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#déduction
yoannblogging · 19 days
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« Pourquoi y a ça ? Ha c’est à cause du … hun hun. hun hun hun hun hun. »
— Yoann, 030924 14:28
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dsirmtcom · 6 months
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Luz y Caballero, Los Conceptos filosóficos [Les Concepts philosophiques]
José de la Luz y Caballero, Los Conceptos filosóficos [Les Concepts philosophiques] #Philosophie #Filosofía #Cuba #SamediCestPhilosophieCubaine #SabadoEsFilosofía #Luz #Caballero #Aforismos #Aphorismes #Articulo #Article #Temps #Espace #Kant #Descartes
Essais Philosophiques Cubains – José de la Luz y Caballero, Aforismos Los Conceptos filosóficos – Les Concepts philosophiques Une fois parvenu à ce que la raison se soit convertie en sentiment, et en sentiment prédominant, comme une règle de conduite, dans le sens de nous réjouir dans les tribulations – pour me servir de l’expression de l’Apôtre1 -, la raison froide doit toujours juger la…
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jloisse · 6 months
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SCANDALE : Voici comment les associations sionistes qui soutiennent l'armée criminelle Israélienne, se font financer, illégalement, par l'argent du contribuable français, sans que le ministre des finances ne daigne enfin intervenir...
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adsps · 9 months
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https://www.helloasso.com/associations/association-adsps/formulaires/4?fbclid=IwAR0c1qw4aF9CSDkXbbewLAmVpoOG2QEGbzWKqZmBJwhegY3cYCAUQkO0LZ4
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whydonate07 · 2 years
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Les contributions de crowdfunding sont-elles ou non des dons déductibles d’impôts
le gouvernement permet aux organisations à but non lucratif d’offrir des avantages fiscaux tels que des remises d’impôts, des dons exonérés d’impôts, des crédits d’impôts ou des dons déductibles impôts aux personnes qui font des dons pour de bonnes causes.Les dons de collecte de fonds - sont-ils imposables? Cliquez pour connaître les conditions du dons déductibles impôts et des déductions fiscales pour les dons en Europe.
déduction fiscale pour don charité, dons deductibles, heures de bénévolat déductibles des impôts
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originalaccountname · 9 months
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Fun BSD French translation details and choices - Episode 5 (by someone who does not understand Japanese but thinks the differences with the English translation/subtitles are fun)
General notes:
Everyone uses the formal "you" for Ranpo because he's so great. Except detective Minoura. He didn't have any respect for the weird kid and uses the familiar "you".
Ranpo's ability is called "La Super hypothèse" ((the) Super Hypothesis). A quick search tells me the original Japanese name, 超推理, uses the term for reasoning, conclusion brought by logic. "Déduction" (deduction) is very much a word in French that means the same thing it does in English, and since this isn't an ability named after a real book, they just decided to go in a different direction apparently.
When telling Ranpo is 26 to Atsushi, Dazai actually says "despite what it looks like, he's only 26 years old", which is NOT the same thing as "despite his appearance/what it looks like, he's 26 years old" jksdfhjk
Dazai also describes his own ability as working on any power, so long as he touches the body or the ability user.
Today’s quotes:
no quotes today, it all went in the notes.
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Quiz. Un professeur médiocre parle. Un bon enseignant explique. Un excellent enseignant démontre. Un très grand enseignant inspire.
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Plus une déduction logique que des mathématiques
8x7 = 56
7x6 = 42
6×5 = 30
5×4 = 20
3×3 = 9
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kilfeur · 9 months
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Putain ma première théorie sur la relation mère et fils entre Jinshi et Aduo est peut être vrai si on se fie aux déductions de Mao Mao. Si Jinshi est l'enfant échangé à la naissance, ça veut dire que c'est l'enfant de l'impératrice qui est mort et non l'enfant biologique d'Aduo
Damn, my first theory about the mother and son relationship between Jinshi and Aduo may be true if we rely on Mao Mao's deductions. If Jinshi is the child switched at birth, that means it's the empress's child who died, not Aduo's biological child.
