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#guide des meilleurs voyants
thepeculiarbird · 8 months
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WIP Extract
Thanks @kaylinalexanderbooks for tagging me!
So I'm going to put the french version first and I'll translate in english as best as I can. I apologise in advance if the verb's tenses are wrong.
French:
-C'est juste un pont! s'exclame Dan quand elle aperçoit la structure en fer. Qu'est ce que les touristes lui trouvent de si attirant? Je suis pris d'un fou rire en voyant le visage des deux locatrices qui n'ont pas très bien pris la remarque de notre amie. -Danaé, je tiens à souligner que ces deux femmes faisaient autrefois parties d'une secte, si tu vois ce que j'insinue, répondit Madhi, étouffant un rire. La jeune fille fait une grimace et fouille dans le sac son copain pour y sortir l'appareil photo. Elle nous fait signe de nous regrouper derrière elle, une fois que tout le monde est dans le cadre, elle appuie sur le bouton. -Tu n'aurais pas pu le faire avec ton portable au lieu d'utiliser de la place sur ma carte mémoire? rétorque Madhi à la seconde où la photo est prise. -C'est plus joli et puis il faut bien qu'il serve à quelque chose, tu ne prends quasiment jamais de photos avec! -Vraiment? Je l'utilise si peu que ça? Il se tourne vers moi, voulant sûrement connaitre mon avis. Comme si j'étais la personne idéale pour répondre à cette question! -Disons qu'un vrai expert de la photographie aurait déjà terminé sa carte depuis le temps. Dan mets ses mains sur sa bouche, se retenant de rire tandis que l'intéressé ouvre dramatiquement la bouche et d'un faux air offensé, se rapproche et se penche, laissant entre nous que quelques centimètres. -Peut-être mais je reste le meilleur d'entre nous, se vanta-t-il. J'entends le rire bruyant de notre amie ainsi que deux plus petits, ceux des guides. [...]
English:
"It's just a bridge!" shouted Dan when she spotted the iron structure. What do the tourists find so appealing about it? I laughed out loud at the looks on the faces of the landlords, who didn't take our friend's remark very well. "Danae, I'd like to remind you that these two women were once part of a cult, if you know what I mean" replies Madhi, stifling a laugh. The girl makes a grimace and reaches into her boyfriend's bag to pull out the camera. She waves us to gather behind her, and once everyone is in the frame, she presses the button. "Couldn't you have done it with your mobile instead of taking up space on my memory card?" retorts Madhi the second the photo is taken. "It's nicer and it has to be used for something, you hardly ever take photos with it! "Really? I don't use it that much?" He turns to me, probably wanting my opinion. As if I was the ideal person to answer that question! "Let's just say that a real photography expert would have finished his card by now." Dan puts her hands over her mouth, holding back a laugh as the interested party dramatically opens his mouth and, with a false air of offence, moves closer and leans over, leaving only a few centimetres between us. "Maybe, but I'm still the best of us" he brags. I can hear the loud laughter of our friend and two smaller ones from the guides. [...]
Yea, that's my extract, I'll fix some things in draft 2 but it's a pretty good scene (Chapter 8)
Tagging: @sarandipitywrites @raiden-makoto @jaelink
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clairvoyanceetheree · 3 months
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Guide Complet sur le Meilleur Voyant dans le Nord Pas de Calais
Découvrez les Secrets d’un Bon Voyant La recherche du meilleur voyant dans le Nord Pas de Calais peut être une quête mystérieuse et intrigante. De nos jours, trouver un professionnel compétent et fiable peut faire toute la différence dans la qualité de la consultation. Que vous cherchiez des réponses sur l’amour, le travail, ou votre avenir en général, un voyant expérimenté peut vous apporter…
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emploisdacheteurs · 4 months
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Dévoiler l'élégance : Devenir personal shopper à Bologne
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Bologne, le cœur de l'Émilie-Romagne, est une ville imprégnée d'histoire, de culture et, vous l'aurez deviné, de mode!  Pour ceux qui ont une passion pour le style et le sens du détail, devenir personal shopper à Bologne peut être un rêve devenu réalité.  
