Tumgik
#elles sont badass et je les aime déjà de tout mon cœur
nael-opale · 4 years
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DES NOUVELLES PHOTOS DE 𝙆𝘼𝘼𝙈𝙀𝙇𝙊𝙏𝙏 : 𝙋𝙍𝙀𝙈𝙄𝙀𝙍 𝙑𝙊𝙇𝙀𝙏
Merci à @drtonks​ d’avoir été à l’affût Pour voir la page source Pour voir directement les photos...
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Throne of Glass, Sarah J. Maas
Après ma lecture des quatre premiers tomes de A Court of Thorns and Roses, je suis tombé sur une offre incroyable, la série complète de Throne of Glass pour un total de 42$. Comment vous dire que je suis sautée dessus telle une hyène enragée tellement j'étais excité! Bon, c'est la première série de huit livres que je termine, je n'ai lu que ça du mois de novembre au mois de janvier. Quoi dire de plus... je suis fière de moi.
Je critique souvent Sarah J. Maas sur ses choix d'écriture et son manque de diversité, mais je mentirais si je disais que je n'aime pas pour autant ce qu'elle écrit. C'est aussi addictif que de la fanfiction, mais il y a un côté professionnel ajouté au tout. Pour une fois, j'ai réussi à m'attacher à son personnage principal, Celaena. Elle a su me toucher, et je ne voulais que lire son point de vue tout au long de la série. Je ne pensais même pas que mon attachement pour cette dernière était aussi grand, jusqu'à tant que des larmes coulent sur mes joues à plusieurs reprises pendant ma lecture de cette série massive (oui oui, malgré mon cœur de pierre il m'arrive de pleurer).
Je vais vous faire une petite analyse tome par tome, mais ne lisez pas si vous ne voulez absolument aucune appréhension sur cet univers.
The Assassin's Blade (5/5) : C'est le grand commencement de cette série d'après moi, il nous donne une mise en contexte pertinente et nous explique les origines de notre héroïne. Sam est la plus belle chose qui ressort de ce livre, dommage qu'on ne le voit plus! Beaucoup aime critiquer ce regroupement de nouvelles, mais selon moi, c'est un des livres les plus intéressant et touchant de la série.
Throne of Glass (3/5) : C'était un bon commencement, un peu mou et superficielle à certains instants. J'ai aimé l'inspiration à la Hunger Games. Dorian est un personnage que j'apprécie, à la fois doux et intelligent, il a su me charmer, beaucoup plus que Chaol. J'aime les éléments surnaturels, et pour une fois on a le droit à une héroïne badass qui ne met pas sa féminité de côté pour autant.
Crown of Midnight (3,5/5) : Chaol est vraiment vide, je ne l'aime pas et je ne veux rien savoir de lui. À chaque fois qu'il ouvre la bouche, c'est pour se plaindre. J'ai tout de même apprécié ce livre beaucoup plus que le premier, et les révélations m'ont choquée. J'aime aussi qu'il y ait de vraies conséquences, et qu'on y voie tranquillement le début d'une guerre sans repos. L'action était présente, j'ai apprécié ma lecture.
Heir of Fire (2/5) : Le point fort de ce livre, c'est l'introduction de Manon, la sorcière au cœur de pierre qui arrive tout de même à me toucher. Par contre, tout ce qui concerne Rowan m'a très sincèrement ennuyé, tellement que je ne me souviens plus de rien de ces passages. La relation entre Sorscha et Dorian m'a faite profondément cringe, et j'étais presque contente de la tournure des événements.
Queen of Shadows (5/5) : C'est mon tome préféré de cette série, j'adore l'introduction de Élide et Lysandra, ce sont des personnages qui me touchent beaucoup. J'aime aussi la rébellion que Manon créer, et son amour pour les treize. L'action était à son comble et j'ai senti que pour la première fois on partait dans une direction plus concrète pour la suite des choses.
Empire of Storms (5/5) : La fin a arraché mon cœur et a pillé dessus par la suite! J'ai pleuré comme une madeleine. J'aime aussi que tous les éléments placés dans les tomes précédents commencent enfin à s’entre croiser et à créer une histoire riche et touchante.
Tower of Dawn (1/5) : Mon Dieu que j'ai trouvé que ce livre était impertinent à souhait. Comme je l'ai dit plus tôt, je n'aime pas du tout Chaol, et lire un livre qui suivait majoritairement son point de vue était horrible. C'est le gros point faible de cette série, je ne le trouve pas nécessaire, et je voulais juste me plonger dans la finale que j'attendais depuis trop longtemps déjà. S'il y a un point positif, c'est l'histoire de Sartaq et Nesryn. Finalement, j'ai trouvé que le personnage de Yrene était certes intéressant, mais je n'ai pas aimé que cette dernière ait un pouvoir incroyable, alors qu'elle n'a aucunement travaillé pour, c'était un peu comme un deus ex machina raté. Je ne me suis pas attaché et très sincèrement je me foutais de cette relation.
Kingdom of Ash (4/5) : J'aime comment cette série se terminé, je ne pouvais pas lâcher ce roman, je l'ai terminé en trois jours. Je suis juste déçu du manque de conséquence pendant la guerre, si vous voyez ce que je veux dire. C'était ce d'ont j'avais besoin, et j'ai eu les larmes aux yeux pendant l'épilogue.
En conclusion, je dirais que c'est la meilleure série de SJM. Les personnages sont travaillés et l'histoire a été pensée pendant des années. Je dois dire que je suis réellement impressionné, c'est à considérer pour tout admirateur de livre fantastique rempli d'action et de rebondissement. Je la recommande chaudement,
Attention divulgâcheur 1!1! : Unpopular opinion sur la série
- Dorian et Aelin auraient dû terminer ensemble.
- Manon aurait dû finir seule.
- Lorcane ne mérite pas Élide, et il est borderline toxique.
- Rowan est vide est inintéressant.
- Lysandra et Élide sont d'après moi les meilleurs personnages.
- Aedion est un douchebag.
- Yrene n'aurait pas dû être dans l'histoire, et Chaol aurait dû mourir afin de créer des conséquences.
- Tower of Dawn est le pire livre.
- Cette série est meilleure que ACOTAR.
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cequilaimait · 6 years
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CdV7 – 2. Sur les traces du chaton au pelage pâle.
Sous le dixième Aaron… Le Néko projeté dans le temps
Pendant plusieurs génération, Ukas voyagea, seul, à la recherche d’un foyer, d’un Aar’on. Des plaines glacées de Tsukiyomi jusqu’aux montagnes abruptes de Lug en passant par la jungle de Varaha… Partout où s’arrêtaient des voyageurs, le Néko se glissait dans leur vaisseau pour parcourir l’espace avec eux, avec toujours la même volonté, celle de combler le vide dans son cœur et de retrouver quiconque à aimer.
