#chaos avenir

[my-chaos-radio]

Release: December 1, 2014

Lyrics:

Partie loin derrière

Sans trop de raisons

Tu m'as laissé hier

La fin de la saison

Je n'veux plus savoir

On s'est éloigné

Tu ne vas plus m'avoir

Et tout est terminé

J'espère que tu vas souffrir

Et que tu vas mal dormir

Pendant ce temps j'vais écrire

Pour demain l'avenir (pour demain l'avenir)

Pour demain l'avenir (pour demain l'avenir)

Partie pour un soir

Juste lui parler

Au fond d'un couloir

Tu voulais aller

Hypocrisie d'un soir

Les verres sont cassés

Envolés les espoirs et nos cœurs défoncés

J'espère que tu vas souffrir

Et que tu vas mal dormir

Pendant ce temps j'vais écrire

Pour demain l'avenir (pour demain l'avenir)

Pour demain l'avenir (pour demain l'avenir)

Partie seule dans la rue

Je cherche mon chemin

Je ne le trouve plus

Il me paraît bien loin

Je t'ai oublié

Tu ne me fais plus rien

Et je pars voyager

En pensant à demain

J'espère que tu vas souffrir

Et que tu vas mal dormir

Pendant ce temps j'vais écrire

Pour demain l'avenir (pour demain l'avenir)

Pour demain l'avenir (pour demain l'avenir)

Songwriter:

Partie loin derrière

Sans trop de raisons

Tu m'as laissé hier

La fin de la saison

Tristan Salvati / Quentin Capron / Anne Peichert / Quentin Capron

SongFacts:

Avenir (French: Future) is the second single and first single release from French singer-actress Louane's debut album Chambre 12. The track was released as an EP on December 1, 2014 and as a download on January 5, 2015. It was released as a CD single in Germany, Austria and Switzerland on October 30, 2015.

The track reached the top of the French singles chart. Avenir reached number 3 in the German single charts, achieved gold status in Germany in December 2015 and even platinum status in February 2017.

In addition to a version in French, a version in English was also released, but the chorus remained in the original language.

Jan Stremmel wrote in SZ Magazin: "The young singer Louane has achieved something very rare with »Avenir«: getting a French song into the German Top 5. […] The recipe for the success of Louane's new hit is its decided homelessness. The lyrics are French - but the trappings are a cloak of deliberately generic electropop. A French Trojan horse.

[telomereschronicles]

Contexte

Atlanta, 2024

Les super-héros. C’est devenu le quotidien pour des millions de personnes. Les voir aux infos du soir ou dans les journaux, en croiser un dans la rue qui poursuit un pickpocket, ou tout simplement en avoir un dans son voisinage qui veille sur les gens. Sans eux, le monde sombrerait dans le chaos, c’est ce que disent les gens, si vous leur demandez leur avis sur la question. Les super-héros sont partout. Et c’est tant mieux. Tout le monde est bien content d’avoir un protecteur pour s’occuper d’eux. Il n’y a qu’à regarder vers Atlanta pour comprendre ce qui se passe quand personne n’est là pour protéger les innocents. 

Capitale du Sud, Atlanta est une ville chargée d'histoire, agitée par sa nombreuse population et son activité qui ne cesse jamais. Et pourtant, ville avec un des plus hauts taux de chômage du pays, Atlanta s'enfonce dans les dettes, les problèmes et la criminalité. Cœur pourri du sud, rien de bon n'en sort plus depuis longtemps, rien que la violence et la corruption. C’est une ville oubliée des héros, oubliée du monde, laissée à l’abandon par le pays même qui est censé la soutenir.

La ville a cruellement besoin de ces héros qui se pressent à ses portes, pour redresser la barre. Faire changer les choses n’était qu’une illusion, mais depuis qu’ils sont arrivés, un rayon de soleil semble briller sur la ville. Et l’espoir n’est plus un luxe mais bel et bien une réalité. Mais cela suffira-t-il ? Cette ville à la dérive pourra-t-elle se relever encore une fois ? Allez-vous sortir votre épingle du jeu et briller ? Ou allez-vous vous noyer dans le chaos ambiant et vous perdre dans la misère ? Héros, criminel ou simple civil, c’est à vous de choisir quel sera votre avenir dans cette belle ville d’Atlanta.

[mycoversbox]

**Déchiré**

(Verset 1)

Les murs se ferment autour de nous

Un silence qui nous noie, aucun problème

Les rires étouffés dans l'obscurité

Nous marchons sur un fil, pleins de perplexité

(Pré-refrain)

Dans ce vide, nous cherchons une raison de continuer

Mais l'écho de nos voix se perd dans la réalité

Déchirés entre nos rêves et nos craintes, nous sommes perdus

Dans cette obscurité, nous cherchons la lueur

(Refrain)

Le vide, nous dévorons l'âme

Mais nous affrontons l'inconnu, sans lâcher prix

Nous sommes déchirés, mais nous restons unis

Dans ce néant, nous nous battons pour exister

(Post-refrain)

Déchiré, déchiré, nous brisons les chaînes

Déchiré, déchiré, nous volons vers la lumière

Nous sommes les briseurs de vide, les conquérants de l'ombre

Déchiré, déchiré, courageusement nous avançons

(Verset 2)

Au milieu du chaos qui nous entoure

Nous portons la flamme de l'espoir, celle qui nous rend plus forts

Les éclats de mélodies dans nos cœurs

Nous emportons loin de ce monde en douleur

(Pont)