Nous vous dévoilons les secrets de cette carrière passionnante, qui vous fera passer d'un passionné de mode à un gourou du shopping recherché. Vous aimez le shopping ? Si vous aimez la mode, vous pouvez trouver un emploi de personal shopper chez The Personal Shopper Agency.
Les compétences dont vous avez besoin pour briller
La clé du succès réside dans la possession d'un mélange puissant de compétences.  Voici ce qui distingue les meilleurs personal shoppers:
Connaissance de la mode : Une compréhension approfondie des tendances actuelles, des silhouettes classiques et des subtilités de la mode italienne est primordiale. Familiarisez-vous avec le « who's who » des créateurs italiens, qu'ils soient établis ou émergents.
Conseil en image : Au-delà des vêtements, plongez dans l'art du conseil en image. Apprenez à connaître les formes du corps, l'analyse des couleurs et le développement d'un style personnel. Cela vous permettra de personnaliser votre approche et de créer des looks qui flatteront vos clients et leur donneront de l'assurance.
Communication et relations avec les clients : Il est essentiel d'instaurer un climat de confiance. Affinez vos compétences en matière de communication afin de comprendre efficacement les besoins des clients, les limites de leur budget et le style qu'ils souhaitent adopter. Soyez un auditeur patient et un guide persuasif.
Navigation et négociation : La scène commerciale de Bologne est diversifiée, avec des trésors cachés disséminés dans toute la ville. Il est important de bien comprendre la disposition des lieux et de cultiver des relations avec les propriétaires de boutiques afin d'obtenir les meilleures offres.
Les avantages d'être un personal shopper à Bologne
Plus qu'un simple travail, devenir personal shopper à Bologne vous permet de:
D'alimenter votre passion pour la mode: Vous plonger dans le monde de la haute couture, entouré de beauté et de créativité.
Devenir un gourou du style: Permettre aux autres d'exprimer leur individualité à travers la mode, en les voyant prendre confiance en eux.
Explorez une ville dynamique: Découvrez les joyaux cachés de Bologne tout en guidant vos clients vers les paradis de la mode.
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arianne-g-voyance · 4 months
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iamzlaw · 4 months
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J'essaye de produire le type de contenu que j'aimerais voir, alors je pense que je vais me lancer dans des semblants de portraits de personnages. =)
Qui est Mae Quanto ?
Au moment où on la rencontre, Mae vient tout juste de fêter ses 17 ans. Elle est la benjamine d'une fratrie de trois, après ses deux frères Markus (de 6 ans son aîné) et Caesar (avec seulement un an de plus qu'elle).
Comme ils ont a perdu leur mère lorsqu'elle avait une demi douzaine d'années, Mae rentre sans doute en partie dans le cliché des jeunes filles avec plus d'influences masculines que féminines dans sa vie. En plus de n'avoir que des frères, son oncle a beaucoup épaulé son père pour encadrer toute sa marmaille, et même son plus ancien et meilleur ami, Nelson, est un garçon. De cet entourage, elle tire une certaine robustesse. Elle est sportive et sait se défendre, aussi bien par les mots que par la force, parfois. Néanmoins, elle reste loin d'être un garçon manqué. Elle adore ses longs cheveux blonds et droits, et l'arrivée plus récente dans sa vie de son amie Ellen lui permet de moins rebattre les oreilles de Nelson avec ses préoccupations purement féminines. C'est une jeune fille équilibrée et épanouie.
Sans s'en rendre compte, Mae a un léger faible pour les oiseaux tombés du nid, les brebis égarées. Peut-être qu'elle tient ce côté protecteur de son frère aîné, qui a pris cette responsabilité très au sérieux au décès de leur mère.
