Tumgik
#chaque jour un film
suburbangothic-rp · 1 month
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suburban gothic;
inspiré par twin peaks, desperate housewives, six feet under, hereditary, welcome to nightvale, euphoria, totally fucked up, american beauty, pretty little liars, murder she wrote, east of eden.
Par où commencer pour présenter ce monde? Pas de contexte déjà rédigé pour le moment, l’idée n’est que latente; si les rues ne se remplissent pas, à quoi bon y bâtir des maisons? Mais l’idée se fait pesante, lourde de ses possibilités.
Pennsylvanie, au pied des Appalaches, la rouille industrielle qui se bat contre la nature sauvage, elle-même lacérée par le tracé méticuleux de l’asphalte. Le long de l’une des ces longues routes, une ville. Une parmi tant d’autres, des milliers comme elle. Plantée sur une grille qui structure l’espace; au centre-ville et à ses bâtiments denses succède l’harmonie de la banlieue résidentielle. L’ordre s’y confond avec la monotonie, le charme se dilue dans l’ennui. L’architecture humaine se révèle creuse, les fissures laissent s’en échapper les échos de complaintes qu’on aurait voulu recouvrir de béton, de gazon ou de peinture fraîche. L’horreur s’excite avec chaque désillusion, secret, péché, danger, crime, frustrations. Le futur est riche en promesses mais demain n’est jamais un autre jour, inéluctable répétition d’hier. On enterre ses rêves sous un lit de bégonias dont on prend soin avec fureur et hystérie, dans l’énergie du désespoir, jusqu’au jour où une bande d’adolescents les piétine pour s'amuser.
La ville est séparée en quartiers; #1 est un petit centre-ville, le lieu des rencontres fortuites, main street, le cœur administratif et commercial du lieu. #2 est un ancien village rattaché à la ville, avec ses rues pittoresques, ses habitants qui n’aiment pas les visiteurs, le calme acheté à prix fort, les fermes reconverties. #3 est l’ancien bassin minier, abandonné, peuplé de mythes et de terreurs, peu à peu remplacé par l’industrie forestière. #4 est la banlieue résidentielle, le théâtre principal de notre jeu de dupes.
L’horreur vient de l’intérieur; du plus vaste, l’intérieur des frontières nationales, au plus intime: le foyer et l’individu. L’extérieur projette: un pays puissant et prospère, des rues propres, un voisinage aimable, des bonnes manières et de jolies choses. Le tout tient du mirage. À l’intérieur, rien ne va, on est à deux doigts de tomber dans le ravin. Les valeurs fières et heureuses sont corrompues; la communauté devient une prison, la religion devient une manipulation, le politique s’achète, la propriété creuse les dettes, le couple se brise.
Tout ne va pas mal; même si le gothique est souvent très sombre, il y existe aussi une place pour d’autres histoires. Edward Scissorhands est LE film du suburban gothic et c’est loin d’être un film d’horreur. Twin Peaks et True Blood mélangent un ton mystérieux avec des moments plus légers. L’excentricité ou la bizarrerie des personnages est d’ailleurs souvent un symptôme des rouages sombres qui font tourner l’histoire. Les tags associés au gothique sur Tumblr mènent à des contenus sinistres, mais chacun.e est libre d’aller un peu plus loin. À titre personnel par exemple, je pense que les Sims 2 est un jeu à l’ambiance gothique (: On fait ce qu’on veut avec le concept de gothique, et ce sera pareil sur le forum si le projet séduit et intéresse. (si besoin, je peux rédiger un texte un peu plus élaboré sur l'american gothic et ses déclinaisons régionales/thématiques)
Les années 2010; LA décennie des différentes gothic aesthetics. L’une des pires crises financières de l’histoire est passée par là et a fait beaucoup de mal au rêve américain. Le traumatisme est bien là, encore aujourd’hui, chez les individus comme dans les sociétés dans lesquelles ils évoluent. Le paysage de certaines régions change durablement; dans le Midwest, dans le sud, dans la Rust Belt. Une nouvelle tâche sur la mystique de l’Amérique. The American Nightmare.
J’ai beaucoup écrit et si vous avez lu jusque là – merci vraiment, et euh, pardon. C’est avant tout une bouteille à la mer, ce post. S’il trouve sa destination, alors on en fera germer les prémices. Il y a de quoi faire je pense. Les remarques, questions, suggestions, toutes bienvenues, j'ai envie de lire un peu après avoir autant écrit.
Contenu additionel; sera posté s'il y a de l'intérêt – le contexte, évidemment – mécanismes de jeu, animations – les postes vacants, leurs dynamiques – la ville, son monde, son histoire – les racines, l'inspiration – aes
un dernier mot: le tumblr n'est pas encore complètement fonctionnel, la plupart des liens est sous construction.
photo: edgar martins, éditée pour suburban gothic.
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abridurif · 3 months
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Le journal est une forme d’écriture désœuvrée. On n’y cherche pas la représentation. C’est la vie même qui s’y déverse. Encore plus que dans les lettres, parce que les lettres qu’on écrit peuvent subir l’influence de leurs destinataires. Le journal a une pureté qui procède de son impureté. Il n’y a pas de sujet noble ni dérisoire dans un journal intime, n’importe quoi peut être livré aux pages du cahier. Il le faut. Tenir une main courante prend du temps mais cela permet aussi d’en conserver l’esprit ; l’esprit du temps. C’est important de déposer les réflexions et les faits, parce que sinon tout s’évapore. Il ne reste rien d’il y a trois jours. Si j’écris chaque jour ce que j’ai vu, en regardant simplement autour de moi, en saisissant ce qui se passe, c’est parce que je sais que tout s’évapore. Si j’écris ce qui se passe en moi quand je regarde une image fixe, un tableau, un film, c’est parce que je sais que mes impressions vont se désintégrer. Mon esprit est plein de déchets. Ce sont les résidus de pensées nées dans la solitude ou dans une conversation. Un peu comme dans notre galaxie où gravitent des millions de déchets. Dans l’infiniment grand, cela représente un problème de sécurité. Tandis qu’à mon échelle, c’est bénin. Inoffensif, mon journal est dur, pourtant. Dur et pas beau. Mais nous n’avons pas à nous demander si c’est laid ou si c’est beau, à vrai dire. Le sentiment d’avoir créé quelque chose qui a de la vie est supérieur à ces deux notions de laid et de beau. Pour moi, c’est le seul critère en matière d’art. Et ce qui a de la vie ne cherche pas à devenir une œuvre d’art, cela advient. Ou pas. Gaëlle Obiégly, Sans valeur, Bayard Éditions, 2023
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desviesennoiretblanc · 7 months
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Hier est déjà du passé
Il y a eu ce gros chat qui, un jour de décembre 2023, m'a suivie d'un bout à l'autre de la rue jusque chez moi. Depuis, lorsque j'approche de son domicile, il miaule et vient à ma rencontre. Nous échangeons un bonjour et quelques caresses (à sens unique, cela dit). Un nouvel ami ?