Dans l'obscurité, nous trouvons la force de briller

Nos voix se rejoignent, formant un écho de vérité

Le vide ne peut nous vaincre, car nous sommes déterminés

À construire un avenir où nos rêves seront réalisés

(Refrain)

Le vide, nous dévorons l'âme

Mais nous affrontons l'inconnu, sans lâcher prix

Nous sommes déchirés, mais nous restons unis

Dans ce néant, nous nous battons pour exister

(Post-refrain)

Déchiré, déchiré, nous brisons les chaînes

Déchiré, déchiré, nous volons vers la lumière

Nous sommes les briseurs de vide, les conquérants de l'ombre

Déchiré, déchiré, courageusement nous avançons

(Sortie)

Peu importe les obstacles sur notre chemin

Nous continuons de nous battre, jusqu'à la fin

Déchirés dans le vide, nous trouvons notre place

Car ensemble, nous transcenderons toutes les traces

[aurevoirmonty]

" Dans ce livre majeur, Charbonneau analyse finement la dialectique entre contrôle et chaos qui prévaut dans nos sociétés modernes. Obsédé par l’immédiat, la victoire ou le profit, le Léviathan technico-industriel, dont les moyens croissent de manière exponentielle, n’enregistre ses effets sur la vie, les sociétés et les personnes qu’après coup et souvent trop tard ; c’est ainsi qu’il perturbe gravement les milieux naturel et social et fait naître crises, guerres, et chaos. Or, faisant peser le risque de désorganisation sociale, ce chaos appelle en retour un ordre strict, une organisation totale, si ce n’est totalitaire, de la vie sociale, collective et personnelle pour tenter de résorber ses effets néfastes. Ainsi naît la dialectique entre système et chaos. Pour Charbonneau, convaincu qu’il n’y a de liberté que dans des actes personnels, un tel avenir est inacceptable. Pour l’éviter, une prise de conscience est indispensable ; ce livre prémonitoire nous y incite. "

[honestlydelicatepolice]

La Cruauté envers les Animaux dans les Fermes d'Élevage Industriel : Un Langage de Souffrance

Dans les vastes fermes d'élevage industriel, loin des regards du grand public, une réalité sombre et cruelle persiste. La cruauté envers les animaux est un problème alarmant dans ces établissements où le langage de la souffrance est universellement compris. Dans cet article, nous explorerons les pratiques inhumaines qui se déroulent dans les usines de production alimentaire et comment elles résonnent à travers le langage français. Plant-based protein sources

Le Cycle de Souffrance

Les animaux élevés dans les fermes industrielles sont souvent confinés dans des espaces restreints, privés de leurs besoins fondamentaux tels que l'espace, la lumière du jour, et la liberté de mouvement. Dans ces conditions oppressantes, leur langage naturel de communication est réduit au silence. Les cris d'agonie et les gémissements sont les seuls moyens par lesquels ils expriment leur détresse.

La Routine de la Brutalité

Les pratiques courantes dans les fermes industrielles incluent la mutilation sans anesthésie, le débeccage des poulets, la caudectomie des porcs, et le décornage des bovins. Ces procédures douloureuses sont infligées aux animaux sans égard pour leur bien-être, laissant derrière elles une empreinte indélébile de douleur et de peur.

Le Langage de la Négligence

La négligence règne dans ces établissements où les animaux sont souvent traités comme de simples marchandises. Les conditions insalubres et les maladies répandues transforment les fermes en des environnements cauchemardesques où le langage de la santé est perdu dans le chaos de la maltraitance.

Les Conséquences Environnementales

Outre la souffrance animale, les fermes d'élevage industriel ont un impact dévastateur sur l'environnement. La pollution des sols, de l'air et de l'eau est monnaie courante, entraînant une détérioration alarmante de l'écosystème. Le langage de la nature est étouffé par les effets toxiques de l'industrie de la viande.

Vers un Changement de Langage

Il est impératif de reconnaître le langage de la cruauté qui imprègne les fermes d'élevage industriel. En donnant une voix à ceux qui sont réduits au silence, nous pouvons catalyser un changement significatif. Des initiatives telles que l'adoption de pratiques d'élevage plus humaines et le soutien à l'agriculture biologique sont des étapes essentielles vers un avenir où le langage de la compassion prévaudra sur celui de la cruauté. Plant-based protein sources

En conclusion, la cruauté envers les animaux dans les fermes d'élevage industriel est une réalité douloureuse qui transcende les frontières linguistiques. En reconnaissant et en défiant ce langage de souffrance, nous pouvons œuvrer ensemble vers un avenir où le respect pour tous les êtres vivants est la norme.

[christophe76460]

De l'avenir et de l'espérance !

Ah oui ? Dieu m'a promis un avenir, pourtant je ne vois que le chaos autour de moi ? De l'espérance ? Ça fait longtemps que je vis avec une boule au ventre à chaque fois que je pense à mon futur…

Mais alors, qu'est-ce que ça veut dire un avenir et de l'espérance ?

Le verset en question :

"Car moi, je connais les projets que j'ai formés sur vous, déclare l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance." Jérémie 29:11

Lorsque Jérémie prononce cette parole, les Juifs avaient été emmenés en captivité à Babylone. C'est la guerre, l'esclavage, la peur, l'angoisse…

Et pourtant, Jérémie est apaisé, il le sait, même au milieu du chaos, Dieu peut faire des miracles.