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Jacques Lacan a parlé. Pourquoi?
Pour le savoir, faut-il écouter ceux qui, depuis sa mort, parlent moins de lui que de leur propre position par rapport à lui? Ce n’est pas le bon moyen.
Ce qu’il faut, c’est rappeler qui il était. Il était un homme ; cet homme cherchait la vérité ; le chemin qu’il ouvrait pour la chercher était la parole.
L’HOMME
Les sciences de l’homme sont sans doute ainsi désignées parce qu’elles nous enrichissent d’un savoir sur diverses fonctions de l’homme ; ce faisant, elles nous permettent de masquer et d’oublier notre ignorance de l’homme lui-même, notre inattention au fait que chaque homme est un mystère. Un mystère qui reste insondable.
Jacques Lacan, c’est d’abord un homme, attentif à l’homme, à sa réalité toujours inaccessible, à son désir dont le caractère propre est de ne jamais pouvoir être satisfait.
Dans le monde intellectuel, il était classé tantôt comme psychanalyste, tantôt comme philosophe, voire comme poète, ou encore comme structuraliste, surréaliste, acteur… la liste pourrait s’allonger. Or il est avant tout un homme, dont il ne suffit pas de dire qu’il était humain.
Sa contribution à la psychanalyse, si importante qu’elle soit, ne permet pas de dire qui il était. Bien au contraire, c’est parce qu’il était cet homme unique, nommé Jacques Lacan, qu’il a pu mettre en valeur la découverte inaugurée par Freud : celle de l’inconscient. Mise en valeur telle que le monde des psychanalystes ne l’a pas accueillie sans émoi.
Mais qu’est-ce donc que l’inconscient? En entendant ce mot, chacun se soucie de le définir. Que révèle un tel souci? Il indique le plus souvent moins une recherche de la clarté, que la fuite d’un mystère qui inquiète et qui, cependant, caractérise la vie psychique dans sa réalité.
L’inconscient échappe à toute définition ; il désigne l’homme lui-même dans cette dimension de son mystère qui ne donne aucune prise à sa conscience.
Parler à l’homme de l’inconscient, c’est lui rappeler ce qu’il s’applique à oublier ; c’est le sauver de cet oubli que tout est organisé pour favoriser en cette fin du vingtième siècle. C’est lui rappeler en effet que son centre est ailleurs qu’en lui-même. C’est lui faire découvrir que le chemin à suivre n’est pas celui que Descartes a inauguré.
«Je pense, donc je suis.»
Cette déduction sur laquelle Descartes prend appui va-t-elle lui permettre de connaître ce «Je pense» qui pense ? Lacan réplique: «Je ne suis pas ce que je pense.» La vérité ainsi formulée jaillit de la découverte de l’inconscient, autrement dit de l’homme lui-même. La reconnaissance de l’inconscient permet à l’homme d’avoir accès à sa réalité; loin de s’enfermer dans les limites de sa vie consciente, il doit s’ouvrir à une relation qui le constitue, à une relation avec l’Autre.
Une telle relation suscite une recherche: la recherche de la vérité, de la vérité sur l’Autre et inséparablement, de la vérité sur l’homme, constitué par sa relation à l’Autre.
LA VERITÉ
Jacques Lacan: un homme; donc un chercheur de vérité.
La vérité. Ce que désigne ce mot fait peur. Chacun, comme Pilate, réagit en disant: «Qu’est-ce que la vérité ?» et s’en allant, sans attendre la réponse.
Lacan a découvert, grâce à Freud, le moyen d’entendre la réponse. «Freud, écrit-il, a su laisser, sous le nom d’inconscient, la vérité parler.»
Laisser parler la vérité. Voilà le moyen, le seul, de la connaître. Aucun savoir ne donne accès à cette connaissance. Écouter la vérité est l’unique nécessaire. Si la conscience peut entendre la vérité, elle s’y ferme souvent. L’inconscient est la voix de la vérité refoulée; plus précisément, il est la voie, c’est-à-dire le chemin par lequel elle passe, lorsque l’homme a refusé de l’entendre.