Au cours de son périple, il rencontra une multitude d’espèces. Il connut la paix du septième, la coopération du huitième et la guerre du neuvième. Il se faisait des amis, puis les perdait tout aussitôt. Il vivait de folles aventures, mais n’eut aucune oreille comprenant ses miaulements pour les raconter. Plusieurs fois, le vide s’empara de lui, accompagnant une pénible envie d’en finir. Souvent, le désir d’avancer chassait ses mauvaises pensées. Peut-être parce qu’il était naturellement candide, sans doute parce que l’espoir ne l’avait jamais quitté, il chercha et chercha encore ce qui lui avait été enlevé, sans même savoir exactement où il devait aller. Puis il oubliait, pris bien malgré lui par la simple existence qu’il menait.
Mais un jour, alors qu’il flânait au milieu de ses amis Tigrs et Washs, une étrange sensation parcourut son corps, du museau jusqu’au bout de la queue, et fit trembler ses coussinets. Une énergie qu’il connaissait. Une existence qui lui était familière… Un Néko aux plumes noirs semblait proche de l’éveil.
Guidé par son instinct et par cette lueur dans son cœur, Ukas voyagea à nouveau. Ses pérégrinations le menèrent jusqu’au système Soldane, où il plongea dans Pozidono, fut aspiré par Clito et s’échoua sur Ris, un simple astéroïde où l’anti-humanité avait construit sa base. Là, ses yeux s’illuminèrent de joie. À portée de pattes, il avait retrouvé Kémi, accompagné d’un brun. Mais avant même qu’Ukas ne puisse miauler en leur direction, les pouvoirs du chaton aux plumes noirs se réveillèrent. Ce dernier avait revêtu une bien étrange apparence, si humaine malgré ses côtés félins, ce qui ne changeait rien à celui qu’il était vraiment. Une explosion silencieuse enlaça l’univers tout entier. Ukas se retrouva projeté au milieu de cette étrange vague, happé par le temps lui-même.
Endormi, il ne se réveilla que bien plus tard.
Extrait du roman « L’étrange errance du chaton au pelage pâle », de G.E.B
*****
– Bon, alors, reprenons le cours… Stin, arrête de miauler steuplait, tu empêches les autres de se concentrer. Kémi, arrête de mordiller l’oreille de Stin, ça ne se mange pas ! Poupée Kili’an, arrête de miauler aussi, c’est complétement ridicule, t’es pas un chat, t’es une poupée humanoïde. Et mets des vêtements s’teuplait. C’est sérieux. Ah et l’Aar’on, mets-en aussi ! Je sais bien que tu es kilianisé et que cela joue sur ta pudeur, mais c’est chiant pour les autres... Et arrête de lécher les fesses de ta poupée. Ça fait mauvais genre devant tes chatons. Bref, où en étais-je ? Ah oui, la légende des trois Nékos…
Seul fièrement habillé avec sa baguette et ses craies au bout des doigts, devant un tableau noir qu’il venait d’installer au milieu des appartements aaronesques – il avait heureusement facturé un supplément pour cet ajout –, Gabri’el essayait tant bien que mal de faire classe à son assistance dissipée. Entre les félins qui passaient leur temps à faire des trucs de chats – genre être adorablement kro meugnon –, et la poupée blonde qui faisait non non non non dès que le brun s’en approchait en bavant mais disait oui oui oui oui dès lors que ce même brun lui rendait une visite intime, l’artiste avait bien du mal à se concentre sur son cours. D’autant plus que tous ses Chérubs qui travaillaient bénévolement sur le chantier – là, il les avait bien arnaqués – s’était mis en tête l’idée stupide de faire grève si on ne revalorisait pas leur repas d’une à deux cuillères de Nutella par jour. Gabri’el avait dû accepter de rencontrer les principaux représentant syndicaux au cours d’une réunion qui s’était terminée par quelques bosses sur le haut du crâne des faignants. Le travail avait pu reprendre, mais la leçon, elle, n’avait pas avancée.
Pointant le tableau du bout de sa baguette, le garçon aux yeux bleus essaya de faire comprendre à son assistance les fondamentaux de cette science. À l’origine, un Aar’on, un Kili’an, la première résonnance, les vorticos, le Regard, la réincarnation de l’amour éternel entre le blond et le brun, la sainte trinité… les bases quoi. Enfin, après une première interro surprise pour voir si tout le monde avait bien suivi, Gabri’el fut un peu déçu. Certes, le 02/20 de la poupée Kili’an était encourageant vu son niveau de blondeur, mais seulement 09/20 pour un brun qui était censé avoir reçu l’éveil le mois dernier, c’était assez léger, même avec l’excuse de sa mèche qui le rendait naturellement plus niais que ses prédécesseurs. L’artiste ne put même pas se remonter le moral avec les Nékos. Stin et Kémi n’avaient fait que répondre « miaou » et « nya » à toutes les questions. Zéro pointé. L’avenir de Vojolakta était quand même bien mal barré.
– Bref, les trois Nékos. Bon, pour faire simple, faut que vous compreniez que le premier Aar’on, il était sensible. Derrière son côté un peu dur et grognon, il avait un cœur gros comme ça, et il craquait facilement pour les choses mignonnes… Malgré son air faussement méchant, c’était vraiment un type bien… Le meilleur de tous ! Oui poupée Kili’an ? Tu lèves le doigt, tu as une question ?
– Il t’a payé combien pour dire ça ?
– Ouais, bon, ta gueule. Mais si je commence mon cours en disant que c’était un con aigri égoïste qui a créé cet univers simplement parce qu’il avait peur de perdre l’amour de sa vie, ça briserait un peu la légende. En plus, tout n’est pas faux. Il y avait vraiment des gens qui lui étaient très importants. Et quand son amour pour son Kili’an a donné naissance à Vojolakta, bah plusieurs entités garçonesques à qui il tenait plus que tout au monde se sont retrouvées embarquées dans l’aventure. Et paf, ça a fait des Nékos… Purée, STIN, arrête de faire le poirier ! Rha ! C’est trop mignon… Viens ici toi !
Un « giligili » plus tard sur le ventre de l’adorable animal, la leçon put reprendre son cours normal.