Si toi aussi tu es captif d'une addiction, d'un passé douloureux, d'un manque de confiance pour les années qui arrivent, n'oublie jamais que Dieu est au contrôle.

Non, tu n'auras pas une vie facile.

La vie est faite de défis et d'épreuves.

Mais Dieu va te permettre de tout traverser, sans que rien ne puisse te faire tomber.

Dieu a besoin de soldats avec une foi qui déplace les montagnes, non pas des enfants qui se plaignent tout le temps que leur vie est difficile…

C'est la bénédiction de l'Éternel qui enrichit, et il ne la fait suivre d'aucun chagrin. Proverbes 10:22

Jésus a eu une vie extraordinaire, à la fois dans ce qu'il a accompli durant son ministère que dans la cruauté de son exécution sur le bois du calvaire.

Espère vivre cette vie. Sans regret. Une vie pour Dieu.

Pose-toi ces questions :

•⁠ ⁠Est-ce que tu vis pour toi-même ou pour Dieu ?Poursuis-tu tes propres projets ou les projets de Dieu ?

Es-tu prêt à sacrifier quelque chose dans ta vie comme Jésus sur la croix, ou en es-tu incapable ?

Et laisse l'Esprit t'inspirer ta journée. AMEN

Non, tu n'auras pas une vie facile.

La vie est faite de défis et d'épreuves.

Mais Dieu va te permettre de tout traverser, sans que rien ne puisse te faire tomber.

Dieu a besoin de soldats avec une foi qui déplace les montagnes, non pas des enfants qui se plaignent tout le temps que leur vie est difficile…

C'est la bénédiction de l'Éternel qui enrichit, et il ne la fait suivre d'aucun chagrin. Proverbes 10:22

Jésus a eu une vie extraordinaire, à la fois dans ce qu'il a accompli durant son ministère que dans la cruauté de son exécution sur le bois du calvaire.

Espère vivre cette vie. Sans regret. Une vie pour Dieu.

Pose-toi ces questions :

•⁠ ⁠Est-ce que tu vis pour toi-même ou pour Dieu ?

- Poursuis-tu tes propres projets ou les projets de Dieu ?

- Es-tu prêt à sacrifier quelque chose dans ta vie comme Jésus sur la croix, ou en es-tu incapable ?

Et laisse l'Esprit t'inspirer ta journée. AMEN

[yes-bernie-stuff]

Un peuple rempli de la paix de Dieu

Dans sa lettre aux Colossiens, l’apôtre Paul a expliqué que ceux qui ont reçu une nouvelle vie en Christ ont non seulement un avenir racheté, mais vivent aussi une nouvelle réalité.

Au lieu d'être confinés dans un monde sans espoir, ils ont une espérance éternelle. Au lieu d’être impuissants face au péché, ils ont le pouvoir de riposter. Au lieu de cycles continus de chaos, d’abattement et de traumatismes, ils peuvent être un peuple rempli de la paix de Dieu.

Paul poursuit en disant:

"Que la paix du Christ, à laquelle vous avez été appelés pour former un seul corps, règne dans vos cœurs. Soyez reconnaissants.

"Colossiens 3: 15 NVS78P.

Trop souvent, ce n'est pas la paix et la gratitude qui règnent en nous, mais des sentiments comme l'inquiétude, l'accablement, la peur, la honte ou la colère. Livrés à nous-mêmes, nous sommes sujets à toutes les tentations énumérées plus haut dans ce chapitre: nous péchons contre nous-mêmes et les uns contre les autres.

Tout ce qui entre en conflit avec les voies de Dieu nous éloignera toujours de la paix.

Avec Christ, cependant, nous pouvons nous débarrasser de notre "ancien moi" et revêtir notre "nouveau moi", qui est continuellement transformé à l’image du Christ. Grâce à cela, nous pouvons nous abandonner à la gratitude et à la paix, et les laisser gouverner notre cœur et notre esprit.

Nous devons nous détacher du besoin de contrôler, car c'est Christ qui unit, et c'est l'Esprit de Dieu qui donne la paix.

N'oublions pas que, bien qu’il y ait différents membres, nous formons un seul et même corps: celui du Christ. Même si nous avons chacun des rôles uniques, nous dépendons de chaque membre pour faire fonctionner l'ensemble du corps. Et même si le monde dans lequel nous vivons est souvent cruel et que nos cœurs sont souvent las, nous sommes appelés à être un peuple rempli de la paix de Dieu.

[celestialstigmas]

04/11/23

Déjà la fin de l’année pointe le bout de son nez, une année de vide, une année de douleur, une année de stagnation et de descente, encore une. Plus que les autres.

À chaque fois que je crois que c’en est fini, que ça ne peut être pire, la vie s’empresse de me prouver le contraire. C’est peut-être ça la leçon; ne suppose jamais que cela ne pourra pas être pire. Cela pourra toujours. Peut-être que là, ça s’arrêtera enfin.

Mais maintenant, j’ai peur moi. J’ai peur de m’engager dans quoi que ce soit. J’ai peur de tout perdre, encore et encore, de souffrir, encore et encore. Alors je ne fais rien, je ne m’engage pas, je n’ai pas de plans, pas de projets, pas d’attaches. Par manque de courage, par peur de les perdre encore.