Ici prend place l’intervention du psychanalyste. Il se tait, mais il invite à parler, pour chercher à entendre la vérité qui va passer par des chemins inattendus, la vérité dont va peut-être accoucher l’homme qui parle, non sans douleur.
Ce que Lacan invite le psychanalyste à écouter, est-ce le malade? C’est bien plutôt la vérité que celui-ci a refoulée la vérité de son désir. C’est ce type d’écoute qui fonde sa méthode de psychanalyste.
Il s’agit d’écouter la vérité pour la dire. Mais Lacan sait «qu’il est impossible de dire toute la vérité c’est par cet impossible que la vérité tient au réel.»
Le réel est en effet inaccessible dans sa plénitude. Nous le réduisons à ce que nous en savons, mais nous pouvons nous ouvrir à la connaissance du réel et répondre ainsi au désir profond qui nous constitue. Mutiler ce désir nous rend malades, psychologiquement, ou spirituellement. La santé, comme la sainteté exige que nous cherchions la vérité, et, pour cela, que nous l’écoutions parler.
LA PAROLE
Nous pouvons répondre ici à notre question initiale, «Pourquoi Jacques Lacan parle-t-il?» Car il parle encore depuis sa mort.
On lui a reproché son style, et l’obscurité qui le caractérise. Il réplique: «il suffit de dix ans pour que ce que j’écris devienne clair pour tous.»
En effet chaque fois qu’un homme est porteur, non d’un savoir à communiquer, mais d’une parole invitant à chercher la vérité et, pour cela, à l’écouter, il se heurte à un refus qui se masque souvent derrière une accusation: «Ce qu’il dit est impossible à entendre.» (Évangile selon Saint-Jean 6,60)
Lacan n’a pas parlé pour autre chose que pour ouvrir la porte à la Parole qui vient d’ailleurs, qui est la Parole de l’Autre et dont l’inconscient atteste la présence; cette présence est réelle et elle est manifestée dans sa réalité par la peur qu’elle provoque, et le refus d’écouter qui est le fruit de cette peur.
À travers l’œuvre écrite de Lacan, que faut-il donc chercher? Un enseignement oral inachevé et figé? Nullement, Ce qu’il faut découvrir, c’est un homme en quête de vérité, vérité qui est le trésor évoqué dans la fable: il fallait creuser le champ pour y trouver un trésor caché. Le trésor appartient à ceux qui apprennent par expérience que ce trésor n’est rien qu’on puisse posséder.
Car le bonheur de l’homme, c’est de désirer s’ouvrir à la Parole de l’Autre. Ce désir est suscité par une présence sans laquelle l’homme n’est plus lui-même et grâce à laquelle jaillit de lui une parole qui rend témoignage à la vérité, une parole qui exprime son désir toujours nouveau de la source de sa vie d’homme.
La parole de Jacques Lacan inquiète les hommes qu’elle oblige à sortir de leur fausse paix, en posant la vraie question, la question que voici. Je n’ai pas à me demander en effet: «Que posséder ou que savoir pour devenir un homme?» La vraie question, c’est:
«Qui m’appelle à trouver dans sa recherche le sens de ma vie?»
(Sermon prononcé par Marc-François Lacan, moine bénédictin, à la mémoire de son frère, le 10 septembre 1981 en l’église Saint Pierre du Gros Caillou)
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ekman · 2 months
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Une très célèbre école de commerce française communiquait récemment vers les entreprises via le réseau socio-professionnel “LinkedIn”. Elle proposait à d’éventuels prospects en quête de performance personnelle de “renforcer leur leadership par la posture coach”. Rien de moins. Cette annonce, si prototypique du monde de merde dans lequel nous régressons chaque jour que post-Dieu fait, m’a soufflé à l’oreille que la décadence s’accélérait. Plusieurs indices émaillent le parcours qui m’a conduit à cette déduction. Sauras-tu les retrouver ?