Elle rencontre Nelson au commissariat, alors qu'elle rend visite à son oncle et que lui attend après avoir été abandonné par sa mère sur une scène de crime.
Le troisième membre de leur trio, Ellen, rentre également dans le motif, puisqu'elle se démarque par une excentricité apparente, friande de gants coupés, bonnets, et autres accessoires aussi voyants qu'atypiques. Elle a tout de suite plu à Mae, à son arrivée dans leur lycée.
De même, le premier petit ami sérieux de Mae (et le dernier en date au début du récit), Gabriel, était non seulement en visite depuis l'Angleterre pour un programme d'échange, mais aussi aveugle. Ils se rencontrent pour la première fois grâce à son chien-guide. La date d'expiration sur leur idylle adolescente ne la rend que plus intense.
Bien sûr, tous ces traits de caractère ont un revers. Sa férocité pour défendre ses proches rend parfois Mae un peu trop entreprenante. Elle a tendance à penser mieux savoir que les autres ce qui est bon pour eux, ce qui l'amène parfois à outrepasser ses droits. Elle a toujours de bonnes intentions, mais elles l'emmènent souvent un peu loin. C'est un boule d'énergie qu'il faut canaliser.
Au sein de l'épopée d'Home Sweet Home, Mae a, sciemment ou non, un rôle fédérateur. Elle est en de nombreuses occasions ce qui rassemble tout le monde, que ça lui plaise ou non. Les circonstances qui s'alignent autour d'elle l'amènent à être au cœur et à l'origine de quelque chose d'Historique, et j'espère que vous apprécierez de la suivre alors qu'elle se débat du mieux qu'elle peut à travers toutes ces péripéties.
Voilà. Si tout ça vous intéresse, vous intrigue, attise votre curiosité, je vous donne rendez-vous dans mon Écho. =)
Et je vous laisse avec l'affiche d'un épisode qui illustre assez bien le caractère rentre-dedans de la jeune fille dont je viens de vous parler.
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Home Sweet Home // Bien Chez Soi
S02E02 - Short Circuit // Électrochoc
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Crédit photo : Jan Kopřiva
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Lunetterie Vue D'ensemble - "Guide d'achat pour des lunettes de soleil haut de gamme sans compromettre la qualité"
Visiter Lunetterievuedensemble.ca Guide d'achat pour des lunettes de soleil haut de gamme sans compromettre la qualité : comment choisir la paire parfaite pour vous ? Nous aimons tous avoir des lunettes de soleil tendance et de haute qualité pour compléter notre look et protéger nos yeux des rayons UV nocifs. Mais avec tant de marques et de styles disponibles sur le marché, il peut être difficile de trouver la paire parfaite qui répond à tous nos besoins sans compromettre la qualité. Ne vous inquiétez pas, nous avons élaboré un guide d'achat pour vous aider à choisir des lunettes de soleil haut de gamme tout en vous assurant un maximum de qualité. 1. Déterminez vos besoins Avant de commencer votre recherche de lunettes de soleil, il est important de définir vos besoins en fonction de l'utilisation que vous en ferez. Allez-vous les porter pour des activités sportives ou pour un usage quotidien ? Avez-vous besoin d'une correction pour vos yeux ? Ou peut-être avez-vous besoin de lentilles polarisantes pour une meilleure vision en extérieur ? Une fois que vous aurez identifié vos besoins, vous pourrez alors cibler des marques et des styles spécifiques. 2. Recherchez des marques de qualité Maintenant que vous savez quelles sont vos attentes pour vos lunettes de soleil, il est important de choisir une marque réputée pour sa qualité. Une marque comme Lunetterie Vue d'Ensemble propose une large sélection de lunettes haut de gamme pour répondre à tous les besoins de ses clients. En plus de proposer des lunettes de marques internationales, Lunetterie Vue d'Ensemble offre également des services de personnalisation pour s'assurer que vous ayez la paire de lunettes parfaite pour vous. 3. Vérifiez les matériaux Une bonne paire de lunettes de soleil haut de gamme sera fabriquée avec des matériaux de qualité tels que l'acétate, le métal ou la cellulose de propionate. Ces matériaux sont durables, légers et offrent une protection efficace contre les rayons UV. Evitez les lunettes en plastique qui peuvent se casser facilement et ne pas offrir une protection adéquate. 