Il y a eu des émotions d'ordre culturel, au cours de la même semaine, celle du 19 au 25 février 2024. Émotions cinématographiques d'abord, avec le film Sans jamais nous connaître d'Andrew Haigh, belle histoire d'amour et de fantômes sur fond de Pet Shop Boys ou de Frankie Goes To Hollywood. Émotions théâtrales ensuite, avec la pièce Il n'y a pas de Ajar, où planait un autre fantôme, celui d'Émile Ajar, double de Romain Gary, à travers la voix de son fils, Abraham, imaginé par Delphine Horvilleur pour nous questionner sur notre/nos identité(s) ; un spectacle hilarant, émouvant, talentueusement mis en scène et interprété par Johanna Nizard.
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Il y a eu des pensées. Je sais que j'ai pensé à lui. Je crois que j'ai pensé à lui chaque jour sans en avoir conscience. Penser à lui, c'est un peu comme respirer, je le fais sans m'en rendre compte. Est-ce que si j'arrête de penser à lui, j'arrête de vivre ?
Il y a eu des oiseaux. Ces mouettes qui faisaient un boucan d'enfer (qui poussaient des cris d'orfraie ?) alors que je tentais de me concentrer sur ma lecture sur le quai de la gare d'Amiens. Et ces pies occupées à déheuter (verbe picard) la terre des jardins, captivantes à observer.
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ekman · 4 months
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Je parlais il n’y a pas longtemps, ici même, de ce mensonge qui nous coûte tant. Imaginons que l’Occident soit né à Athènes et qu’il se termine maintenant à Washington. À quel moment de notre longue histoire la vertu fut-elle suffisamment enseignée et pratiquée pour que le mensonge reculât ? Dans quels replis du temps l’homme occidental se réalisa-t-il, exempt de culpabilité ou émancipé d’une morale absurde pour ne regarder que la réalité de sa condition et accepter toutes ses vérités ? Nous faut-il imaginer que l’homme fut libre tant qu’il se considérait comme l’auteur, l’acteur et le spectateur de sa pensée ? Que dès qu’il accepta l’idée qu’une entité morale supérieure, évanescente, omnipotente et insaisissable pût lui être supérieure et juger ses actes, il cessa simplement d’être libre, autant que maître de son destin ? C’est la collision entre l’état hélléno-romain de l’identité profonde – fondé sur les principes de survie et d’élévation – et l’état judéo-messianique, bâti sur la croyance et l’espérance.
Je crois que nous trainons chaque jour les nombreux boulets apparus dans cet antagonisme qui a façonné l’homme européen moderne et sa victime sacrificielle, le post-moderne. La meilleure preuve de ce tragique conflit est son produit, à savoir le chrétien, riche des fruits d’un heureux syncrétisme entre deux mondes, incapable au demeurant d’en assumer l’intelligence et la finesse autant que la force et le potentiel conquérant. Comprenez que l’homme occidental, à qui les Dieux donnèrent tous les atouts pour conduire les conquêtes – et qui les réalisa, n’en assuma plus aucune dès lors qu’il ne reconnut qu’un seul Dieu, moral, autoritaire, définitif... égalitaire.
Il y eut partout des exceptions à cette analyse, qui furent autant de tentatives flamboyantes et vaines. Une image me traverse l’esprit, dont je fais un exemple : “Aguirre, ou la colère de Dieu”. Film remarquable, tourné en 1972 par Werner Herzog. Tout y est : l’absurde violence d’un ordre moral sans queue ni tête dès lors qu’il est confronté à la violence fondamentale de la nature, de l’anthropologie et de la biologie. La valse pathétique des ambitions humaines, la grossièreté des appétits sexuels, la prévalence du sadisme sur la plus élémentaire vertu... L’homme, au fur et à mesure qu’il perd le contact avec la sphère morale formelle des sentiments appris, retrouve sans délai tous les appétits du mammifère confronté aux exigences incontournables de sa survie. 
Aguirre remonte sa rivière au fur et à mesure qu’il descend le fleuve. 
Sommes-nous très différents de lui, qui tentons de revenir aux racines de notre être pour en exciper d’hypothétiques vertus ? Tant parmi nous portent sur leurs pauvres épaules le poids de pêchés qu’ils reconnaissent tant bien que mal, évidentes contradictions de leurs intentions premières. (...)
J.-M. M.
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Victor Pelevine a publié un livre satirique divertissant intitulé Transhumanism INC.
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Pour ceux qui ne le connaissent pas, Pelevine est probablement l’écrivain russe vivant le plus important, un Voltaire du XXIe siècle, en quelque sorte. C’est une énigme, car personne ne l’a aperçu au cours des dix dernières années, bien qu’il produise un livre par an, et le publie invariablement au début du mois de septembre. Ses premiers livres ont été traduits et publiés en Occident, surtout pour leur côté antisoviétique. Plus tard, il a attaqué (ou raillé) l’ordre du jour occidental dominant, et on a cessé de le publier en anglais, alors que ses livres sont imprimés à des millions d’exemplaires pour les lecteurs russes politiquement incorrects. Un lecteur de Ron Unz apprécierait ses écrits satiriques. Pelevine s’intéresse à Wikileaks et à l’Afghanistan (The Anti-Aircraft Codes of Al Efesbi), aux droits de l’homme comme prétexte aux bombardements (S.N.U.F.F.), aux rôles des sexes et à la diversité (IPhuck 10), au politiquement correct comme complot du GRU contre la société américaine (The Art of Light Touches), et maintenant il s’en prend au transhumanisme.
L’histoire se déroule dans 300 ans. Les personnes les plus importantes du monde se sont débarrassées de leur corps et ont déplacé leur cerveau pour qu’il soit conservé et entretenu pour toujours par Transhumanism Inc. pendant qu’ils profitent des plaisirs paradisiaques induits par le numérique. Chaque humain a un implant cérébral et se laisse guider par l’IA. Le sale boulot est fait par des esclaves clonés qui sont tous blancs pour se conformer aux idées de BLM. Selon la loi, les esclaves doivent toujours porter un masque sur le visage, quelle que soit la situation épidémiologique. Les esclaves eux-mêmes ne tombent pas malades, mais ils propagent les virus de manière asymptomatique. Il n’y a pratiquement pas de sexe, tel que nous le connaissons: les femmes préfèrent sodomiser leurs partenaires masculins pour se venger du patriarcat. L’agenda vert a gagné ; il n’y a plus de voitures, seulement des chevaux et des calèches à puce. L’électricité est chère et les gens se débrouillent avec des lampes à kérosène.
La Transhumanism Inc. a une filiale, Open Mind, qui s’occupe de l’esprit des gens. Open Mind est un Facebook amélioré auquel vous ne pouvez pas échapper, ou des lunettes intelligentes de Google que vous ne pouvez pas enlever. Lorsque vous regardez une personne ou un bâtiment, ou que vous écoutez une chanson, Open Mind vous suggère la bonne réaction, la bonne évaluation. La fille d’un banquier a l’air charmante, une chanson populaire a l’air populaire, dès lors que les créateurs ont payé la publicité ad hoc. Ainsi, les réactions humaines sont gardées sous contrôle. Ce système coexiste avec la politique locale. Dans le roman, la Russie a un gouvernement quasi communiste-nationaliste qui a également accès à l’implant, mais la grande majorité des réponses est déterminée par le marché, c’est-à-dire par la Transhumanism Inc. Le grand dirigeant russe communiste-nationaliste, un Poutine sous stéroïdes, a également son cerveau stocké, à côté de celui du Cheikh Ahmed, le chef du djihad mondial.