– Donc, dans le processus, les Nékos ont perdu leur souvenir et leur forme originelle, mais en compensation, ils ont gagné d’immenses pouvoirs, peut-être encore plus grand que ceux de l’Aar’on lui-même. Bon, pas aussi stylé que les miens, parce que dans le deal où je devais continuellement dire du bien du premier brun, il m’a promis que je serais celui qui aurait le plus la classe de tous, mais quand même, ça reste du haut niveau… Non, Kémi, sérieux, me fais pas le coup des yeux tout ronds… c’est horrible là… Rhaaaaaaa, je craque…
Un deuxième « giligili » plus tard, Gabri’el continua son exposé :
– Du coup, pour que ça soit plus digeste, on s’est mis d’accord pour raconter ça sous la forme d’une légende. La Légende des trois chatons. Oui, parce qu’il y en a bien trois, et comme vous pouvez le voir, je les ai dessinés sur le tableau. Avouez, ils sont trop chou !  Mais vous faites pas avoir, hein, ils sont aussi trop badasses quand ils le veulent ! Bref, si je me souviens bien, ça donnait un truc du genre : Stin, le Néko au pelage bleu est né avec la capacité de détruire l’espace. Kémi, le Néko au pelage noir avait en lui la possibilité de figer le temps et Ukas, le Néko au pelage pâle pouvait… euh… Bah j’ai complétement oublié en fait. Mais en même temps, ça remonte à super loin. Bon… Poupée Kili’an, arrête de remuer la queue en espérant obtenir une caresse, c’est crade et t’es pas un chaton, ça marche pas avec toi… Rha, ok, viens ici…
Une paire de gifles et une énorme bouderie plus tard, Gabri’el poursuivit ses explications :
– Bon, je ne me souviens plus du pouvoir de ce troisième Néko, mais il existe, c’est une certitude. Il trainait avec les deux autres jusqu’au sixième Aar’on ! Ensuite, euh, on va dire que j’ai un peu merdé et que je l’ai paumé, mais il est toujours en vie. L’étoile que poursuivait le quatorzième à la fin de sa vie en est une preuve ! Pauvre quatorzième d’ailleurs, il était persuadé que c’était le signe qu’un nouveau Kili’an était né pour lui ! Genre, comme si un Aar’on pouvait avoir deux Kili’ans ! Non mais je suis sûr de moi pour le coup, j’ai enquêté sur le sujet et d’ailleurs… Eh l’Aar’on, j’peux savoir ce que tu fais ? Le cours n’est pas terminé, pourquoi tu te casses ?
– Bah ! J’vais chercher mon troisième chaton, tiens ! – répondit le brun en haussant les épaules, comme si c’était l’évidence même. Chercher des trucs qu’il aime à travers tout Vojolakta, c’est pas le propre d’un Aar’on ? Allez, c’est décidé, tout le monde s’y met ! On y va ! Et en plus, je trouve ça super cool ! Bon, par contre, je peux le trouver où, cet « Ukas », moi ?
Énervé, Gabri’el cassa nerveusement en deux sa petite baguette et jeta avec violences les morceaux sur les Chérubs alentours qui rigolaient au lieu de bosser. Tant pis, puisque c’était ainsi, il garderait pour lui la vérité qui liait l’Aar’on aux trois Nékos. Après tout, avaient-ils tous besoin de savoir que c’était un amour teinté de culpabilité et d’impuissance qui avait transformé l’âme de ces adorables garçons en chatons ? Les regrets du premier face à son incapacité à protéger pleinement ces trois anges avait été la cause de tout, et c’était sur ces sentiments que reposait l’équilibre de Vojolakta.
– J’LE TROUVE OU BORDEL ? – insista l’Aar’on en observant Gabri’el se perdre dans ses pensées.
– Hein ? Heu, pour reprendre l’historique, Ukas vivait à l’époque du sixième Aar’on sur Susanoo, mais…
Le châtain n’eut pas le temps de terminer sa phrase et de prévenir le brun que c’était une connerie d’y aller. Stin et Kémi lui avaient déjà sauté sur les épaules en miaulant de joie face à l’idée de faire partie de cette aventure, et la poupée Kili’an s’était mise à sucer la poignée de porte, comme ça, parce qu’elle avait une forme rigolote. Et encore, c’était sans parler de l’armée de Chérubs qui voletait tout autour de lui en soufflant dans des trompettes pour fêter la mise en place de cette grande mission ainsi la petite pause qu’ils venaient de gagner dans leurs travaux de peinture.
Avec tout ce petit monde entassé dans le Space force one, le voyage fut plutôt compliqué. À chaque fois que Gabri’el voulait l’ouvrir pour donner quelques précisions, il se retrouvait coupé ou obligé de gérer les facéties de ses camarades. Après avoir ligoté et enfermé tous les Chérubs dans la cale, il dut courir dans tous le vaisseau pour empêcher Kémi et Stin de lécher le fond d’un pot de Nutella. Trop dangereux pour l’univers tout entier. Puis une fois les chatons calmés, il dût gronder et rhabiller la peluche Kili’an, qui s’était réfugiée dans la calle pour coucher avec tous les Chérubs, puis réconforter l’Aar’on jaloux qui pleurait parce que « son » Kili’an à lui était méchant et ne l’aimait pas. Alors que ce n’était pas à proprement parlé « son » Kili’an mais une simple peluche, vu qu’il était lui-même son propre Kili’an. Du coup, vexé, l’Aar’on essaya de faire comme la peluche et de coucher avec tout ce qu’il trouvait sur son chemin. À commencer par les jolies pierres de Susanoo.
– MAIS ESPECE D’IMBÉCILE… – hurla Gabri’el. C’EST UN CAILLOU, ÇA ! C’EST PAS FAIT POUR ! Même… Même les anciens Kili’ans étaient pas aussi stupides et s’étaient trouvé des trucs sympas avec qui forniquer sur cette planète ! Non, poupée Kili’an, lâche ce garde s’il te plait ! Il ne t’a rien fait ! Laisse-le vivre sa vie tranquille ! Et… merde, où sont les chatons ? STIN, KÉMI, AU PIED ! Rha, ils courent vite ces cons !
Un peu vexé, le dix-huitième renifla lourdement et se retrouva rapidement au bord des larmes. Était-ce sa faute à lui si cette pierre avait une forme rigolote qui avait tout émoustillé sa mèche ? Enfin, voyant que personne ne tenait à le réconforter, il chercha à retenir le positif dans cette histoire. Vu qu’il était sur Susanoo à deux pas des ruines du vieux château, il pouvait maintenant s’adonner à une de ses activités favorites : le tourisme.
– Ah oui, t’es vraiment super kilianisé en fait… – murmura Gabri’el, essoufflé, en retrouvant le brun en train d’acheter un manga dans une boutique souvenir après avoir coursé Stin et Kémi dans les rues et les avoir retrouvés à patauger dans des sources chaudes.
Toujours chiffonné, le dix-huitième s’énerva. Le traiter de kilianisé en public, même si c’était vrai, était considéré comme un crime de lèse-majesté envers la puissance brune. Du coup, il se mit à bouder. Puis demanda à ce qu’on lui fasse une visite guidée des ruines et qu’on lui dise où était son chaton.
– Mais il n’est pas là, triple buse ! – s’égosilla le châtain en fumant de colère. Si t’avais un peu révisé ton histoire, tu saurais que le septième Aar’on a reconstruit le château à l’identique sur les ruines de l’ancien après la reconquête de Susanoo, pour montrer à l’univers tout entier que c’était lui le chef et qu’il ne fallait pas le faire chier ! Les ruines que visitent les touristes, c’est un décor en papier mâché créé de toutes pièces pour les besoins d’un film réalisé sous le huitième, à la gloire du septième ! Je le sais bien, c’est moi qui l’ait réalisé, c’était super bien payé en plus !
