Tumgik
#faire pitié à son ex
proustianlesbian · 1 year
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du coup je viens de voir le dernier épisode des petits meurtres et je vais essayer de faire une critique (comme pour l'épisode les souris dansent).
d'abord j'ai tout de suite capté le personnage autiste et ça m'a même surprise quand Rose a dit le mot parce que je me suis habituée à juste des sous-textes très souvent involontaires (en plus il a le même prénom que mon frère qui est aussi autiste mdr). mais ça m'a fait plaisir de voir que Rose était attentive à son trouble, ça c'est mon comfort character <3 !!
par contre vu que les auteurs savent que les personnes autistes existent, j'aurais aimé que ça se fasse peut-être plus tôt parce que je suis sûre que Marlène, Arlette et Le Goff (dans la saison 3) sont autistes (et vraiment sûre de chez sûre pour Arlette).
J'adore Rose, je veux tellement la voir avec une femme (Gréco si possible svp) purée, c'est tellement une high femme, je l'aime (son costume noir là cette femme est LESBIENNE !!!!). Et la scène avec Annie à la fête chez les patrons de l'agence.. je veux juste des lesbiennes pitié. aussi j'ai failli oublier mais j'adore le fait qu'elle soit toujours autant féministe, et même plutôt radicale pour son milieu (c'est sûr elle a lu dworkin ma vie)
En parlant des patrons, j'ai bien aimé la directrice de l'agence, surtout son jeu et ses robes :').
aussi, c'est plus général mais j'adore voir des acteurs et des actrices que j'ai déjà vu soit dans d'autres épisodes de la série soit ailleurs !
pour les points plus négatifs, la romance d'Annie m'a ennuyé, je trouvais que quitte à lui donner un love interest masculin, elle avait plus d'alchimie avec François de l'épisode 2 (peut-être parce que ce personnage a un nom de famille sépharade aussi).
le truc Rose/Max j'ai soufflé, à chaque épisode j'ai peur qu'ils les mettent ensemble (ex : la bande annonce de l'épisode 5) et là j'ai vraiment eu peur, en plus qu'elle l'empêche d'avoir un rendez-vous.
aussi le fait que le garçon autiste soit un pervers (je dis pas que ça n'existe pas) est peut-être pas le meilleur move quand c'est le premier personnage canoniquement ayant ce trouble dans la série mais personnellement ça ne m'a pas trop dérangé, ils pourront toujours rattraper leur coup.
mais ces deux premiers points m'ont assez gêné, d'autant plus que j'ai toujours un peu du mal avec Blum. je vais développer vite fait mais la relation Marlène/Swann était différente parce que même si Marlène avait une obsession pour le commissaire de la même manière que Blum, il y a dans la saison 3, même si les rôles des sexes sont inversés, un déséquilibre des pouvoirs et un homme harcèle littéralement une femme puisqu'elle lui a explicitement répété à plusieurs reprises qu'elle n'était pas intéressée. en plus, je trouve que la blague s'essouffle assez vite et j'aurais aimé voir Bob un peu plus !!
mais malgré ça, j'ai passé un bon moment, j'adore ce trio !!
mais si je devais faire un classement des épisodes de la saison 3, je pense que ça serait :
épisode 2 (celui avec les mannequins)
épisode 5 (le bar)
épisode 1 (beaucoup parce qu'on découvre le trio 💙)
épisode 3 (chirurgie esthétique)
épisode 4 (groupe de musique, presque à égalité avec le 3 parce que les deux ont des très bons points forts mais aussi quelques points faibles)
épisode 6 (je l'ai bien aimé mais il est avec un net écart après le 4)
bref, il a apparemment fait 3,5 millions d'audience, j'espère que ça va encourager la production et france 2 à ne pas annuler la série.
et j'ai trop hâte pour le prochain épisode, je le sens bien, il y aura des cosmonautes français dans les années 1970s, ça a l'air d'avoir les mêmes vibes qu'OVNI(s) qui est une série que j'adore :') !!
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christophe76460 · 10 months
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RÉVÉLATION DIVINE SUR L'ENFER, Par le Prophète Isaac Mayele de la R. D. Congo
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Ce qui se passe lorsqu'un pécheur meurt. En 2000, le Seigneur Jésus Christ me dit : Je vais te faire visiter l'enfer. Il me montra un homme pécheur malade qui était près de mourir ; je vis alors trois démons, sous forme de squelettes armés de flèches ; ces démons tirèrent sur l'homme, et son esprit sortit par la tête. Les démons traînèrent son esprit dans le tunnel de l'enfer et le précipitèrent dans le feu. L'homme s'écria : Aie pitié de moi, Jésus ! Mais le Seigneur lui répondit : C'est trop tard ! Nous nous éloignâmes, et je vis le Seigneur Jésus pleurer; je Lui demandai : Jésus, pourquoi pleures-tu ? Il me dit : L'enfer n'a pas été créé pour les hommes, mais pour Satan et ses démons. Quand Il dit cela, je ressentis une grande tristesse et me mis aussi à pleurer, mais je ne pouvais rien faire. Je vis des flammes de feu s'embraser, et je haïs profondément l'enfer. Le Seigneur me montra d'autres démons à l'aspect de squelettes tirant des flèches sur des hommes se trouvant en Enfer, mais ces derniers ne mourraient pas ; le feu les consumait, pourtant ils ne mourraient pas. Ces hommes qui sont en Enfer sont constamment tourmentés par la soif de l'eau parce qu'ils sont essoufflés ( Zac 9:11).
Le Seigneur me montra un ex musicien congolais en Enfer. Je vis Luambo Makiadi fouetté par les démons ; il criait: Pardonne moi Jésus ! Le Seigneur lui répondit : Je t'avais laissé le temps de te repentir mais tu ne l'as pas fait, c'est trop tard. Le Seigneur me dit :<< Va avertir les hommes de ne plus écouter la musique mondaine et de ne plus jamais danser les danses mondaines Car ces chansons et ces danses proviennent du monde des ténèbres. Je vis aussi notre ancien président congolais ( ex Zaïre) Mobutu en Enfer. En 2011, l'ange Gabriel m'amène encore en Enfer ; il me montra combien les hommes remplissaient toujours plus L'enfer ; il y avait des multitudes. Je posais la question de savoir s'il y avait aussi, là, des membres de ma famille ; l'ange me répondit : Oui, et je vais te les montrer. Je vis un homme s'approcher : c'était Omer, mon frère ; il adressa à Gabriel de fortes supplications, disant :<< Sorts-moi d'ici !>> Quand je l'entendis, je demandai à l'ange : Qu'est-ce qui l'a conduit ici en Enfer ? Il me répondit : Il était un ivrogne, un impudique, et il n'a pas reçu le Seigneur Jésus Christ comme Seigneur et Sauveur de sa vie. Je demandai : Y'en a-t-il encore un autre ? L'ange me répondit : oui, je vais te le montrer. Je regardai, et je vis mon grand frère en train de brûler dans le feu ; Gabriel me révéla que mon grand frère aimait les fétiches.
Des Pasteurs en Enfer :
Le Seigneur m'a montré un pasteur en Enfer que je connaissais, le Seigneur m'a pris pour aller me montrer les problèmes de ce pasteur, il avait le don de la délivrance qu'il avait eu par un démon de destruction. Je demandai au Seigneur pourquoi ce pasteur est dans cet endroit ? Il me dit : ce pasteur avait bien commencé dans mon travail, malheureusement il avait laissé ma voie et a commencé à travailler pour satan. Il commençait à faire même la magie et il prêchait de mauvaises prédications à l'église. Avec une grande miséricorde, j'avais envoyé mes serviteurs pour aller le conseiller, il n'entendait pas et refusait. Il avait fait beaucoup de choses pour moi, il était un prophéte et avait une église à Bandalungwa, Kinshasa. Le Seigneur me montra comment il avait accepté Jésus Christ comme Sauveur et Seigneur de sa vie. Les anges y étaient et écrivaient tout les éléments qui s'y passaient, pour donner le rapport auprès de Jésus-Christ. C'est pour cela que la Bible nous dit que si une personne accepte Jésus comme Sauveur et Seigneur de sa vie, c'est une fête au Ciel ; et une fois vous allez à l'encontre de cet engagement, là au Ciel il y a un grand regret. Quand il était mort, il est allé en Enfer. Je me demandais en pleurant, comment un grand pasteur comme lui peut aller en Enfer ? L'ange me disait, c'est possible. Jésus-Christ me dit : Va dire aux serviteurs et aux chrétiens que le Ciel et L'enfer existent réellement. Et quand aux anciens, ils sont mis dans un endroit où il y a plus de souffrance que les autres personnes. Je demandais pourquoi ? Le Seigneur me dit : puisque eux ont pu connaître la vérité en Christ en profondeur, le Saint-Esprit dans leur vie, et ont abandonné la volonté du Christ.>> Je pris à cœur de conseiller les serviteurs de Dieu de ne pas abandonner la volonté de Dieu car une fois aller à l'encontre de cela, votre place n'y existera plus au paradis. Le Seigneur Jésus Christ m'a montré un autre pasteur, lui, travaillait pour l'Éternel mais hélas car il était entré dans la magie. Il avait une fleur magique, qu'il mettait sur sa veste comme esthétique. Or c'était le contraire ; chose étonnante, le Seigneur me montra ce qu'il faisait quand il allait visiter les chrétiens et priait pour eux et quand il faisait le travail de Dieu. Quand il arrivait dans les maisons des chrétiens pour aller Prier, la fleur quittait sur sa poche, allait dans la chambre pour vérifier tout ce qui se trouvait dans la maison. Cette fleur avait la capacité de savoir toutes choses et l'argent qui est dans cette maison du chrétien même si vous les avez écrits sur un papier. Et en rentrant, cette fleur lui faisait rapport au pasteur pour que quand il va prier, qu'il soit précis afin d'identifier tout ce que vous avez stocké dans votre maison même si c'est l'argent ; il va te dire que le seigneur venait de me dire que tu as au tant de sommes dans votre maison et que tu dois me le donner ( semer) et le chrétien dit oui, c'est vrai. Le Seigneur me dit :<< Mon fils, un tel serviteur qui a pris une fleur magique pour tromper mes enfants pour qu'il trouve de l'argent, une fois mort il va se retrouver en Enfer, et des gens qui le connaissaient quand il était en vie vont commencer à commenter beaucoup de bonnes choses pour lui. >> Ce pasteur, je le connaissais.
Bien-aimé, le Seigneur Jésus Christ me dit que ce n'est pas nécessaire qu'on ait la richesse de ce monde et qu'on manque la vie éternelle. Le Seigneur me disait que tant de serviteurs de Dieu manqueraient le Royaume de Cieux, à cause des richesses de ce monde. Et beaucoup d'eux commençaient à prêcher la Repentance, le Retour du Christ, mais à cause des choses de ce monde, ils ont abandonné ce message et commencent à prêcher d'autres sujets comme : la prospérité physique qui fait plaire aux chrétiens de son église pour qu'il trouve de l'argent. Le Seigneur Jésus Christ me dit :<< va parler aux anciens des églises de prêcher sur le Retour du Christ et la Repentance, et pour les restes je veux m'occuper des leurs besoins. Car c'est moi qui les a donné la mission, et c'est Moi qui va les prendre en charge ; et qu'ils connaissent que Je Suis le Dieu des dieux. >>
* FIN DU TÉMOIGNAGE.*
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COMMENT RECUPERER SON EX A DISTANCE : LES 6 ASTUCES A UTILISER
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Lorsque l’on se trouve à distance de son ex à la suite d’une rupture, il est fréquent de céder à la panique. Vous vous dites que cette distance géographique est un obstacle pour récupérer votre ex, que vous n’y arriverez jamais. Vous aimeriez être en contact avec lui (elle) pour pouvoir entreprendre votre reconquête. Vous avez en grande partie tort! Il est possible de transformer cet obstacle en force à condition de suivre les conseils avisés que nous vous donnons.
Comment récupérer son ex à distance ? Nous vous livrons ici 6 astuces à utiliser pour réussir !
Prendre soin de vous et le faire savoir Lorsque vous êtes sans contact physique avec votre, il (elle) ne peut pas vous voir en direct. Vous pouvez soigner votre allure, avoir des activités stimulantes, votre ex n’en saura rien … à moins que vous ne lui fassiez savoir ! La dernière chose à faire pour récupérer son ex est de vous morfondre et de vous replier sur vous. Ce conseil est valable dans toutes les situations pour récupérer son ex, même si celui ci ne veut plus vous revoir.
Vous devez absolument tendre à votre ex une image positive de vous et de votre vie. Mais comment faire lorsque l’on est éloignés géographiquement ou lorsque votre ex refuse tout contact ? Comment récupérer son ex à distance ? L’internet est d’abord votre meilleur allié. Les réseaux sociaux vont être un outil de poids dans une reconquête à distance. Mais deux mises en garde s’imposent pour profiter vraiment de cette astuces.
Premier point de vigilance : n’en faites pas trop et restez mesuré. Evitez de publier trois fois par jour des photos sexy. Comment récupérer son ex à distance si on lui laisse penser que l’on cherche à séduire d’autres personnes via les réseaux sociaux ?
Selon vous, est-il trop tard pour récupérer votre ex ?
Je vous ai préparé un QUESTIONNAIRE unique capable de déterminer vos chances de récupérer votre ex, et de découvrir quelle stratégie vous devez mettre en place pour sauver votre couple..
Choisissez soigneusement des photos qui vous mettent en valeur dans des situations valorisantes pour vous. Une photo avec des amis lors d’une soirée festive, des paysages que vous découvrez. Vous n’êtes pas obligé.e d’apparaître systématiquement sur les clichés. Votre image sur les réseaux sociaux doit vous montrer sous votre meilleur jour, physiquement et moralement.