Ce n’est pas très différent de ce que nous avons aujourd’hui. Les gouvernements diffèrent, les partis diffèrent, de Poutine à Modi, de Biden à Merkel, mais les réponses humaines et l’ordre du jour sont assez similaires dans le monde entier, qu’il s’agisse du covid ou du climat, de la privatisation ou du transgenrisme. Là où ils ne sont pas si superposables, ils se rapprochent de cette similitude. Dans le triste monde du transhumanisme, les dirigeants ont succombé à la tentation suprême de vivre éternellement au paradis tout en restant en contact avec leurs pays. Leurs cerveaux (placés dans des bocaux) reposent sur une étagère dans une cave bien protégée à Londres ou dans le Nevada, mais à tout moment, ils peuvent se connecter à leurs assistants (comme dans le film Avatar) et interagir avec des personnes de moindre importance.
(Extrait d’un billet d’Israël Shamir)
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jacquesdor-poesie · 1 year
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Qui va là ? Le temps l'espace d'un instant. Nous empruntons son tunnel, nous sommes bien coiffés avec des chaussures neuves. Et puis, à peine le temps d'une amourette, d'un abandon, d'une balade en forêt et c'est déjà la sonnerie ; la sortie de l'usine, la fin de la récréation, la fin de l'entracte. Éblouissement à la sortie du tunnel c'est ça, paraît-il, que nous propose le cerveau comme image de fin. Dommage, je m'étais habitué au baiser à la fin du film, suivi du mot fin écrit en toutes lettres. Vous avez remarqué, depuis que tout fini chaque jour un peu plus à la surface du monde, le mot fin à disparu...
jacques dor
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alexar60 · 1 year
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Souvenirs d'autres vies
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Depuis ma plus jeune enfance, la réincarnation m’a toujours fasciné. J’avais 10 ans quand je m’y suis intéressé après avoir vu le film « Audrey Rose » avec Anthony Hopkins. C’était l’histoire d’une fille qui faisait le même cauchemar, celui de mourir brulée vive dans une voiture. Un jour, un homme prend contact avec ses parents et annonce que leur fille était la réincarnation de la sienne morte dans un accident de voiture. Comme il passait dans les dossiers de l’écran, j’avais regardé le débat qui suivit et fut fasciné d’entendre des gens parler de leur vie antérieure. Je me souviens entre autre de l’acteur Jean Le Poulain (pour ceux qui regardaient ‘au théâtre ce soir’).
J’avais une vingtaine d’années lorsqu’un ami proposa qu’on fasse une séance de régression. Nous partîmes rencontrer une de ses connaissances ayant quelques talents. Ce fut intéressant car cela marcha pour mes potes. L’un s’est vu en grognard pendant une bataille, l’autre en paysan vivant près d’un volcan en activité. Quant à moi, le médium (je ne sais pas si on les appelle comme ça) m’a prévenu que ce serait impossible. Parce qu’il sentait un blocage en mon esprit. D’après lui, j’aurais vécu quelque-chose de terrible. Il avait ajouté que je faisais partie de « ceux qui meurent dans la misère et sont reconnu tardivement pour leur œuvre »
Enfin, il me donna conseil pour essayer une pratique seule et régulière. Alors, chaque soir, je me couchais dans les meilleures conditions pour faire des régressions. Je m’allongeai sur le dos dans le noir complet. Je devais me détendre et me concentrer sur une lumière dans mon esprit, puis j’avançais vers cette lumière et je devais ouvrir une porte difficilement visible. En fait je ne me souviens pas l’avoir ouverte une fois.
Je ne sais pas si cela a réellement marché. Par contre, je me réveillais avec de sacrés rêves semblables à des épisodes de vies antérieures.
J’ai souvenir d’être à table dans une taverne. Je bois un verre avec un homme. Il sourit, il porte des cheveux longs et une petite moustache. Je ne sais pas à quelle période exactement, mais je sais que c’est un mousquetaire.
J’ai été quelqu’un sans importance, un bourgeois ou un paysan et j’ai assisté à un combat entre chevaliers en armure. Etait-ce un duel ou un tournoi ? Je ne sais pas. Ils se battaient à pieds et à l’épée.
La dernière expérience qui est apparue date d’il y a une dizaine d’années. J’étais un européen en plein XVIIIe siècle à la recherche d’une jeune femme dans un village japonais. Chose étonnante, car il me semble que le Japon était interdit aux européens durant ce siècle.
Mais celui qui m’a le plus marqué fut le souvenir d’une bataille. J’étais sur un chariot à me défendre lorsque je reçus un coup violent derrière la tête me faisant tomber au sol. Dès lors, je m’envolais et vis mon corps étendu au milieu d’autres. Je me suis senti voler au-dessus d’une forêt et j’ai vu des centaines de personnes courir et fuir la bataille. C’étaient principalement des femmes et des enfants. J’ai vu une jeune femme portant un bébé dans ses bras. En la voyant, je me suis dit qu’elle avait de l’importance pour moi.
Vingt ans plus tard, je rencontrais et sympathisais avec une femme pour qui j’eus un coup de foudre. Durant une discussion, alors que je n’avais jamais parlé de mes pseudos régressions, nous parlâmes de la réincarnation. Elle expliqua qu’une de ses amies avait des dons et lui avait racontée qu’elle était une amazone dans sa première vie. Dans sa seconde vie, elle était mariée avec son âme-sœur qui eut une mort violente. Son amie dit l’avoir vu fuir à travers une forêt en tenant sa fille dans ses bras (qui serait dans sa vie actuelle, une de ses sœurs). Son amie ajouta qu’elle louperait son âme-sœur à chaque fois qu’elle le rencontrera et qu’il finira très pauvre dans cette vie.
Son histoire me fit froid dans le dos. D’abord parce qu’entre elle et moi, l’idylle est impossible. D’ailleurs, nous ne vivons plus dans la même région. Mais aussi parce que la fin de son âme-sœur rappelle ce que m’avait dit le médium. Enfin, tout ceci n’est peut-être qu’une coïncidence, tout comme le nombre de fois que nos chemins se sont croisés. Mais là, c’est un autre sujet.
Après réflexion, j’aurais dû vous raconter que j’étais un homme préhistorique. Un jour, un extra-terrestre nous a appris à faire du feu. Pour le remercier, nous l’avons mangé. C’est pour cela que les extra-terrestres ne veulent plus se montrer. Ils ont peur qu’on recommence.  
Alex@r60 – août 2023
Photo de Philip McKay
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hors--norme · 3 days
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Alors que chaque jour tout devient de plus en plus artificiel, un retour à l'ère de la photographie argentique, aux joies de la lomographie et à l'expérimentation kaléidoscopique. Découvre les photographies hors-norme de deux obscurs artistes dolois : Alain Grille et Alexis Kolesnikoff. Le vernissage sera l'occasion d'assister à une projection de films plus ou moins abstraits réalisés autour de Dole et ailleurs. https://audetour-dole.fr/evenements-culturels-concert-expo/ Si tu passes en janvier ou février 2025 à Dole ne rate pas cette exposition au Bar Au Détour, car ce n'est pas souvent que je participe a des expositions. La dernière fois remonte à 2017 lors du micro festival Necktar https://www.flickr.com/photos/exposition_monstre_permanente/ Pour te faire une idée des vidéos qui seront projetées en voici trois assez représentatives.