• L’accroche qui coiffe le visuel s’est armée de “working idioms” du plus bel effet, favorisant une parité bienvenue entre le langage hébergeur véhiculaire (the français) et les “key-words” impactants (l’english). Comme ça, on ne fâche personne et cette façon montrera aux maîtres anglo-saxons que le français n’est plus, effectivement, qu’un verbiage anecdotique sympathique et inoffensif, donc inoffensant, apte à inclusifier toutes sortes d’impétrants racisés.
• La muse en position debout – c’est à dire en posture dominante – est une crépue génétiquement adoucie ayant fait le choix d’une posture alpha (position des bras), réputée non rigide (la coiffure n’est pas tenue) et indiquant une disponibilité sexuelle grâce à son chemisier laissant apercevoir un décolleté demandeur. On subodore, en complément, une croupe marquée. En dessous de cette lauréate du “Programme Court Executive”, les pas encore “executive”, avec un cadre blanc cravaté et barbu, tendance génuflexion et gay friendly ; à sa droite une jolie dame qui pourrait avoir eu un arrière grand-père natif de Hanoï, phénotype synonyme de soumission aux puissants ; en face de lui un petit morceau de pimbèche française dont on a oublié jusqu’au prénom, mais qui transpire sûrement la frustration et l’esprit revenchard. Pour finir, au premier plan, résolument de dos, un chicanos marocain venu livrer les salades “deetox” Uber-Eats du lundi.
• Comme elle a eu du pif pour booster sa carrière, Christine (appelons-la “Christine”, en hommage à Christine Kelly, la jolie journaliste caribéo-bolloréenne) a voulu améliorer son écoute et adapter son style de leadership, ce qui ne veut absolument rien dire. Elle a, pour ce faire, exploré son cadre de référence et développé son intelligence émotionnelle, ce qui n’en dit pas vraiment beaucoup plus – sauf que “intelligence émotionnelle” indique un embryon d’altruisme post-industriel de bon aloi.
• La signature de ce pavé publicitaire pour le programme “Posture Coach” de cette célébrissime école orientée vers les études commerciales d’altitude, spécifie qu’il développera l’écoute, permettra de questionner efficacement tout en adaptant son style de management. Une promesse en trois points qui aurait sans doute reçu un écho favorable rue Lauriston.
Voilà, vous savez tout. La clé du succès de votre carrière tient à bien peu de choses. Il vous suffit de vous conformer aux standards américano-bolchéviques du moment et votre promotion sera garantie. Soyez “open et bienveillant”, massacrez la piétaille avec le sourire, suggérez une réductions des privilèges carbonés pour maintenir la stratégie éco-favorable sur sa courbe zénithale, trafiquez vos résultats comme Nono-le Rigolo et tout se passera bien pour vous. Enfin n’oubliez pas de souhaiter à vos interlocuteurs une “belle journée” en conclusion de chacun de vos courriels – pardon, de vos mails.
J.-M. M.
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aurevoirmonty · 6 months
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« Le fascisme est un art, car lui aussi est un mouvement original de l'esprit et n'est pas une déduction mais une création et même dans l'action, il repose sur une inspiration géniale plutôt que sur des conclusions étroitement tirées par le raisonnement. Certainement, en raison de sa spontanéité et de son originalité, le fascisme est un art. »
Herbert W. Schneider, La Création de l'État Fasciste (1928)
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suburbangothic-rp · 1 month
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chaque titre d'une chanson de lana del rey correspond à une annexe. à vous d'essayer de deviner à quoi chaque chanson peut correspondre (il y a un lien entre chaque titre et le sujet de l'annexe correspondante) et de faire votre choix en fonction de vos déductions. attention: l'une des options proposées est un piège et ne correspond à rien. à l'issu du vote, l'annexe la plus désirée sera dévoilée, sauf si la majorité a fait le mauvais choix (2017 and 2022 vibes), auquel cas je posterai juste la chanson piège.
Oui, je sais, c'est dur et potentiellement injuste. Je vais pas vous macher tout le travail non plus.