Attention également à ce que cela soit le reflet de la réalité ! Ne vous inventez pas une vie pour votre ex. Votre but final est de récupérer votre ex. Il faudra donc que la réalité face à laquelle il (elle) sera en vous revoyant soit en cohérence avec ce que vous aurez laissé paraître en ligne.
Cette rupture est donc l’occasion pour vous de prendre soin de vous réellement, de votre allure, de votre coupe de cheveux, de votre look… Mais c’est aussi l’opportunité de vous lancer dans de nouvelles activités et découvertes.
Si vous le pouvez, programmez des week-ends actifs, des vacances positives, renouveler votre rapport au travail, engagez-vous dans des associations. Les possibilités sont infinies et cette nouvelle vie vous rendra d’autant plus séduisant.e pour votre ex.
Ne pensez pas que votre ex sera séduit.e par votre tristesse. Vous n’avez pas envie de lui inspirer de la pitié ? Vous voulez le (la) reconquérir en lui inspirant de l’amour et de l’envie ! Alors vivez, soyez libre et partagez sur internet cette vie bien remplie.
PAPA LOKO VOGNON BOSSA CONTACT Appel Direct: +229 60 06 71 23 WHATSAPP/VIBER: +229 60 06 71 23 E-MAIL directe: [email protected] Site web:http://www.puissant-marabout-voyant-retour-affectif-immediat-sedonou-gueta.com
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jaimelagrenadine · 2 years
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Confidence #10
... Que dire? Je m'inspire beaucoup de ma vie sentimentale pour écrire des punchlines. Et je trouve triste (à la limite de la pitié) qu'après avoir décliné une potentielle relation amoureux (un bisou) certains me rabaissent et disent "tu pourras mettre ça sur un post/pin's"... Je suis 😳 Je n'avais nullement l’intention de le faire!!! PARCE QUE... JE M'EN FOUS 😂 C'est pas 2-3 gugus qui vont me saper le moral parce que j'ai eu la décence de donner des raisons (honnêtes) à ces NON-potentielles-relations.
#JeNeSuisPasLa5emeRoueDuCarrosse (qui peut oublier qu'il a une copine/femme/compagne/conjointe?) ; #JeNeSuisPasUnJambon (qui accepterait que son copain aille loger chez son ex-copine quelques jours par mois pour "le boulot"?) ; #JeNeSuisPasUnBoucheTrou ("Ma copine est absente jusqu'en septembre... Tu peux venir à la maison?") Mais... PTDR!!! Certains ne méritent pas d'être "en couple".
Voilà c'était la confidence du lundi!
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alexar60 · 4 years
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L’hôtel particulier (15)
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Les 14 chapitres précédents sont ici.
Chapitre 15 : Pour quelques euros
Vous n’imaginez pas le nombre de personnes qui s’intéresse à vous dès que vous gagnez au loto. Je n’avais rien dit publiquement en dehors de quelques amis. Pourtant, ils furent nombreux à chercher à me rencontrer ou m’écrire pour me réclamer une part. J’avais reçu tellement de demandes qu’à la fin, je trouvais cela pitoyable. Certains avaient un beau projet, d’autres demandaient en signalant que c’était de l’argent facile. Et puis, il y avait aussi les opportunistes, les cousins éloignés que je n’avais pas vus depuis vingt ans ou les anciens camarades de classe qui se souvenaient subitement avoir été mon voisin de table à la cantine. Enfin, j’ai vu passer beaucoup de gens pour me solliciter financièrement.
Mon ex et moi avions gardé contact même si je l’évitais à cause de ses dernières fréquentations. Juste avant notre séparation, elle s’était fait tatouer une rose bleue sur la hanche droite. La rose était magnifique et n’avait aucune symbolique à ses yeux. Elle m’avait juste dit qu’elle avait eu cette vision pendant un rêve, plutôt, ce qu’elle n’avoua jamais, pendant un trip. Marion était devenue accro à l’héroïne et gaspillait son argent dans cette drogue. J’avais beau expliquer les effets nauséabonds sur sa vie et notre relation mais elle s’en fichait et, même si elle assurait arrêter pour me faire plaisir, elle continuait en cachette dans des endroits sordides genre squats ou maisons abandonnées.
Depuis le jour de l’achat du billet de loto, je n’avais pas revu Marion. Elle s’éloigna de moi et de nos amis pour ses mauvaises habitudes. Trois mois plus tard, elle réapparut en sonnant à l’interphone de mon ancien appartement. Je la fis entrer en espérant qu’elle aille mieux. Mais je fus surpris voire écœuré en découvrant une Marion maigre comme jamais. Les joues creuses, les genoux cagneux,  les bras ressemblant à des cotons tiges et recouverts de traces de piqures, elle n’était plus qu’un tas d’os faisant pitié.
Assise sur mon canapé, elle accepta de boire une tasse de café. Je pouvais lire dans son comportement un réel malaise. Elle se recroquevilla sur elle-même collant ses maigres jambes qui semblaient n’en faire qu’une. Toutefois, elle répondit à mes questions sur son travail, sa famille qui la soutenait. Elle avoua même être inscrite à une cure de désintoxication. Cependant, son sourire triste, ses yeux brillants, ses joues rouges laissèrent à penser qu’elle mentait depuis le début de la discussion. Lorsqu’elle demanda si ma nouvelle fortune était vraie, je compris la raison de sa présence.
-          Comment as-tu su ? demandai-je.
-          J’ai…j’ai besoin que tu m’aides, murmura-telle en baissant la tête.
Elle tenait la tasse fumante avec les deux mains. Nous soupirâmes ensemble. Moi, pour dire : « Nous y voilà ! », elle pour se préparer à répondre à ma question exigeant des réponses précises et honnêtes.
-          Combien ?
-          Trente mille euros.
-          Tant que ça ?
-          Je suis dans la merde, Arthur ! Je dois trente mille euros.
Une larme se prépara à perler le long de son œil. Je remarquai ses cheveux gras et me souvins qu’avant, elle aimait les laver presque tous les jours. Je remarquai aussi qu’elle n’était pas maquillée contrairement au temps où nous faisions connaissance. Elle avait fait ce choix de passer aux drogues dures, j’étais en droit de la laisser tomber mais finalement, j’eux mal au cœur. J’étais prêt à les lui donner. Par contre, j’avais des conditions et surtout, je voulais des réponses. La connaissant, je restai silencieux et attendis patiemment qu’elle ne dévoile son problème.
-          Pour payer mes doses, j’ai accepté de vendre de la drogue. Mais, j’ai trop pris pour moi et ils me réclament trente mille euros.
-          Et tu crois que je peux les sortir comme ça ? affirmai-je sèchement.
Elle releva la tête. La goutte traça un chemin sur la joue. Puis, elle se pinça les lèvres.
-          Je peux te les rembourser plus tard. Je peux te les rendre en nature si tu veux. Je peux te les rendre avec mon cul.
Soudain, elle posa la tasse sur la table basse et se leva pour monter dessus et s’agenouiller tout en relevant sa jupe. Elle baissa son slip et attendit dans cette position. Je vis une partie de son tatouage, la tige ainsi que le bas de la rose bleue.
-          Je serai ta chienne…tu pourras me prendre comme tu veux… Je ferai tout ce que tu voudras quand tu voudras…je préfère que ce soit toi, parce qu’ils le feront ou pire… Je t’en supplie.
Les sanglots dans ses mots provoquèrent en moi une peine énorme.  Je tremblai encore plus qu’elle. Dès lors, je me levai et partis chercher mon chéquier.
-          Rhabille-toi, s’il te plait, dis-je doucement.
Elle releva la tête, toujours les larmes aux yeux. Elle remonta sa culotte et se sentis encore plus gênée qu’à son arrivée. Elle me regarda écrire sur le chèque que je laissai sur le bureau de mon ordinateur. Puis, je pris mon téléphone et contactai mon banquier pour lui annoncer que je faisais un virement d’une somme importante, quarante mille euros.
-          J’y mets une condition, ajoutai-je-en raccrochant. Je te laisse le temps de régler tes problèmes mais dans trois jours, avec Léopold, on passera chez toi et tu nous accompagneras pour un hôpital ou une cure de désintoxication. Je me montre peut-être naïf mais j’espère qu’il reste encore un brin de lucidité en toi.
Elle me remercia, prit le chèque et promit de se faire soigner. Cependant, je me doutais qu’elle ne tiendrait pas parole. Quand, nous passâmes chez elle, elle n’était pas là. Léopold veilla plusieurs nuits devant son appartement, seulement elle n’y retourna plus.
En repensant à cette histoire, j’attendais Tatiana dans une salle d’attente de l’hôpital où elle travaillait. Elle avait pu voir une de ses amies, gynécologue qui l’accueillit afin de faire un test de grossesse. Cela parut con pour une infirmière, mais elle avait peur de se planter tellement l’idée d’être enceinte la perturbait. C’était dans ce même hôpital que je vis Marion pour la dernière fois.
J’avais reçu un appel de la gendarmerie me convoquant à la morgue afin d’identifier un corps. Elle avait coupé les ponts avec tout le monde, y compris sa famille qui la renia. Aussi, elle avait encore le chèque dans la poche lorsqu’elle fut retrouvée. Une overdose…ce mot résonna dans mon esprit comme un coup de poignard. Accompagné de Léopold, nous nous retrouvâmes dans une chambre froide, vide de tout. Un mec en blouse blanche nous demanda de le suivre jusqu’à une espèce de table recouverte d’un drap qu’il déplia dévoilant mon ex-copine de la tête aux épaules dénudées. Les lèvres cyanosées, la peau de la même couleur que le lait, les paupières fermées, elle semblait dormir. Léo s’effondra, il tomba en sanglot. Je déglutis pour empêcher ma tristesse de jaillir avant de hocher la tête pour annoncer qu’on la connaissait.
-          C’est bien Marion Piriac, annonçai-je à un gendarme présent.
Nous fîmes rapidement nos adieux à Marion avant que le légiste ne recache son visage avec le drap. Puis nous quittâmes le bâtiment. Mon pote se chargea de prévenir les parents de Marion. Ils étaient amis d’enfance.
Lorsque la porte s’ouvrit, je me levai et oubliai la mort de Marion. Tatiana se présenta avec un énorme sourire affiché. Elle s’empressa de se jeter dans mes bras. La gynécologue qui l’avait suivie afficha aussi un sourire béat avant de me féliciter.
-          C’est confirmé, Arthur ! Tu vas être papa, cria mon amie.
Je sentis à la fois comme un poids et une délivrance envahir mon esprit. Je ne savais plus quoi faire ni quoi dire. Alors, je ris aux éclats sans remarquer quelques personnes présentes qui applaudirent à l’annonce de Tatiana. Je sortis de l’établissement avec ma compagne, les yeux remplir de larmes, mais de belles larmes avec un goût agréable…et qui réchauffent le cœur.
Alex@r60 – février 2021
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claudehenrion · 4 years
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Covid, suite - ( II ) : ''Qui sont les morts du Covid-19 ?''. (Et les cocus ?)
  Dans le cadre des grandes enquêtes remarquables que le quotidien ''Nice Matin'' a consacrées au covid 19 et à ses conséquences (nous les avons déjà citées ici à 2 reprises), la dernière en date (17/02/2021), signée par le Dr. Nancy Cattan, a pour titre : ''Age, fragilités, autonomie… Qui sont les morts du Covid-19 dans les Alpes-Maritimes en 2020 ?''. Cette étude détaillée des 2.200 décès survenus au CHU de Nice est, exceptionnellement, dans le ''grand public''. Alors... pour une fois, ayons le courage de ''descendre'' dans les détails et de regarder à l'intérieur de l’énorme ''machine à bobards'' dont nous ne voyons même plus les grosses ficelles, habitués que nous sommes aux ''réalités-retouchées'' dont nous sommes saoûlés ''24 / 24′’...
  ''1er janvier -- 31 décembre 2020... Au cours de cette année si particulière, le centre hospitalier universitaire de Nice a pris en charge quelque 42.000 patients parmi lesquels on a déploré 2.195 décès. Question : lesquels de ces décès sont-ils directement imputables au coronavirus ? Dans le cadre d'une thèse dirigée par le Pr Christian Pradier, chef du service de santé publique du CHU de Nice, Kevin Legueult, interne, a cherché à mieux comprendre ces décès, sans idées préconçues ni a priori... Ce travail, qui se poursuivra jusqu’à la fin de ce mois-ci (une année de Covid), ne concerne pas les décès à domicile ni dans un EHPAD.
  Point de départ de l'étude, un chiffre : 166. C'est le "nombre de patients étiquetés 'morts du covid' en 2020 au CHU de Nice". "Ces personnes ont en commun d’avoir été testées positives au Covid ou d’avoir présenté les signes cliniques ou radiologiques de cette infection". La suite ? Un énorme travail de vérification, avec l'aide d'infectiologues et de réanimateurs, sur les dossiers médicaux de ces 2195 patients décédés, car "un test positif ne suffit pas à déclarer que la personne est décédée du Covid ; il faut se plonger dans chaque histoire médicale pour parvenir à une conclusion". L’étude aurait pu se limiter aux patients dont le décès avait été décrété ‘’lié au Covid’’, mais pour éviter toute critique, on y a intégré les 141 personnes qui ont eu une infection active.
  Résutats : "Leur âge moyen au moment du décès est de 81,8 ans et les deux tiers avaient plus de 80 ans. On n’a enregistré aucun décès avant 45 ans et les décès avant 65 ans sont exceptionnels (il y en a eu 6 en tout, présentant tous des comorbidités très sévères)''. Parmi les personnes décédées, la fragilité est apparue comme un facteur de risque : "70 % étaient en situation de perte d’autonomie, plus de 30 % résidaient en EHPAD et 40 % bénéficiaient d’aides à domicile. L'étude a retrouvé les facteurs de risque de décès décrits dans la littérature scientifique : "60 % des patients décédés étaient en surpoids ou obèses, le même % age souffrait d’hypertension et/ou d’antécédents cardiaques. Environ 30 % étaient atteints de diabète. 33 % avaient été victimes d’un AVC. Enfin, 19 % souffraient de démence".