Ah oui. Dis comme ça, maintenant, le dix-huitième se souvenait peut-être en avoir déjà entendu parler. Et pour cause, il avait le DVD. Un film très sympathique, d’ailleurs, qui mettait bien en avant le cul du Kili’an. Cela avait été une riche idée d’utiliser celui du huitième pour jouer le rôle de celui du septième. Mais c’était aussi fondamentalement triste. Surtout pour les bruns condamnés à ne jamais trouver leur Kili’an à eux. L’Aar’on en titre avait beaucoup pleuré en regardant ce film, et n’en avait jamais réellement vu la fin, pour cause d’assoupissement en suçant son pouce et en serrant fort contre lui son doudou avant le générique. Attention, normalement, un Aar’on ne suçait jamais son pouce, et ne suçait presque jamais rien ! Mais lui, il était kilianisé. Du coup, il avait une excuse.
– Ah oui, d’accord, mais du coup, faudrait qu’on aille où, du coup ?
– Si tu me laissais parler, aussi… – grommela Gabri’el. Bref, oublié et abandonné sur Susanoo, il parait que le petit Ukas a réussi à voyager seul dans l’univers. On l’aurait aperçu sous le dixième Aar’on sur Varaha puis sur Ris, mais…
L’artiste éternel ne termina pas là non plus sa phrase. Et pour cause, l’imbécile qui lui servait d’Aar’on avait fait malencontreusement fait tomber sa peluche Kili’an dans les douves du château et hurlait pour qu’on la lui ramène tandis que la peluche en question pataugeait joyeusement dans trente centimètres d’eau. Seul capable de faire quelque chose de ses dix doigts – l’Aar’on pleurait et les chatons avaient des coussinets – Gabri’el dut se résoudre à s’y coller, non sans rouspéter. Une fois le faux Kili’an récupéré, séché et puni, le Space Force One redécolla puis atterrit quelques heures plus tard sur Ris, où il n’y avait pour ainsi dire rien à faire depuis que la base de l’anti-humanité avait été détruite. Heureusement, un glacier avait ouvert à la place pour permettre aux visiteurs de passage de se rafraichir un peu. Du coup, ce fut double ration de glace au Nutella pour Gabri’el et l’Aar’on, et triple de glace à la vanille pour les Nékos. Le Nutella étant connu comme étant bien trop fort pour eux et donc dangereux pour le reste de Vojolakta.
– C’est sympa ici. – songea le dix-huitième à haute voix. Mais moi, j’ai toujours pas mon Ukas ! C’est important. Je veux être un grand Aar’on. Je veux qu’on se souvienne de moi comme de l’Aar’on qui a réuni la sainte triade miaouesque. Comme ça, les gens ne poseront pas trop de questions sur ma mèche blonde. C’est important, la légende, tu sais ? Il faut la construire avec soin, si on ne veut pas finir avec une réputation de merde comme le onzième ou le douzième…
Ça, Gabri’el le savait bien. Il s’était tué à le répéter à tous les bruns qu’il avait croisés, mais tous n’avaient pas la grâce du septième ou la classe du quinzième, malheureusement. Enfin, il fallait parfois faire contre mauvaise fortune bon cœur. Et maintenant que tout le monde était calme, il pouvait enfin en placer une :
– Si tu m’avais écouté un peu, aussi, au lieu de te jeter sur tous les lieux où s’est retrouvé ton chaton sans réfléchir ! – grogna-t-il en terminant de lécher sa cuillère. Après Ris, Ukas a été aperçu pour la dernière fois sur Baldr par un de mes vieux copains, certain d’avoir vu un truc doré se balader dans le coin… Tout ça à l’époque du treizième Aar’on, mais…
Une fois encore, Gabri’el fut coupé avant la fin de son explication. La cause cette fois-ci ? Une simple mutinerie de l’ensemble des Chérubs, furieux de ne pas avoir eu droit, eux aussi à leur glace réglementaire. Le temps de punir les leaders en les privant de dessert et de resserrer les cordes qui servaient à attacher tous ces satanés rebelles, Space force one atterrissait sur la lune Baldr, en plein milieu de la quinzième édition du festival interstellaire du mal, de la méchanceté, du stupre et de la bêtise, co-organisé par les Ashtars – toujours maître du système Solgad –, les Frécheurs –  espèce endémique de la planète voisine, Frigg – et les Pleugs – résidents végétaux mais non moins coquins de Baldr. Certes, ces derniers n’étaient pas animés de conscience, mais les Frécheurs les aimaient tellement qu’elles les considéraient presque comme des Dieux et avaient donc insisté pour qu’ils puissent eux aussi être représentés au comité d’organisation.
Forcément, devant autant d’adversaires naturels aussi puissants, le combat s’engagea immédiatement. Avec son armée de Chérub, Gabri’el décima un grand nombre d’Ashtars, avant de se retrouver submergé par les revendications sociales de ses propres soldats.
Apeurés par les Frécheurs et leurs ongles griffus, Stin et Kémi allèrent se réfugier en tremblant derrière l’Aar’on. Ce dernier, plutôt sûr de lui, voyait dans cette affaire l’occasion de briller un peu en duo avec sa peluche Kili’an, comme les couples légendaires d’antan. Seul problème : sa peluche Kili’an ne maîtrisait pas Chlorophyli, le RP des blonds permettant de contrôler tous les organismes verts et de s’en servir comme armes. Du coup, sa ©Végéscratch que lui avait imposé de porter Gabri’el ne lui servait plus à rien. Préférant s’en séparer pour être plus à l’aise dans ses mouvements, il laissa malheureusement sa plus sensible extrémité à découvert, ce dont profitèrent immédiatement un troupeau de Frécheurs. Sa peluche congelée par le bout, le dix-huitième chouina et se roula par terre. C’était complétement injuste ! Pourquoi devait-il être le seul Aar’on à avoir un faux Kili’an inutile au combat et à devoir se démerder tout seul par lui-même ?
Toujours aux prises avec ses Chérubs revendicatifs, Gabri’el lui hurla d’enfiler au plus vite la ©Végéscratch de sa peluche. En tant qu’Aar’on kilianisé, il possédait un double Regard et pouvait de fait utiliser Chlorophyli. La preuve était à la fois dans ses cheveux, mais aussi dans ses yeux. Si son iris gauche était d’un noir de jais, celui qui ornait la droite de son visage brillait d’un vert plus lumineux que celui d’une émeraude. Mais ça, le dix-huitième n’en avait cure. Il était bien trop peiné pour se battre. Là, il avait surtout envie de pleurer et de bouder. Ce qu’il fit, d’ailleurs, vu que rien ne l’en empêchait.
