à quoi tu leur répondis tout rouge "CE N'EST PAS VOS AFFAIRES !!".
Vous passiez une après-midi fabuleuse avec tout le monde quand tu remarquas que le ciel était déjà d'un orange doré. "Osamu, ça te dit une balade au parc ?", demandas-tu en lui tendant ta main. Il la prit et se leva. "Avec plaisir, mon amour~", répondit-il, plus amoureux que quiconque. Ton cœur palpitait tellement il était sexy en paroles et en apparence. Tu pouvais pas croire que la vie t'avait béni avec un homme comme ça.
Vous marchiez dans le parc main dans la main, en parlant de tout et de rien et en admirant la nature. Ce que Dazai aimait chez toi était ton amour pour la nature, c'était peut-être le seul domaine dans lequel tu le dépassais, lui et son gros cerveau. Et c'était ça le problème, tu savais que son intellect le permettait de prédire carrément l'avenir.
Vous vous asseyez donc sur un banc, admirant le coucher du soleil. Tu posas ta tête sur son épaule et lui dis :
"Tu le savais depuis le début pour cette surprise, hein ?"
Après quelques secondes, il disa avec de l'embarras dans sa voix :
"Haha... malheureusement...", il était également très nerveux. "Mais pour être honnête, même si je l'avais déjà prévu, les moments qu'on a passé ensemble et avec tout le monde m'ont beaucoup touché et ça, tu vois, c'est quelque chose que je n'arrive jamais à prédire."
Tu lui souris et répondis :
"Merci d'avoir jouer le jeu, vraiment... c'est ça que j'aime chez toi, Osamu. Même si tu sais déjà ce que je veux faire avec toi, tu ne laisses jamais ton intelligence gâcher le moment et tu laisses libre cours à tes sentiments et aux sentiments des autres. Et ça, je te suis à jamais reconnaissant. Je t'aime, Osamu."
Il sourit à ta réponse et te regarda tendrement.
"Moi aussi je t'aime." Il posa ses mains sur ton visage et t'embrassa. Il inséra sa langue dans ta bouche et domina ta langue. Tu te laissas faire et vous commenciez à vous allonger sur le banc, Dazai au-dessus de toi, continuant à te rouler une pelle. Ton pantalon commença à devenir trop inconfortable au niveau de ton entrejambe, pareil pour Dazai. Quand tu te rendis compte que ça commençait à devenir torride et que vous étiez encore en public, tu te rappellas de la dernière étape de ta surprise. Tu séparas tes lèvres des siennes, à son grand désarroi, et dis :
"Chez moi ?~"
Il sourit sournoisement et répondit :
"J'ai cru que tu le demanderais pas~"
A/N : At last, it's over !! My first time writing a more heated story, I'm not too good at this yes but I wanted to try, so I would like feedback ! Don't hesitate y'all to request more things, I'd be happy to make them !!
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selidren · 5 days
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Automne 1924 - Champs-les-Sims
3/3
J'aurai du également vous le dire au début de ma lettre, mais il se trouve que je vais sans doute organiser mon mariage sous peu. Oui, je sais bien que je suis encore très jeunes, mais je suis aussi très amoureuse de Jean. Et si cela peut me faire échapper à un mariage arrangé par ma grand-mère (oui c'est d'un autre temps, mais elle en est tout à fait capable, d'ailleurs, elle est elle-même d'un autre temps), je ne vois pas où serait le mal. Après tout, comme me l'a répété mon père lors de mon anniversaire, c'est à présent à mon tour de produire le prochain maillon de la chaîne : un héritier. Grand-Mère lui a drôlement bien appris sa leçon. Serais-je la même un jour ? A sermonner mon fils ou ma fille pour qu'il ait des enfants au plus vite ? Je ne l'espère pas, d'ici là je prie pour que les temps aient changé.
J'attends avec impatience de vos nouvelles.
Noé
Transcription :
Jean « Tu es magnifique ! Cette coupe te va bien mieux qu’à Cléo ! »
Arsinoé « Tu trouves ? Quand j’ai vu les mèches par terre, j’ai presque été prise de vertiges. J’ai regretté, mais trop tard. »
Jean « Ne regrette pas, c’est inutile. Ton visage est vraiment mis en valeur. »
Arsinoé « Je n’en peux plus d’attendre la fin de ces rencontres clandestines dans l’obscurité. »
Jean « Et sous la pluie pour couronner le tout ! »
Arsinoé « Pour te voir, j’affronterai les pires tempêtes ! Qui se préoccupe de quelques gouttes franchement ? »
Jean « Moi. Tes robes toutes neuves vont être trempées, et tu risques de tomber malade de plus. Et puis je vois d’ici que tu frissonnes. »
Arsinoé « Alors tiens moi chaud ! »
Arsinoé « Je ne comprends pas pourquoi tu as quitté la Butte au Chêne. On ne voit bien moins qu’avant, et la paie était pourtant meilleure. »
Jean « J’avoue que fréquenter la patronne est plutôt avantageux pour ma fiche de paie, mais ça me mettait trop mal à l’aise vis-à-vis des gars. Et puis, je n’ai pas envie de bénéficier d’un traitement de faveur, je ne le mérite vraiment pas. Non, crois moi. C’est mieux de travailler à l’épicerie. »
Arsinoé « Kleber est un ami de mon frère, tu le sais ? »
Jean « Vous avez des amis partout Noé ! En tous cas, il me fait trimer comme un galérien, mon argent est bien mérité. »
Arsinoé « Et de toute façon, quand nous serons mariés, tu travailleras avec moi à diriger l’entreprise. »
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Pour toi Papa ❤️
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Je me rappelle encore de chacun de tes anniversaires passés en famille… Il faisait toujours un temps magnifique… Et heureusement comme ça nous pouvions immortaliser de beaux instants… Et dieu sait que c'était important…
Oui, très important mais quand on est jeunes on a tendance à être insouciants et à ne pas trop s’apercevoir du temps qui passe irrémédiablement trop vite…
Aujourd’hui, je sais plus que jamais que le temps est précieux et qu’il faut savoir le savourer tant qu’on peux…
Et encore plus depuis que tu n'es plus là… Mais comme tu vois je ne t’oublie pas et je pense toujours à toi…
Tu me manques Papa…
Et en même temps c'est comme si tu étais toujours là près de moi…
Je me souviens encore de ton regard vert irisé tourné vers la mer méditerranée… Celle que tu admirais longuement et qui devait très certainement te rappeler ton passé à Madagascar…
Tu ne disais rien dans ces moments-là mais moi je pouvais ressentir ta nostalgie, ta gratitude aussi d’avoir pu connaître cette grande île de l’océan Indien durant de si nombreuses années…
Aujourd'hui avec du recul je comprends mieux… Oui, je comprends tout…
Tu avais un âge où on a forcément peur de disparaitre comme ça du jour au lendemain…
Un âge où on apprend à savourer pleinement le temps sans pour autant courir après lui…
Un âge où on aurait envie de retourner soudainement dans le passé pour retrouver cette Jeunesse perdue...