Celle-ci a été filmé à la visitation à Dole, même si avec le filtre DIY lors de la capture et l'usage d'une superposition de film préparé en super 8 à l'édition il faut le deviner ;)
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Celle-la on le voit mieux a été filmée à la grotte de Baumes les messieurs.
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Et cette dernière à la fontaine de Foucherans.
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Je ne peux pas le faire pour Alain car ses photos ne sont pas sur internet ce sera donc une occasion unique de les voir. Mais j'en profite pour faire un récapitulatif des liens ou on peut les voir. Les plus anciennes sont sur la première version de mon vieux site internet http://morne.free.fr/celluledessites/morne/exist/abim/exist/9galeriephoto.htm et sur sa seconde version http://morne.free.fr/existance/photographies/index.htm Ensuite la plupart sont sur des galeries Flickr https://www.flickr.com/photos/galerie_partage_libre/ https://www.flickr.com/photos/reflexionautomatique/ https://www.flickr.com/photos/aufinfonddelecran/ https://www.flickr.com/photos/remanencephotographique/ https://www.flickr.com/photos/lepetitcafe/ https://www.flickr.com/photos/maudit_estuaire/ https://www.flickr.com/photos/amarokamok/ https://www.flickr.com/photos/smahli/with/4410922745 https://www.flickr.com/photos/73227671@N03/ https://www.flickr.com/photos/75795637@N06/ https://www.flickr.com/photos/graphicoil/ puis sur Deviant Art https://www.deviantart.com/ed---end/gallery et pour finir sur Redbubble https://www.redbubble.com/fr/people/edend/shop ou ici. Souvent quand elles sont très réussies je les utilise pour faire des pochettes de mes albums ( qui sont tous en téléchargement gratuit dans l'archive du netlabel https://archive.org/details/le-colibri-necrophile ou en écoute sur la Radio Free Albemuthorsnorme http://www.horsnorme.org/Radio_Free_Albemuth/) comme ces trois exemples.
Save_From_Oblivion_Twin_Realities_Dreamers
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Genesis Launch by rADio eNd
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OddSchool by rADio eNd
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cruelviolence · 9 days
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Amour d’automne 🧸🍂💌
L’automne est ma saison préférée car c’est la période où je ressors mes bottines préférées
Octobre s’approche et j’ai toujours voulu écrire une histoire d’amour
Je voudrais voler le cœur de quelqu’un
Je n’ai jamais dit que l’amour n’existait pas
L’amour c’est beau chez les autres
Octobre s’approche et j’attends toujours qu’il arrive
Mon cœur veut le conquérir et qu’il soit avec moi
Je n’imagine même pas toutes les filles qui ont pu être avec lui
Je veux réparer son cœur et qu’il voit ma douceur
Je suis celle qui l’attendait le moins et je peux être meilleure qu’elles
Octobre c’est son mois d’anniversaire et si on était déjà ensemble je voudrais qu’il me regarde dans les yeux et que je suis son plus beau cadeau
Si seulement nos âmes pouvaient se rencontrer ?
L’automne c’est la saison où on trouve l’amour et réchauffer le cœur de l’autre
Je voudrais réchauffer son cœur et sentir sa peau sur ma peau
Me réchauffer avec un plaid et poser ma tête sur sa poitrine
Je voudrais qu’il soit mon mémoire d’automne
Ce roman d’amour qui attend toujours le début d’une vie amoureuse comme dans mes films préférés
Je voudrais être son ange gardien et le protéger pour qu’il puisse être heureux avec moi
Même si l’amour me fait peur je peux sentir sa présence lorsque je ferme les yeux
Alors que je m’attendais pas du tout que ça soit lui
Un amour d’automne qui n’a jamais été aussi fort
Je n’ai jamais pleuré pour quelqu’un d’autre que lui
Je veux qu’il soit mon premier et mon dernier amour
L’automne arrive et à chaque fois je penserais toujours à lui jusqu’à le jour viendra où nos cœurs se rencontreront
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chapeau-cowboy · 9 days
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À quoi ressemblait la vie d’un cow-boy ?
Ah, la vie de cow-boy ! C’est un mythe qui fascine encore aujourd’hui, des films western de John Wayne aux romans inspirants de l’époque. Mais qu'en était-il vraiment ? Entre l’image romancée du cow-boy des western classiques et la réalité plus terre-à-terre, découvrons ensemble à quoi ressemblait la vie d’un cow-boy.
Une journée dans la vie d’un cow-boy
Le cow-boy typique passait ses journées dans les grands espaces du Far West, travaillant sur des ranchs pour s’occuper du bétail. La journée commençait tôt, souvent avant le lever du soleil, avec des tâches comme le rassemblement des troupeaux ou la vérification des clôtures. Travailler dans le canyon ou les prairies demandait une équitation habile et une endurance à toute épreuve.
Les chevauchées fantastiques étaient fréquentes, avec des trajets qui pouvaient durer des heures pour trouver de l’eau ou surveiller les bovins. La selle et le chapeau de cow-boy étaient des accessoires indispensables, offrant protection et style dans un environnement rude.
Les défis de la vie de cow-boy
Contrairement à l'image du cow-boy dans les films américains, la vie réelle était souvent difficile et monotone. Les cow-boys travaillaient jusqu'à 20 heures par jour, en se protégeant non seulement des prédateurs mais aussi des tempêtes et des bousculades nocturnes. Les salaires étaient modestes, oscillant entre 25 et 40 dollars par mois, malgré le dur labeur.
Les rassemblements de printemps et d'automne étaient des moments cruciaux. Les cow-boys marquaient les veaux, castraient les bêtes, et préparaient le bétail pour les longues conduites vers les villes de l'élevage de bétail. Ces chemins comme la piste Chisholm étaient souvent semés d'embûches et de risques.
La diversité des cow-boys
L'image du cow-boy blanc et solitaire est largement véhiculée dans les western modernes, mais la réalité était beaucoup plus diverse. Au Texas, par exemple, un tiers des cow-boys étaient afro-américains ou mexico-américains. La répartition raciale variait selon les régions, et chaque cow-boy apportait sa propre histoire et ses compétences à ce métier exigeant.
Les équipements et la tenue vestimentaire
La tenue d’un cow-boy était avant tout fonctionnelle. Des bottes hautes, un chapeau de cow-boy pour se protéger du soleil, et des vêtements robustes étaient essentiels. Les éperons et le lariat faisaient aussi partie de l’équipement standard. En effet, le cow-boy devait être prêt à affronter tous les éléments de la nature tout en gérant le cheptel et les bovins.
Vie sociale et culturelle
Le cow-boy vivait dans un monde où les relations sociales étaient souvent aussi rudes que le travail lui-même. Les soirées dans les saloon étaient un moment de détente, parfois accompagné de danses country et de musique. Cependant, la vie en ville n’était pas sans conflits. Les portraits des cow-boys variaient entre l’image du héros courageux et celle du voyou de la frontière.
L'héritage du cow-boy
Malgré la rudesse de la vie de cow-boy, le métier a laissé une empreinte durable dans la culture américaine. Les récits de cow-boys ont inspiré des films westerns, des bandes dessinées comme Lucky Luke, et même des festivals de country. Le cow-boy est devenu un symbole de liberté et d’indépendance, même si la réalité était parfois bien différente de la légende.