  Il ne fait donc aucun doute que "les personnes âgées et fragiles sont les plus vulnérables au décès par Covid, mais ce n’est pourtant pas une fatalité pour ces personnes dont la majorité reprend une vie normale après avoir été infectées, à l’instar de ''notre'' doyenne européenne (Ndlr : référence à sœur Andrée, doyenne des Européens, "miraculée" à 116 ans). Nous sommes loin du SIDA des années 1980, les cliniciens ayant réalisé d’énormes progrès dans la prise en charge thérapeutique", même si ces progrès qui n’ont pas permis de sauver 5 % des personnes qui bien qu’âgées, étaient en bonne santé lorsqu’elles ont contracté le virus. Mais chaque année, la grippe et d’autres maladies tuent des gens en pleine santé. Et si "chacun de ces décès est un drame, la psychose qui contamine la population l’est tout autant." Une conclusion forte pour une réalité qui l'est aussi.
  En ce qui concerne les patients plus jeunes, dont les décès impressionnent davantage, "sur les 6 âgés de moins de 65 ans , 3 avaient entre 46 et 55 ans, et 3 entre 55 à 65 ans". L'étude a révélé qu'ils présentaient tous de grandes fragilités lorsqu’ils ont contracté le coronavirus. "Nous avons mesuré, sur leurs comorbidités, le score de Charlson, qui évalue l’espérance de vie à un an indépendamment de l’âge. L’un des 3 plus jeunes souffrait de plusieurs pathologies graves (hépatique et pulmonaire), et son risque de décéder dans l’année était estimé à 85 %. Le second était atteint d’obésité sévère et d’hypertension et avait en plus été victime de deux pneumopathies dans le passé. Le troisième, atteint d’un cancer du sang, a dû subir une greffe et été victime d'une GvH (une réaction du greffon contre l’hôte). (NDLR - Chacun appréciera la part qui revient --ou non-- au covid, dans tous ces cas).
  Chez les trois patients âgés de 55 à 65 ans, on retrouve des facteurs de risque majeurs : "obésité morbide pour l’un, tumeur maligne inopérable pour le second, double cancer sous chimiothérapie pour le troisième, qui souffrait également de troubles psychiatriques importants". ''Les cas décrits dans l'étude existent, et le risque létal que représente pour elles le Covid-19 doit nous inciter à redoubler de prudence et à cibler davantage les messages de prévention, pour éviter que le virus ne les atteigne''. On va me dire que les nombres de cas étudiés sont faibles, ce qui n'est pas faux. En revanche, c'est la première fois qu'un étude sérieuse arrive à passer le cap de la censure vétilleuse de cabinets secrets et d’inutiles comités Théodule... et à atteindre ENFIN le ''vulgum pecus''.  Et en outre, la méthodologie rend très peu risquée une généralisation prudente. Ne boudons pas notre plaisir !
  Ce qu'il faut retenir de cette étude, c'est surtout que le rôle immédiat du virus doit être ramené à ce qu'il est : un intermédiaire indésirable, certes, mais pas le ''sérial-killer'' dont on brandit sans cesse la dangerosité. Nos pétochards-en-chambre ont détruit nos vies et le futur de nos enfants pour une menace vraie, mais exagérée ''de manière exponentielle'', comme ils aiment répéter. Le futur et l'Histoire les jugeront sévèrement, n'en doutons pas (ou espérons-le !) : les sujets de critique méritée ne manqueront pas !
  Mais comme le hasard fait bien les choses, j'apprends, au moment où je termine ce ''billet'', qu'explose, avec retard, cette ''breaking news'' incroyable : le 24 février, vers minuit, la police a verbalisé une vingtaine de journalistes de BFM-TV, de ''cadors'' de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris et un haut-gradé de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris, tous consultants santé de la chaîne (BFM-TV, donc)... qui dînaient ensemble au ''Les 3 présidents'' du chef (ex-Ritz-Carlton) Eric Duchesne, restaurant qui appartient à l'un des plus insupportables de nos ''donneurs de leçon'', Patrick Drahi, propriétaire de BFM-TV, la chaîne de tous les bobards et de toutes les ''fake news'' officiels, la chaîne qui ne laisse pas passer un jour sans nous donner envie de vomir (avec des images indignes, de vieux qui se font piquer au gras du bras ou qui crachotent dans des petits tubes)... la chaîne qui psittacise matin, midi et soir, les mots d’ordre officiels : ''portez votre masque même chez vous ; isolez-vous des autres ; préparez-vous au passeport vaccinal liberticide ; et ne réfléchissez surtout pas : c’est signe de complotisme !''. C’est une honte !
  Cet ''entre-soi'' entre privilégiés-caviar-bobos montre à quel point ''cadors'' du régime, hauts fonctionnaires, journalistes, “experts”, petits-copains et prébendiers... ne croient absolument pas au ''coronacircus'' et à toute la mascarade qu'ils se donnent un mal ''de dingue'' pour nous faire avaler, contre toute raison. Les français savent désormais pourquoi ils ont raison d'en avoir ''ras la casquette''...  Ils comprennent peu à peu qui se fout de leur gueule... et d'où viennent les complots, ''fake news'' et comportements condamnables. Puisse le ciel avoir pitié de nous : il ne nous reste que notre confiance en la justice immanente, puisque celle des hommes est à l'unisson du reste...
H-Cl.
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histoiredunevie · 4 years
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Marie
Marie venait de quitter son lit en sueur.
La rencontre avec Paul avait bouleversé son quotidien. Elle ne dormait plus et comptait les minutes comme si l’éternité était déjà la. La belle faisait des rêves d’ailleurs plus en plus de etranges : des rêves ou elle pouvait le voir. Elle avait l’habitude de rêver de lui mais la c’était different. Elle pouvait sentir ses mains glisser sur son corps, son buste s'appuyer sur ses fesses et sa respiration se promener sur son cou. Elle était loin de lui mais le sentait de plus en plus proche, cela en était terrifiant. Il lui manquait, c’était une certitude. 
Elle aimait Paul, terriblement. Et elle s’en voulait de lui avoir tournée les talons sans le lui avoir avouée. Et pendant qu’elle refaisait le film de sa derniere rencontre avec lui, ses rêves devenaient de plus en plus récurrents. Parfois elle l’entendait lui parler, d’autres fois encore ils se laissaient aller a de longs echanges passionnels. Mais jamais, elle ne se réveillait en paix.
La journée elle etait enfermée, entre les murs de sa petite studette et ses oeuvres qui faisaient office de décoration. Ce qui ne rendait pas son sommeil plus leger. Mais, en regardant par sa petite fenêtre il était désormais possible de voir les arbres de la rue bastille perdre ses feuilles. Elle aimait l’automne plus que Paul. 
Mais il lui rappelait maintenant sans cesse qu’elle l’aimait tout comme le premier jour.
« les alcooliques anonymes pour un nouveau départ » était il écrit sur la pancarte. Une étape obligatoire après avoir été jugée coupable d’alcoolisme sur la voie publique. Elle était donc habituée a venir la chaque semaine, comme une épine coincée dans le pieds dont on ne ressent meme plus la douleur. Ne se souciant ni des autres ni de la jolie infirmière elle avait appris, a se détacher d’elle meme pour fuir cette réalité ennuyante; recherchant une âme qui prendrait pitié et lui délivrerait  un certificat nécessaire a la fuite de cet endroit. 
Sans oublier que les semaines etaient un peu plus dures a chaque fois. Entre ceux qui finissait en pleurs, parce que rarement habitués a ce qu’on les écoutent, et ceux dont on ne connaissait meme pas la voix. Dont elle faisait partie.
Une fois pourtant elle tendit l’oreille quand Emmanuelle prit la parole. C’était un homme noir dont on remarquait forcement le gabarit puisque très loin de l’image que donne la société aux alcooliques. Celui ci était grand, fort et avait une voix qui portait dans d’autres villes quand il s’énervait. 
Rescapé d’un voyage en bateau pour L’Italie il s’était retrouvé en France grâce a diverses associations et avait connu comme elle la prostitution, la boisson et la drogue.
« Je vois que aujourd’hui tu nous ecoute Marie » avait finit par dire l’infirmière, sensible a son agitement.
Emmanuelle avait finit par venir lui parler et a deux il riaient désormais et se moquaient de leurs situations. C’était un électron libre, de ceux que l’on ne dompte jamais. Elle pouvait retrouver dans ses yeux la tendresse qui lui manquait tant et sa force et son assurance lui rappelait son père qu’elle avait perdu dans d’atroces circonstances. Elle le lui confia un jour et il sourit, flatté de la comparaison qu’elle portait a son égard.
Ils voulaient se revoir a l’extérieur. Mirent en place des stratagèmes pour ne pas être présents a chaque réunion ... mais Paul arriva. Puis il se détacha d’elle, brusquement, sans explications. 
Il avait certainement remarqué le regard du bel étalon pour sa protegée et avait préféré fuir le combat au lieu de prendre les armes. Un lache, ce n’était qu’un simple lache en vérité.
Les semaines passèrent plus vite et elle prenait le temps, chaque mardi de se préparer pour être la plus belle a regarder. Une robe rayée pour mettre en valeur ses petites formes ou encore une autre plus fleurie pour faire ressortir son teint. 
Tout cela était devenu un jeu pervert et anxiogène pour les trois jeunes. 
Emmanuelle s’en alla un jour sans dire un mots, sans un aurevoir non plus. Un grand homme qui voulait se faire petit, riait parfois Marie en pensant à lui. Elle était peinée mais c’était ainsi. On ne se fait pas d’ami chez les alcooliques anonymes.
Quand a Paul, c’était elle qui avait prise les devants. Timide et réservé il s’était montré plus entreprenant quand elle lui proposa de monter chez elle un soir. Le moment avait été trop brusque, trop violent, trop précipité et Marie s’en voulait désormais jugeant que cet action n’avait pas été celle de la femme que lui renvoyait le miroir.
Ils s’évitèrent pendant plusieurs semaines. Deux mois a ne plus se parler, une torture pour celle qui avait rêvée d’une etreinte plus passionnelle. Mais indubitablement ils finirent par se retrouver. 
C’était un soir ou on lui donna la parole chez les AN, le soir ou elle avait acceptée de l’a prendre. Couverte de ses propres larmes, elle venait de se libérer de quelque chose qu’elle ne savait nommer.
« L’alcool m’aime comme je suis » avait t’elle commencée. Une déclaration qu’elle avait cherchée a comprendre plus tard mais qu’il était nécessaire d’avouer. Son alcoolisme n’était que la preuve d’un manque d’amour et tout le monde était des lors au courants.
Elle voulu fuir a la fin de son discours. Rentrer chez elle. S’enfermer et ne plus voir personne. Ne plus revenir dans cet endroit maudit. 
Mais Paul lui attrapa la main devant la porte. 
Et une seconde après celui ci sembla plus bavard. Il avait cherchée à réveiller quelque chose chez elle et il était content d’apprendre à travers son discours qu’ il pouvait en plus l’aider à se reconstruire.
C’était un homme bon. Du moins d’après lui. Il était la parce que son ex femme l’accusait de coups et blessures. Après une enquête les policiers lui forca a révéler son addiction pour l’alcool et ses penchants pour la violence. Il avait accepté de se faire soigner pour éviter des poursuites judiciaires et voulait absolument reprendre sa vie en main. 
Elle ne pouvait pas dire si ce qu’il disait était vrai ou non, tout ce qu’elle souhaitait désormais etait le recueillir et le soigner lui aussi.
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lyveesaivin · 4 years
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Tumblr media
que du love sur mon tumblr ce matin avec @celestialmite qui se joint à la fête ❤❤ pour vous c’est peut-être la Mite, pour moi c’est la Mighty Mite - et pour tous·tes celleux qui ont soupé du George Berkeley 8-) (i feel u, elle voit son pied la mite)
celestial mite
Déjà, première chose, ton message est le plus adorable du monde, ça fait du bien à lire, et je sors la carte uno reverse pour te renvoyer exactement tout le positif et les bonnes ondes que tu envoies. ❤ Passons au rp ! Alors. Pour le contexte : il s’agissait d’un forum Harry Potter, chaque personnage avait un secret, détenu par un sorcier mystérieux connu sous le nom de “Celui-Qui-Sait”. A la fermeture du forum, CQS a dévoilé les secrets de tous avant de disparaître. Avec des amis, on a donc décidé d’ouvrir un forum privé pour “terminer” les histoires de nos persos et jouer les retombées d’avoir ces secrets ainsi révélés à tous. Ce rp prend donc place à ce moment là. Kendra Austen (mon personnage) est une journaliste pour la Gazette du Sorcier et Joy Jackson-Powell est une ancienne Auror qui a été envoyée à Azkaban à tort. Kendra décide, après plusieurs mois de recherche, de publier un article pour innocenter Joy, devenue entre temps sa petite amie. Joy n’apprécie pas que Kendra fouille dans son passé de la sorte, et les deux femmes se séparent. Entre temps, CQS dévoile les secrets de tous, et notamment celui de Kendra. Les deux jeunes femmes se recroisent dans une boîte de nuit sorcière où Joy travaille.