Mais toi tu savais mieux que personne que l'âge n'est qu'un chiffre...
Car oui tu avais cette éternelle jeunesse qui rayonnait en toi tel un soleil dans ce joli bleu du ciel...
Saches que dans cette vie, tu auras laissé ton empreinte mon Papa … Cette jolie empreinte éternelle que je porte désormais en moi car tu resteras pour toujours dans mon Cœur…
Oui, tu resteras mon Amour de Papa...
Ta fille Cécile qui t'aime ❤️
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Tu adorais écouter cette jolie chanson... Elle te rappelait de merveilleux souvenirs...
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uneessencesensible · 4 months
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N°1476 – Samedi 14 juillet 2018
Jeudi 12 juillet.
« - Tu n'y as pas pensé toi ? - Penser à quoi ? - À souhaiter son « anniversaire ». - Quel anniversaire ? - Celui du dix juillet. - Tu parles d'un anniversaire toi. - Bah si, c'est comme une résurrection pour ton père. Il est comme Dieu. »
               
Ce soir.
Un anniversaire... Non, pour moi, un anniversaire de résurrection comme tu dis, c'est un moment où tu te dis « J'ai failli le perdre, mais heureusement, il est là ». C'est un moment où tu remercies la vie de lui avoir donné une seconde chance. Une seconde chance que la personne ait su saisir. Non, pour moi, nous en sommes très loin. Nous lui avons sauvé la vie et tout ce qui nous avons eu comme remerciements, ce ne sont que des pleurs, de la violence, de la vulgarité. Des faits tragiques dont on aurait pu se passer, après ce que nous avons traversé quelques années auparavant. Comme si ce n'était pas assez, il en a rajouté une couche. Plus épaisse. Plus lourde. Plus difficile à gérer et à digérer.
[...]
. Je sais que tu prends énormément sur toi. J'en ai conscience tu sais. Je fais de même. Pour toi. Pour que je sois à peu près bien quand je te laisse seule avec lui. Mais franchement, j'aurai aimé le voir comme un dieu. Ou juste ressentir quelque chose de positif pour lui. J'aimerais ressentir de l'affection. Mais je n'y arrive pas. Je ne ressens même pas un dixième de ce que je peux ressentir pour toi. C'est vide. Ce n'est pas simple de s'avouer cela. D'avouer que nous ne n'aimons pas réellement un parent. Voire pas du tout. Ce n'est pas une place facile à prendre. Facile à accepter au départ, quand on se rend compte que l'on préfère être loin de la personne qu'être tout prêt d'elle. Mais c'est ainsi. Je dois vivre avec.
Edit : Aujourd'hui, je vis -mieux- tout ce foutu passé. Bien que je suis une thérapie à cause de tous ses gestes, ses paroles, j'avance peu à peu. Ceci dit, sa présence m'est toujours aussi irritable. Je crois bien que ça, ça ne changera jamais.
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ascle · 10 months
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✨ @edith1962 day ✨
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Bon ben... il ne reste plus de dodo 😄.
Je sais que tu es une personne très généreuse, je vais donc en profiter. Cette année, j'utilise ton anniversaire pour ME faire un cadeau.
Je voudrais un an de plus. De tes conneries, de tes "roll eyes", de ta fausse exaspération devant ma Xième remarque sur le fait que Carole est parfaite (je sais qu'au fond tu sais qu'elle l'est), de plateau de charcuterie en ta compagnie et d'encouragement de vos fiers brasseurs français. Un an de plus de ton amitié qui chaque jour me fait réfléchir (oui oui ça m'arrive), me fait grandir, me fait rêver.
Au même titre qu'après un show de Charlebois on demande un rappel, parce que quand c'est exceptionnel on en veut toujours plus, je voudrais un an de plus.
Ma sisternasse je te lève mon verre! Je te souhaite un très bon anniversaire! Merci de m'avoir enduré cette dernière année et de signer pour un an de plus.
Cheers connasse! 🍻
Et comme on dit au Québec:
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lesenfantsdefaust · 3 months
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Hâte d'être à demain et qu'on me dise "j'ai trop réfléchi pour ton cadeau d'anniversaire, il est parfait pour toi tu vas A-D-O-R-E-R!"
Et de recevoir des miniatures Yves Rocher ou un "cadeau" qui COMME PAR HASARD ne me plaira pas et que la personne la récupère, comme c'est "dommage".
Dire que je m'emmerde à faire des beaux cadeaux, je suis joie d'en recevoir d'aussi médiocres (oui, j'ai plus 14ans, recevoir un coffret Yves Rocher de merde ou des objets que l'autre sait qu'il va le récupérer... C'est se foutre ouvertement de ma gueule).
J'aime pas fêter mon anniversaire, y a entre autre cette raison.
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sijexistemaintenant · 4 months
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Dear FuturMe
Hey ! je sais pas comment tu vas, d'ailleurs comment tu vas ? bien, mal ou t'en sais rien ? ou tu t'en fous ? parce que personnellement j'm'en fous pas. J't'assure la connerie c'est rien, l'inconscience c'est rien. Et arrête de dire "j't'emmerde", ou des trucs du genre. Non tu m'emmerdes pas, tu m'aimes plutôt bien. J'sais qu't'as la haine ou que tu l'as pas assez, que tu creves d'envie d'exploser des gens. Et j't'assure c'est rien, peut importe ce qu'il se passe c'est rien. T'as quartoze ans maintenant, et t'as spécialement grandit, t'es juste toi. Tu pars pas en couilles, c'est juste qu'tu marches pas droit, pourtant j't'assure c'est rien. Je sais rien, oui c'est vrai. Mais j'te jure c'est rien. Tu sais, des fois faut mettre son cerveau off, son corps off, et m'laisser porter comment on le sent. Ça sert à rien, d'vouloir tout prédire, tout bien faire, quand les erreurs sont mieux qu'la vie en elle même. J'aimerais bien t'offrir du redbull, une clope, mais tu sais très bien qu'j'ai pas d'fric. Et si tu vas bien, le monde va bien, avec bienveillance, ton toi oublié.