En conclusion, la vie d’un cow-boy était loin d’être une simple aventure à cheval dans les grandes plaines américaines. C’était un métier exigeant, souvent sous-estimé, mais toujours empreint d’un esprit de liberté et de courage. Que ce soit en équitation western ou en rodéo, le cow-boy continue de captiver notre imagination et de définir une partie importante de l’histoire de l’Ouest américain.
FAQ : À quoi ressemblait la vie d’un cow-boy ?
1. Qu'est-ce qu'un cow-boy exactement ?
Un cow-boy est un ouvrier agricole spécialisé dans l’élevage du bétail, principalement dans les vastes espaces du Far West américain. Contrairement aux images romantiques véhiculées par les films et les romans, les cow-boys étaient souvent des travailleurs mal payés, engagés dans des tâches épuisantes et difficiles. Le terme cow-boy est apparu au début des années 1830 au Texas et désignait à l'origine des pillards de bétail avant d'être attribué aux ouvriers agricoles après la Guerre de Sécession.
2. Quelle était la vie quotidienne d'un cow-boy ?
La vie quotidienne d'un cow-boy était centrée autour des grands rassemblements de bétail et des longues conduites vers les marchés. Les journées étaient marquées par des heures de travail intenses, souvent jusqu’à 20 heures par jour. Les cow-boys s'occupaient de tâches variées telles que marquer les veaux, castrer les animaux et gérer les troupeaux. Ils faisaient face à des défis comme les conditions climatiques extrêmes, les prédateurs et les bêtes sauvages.
3. Quels étaient les défis majeurs auxquels les cow-boys étaient confrontés ?
Les cow-boys faisaient face à de nombreux défis, notamment :
Conditions climatiques extrêmes : chaleur brûlante, froid intense et tempêtes.
Risques liés au bétail : bétail errant, bousculades nocturnes et attaques de prédateurs.
Travail difficile : tâches lourdes et salissantes avec des salaires souvent bas.
4. Les cow-boys étaient-ils tous des hommes blancs ?
Non, loin de là ! Bien que les cow-boys les plus connus dans les récits populaires soient souvent décrits comme blancs, la réalité était beaucoup plus diverse. Au Texas, par exemple, environ un tiers des cow-boys étaient afro-américains ou mexico-américains. La répartition raciale variait considérablement selon les régions.
5. Comment les cow-boys étaient-ils perçus à l'époque ?
Les perceptions des cow-boys étaient très variées. Certains les voyaient comme des aventuriers courageux et loyaux, tandis que d'autres les décrivaient comme des voyous sans foi ni loi. Les descriptions négatives venaient souvent de ceux qui les observaient en ville après une longue période sur les sentiers, tandis que ceux qui passaient du temps dans les pâturages les voyaient comme des travailleurs acharnés et courageux.
6. Quelle était la tenue vestimentaire typique d'un cow-boy ?
La tenue des cow-boys variait en fonction du climat et du terrain. Les éléments essentiels comprenaient :
Chapeau de cow-boy : large pour se protéger du soleil.
Chemise et pantalon : souvent en flanelle pour la chaleur.
Bottes à éperons : pour faciliter l'équitation et le travail avec le bétail.
Gilet et ceinture : pour porter des outils comme les cordes et les révolvers.
7. Les cow-boys utilisaient-ils des armes à feu ?
Oui, mais leur usage était souvent exagéré dans les récits populaires. Les cow-boys portaient des révolvers et des pistolets, mais la plupart d'entre eux n'étaient pas particulièrement habiles avec ces armes. Dans la réalité, les armes étaient principalement utilisées pour se défendre plutôt que pour des duels spectaculaires.
8. Comment la vie des cow-boys a-t-elle évolué avec le temps ?
Avec la clôture des pâturages et l'expansion des voies ferrées dans les années 1890, le cow-boy classique a commencé à disparaître. Le travail est devenu plus structuré et les grandes entreprises ont remplacé les petits ranchs. Cependant, l'image du cow-boy romantique perdure dans les films, les livres et les festivals western.
9. Quelle est l'héritage des cow-boys aujourd'hui ?
Aujourd'hui, l'esprit des cow-boys continue de vivre dans la culture populaire, les festivals western et les événements comme les rodéos. Les valeurs d'indépendance, de courage et de travail acharné associées aux cow-boys sont encore célébrées, et leur image reste un symbole emblématique de l'Ouest américain.
Si tu as d'autres questions sur la vie des cow-boys ou si tu souhaites explorer plus en détail cet univers fascinant, n'hésite pas à nous le faire savoir !
À voir aussi : D'où vient le nom "Cowboy" ?
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e642 · 9 months
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Je suis allée au ciné tout à l'heure pour voir the old oak. Et j'ai pensé beaucoup de choses via le film et via le reste de ma vie. Quand je suis arrivée dans la salle y'avait un mec de mon âge. Il m'a souri et je me suis surprise à penser que j'adorerais voir des films moins légers, plus engagés, plus vrais avec mon mec. Et j'ai à nouveau pensé que peut-être que oui, faudrait pas que j'accepte une telle différence entre nous. Faudrait peut-être que je rencontre quelqu'un réellement en phase avec moi. Qu'on fasse des trucs qui me font du bien durablement, qui me font réfléchir, qui me font grandir. Puis ensuite le film a commencé. Le personnage principal a perdu son chien qu'il adorait et moi j'ai pensé à quand je perdrai mon chat adoré et j'ai pleuré vraiment fort sur cette scène. Ensuite j'ai arrêté et le film a continué. Mais j'ai recommencé à pleurer parce que bien qu'il ait une teinte d'espoir ce film, un beau message, il soulève les horreurs du monde. Les guerres. Le racisme. L'intolérance. La souffrance. Le deuil. La pauvreté. Et je me sens profondément affectée par tout ce qu'il se passe et s'est passé dans le monde. Ça me brise le cœur toute cette répugnante peine causée par les humains. Ça m'a en fait démoralisée parce que j'ai pensé à toutes les choses infâmes que vivent les gens et je me suis sentie profondément égoïste de me plaindre depuis des années. Je sais, c'est pas comparable mais pendant 1h40 je me suis sentie comme une pauvre merde. Et même ça c'est égoïste parce que j'ai ramené ça à moi. On est sortis et je suis rentrée. Mon mec m'a pris la tête en faisant une crise de jalousie et en me prenant pour une débile. Et des fois, j'ai envie de lui dire ses 4 vérités, de le blesser si fort qu'il aurait un déclic. Mais j'ai juste soufflé. J'ai soufflé et j'ai allumé une clope en pensant que je perdrais juste du temps. Et que du temps j'en avais plus pour les partiels. Ouais les liens sont bancals (pourquoi on nous fait chier avec festivals et pas bancals, j'ai cru jusqu'à pas longtemps qu'on disait bancaux et banaux putain jsuis conne ça m'énerve ça aussi). Et jme suis rappelée que si je ratais je serais vraiment une bonne grosse bouffonne. Et je suis rongée par la peur de l'échec mais encore plus maintenant que j'ai fait chier tout le monde pour aller en psycho et réaliser après que j'aimais pas non plus. En fait j'crois que j'aime pas juste le système universitaire pas forcément les enseignements. Et là jsuis dehors et vraiment jme sens ridicule. Genre je pleure bcp en ce moment, c'est rare. J'ai passé des mois voire des années à avoir le regard sec et froid. Maintenant il est larmoyant et pitoyable. Je sais pas comment on fait pour sortir de ces cercles vicieux. Jdonne des conseils mais en fait, j'en sais rien. Je sais rien du tout. Et un bon gars disait la seule chose que je sais c'est que je ne sais rien. I feel it. Vraiment. Je comprends rien. Je sais que je suis pas foncièrement débile mais dernièrement (depuis bien un an), j'en doute un peu plus chaque jour. Est ce que je ne suis pas profondément bête pour constater mais jamais rien acter.