« La musique est assourdissante, Kendra n'entend ni sa respiration, ni son cœur qui bat à tout rompre, ni les pensées qui pourraient l'assaillir. Kendra se sent légère. Elle ne pense pas, elle n'entend rien, elle se laisse porter par les intonations de la musique. Kendra danse sans se soucier du reste du monde. Elle s'oublie – elle n'est plus Kendra, elle est juste là, elle se fond dans la masse, contre la fille qui vient danser contre elle, contre l'homme qui lui attrape la taille et à qui Kendra adresse un sourire. Elle est venue pour oublier, Kendra. Oublier les regards pleins de pitié, oublier ses peines, oublier le vide profond qu'elle a à la place du cœur depuis que Joy n'est plus là. À cause d'elle. Mais à cette seconde, elle n'y pense pas – envolés les souvenirs, quand Kendra s'est perché sur ses talons hauts en revêtant une tenue révélatrice et qui, en même temps, en montre si peu. Kendra a souligné son regard d'un trait doré qui capte les rayons de lumière colorés à chaque fois qu'elle bouge, cligne des yeux. Les regards sont sur elle, Kendra en est consciente. Un sourire léger apparaît sur ses lèvres – Kendra se retrouve en même temps qu'elle s'oublie. Elle se sent vivante, à nouveau, une petite victoire qu'elle savoure comme le verre qu'elle avait porté à ses lèvres quelques instants plus tôt. Elle veut oublier Joy, oui. Mais Kendra est un paradoxe vivant, elle en est consciente : elle cherche Joy dans tout ce qu'elle fait. Chacun de ses gestes, chacun de ses choix la ramènent vers Joy, toujours Joy, encore Joy. Joy qui revient, Joy qui repart, et Kendra qui se lasse, mais ne dit toujours rien. Elle sait bien qu'elle travaille ici, et pourtant, la voilà, au milieu de la boîte, son regard détaillant les gens comme si elle s'attendait à voir surgir Joy. Joy, Joy, Joy, Joy, le prénom résonne en boucle dans les oreilles de Kendra au rythme de la musique. Une obsession. Elle est là, sans être là, Kendra traîne son fantôme dans son sillage. Elle croit presque entendre la voix de Joy, qui répondrait à son appel silencieux. Kendra ferme les yeux, fait taire son imagination, se concentre sur les basses de la musique, qui atténuent tout le reste. Elle ne sent qu'elle, son partenaire de danse, sa main quelque part sur son corps – ça n'a pas vraiment d'importance. « Kendra. » Cette fois, elle ne rêve pas, la voix familière qui se fraye un chemin jusqu'à elle, c'est bien celle de Joy et c'est bien elle qu'on appelle – Kendra tourne la tête, comme dans un rêve, lentement, perdue entre la réalité et ses divagations. Le contact de la main de Joy contre elle lui fait l'effet d'une onde électrique, tout son corps réagit, comme attiré par un aimant. « Il faut qu'on parle. » Kendra fronce les sourcils, en fixant Joy comme si elle voyait une apparition. Parler, à quoi bon. Parler de quoi. Avaient-elles encore des choses à se dire ? Kendra se perd, regarde le visage de son ex-petite amie. Elle cligne des yeux, se défait de l'étreinte de l'homme, qui, d'un coup, ne l'intéresse plus le moins du monde. Elle s'écarte, attrape Joy par le poignet. Le geste lui paraît étrange, déplacé, mais tant pis. Le son s'atténue quand Kendra s'éloigne, mais le bourdonnement dans ses oreilles est encore là. Le souffle court, Kendra s'appuie contre un pilier, lâche finalement le poignet de la brune. Elle inspire. — Tu voulais qu'on parle. Tu avais des choses à me dire ? Kendra se redresse un peu, croise les bras. Attends, j'ai des choses à dire, avant. J'espère que tu ne vas pas encore … faire comme si on était ensemble. Alors que c'est plus le cas. Elle s'arrête, ferme les yeux. Les mots lui échappent, elle ne cherche même pas à les contrôler. D'accord ? On peut parler de tout ce que tu veux, maintenant. »
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lelivredecoco · 3 years
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CHAPITRE NEUF
Nous sommes des proies, mais toutes les proies sont des prédateurs aussi. Secrètement, j’étais une proie qui rêvait de devenir le prédateur du sien. Sauf que moi, je voulais le manger, je ne voulais pas le garder près de moi.
*
Je vais commencer ce chapitre par dire que nous ne devons pas nous faire justice nous même! Je sais pertinemment qu’en tant que victime on y pense, ou nos proches aussi. Mais il ne faut pas, si je l’avais fait il aurait gagné. Autant à l’heure actuelle je ne serai même pas là à vous en parler. C’est avec une certaine honte que je vais vous raconter ce passage là. Au départ je ne souhaitais pas en parler, je ne voyais pas l’utilité. Mais finalement c’est utile, car d’autres moi y pensent certainement. Et vous ne devez pas le faire. Vous devez trouver une autre solution pour partir.
Je ne pratique aucune religion, mais je crois en Dieu. Après chaque dispute je me tournais vers lui, je l’implorais de m’aider à comprendre. Je lui demandais de m’envoyer des signes, je voulais savoir si il était mon âme soeur. Car si c’était le cas, alors je le pardonnerai et je l’aiderai à changer. Plus le temps passait plus je priais, je pense que j’ai mal interprété certains des signes. Mais il y en a un que j’ai très bien compris, ce jour où j’ai songé à le laisser partir. Je vous ai parlé de trois plans d’évasions. C’était lui le troisième, le plan C.
Plan C
Je l’avoue j’ai déjà pensé à me venger, pour me protéger, pour que tout s’arrête. Mais je n’ai jamais eu la monstruosité de le faire. Si je me ratais, alors c’était moi qui allait mourir. Pire, si j’y arrivais, alors comment vivre avec ça?Je ne préfère pas le savoir.
Mais un jour, j’ai faillit … Je vous l’ai dit, il était épileptique. C’était un soir, après notre dispute de juin, en septembre ou octobre. On était chez moi, devant la télévision, et là il fit une crise d’épilepsie généralisée, malgré son traitement. Pour ceux qui ne savent pas de quoi je parle, l’épilepsie provoque deux types de crises. Des absences, on va dire que le cerveau se déconnecte durant quelques minutes uniquement. Et il y a les crises généralisées, le cerveau se déconnecte, et le corps se raidit, convulse. Ces crises sont forcément plus graves que les absences et peuvent être mortelles, et dans les deux cas la personne ne se souvient de rien. Maintenant que tout le monde est à niveau, j’en reviens donc à ma soirée. Il fit une crise d’épilepsie généralisée, tomba à terre, convulsa. Et là, je me dis « Cindy! Ne l’aide pas! Laisse le mourir. » Habituellement je devais effectuer quelques gestes pour qu’il soit en sécurité. Le plus gros risque étant qu’il s’étouffe. j’avais reçu une formation de son neurologue du comportement à adopter. Mais cette fois je voulais le laisser, il était la à terre, et je me demandais quand je devais appeler les secours. Je préparais mon discours, mon scénario était simple, je dormais et à mon réveil je l’ai découvert au sol. Je devais jouer la femme surprise et apeurée au téléphone, tout se régler dans ma tête. Après ces rapides instants de réflexion, j’ai remercié Dieu. Merci d’avoir entendu mes appels, moi la femme non pratiquante, moi la femme qui ne savait même pas quel Dieu je priais. Je voulais juste qu’on m’écoute, et il m’avait écoutée. Oui mais voilà qu’à la fin de ma prière mon ex se releva. Il marcha un mètre, et fini par s’écrouler sur la terrasse. J’avais compris son message, je devais l’aider. Peu importe les pêchés qu’il avait commis, je ne devais pas le laisser. Je suis allée au près de lui, je l’ai mis en position latérale de sécurité, sortie sa langue pour ne pas qu’il s’étouffe. C’était bizarre, car son corps n’était plus raide. Il avait l’air sans vie, j’ai donc appelé les secours. Me voilà au téléphone avec les pompiers. Je leur expliqua la situation, en évitant de parler de mes pensées à imaginer ma libération. Puis la personne au bout du téléphone me mit en relation avec un médecin du SAMU. Et là, on me demanda de prendre son pouls, et de vérifier si il respirait. C’était non, il ne respirait plus ou faiblement mais je sentais son coeur battre. J’étais donc là, à attendre les pompiers en chemin, au téléphone avec un médecin qui m’expliquait que faire pour lui sauver la vie. J’étais en train de sauver la vie de mon futur meurtrier.
Grâce à Dieu, jamais je n’allais avoir la position de meurtrière, ni la culpabilité de l’avoir fait. Il avait sauvé mon âme, celle que j’avais perdue en juin. Peu importe la suite, elle n’est pas intéressante parce qu’elle le concerne. Et là, c’est mon livre! Notre livre! Nous les victimes!
*
J’ai réussi à avouer, à me confesser. J’aimerais vous dire à quel point je suis heureuse d’avoir appeler les secours ce jour là. Ne pas être un monstre qui décide de la vie d’une personne. J’ai fait le meilleur choix de notre relation en lui sauvant la vie, j’ai sûrement sauvé la mienne en même temps. Toutes les émotions que j’avais perdues ce mois de juin étaient revenues. J’avais ressentie de la pitié, du dégout quand j’ai dû le toucher, de la panique quand il ne respirait plus. Tous ces choses que je n’avais pas ressenties depuis plusieurs mois. Mon âme était revenue, je n’étais plus un corps vide, errant. Je redevenais, peu à peu, un être humain.
*
Je l’ai déjà dit en début de chapitre, mais une fois ne suffit pas. Ne vous faîtes pas justice vous même! Il y a des lois, premièrement. Et surtout, pensez à votre âme, on ne pardonne pas une victime qui tue. Même si on peut trouver pleins de justifications à son acte. Rien ne justifie la violence! C’est ce qu’on revendique non? Alors nous non plus ne devons pas être violentes. On ne combat pas le feu par le feu. Le meilleur moyen d’éteindre un feu est de le priver de son oxygène. Donc le meilleur moyen de combattre un prédateur est de le priver de sa proie. La seule solution: partir! Bien entendu, je ne parle pas des cas de légitime défense, on ne confond pas tout.
Ce message est aussi valable pour vous les proches! Vous devez vous sentir impuissants. Le chemin de la justice est long et éprouvant pour la victime. Sachez que la solution ce n’est pas la vengeance. Votre rôle est d’être là, d’être à l’écoute, et d’épauler votre soeur, votre mère, votre fille, votre amie ou voisine.
Alors on prend tous exemple sur Batman ou Spiderman, les méchants ont les livre à la justice!
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anaisbahadi · 4 years
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Loin des yeux, loin du cœur
" Laura, tu vas le regretter", voilà les derniers mots qu'elle entendit  avant de sombrer dans une profonde torpeur. Elle se réveilla dans un espace d'une clarté qui devenait presque effrayante, un peu désorientée, elle vu David et se rappela de tout jusqu'au moindre détail et elle comprit alors où elle se trouvait; elle se trouvait dans un hôpital. Effrayée, elle recula mais se rendit compte qu'elle ne pouvait pratiquement  plus bouger, et là, David commença à s'expliquer :
" écoute, tu as fait une mauvaise chute en essayant de repeindre la fenêtre...."
" Non je me souviens de tout, tout ce que tu m'as fait subir ; je n'ai jamais repeint une fenêtre et ce n'est certainement pas aujourd'hui ; pourquoi tant de violences chez toi, tu ne m'avais jamais  frappée, ni insultée, alors que t'est-il arrivé ? "
Mais alors que s'est-il passé lors de  cette fameuse soirée, Laura raconte-t-elle la vérité, David,  son mari l'avait - il vraiment  frappé, ou est-ce juste une  pure folie ?
Revenons donc 1 jour en arrière :
- Bonjour chérie, bien dormi ? -Oui, mon cœur. Je suis enfin prête pour défendre mon premier client de la  journée, ce boulot me rend folle. - Tu devrais faire une pause(il rit) -( elle sourit) Tu sais très bien que c'est mon client habituel, Steve. -Justement - Tu sais quoi, je crois que je vais y aller. Je suis pressée, et puis sinon je vais arriver en retard. -Ne rentre pas trop tard et ne t'approche surtout pas trop de ton client - Non mais j'hallucine ce n'est pas tes affaires et je n'oserais pas, tu sais très bien que je t'aime? - Là n'est pas le sujet  et ne me parle pas sur ce ton ! - Je suis désolée, je vais y aller. Mais malgré cela, elle y repensa ; cela faisait des jours et elle n'arrivait toujours  pas à se sortir, son client, Steve de la tête. Il était beau, séduisant et ne la laissée  pas si  indifférente mais elle savait que jamais elle ne ferait un faux pas, à cause de David. Elle ne supporterait pas de le faire souffrir, pas après ce qu'il avait  fait pour elle. C'est grâce à lui qu'elle est devenue la femme qu'elle souhaitait. Et puis Steve est un client qui risque des poursuites judiciaires, son job est de le défendre et rien d'autre.Enfin elle arriva au bureau et salua tout le personnel, puis alla retrouver Steve , ils parlèrent de leurs affaires, le plus professionnellement possible  :
- Bonjour(en rougissant) -Heyy, comment vas-tu ? - Bien, il faut sérieusement qu'on parle de ce que tu as fait, non mais franchement dealer en plein centre-ville, maintenant tu as un procès. Mais bon, je  ferai tout, pour te sortir de là... - Ha oui ? C'est sur, si tu gagnes mon affaire, tu gagneras aussi ton argent. Et si je devais perdre, si le tribunal me condamnait, me regarderais-tu, comme tu me vois maintenant ?Non,tu ne me verrais que comme un pauvre dealer paumé qui à réussi à se faire prendre par manque de précautions. Et là, elle comprit ce que Steve pensait d'elle, comment il la voyait, elle se sentit profondément vexée et troublée par cette déclaration, elle voulait qu'il sache ce qu'elle pensait de lui, mais regrettera son geste par la suite . - Écoute, sache que tu es mon client, je dois te défendre mais sache aussi que je t'apprécie, et tu comptes beaucoup pour moi . Steve n'eut même pas le temps de réagir que David arriva et entra dans une torpeur noir en commença à faire une crise de jalousie et bientôt, tous ça dérapa : -Comment oses tu !? Me tromper  avec Ce Criminel, Cet Imposteur, j'ai tout entendu, tu n'es qu'une sale trainée qui ne peut même pas se contenter d'un seul homme.Maintenant on rentre, et tout-de-suite ! -Non je ne rentre pas, je suis sur mon lieu de travail et Steve est juste un client, je ne couche pas avec, c'est un homme bien malgré ses erreurs ! - Tu me parles sur un autre ton! Je suis ton mari, tu me dois de me respecter, tu me trompes avec depuis des semaines, tu ne parles plus que de lui à la maison, à croire qu'il est plus important que notre couple! Donc maintenant tu rentres avec moi sinon...Tu sais ce qui va arriver! - D'accord mon amour, je suis désolée Steve mais on se revoit lundi et on la gagnera cette affaire, je te le promet. Malgré cette crise, Laura ne s'attendait certainement pas à cette réaction de la part de son mari. Mais ce qui  allait se passer, dépassait toutes ses craintes, ses peurs  et sa vie de femme allait maintenant  basculer. Une fois rentré chez eux, David commença à perdre son calme et pour la première fois de sa vie; Laura eut peur de se qui pouvait arriver.