4. Essayez les lunettes Il est essentiel d'essayer les lunettes avant de les acheter pour vous assurer qu'elles sont confortables et qu'elles vous vont bien. Les lunettes de soleil haut de gamme doivent être ajustées à votre visage pour une protection optimale contre les UV. Les modèles avec des branches réglables peuvent être pratiques pour obtenir un ajustement parfait. 5. Faites attention aux détails En plus de la qualité des matériaux et de l'ajustement, faites attention aux petits détails tels que les charnières et les logos sur les branches. Les charnières doivent être solides et les logos ne doivent pas être trop brillants ou trop voyants. Maintenant que vous avez toutes les informations nécessaires, vous pouvez choisir une paire de lunettes de soleil haut de gamme sans compromettre la qualité. N'oubliez pas de vérifier les offres spéciales et les promotions sur le site de Lunetterie Vue d'Ensemble et utilisez les hashtags #lunettesdequalite et #hautdegamme pour partager votre look avec vos nouvelles lunettes de soleil ! Protégez vos yeux avec style et qualité grâce à Lunetterie Vue d'Ensemble ! Acheter sur lunetterievuedensemble.ca ou consulter notre article "Trouvez votre paire de Ray-Ban idéale dans notre guide d'achat de lunettes de soleil haut de gamme. Qualité et style sans compromis !"
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french-maestro12 · 1 year
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Voyage en Egypte à Pâques
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Cher touriste, c’est le moment de réserver vos vacances de Pâques en Egypte! Le temps est venu de découvrir les merveilles de l’Egypte avec Egypt Online Tours pendant les vacances de Pâques en voyant les meilleurs sites toursistiques du Caire , d’Alexandrie , de Louxor , d’Assouan , du Fayuom et etc.
Je voudrais vous dire que vous briserez la routine de la vie en voyagant en Egypte, qui est le berceau des civilisations et le don du Nil. Les voyages de pâques en Egypte vous permettront de voir les trésors uniques de l’Egypte, tels que les grands temples , les anciens musées, les pyramides de Gizeh et les tombes royales.
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Egypt online Tours vous invite à découvrir les temples pharaoniques d’Egypte à travers un circuit à Louxor et à Assouan pendant les vacances de Pâques. Lors de ce circuit , vous remarquerez le plus grand nombre de temples archéologiques comme le temple de Louxor , le temple de Karnak , le temple d’Hatchepsout , le temple de Dandra , le temple d’Abydos , la vallée des Rois et des Reines , le temple de Philae , le temple d’Abou Simbel, le temple d’Edfou et etc.
Pour passer un temps plein d’une aventure à Louxor et à Assouan , vous pouvez faire une balade en montgolfière . Cette aventure vous permettra de voir les temples pharaoniques d’en haut.
Itinéraire
1er Jour : séjour Egypte, le Caire Acceuil et assistance à l'aéroport du Caire par notre reprèsentant local, le visa est emis sur place par notre correspondant. Transfert à votre hôtel au Caire. Cocktail de bienvenue dès l'arriveè à votre hôtel. Temps libre pour détendre avec Possibilité des circuits facultatifs si le temps le permet. Nuit au Caire
2ème Jour : Gizeh Petit déjeuner à l'hôtel au caire, ensuite, vous serez accompagnés par votre guide ègyptologue pour la visite du plateau de Gizeh ou se trouvent les trois grandes pyramides l'une des sept merveilles du monde ancien gardeès par le sphinx, ensuite; la nécropole de Saqqara et Memphis. Temps libre pour le shopping dans les bazzares de Gizeh. Retour à l'hôtel au caire. Nuit au caire.