Ce fut ainsi que toute la petite troupe se fit capturer et enfermer dans une prison isolée au sommet du plus vieux glacier de la planète voisine, Frigg.
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songedunenuitdete · 5 years
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Bonjour à tous !
Pour cette nouvelle année qui commence, un nouveau rendez-vous voit le jour ! Les lectures communes des Songeuses paraîtra tous les mois et comportera un avis commun de plusieurs membres de l’équipe sur un titre que l’on aura choisi préalablement ! Ces articles vous permettrons donc d’avoir plusieurs points de vue, car dans l’équipe nous avons des goûts qui divergent les unes des autres et nous ne sommes pas souvent (très très) d’accord (c’est pour ça qu’on s’adore). Sauf avec Gary, Gary, nous réunit (Oh une licorne !)
Pour ce premier RDV, nous commençons fort avec un titre de chez MxM Bookmark dans la Collection Infinity :
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]
Nombre de pages : 400 pages Editeur : MxM Bookmark Date de sortie : 16 décembre 2019 Collection : Urban Fantasy Langue : Français ISBN-10 : 2375749340 ISBN-13 : 978-2375749340 Prix éditeur : 19€ Disponible sur liseuse : Oui –  5,99€
De quoi ça parle ?
Il veut détruire l’humanité. Elle va tout faire pour l’en empêcher. Ils sont venus sur terre – Pestilence, Guerre, Famine et Mort. Chevauchant leurs effroyables destriers, les quatre cavaliers ont parcouru le globe, avec chacun le pouvoir d’anéantir l’humanité. Ils sont venus sur terre… pour nous éliminer tous. Quand Pestilence se dirige vers sa ville, Sara Burn n’a qu’une seule certitude : tous ceux qu’elle connaît, tous ceux qu’elle aime, vont mourir. À moins, bien sûr, que le cavalier aux traits angéliques ne soit arrêté avant. Et c’est exactement ce qu’elle espère accomplir lorsqu’elle tire sur la créature démoniaque et la jette à bas de sa monture. Dommage que personne ne l’ait informée que Pestilence ne peut être tué. Le cavalier – bien vivant et extrêmement furieux – la retient maintenant prisonnière et a hâte de la voir souffrir. Pourtant, après des semaines passées à ses côtés, les sentiments qu’il éprouve pour elle, et ceux qu’elle ressent pour lui, deviennent de plus en plus confus. Sara a peut-être enfin l’opportunité de sauver le monde… mais son cœur, lui, a de fortes chances d’y rester.[/box]
Notre avis
L’avis de Bookyneuse: Le résumé me tentait particulièrement, “les cavaliers de l’Apocalypse” est un sujet original et peu commun. On plonge donc dans un univers apocalyptique où les hommes ont abusé de la bonté de Dieu, leur châtiment est donc tombé, Pestilence, est le premier des frères à parcourir la Terre. Sara fait partie de ces renégats qui tentent, tant bien que mal, de combattre ce fléau, sauf que la pauvre ne sait pas du tout ce qui l’attend lorsqu’elle lance son offensive et attaque le cavalier. Si j’ai beaucoup aimé l’histoire du châtiment divin qui s’abat sur les hommes et les conséquences du passage de Pestilence, je reste néanmoins mitigée sur la façon dont l’auteure a traité son intrigue quelque peu décousue. Je suis passée par des moments haletants avec du bon suspense ou au contraire par des passages beaucoup trop longs où je me suis dis que marcher autant devrait être interdit, surtout pendant une lecture… Les personnages sont bien pensés, Sara est une héroïne badass comme je les aime, Pestilence a une prestance indéniable. L’intrigue est bien amenée dans son ensemble, l’auteure ne fait pas semblant avec cette Apocalypse. Mes bémols vont aussi pour la romance qui reste sympathique mais trop facile et rapide à mon goût et cette fin m’a laissé sur ma faim justement, tout se résout bien trop vite et trop aisément. Néanmoins, j’ai hâte de poursuivre l’aventure de nos chers Cavaliers et découvrir les autres, je lirais la suite à coup sûr et j’espère, pourquoi pas, avoir un coup de cœur, cette fois-çi.
Note de Bookyneuse : j’ai aimé mais je reste mitigée.
  L’avis de Angie : Braaaad Pitt est dans la place ! Pour celles qui ont déjà vu ou revu (comme Mady ou moi-même) Rêve d’Automne ou Troie, il y a un air de ressemblance non (osez dire le contraire) ? Bref, j’ai débuté ce roman en même temps que Gwen, Mady et Coleen l’ayant attaqué avec un train de retard (une habitude ?). Et si la couverture V.O m’avait fait une très bonne impression, celle proposée par les éditions MxM Bookmark bien que magnifique, m’en a fait une moins grande (malgré le pseudo sosie de Brad Pitt…). J’ai attendu ce roman avec beaucoup d’impatience, car en grande mordue d’histoires que je suis, je ne pouvais qu’être captivée par une intrigue relatant les aventures des 4 Cavaliers de l’Apocalypse. Des personnages célestes et sans émotion envoyés sur Terre pour semer la terreur, le chaos et la mort. J’ai eu la chance (surtout le courage) de lire le second tome sur Guerre en V.O. Je peux d’ores et déjà vous affirmer qu’entre l’arc et l’épée, je vote l’épée (Guerre) ! Car malheureusement et même si j’ai passé un bon moment de lecture, le comportement de ce cher Pesti m’a paru peu crédible par moments, il tient, certes,  très bien son rôle de mâle sans cœur durant une bonne partie du roman, mais son comportement envers Sara change un tantinet trop rapidement à mon goût. Ce qui sauve en partie cette romance, c’est l’auteure et le message qu’elle essaye de nous faire passer à travers son roman, nous sommes ce que nous créons, à nous de reconnaître nos erreurs et de laisser l’avarice derrière nous. Concernant les personnages, Sara est un peu l’héroïne badass qu’on rencontre dans pas mal de livre de nos jours, elle veut se montrer forte, mais à tout de même du mal a cacher sa peur et sa douleur derrière ses remarques acerbes et son comportement changeant. Pestilence, quant à lui est un parfait mélange du ying et du yang, il se comporte de façon aussi tendre que détestable envers sa captive. Son comportement avait donc de quoi m’étonner après seulement quelques chapitres, heureusement, vers le milieu du roman, certaines de ses réactions et gestes deviennent plus crédibles à mesure que sa relation avec Sara prend de l’importance pour lui. Après ne dit-on pas que de la haine à l’amour, il n’y a qu’un pas ? En somme, ce roman a de quoi plaire, malgré quelques points négatifs.
Note de Angie : Si vous aimez (Brad Pitt et) les romances qui ne se font pas sans mal, ce livre est pour vous !