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Sous le voile silencieux de la nuit, la chambre semble flotter dans une mer d'obscurité. Les ombres dansent timidement sur les murs, échos de la lumière urbaine qui filtre à travers les rideaux tirés. Le monde semble s'être arrêté, pris dans une respiration collective et suspendue, tandis que je demeure éveillé, une sentinelle solitaire dans ce calme abyssal.
Le tic-tac de l'horloge devient un compagnon fidèle, chaque seconde marquant le passage du temps dans cette veille forcée. Les pensées virevoltent, comme des papillons de nuit attirés par une flamme invisible, impossibles à saisir, toujours hors d'atteinte. Les souvenirs et les rêves inachevés se mêlent, créant un ballet mélancolique qui berce mon esprit.
Les rues en contrebas sont désertes, la ville endormie sous un manteau de quiétude. Une rare voiture passe, ses phares déchirant la noirceur et projetant des éclats éphémères de lumière. Ce moment fugace rompt l'immobilité de la nuit, rappelant que la vie continue, même dans ces heures les plus silencieuses.
Je me lève et erre dans l'appartement, chaque pièce semblant prendre une nouvelle dimension dans cette obscurité nocturne. La cuisine, d'ordinaire si banale, devient un sanctuaire de solitude, où la lumière du réfrigérateur éblouit brièvement avant de disparaître, me laissant seul avec mes pensées. Le salon, habituellement empli de bruit et de mouvement, est désormais un espace de contemplation et de paix.
L'insomnie est une compagne familière, une présence constante dans ces nuits blanches. Elle apporte avec elle une sorte de clarté, une lucidité étrange qui ne peut être trouvée que dans le silence. Les questions existentielles, les regrets et les espoirs pour l'avenir, tout cela défile devant mes yeux comme un film en noir et blanc. Le monde semble plus vaste, et moi, plus minuscule, perdu dans l'immensité de mes réflexions.
Mais malgré cette solitude imposée, il y a une beauté indéniable dans ces heures volées à la nuit. Un moment de répit où le quotidien se dissout, où l'on peut se retrouver face à soi-même, sans artifices ni distractions. Et alors que les premières lueurs de l'aube commencent à poindre à l'horizon, apportant avec elles la promesse d'un nouveau jour, je me sens étrangement apaisé, prêt à accueillir la lumière après cette longue nuit de veille.
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swedesinstockholm · 11 months
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15 août
j'ai passé deux heures à marcher à travers la ville dans un état de désillusion complète ce soir, non pas de désillusion, d'illusion justement, je voulais dire delusion, delusional, delulu comme disent les jeunes américains, r. m'a écrit à quatre heures du matin pendant qu'il faisait une insomnie alors qu'il dormait dans une tente avec sa fille plantée dans le jardin de sa mère et y avait un orage et il entendait la musique des voisins et il arrivait plus à se rendormir et c'est à MOI qu'il a écrit of all people, il me demandait comment ça allait avec mon film, il pensait à moi et à mon film à quatre heures du matin dans une tente avec sa fille, comment je suis sensée ne pas être complètement delulu?
ce matin en lisant ses messages j'ai senti la joie couler partout dans mon corps et j'ai essayé d'en localiser la source, quelque part dans le thorax, au milieu, c'est là que je le sens quand je me sens aimée. même s'il m'aime pas amoureusement, il m'aime quand même. et quand je vivais encore dans l'illusion et que j'espérais passer un été d'amour avec lui à bruxelles, ça s'est peut être pas passé comme je l'espérais, mais finalement je suis quand même un peu en train de passer un été d'amour avec lui, amour à l'eau plate et à distance mais amour quand même. amour amour amour dans mon coeur ce soir pendant ma promenade, j'écoutais des trucs pop en m'imaginant les chanter avec sa fille chez lui pendant que je lui prépare des gâteaux dans la cuisine par exemple une tarte à la myrtille et on fait des petites chorégraphies et on chante en criant la chanson de caroline polachek et évidemment r. finit par tomber sous mon charme. delulu level 1000. je dois vraiment faire très attention.
à part ça je suis restée un bon quart d'heure accoudée à une balustrade qui surplombait la vallée et c'était vraiment bien de regarder quelque chose qui n'était pas mon écran d'ordinateur, tout ce vert, toute cette réalité, même si j'étais à moitié perdue dans mes fantasmes à l'intérieur de ma tête.
16 août
à chaque fois que j'écris avec r. avant de me coucher j'arrive pas à m'endormir après et j'arrive pas à me concentrer sur mon livre non plus. gaëlle obiégly dit que publier son journal c'est comme parler la bouche pleine et d'abord ça m'a vexée mais toutes mes jérémiades sur r. là c'est plus possible, même sur tumblr. on a regardé le nouvel épisode de how to ce soir et puis à onze heures il a dit bon je vais au lit mais on a encore passé trois quarts d'heures à s'écrire et il a évoqué notre future performance et le fait d'avoir ça dans notre futur commun, un peu comme une garantie qu'il va pas disparaître du jour au lendemain, qu'il veut rester là, qu'on va se revoir, ça me donne un très grand sentiment de sérénité. ça me rassure. même si en réalité c'est pas du tout une garantie, il peut tout à fait changer d'avis du jour au lendemain. il a changé de photo de profil sur whatsapp, heureusement il met que des photos où il est moche. je me demande s'il le fait par égard pour moi.
dans le nouvel épisode de how, john wilson mentionne sa rupture avec sa copine et j'étais honteusement satisfaite qu'il se retrouve seul comme moi. mais je parie que même lui ne voudrait pas de moi. j'ai l'impression d'avoir franchi un cap dans ma relation avec mon physique, que toute ma vie je me suis voilé la face et que je me suis enfin rendu compte que j'étais moche. peu importe l'angle sous lequel on me tourne, je suis moche, c'est un fait, c'est comme ça et je peux rien y faire. je comprends pas pourquoi ça m'a pris autant de temps pour sortir de mon illusion d'être un peu mignonne, ou au moins d'avoir un charme atypique. hier j'ai essayé de mettre du rouge à lèvres mais c'était encore pire. maintenant quand je vois des moches ça me rassure, j'ai l'impression qu'on fait partie de la même communauté des moches, je suis pas seule, on est des millions. des gens au physique disgracieux. vraiment disgracieux, pas comme gaëlle obiégly, cette impostrice.