Alors je n’ai plus rien. Je laisse ma vie se vider petit à petit jusqu’à ne plus rien avoir. Jusqu’à atteindre enfin, le fond des abysses, où je pensais déjà être.

Mes relations, mon attachement si rapide et dépendant, ne sont que des perches auxquelles je tente de me raccrocher vainement. Pour ne pas me sentir seule. Pour me faire tenir, mais qui je le sais sont bien plus néfastes qu’autre chose.

Je traverse une période d’autosabotage, autodestruction, de descente aux enfers sans espoir de remontée, sans lumière. Sans rien à me raccrocher.

Je veux en sortir.

Je ne sais pas comment.

Je n’ai plus de repères. Je dois tout recréer. Encore. C’est désarmant. Encore.

Il faut de l’imagination pour entrevoir un futur, pour construire un avenir. De quoi sera-t-il fait ? Où sera-t-il ? Que serai-je ? Qui serai-je ?

Je ne suis personne, à l’heure actuelle; un être errant, un être perdu, dépourvu de lui-même. Perdu dans les méandres de la décadence.

Je veux avoir de la substance à nouveau, exister, être. Mais qui suis-je ?

Tu as voulu faire de moi mon pilier et j’ai voulu assurer ce rôle. On m’a prévenue de me protéger aussi et c’est ce que j’ai tenté de faire, mais la vérité c’est que moi aussi je pars en miettes, me désintègre en milliers de cendres de chaos et de souffrance.

J’ai besoin de toi, mais toi tu as besoin de moi. Tu as besoin de moi en de bonnes conditions mais je ne le suis pas. Et je ne sais pas si je peux encore être là pour toi, si je peux t’offrir ce dont tu as besoin, si au final je ne te dessers pas plus qu’autre chose. Je suis cause de souci pour toi.

Et je voudrais être là pour toi, pas parce que c’est mon devoir, mais parce que je le veux, profondément et sincèrement. Je veux te le donner, car tu me l’as plus que donné. Car je ne veux rien regretter.

Mais je ne suis pas à la hauteur, je n’ai pas la force. La force vitale me manque, l’énergie, mes émotions m’abattent à grands coups de rafales et me réduisent au néant. Me laissent dépourvue de la force et de la volonté nécessaires pour être à tes côtés, comme je le voudrais.

Mes amis et la famille sont là pour moi bien sûr, et cela aide beaucoup, je ne serais pas là sans eux; ils font déjà leur possible.

Une dissonance se fait entre ce que je veux être et faire et ce que je suis; la force à ma disposition pour le porter.

Comment supporter ce décalage, cette faiblesse, comment composer avec ? pour t’aider, d’une part, et pour exister moi-même, d’autre part ?

Bientôt tu ne seras plus là et je n’aurai que mes mots, encore une fois pour exprimer ma perte.

Je me désole de mon propre sort sans encore entrevoir un possible chemin vers la force, le courage,  l’énergie, la joie, la construction.

Je veux être fière de moi mais je ne le suis pas. Je suis la personne que je déplore, que papa et toi déploreraient. Car de toute façon vous ne serez jamais là ni l’un ni l’autre pour me voir réussir. Alors à quoi bon ?

J’aimerais tellement malgré tout m’accomplir, être fière de moi, vous rendre fiers où que vous soyez...

J’aimerais jeter cette bouteille à la mer, être comprise, mais la vérité est que je suis seule sans toi, je le suis déjà car je ne peux pas t’exprimer toute cette détresse dans l’état où tu es. Et je ne sais à qui l’exprimer.

[maitresse-des-tempetes]

J'en suis maintenant à la deuxième partie, Akiro, et voilà tout ce qu'on a eu jusque là :

- Les anarchistes en PLS devant l'idéologie des mercenaires du chaos (et aussi quels sacrés imbéciles de prôner la fin de toute forme d'organisation et de le faire EN S'ORGANISANT).

- Salim qui aspire à la polyvalence et à un avenir de voleur-mais-pas-que-réduiseur de monstres en bouillie-chevalier. Mais j'adore comment il a clairement son propre arc et ses propres problèmes. Il veut trouver sa place et la cherche encore, alors qu'Ewilan pense avoir trouvé la sienne. Il aspire donc à plusieurs rôles un peu stéréotypés pour rentrer dans moule du héros d'aventures fantastiques. Et tout ça en plus d'être jongleur 😀

- le pilier du worlbuilding dans cette histoire : les sifleurs. Apparait : le coureur (toujours dans la sobriété ce Bottero).

- ELLANA (wink wink 👁️ Salim) à qui la mort emboîte le pas malheureusement

- Paix à Hans parti trop tôt (hein quoi, c'est qui Hans déjà ?)