3ème Jour: séjour Egypte, le Caire Petit déjeuner et ensuite vous commencerez avec votre guide la visite du Musée égyptien ou se trouve le complexe funèraire le plus célèbre du roi Tout-ankh-amon, la Citadelle de Saladin, la Mosquée de Mohamed Aly connue par Mosquée d'Albâtre. Temps libre pour le shopping dans les souks de khan el khalili bazares; transfert à l'hôtel au caire. Temps libre et nuit au caire.
4ème Jour : Vol pour Assouan Transfert à l'aeroprt du Caire aprés le Petit déjeuner pour prendre le vol vers Assouan. Acceuil et transfert par votre guide de l'aéroport d'Assouan pour l'enregistrement à la croisière sur le nil . Embarquement et déjeuner, ensuite sera la visite du Haut Barrage, Vieux-barrage, obélisque inachevé et le temple de Philae domaine de la déèse Isis, vous visiterez le Jardin botanique en felouque. Retour à la croisière pour le thé de l'aprés-midi et dîner avec spectacle de danse. Nuit à bord de votre croisière sur le nil.
5ème Jour: Croisiére sur le Nil; Kom ombo et Edfou
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Petit déjeuner à bord, navigation vers Kom ombo, déjeuner Buffet. Aprés le déjeuner sera la visite du temple ptolémaique consacré aux deux divinités Sobek et Hoeroeis. Navigation vers Edfou, le thé sera servi dans l'après-midi. Dîner buffet avec galabieh Parti à bord. Nuit à Edfou.
6ème Jour : Louxor Petit-déjeuner buffet et préparez vous pour commencer la Visite du temple Horus le plus immense et somptueux des temples. Navigation vers Essna. Déjeuner-buffet. L'aprés-midi, le thé sera servi, traverser l'eclus d'Essna et navigation vers Louxor. Dîner à bord de vote croisière sur le nil et passer une soirée dansante, veuillez porter des vetements blanc ou noir. Nuit à bord à Louxor.
7ème Jour : Louxor Petit-déjeuner à bord et ensuite Visitez la Vallée des Rois, temple Hatchepsut; reine sur l'Egypte pour 20 ans, Colosses de Memnon les seuls vestiges du temple funeraire d'Amenophis trois. Arrivez à la rive ouest pour visiter le compexe du Temple de Karnak, temple louxor. Temps libre à louxor .Transfert à l'aéroport de Louxor pour vol de retour au Caire. Accueil par notre correspondant local et transfert à votre hôtel au Caire. Nuit au Caire
8ème Jour: Vol du retour Petit déjeuner à l'hôtel au caire, temps libre puis transfert à l'aéroport internationale du Caire pour vol du retour.
Le prix inclut
Accueil et transfert par notre representant dès l'arriveè et au dèpart
Transfert en vèhicule climatisè de luxe
Billets d'entreès des sites selon l'itineraire
4 nuits dans un hôtel au caire avec petit-dejeuner
3 nuits à bord d'une croisière sur le nil
Vol interieur
Visa d'Entreé en Egypte
Guide égyptologue froncophone
Billets d'entreés des sites
Déjeuner pendant la journée du Caire
1 bouteille d'Eau minérale pendant la journée au Caire
Le prix n' inclut pas
Billets de vols internationaux
Les dèpenses personnelles
Les excursions facultatives
Pourboires
écrit par:Mariam Sameh E-mail:[email protected] Mobile:-+201001422529 Site: www.egyptonlinetours.com
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Les meilleurs voyants de France pour des prédictions sérieuses et fiables
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clairvoyanceetheree · 3 months
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Comment la voyance a détruit ma vie
La voyance, cette pratique ancestrale qui prétend dévoiler les mystères de l’avenir à travers divers supports comme les tarots, la cartomancie ou encore l’astrologie, a souvent été vantée comme un guide vers une meilleure compréhension de soi et de son destin. Des millions de personnes à travers le monde consultent régulièrement des voyants pour obtenir des réponses à leurs questions les plus…
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paul123love · 4 years
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Le retour affectif-Médium Voyant Sérieux
Le retour affectif-Médium Voyant Sérieux
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Le retour affectif est une pratique de magie blanche (souvent, dans ce cas, appelé « magie rouge ») consistant à effectuer un ou plusieurs rituels sur une ou plusieurs personnes visant à l’envoûter, afin de parvenir à son retour affectif.