-David...Tu es sur que sa va ? Tu ne devrais pas juger si oui ou non, je dois  laisser mon client, je suis son  avocate, c'est mon rôle de le défendre, je ne vois pas pourquoi, tu as fait cette crise de jalousie, sur mon lieu de travail, en plus! -Comment est-ce possible, ma femme me trompe avec un pauvre dealer et je ne dois rien dire, je dois tous encaisser sans même m'exprimer, tu n'est vraiment qu'une sale traînée. - Je ne t'ai jamais... - Stop ne nie pas, tu n'es plus rien pour moi, tu restes qu'une pute que ne peut même pas ce contenter d'un seul homme. Je n'eus même pas le temps de rétorquer que David, mon mari se retrouva sur moi, je ne pu me débattre, il est trop fort, trop puissant pour m’échapper. Je ne le reconnaissais plus, toute cette rage, cette colère et même ce désarroi. Et je compris ce qu'il allait faire, il ne pouvez plus contenir toute cette douleur et il me frapper, j'étais en larmes. Continu, je hurlais mais personne ne m'entendais, personne ne viendrai me sauver. Je criais, me débattais, David ne voulait pas m'entendre. Il me pris la tête en me tirant mes cheveux et me la claqua sur le mur de la cuisine, il m'insultai, me crachait à la figure sans que je puisse réussir à me défendre et au loin je l'entendis : -"Laura, tu vas le regretter"
Ceci est la dernière phrase qu'elle perçut avant de perdre connaissance. Elle se réveilla dans une clarté qui en devenait presque effrayante, elle fut un instant désorientée et reconnu David et elle sut, elle se trouvait dans un hôpital. Elle voulut s’éloigner, elle avait peur mais se rendit bientôt compte qu'elle ne pouvait pratiquement ne plus bouger, elle souffrait trop, David commença donc à s'expliquer : -Écoute, tu as fait une mauvaise chute en essayant de repeindre la fenêtre... - Non je me souviens de tout, tout ce que tu m'as fait subir ; je n'ai jamais repeint une fenêtre et ce n'est certainement pas aujourd'hui ; pourquoi tant de violences chez toi, tu ne m'avais jamais  frappée ni insultée, alors que t'est-il arrivé ? " - David(paniqué) : Je ne vois pas de quoi tu parles, je crois que les médicaments te montent trop à la tête, tu as tout simplement rêvé.. -Non je sais que tu mens je le vois dans tes yeux, j'ai peut-être du mal à bougeait mais je ne suis pas encore aveugle. -Que ce soit bien clair, tu ne racontera cela à personne, de toute façon, personne ne te croira. Je suis sur que tu t'es évanoui uniquement pour ne pas assumer.. -David, nous deux, c'est finit, tu m'a frappé, insulté, maltraité et si je me serai pas évanoui, tu aurai continué , et tu ne regrette rien, pour des accusations sans preuves, tu n'a même pas chercher à m'écouter, et je ne tolère aucune violence, surtout quand je dois en subir les conséquences.Et quand  je pense que tu voulais me faire croire que j'étais tombée en repeignant une fenêtre alors que je n'est jamais peins de ma vie, je trouve cela inadmissible et que tu es fais croire cela à tous la monde. Je vais donc porté plainte contre toi, pour violences conjugales, et tu es sur de faire un allé simple pour la prison alors je t'interdis de m'approcher. Ait pitié d'une femme presque immobile par ta faute.
David commença à transpirer de plus en plus, et même à paniquer, Laura serai t'elle capable d'aller jusqu’à la justice, pour condamné l'homme qu'elle à épousé ?
- Tu ne ferai jamais ça, personne ne te croira, tu n'as pas de preuves et aucun témoin à vu ou écouté notre discussion alors autant dire que tu ne pourras jamais me quitter, tu es à moi et si tu ne veux pas, saches que où que tu sois je serai là. -Et c'est la que tu te trompe, tu iras en justice pour tout le mal que tu as fais, j'ai des preuves : un enregistrement de notre conversation, un témoin, et deux autre femmes qui ont été victimes de tes violence qui acceptent de porter plainte, d'ailleurs c'est ce qu'on va faire. Sache que je ne serai jamais à toi, je ne t'appartiens pas, comme aucune autre femme.Tu mérite d'aller en prison et je ferai tout mon possible pour que tu y reste. -NONN, jamais - Comme on dit, "loin des yeux,loin du cœur"
Et là, tout s’arrêta, les policiers arrivèrent car l'infirmière leur avait transmis l'enregistrement, David fut arrêté, condamné et Laura put refaire sa vie, sans jamais craindre le retour de son ex époux .
Anais
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yes-bernie-stuff · 4 years
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l’Évangile au Quotidien
« Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68 Samedi 14 Novembre Troisième lettre de Jean 1,5-8. Bien-aimé, tu agis fidèlement dans ce que tu fais pour les frères, et particulièrement pour des étrangers.En présence de l’Église, ils ont rendu témoignage à ta charité ; tu feras bien de faciliter leur voyage d’une manière digne de Dieu.Car c’est pour son nom qu’ils se sont mis en route sans rien recevoir des païens.Nous devons donc apporter notre soutien à de tels hommes pour être des collaborateurs de la vérité. Psaume 112(111),1-2.3-4.5-6. Heureux qui craint le Seigneur,qui aime entièrement sa volonté !Sa lignée sera puissante sur la terre ;la race des justes est bénie. Les richesses affluent dans sa maison :à jamais se maintiendra sa justice.Lumière des cœurs droits, il s'est levé dans les ténèbres,homme de justice, de tendresse et de pitié. L'homme de bien a pitié, il partage ;il mène ses affaires avec droiture.Cet homme jamais ne tombera ;toujours on fera mémoire du juste. Évangile de Jésus-Christ selon Luc 18,1-8. En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples une parabole sur la nécessité pour eux de toujours prier sans se décourager :« Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait pas Dieu et ne respectait pas les hommes.Dans cette même ville, il y avait une veuve qui venait lui demander : “Rends-moi justice contre mon adversaire.”Longtemps il refusa ; puis il se dit : “Même si je ne crains pas Dieu et ne respecte personne,comme cette veuve commence à m’ennuyer, je vais lui rendre justice pour qu’elle ne vienne plus sans cesse m’assommer.” »Le Seigneur ajouta : « Écoutez bien ce que dit ce juge dépourvu de justice !Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ? Les fait-il attendre ?Je vous le déclare : bien vite, il leur fera justice. Cependant, le Fils de l’homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » - © AELF, Paris « Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ? » (Lc 18,7) En vous contemplant ici réunis autour de nous, il nous semble faire nôtre en la revivant cette scène grandiose et émouvante que nous présente la Sainte Écriture : nous y voyons, tandis que le peuple de Dieu combat dans la plaine, Moïse, monté sur la cime du Mont Horeb, priant les bras et les mains élevés, image prophétique et inconsciente du grand Médiateur aux mains étendues sur la Croix. Aux côtés du chef en prière, de crainte que les forces ne viennent à lui manquer en cet acte éprouvant d’imploration, voici deux de ses plus fidèles, lui soutenant les bras avec une sollicitude filiale, pleins de foi dans l’efficacité de la prière de leur chef (Ex 17, 8).Nous aussi, du haut de cette colline du Vatican, nous assistons à un grand conflit incomparablement plus vaste et plus important que celui-là, conflit vraiment immense, qui met aux prises, les uns avec les autres, les peuples de la terre ; conflit spirituel, qui n’est qu’un épisode de la lutte permanente et intense du mal contre le bien, de Satan contre le Christ. Nous, les mains étendues vers le ciel, nous sentons peser sur nos épaules le poids d’une indicible responsabilité, et une douleur profonde étreindre notre cœur, qui trouve un réconfort en vous, si fidèles à vous tenir tout près de nous, unissant votre prière à la nôtre, vos sacrifices à nos souffrances, vos travaux à nos fatigues. (…)La vraie prière du chrétien, enseignée à tous par Jésus, mais qui, à un titre spécial, est la vôtre, est une prière essentiellement apostolique. Elle inclut en elle la sanctification du Nom de Dieu, la venue et l’extension de son Règne, la fidèle adhésion aux dispositions de son amoureuse Providence et à sa volonté rédemptrice et béatifiante ; ainsi que tous les intérêts spirituels et matériels des hommes, le pain quotidien, le pardon des péchés, l’union fraternelle qui ne connaît ni haine ni rancune, les secours nécessaires pour ne pas succomber à la tentation, la délivrance de tout mal. (...) Immense dans sa brièveté l’oraison dominicale comprend et embrasse l’universalité des besoins du monde ; et tous ces besoins, le Sauveur les prend en considération et les recommande à son Père céleste dans les moindres détails, car chacun lui est particulièrement présent. (…) Tel est votre modèle.
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La correspondance
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#4 [RACONTAGE SPÉCIAL HALLOWEEN]
31 octobre 2021, 23h à Paris sur la ligne 4.
Le métro de Camille arrive à la station Châtelet-les-halles. Son portable vient de vibrer et la tirer de son état de somnolence. Une notification lui indique qu’elle doit descendre alors que la sonnerie du métro annonce la fermeture des portes. Elle se lève d’un bond pour sortir de la rame et éternue dès qu’elle arrive sur le quai. Une odeur aigre vient de lui chatouiller ses narines pourtant bien bouchées. Il y a un an les personnes autour d’elle l’auraient fusillée du regard, mais ce n’est qu’un souvenir lointain.
Aujourd’hui c’est Halloween et pour célébrer les infirmiers, les blouses et les tuniques médicales sont à l’honneur. C’est la première année qu’elle voit autant de personnes jouer le jeu. Les blouses de docteur tâchées de sang et les infirmières démoniaques pullulent. La victoire des hommes sur la maladie lui fait lâcher un petit sourire et elle commence sa quête.
Chatelet est un véritable dédale de sorties et de lignes. Il faut qu’elle se dépêche si elle veut vite rejoindre ses amis. Elle déteste Halloween et ne se sent pas vraiment bien. Sa rupture avec Ahmed l’a dévastée. Elle pense en plus avoir un début de grippe. Sa copine Daffy lui a forcé la main pour qu’elle sorte et ne reste pas seule chez elle à déprimer. Elle porte du maquillage noir et une fausse verrue sur le visage en dessous d’un voile léger noir. Sa longue robe noire, son collant troué et son balai à manche complètent son style et font d’elle une véritable sorcière avec tout l’attirail.
Cela fait plus de cinq minutes qu’elle marche sans trouver la ligne 7. Certains panneaux l’envoient tout droit, tandis que d’autres lui indiquent de faire marche arrière. Aucun agent de la RATP n’est là pour la renseigner et les personnes déguisées n’ont pas l’air d’être ouvertes au dialogue. Toutes ces infirmières pleines de sang ne la rassurent pas. En plus de cela, un homme déguisé en membre du Ku Klux Klan vient d’attirer son attention. Il porte une longue robe blanche et une capuche pointue masquant son visage. Elle a l’impression de l’avoir vu dans sa rame de métro mais elle chasse vite cette idée de son esprit. Il est impossible qu’il se soit perdu comme elle dans les couloirs de la station.
Camille s’arrête un instant pour réfléchir. Elle tente de se rappeler de la dernière fois qu’elle a réussi à trouver le bon itinéraire. Elle ferme les yeux un instant et c’est alors qu’une main lui agrippe le bras. Son cœur fait un bon dans sa poitrine et lorsqu’elle ouvre les yeux elle voit un jeune homme déguisé en Dracula. Ce dernier ayant vu sa réaction s’empresse de la rassurer : « Vous avez l’air perdue Madame, je peux vous aider ?
-Ah oui, vous m’avez fait peur. Je cherche la ligne 7, vous savez où c’est ?
-Oui bien sûr, il vous suffit de prendre cette direction ».
Il lui indique alors d’aller vers un portail électrique derrière lequel elle voit un tapis roulant. La mémoire de son dernier passage en ces lieux lui revient. Elle le remercie avec un sourire poli et éternue à nouveau en partant. La même odeur aigre vient de chatouiller ses narines.
La sorcière avance avec son balai vers le tapis mécanique et s’appuie contre le rebord. Elle commence à se sentir fébrile. Les gens autour d’elle lui sont bruyants et lui semblent excités, sûrement à cause de l’alcool. Une fois arrivée de l’autre côté, elle se rend compte que l’accès est fermé. Une main frôle le dos de Camille qui se retourne brusquement. C’est une infirmière ensanglantée avec des yeux de démons et des couettes. Cette dernière souhaite lui indiquer la bonne direction pour rejoindre la ligne 7, il faut aller dans la direction opposée. La jeune femme la remercie brièvement avant de continuer sa route.