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(le sondage est ouvert pendant 24h, je ne serais probablement pas là demain soir donc ce que vous aurez choisi sera posté jeudi matin sauf si je suis d'humeur nocturne)
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Le brouillard égard les âmes, et l'Apocalypse donne le grain à moudre par sa simple présence. Ceci n'est qu'un témoignage de l'Histoire pour ceux qui savent le lire. Le témoignage d'une renaissance parmi d'autres.
[Alors il prit un autre livre, l'ouvrit en son centre et voici ce qu'il trouva en première page : Un heureux hazard de plus.]
"... une vaste collection de faits est indispensable à l'établissement d'une théorie qui ait des chances de succès. Mais ce matériel ne fournit pas de lui-même un point de départ pour une théorie déductive ; par l'effet de ce matériel, on peut cependant réussir à trouver un principe général qui pourra être le point de départ d'une théorie logique (déductive). Mais il n'y a aucun chemin logique conduisant du matériel empirique au principe général sur lequel reposera ensuite la déduction logique. (...) D'une manière générale, on peut dire : Le chemin qui conduit du particulier au général est un chemin intuitif, celui qui conduit du général au particulier est un chemin logique." "La quintessence de tout cela est la connexion éternellement problématique entre le monde des idées et ce qui peut être expérimenté (expériences immédiates des sens)"
Puis, il inscrit la lettre M vingt quatre fois sur chaque mur de sa maison et en son centre. Et jura de continuer �� ne jamais prendre de décision trop hâtives. Mais les règles sont faites pour être enfreintes.
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J'y reviendrai peut-être plus tard si je trouve des éléments qui rendent cette théorie difficile à supporter, mais j'ai quelques idées quand au liens entre l'art du dessin et les sept familles, les voyages des bâtisseurs en particulier, etc...
D'abord, une base : la terre (notre monde, en gros), Gwendalavir, et Jurilan, n'ont pas la même "quantité" de magie et la magie y prend des formes très différentes. La terre semble être la moins magique car on nous dit que le dessin y est plus faible + la magie est une fable et pas une partie intégrante du fonctionnement de la société, même si il y a des gens dotés de dons sur terre, et pas seulement les sept familles (les différents prisonniers de l'Institution sont des examples). En Gwendalavir et à Jurilan la magie fait partie de la société. C'est important par rapport à la théorie qu'un changement de monde affecte un don existant (la théorie bâtisseurs = dessinateurs), mais aussi qu'un certain univers met à disposition de nouvelles opportunités magiques. Après tout, les humains de Gwendalavir ne sont pas les seuls à avoir accès au dessin ; leurs ennemis des T'silches sont aussi capables de dessiner.
Perso, je pense que bâtisseurs = dessinateurs est plus compliqué ! Et qu'il est possible que même sans être bâtisseurs, des personnes en Gwendalavir peuvent acquérir un don (au fil des générations, peut-être ?). Parce que autrement ça n'aurait pas grand sens qu'on aie une grande partie de la population soit sans don, ou avec un don très moyen. Du moins pas sans développer/continuer à avoir les dons des autres familles si d'autre familles sont venues avec eux. En plus, on sait qu'ils se sont fait réduire en esclavage par les T'sliches. Pour moi, une bonne partie de ceux étant venus avec les familles en Gwendalavir étaient des humains normaux. Et la différence entre les dons est due à la différence entre les humains normaux (exposé à la magie de Gwendalavir, ils développent des don imparfaits) et les descendants de bâtisseurs, qui sont devenus des nobles (beaucoup de nobles dessinateurs apparemment) et de puissant dessinateurs, comme les Gil'Sayan, capables de faire le petit et le grand pas (comme les bâtisseurs pouvaient construire des portes menant à différents endroits très éloignés) ou de créer des objets éternels.
D'autres familles sont apparemment venues ; les Rêveurs semblent être les descendants de certains Guérisseurs, même si on ignore si leur don est héréditaire (il l'est probablement). Difficile de se prononcer pour les autres (Merwyn/Merlin est cité dans l'Autre comme faisant partie de plusieurs familles, par example), les Frontaliers sont possiblement des descendants de Cogistes venus en Gwendalavir de part leur réputation de super-guerriers.