L’avis de Mady : C’est ma toute première lecture sur le sujet “Cavaliers de l’Apocalypse“, c’est donc vierge de tous préjugés que je me suis lancée dans cette folle aventure ! Et même si quelques passages m’ont dérangé et que j’ai eu l’impression de marcher sans fin, j’ai beaucoup apprécié cette lecture ! Déjà le gros point fort : Pestilence. Fermez les yeux et imaginez Brad Pitt dans Légendes d’automne, mettez lui une armure et vous avez Pestilence ! Autant dire que quand il l’ôtait, son armure, j’étais bien contente ! Ensuite, le début de ce roman est génial, j’ai adoré, et surtout je m’y attendais pas ! J’ai du faire une de ces têtes… Et le dernier point fort pour moi, c’est la religion car oui les Cavaliers sont envoyés par Dieu car nous, chers humains, ont a, encore et toujours, été très vilains et surtout Il nous a jugé irrécupérables. Et j’ai beaucoup aimé ce point là ! Vraiment beaucoup, très beaucoup ! Pour les points faibles, je dirai qu’on marche énormément… On ne fait que ça… Bon, ça se comprend car Pestilence est tout de même là pour répandre la peste, il faut bien qu’il voyage, mais du coup c’est assez monotone… Ils marchent, ils dorment… On tourne vite en rond. Et l’autre point négatif, c’est que ça commence très brutalement entre nos deux personnages et il y a une farouche haine entre eux deux… On se demande si on vire dans la dark romance, mais finalement la suite m’a réconcilié totalement avec cette histoire ! Un livre que je conseille donc vivement et un deuxième tome “Guerre” que j’attends avec impatience !
Note de Mady : J’ai beaucoup aimé je vous le conseille !
L’avis de Coleen : J’avais déjà vu des sujets de livres avec les quatre Cavaliers de l’Apocalypse mais c’était il y a des années et je n’avais pas franchi le pas… Mais j’aime beaucoup cette maison d’édition et pour une lecture commune, c’est parfait ! Sara est une héroïne très noble. Elle a peur, elle est dure, elle a des objectifs difficiles mais qui sont nécessaires et elle fera ce qu’il faut ! Quitte à en faire des cauchemars ! Elle est forte mais en même temps, elle n’est pas Wonder Woman. C’est la fin du monde, et elle va en baver !  Pestilence m’a laissé plus dubitative ! J’ai beaucoup aimé le fait qu’il ne soit pas humain et que, par conséquent, il apprenne par mimétisme ou par curiosité. Mais ne vous y trompez pas ! Il n’est pas humain, ni gentil du tout ! Il va faire souffrir Sara comme jamais ! Et il va également faire souffrir l’humanité, car il porte très bien son nom, notre sexy cavalier ! Et les morts sont terribles. Comme Sara, chaque mort m’a fait beaucoup de mal, surtout lorsque cela touchait les enfants et les personnes âgées. La plume de l’auteure a très bien représenté cette fin du monde, en gardant les codes du genre et j’ai apprécié que la romance n’édulcore pas ce réalisme. J’ai beaucoup aimé l’évolution du personnage de Sara qui est très cohérente. Celle de Pestilence est intéressante mais me semble assez facile. Il n’a qu’un but au départ : détruire l’humanité. Il a été créé pour ça, et rien, même Sara, ne peux le détourner de son chemin ! J’ai beaucoup apprécié ma lecture, et je pense que suivant le cavalier, je risque d’aimer encore plus les prochains ! (Et encore une fois, la couverture est juste wahou!)
Note de Coleen : Une très belle découverte et il me tarde de rencontrer les prochains cavaliers !
  En somme, cette première lecture ne se fit pas sans rire, peine, déception, joie et même grognement. Nous sommes venus, avons lu et vaincu ce cher et beau Pestilence. Reste à savoir si nous allons fondre pour Guerre, où s’il faudra attendre Famine pour avoir cette petite étincelle qui nous fera friser le coup de cœur. On se revoit le mois prochain pour une nouvelle lecture commune des songeuses, de la romance bit-lit à l’historique, en passant par le fantastique, les songeuses n’ont pas fini de faire parler d’elles, à dans quelques semaines Ladies !
[Chronique roman - Lecture commune des Songeuses] Notre #avis sur "Les quatre cavaliers: Pestilence" de @LauraThalassa paru aux éditions @MxMBookmark. Un premier tome qui ne fait pas totalement l'unanimité mais un bon tome quand même. Bonjour à tous ! Pour cette nouvelle année qui commence, un nouveau rendez-vous voit le jour !
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songedunenuitdete · 5 years
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Année de sortie : 5 avril 2019 Créée par : Roberto Aguirre-Sacasa Avec : Kiernan Shipka,  Miranda Otto, Lucy Davis, Chance Perdomo… Nationalité : Américain Genre : Fantastique, Horreur Format : 50 minutes environ Nombre de saisons : 1 saison pour l’instant Nombre d’épisodes : 9
De quoi ça parle ?
Sabrina Spellman est une adolescente presque comme les autres : Elle est née suite à la relation entre un sorcier et une mortelle, ce qui fait d’elle un hybride des deux.Elle vit dans la petite ville de Greendale, élevée par ses deux tantes paternelles, Hilda et Zelda, et fréquente le lycée de la ville avec des adolescents mortels. Un nouveau chapitre glaçant commence alors que Sabrina s’aventure un peu plus dans l’univers obscur et impitoyable de la sorcellerie.Elle va également devoir faire face à des forces maléfiques qui menacent sa famille et le monde des mortels car dans l’ombre, l’horrible Madam Satan est prête à tout pour aider Satan à recruter la jeune fille. [/box]
Notre avis
Après avoir visionné cette seconde partie de la première saison, nous avions hâte de vous donner nos impressions.
Orme : Je redoutais cette deuxième partie. En octobre, c’était bien avec l’ambiance qu’on a pendant ce mois-là. Alors voir une nouvelle partie en avril, ne m’a pas emballé. Mais les événements suivants commencent en début d’année et se finissent… on ne sait pas trop quand, en fait. Bon mes craintes ont été vite balayés, cette deuxième partie est aussi bien que la première.
Coleen : De mon côté, aucune peur, mais beaucoup d’attente de cette seconde partie ! Je voulais tellement connaître les tenants et aboutissants de Lilith, le Seigneur Obscur, le mariage de Zelda… Il y avait beaucoup à faire !
Artemissia : Pour ma part, j’attendais avec impatience et je n’avais aucune appréhension. J’avais adoré le final de la première partie et je savais que le début de la seconde allait commencer fort. Je ne suis pas déçue du tout ! quant au fait que le 31 octobre soit loin derrière moi pour visionner la série, cela m’est passé au-dessus de la tête !
Orme : La série revient avec la même idée de bousculer le patriarcat ! L’univers du coven est riche et je ne pouvais m’empêcher de sourire à chaque fois que des termes de culte chrétien étaient tournés en culte satanique. L’église de la nuit et ses pratiques se dévoilent encore.