Le retour affectif ne comporte par conséquent absolument aucun risque
Les retour affectifs peuvent être effectué soi-même, il existe plusieurs sites…
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arianne-g-voyance · 4 months
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pink-jindallae · 5 years
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Nuit - NSFW (Night FR)
[Nathaniel/Sucrette] Lemon et un tout petit peu de angst, parce que je suis cruelle. L’histoire se déroule après que Nathaniel ait tout raconté à Sucrette dans l’épisode 11. Je l’avais promis en version française, donc voici \o/ La version de Nath arrivera ce week-end ;) Sucrette n'est pas nommée comme ça vous pouvez imaginer le nom que vous voulez Nb de mots : 4689 ATTENTION : très très érotique. À vos risques et périls lol
Sucrette P.O.V.
Nathaniel et moi avons passé toute la soirée à parler. Il m'a raconté toute l'histoire et je suis reconnaissante de son honnêteté. Je sais que c'était difficile pour lui de me confier un tel secret, mais je ne pouvais plus supporter davantage de mensonges. Il explique tout dans les moindres détails; ce qui était arrivé, combien il se sentait seul, combien il était perdu désormais. Mais plus que tout; comment il est prêt à changer pour moi. Je ne pouvais que l'écouter, ses mains tremblantes entre les miennes pour l'encourager. Le ciel est déjà noir quand Nathaniel se décide à partir. Selon lui, c'est dangereux de rester trop longtemps dans ma chambre et je peine à comprimer le sentiment d’inquiètude qui s’empare de moi. Est-ce que les types pour qui il travaille pourraient venir jusqu'ici ? Comme s'il devine mes pensées, il me rassure tout de suite, un sourire au coin des lèvres. " Ne t'inquiète pas. Ils ne s'aventurent pas dans le campus." me dit-il en se levant du lit. "Je ne comprends pas, dans ce cas." je réplique en me redressant à mon tour pour lui faire face. "Qu'est-ce qu'il y a de si dangereux ?" Son sourire s'étire, plus suggestif cette fois, et ses yeux brillent de malice. Je me sens tout à coup comme une petite souris coincé entre les griffes d’un chat. Il joue avec une mèche de mes cheveux un moment avant de répondre. "Tu ne devines pas ?" "Je…" je commence avant d'être interrompue par ses doigts qui effleurent doucement ma nuque après avoir replacé mes cheveux derrière mon oreille. La gorge sèche, je ravale ma salive tant bien que mal et essaie de garder mes yeux dans les siens. "Tu ?" s'enquiert-il à voix basse, faisant un pas en avant. "… ne sais pas." Ma voix s'éteint doucement. Ma tête est complètement vide, je n'arrive pas à réfléchir correctement quand il est si près et j'ai l'impression que la situation l'amuse beaucoup. Je l'entends rire dans sa barbe. "Vraiment ?" Il penche la tête près de mon oreille et son souffle caresse ma peau. Je ne peux pas réprimer un frisson. "Tu risques de me mettre de l'embarras si tu fais semblant de ne pas comprendre." Sa voix est chaude et cajoleuse. Une onde agréable descend le long de ma colonne vertébrale, de ma nuque jusqu’au bas de mes reins. La chaleur monte en moi, la température de la chambre frôle un degré presque érotique. Le danger, c'est lui. Il affole tous mes sens et il le sait, il en joue insolemment. Je m'abstiens de me mordre la lèvre, ce ne serait que lui donner trop de satisfaction. Cependant mes yeux se ferment malgré moi à la douceur de son index qui écarte la fine bretelle de mon