[double-croche1]

[CANNES 2023] QUINZAINE DES CINÉASTES

Le Festival de Cannes commence aujourd’hui ! Toutes les infos sur les 19 films de la Quinzaine des Cinéastes pour cette 76e édition du mardi 16 au samedi 27 mai sont à retrouver par ici. La liste par date de sortie : ‘De nos jours...’ de Hong Sang-soo – Clôture Une ode à la vie où le maître coréen se réconcilie avec les plaisirs autour d’une table : tabac, alcool, nourriture, musique et oisiveté. Date : Mercredi 19 juillet 2023 ‘L’Arbre aux papillons d’or’ de Thien An Pham Un voyage à travers le Vietnam rural en interrogeant la communauté chrétienne très méconnue du pays. Date : Mercredi 13 septembre 2023 Récompense : Caméra d’or ‘Le Livre des solutions’ de Michel Gondry Marc s'enfuit avec toute son équipe dans un petit village des Cévennes pour finir son film chez sa tante Denise. Sur place, sa créativité se manifeste par un million d'idées qui le plongent dans un drôle de chaos. Marc se lance alors dans l’écriture du Livre des Solutions, un guide de conseils pratiques qui pourrait bien être la solution à tous ses problèmes… Date : Mercredi 13 septembre 2023 ‘Déserts’ de Faouzi Bensaïdi Amis de longue date, Mehdi et Hamid, travaillent pour une agence de recouvrement. Ils sillonnent les villages du grand Sud marocain dans leur vieille voiture et se partagent des chambres doubles dans des hôtels miteux. Ils ont exactement la même taille, les mêmes costumes-cravates, les mêmes chaussures. Payés une misère, ils essaient de jouer aux durs pour faire du chiffre. Un jour, dans une station essence plantée au milieu du désert, une moto se gare devant eux. Un homme est menotté au porte-bagage, menaçant. C’est l’Evadé. Leur rencontre marque le début d’un périple imprévu et mystique… Date : Mercredi 20 septembre 2023 ‘Le Procès Goldman’ de Cédric Kahn - Ouverture En novembre 1975, débute le deuxième procès de Pierre Goldman, militant d’extrême gauche, condamné en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité pour quatre braquages à main armée, dont un ayant entraîné la mort de deux pharmaciennes. Il clame son innocence dans cette dernière affaire et devient en quelques semaines l’icône de la gauche intellectuelle. Georges Kiejman, jeune avocat, assure sa défense. Mais très vite, leurs rapports se tendent. Goldman, insaisissable et provocateur, risque la peine capitale et rend l’issue du procès incertaine. Date : Mercredi 27 septembre 2023 ‘L’Autre Laurens’ de Claude Schmitz Le détective privé Gabriel Laurens, spécialisé dans les affaires conjugales, voit sa vie chamboulée lorsque débarque chez lui sa nièce Jade. La jeune fille a des doutes sur la mort accidentelle de son père et lui demande de mener l’enquête. Date : Mercredi 4 octobre 2023 ‘Un prince’ de Pierre Creton Pierre-Joseph a 16 ans quand il intègre un centre de formation pour devenir jardinier. Il y rencontre Françoise Brown la directrice, Alberto son professeur de botanique, Adrien son employeur, déterminants dans son apprentissage et la découverte de sa sexualité. 40 plus tard survient Kutta, l’enfant adoptif de Françoise Brown dont il a toujours entendu parler. Mais Kutta qui est devenu le propriétaire de l’étrange château d’Antiville semble chercher autre chose qu’un simple jardinier. Récompense : Prix SACD Date : Mercredi 28 octobre 2023 ‘Conann’ de Bertrand Mandico Parcourant les abîmes, le chien des enfers Rainer raconte les six vies de Conann, perpétuellement mise à mort par son propre avenir, à travers les époques, les mythes et les âges. Depuis son enfance, esclave de Sanja et de sa horde barbare, jusqu'à son accession aux sommets de la cruauté aux portes de notre monde. Date : Mercredi 29 novembre 2023 ‘A Song Sung Blue’ de Zihan Geng Le temps d’un été, les déambulations d’une adolescente introvertie. Date : Mercredi 6 décembre 2023 Films non datés : ‘The Sweet East’ de Sean Price Williams Un voyage picaresque à travers l'Amérique contemporaine entrepris par une jeune femme autorisée à accéder aux étranges sectes et cultes qui prolifèrent dans le pays. ‘Conte de feu’ de Weston Razooli Il était une fois un trio d’enfants cherchant à craquer le code parental de leur nouvelle console et aussi la parfaite recette de la blueberry pie, une secte de braconniers qui ne cessent de se chicaner, une petite fille qui a des dons elfiques… ‘La Grâce’ d’Ilya Povolotsky A bord d’un cinéma itinérant, un père et sa fille traversent une Russie périphérique. ‘La Vie selon Ann’ de Joanna Arnow La new-yorkaise Joanna Arnow signe une comédie BDSM dans laquelle elle se met à nu dans une suite de scènes de soumission qui touchent à sa vie sexuelle, professionnelle et familiale. ‘Merle merle mûre’ d’Elene Naveriani Le magnifique portrait d’une femme célibataire de 48 ans au coeur d’un village traditionnel qui s’affranchit de ses chaînes et découvre l’amour et la sexualité tout en ne renonçant pas à son indépendance. ‘Creatura’ d’Elena Martín Gimeno Mila et son compagnon s'installent dans une ville de la Costa Brava. Après une première dispute, seule dans la maison d'été de sa famille, elle revit certaines expériences de son enfance et de son adolescence qui l'aideront à comprendre l'origine de ce qui l'a empêchée de faire la paix avec son propre corps. Récompense : Label Europa Cinemas ‘In Flames’ de Zarrar Kahn L'existence précaire d'une mère et de sa fille est perturbée lorsque le patriarche de la famille meurt. Elles doivent alors choisir entre affronter leur passé ou se laisser emporter par leurs peurs. ‘Légua’ de Filipa Reis et João Miller Guerra Emilia, âgée de 70 ans, s'occupe de la Casa da Botica, un manoir situé dans le village rural de Légua, dans le nord du Portugal, depuis plus de 40 ans, jusqu'à ce qu'elle doive elle-même s'occuper d'Ana, 50 ans, dont la santé se détériore. Le film est un portrait de ce coin du Portugal en pleine mutation. ‘Mambar Pierrette’ de Rosine Mbakam Sous la pluie de Douala, Mambar, résignée, vide l’eau rentrée dans sa maison avec l’aide de ses enfants. Arrivée dans son atelier de couture, le même calvaire recommence. À tour de rôle, les clientes défilent dans son atelier avec un seul mot à la bouche, la préparation de la rentrée scolaire. Mambar n’a encore rien acheté pour ses enfants. Ses journées sont longues, l’attente de ses enfants est grande, mais la pluie de Douala laissera-t-elle le soleil briller sur Mambar et ses enfants ? ‘Agra’ de Kanu Behl Guru a une vingtaine d’années, il travaille dans un centre d’appels à Agra, il est fou amoureux de l’une des collègues, Mala. Guru habite toujours chez ses parents. Leur maison est divisée en deux parties. Guru vit au rez-de-chaussée avec sa mère, son père, à l’étage avec sa maîtresse. Quand Guru annonce qu’il veut se marier avec Mala, et faire de la terrasse sa future chambre, promise par sa mère à leur cousine pour en faire une clinique dentaire, tout bascule. Les frustrations, les fêlures et les haines familiales éclatent au grand jour, symptômes d’une société indienne patriarcale marquée par de multiples tabous. A&B