Coleen : C’est vrai que c’est assez comique cette façon de faire ! Après j’ai du mal avec le concept de vénérer un dieu qui t’effraie autant ! Toutes les sorcières prient le Dark Lord, mais en même temps le craignent… C’est assez spécial ! Par contre j’ai beaucoup aimé la dimension apportée avec les chasseurs de sorcières… Même si à mon sens, elle a été trop peu exploitée… Dommage…
Artemissia : Mais l’Homme ne craint-il pas Dieu ? N’est-ce pas aussi pour cela que la religion sert autant de catalyseur au bas peuple tandis que ses serviteurs éclairés complotent et profitent ? C’est ce qu’il se passe dans Sabrina. J’ai aimé le fait que l’on pointe du doigt les failles de la religion.C’est grossièrement amené, certes, mais cela fait son effet. Tout comme le patriarcat qui, présenté ici, a des allures de caricature avec un Prêtre de la Nuit qui en devient risible. Tout comme tante Zelda (en passant, j’adore ce personnage joué magnifiquement par Miranda Otto) qui pensait pouvoir avoir le dessus sur son mari et qui va se retrouver sous sa coupe. La pauvre. Elle m’a fait de la peine. Sabrina également, car elle est confrontée à des choix et ces derniers sont loin d’être évident pour elle même si le spectateur ne le comprend pas au départ.
Orme : J’ai bien aimé le chapitre quatorze, notamment, j’y ai reconnu de belles lignes de violon. C’était The Phoenix de Lindsey Stirling.Cette partie dénonce plus profondément la misogynie. C’est notamment les personnages de Zelda Spellman et Miss Wardwell qui monte en puissance. Toutes deux sont prêtes à beaucoup de choses pour évoluer au sein de leur société, avoir le pouvoir et surtout ne pas le perdre !
Coleen : Cette saison, c’est le conflit de la position de la femme contre l’homme dans la société des sorcières ! La lutte des sexes dans toute sa splendeur ! J’ai beaucoup aimé les différentes figures féminines présentées ! Et j’aime particulièrement les tantines de Sabrina ! J’ai également beaucoup aimé la nouvelle Sabrina ! Plus sure d’elle (peut-être un peu trop), qui accepte les pratiques de sorcières qui ne sont pas contre sa moralité ! (on va pas aller jusqu’à manger de la chair humaine dans cette saison !)
Artemissia : Indéniablement, nous sommes dans une partie plus “féministe” avec une héroïne qui est poussée par sa féminité, mais pas que. Sabrina est le mélange de deux forces, deux cultures différentes, une sorte de Yin et de Yang assemblés en une seule âme. Elle possède les deux faces d’une même médaille. En plus de mettre les femmes en avant, elle souhaite plus que tout la tolérance et l’acceptation, que ce soit chez les sorciers, mais aussi chez les humains. Et autant dire que la partie n’est pas gagnée, car au final on se rend compte que les plus intolérants ne sont pas forcément ceux auxquelles nous pensions !
Orme :  Sabrina a changé -en outre sa nouvelle couleur de cheveux que je trouve atroce…- elle exploite davantage son potentiel de sorcière. Mais je ne la trouve pas attachante, je n’ai pas d’empathie pour elle…
Coleen : De mon côté j’ai beaucoup d’empathie pour Sabrina dans cette saison, mais également avec Miss Wardwell et mon petit cœur bas pour Nick ! Par contre, à l’inverse, je n’ai pas du tout apprécié les amis humains de Sabrina ! Je les ai trouvés trop facilement influençables, à douter constamment, non reconnaissants, voire inutiles… La couleur de cheveux de Sabrina ?! Mouais… un peu moins sympas que la première, mais j’aime beaucoup quand même 😛
Artemissia : Le problème des amis “humains ” de Sabrina c’est qu’ils ont peur et c’est bien connu, la peur rend méfiant et agressif. Étrangement, quand on se rappelle ce que Sabrina a fait à Harvey au début de la première partie, on comprend qu’elle avait raison de craindre de les perdre. Pourtant, ils étonneront et m’ont agréablement surprise à la fin de la saison. Quant à Nick, je l’aime beaucoup aussi ! C’est un personnage qui a plusieurs facettes. Tout comme Miss Wardwell/Lilith. Je l’ai adoré ici, tout comme Sabrina qui m’a fichu plus d’un frisson. Elle ose et n’a pas peur de l’ultime sacrifice pour sauver ceux qu’elle aime. Tout comme Nick.
Orme : Toutefois c’est une nouvelle vision de la sorcellerie et de la magie en général que nous proposent les réalisateurs. Il est clair que Netflix et Warner ont misé gros pour ce reboot. Le scénario est de qualité et le maquillage ainsi que les effets spéciaux sont très bien réalisés ! J’aime beaucoup la fin de la saison. S’il n’y avait pas plusieurs nouvelles intrigues, ça aurait pu être une bonne fin ouverte, mais il y a encore deux saisons avenir.
Coleen : J’aime beaucoup l’identité graphique de cette série ! Par contre, les effets spéciaux, je n’ai pas du tout adhéré ! Mais cela venait peut-être de ma télé… La fin est grandiose ! J’ai beaucoup aimé ! Même si je suis encore dans l’attente du rôle de Salem ! Alors oui, j’attends la suite avec impatience ! Même si j’ai trouvé l’annonce de la suite un peu trop facile !
Artemissia : Nous avons déjà eu ce genre de série par le passé. Pas forcément sur de la sorcellerie, mais si on compare, on pourrait dire que ce reboot de Sabrina entre dans la lignée de ce qui se faite aujourd’hui avec des comics adaptés en série à la trame sombre et ténébreuse. Elle entre dans une nouvelle ère. J’ai aimé les effets spéciaux, sauf sans doute cette impression floutée dès que l’on se retrouve devant la maison des Spellman. Dans l’ensemble, j’ai bien aimé cette deuxième partie même si certains épisodes m’ont semblé superflus (je pense notamment à celui se déroulant avec Miss Wardwell déguisée en voyante). Harvey m’a agacé durant tout le long sauf à la fin ou, enfin, je le trouve intéressant. Il était temps !
Je dois dire que j’ai eu un gros coup de cœur pour cette série et cette première saison. J’ai adoré le personnage de Sabrina et même si par moment elle était un peu “too much”, j’étais à fond derrière elle. Les nouvelles aventures de Sabrina est une série cool et sexy ! À voir si vous aimez les histoires qui font peur avec une héroïne badass et qui n’a pas sa langue dans sa poche, des personnages attachants et tout plein de rituels démoniaques !
[Chronique Série TV] Les Songeuses ont vu : Les Nouvelles Aventures de Sabrina - Saison 1 Partie 2 et elles vous donnent leurs impressions ! Année de sortie : 5 avril 2019 Créée par : Roberto Aguirre-Sacasa Avec : Kiernan Shipka,  Miranda Otto, Lucy Davis, Chance Perdomo...