La situation l’exaspère. L’heure tourne, ses pieds commencent à lui faire mal et elle trouve les gens de plus en plus bizarres autour d’elle. Ils parlent bruyamment. Leurs yeux sont rouges et elle en voit même certains se bagarrer. Elle a bien fait d’emprunter la voie non mécanisée, au moins elle évitera de se prendre un coup perdu. Sur le chemin une porte attire son attention, elle s’arrête devant elle. Il y a une indication affichant le logo de la ligne 7 et informant que la zone est en travaux. Elle ouvre la porte, entre et la referme derrière elle. Cette dernière mettant un peu de temps à se fermer elle décide d’avancer dans l’obscurité.
La jeune femme sort son portable afin d’activer son flash mais aussitôt allumé, il s’éteint. Il n’affiche que 10% de batterie. Elle soupire et évalue la situation. Il fait froid et sombre mais elle préfère quand-même continuer dans l’obscurité plutôt que de rebrousser chemin et côtoyer tous ces gens qui lui font peur. Leur comportement n’était pas normal. Toutes ces personnes déguisées l’oppressaient. Elle avance donc à petits pas, en mettant son balai devant elle pour s’assurer que la voie est dégagée.
Le bruit d’une porte qui se ferme se fait entendre derrière elle. Camille est pourtant certaine qu’elle aurait dû être fermée depuis un moment. Cela doit être son imagination. Elle continue son parcours en essayant quand-même de l’éclairer avec la lumière de l’écran de son portable, lorsqu’il ne se verrouille pas. Son balai finit par toucher quelque chose de mou. Alors qu’elle commence son inspection, elle touche une plus grosse masse et entend un miaulement strident. Elle hurle et se met à paniquer, Camille a la phobie des chats.
La jeune femme court pour faire marche arrière et dans sa course elle heurte quelqu’un qui tombe en même temps qu’elle. Les yeux de Camille sont habitués à l’obscurité et elle distingue juste une longue masse blanche complétée par une capuche pointue. Elle crie à nouveau. L’inconnu ou les chats ? Elle se relève, et court dans l’autre sens, elle choisit d’affronter le chat et sa proie.
Qui était-ce ? Sûrement un homme. Mais le seul qui aurait pu la suivre jusque-là était habillé en Dracula. Aucun bruit de pas derrière elle, étrange. Elle en profite pour enlever ses talons qui la gênent et recommence à courir balai à la main, mais pieds nus cette fois.
Le sol est glacé et elle sent des bouts de pierre traverser la plante de ses pieds. Elle s’arrête un instant à cause de la douleur mais n’a pas le temps de souffler car elle entend des bruits de pas accélérés se rapprocher d’elle. Elle continue sa course et essaye d’utiliser son portable pour appeler quelqu’un.
Sur son écran s’affiche un message d’Ahmed : « T’es où ??? » a-t-il écrit. Camille panique de plus en plus et se demande la signification de ces mots. Elle soupçonne alors son ex petit-ami d’être son poursuivant. Un flash lui rappelle qu’elle a croisé quelqu’un déguisé en membre du KKK plus tôt dans la soirée. Il n’y a que lui qui aurait assez de mauvais goût pour se déguiser de la sorte. 
Alors que les pensées et les suppositions se bousculent dans sa tête elle heurte violemment une barrière et fait une chute dans des escaliers. Son corps fait une roulade dans les marches qu’elle cogne une par une violemment. Ses phalanges et ses genoux sont en sang lorsqu’elle atterrit dans une flaque d’eau. Son balai qui ne lui a pas échappé des mains lui sert d’appui pour se relever. Elle n’a pas le temps de souffler, car elle ressent la lumière du flash projeté par son agresseur venir d’en haut.  
Ses pieds baignent jusqu’aux chevilles dans une eau glacée, elle sent une forte odeur aigre et des moustiques lui foncent dans les yeux. Il n’y a qu’une seule issue éclairée, elle n’a pas le choix. Elle doit avancer dans ce sens-là sans se retourner et prier pour que ce soit ouvert. Pendant un instant elle se demande pourquoi Ahmed la poursuit. Ils se sont quittés en très mauvais termes mais rien ne justifie une telle poursuite dans le métro. Elle est certaine qu’il n’est pas ici pour lui faire une mauvaise blague.
Toutes ses questions l’empêchent d’avancer rapidement. Son poursuivant est presque au même niveau qu’elle. Elle crie de toutes ses forces « Laisse-moi tranquille !! » tout en continuant d’avancer vers la seule issue qui ne semble toujours pas se rapprocher d’elle. L’agresseur masqué finit par la rattraper et la plaquer au sol.
L’homme à la capuche pointue retourne alors sa victime, qui a maintenant l’arrière de la tête sous l’eau, et essaye de l’étrangler. Camille hurle et se débat. Elle crie :« Ahmed arrête ! Par pitié ! ». Tout en s’égosillant à crier au secours, ses mains touchent la poitrine de son bourreau qui reste toujours silencieux. Elles palpent des seins et elle comprend que son poursuivant est en fait une femme. Cet instant de surprise et de relâchement où elle aura utilisé son énergie pour demander « Qui c’est ? » lui sera fatal. La femme masquée a désormais totalement pris le dessus et ses mains sont solidement ancrées sur sa gorge. L’étrangleuse lâche alors un rire diabolique. C’est bel et bien une femme.
Camille ne comprend pas. Elle va mourir sans même savoir pourquoi. Son odorat qui ne l’a pas encore lâché, lui fait encore sentir la même odeur aigre qui avait piqué ses narines plus tôt. Elle tousse aussi fort que les mains de la folle qui l’étranglent le lui permettent. Alors qu’elle commence à abandonner et à perdre connaissance, elle croit entendre la femme au-dessus d’elle dire « Enfin débarrassée de toi !! ». Son incompréhension est encore plus grande, à quelques instants de la mort. Un flash commence à l’éclairer. Serait-ce la lumière du fameux tunnel ?
Un bruit de course succède à la lumière et elle voit sa future-ex meurtrière tomber sur le côté. Ses yeux voient flous et elle se met à tousser. Elle n’entend pas bien et commence à se sentir bizarre. Quelque chose monte en elle. Camille reconnaît l’infirmière démoniaque qui lui avait indiqué le chemin plus tôt. Elle n’entend que quelques mots : « … vu vous suivre… croyais… blague… au cas où ». La jeune femme qui vient d’échapper à la mort fait juste un geste de la main en remerciement, elle ne comprend pas tout. Elle souhaite juste prendre sa sauveuse dans ses bras. L’infirmière l’enlace et la réconforte. Quelques secondes passent lorsque soudain, les muscles de sa sauveuse se contractent. Cette dernière la serre de plus en plus fort dans ses bras et commence à l’étouffer. Elle souhaite des remerciements et se met à l’embrasser de force.
Camille, totalement dépassée et excédée, lui arrache la langue avec ses dents. Son nouvel agresseur crie de douleur et se tient la bouche. Enragée, l’ancienne victime cherche son balai sur le sol. Aussitôt retrouvé, elle hurle et tape sa sauveuse à la tête avec le manche. Cette dernière tombe d’un coup. Mais ce n’est pas assez pour la sorcière, elle continue de la taper au sol jusqu’à ce son maquillage blanc devienne totalement rouge sang. Elle ne veut pas s’arrêter et décide d’infliger le même châtiment à la femme masquée. Son pied accompagne le balai qui frappe la tête de son premier agresseur sans s’arrêter. Elle se met à gueuler comme un animal. 
Elle enlève la capuche de la femme qui attenté à sa vie afin de l’identifier. Un sentiment de stupeur s’empare d’elle lorsqu’elle reconnaît la nouvelle copine de son ex : « Thaïs ! ». Cette fois c’est décidé, elle va tous les tuer, un par un : Ahmed, le Dracula qui lui a mal indiqué le chemin, son voisin en vis-à-vis qui essaye de la mater, sa mère qui la saoule, Daffy, son dernier employeur… Dans cette bouffée d’adrénaline et de colère, la sorcière se sent toute-puissante. La douleur ne l’affecte plus. Elle marche d’un pas déterminé avec son balai vers la seule issue qui s’offre à elle.
C’est une pièce éclairée dans laquelle il y a un autre escalier. En traversant la pièce, elle voit un miroir dans laquelle il y a son reflet. Le voile déchiré met en exergue le maquillage qui a coulé. Ses habits sont déchirés et trempés. Ses cheveux mouillés et volumineux lui donnent l’air d’une folle. Sa seule réaction est de rire diaboliquement comme une véritable sorcière. Camille emprunte l’escalier et arrive sur une autre porte.
Lorsqu’elle l’ouvre, c’est une scène invraisemblable qui s’offre à elle. C’est le quai de la ligne 11, le métro est à l’arrêt et tous les usagers du métro sont en train de taper leur voisin. Des jeunes femmes bastonnent des femmes âgées à terre alors que des vieux hommes tabassent des enfants avec leurs cannes. D’autres jeunes hommes eux se mettent des droites et des gauches tout en se cassant des bouteilles de verre sur la tête. La sorcière, crie de tous ses poumons et arme son balai pour taper la foule et participer au chaos qui régnait déjà. Elle se déchaîne jusqu’à ce que tout devienne sombre pour elle.
Camille se réveille en sursaut à l’hôpital, menottée à un lit. Elle a mal à la tête. Dans son dernier souvenir, la sorcière se rappelle avoir vu des personnes avec des masques à gaz débarquer sur les quais, et balancer des fumigènes qui ont endormi tous les fauteurs de trouble. La télé est allumée et sa mère qui a remarqué son réveil grâce à ses soupirs, engage la conversation : « Tu vas bien ma fille ? Tu es drôlement amochée.
-Tu vois bien que je ne vais pas bien, pourquoi est-ce que tu me poses des questions stupides ?
-Calme-toi. Tu ne sortiras pas d’ici avant que l’on soit assurés que tu as totalement repris tes esprits.
-Où suis-je ? Pourquoi est-ce que j’ai des menottes ?
-Tu es à l’hôpital. Il y a eu une fuite de gaz hier à Châtelet et tout le monde a perdu les pédales. Il y a eu beaucoup de morts et de blessés. C’est une chance que tu sois quasiment indemne.
-Du gaz ? Quel genre de gaz ?
-Un gaz inconnu. On pourra en parler plus tard, pour le moment repose-toi. »
Quelques heures plus tard, lorsqu’on lui apporte à manger, un homme en blouse blanche entre dans la pièce. Il se présente et demande à Camille de lui raconter sa soirée et ce dont elle se souvient. La jeune femme raconte alors son récit dans les couloirs de la correspondance de Châtelet-les-halles. Dans un éclair de lucidité, elle omet la course-poursuite et les deux femmes gravement blessées qu’elle a laissée derrière elle dans les souterrains. Pendant qu’elle déclare ne plus se rappeler ce qu’il s’est passé après avoir perdu connaissance, elle a des flashs du massacre de la veille. Elle résiste pour masquer le plaisir qu’elle ressent à la mémoire de ces doux souvenirs de rage.
L’homme lui explique alors ce qu’il s’est probablement passé selon la police et lui ajoute qu’elle a eu de la chance, étant donné le temps qu’elle a passé au sein de la station. Camille feint d’être soulagée et joue les victimes pour rassurer sa mère et le docteur.
Ce dernier la libère de ses menottes et lui annonce qu’elle pourra partir après quelques questions des policiers. Elle le remercie poliment et lui souhaite au revoir. Camille repense à nouveau à tout ce qu’elle a subi et aux deux fois où elle a échappé à un sort funeste. La meurtrière vomit lorsqu’elle repense à la langue qu’elle a arrachée et aux crânes qu’elle a fendus.
Sa mère lui propose de dormir chez elle quelques jours, au cas où il y aurait des séquelles. Elle accepte et une fois chez son hôte, la fille demande à sa mère une feuille et un stylo pour prendre des notes. Son portable étant perdu elle n’a plus aucun support pour pouvoir le faire.
La sorcière inscrit alors plusieurs noms sur la feuille et entoure le premier. Sa mère voyant cela l’interroge : « Tu as fait une liste de noms ? C’est pour ton anniversaire ?
-Non, Maman. Ce sont les personnes que je souhaite remercier. Grâce à elles je me sens bien dans ma vie en ce moment.
-Ah, j’espère que je suis dessus alors !
-Oui bien sûr, tu es la première, regarde. Je viens d’entourer ton prénom. » dit-elle d’un sourire qu’elle ne tarda pas à déformer en rictus lorsque sa mère lui tourna le dos.
Illustration de @paulinegwczillustrations
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pamilarbowman · 4 years
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Spécialiste Ramener mon amour perdu
En realidad, eres una vez que has abandonado y decidirás a tu favor. ¿Merece la certeza de que ha llegado a un final alucinante y de que tiene ex-noms avec vos copains? Est-il clair d'après Edgy que vous êtes prêt à complir quelque elegido de positif et à reprendre votre afiliación? Trouvez 3 avancées proactives sur la meilleure philosophie pour ramener votre ex, alors mettez le jeu en avant!
Faire revenir son ex avec photo . J'ai mûri colgante longtemps en pleurant et en gémissant (pour la plupart avec des problèmes incroyables) à mes collègues à n'importe quel second où l'une de mes afiliations s'arrête. C'est en fait lorsqu'un de mes acolytes était assez homme pour me confronter et me dévoiler la Vérité sans cœur que j'ai enfin récompensé et vu une remarque ramener mon ex.
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De la même manière, vous sentez déçu de vous-même, il est égalementusual pour vous de récupérer votre jeune compagnon. Depuis qu'elle vous a largué, cela ne signifie pas que vous ne pouvez pas la persuader de vérifier votre résistance; au cas où vous en auriez vraiment besoin. Por fin ha elegido un derrocamiento de petróleo que se eligió en vous, il y donc una probabilidad que vous puissiez l'aider à l'obtenir et détailler votre alliance.