[plumedepoete]

Yeux - Daroca Mikael

L ’ œil premier Voit le goufre L ’ œil second Voit des chaos. L ’ œil troisième Devient étoile Œil quatrième Sphère de vie. Eux - Y. L ’ œil cinquième Quinte des rêves L ’ œil sixième Peuple un avenir. L ’ œil septième Endort Humanité Les autres yeux Inversent la route. Œil d ’ âge. Visible message Anime reprises Troubles fluides Livrent l ’ espace. Pulsion charnelle Dresse palettes Purge de scène Chamboule issue. Read the full article

[june-genevois]

Albert et le violon

Albert était assis face à l’immensité océanique, face à un horizon incertain, face à ses doutes, face à ses peurs. Albert était assis face aux vagues qui venaient claquer contre les rochers, face à cette nature effrénée que rien ne pouvait retenir prisonnière. Albert était assis face à ses inquiétudes, face à la multitude d’interrogations qui brodaient son existence.

Il sorti son violon de son étui, le caressa et le pris tendrement en main. Il le plaça dans son cou et se saisit l’archet. Son violon. Sa musique. Sa vie entière avait été destinée à la musique. Son existence même ne trouvait sens que parce qu’il prenait vie à chaque fois qu’il jouait. Comme s’il avait passé sa vie en apnée, attendant chaque partition comme un plongeur attendrait de remonter à la surface pour enfin, enfin respirer. Son violon était l’unique moyen de faire taire son cerveau.

Albert ferma les yeux et ses doigts se posèrent instinctivement sur son instrument. Son autre main guida l’archet. Albert aimait improviser, Albert aimait laisser ses mains enchainer les notes, sans trop réfléchir. C’était son seul moyen de « lâcher prise ». Son seul moment où il n’avait plus à s’inquiéter. Tant que son fidèle instrument le guiderait, alors peu importe où la vie le mènerait, peu importe ce que le destin lui aurait réservé.

Albert ouvrit les yeux. Il vit un adolescent assis en tailleur devant lui. Il ôta son instrument de son cou, posa l’archet et le violon sur ses cuisses. Comme gêné qu’un gamin puisse le juger.

Le blondinet âgée d’une quinzaine d’année baissa alors les yeux et marmonna :

« - Je suis désolé Monsieur, je ne voulais pas vous déranger… ».

Albert le dévisagea et lui lança : « que veux-tu, alors, gamin ? »

Timide et peu sûr de lui, l’adolescent lui expliqua que son art l’avait appelé, qu’il ne connaissait rien à la musique si ce n’était le RAP, comme beaucoup de jeunes de son âge, mais que pour la première fois, une mélodie au violon l’avait ému. Mais que pour la première fois, une musique l’avait pris aux tripes, le forçant à s’en rapprocher, à s’asseoir et à se délecter de chacune des notes qu’Albert faisait résonner.

«  - Et bien, je suis ravi d’avoir pu faire naitre de tels sentiments chez toi, gamin. Tu n’as pas besoin de connaitre tout de la musique pour la ressentir et la vivre... J’ai vu énormément de personne très cultivées mais incapables de vivre avec intensité la moindre note.

-      Je … Je m’appelle Guillaume. »

Albert lui fit un signe de tête et se présenta également.

« - Alors, Guillaume, que fais tu là, tout seul ?