( Écrit à 13 ans pour mon anniversaire des 14 ans, des années plus tard ça me percute quand même, encore)
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des-paroles · 1 year
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Dernières fois
Toi la dernière fois, 1 bar à cocktails, 1 anniversaire, ta tristesse soudaine, et puis ton sourire éblouissant. Je revois la beauté de ton visage, tes cheveux bruns, la couleur de tes yeux clairs, ta silhouette menue, je te revois comme une photo immortelle dans mon cœur en pleurs. Tu me manques, définitivement.
Toi la dernière fois, 1 parc, tu fuis mon regard, c'est fini, tu souhaites un baiser d'adieu, je refuse et te tourne le dos, définitivement.
Toi la dernière fois, la maison de retraite, je caresse tes cheveux soyeux, noirs et gris, fraichement lavés, tu me demandes des nouvelles de mon fils, et nous nous sourions, paisibles, définitivement.
Toi la dernière fois, le bouquet de roses rouges, devant la porte, que je referme sur nos souvenirs, définitivement.
Toi la dernière fois, impotente dans ton fauteuil, toujours joyeuse, ton sourire et tes blagues, définitivement.
Toi la dernière fois, tes affaires jetées dans le couloir, ma fureur, sors de ma vie, définitivement.
Toi la dernière fois, amie pour toujours, mon déménagement, nos pleurs, je t'ai retrouvée, définitivement.
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marie-swriting · 1 year
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Il Sera Là | Dans Ma Vie À Nouveau - Bradley "Rooster" Bradshaw [2/2]
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Top Gun Maverick Masterlist
Partie une
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : dix ans plus tard, Bradley veut s'excuser pour la façon dont ça s'est terminé entre lui et toi.
Warnings : se passe après Top Gun Maverick, Mitchell!reader, angst, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.6k
Chanson qui m'a inspiré : The Last Time (Feat. Gary Lightbody of Snow Patrol) (Taylor's Version) par Taylor Swift
Après avoir passé plusieurs heures à travailler sur l’avion P-51 Mustang de Pete, ce dernier et Bradley vont se rafraîchir dans la cuisine de Pete. Bradley s’assoit pendant que Pete ouvre le frigo à la recherche de deux bières. Les yeux de Bradley se posent sur une photo accrochée au mur. Il regarde avec nostalgie le cliché de son huitième anniversaire, son gâteau en face de lui et toi à ses côtés. Tous les deux, vous avez un grand sourire aux lèvres, ignorant ce que le futur vous réserve. Son cœur se serre quand Bradley se rappelle qu’il n’aura plus jamais l’occasion de voir ce sourire radieux sur ton visage quand il est à tes côtés. 
Pete posant une bière en face de lui le sort de ses pensées. Il le remercie et prend une gorgée, les yeux retrouvant leur chemin sur la photo, malgré lui. 
-Tu sais, commence Bradley en attirant l’attention de Pete, ce jour-là, il y a un moment où Y/N n’était plus à mes côtés alors je suis allé la chercher. Je l’ai retrouvée cachée dans mon placard, les larmes aux yeux. Quand je lui ai demandé ce qui lui arrivait, elle m’a juste dit de ne pas m’occuper d’elle, que je devais rester avec mes autres amis. Je lui ai dit que je m’en fichais d’eux, surtout parce qu’elle avait besoin de moi à ce moment-là. C’est là qu’elle m’a avoué qu’elle avait peur de me perdre, car j’avais rencontré des amis de mon âge qui allaient la remplacer. J’arrivais pas à croire qu’elle avait osé penser à ça ! s’exclame-t-il en ouvrant grand les yeux. Dans ma tête, c’était une évidence que jamais je ne l’aurais remplacée, peu importe à quel point je m’entendais bien avec mes amis donc je lui ai assuré qu’elle ne me perdrait jamais, que je serais toujours à ses côtés. Quoiqu’il arrive. Je lui ai fait la promesse et ça fait dix ans que je brise cette promesse, murmure Bradley en regardant en bas. 
-Tu as essayé de lui reparler ? demande Pete après quelques secondes. 
-Ouais, pleins de fois au fil des années. La première fois, c’était un an après notre séparation. Je n’étais pas loin de sa fac, alors je suis allé la voir. Pour te la faire courte, elle m’a envoyé balader. La dernière fois date d’il y a une semaine quand elle est revenue. J’ai eu le droit à la même réaction.
-Je suis sûr qu'elle a juste encore besoin d’un peu de temps, le rassure Pete en posant sa main sur l’épaule de Bradley. Je pensais que jamais tu ne me reparlerais et regarde nous ! Les choses peuvent s’arranger. Le lien que vous aviez était fort, Bradley, affirme-t-il.
-J’ai du mal à y croire, elle me hait. Et n’essaye même pas de me dire le contraire, ajoute Bradley en voyant Pete sur le point de parler.  Elle me déteste et c'est compréhensible, admet-il, tristement. Elle n’avait rien à faire dans cette histoire et pourtant je l’ai autant tenue pour responsable. Et le pire, c’est qu’elle m’avait prévenu, précise-t-il en prenant une nouvelle gorgée. Il y a pleins de fois où elle m’avait dit que je devais me reprendre et arrêter de ruiner notre relation à cause de ma colère envers toi et je ne l’ai pas écoutée. Je l’avais prise pour acquise donc j’ai continué à merder jusqu’à ce qu’elle en ait marre et j’en paye le prix depuis dix ans, s’exclame Bradley amèrement. Tu sais, j’ai fini par accepter le fait que je n’aurai jamais son pardon, mais j’aimerais pouvoir m’excuser correctement. Je veux juste lui dire à quel point je regrette comment c’est fini notre relation, peu importe si elle me répond ou si elle m’insulte. C’est peut-être trop tard, mais elle mérite que je répare mes erreurs, peu importe si elle me pardonne.
-Je peux lui parler si tu veux. Je peux la convaincre de t'écouter. 