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songedunenuitdete · 7 years
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Misfits, saison 1 de Howard Overman
Créée par : Howard Overman (2009) Avec : Iwan Rheon, Robert Sheehan, Lauren Socha, Nathan Stewart-Jarrett, Antonia Thomas … Nationalité : Britannique Genre : Comédie, Drame, Fantastique Statut : Terminée Format : 45 minutes Saison : 1 Nombre d’épisodes : 6 Disponible sur Netflix
Synopis
Nathan Young, Simon Bellamy, Kelly Bailey, Curtis Donovan et Alisha Daniels sont cinq jeunes adultes ayant été condamnés, pour des raisons diverses, à des travaux d’intérêt général (TIG). Alors qu’ils effectuent leur premier jour, non sans provoquer Tony Morecombe, leur superviseur, un violent orage éclate. Ils sont alors frappés par la foudre. Très vite, ils vont se rendre compte qu’ils détiennent désormais des super-pouvoirs. Mais, ils vont également se rendre compte qu’ils ne sont pas les seuls à avoir changé. Tony, devenu complètement fou, va tenter de les assassiner. En danger de mort, ils n’auront d’autre choix que de le frapper les premiers et de le tuer.
À la suite de ce meurtre qu’ils se refusent de révéler, une longue suite de mésaventures s’enchaîne. Les cinq jeunes vont devoir tenter de cacher leur crime, déplaçant le corps au gré des fouilles de la police, utilisant la carte de crédit du disparu pour tromper ses proches et faire croire qu’il est simplement parti. Mais aussi, ils vont devoir apprendre à se faire confiance mutuellement.
Bande-annonce de la saison 1 
Mon avis
Je ne sais pas où commencer parce que ça fait tellement longtemps que je n’ai pas donné mon avis sur autre chose que des livres (et de la musique mais ça, c’est un cas à part). Mais ces derniers temps et depuis mon abonnement à Netflix pour ne rien vous cacher, j’ai repris du plaisir à suivre des séries, anciennes ou récentes, en sortant un peu de ma zone de confort. Question série/film, je suis dans une catégorie à part (et mes goûts pourraient vous sembler douteux). Les seules séries que je suivais étaient déjà terminées depuis longtemps et c’était essentiellement des sitcoms. Puis une chose en entraînant une autre, je me suis mise à regarder pas mal de choses, en suivant les conseils de mon entourage : Stranger Things, Black Mirror, Westworld, Breaking Bad, …
Dernièrement, on m’a conseillé de regarder Misfits en me le vendant en ces termes : « Ô Grande déesse Charlie, vénérée de tous (bon, j’en rajoute un peu). Toi qui aimes les teen-drama, les comédies, l’humour noir et l’humour anglais, je suis sûre que ça pourrait te plaire ! ». Ni une, ni deux, j’ai dégainé mon ordinateur et j’ai lancé Misfits. Et là, dès le premier épisode, ça a été une petite révélation pour moi (en même temps, quant au bout d’un dizaine de minutes, tu constates que Florence and The Machine est présent dans la BO, tu ne peux qu’apprécier).
Non, plus sérieusement, je dois dire que j’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire avec le premier épisode qui sert de prologue au reste de la série. En fait, j’ai eu du mal à comprendre quel virage allait prendre la série suite à cette introduction et surtout à jauger les personnages qu’on nous a présentés. Finalement, j’ai fini la saison à une vitesse folle car, oui, j’ai adoré cette première saison de Misfits. C’était juste complètement dingue à mes yeux ! Autant pour l’histoire que pour le ton de la série ou encore ces personnages.
Vous allez faire la connaissance de 5 anti-héros comme on les aime : drôles, fous, un peu effrayants, vrais, naturels et surtout, complètement badass. Les acteurs ont vraiment su capter l’essence de leurs personnages, leur donnant une dimension réelle super intéressante. Et je dois dire que leur évolution est flagrante entre le premier et le dernier épisode de la saison, tant par leur personnalité ou par les liens qui se nouent entre eux. Et forcément, j’ai déjà mes petits préférés :
Nathan, certainement le plus déjanté et le plus attachant de la bande, qui vous fait rire dès les premières minutes.
Kelly, la plus naturelle et la plus raisonnable du groupe, avec qui ce n’était pas gagné pourtant.
Simon, le plus atypique et le plus badasse de cette troupe, qui est vraiment « creepy » à mes yeux et qu’on a du mal à cerner.
Les autres personnages sont vraiment cool aussi mais je dois dire qu’ils ont déjà réussi à m’agacer un certain nombre de fois. Notre club des Cinq est incontestablement le point fort de la sérié.
L’intrigue de base, en elle-même, n’est pas des plus originales mais remixée à la sauce anglais avec un humour noir et décalé, lui confère un attrait vraiment particulier. Sincèrement, même si sur les 6 épisodes, certains n’ont pas été à la hauteur de mes attentes, on apprécie les aventures de nos personnages, avec une intrigue propre à chaque épisode couplée à une intrigue qui sert de fil conducteur à la saison. Le ton est particulièrement décalé, l’humour noir est tout bonnement magique et je ne compte pas le nombre de fois où j’ai éclaté de rire. Certains mystères ne sont pas résolus lors du dernier épisode (qui était juste génial, surtout cette fin qui m’a fait passer par diverses émotions extrêmes) et ça m’a tellement donné envie de commencer la saison 2. J’ai commencé à émettre mes propres théories et j’ai hâte de voir si j’étais sur la bonne voie ou si j’étais complètement à l’ouest. J’en resterai là pour ce qui est de l’intrigue par peur de vous spoiler.
Kelly
Curtis
Nathan
Simon
Alisha
Je préfère vous prévenir : Misfits ne fait pas toujours dans la dentelle. Certaines scènes peuvent être choquantes pour le jeune public (certains épisodes sont déconseillés aux moins de 16 ans), tant pour l’aspect violent que pour certaines scènes « osées ». Personnellement, j’ai apprécié qu’il y avait un certain équilibre entre les différents tons que peuvent prendre les épisodes. Ce n’était, en aucun cas, lassant ou perturbant.
Je conclurai en disant que Misfits a été une sacrée surprise. Je ne suis pas fan du côté « pouvoir magique » habituellement mais je dois dire que nos 5 protagonistes m’ont réconciliée avec l’image que j’avais des super-héros. Le ton résolument décalé de la série, les personnages super attachants, l’intrigue qui nous rend vraiment curieux et passionné, le côté badass de la série et la bande originale vraiment top font que cette première saison est un coup de cœur pour moi !
[Chronique Série TV - Charlie] Mon avis sur la saison 1 de MISFITS qui a été un vrai coup de coeur pour moi ! Misfits, saison 1 de Howard Overman Créée par : Howard Overman (2009) Avec :
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