-     Bien, vous savez, parfois, se retrouver seul avec soi même n’a pas que du négatif. J’aime bien me promener par ici et faire le point. On dit que les jeunes ont tous leur avenir devant eux, on dit que la jeunesse c’est synonyme de rêve et d’espoir. On dit que quand on est jeune, on est l’insouciance incarnée, que rien ne peut nous arrêter. Mais dans un monde comme celui-ci, tous les jeunes ne trouvent pas leur place… Tous les jeunes ne sont pas épanouis. Tous les jeunes se posent des questions sur leur lendemain. On se demande sans cesse si on aura d’ailleurs un « demain ».  Tout le monde nous bassine en expliquant que les jeunes sont fainéants, que nous sommes une génération de bons à rien mais… si nous ne croyons plus à un avenir insouciant, et que personne ne veut croire en nous, comment pouvons nous trouver notre équilibre ? Alors, vous comprenez, dans ce chaos tout entier, un peu de douceur et d’émotion, ça nous surprend, ça nous saisit. »

Albert avait écouté attentivement ce jeune homme en pleine construction. Comme touché en plein cœur, il reprit son violon et fit glisser quelques notes. Tout en jouant, il murmura à Guillaume :

« Tu sais Gamin, j’ai soixante cinq ans mais je me posais les mêmes questions.  Je n’ai trouvé ma place qu’avec mon cœur, qu’avec la musique. Tu finiras par trouver toi aussi, ton chemin. Ce pour quoi tu es fait. Ce pour quoi tu vivras jusqu’à ton dernier souffle… ».

Albert ne trouva rien d’autre à ajouter, alors il se contenta de jouer de son art et de partager ce moment avec ce gamin.

Qu’aurait-il bien pu lui dire de toute façon ? Albert avait peut être trouvé sa place auprès de la musique, mais en réalité c’était plutôt  un refuge. Un endroit où il n’avait justement pas besoin de trouver sa place. Un coin tranquille, une communion où aucun questionnement existentiel  ne venait s’inviter.

[egliseherault]

Terre nouvelle

2 Pierre 3 18.12.22 St Paul Mpl

Comment articuler l'Avent et la sauvegarde de notre maison commune ( selon l'expression du Pape François) ? L'Avent n'est pas un temps tourné vers le passé ; il est un moment favorable pour attendre dans l'espérance notre avenir. Le Messie d'Israël est venu à Bethléem, mais plus important encore pour notre foi est de confesser qu'il reviendra ! Dans la Deuxième Épître de Pierre, nous lisons que le Jour du Seigneur viendra comme un voleur… les cieux se dissiperont avec fracas… et la terre, avec les œuvres qu'elle renferme, sera consumée… Et l'Apôtre de nous parler de cieux nouveaux et d'une terre nouvelle que nous attendons selon la promesse, où la justice habitera ( 2 P 3, 10.13).

Comment faire le lien entre ces paroles de foi et la situation quasi désespérée de notre planète ? Pas facile d'y voir clair ! Il y aurait en tout cas un bien mauvais contre-sens à mettre les choses sur le même plan et surtout à dire que par la destruction de notre terre, nous ferions l'œuvre du Jour du Seigneur qui viendra tout consumer. En fait, si la fin des temps est décrite dans certains textes comme un chaos, c'est dans la mesure où ils expriment avec les images traditionnelles de la Bible que la résurrection du Christ promet une nouvelle naissance non seulement pour l'humanité, mais pour tout l'univers. Ce sont les souffrances d'un enfantement. La résurrection est une création nouvelle, une nouvelle Genèse !

Attention à ne pas faire de ces versets une lecture fondamentaliste ; ce sont des images liées à une promesse, non un reportage lié à un programme ! Qui plus est, dans la logique des Écritures, ce ne sont pas les êtres humains qui provoqueront par leurs actions néfastes la « fin du monde », mais c'est plutôt l'inverse ; c'est la venue en gloire du Christ et la consommation des temps, dont nous ne savons ni le jour ni l'heure, qui impacteront l'univers entier, et pas seulement la minuscule petite planète sur laquelle nous vivons.

Selon la foi de l'Église, le lieu du bonheur infini n'est pas un lieu, mais une vie éternelle de communion avec Dieu et en lui. La façon dont les Écritures parlent de l'accomplissement de la promesse en Dieu est un langage pour nous permettre de comprendre ceci : notre univers n'est certes pas éternel, mais il est l'espace et le temps dans lesquels nous pouvons déjà vivre au présent du bonheur de notre avenir. La vie éternelle en Dieu ne sera pas le simple prolongement de notre vie présente ; elle en gardera pourtant quelque chose. Elle en sera l'assomption, la transformation, la transfiguration !

Notre terre d'aujourd'hui, que nous aimons, que nous exploitons, que nous habitons et que nous abîmons, est le terrain sur lequel nous accueillons le Royaume qui vient. Il existe un lien entre la création en devenir de notre univers et le jaillissement de la résurrection en lui ! Et c'est donc au nom de notre foi en la résurrection, qui doit embraser l'univers entier, que nous sommes appelés à la sauvegarde de notre maison commune, au respect de notre planète et de tous les vivants.

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[sdaryane]

Du sentiment d’appartenance...

Chaque fois que j’ai été en couple, une notion très particulière s’est emparée de moi : le sentiment d’appartenance. Cette idée est très mauvaise en réalité car la seule personne à qui l’on appartient véritablement (et encore pas toujours !!) c’est soi-même à priori !

Pourtant, j’ai toujours eu besoin de dire à l’autre « je suis à toi » et de l’entendre dire aussi en retour. De même, entendre son partenaire vous susurrer à l’oreille en pleine étreinte passionnée « tu es à moi » décuple l’émotion ressentie et enlève tous les sentiments négatifs qui pourraient trainer par-là !