-Non, ne lui dis rien, refuse Bradley après avoir bu. Si elle doit m'écouter, je veux que ça soit de son plein gré et pas parce que tu lui as demandé. 
-Comme tu veux, concède-t-il, à contrecoeur. 
Les deux hommes restent silencieux pendant un moment, appréciant leur boisson. Bradley arrive enfin à détacher son regard de votre photo, regardant dans le vide.
-Tu l’aimes toujours, n’est-ce pas ? demande Pete, ramenant les yeux de Bradley sur lui.
-Je l’aimerai toujours. Elle était ma première amie et mon premier amour. Elle aura toujours une place dans mon cœur, même si je n’ai plus ma place dans le sien depuis longtemps. Elle me manque tellement, Mav’, si tu savais, confesse Bradley, les larmes aux yeux.
-Elle ne l’avouera jamais, mais tu lui manques aussi. Bradley, je te promets que les choses s’arrangeront entre vous deux. 
Bradley prend une dernière gorgée de sa bière, espérant faire redescendre les larmes et le nœud qu’il a dans la gorge. Au même moment où il repose sa bouteille, la porte d’entrée s’ouvre. Il sait que c’est toi alors il se dépêche de se lever. Il ne veut pas te donner plus de raison de le détester par conséquent, il essaye de ne pas trop te croiser, même si son coeur ne demande que ça. Tu rentres dans la cuisine en parlant de ton après-midi avec Penny et Amelia à ton père jusqu’à ce que tu découvres Bradley. Instantanément, tu te braques et lances un regard noir à ton ancien meilleur ami. Bradley vous salue rapidement avant de partir. Pete lève les yeux au ciel face à ton comportement.
-Quoi ? Je ne lui ai rien dit, te défends-tu en cherchant quelque chose à boire dans le frigo.
-C’est tout comme.
-Ecoute, ce n’est pas parce que tu lui as pardonné que je dois être sympa avec lui, rétorques-tu en fermant le frigo, n’ayant rien trouvé d’intéressant. Contrairement à toi, je n’ai pas oublié la façon dont il nous a traités, la façon dont il nous a coupés de sa vie.
-Je n’ai pas oublié non plus.
-Ah bon ? Parce qu’on dirait. On dirait que tu as oublié toute la douleur qu’il nous a causée, qu’il m’a causée, toutes les nuits où j’ai pleuré à cause de lui, toutes les nuits où tu as dû me tenir dans tes bras pendant que je versais toutes les larmes de mon corps. 
-Je m’en rappelle très bien, admet Pete en essayant de rester calme, mais Y/N, il a changé, d’accord ? Et puis, il était en plein deuil, il était blessé, énervé et jeune…
-Jeune ? l’interromps-tu, outrée.  Il avait vingt-cinq ans ! C’était un adulte, il savait très bien ce qu’il faisait. 
-D’accord, il a ses torts également, mais il s’en veut vraiment pour la façon dont il t’a blessé. Tu pourrais au moins l’écouter, suggère-t-il et tu lèves les yeux au ciel.
-Et il t’a écouté quand t’avais essayé de t’expliquer ? Il t’a envoyé balader. Je vois pas pourquoi je ferais un effort. Et puis, en tant que mon père, tu ne devrais pas plutôt me dire que je dois rester loin de lui ?
-Pas quand je sais ce que vous représentez l’un pour l’autre.
-Il ne représente plus rien pour moi. Et ce depuis longtemps, affirmes-tu. 
-Ce n’est pas vrai et tu le sais. 
-Je ne comprends pas pourquoi tu insistes autant. 
-Je suis responsable de votre dispute. 
-Il a merdé de lui-même, corriges-tu, les larmes te montant aux yeux. Il est celui qui a laissé sa colère déteindre sur notre relation. Il est celui qui s’est éloigné de moi. Il a tout ruiné de lui-même. 
-C’est vrai, mais tu ne peux pas nier que si je n’avais pas bloqué ses papiers, vous seriez encore ensemble. Ça se trouve, à l’heure actuelle vous seriez même mariés avec un gosse !
-Wow, on va pas aller jusque là quand même, déclares-tu, choquée. Si, lui, il n’avait pas tout ruiné, on serait sûrement encore ensemble, certes. Le fait est que tu n’es pas responsable. Ecoute, je suis contente de voir que vous avez réglé vos différends, mais ça ne sera pas le cas pour moi. Bref, on va en rester là, ordonnes-tu en croisant les bras sur ta poitrine. Je ne veux pas me disputer avec toi, il ne me reste que deux semaines avant de rentrer chez moi.
-Ce que tu peux être têtue ! soupire-t-il.
-Je tiens ça de mon père, lui souris-tu.
-Parfois, j’aimerais que ça soit pas le cas. 
Tu lèves les yeux au ciel en lâchant un petit rire et commences à quitter la pièce. 
-Il est revenu pour moi, confesse Pete, t’arrêtant dans ton mouvement.
-De quoi tu parles ?
-A ma dernière mission. 
-Je croyais que c’était Hangman, dis-tu, les sourcils froncés. 
-Hangman est venu nous sauver quand on allait rentrer. Bradley, quant à lui, avait pour ordre de m’abandonner quand je me suis sacrifié pour lui. Mais il est revenu. Il n’a pas écouté et il est revenu. Sans lui, je n’aurais sûrement pas pu quitter le territoire ennemi. 
-Pourquoi tu ne m’as pas dit ça avant ? demandes-tu doucement.
-Bradley m’a demandé de ne pas le faire. Il ne voulait pas que tu penses qu’il avait fait ça par intérêt. 
Tu restes silencieuse pendant quelques instants, assimilant la nouvelle information. Tu ne peux t’empêcher de ressentir de la reconnaissance envers Bradley, même si ta colère est toujours présente. 
-C’est bon à savoir qu’au moins, dans les airs, il couvre tes arrières, déclares-tu en quittant les lieux.
Pete soupire en te voyant partir. Il sait qu’il a promis à Bradley de ne pas s’en mêler - même Penny lui a dit de rester en dehors de votre histoire, mais c’est plus fort que lui. Toi et Bradley étiez amis depuis ta naissance. Il n’aurait jamais imaginé qu’un jour, vous auriez arrêté de vous parler, surtout à cause de lui. C’est pourquoi il n’arrive pas à rester silencieux. Il a peut-être été la cause de votre conflit, mais il veut être la raison de votre réconciliation. De plus, il sait qu’il peut te raisonner et avec cette dernière information, il espérait pouvoir te faire changer d’avis. Pete ne peut s’empêcher d’avoir un pincement au cœur en comprenant que ça n’est pas le cas.