17 août
jenna lyons dans real housewives of new york a ravivé mon feu de lesbienne qui dormait quelque part dans mon bas ventre et c'est fantastique. gaëlle obiégly dit que publier son journal c'est comme parler la bouche pleine mais elle a manifestement jamais vu jenna lyons marmonner des remarques sarcastiques tout en se goinfrant d'oreos périmés et de pringles au caviar dans real housewives of new york. rien de rédhibitoire là-dedans. j'ai lu qu'elle avait une maladie génétique qui fait qu'elle a des taches et des marques sur sa peau et qu'elle a pas de cils ni de sourcils et qu'elle a des trous dans ses cheveux et que ça a détruit sa confiance en elle parce qu'on la harcelait à l'école et qu'au début de sa carrière chez j. crew elle se trouvait affreuse sur les photos parce qu'elle avait pas encore trouvé son style, et puis elle a commencé à portes des grandes lunettes pour se camoufler derrière et des tenues qui montrent très peu de peau et elle attachait systématiquement ses cheveux en les plaquant en arrière pour cacher les trous et c'est devenu son style signature. elle dit qu'elle montre jamais ses jambes parce qu'elles ont des taches et de la cellulite et pendant une seconde je me suis dit est-ce que je devrais faire comme elle et cacher mes imperfections (non mais quel mot) et ne jamais montrer mes jambes moi non plus? mais non. je préfère être du côté de celles qui assument leurs imperfections (ce MOT), ou du moins qui essaient. même si ça "m'avantage pas." même si parfois je me demande si je devrais pas mettre plus de soin à "m'avantager." faire des efforts pour trouver un look qui "m'avantage," comme elle, pour me donner plus confiance en moi. un look qui me donne de la tenue, une consistance, une colonne vertébrale redressée. un look clean et net. sharp.
elle raconte aussi que sa mère avait le syndrome d'asperger et qu'elle avait pas d'amis et que donc elle lui avait jamais appris comment on se faisait des amis, comment ça fonctionnait, et qu'elle aussi elle avait du mal à se faire des amis, qu'elle savait toujours pas vraiment comment on faisait, qu'elle partait toujours du principe que les gens n'avaient pas envie de passer du temps avec elle et que donc elle attendait que ça vienne d'eux, pour ne pas prendre le risque du rejet. et j'ai pensé à maman, qui a peu d'amis elle aussi, même si elle a pas du tout asperger, et je me suis demandé si ma vie sociale maigrichonne venait de là. alors je me demande, est-ce que je peux encore apprendre à devenir sociable? est-ce qu'un jour j'aurai des vrais amis qui habitent à proximité de chez moi ET que j'ai envie de voir?
18 août
j'ai encore passé une heure sur whatsapp avec r. chaque soir je le fais se coucher de plus en plus tard, je rigolais toute seule avec les jambes en l'air en lisant ses messages et il me disait qu'il avait littéralement éclaté de rire quand j'avais dit un truc on se fait mourir de rire mutuellement et c'est merveilleux. j'ai lancé un concours de noms pour notre groupe inspiré par les feutres de bingo américains et puis il m'a fait un long message vocal pour m'expliquer qu'il adorait ma façon d'écrire sans accents ni majuscules et parfois quand il me dit certains trucs il me donne l'impression d'être quelqu'un de sage et de bon conseil, quelqu'un qui a de l'expérience de vie. de la bouteille. j'aime bien cette expression. c'est quoi cette sorcellerie? il m'a cassé ma relation avec mon physique mais en contrepartie il me fait voir d'autres facettes de moi que je vois absolument jamais.
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juleusse · 2 months
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Il a précisé que les environs l'appelaient Green Eyes. C'est vrai que ses yeux étaient joliment verts, je ne l'aurais pas cru. Je ne regarde pas assez les yeux des êtres...
Ma tête allait dans plusieurs directions. Je ne voulais pas être de ceux qui rejettent les êtres survivant à l'extérieur, par peur ou par dégoût, ou par les deux, comme le critiquent des films mainstreams. Néanmoins, je ne voulais pas être de ces jeunes gens aisés et innocents qui se font tromper, justement parce qu'ils ne voulaient pas être de ceux qui rejettent les moins aisés et innocents sans raison.
Puis, les yeux verts de Green Eyes s'étaient attardés sur mes affaires lorsqu'il ouvra la conversation, et celle-ci était curieusement focalisée sur mon entourage sain et ma vie qui s'écoulait sans difficultés financières. Lorsqu'il s'écria que je pourrais filmer sa vie, suite à ma confession sur mon temps cinématographique, je perdis mon humanité et lui dis que j'aimais la tranquillité et la solitude.
Il cria alors à Beauty de s'approcher. Il fit les présentations. Elle allait comme moi à la Nouvelle Orléans. Elle pensait que je m'appelais Sugar. Son regard me fit sentir tel un joli petit éclair à la vanille. Quelle dégoûtante sensation. Un guest à l'auberge à Montréal me l'avait déjà offerte, mais il avait été plus doux dans son approche.
Je crus pertinent de répliquer que je m'appelais plutôt Salt. Elle n'eut pas l'air de comprendre. Green Eyes, n'en parlons pas. Soudain, une frayeur me traversa. Et si c'était un jeu d'équipe ? L'un détournerait ma conscience tandis que l'autre filerait avec mes choses. Ça m'était arrivé en France. L'on avait résisté ce jour-là.
Mon apparence se fit donc contrariée. Beauty partit, je ne sais même plus comment. Green Eyes admit alors qu'il manquait d'argent. 1$ contre le retour de la tranquillité était embêtant mais, d'un autre côté, il y avait du temps avant que le bus ne démarre, et il me semblait qu'il n'y avait pas qu'un seul Green Eyes dans les environs. J'espérais donc acquérir une tranquillité totale dans le quartier avec le dollar.
Je partis quand-même marcher. Green Eyes pourrait être insatisfait, ou passer le mot à d'autres Green Eyes. Il plut néanmoins. De plus, entrer dans l'établissement où je pensais qu'était entrée la passagère sympathique d'Allemagne m'intéressait. Le rejet et la vulnérabilité me bloquaient néanmoins. C'était d'ailleurs pour ça que je m'étais mis à marcher, et en partie pour ça que je m'étais initialement assis loin de tout le monde, à l'ombre et à proximité de Green Eyes.
J'entrai dans l'établissement. Pas d'Allemande. Pas de toilettes. Pas de WiFi. Pas de coca. Je m'apprêtais à rester mais la vendeuse m'épargna en évoquant les toilettes du restaurant japonnais à côté. Il y eut à nouveau plusieurs chemins dans ma tête. l'Allemande était sûrement à l'intérieur mais c'était un restaurant, qui plus est Japonnais, et je ne souhaitais acquérir rien de plus qu'un coca. 1 dollar contre la solitude ça faisait déjà beaucoup. Enfin, pour un être bousculé par la peur du rejet et de la vulnérabilité, la démarche complète commençait à être gênante.
Mais l'extérieur était mouillé, l'attente encore importante et les Green Eyes peut-être toujours ambitieux. Puis fuck it, pourquoi pas vaincre ses peurs.
Malgré le peu de lumière, et le bois et le plastique isolant chaque table, je compris que l'Allemande n'était pas là. Fuck. Les employés du lieu de restauration japonaise, qui semblaient être beaucoup de choses si ce n'est Japonais, eurent de la difficulté à gérer mon cas particulier. L'on me donna une table et mon coca, mais l'on vint régulièrement s'assurer que je ne voulais pas plus que le sombre liquide gazeux, que je ne voulais pas plutôt de la nourriture japonaise, et, tout aussi régulièrement, que j'étais sûr que j'étais alright. Je commençais à me le demander.