Nous vivons dans un univers de condition et de résultats fragiles, alors Advaz comme il se doit. Vous êtes séparé du subjet que cierto choisi dans votre association n'a pas broadé les problèmes de votre jeune partenaire. Comprenderá que estos son los grupos asesores fundamentales y que han sido bienvenidos a emitir un voto por boussole, así que por favor comente sobre ellos.
image De temp a temp, ce qui tournait mal était une chance tragique. Comprendo que está contento con los nombres de los pacientes que han desaparecido y que están decidiendo a favor de usted que ha regresado a usted. Au lieu de révavaluer ces événements avec désespoir et pitié, essayez de découvrir une période (ou, presque certaine, des minutes) où vous lâchez premio, pas sufisamment pris en considération ou fondamentalement dévasté. Sauf si vous êtes dérangé, vexé ou que votre ex est un individu absolment fou, vous assisterez sans aucun doute à a cas de mépris ou de conduite éblouissante. El mechón de las mujeres no pasa frecuentemente por una conexión con puentes; Es un regimen de besoin d'un ton pour vous demander de grimper.
El deuxième fois que vous faites cela sans l'aide d'une autre personne, considérez et comprenez ce qui a fini standard être vieux, ne tombez pas dans un autre piège d'amour. À toutes balances utiles, toutes les afiliations peuvent vraiment être récupérées et orchestrées. Vous pouvez voir comentario ramener votre ex.
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Une telle étape nécessite l'étape 2. Dans la seconde où vous pensez comprerendo ce qui an entrevé l'alliance, essayez de rechercher la connection du jeune du point de vue. Cela réglera deux problèmes. Pour commencer, il vous aidera à terminer comment le réparer. En le seat de la conduite, vous essayez de le coordonner dans votre strive, quelle meilleure approche pour gérer en considérant du point de vue des jeunes ce qu'il faudrait pour le faire vieillir. Deuxièmement, si vous pouvez vous rendre open pour jeter un molesto d'œil aux choses du point de vue d'un enfant, votre connection sera ser progresive incroyable lorsque vous joindrez à nouveau. Alors prenez une brève période et conceptualisez-vous et imaginez-vous comme votre ex. ¿Qué mejora o actividad pensador pensador? Pour découvrir une pick, avant de prendre l'individu auquel vous venez de faire implication? Vous pourriez être impactado estándar ce que vous allez cuisine
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nelltoo · 6 years
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Nouveau Venu  : Mr. Feelings
31 ans
Musicien
Ne cherche rien de sérieux, mais est encore attaché à son ex
Est sur un réseau social inconnu qui parait assez démodé mais intéressant pour stalker son ex ! XD
Aime le badminton
  4 Mars 2019, 19h
Mr. F écrit « Hello comment vas-tu ? »
Nell écrit « Un peu déprimé »
  Mr. Feelings appels !
Mr. F écrit « Allo Chloé ? »
Nell écrit « Allo, oui … »
Mr. F écrit « Je te dérange ? »
Nell écrit « Eu… non, pourquoi appels-tu ? »
  C’est la 1ère fois que la jeune fille parle de vive vois avec cet homme… le stresse monte un peu
  Nell pense « Me voilà déstabilisé, je n’étais pas prête XD »
 Mr. F écrit « Au sujet de ton dernier message »
Nell écrit « Mon dernier message ? »
Mr. F écrit « Tu ne te rappels plus ? »
Nell écrit « Eu… désolé j’avais la tête dans mes révisions alors je n’ai plus toute ma mémoire… »
Mr. F écrit « Tu as dit que tu étais un peu déprimé… tu veux que je te laisse réviser ? »
Nell écrit « Non tkt j’allais arrêter. Ah oui ça c’est à cause d’un examen que je viens de passer et j’ai l’impression de m’être plantée »
Mr. F écrit « Ah je vois… tu veux sortir pour te changer les idées ? je t���offre un verre ! »
Nell écrit « Eu… oui pourquoi pas ! laisse-moi le temps de manger ce que je viens de cuisiner et c’est tout bon »
Mr. F écrit « OK moi je mange un truc vite fait en ville et je viens te chercher, par contre tu m’excuseras je ne suis pas rasé ^^’ »
Nell écrit « Ahahah tkt je ne suis pas pointilleuse à ce niveau, tu veux que l’on se rejoigne quelque part ? »
Mr. F écrit « Non pas besoin, Je viens te chercher ! »
  Nell pense « Oh non… pitié… j’ai horreur que l’on sache où j’habite… et s’il était trop insistant et qu’il se mettait à me stalker ? adieu la vie privée… bonjour le malaise lorsque l’on sent une ombre derrière soit… surtout que j’ai des tendances paranos… Bon, STOP ! Reprends toi Nell ! tu n’es pas une proie apeurée… c’est toi qui as accepté de le voir ! »
  Mr. F écrit « Est-ce que tu peux me donner le nom de ta rue ? j’arrive dans 12 minutes »
 […]
 Mr. F écrit « Salut, alors une idée d’où aller ? »
Nell écrit « Salut, aucune dsl… je vais te laisser me surprendre ce soir ! »
Mr. F écrit « D’accord, allons en ville ! »
  Il offre un verre à la demoiselle, ils s’installent et sirotent tout en discutant, mais le gentleman semble tendu, son regard dévie souvent en direction un homme derrière Nell, qui semble le gêner.
Il demande à Nell de l’accompagner dehors pour qu’il puisse fumer
 Mr. F écrit « Alors, que peux-tu me dire sur toi ? »
Nell écrit « Eu… une vie d’étudiante banale malheureusement… à part peut-être une chose, mais je t’en parlerais plus tard je pense, c’est trop tôt pour un 1er rdv »
Mr. F écrit « Allez dis-moi ! tu m’as rendu curieux ce n’est pas cool ! »
Nell écrit « Sorry, si je te le dis j’ai peur que tu partes en courant… ça en as fait fuir déjà ^^’ »
Mr. F écrit « Alors là tu en as trop dis ou pas assez ! »
Nell écrit « Je vais te donner quelques indices : c’est une création artistique sur le thème de la sexualité et des rencontres »
Mr. F écrit « Olala tu m’embrouille ! tu fais du Pole dance ? de la photo ? »
Nell écrit « Eu… non rien de tout ça ! je ne dévoile pas mon corps sur internet ce serai du suicide ! »
 […]
 Mr. F écrit « Si on allait marcher un peu ? »
Nell écrit « Avec plaisir ! »
Mr. F écrit « Alors finalement que cherche tu précisément ? »
Nell écrit « Rien en particulier, m’amuser et voir ensuite »
Mr. F écrit « Oui c’est ce que tu m’avais dit « 
Nell écrit « Mais pour te simplifier les choses disons que je suis libertine »
Mr. F écrit « Sérieux ? »
Nell écrit « Oui, tu sais ce que c’est ? »
Mr. F écrit « Oui en quelques mots mais explique moi comment tu te définis »
Nell écrit « En fait, j’accepte un peut tous les types de relation tant qu’il y a une part d’humanité, je ne cherche pas de plans Q pour baiser comme des animaux… je préfère le terme Sexfriend, la complicité me semble indivisible d’une bonne entente »
Mr. F écrit « Tout à fait d’accord ! … dis-moi, tu accepterais de m’embrasser ? »
Nell écrit « Eu… oui si tu veux XD »
 […]
 Mr. F écrit « Merci ce baiser était super »
Nell écrit « Mdr pourquoi tu me remercie XD c’était juste un bisou… »
Mr. F écrit « Tu ne sais pas à quel point cela m’a fait du bien et que cela me manquait »
  Finalement, Nell lui révèle l’existence de son blog
Il semble intéressé et accepte d’en faire partie, ce qui la surpris !
 Nell écrit « Si tu es intéressé, et que tu veux rentrer dans mes relations, tu ne dois pas t’attendre à être privilégié, je vois plusieurs hommes, que tu le veuilles ou non. Et si un jour, tu as des sentiments pour moi tu n’auras aucun droit de m’en vouloir de ne pas me mettre en couple, j’aurais été assez clair sur les faits : soit tu reste sans rien demander soit tu pars et je trouverais quelqu’un d’autre… »
 Il semble en accord avec Nell, ce qui est déjà un bon point
  Les deux compagnons continuent à discuter de leur vision du libertinage, puis Nell apprend, que bien qu’ayant déjà eu des plans Q de passage, il n’a jamais essayé de faire durer ce genre de relations : trop attaché aux femmes avec qui il passait du temps, le couple a toujours été dans ses habitudes.
Il se dévalorise en imaginant qu’elle a peut-être plus d’expérience sexuelles que lui… peut être ou pas… peu importe, l’important est dans l’entente qu’ils entretiennent
Tous deux montent dans sa voiture, il demande s’il peut venir chez Nell
 Nell pense « Malheur ! ma chambre n’est pas rangée ! et non même si elle l’était … hors de question que je fasse monter quelqu’un dès le 1er soir : les murs entre ma chambre d’étudiantes et celle de mon voisin est fin comme du papier et mes proprios n’apprécieraient surement pas non plus nous entendre à pas d’heure pour ensuite entendre les ébats de leurs locataires… même si c’est déjà arrivé, mais c’était dans d’autres circonstances XD »
  Nell écrit « Désolé, je ne peux et ne veux pas te faire rentrer chez moi ce soir… »
Mr. F écrit « Dommage, j’aurais aimé avoir un peu plus… tu m’as frustré et charmé… tu vas vraiment me laisser m’arrêter sur la route pour que je me soulage seul sur un chemin ? »
Nell écrit « Ahaha ! tu fais ce que tu veux, ce n’est pas mon problème. A la base c’était juste une soirée improvisée pour boire un coup rien de plus »
Mr. F écrit « Oui pas faux… tu accepte au moins que je te prenne dans mes bras et te caresse ? »
Nell écrit « Oui tant que tu arrêtes d’insister pour venir chez moi XD »
  Nell écrit « Eu… tu fais quoi là ? »
Mr. F écrit « Rien je te caresse c’est tout »
 Nell pense « Oui, oui, c’est ça XD »
 Sa main est juste sur son pantalon entre les jambes de Nell et la caresse de façon qu’elle ne puisse pas garantir l’état de ses sous-vêtements…
Il a dû le sentir, il passe sa main sous son haut noir dont le dos est transparent
Ses mains allant titiller le dos, le soutient gorge, pour ensuite passer en dessous
 Mr. F écrit « Tes seins semblent extras ! »
Nell écrit « Ah peut être … je ne sais pas ce sont mes seins c’est tout ! »
Mr. F écrit « Et bien moi je te le dis ! »
 Il dégrafe le fameux soutif, titille, embrasse et mordille !
D’un coup, Nell a chaud : son bas ventre pétille.
La jeune femme frissonne à chaque stimulation…
Il défait la ceinture et passe sa mains plus bas… en effet, Nell est presque en état de jeter sous-vêtements…
Il la fait gémir et l’embrasse en même temps pour faire taire ses plaintes, pose la main féminine sur son pantalon, qui semble déformé par le désir
Nell l’effleure, il arrête de bouger, comme en transe devant cette sensation
Elle continu, lui aussi
Il ouvre et baisse son pantalon
  PS : Je rappels que nous sommes dans sa voiture en pleine rue… heureusement nous faisons beaucoup de buée sur les vitres et il pleut. Quelques voitures passent sans nous remarquer
  La libertine finie aussi par se dénuder, et la folie commence !
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almighty-narrator · 6 years
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French only… Sorry… Histoire d'origine: CooCoo War - L'histoire du Narrateur Nom-Prénom: Candy SWEET Race: Humaine Taille: 1m58 Métier: Chimiste Zodiaque: Vierge
Dans le monde poubelle d'évasion, les règles régissant ce monde étant différent de son histoire d'origine, ses pouvoirs se retrouvent en partie bridé. De plus, quelque chose d'autre semble affecter ses pouvoirs… La réponse se trouve plus loin…
Pouvoir bridé: Maitrise de la matière - Aspect: Ordre - Faiblesse: Énergie
Exemple de maitrise (dans la limite de ce monde):
-> (Niveau 0) Maitrise des éléments simples: manipulation de l'air, des métaux simples, création de mur de pression, de lame d'air, etc…
-> (Niveau 1) Maitrise des éléments composés simple: Manipulation de l'eau, d'alliage et de roche, changement d'état de la matière
-> Niveau supérieur de maitrise complètement inaccessible en l'état. A voir selon les zones si d'autres partie de niveau lui deviennent accessible. Type de personnage: Yandere/Deredere (-> yandere certes, mais elle ne tue pas! Elle préfère laisser un profond traumatisme psychologique à ses victimes.) Personnalité: Passionnée, obstinée, malicieuse, douce, coquine, jalouse, sournoise, un peu extravertie Force: Pugnace, vive d'esprit (intelligente) et observatrice Faiblesse: Son amour pour Alister (et son attachement à ses amis) Aime: La chimie, les sucreries et les pâtisseries, Alister BLUGRAY, chose mignonne, manga shôjo, romance Déteste: Les filles un peu trop proche de Alister BLUGRAY, qu'on l'oblige à faire des choses Peur: Perdre Clément, d'être abandonnée Note:1: Expression neutre, qu'elle arbore généralement. Seul, ses yeux sont légèrement plus abaissé et son sourire un peu plus fermé, moins forcé.2: Mode garce. Quand elle n'est pas satisfaite d'une chose, et qu'elle élabore un plan pour se venger, ou éloigner une concurrente un peu trop mal avisée.3: Yandere mode. Quand elle applique ses plans, ou qu'elle pète simplement un câble.4. Mode blasée. Quand quelque chose ne lui convient pas non plus. ———————————————————- Le créateur: Detolefu (mais se présente comme étant le Dessinateur, une divinité de CooCoo War).Race: HumainApparence: Une orbe de lumière qui parle au travers de case carré, un peu comme le Narrateur.