Cependant ce que Pete ne sait pas, c’est que votre discussion t’a effectivement affecté. Cette nuit-là, il t’est impossible de t’endormir. Les mots de ton père et ton histoire avec Bradley se rejouant sans cesse dans ta tête. Tu n’arrêtes pas de te retourner dans ton lit, espérant désespérément que ton cerveau se mette sur pause. 
Quand tu n’en peux plus, tu allumes ta lampe de chevet et te lèves de ton lit. Tu marches jusqu’à ton placard et l’ouvres. Tu prends une grande inspiration avant de décaler une pile de vêtement dans le coin du placard jusqu’à trouver une boite. Tu ne l’as pas ouverte depuis des années. Quand tu as commencé à faire le deuil de ta relation avec Bradley, tu as mis toutes les photos, lettres ou autre objet te rappelant ton ancien petit ami dans cette boite. Tu étais encore trop attachée à lui pour tout jeter, mais trop blessée pour tout garder à tes côtés.
La boîte en main, tu t’assois par terre et l’ouvres. Les larmes te montent aux yeux quand tu tombes sur la photo de ton bal de promo - si ton cœur ne te faisait pas aussi mal, tu rigolerais de ta robe. Sur cette photo, vous vous regardez amoureusement. Tu aimerais retourner à ce moment où tout était plus simple. Tu poses la photo à côté de toi et continues à regarder les autres clichés d’anniversaire, de sorties, de voyages que vous avez faits à différents âges. Tu arrives à garder les larmes aux yeux jusqu’à ce que tu relises la lettre qu’il t’a écrite pour ton dix-huitième anniversaire. À ce moment-là, ça devient trop pour toi alors prestement, tu ranges tout et retournes dans ton lit. 
Bien évidemment, tu souffres encore de votre rupture. Bradley était la personne la plus importante pour toi, mais tu ne peux pas passer au-dessus de la façon dont tout c’est fini. Avec ce que ton père a pu te dire, Bradley a l’air d’être redevenu le Bradley que tu aimais, mais tu ne veux pas risquer une nouvelle déception. 
Pour la première fois depuis dix ans, ton cœur semble partagé entre rester en colère contre Bradley et l’écouter. Tu tentes de te raisonner, en te remémorant pourquoi tu lui en veux, mais ça devient compliqué. 
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Assise au restaurant proche de Top Gun, tu finis de dire ta commande au serveur. Quand il s’en va, tu récupères ton téléphone et envoies un message à ton père pour le prevenir que tu as commandé. Tu es censée manger avec Pete qui a plus de trente minutes de retard et honnêtement, tu commences à avoir faim. Tu ne t’inquiètes pas de voir que tu n’as pas de réponse, sachant qu’il n’a sûrement pas encore fini de travailler. 
En attendant ton plat, tu continues de regarder ton téléphone jusqu’à ce que l’hôtesse vienne vers toi. T’attendant à voir ton père, tu poses ton téléphone en souriant. Toutefois, ton sourire disparait en voyant Bradley. La femme vous souhaite de passer un bon repas avant de vous laisser seuls. Bradley est mal à l’aise à cause du regard que tu lui lances.
-Qu’est-ce que tu fiches ici ? questionnes-tu, séchèment. 
-Euh, je suis censé manger avec Mav’.
-Non, je suis censée manger avec lui et…, commences-tu avant de comprendre la situation, j’arrive pas à croire qu’il ait fait ça, soupires-tu, faisant froncer les sourcils de Bradley. Il nous a piégé pour être sûr qu’on se voie. Ecoute, j’ai déjà commandé et je suis sûre qu’il ne te reste pas beaucoup de temps avant de reprendre donc on peut manger ensemble.
-Ça ne te dérange pas ?
-C’est juste pour un repas, dis-tu pendant qu’il s’assoit. En tout cas, tu es toujours ponctuel, commentes-tu, sarcastiquement et Bradley te regarde, perdu. Je devais retrouver mon père à midi. Tu as trente minutes de retard, informes-tu en regardant tes notifications de téléphone.
-Il m’a dit qu’il avait reservé pour et demi.
-Il a vraiment pensé à tout.
Le serveur te donne ton plat puis prend la commande de Bradley avant de retourner en cuisine. 
Tu commences à manger ta nourriture silencieusement. Bradley n’arrête pas de bouger sur son siège, ignorant comment agir avec toi. Tu n’aimes pas la tension palpable non plus, tu es dans la même situation que lui. Autrefois, vos conversations n’avaient jamais vraiment de fins, un sujet faisait toujours son apparition naturellement. Maintenant, tu tournes ta langue sept fois dans ta bouche, ne voulant pas créer un moment encore plus embarrassant. 
Vous restez dans ce silence pesant jusqu’à ce que le serveur apporte le plat de Bradley. Bradley soupire de soulagement, ayant enfin quelque chose à faire au lieu de rester mal à l’aise. Quand tu as fini de manger, tu prends une gorgée de ton verre d’eau avant de parler. 
-Mon père m’a dit ce que tu as fait pour lui lors de votre dernière mission. Merci d’être revenu pour lui. 
-Tu n’as pas à me remercier. Je n’aurais jamais pu abandonner Mav’ là-bas, déclare Bradley, sincèrement. 
Tu lui souris rapidement et Bradley considère ce début de conversation comme une petite victoire. Il est reconnaissant envers Pete pour son aide, même s’il ne l’a pas écouté. Bradley se dit que ce moment est peut-être sa seule opportunité pour réparer ses torts avec toi alors il finit de mâcher le bout de viande qu’il a en bouche et éclaircit sa gorge pour attirer son attention.
-Y/N, est-ce que je peux te parler ? Tu n’as pas besoin de dire quoique ce soit. Je serais heureux si tu m’écoutais tout simplement.
-Vas-y.
Bradley prend une profonde inspiration avant de plonger ses yeux dans les tiens et de commencer à parler : 
-Ecoute, je sais que j’ai merdé avec toi. Je m’en voudrais toujours pour la façon dont on s’est séparés. J’aurais dû venir à ton anniversaire et...