L'une des attaquants fut finalement amicale. Elle me demanda de quoi parlait le livre que je lisais. Je me perdis en anecdotes, pour finalement admettre que je ne savais pas trop, comme je n'étais qu'au début. Elle revint et, fuck, j'aurais juré qu'elle se montrait taquine. Je commençais à être un être humain comblé quand me vint la pensée qu'elle ambitionnait peut-être un pourboire coquin. Fuck, d'abord Green Eyes puis ça.
Je crois que ça m'était déjà arrivé en Grèce. Une serveuse s'était montrée amicale et, alors que je m'apprêtais à tomber amoureux, papa affirma qu'elle voulait de l'argent. De plus, concernant la serveuse du restaurant japonnais, j'eus l'impression qu'elle était déjà venue à bout du client précédent. Elle parut surprise du pourboire qu'il lui laissa.
Qu'à cela ne tienne, j'avais failli perdre la vie, donc un peu de chaleur humaine, même payante, était la bienvenue. Mentalement prêt à être généreux, je lui annonçai que j'étais prêt à payer. Elle me répondit que ce n'était pas la peine... La gratuité est une sensation confortable, elle allège le corps et déploie le sourire.
Beauty était bien dans le bus pour la Nouvelle Orléans. Green Eyes n'avait pas menti. Et la personne d'Allemagne avait un siège assigné à côté du mien. Elle aussi avait vécu très jeune dans une famille d'accueil étrangère pendant une année, au Texas la concernant. Presque pour la première fois de mon temps, presque 10 ans après Sydney, je pus en parler.
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mcximoffss · 4 months
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Hello hello,
Les beaux jours du mois de mai ont donné à la joueuse des envies de soleil mais aussi de faire honneur au mois de la franchise Star Wars. alors son nouvel écran de loading, et donc notre design, est inspiré du monde de Oasis Spring. Un beau désert et une chaleur étouffante, non sans rappeler la planète Tatooine.
De plus, une petite surprise vous attend il s'agit du festival des épices. Celui-ci débarque pour une durée indéterminée, suivant si beaucoup de monde y participe. Il s'agit d'une catégorie entièrement dédiée à l'événement, de quoi faire en sorte que les personnages puissent se rencontrer. Et oui, la Joueuse a eu la merveilleuse idée de faire venir tous ses personnages sur un même terrain, brillant non ? Alors n'hésitez pas à y participer. Et si vous n'avez pas d'idées pour lancer un rp, n'hésitez pas à en faire la demande au staff, qui vous trouvera un petit contexte et une personne avec qui entamer un sujet.
Les univers présents à ce jour sont les suivants : Anastasia, Disney, Hogwarts Legacy, Into the Badlands, Liv and Maddie, Marvel Cinematic Universe, the Hunger Games, Totally Spies et Veronica Mars.
ITS c'est toujours:
Guerre de voisinage à grande échelle qui tourne en concours les plus ridicules les uns que les autres, c'est ce que vous offre Into the Simverse. le moins que l'on puisse dire c'est que les townies des sims ne sont que moyennement heureux de voir débarquer dans leur petites vies tranquilles les personnages de vos univers préférés et ils le font savoir. Quelle team serez-vous, plutôt team sims ou team crossover. lLs personnages de vos séries, films, etc... préférés chercheront-ils à rentrer chez eux, savent-ils même qu'ils ne sont pas d'ici, à vous de voir, votre imagination est la limite.
Pas de minimum de mots requis par rp ; un certain nombre de triggers interdits au jeu ( liste à trouver dans le règlement ) ; administratrices à disposition pour toute question ; pleins d'endroit pour plus de possibilité de jeux (de nouveaux lieux ajouté à chaque nouveau monde ajouté dans les Sims4 — aussi rapidement que possible) ; Un recensement des membres actifs une fois tous les mois (peut fluctuer en fonction de de l'emploi du temps du staff) ; Un rp demandé par mois
Rejoignez nous : https://intothesimverse.forumactif.com/
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jazhmock · 1 year
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Ce post reprend ceux de Plumlace sur son Patreon, je les traduis et les illustre avec mes propres captures d'écran pour expliquer le fonctionnement du mod. Traduit par ArdoSims, modifié par Pauline et moi-même. Merci à elles !
Lapin Sociable Immersif par Plumlace
MAJ la plus récente : 02.05.2023 | Version actuelle : v3.0 Compatibilité : Années lycée
⚠️ Ce mod requiert le XML Injector de Scumbumbo⚠️
Fonctionnalités :
Le mod Immersive Social Bunny ou Lapin Sociable Immersif offre plus de 2300 nouvelles publications à vos Sims ! Ils peuvent désormais faire un post aléatoire, adapté à leur tranche d'âge, et ce à n'importe quel moment de la journée ou quelle que soit leur humeur !
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Il y en a pour tous les âges et pour tous les occultes ! Chaque Sim peut poster à propos de sa nature surnaturelle - excepté les VégéSims, mais ce sera peut-être pour une prochaine mise à jour, qui sait !
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Quelques exemples de leurs publications :
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Vos Sims peuvent également poster à propos de plusieurs étapes importantes, comme leur premier baiser, leurs fiançailles, leur grossesse, la parentalité, l'infidélité ou encore leur divorce :
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Après certaines publications, vos Sims pourront recevoir un message ou un coup de fil d'un autre Sim au hasard, comme celui-ci après que Sonia ait posté à propos de l'infidélité de son conjoint :
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Ces petites opportunités peuvent se présenter pour d'autres types de publications, mais je vous laisse découvrir ça par vous-même. Ce mod apporte un gros plus à Lapin Sociable et le rend bien plus vivant à mon goût !
Notes de la dernière MAJ :
Dans cette version 3.0, découvrez plus de 2300 posts différents pour vos Sims ! Publications ajoutées à cette mise à jour :
Augmentation du nombre d'abonnés
Posts sur la grossesse - 82 posts
Posts sur l'infidélité - 69 posts
Posts sur le divorce - 78 posts
Posts sur les fiançailles - 54 posts
Posts sur le mariage - 36 posts
Posts sur le premier baiser - 29 posts
Posts sur des films captivants/ennuyants - 57 posts
Posts sur la rupture - 60 posts
Si votre Sim fait un post sur le fait d'avoir été trompé, un autre Sim au hasard pourrait l'appeler, essayer de glisser dans ses messages privés et demander s'il peut venir.
Si vous souhaitez lire les notes de mise à jour des versions précédentes, elles sont disponibles en français sous format PDF sur le lien SimFileShare en bas de ce post.
Traductions incluses au mod :
Aucune traduction n'est incluse pour le moment.
Installation :
Téléchargez le XML Injector de Scumbumbo (si vous ne l'avez pas déjà)
Téléchargez les deux fichiers ci-dessous dans votre dossier Mods, au maximum dans 1 sous-dossier.
- Le mod : Patreon (en bas de la page) - La traduction : SFS
⚠️ Si le point d'interrogation au début du fichier de la traduction a disparu, pensez à le rajouter pour qu'elle soit bien détectée ⚠️
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