Pouvoir: Tout comme Candy, ses capacités de créateur se retrouvent bridés. Cependant, il pourra épauler Candy au travers des capacités suivante:
_Fils du destin: 2 fils qui peuvent se fixer sur 2 cibles (participants comme objet du décors et environnement). Grace à cela, il peux influer sur le déroulement, le destin et les choix de sa cible sur une courte durée. Attention, seul des événements probable peuvent survenir et l'effet “deus ex machina” lui est complètement inaccessible. Il peux ainsi prédire aussi les actions de son adversaire dans un laps limité de temps _Omniscience restreinte: Il a conscience de tout son environnement dans un rayon de 3 mètres. _Altération de l'apparence de Candy: Candy provenant de son histoire, il peux modifier son apparence selon ses désirs. Cependant, il ne peux altérer les propriétés physique de cette dernière. (C'est à dire qu'il ne peux pas la rendre plus puissante par exemple)._Hacking de réalité: Il peux lire les règles de ce monde et les altérés pendant un temps court, pour permettre à Candy de retrouver un peu de ses capacités. Mais aller contre les règles d'un univers qui n'est pas le sien est dangereux…
Personnalité: Anxieux et calme, très têtu!, réfléchi, conciliant autant que possible mais ne fera preuve d'aucune pitié dans le pire des cas.
Trivia: A embarqué dans Evasion avec Candy pour se faire un peu les armes pour l'histoire final, mais surtout, parce que l'équilibre menaçant de se briser dans Evasion, la menace risque de se propager au delà de la page blanche pour atteindre d'autres histoire.
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inyourflesh · 6 years
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Les conseils beauté du professeur Lazare #5
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Bonjour mes petites chéries, bonjour mes petits choux !
Docteur Lo(v)gan m’a fait venir, pour cette fois. Oui oui ! Vous avez bien lu ! Il m’a demandé expressément d’intervenir sur son réseau à LUI ! Et pourquoi ? Eh bien, pardi… Pour parler de lui ! Ce moment ultime devait arriver ! Mais ça n’en est pas moins jouissif que de recevoir une requête de ce Dieu vivant ! Et quoi de mieux que votre bon petit diable pour s’en charger ? C’est parti… Traitons ensemble le problème que rencontre notre bon vieux Carter.
Mais avant de commencer, analysons la problématique de notre hôte : « Je me permets de vous écrire aujourd'hui parce que je suis totalement désespéré. Il y a quelques années encore, j'étais un fantasme vivant, entouré d'une immense cour pleine de femmes prêtes à tout pour attirer mon attention. On rêvait de moi la nuit et ma seule présence suffisait à transformer une assemblée de femmes en cascade. J'ai choisi la plus jeune et la plus souple d'entre elles pour devenir ma femelle officielle (malgré ce qu'on raconte, je suis un homme intelligent), mais elle vient malheureusement de décéder... Je pensais qu'à l'heure de me retrouver veuf, mes prétendantes redoubleraient d'efforts pour me réconforter, mais il s'avère que suite à la propagation de rumeurs disant que je suis maudit et que quiconque ose s'offrir à moi risque de mourir dans d'atroces souffrances, plus aucune demoiselle n'ose lever les yeux dans ma direction... Un bon ami m'a donc conseillé de me tourner vers vous, disant qu'un petit relooking motiverait les troupes de mes admiratrices et m'aiderait à trouver la future madame Carter ! Je remets donc mon destin entre vos mains. Aidez-moi, pitié, ma défunte femelle n'a pas pu me satisfaire alors qu'elle était gravement malade, cela fait donc plusieurs semaines que je retiens tout et mes nerfs commencent à lâcher !! » Bla bla bla… Tout ce que j’ai lu, c’est « Pourquoi lorsque j’ai une femme en cloque, soit je perds le gniard, soit je perds ma femme ? » pas vous ? Bon… Trève de mauvaise foi, on va s’y mettre et y aller ce coup-ci par découpe chirurgienne : Ezrouille ? Rapporte-moi la scie à métaux s’il te plaît
Logan, qu’est-ce-que c’est comme concept ?
Logan est le juste mélange entre un hawaiien et un char d’assaut. Mais attention, pas de mazout ! Vu son tempérament, on tourne au 95 ! Dans le genre « je défonce des portes ouvertes », on est sur un sommet ! Chef de Fort Hope, et ayant une Aston Martin DB4. Ouai, c’est important, on dit que les voitures sont la première chose qu’une femme regarde chez un homme. Non ? Dîtes moi que c’est vrai, par pitié ! Je trimbale ma Chevrolet Corvette C1 de 62 exprès pour ça ! Peu importe… Logan c’est aussi un père de… Beaucoup d’enfants, si on en juge le tas de mômes qui vivent chez lui. Si ce ne sont pas les siens, il peut remercier les services sociaux de ne pas avoir survécu à l’apocalypse. Mécano de carrière, la seule chose qu’il ne sait pas retaper c’est son petit cœur meurtri.
Il y a quelques années encore, j'étais un fantasme vivant… 
On va d’abord s’arrêter sur ce point : les choses ont changé, Loganouchou ? Mais oui, bien sûr, qu’elles ont changé. Pourquoi ? Je me réserve de parler de ta tignasse pour plus tard. Je vais te dire ce qui freine cette meute de femmes en chaleur dès ton arrivée : ton prénom. Suis-je le seul à le penser ? Tu as un prénom de bagnole mon grand. Et pas de la luxueuse ou de la sportive ! Non non… Celle qui ne fait que t’emmener au travail pour gagner un salaire de miséreux et permettre à ta conjointe de se payer du maquillage lowcost.
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On est tombé loin de Jean-Luc Chevrolet, ou de Bernard Maserati ! On est du Logan Dacia ! De quoi vite en refroidir plus d’une. Ou d’un. Oui, mon chou, tu as bien lu ! Certains se mettaient à écrire des fanfiction yaoi sur toi ! Mais pourquoi seulement maintenant, me diras-tu ? Eh bien pour la simple est bonne raison que je l’ai décrété ! Depuis quand dois-je avoir un regard objectif appuyé d’arguments concrets ? Je suis Lazare, mon chou, le maître de la décadence et de la connerie humaine ! Pardon, je dois en remettre un à sa place… : Ezra tu n’as pas pu faire ce tatouage ! Tu dépasse quand tu colories sur les gens ! Celui-ci est bien fait ! Oui… Oui, c’est ça, continues de t’entraîner pour me faire un mojito. Merci. J'ai choisi la plus jeune et la plus souple d'entre elles[…]mais elle vient malheureusement de décéder. Premièrement, es-tu sûr qu’elle t’était fidèle ? Je pense que tu n’es pas sans savoir qu’elle a été très très proche d’un certain Traeger, pas le passé. N’a-t-elle pas elle aussi perdu de ce fantasme pour toi ? Ensuite, ta malédiction. Eh oui ! Tu es maudis, mon chou. Et ce n’est pas un sort de pacotille qui transforme un poufsouffle en canard boiteux, mais plus de celles qui transforme un « Pousse ! Souffle ! » en « Repose en paix ! » Quand ce n’est pas la dame qui y passe, c’est le morveux. Dans les deux cas, ça refroidi aussi. Dans le sens figuré comme propre… Je pense que ces dames n’ont ni envie de mourir, ni envie de voir leur progéniture y passer. Certes, je ne comprendrais jamais cet attachement à des petits… Quoi ? Trop loin ? Tu as raison Ezra, je m’arrête là. On va dire qu’elle ne supporte pas de voir ce truc mignon sorti de leur entrailles y passer aussi. On ne va pas s’attarder sur ce point, je pense que tu en as déjà bien conscience. Toutefois, on va chercher comment y remédier : les préservatifs ! Eh oui ! Si madame n’est pas enceinte, elle ne risque rien, pas vrai ? Et s’il n’y a pas de mômes à léguer à la faucheuse, alors il n’y a pas de deuil ! Donc… Je te conseille fortement de t’intéresser à une nouvelle marque post-apocalyptique : Sinex. Oui, Ezra, c’est la contraction de Sinead Alex. Non, Ezra, je n’ai pas dit d’utiliser leurs boyaux… Mais repose ce couteau ! On ne va pas les étriper maintenant ! Elles viennent d’arriver ! Fichtre ! Je perds contrairement le contrôle sur ce jeune… Sans transition, la suite !
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Je remets donc mon destin entre vos mains. Mon chou, ce n’est pas ton destin que tu dois mettre entre mes mains. C’est autre chose que tu devrais mettre entre les tiennes ! Oh oui, je pense bien à ça, Ezra ! Quoi ? Comment ça ta main est trop grande ?... Je… On passe à la suite, pas la peine de m’attarder sur ce point. Le mot de la fin ? Sans rire, c’est tout ? Rien de plus ? Non, non, non ! Ce n’est pas possible que ça s’arrête maintenant ! j’ai promis au début que je parlerai de sa tignasse ! Ezra, je ne pensais pas dire ça un jour… Tatoue moi un autre sous-titre, et que ça saute ! Le mot de la fin? J'en ai pas encore fini! Merci mon chou… Donc… Tu pense avoir perdu ton sex-appeal avec le décès de ton épouse et la confirmation de ta malédiction ? Je te propose un autre point de vue : ça va trop vite entre vous. Je ne sais pas qui est encore la future madame Carter, mais je suggère qu’elle s’appelle Pilar. Quoi ? Carter Pilar est un très bon jeu de mot… Peu importe ! Tu viens d’enterrer ta rousse, et tu veux déjà passer à la suite. C’est beaucoup trop tôt ! Et ce ne sont pas les paroles d’une pucelle réticente pour sa première fois… Il a fallu te marquer au fer rouge sur tes fesses que tu n’étais plus disponible sur le marché pour calmer les ardeurs de certaines. Il faut du temps pour que ça cicatrice et qu’on ne voit plus écrit « Propriété de Joy Carter » ! 
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Mais j’ai une question… On l’a déjà survolé dans l’ancien article et un peu plus haut… Es-tu sûr que tu aies conservé ton sex-appeal même avec ta dame ? Pourquoi s’est-elle beaucoup rapprochée de ce cher Dédé, à tel point que tu parviennes à douter de ton lien paternel avec l’enfant qu’elle a mis au monde ? Même si ce sont sur les dires de Joshua, n’était-ce pas quelque chose que tu t’attendais déjà à entendre ? Le terrain n’y était-il pas favorable ? Carter l’infidèle L’infidélité potentielle de ton épousailles met en évidence une chose : l’es-tu toi-même ? Une rumeur n’aurait-elle pas couru à une époque ? Non pas que rester aussi proche de ton ex soit un problème, mais c’est quand même méga super suspect ! Peut-on parler de risque de Julieto-récidive probable ? Un zizi en sursis de tromperie ? Harvey ? Une suggestion ? Un… Un touche-pipi non tolérable ? On va t’accorder le bénéfice du doute mon grand, pas sûr que tu aies souvent vu le loup. Mais l’idée est là, en effet !... Non… Non Ezra… Pas un Zizicoptère dans un autre héliport là c’est… Non… Rhabille toi, mon petit. Et je ne parlais pas de ta taille générale, si tu vois ce que je veux dire… On s’éloigne du sujet, les enfants ! Concentrez-vous ! Reprenons… Donc une épée de Damoclès sur la rouquine. Et partager sa maison avec sa meilleure amie… C’est bon pour les années facultés ! Après ça devient super gênant ! Est-ce-que cette complexité émotionnello-partouzaire est un terrain favorable pour débuter une nouvelle relation ? Je ne pense pas ! On potasse la tignasse ! L’heure a sonné ! C’est le moment de causer sérieusement d’un risque sanitaire planant sur Fort Hope… Que dis-je ! Avec ton nouveau service d’import-export de poux fournis par les treillis, c’est tout le commonwealth qui est menacé ! Ta pilosité ! Si l’Head&Shoulders pouvait suffire il fut un temps, il y a fort longtemps qu’on n’en remplit plus les rayons. Plus de shampoing digne de ce nom. Et concernant ta barbe de mâle alpha, à part t’appliquer un peu d’after-chèvre de production Gladys, qui est loin d’être incontestable comme solution, tu n’as plus l’opportunité de l’entretenir comme il se doit. Ma suggestion ? On coup tout, chef ! Sortez le sabre à kébab, supplément salade-tomate-oignon, il ne faut pas faire dans la dentelle avec Carterlosité ! 
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Le mot de la fin ? Oui ! On y est !
Pour conclure, je résumerai qu’il ne suffit pas d’être un ours bourré de charme et de testostérone pour attirer toutes les donzelles du quartier. Pour retrouver l’amour, il faut faire une réelle campagne de promotion. Avertir la populace que Logan est dans la place. Parler à leur cœur avant de parler à leur… Non Ezra, je ne peux pas lire ça… Tu vas devoir agir comme un jeune prépubère cherchant sa proie pour l’accompagner au bal de promotion. L’amour ne tombe pas tout cuit ! Alors au boulot ! Et vire moi ces sacs à patates qui te servent de vêtements ! Il est temps de passer au costard, mon grand !
Je pense que c’est une conclusion parfaite ! Lo(v)gan, je vous rends l’antenne et fichtre… Merci de m’avoir confié votre cas. Je me sens tout… Vous savez, très cher, je ne risque pas de tomber enceinte ! Si vous voulez, nous pouvons envisager de…
On n’est pas là pour ça, tout à fait Ezra ! J’attends la prochaine victime, en attendant… Protégez vous grâce à nos nouveaux préservatifs SINEX, partenaires de cette émission !
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A vous les studios ! Cordialement, Lazare. PS : Cet article est de l’humour de second degré et avant tout de l’auto-dérision envers Lazare et son joueur.
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