-T’es sérieusement sur ça ? questionnes-tu, de manière incrédule. Bradley, c’est pas ce qui m’a le plus…
-Je sais que ce n’est pas le pire, t’interrompt-il, sachant ce que tu allais dire. Je sais que ton anniversaire n’est pas ce qui t’a le plus blessé, le fait est que c’était ton point de non retour. Si j’étais venu, peut-être qu’on aurait pu trouver une solution, peut-être qu’actuellement on ne serait pas dans cette situation. Je suis désolé pour ce soir-là, je sais que je t’ai blessé en ne venant pas. Je sais également que je t’ai brisé le cœur en vous ignorant, toi et ton père, après qu’on se soit séparés ou encore avec les mots que j’ai pu dire. Je sais que ce n’est pas une excuse, mais j’étais tellement dans une mauvaise passe que j’avais besoin d’extérioriser ce que je ressentais et quand Pete a bloqué mes papiers, ça a été sur lui, puis sur toi. Je n’aurais jamais dû me déchainer sur toi, car notre relation en a pris un coup jusqu’à en détruire notre amitié et pour ça, je m’en voudrais toute ma vie. J’aurais dû te mettre en priorité. Je déteste savoir que je t’ai fait pleurer. Jamais je n’aurais pensé être la raison de ta souffrance. Je suis sincèrement désolé pour tout. Mais surtout, je suis désolé d’avoir brisé ma promesse. Si je le pouvais, je retournerais dans le passé, je ferais tout pour ne pas te perdre, pour ne pas briser ma promesse. Et peut-être que je vais aller trop loin en disant ça, mais tu m’as écouté jusqu’ici alors autant te le dire. Si tu acceptais de me donner une nouvelle chance, j’adorerais refaire partie de ta vie. Tu comptes toujours pour moi.
Bradley reprend son souffle quand il a fini de parler. Son ventre se tord, appréhendant ta réaction. Avant, il pouvait prévoir ce que tu allais dire ou faire avec juste un regard. Il n’aime pas la façon dont vous êtes devenus des inconnus. Il te faut quelques secondes pour assimiler tout ce que Bradley t’a dit avant de lui répondre.
-Merci pour tout ce que tu viens de dire. J’apprécie tes excuses, mais j’ai besoin de temps, confesses-tu avant de regarder l’heure sur ton téléphone. Je dois y aller. Je vais payer.
-Je peux très bien…
-J’insiste. Prends ça comme un remerciement pour mon père. Au revoir, Bradley.
Contrairement à il y a dix ans, ton au revoir est rempli de nostalgie et non d’amertume. Bradley reste statique quelques instants, les yeux fixés sur la porte du restaurant que tu viens de traverser. Certes, rien n’est encore réglé. Tu n’as pas dit que tu le voulais dans ta vie à nouveau, mais tu l’as écouté jusqu’au bout et c’est tout ce qui compte. Il n’a plus qu’à espérer que cette victoire soit assez importante pour te ramener à lui.
Pendant que tu rentres chez toi, les mots de Bradley ne cessent de résonner dans ta tête. Tes sentiments sont conflictuels. Tu ne sais pas si tu devrais être contente, triste, énervée ou indifférente. Entendre Bradley te devoiler ce qu’il ressentait a détruit la narrative que tu avais en tête ; il tient à toi et il regrette ce que vous êtes devenus. 
Les jours et nuits suivants, tu restes perdue dans tes pensées qui ont pour objet la même personne : Bradley. Tu repenses à ses mots et surtout à la façon dont vous étiez avant toute cette histoire. Vous étiez biens, fusionnels et amoureux. Les mois après votre rupture, tu voulais retrouver tout ceci avant que ta peine ne se transforme en colère. Si Bradley avait essayé de te faire ses excuses à ce moment-là et non pas un an après, tu lui aurais pardonné en une seconde. 
Maintenant, tu hésites. Tu as peur qu’un autre conflit éclate et que Bradley décide de vous couper de sa vie à nouveau. Tu ne le supporterais pas si ça devait arriver. Cependant, tu aimerais avoir Bradley dans ta vie à nouveau.
Pendant ta réflexion, tu as l’occasion de recroiser Bradley quand il vient chez toi. Vous ne vous parlez pas, mais tu l’observes et une partie de toi n’a qu’une envie, être proche de lui. Pete continue également de plaider en la faveur de Bradley, plus ou moins discrètement. Tous ces éléments te font changer d’avis et brisent la carapace que tu as créée pour ton cœur. 
Après une nouvelle nuit à rester éveillée, tu te dis que tu dois parler avec Bradley. Tu ne peux plus rester dans cette situation. Alors, dès que le soleil est levé, tu prends ton courage à deux mains et appelles Bradley. Tu lui donnes rendez-vous chez toi en fin d’après-midi, sachant que Pete sera avec Penny donc vous serez seuls.
Ton stress à son paroxysme, tu es assise sur ton canapé et joues avec les bords d’un coussin. Malgré la télé allumée, tes yeux dérivent en direction de la porte d’entrée puis, l’heure sur ton téléphone. Une boule se forme dans ton ventre en ayant une impression de déjà vu. 
Tu as l’impression d’avoir vingt-trois ans à nouveau, dans ta maison de l’époque avec ta robe et ton rouge à lèvres, à attendre désespérément Bradley sauf que cette fois, il arrive à l’heure, comme il te l’avait promis. En effet, cinq minutes plus tard, tu entends une voiture se garer devant chez toi avant que quelqu’un frappe à la porte. En un mouvement, tu es debout après avoir éteint la télé puis, tu ouvres la porte, découvrant Bradley replaçant sa chemise hawaïenne comme il faut. Tu l’invites à entrer et vous retournez dans le salon.