débardeur. Plus tôt dans la soirée, j'ai enlevé mon chemisier à carreaux pour être plus à l'aise, ne portant qu'un simple vêtement qui ne couvre pas énormément ma peau… et il adore ça. Beaucoup trop. Ses lèvres se posent sur mon épaule dénudée et un soupir indécent s'échappe des miennes. Est-ce vraiment moi qui vient de gémir ainsi ? C'est tellement embarrassant… Incité par ma docilité, il embrasse ma peau avec une atroce lenteur, noue un collier de baisers sur mon cou alors que ses mains se tiennent sagement autour de ma taille. Déjà séduite, je m'arque contre lui et penche la tête sur le côté pour lui offrir un meilleur accès. Je me laisse emporter par la sensualité de ce moment. Le combat est perdu d'avance. "Si tu ne dis rien, je ne vais pas m'arrêter." me soupire-t-il, essoufflé. Il respire fort, comme s'il cherche à se contrôler. Il m'incite à réagir, mais qu'est-ce qu'il demandait encore ? M'a-t-il seulement posé une question ? Ses lèvres me font perdre le fil et j'oublie de répondre quand il remonte le long de ma gorge avec langueur. Mes doigts se crispent sur son torse puissant. Il embrasse mes joues, mon nez, chacune de mes paupières puis mon front. Je m'impatiente et tends les lèvres… Cependant mon ardeur se heurte à un simple effleurement à peine perceptible et soudain je ne sens plus sa chaleur. Il vient de s'écarter. "Désolée ma belle, mais le jeu est fini. Il faut que je rentre chez moi maintenant."  Il me sourit tendrement, plus aucune trace de malice dans ses yeux. Ma seule réaction est de battre des cils, perplexe. Est-ce qu'il ne venait pas à l'instant de me dire qu'il n'allait pas s'arrêter ? C'est quoi ce changement soudain de comportement ?! Il s'amuse à susciter un désir en moi, me laissant pantelante, puis s'éloigne comme si de rien n'était ! Ce n'est pas fair-play de sa part de jouer avec mes sensations. Il sait que ça fonctionne ! Le pire dans tout ça, c'est son rire cristallin en me voyant lui jeter un regard noir. "Tu trouves ça drôle ?" je boude en croisant les bras sur ma poitrine. "Un peu, oui." Le voilà à nouveau en train de jouer avec mes cheveux. "Ne te vexe pas, princesse. Tu n'as aucune idée à quel point j'aurais adoré continuer mais pas de réponse, pas de câlin. On se voit demain." Sur ces mots, il dépose un baiser furtif sur mon front puis fait demi-tour. Avant qu'il ne puisse passer le pas de ma porte, j'attrape le pan de son veston pour l'arrêter. Il semble surpris car je remarque ses pupilles s'écarquiller subtilement. "Nath, attends ! Je…" "Oui ?" répond-il patiemment sans me presser. Mes joues s'empourprent et je baisse les yeux incapables de soutenir son regard de braise. Pourquoi je me sens si timide devant lui ? Ce n'est pas comme si nous ne l'avions jamais fait. Certes, la dernière fois remonte à des années, mais je ne suis pas novice bon sang ! Et j'ai également connu d'autres hommes après lui, même si je dois avouer que ça fait longtemps. Pourtant, face à Nathaniel, je suis troublée jusqu'au plus profond de mon être. "Ma coloc' n'est pas là ce soir… " je reprends d'une toute petite voix. Un peu de courage ! "Elle est absente pour trois jours et je… Enfin…" Ma déclaration a eu don d'accaparer toute son attention puisque je le revois fermer calmement la porte et se tourner complètement vers moi. Seulement, il ne bouge pas. Au contraire, il s'adosse contre ma porte, les bras fermement croisés contre sa poitrine. "Et donc ? Qu'est-ce