Mais en fin de compte, c'est l'analyse du don qui révèle peut-être beaucoup ! Composée de la Volonté, du Pouvoir et de la Créativité, elle me fait penser au "mélange" des dons mentionné dans l'Autre, et surtout à la création de la "septième famille" à travers Elio. Il est possible que l'Art du dessin à son apogée (comme chez Ewilan) ne soit pas juste composé de l'art des bâtisseurs ! Dans la scène de l'analyse, on nous apprend que Volonté = cercle rouge, Créativité = bleu et Pouvoir = jaune. On nous apprend notamment que l'Empereur manque de Créativité, et qu'Edwin manque de Pouvoir. À ajouter à cela est la capacité des Valinguites, qui se concentrent sur la Volonté et ignorent le reste de l'Art du Dessin. En réalité, il est possible que chaque aspect corresponde à un don des familles. On peut essayer de procéder par élimination et déduction contextuelle pour découvrir lequel est lequel :
- Le don des guérisseurs existe déjà chez les rêveurs, il est possiblement à exclure de la liste. Peut-être aussi le don des métamorphes, si on regarde l'anomalie que Salim est à Gwendalavir. Oh se retrouve avec cinq dons restants, donc peut-être un à éliminer.
- Edwin n'est pas un vrai dessinateur ; il est fort possible qu'Edwin ne manque pas le don des Cogistes. Le Pouvoir, dont il manque, ne correspond donc probablement pas aux Cogistes.
- La civilisation Valinguite est basée sur un culte de la force et est assez belliqueuse et à des velléités conquérantes ; c'est plutôt de ce côté-là qu'on trouverait les Cogistes, à mon avis, étant donné les tendances similaires qu'on voit dans notre monde (la guerre des Cogistes contre les autres familles, à la recherche d'une "hégémonie"). La Volonté = descendante du pouvoir Cogiste s'étant modifié dans ce monde ? Étant donné que le cercle rouge de la Volonté est le plus important chez Edwin, ça fait sens par rapport à l'idée que les frontaliers ont du sang Cogiste.
- Le Pouvoir et la Créativité ? Là il faut encore deviner. J'aurais tendance à penser que le Pouvoir correspond au don des bâtisseurs, car c'est vraiment le don le plus susceptible de s'accorder avec/de booster l'Art du Dessin. C'est le pouvoir "brut", en somme.
- Il nous reste les Scholiastes et les Mnésiques, et il se trouve que si l'Art du Dessin doit être composé de différent dons des familles, j'aurais tendance à penser qu'Ewilan descend de ces familles ! Elle est un petit génie capable d'apprendre très vite et sans grand effort, et de retenir tout. Mais pour la Créativité ma préférence va vers les Scholiastes, étant donné qu'ils sont explicitement associés à une nature artistique dans l'Autre. Edwin a d'ailleurs un cercle de Créativité pratiquement de la même taille que son cercle de pouvoir, et on sait du cas de Nathan que le pouvoir des Scholiastes peut être très efficace pour apprendre à combattre. (Après, on peut se demander si tous les dessinateurs de haut niveau sont aussi surdoué qu'Ewilan, mais c'est une réelle possibilité que ces dons, en la poussant à aimer apprendre et à se montrer innovante, la rendent meilleure au Dessin)
- Quand au pouvoir des Guides...on sait que Merlin/Merwyn est probablement Guide, on peut imaginer que ce pouvoir aide aussi à booster l'Art du Dessin. Peut-être qu'il aide à voyager dans les Spires de l'imagination.
Donc en conclusion : l'Art du Dessin existe peut-être sans l'Art des bâtisseurs et des autres familles, mais est considérablement amplifié par leurs pouvoir, et surtout par celui des Bâtisseurs (cercle jaune, Pouvoir), des Cogistes (cercle jaune, Volonté), des Scholiastes (cercle bleu, Créativité). Une personne ayant ces trois pouvoirs (héréditaires) sera un dessinateur très puissant, voire parfait dans le cas d'Ewilan.