C’est assez étrange je dois l’avouer, surtout pour une femme qui se veut libre et dégagée de toute contrainte liée au couple. D’un autre côté ce postulat s’explique aussi. Pourquoi n’ai-je plus envie de croire dans la relation à deux ? Tout simplement car je suis toujours la seule à respecter les règles ! Je suis la seule à rester en permanence transparente (même quand cela est en ma défaveur), je suis la seule à garder une communication constante et soutenue, je suis la seule à faire des projets, je suis la seule à conserver mes convictions même en pleine tempête, je suis la seule à respecter le contrat et je suis la seule à donner tout mon temps et mon énergie au service de cette relation, je suis la seule à avoir perpétuellement des attentions, je suis la seule à avoir des attentes, je suis la seule à toujours tout prévoir et organiser et au final pour quel résultat ? Me sentir encore seule ?...Quelle belle récompense non ? Voilà pourquoi je ne peux plus miser sur un avenir commun avec un autre être humain…personne n’est comme moi !

L’être rêvé, relié à moi dont parle Platon, avec lequel je suis sensée former l’union parfaite sans couture apparente et être heureuse m’échappe encore. Je ne peux donc pas ignorer le manque, je n’éprouve que des désirs insatisfaits et craint de me rabattre sur un autre sans intérêt. Je sens les conflits et le chaos qui me guettent. J’aimerais enfin réunir ce TOUT !

Je m’inflige la plus douloureuse des conditions : éprouver en permanence une pénible sensation d’incomplétude avec le manque de ma moitié perdue qui se trouve quelque part, tourbillonnant dans l’univers sous la forme d’une autre personne. Dois-je me persuader de l’existence de cette âme sœur ? En m’unissant à elle, je retrouverai ma forme originelle et ne souffrirai plus jamais de la solitude…

Quel fantasme singulier de l’intimité humaine…

[choses-dingen]

Coup de coeur pour "Un chien à ma table" de Claudie Hunzinger, 82 ans

Un soir, une jeune chienne, traînant une sale histoire avec sa chaîne brisée, surgit à la porte d’un vieux couple  : Sophie, romancière, qui aime la nature et les marches en forêt et son compagnon Grieg, déjà sorti du monde, dormant le jour et lisant la nuit, survivant grâce à la littérature. D’où vient cette bête blessée  ? Qu’a-t-elle vécu  ? Est-on à sa poursuite  ? Son irruption va transformer la vieillesse du monde, celle d’un couple, celle d’une femme, en ode à la vie, nous montrant qu’un autre chemin est possible. Un chien à ma table relie le féminin révolté et la nature saccagée  : si notre époque inquiétante semble menacer notre avenir et celui des livres, les poètes des temps de détresse sauvent ce qu’il nous reste d’humanité.

Le crépuscule d'une vie et du monde La Libre Belgique 15.11.2022 Un abri dans le chaos Le Devoir 12.11.2022

Claudie Hunzinger est l'invitée de L'heure bleue 5-12-2022

[christophe76460]

VOUS N’ÊTES PAS VENU SUR TERRE PAR HASARD !

"L’ÉTERNEL A TOUT FAIT POUR UN BUT…" Proverbes 16.4

La crise d’identité et l’absence de vision font probablement partie des plus grands fléaux qui frappent la société contemporaine. Face à une telle confusion, je voudrais vous rappeler que vous n’êtes pas sur terre par hasard. Dieu vous a créé pour un but bien précis et vous le découvrirez au fur et à mesure que vous croîtrez dans sa connaissance. Vous n’êtes pas né par accident. Votre conception a pu être un accident, mais votre création spirituelle n’en est pas un.

Même si vos parents ne vous attendaient pas, Dieu vous voulait et il s’est arrangé pour que vous veniez sur terre à cette époque. Vous avez un but, vous avez un potentiel immense, vous êtes un entrepôt rempli de merveilleux grains : des richesses, des talents, des dons que Dieu a placés en vous pour le glorifier et pour servir votre génération. Vous n’êtes pas venu sur terre pour survivre, pour souffrir ou pour vivre continuellement dans la misère, le chaos, la frustration, l’oppression, la compression ou la dépression.

Dieu a pour vous des projets merveilleux de paix et non de malheur, pour vous donner un avenir et de l’espérance (Jérémie 29.11). Dieu sait qu’une personne sans espérance est déjà morte. La seule question reste "quand sera-t-elle enterrée ?"

Je crois en effet qu’il y a 3 jours importants dans votre vie :

- Le jour de votre naissance physique

- Le jour de votre nouvelle naissance, lorsque vous recevez Jésus-Christ

- Le jour où vous découvrez pourquoi Dieu vous a envoyé sur terre

Il y a un sens, un but à votre existence, et vous n’êtes pas venu sur terre pour accompagner les autres. Il y a une problématique sur cette terre qui a absolument besoin de votre présence et de votre intervention (ou action). Vous avez un rôle à jouer. Refusez de quitter la terre sans réaliser ce but car vous n’êtes pas venu sur terre par hasard. Souvenez-vous en !

Une prière pour aujourd’hui

Seigneur, je te prie de déchirer le voile de mes yeux afin de laisser entrer la lumière de ta connaissance et du plan parfait que tu as pour moi. Illumine les yeux de mon cœur afin que je comprenne ma valeur en Christ, et que j’accomplisse ma part dans cet immense plan parfait qui contribue à répandre ton règne sur terre. Fais-le pour ta seule gloire au nom de Jésus, Amen.

(Yvan Castanou)