Quand vous êtes assis l’un à côté de l’autre, ton anxiété devient un peu plus forte. Est-ce vraiment une bonne idée ? Et si maintenant, c’était trop tard pour lui ? Et s’il en avait marre d’avoir attendu autant ? Du côté de Bradley, son esprit n’est pas plus tranquille : “peut-être qu’elle veut juste me dire face à face qu’elle ne veut plus jamais me revoir ? Ou peut-être qu’en plus de sa vie, elle veut aussi que je ne fasse plus partie de celle de Mav’ ?”. Finalement, c’est toi qui coupes court au suspense : 
-J’ai bien réfléchi, commences-tu en évitant son regard, à ce que tu m’as dit et à nous, déclares-tu en posant tes yeux sur lui. Et bien que j’apprécie tes excuses, une partie de moi ne peut s’empêcher de repenser à toutes les fois où tu t’es excusé pour que finalement tu finisses par me faire mal à nouveau, continues-tu et le coeur de Bradley se serre. Mais j’ai envie de croire que cette fois ça sera différent. Après tout, si tout a pu s’arranger entre toi et mon père, pourquoi pas avec nous ? J’ai envie de te pardonner, mais c’est la dernière fois que je te pardonne, je n’aurai pas la force de revivre ça une nouvelle fois. Je ne sais pas si on pourra retrouver ce qu’on avait avant et peut-être que notre amitié ne sera plus jamais aussi forte, mais tu me manques tellement. Mon meilleur ami me manque, confesses-tu, les larmes aux yeux. 
-Tu me manques tellement aussi, Y/N. 
-Si ce n’est pas trop tard pour toi, je te veux encore dans ma vie, chuchotes-tu en évitant son regard.
-Tu as toujours été celle que je voulais, ça n’a jamais été trop tard pour moi, affirme Bradley d’une voix déterminée, en posant une main sur ta joue. Je te promets que c’est la dernière fois, je ne te blesserai plus jamais et tu ne me perdras plus et je tiendrai réellement ces promesses. 
Sans réfléchir, tu sautes dans les bras de Bradley et serres contre toi la personne qui t’a le plus manqué ces dix dernières années. 
Top Gun Maverick Masterlist
Partie une
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naehja · 9 months
Note
Oh, c'est ton anniversaire ?! BON ANNIVERSAIRE !! 🤗🍾🎂 J'espère que tu as passé une très bonne journée ^^
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Yep
C'était aujourd'hui =)
Merci pour ton gentil message
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e642 · 1 year
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Mes parents sont passés ce week-end pour me souhaiter mon anniversaire en avance. Ils m'ont offert quelques cadeaux et payé un restaurant. Très douce attention. J'ai eu un parfum. Je n'ai jamais su comment me positionner sur l'utilisation du parfum. Parce que si tu réussis à trouver l'odeur qui match parfaitement avec toi, ta personnalité et ce que tu dégages, ça peut être incroyable. À l'inverse, si tu choisis mal, je trouve ça horrible. Je n'ai jamais modifié mon odeur naturelle. Je ne sais pas trop pourquoi j'ai toujours eu un blocage inconscient avec ça. Peur de la modifier et de ne plus jamais sentir la moi naturelle. Contaminer mes habits, mon linge, mes draps. J'avais vu une émission sur arte qui parlait du fait que l'odeur naturelle d'une personne c'était sa carte d'identité moléculaire. Personne n'a la même. C'est vraiment ton adn retranscrit en senteur. Tu ne dissimules pas tes phéromones sous une odeur artificielle. Et, ils avaient réalisé une expérience qui consistait à faire renifler des t-shirt de sujets parfumés et pas parfumés et, à chaque fois, c'était les sujets sans parfum qui possédaient une odeur plus attractive. Plus douce. Plus réconfortante. Et peut-être que j'ai aussi peur de perdre ça, de perdre cette authenticité qui me caractérise tant. En bref, ça paraît très bête et sans importance mais j'ai toujours eu des réticences à altérer ou transformer mon odeur de peur de ne plus être moi et de ne plus pouvoir revenir en arrière. Alors je ne sais pas si je le mettrai, comme pour la tonne de parfums que l'on m'a déjà offert. J'aimerais sauter le pas mais je ne suis pas à l'aise avec cette idée de ne plus être moi. Pourtant, je le serai toujours mais cette partie moléculaire, inconsciente que dégage mon existence sera forcément modifiée.
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uneessencesensible · 11 months
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N°1889 – Vendredi 15 juillet 2022
Bae,
En ce jour spéciale, je voulais te souhaiter un joyeux anniversaire, mais pas que. Je tenais à te dire à quel point je suis heureuse d'être à tes côtés et de pouvoir partager un bout de chemin, aussi loin soit-il. J'ai conscience que mes craintes, qui n'appartiennent qu'à moi, ne sont pas fondées et que je peux avoir une totale confiance en toi. Je suis navrée si cela te cause du tort, ce n'est pas le but. Ce n'est pas toujours contrôlable, mais avec ma dernière séance de thérapie, j'ai compris beaucoup de choses. Je ferai les efforts qu'il faut pour que cela ne se reproduise plus. Je tenais aussi à te dire que je suis fière de l'homme que tu deviens. Je doute que tu t'en rendes compte, mais tu arrives à t'ouvrir, notamment envers moi et à te faire confiance dans notre couple. Puis, il y a tant de choses qui se sont transformées en toi. En bien évidemment. Tu comptes beaucoup pour moi et je ferai toujours en sorte que notre couple tienne aussi longtemps qu'il n'a déjà tenu, de te rendre heureux. J'espère que c'est toujours le cas. Je te remercie d'être toujours présent, dans la mesure du possible, d'être comme tu es. Tu ne le sais pas, mais ton caractère m'apporte beaucoup pour me forger et essayer de casser ses peurs qui m'empêchent, parfois, d'être complètement libre.
Ne prends pas la grosse tête quand même, tu as quand même un caractère d'un ours dans sa tanière par moment.
Sache que je t'aime comme tu es.
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ohtumbly · 1 year
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Anniversaire de Madame Coquette
Madame Bonheur se réveilla et regarda le calendrier. Savez-vous quel jour nous sommes ? Eh bien, nous ne savons pas parce que vous n'avez pas encore entendu parler de l'anniversaire de quelqu'un...
...jusqu'ici,
"Aujourd'hui c'est l'anniversaire de madame coquette !" Souriait madame Bonheur, et elle est allée se brosser les dents, et s'est regardée dans le miroir en pensant à comment ça allait se passer.
Elle se leva et alla à la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Elle fit des crêpes, les saupoudrage de sucre en poudre et les servit avec du sirop d'érable. Madame Bonheur était une excellente cuisinière et elle aimait faire plaisir à ses amis.
En chemin vers chez madame Coquette, elle est tombée sur madame Range-tout portant une pile de coffrets cadeaux parfaitement emballés.
BOUM!
"Oh! là! là!" Cria madame Range-tout. "Ma pile de cadeaux est tombée !"