Je ne sais pas trop quoi penser du cas de Merlin, qui est Merwyn à Gwendalavir, et qui n'est pas bâtisseur, et donc n'aurait pas le "Pouvoir" central. On peut s'abîmer dans tout un tas de conjectures...il a bien une trinité de dons (Guide, Métamorphe, Mnésique), donc peut-être que n'importe quelle trinité de dons peut fonctionner et correspondre au trois cercles de l'Art du Dessin. Enfin, si le feuillet est à prendre au sérieux et parle bien du Merwyn de Gwendalavir (étant donné qu'il mentionne des personnages absolument pas existant dans l'univers de Bottero comme Yoda ou Mary Poppins, et que certaines étiquettes sont peut-être collées au hasard, en essayant de deviner). Mais ça ferait au moins sens qu'il soit Guide, étant donné sa longévité !
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kilfeur · 5 months
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Dans la première affaire de AA4, je me rendais compte que Kristoph Gavin, le patron d'Apollo s'imposait pas mal au début du procès comme pour s'assurer que tout se passe selon son bon vouloir. Leur relation est bien plus professionnelle que celle de Mia et Nick par exemple. En revanche quand Nick le donne des paroles assez cryptiques et qu'Apollo se rend compte de sa capacité de détecteur de mensonges grâce aux tics.
C'est là que les choses changent, le ton de Gavin change devenant plus autoritaire et ferme envers Apollo qui essaie de joindre les deux bouts dans ce procès. Mais quand Nick est dans le banc de la défense, on revoit justement cet ancien Nick quand il présente les faits donc oui il prend le contrôle du procès mais guide et laisse Apollo mener ses propres déductions poussant Kristoph à la faute ! Même le passage où Apollo se rend compte que Nick n'est pas la personne qu'il croit être, brisant son admiration envers lui, le frappant même au visage. Après je le comprends, Nick vient de le mettre au chômage en un procès et son admiration envers lui a prit un coup.
In the first AA4 case, I realized that Kristoph Gavin, Apollo's boss, was quite imposing at the start of the trial, as if to ensure that everything went according to his plan. Their relationship is much more professional than that of Mia and Nick, for example. On the other hand, when Nick gives him some rather cryptic advice and Apollo realizes his ability as a lie detector thanks to nervous tics.
This is where things change, Gavin's tone becoming more authoritative and firm towards Apollo as he tries to make ends meet in this trial. But when Nick is in the defense bench, we see just such an old Nick when he presents the facts, so yes, he takes control of the trial, but guides and lets Apollo make his own deductions, pushing Kristoph to the brink! Even the part where Apollo realizes that Nick isn't the person he thinks he is, shattering his admiration for him, even punching him in the face. I understand why, though: Nick's just put him out of a job in one trial, and his admiration for him has taken a hit.
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oviri7 · 1 year
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« Taine est conduit par sa vision misanthropique de l'humanité à une conception stoïque et ascétique de la vie, à regarder l'intelligence comme l'asile suprême où s'isoler, où se défendre de l'universelle méchanceté, de l'universelle bêtise et de l'universelle platitude. Une singulière analogie unit ici Taine à Flaubert. Taine demande à l'analyse scientifique ce que Flaubert demande à l'art et à la contemplation : un alibi intellectuel : un moyen d'évadement loin des réalités du milieu social. Cette déduction est logique. Le pessimisme misanthropique suppose ou engendre l'isolement contemplatif. Pour mépriser intellectuellement les hommes, il faut se séparer d'eux, les voir à distance : il faut être sorti du troupeau, être parvenu à l'attitude de Descartes qui « vit au milieu des hommes comme au milieu des arbres d'une forêt ». Il y a là, qu'on le veuille ou non, un isolement théorique, une sorte de solipsisme intellectuel, une indifférence d'aristocrate et de dilettante qui « se détache de tout pour se promener partout ». »
Georges Palante - Pessimisme et individualisme
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