C'était un désordré épouvantable.
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"Oh je suis désolé!" dit madame Bonheur. "Je ne t'avais pas vu."
Pauvre madame Range-tout. Elle a dû rentrer chez elle et emballer à nouveau les cartons.
"C'est bon Mme. Range-tout, madame coquette est déjà fière de ce qu'elle a. Vous pouvez venir avec moi chez elle !"
M. Tatillon était chez lui en train de faire un gros gâteau pour madame Coquette. Il a soigneusement mesuré et pesé la bonne quantité d'ingrédients, comme d'habitude, avec beaucoup de verres à mesurer, de cuillères à mesurer et de balances.
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Il se retrouve généralement avec un gâteau petit mais parfait. Cette fois, il prépare un gros gâteau en couches, mais toujours parfait.
Madame Bonheur alla voir madame Coquette chez elle. Aujourd'hui, madame Coquette a enfilé des vêtements aux vermicelles colorés, et changé les rideaux, tapis et nappes en vermicelles colorés.
"Bonjour Mme. Bonheur" dit madame Coquette, vêtue de paillettes colorées
Et elle la laissa entrer.
Pendant que madame Coquette et madame bonheur restaient un moment à table, on entendit du bruit à la porte.
"Bonjour madame Coquette" dit madame Catastrophe.
"Nous avons entendu dire que c'est ton anniversaire aujourd'hui, et nous avons une pompe à air pour mettre des ballons !"
Madame Prudente a sorti un sachet de ballons.
"Non madame Prudente, j'ai le bon type de ballons pour la fête." Dit madame Coquette
et elle a obtenu des ballons avec des pépites colorées dessus.
Madame Catastrophe plaça le ballon dans le bec et madame Prudente poussa la pompe à air.
Madame Catastrophe a sorti le ballon de la buse et le ballon a libéré tout l'air, l'envoyant hors de la maison.
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La pauvre Madame Catastrophe était assise sur l'herbe avec un ballon dégonflé à la main.
Madame Prudente et madame Bonheur sortirent de la maison pour trouver madame Catastrophe.
"Ça va madame Catastrophe ?" demanda madame prudente.
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Lorsqu'ils eurent fini de mettre les ballons en place, on frappa de nouveau à la porte.
C'était M. Chatouille, M. Joyeux et madame Boute-en-train. Ils ont apporté toutes sortes de jeux à jouer.
"Je parie qu'ils aiment passer le colis." Dit M. Joyeux.
"Non, les chaises musicales seront mieux !" Dit M. Chatouille.
C'est enfin l'heure de la fête et tout le monde était là. Madame Risette et M. Grand et madame Bavarde et M. Silence, M. Rigolo et madame Petite et M. Malchance et madame Tout-va-bien.
Il y avait beaucoup de délicieuses friandises sur la table à manger. Pâte à choux, éclairs, plateaux de raisins, et fromages, et caviar !
Madame Dodue avait une assiette bien garnie.
M. Maigre, cependant, n'avait qu'une toute petite olive du plateau.
Madame Timide s'est cachée sous la table à manger surmontée de la nappe saupoudrée.
Madame Sage n'a pris qu'une fraise et en a mis un peu dans la fontaine à chocolat.
Madame Collet-monte n'a pris qu'une guimauve et en a également mis un peu dans la fontaine à chocolat.
Mais, M. Glouton prit beaucoup de fraises et les recouvrit toutes entièrement de chocolat,
et M. Sale attrapa un biscuit avec sa main et le trempa dans la fontaine. Il a aspergé du chocolat madame Proprette.
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Madame Canaille enroula une serviette autour de madame Chance et la fit tourner trois fois avant de lui donner la queue.
"D'accord madame Chance, épinglez la queue à l'âne !" Madame Canaille instruit,
et puis elle laissa échapper un ricanement.
"Elle se dirige vers l'âne !" s'écria M. Heureux
"Elle ne s'appelle pas madame chance pour rien." S'est moqué de M. Malpoli.
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Madame Chance a épinglé la queue exactement sur l'âne.
Elle souleva la serviette et jeta un coup d'œil.
"Je l'ai fait!" Elle a souri.
"Bah ! Bien sûr que tu l'as fait." grogne M. Goognon. "Tu ne changeras jamais."
Madame Tête-en-l'air a tenté d'épingler la queue de l'âne.
Elle a la queue et...
...mettez-le sur le nez de M. Curieux.
"Aie." Dit madame Tête-en-l'air.
Il n'y a pas de meilleur fêtard que M. Grincheux, qui n'est pas trop excité pour les fêtes. Il fit épingler la queue à l'âne par M. Bagarreur.
M. Bagarreur s'est approché de l'âne, et a mis la queue sur l'âne...
...et a percé un trou dans le mur.
"Mon mur!" S'écria madame Coquette.
"Je peux réparer cela!" Dit madame Catastrophe, et elle est passée à l'action.
Madame Catastrophe fixé le mur avec...
...papier maché.
Oh! Madame Catastrophe !
Dans les chaises musicales, M. Malchance trébuchait sur une chaise et renversait toutes les autres.
Madame Boute-en-train a joué son ancien rôle de clown dans la fête. Elle s'est attaché le nez rouge sur le visage, a sauté sur la table à manger recouverte de la nappe saupoudrée et a dansé.
Madame Range-tout n'a apporté qu'une seule boîte à la maison. Madame Coquette l'a ouvert et à l'intérieur se trouve...
"...un diadème !" s'écria madame Coquette.
Elle l'a mis avant que quiconque puisse cligner des yeux.
Madame Bonheur avait son cadeau emballé dans du papier et un noeud collé dessus, sans boîte. Madame Coquette a déballé le cadeau et à l'intérieur se trouve...
"Un ours en peluche !" Elle haleta. Madame Coquette alla dans sa chambre avec l'ours et revint avec un noeud assorti sur l'ours.
Les hommes et les dames ont passé une soirée amusante, mais il ne faut pas oublier le gâteau. M. Tatillon entrèrent avec le gâteau.
Il est recouvert d'un glaçage bleu clair et blanc et surmonté de roses à la crème au beurre et d'une bougie. Le gâteau s'arrêta devant madame Coquette et elle pétilla de joie.
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"Madame Coquette, Bon Anniversaire !" Ils ont tous crié alors qu'elle soufflait la bougie.
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