que tu veux ?" me demande-t-il plus urgemment, jurant avec son calme apparent. Ses yeux sont fébriles, embrumés par une étincelle qui ne m'est pas inconnue. Sa respiration s’accélère à nouveau. Il a envie de moi. Devant mon mutisme, il poursuit : "Je te l'ai déjà dit, mais je ne joue pas avec l'incertitude." Son ton est agité mais ferme. "Si c'est moi que tu veux, dis-le franchement." Nathaniel commence à s'impatienter, ses mains se serrent et se desserrent sur ses biceps. Après une profonde inspiration, je m'approche d'un pas mal assuré vers lui et dépose délicatement mes mains sur les siennes. Il décroise les bras sans broncher et me laisse emmêler nos doigts pendant que je me hisse sur la pointe des pieds pour lui voler un baiser. Comme je n'ai toujours rien dit, il refuse de bouger d'un iota et je le sens se raidir sous mon autre paume caressante qui remonte le long de ses bras pour s'attarder sur ses pectoraux. Son manteau gênant m'empêche de profiter pleinement de ses muscles saillants, aussi, je m'empresse de le faire glisser par-dessus ses épaules avec une lenteur délibérée. Résolument obstiné à ne pas ciller, il m'observe sans me repousser alors que le vêtement tombe lourdement à nos pieds. "Tu n'as toujours pas répondu." murmure-t-il le souffle court. Je le fais taire en posant un doigt sur sa bouche, caressant tendrement la cicatrice barrant sa lèvre. Son corps est tendu comme un arc quand j'embrasse sa mâchoire. Je m'attarde longuement, un grognement plaintif racle sa gorge qui laisse échapper mon prénom lorsque je descends vers sa nuque offerte. Cette fois, nos rôles s'inversent et c'est moi qui domine. Si Nathaniel veut s'amuser à affoler mes sens et m'abandonner lâchement l’instant d’après, je lui rendrai la monnaie de sa pièce. Il ne me touchera pas tant que je ne lui aurai pas donner la permission. Au moment où je me détache de lui, j'aperçois dans ses yeux dorés une lueur incandescente mêlée à ce qui ressemble à de la déception. Avec un sourire malicieux, j'attrape son collier et le guide jusqu'à mon lit pour l'y faire basculer sans effort. Il se laisse docilement tomber sur le matelas, simplement redressé sur ses coudes et continue de me contempler tandis que je me place à califourchon au-dessus de lui. Je le vois sourire, la flamme que j'ai allumé dans son regard brille plus intensément. "Comme toujours, tu préfères prendre les choses en main. Ça n'a pas changé." Mes joues rougissent malgré moi à l'évocation de ce souvenir. Je nous revois dans ma chambre d'ado quatre ans plus tôt, dans la même position après lui avoir retiré son haut. J'avais même osé lui dire que j'avais envie de lui. Il semble se délecter de ma réaction car j'aperçois son sourire s'élargir. Il doit deviner sans peine à quoi je pense mais je ne me démonte pas pour autant. Pour lui faire passer l'envie de se moquer, je tire doucement sur son collier pour l'obliger à approcher son visage du mien. Nous sommes si près que son souffle caresse tendrement mes joues. "Tu parles trop." Je scelle nos lèvres une nouvelle fois et il me rend mon baiser avec beaucoup d'ardeur, visiblement pas indifférent à mon petit jeu. Nos langues s'entremêlent, se taquinent pour mieux se câliner. "Et toi, pas assez." ajoute-t-il en reprenant son souffle entre deux baisers. Nathaniel s'allonge plus confortablement, m'emportant avec lui sans séparer nos lèvres. Dans un élan aventureux, mes mains se faufilent sous son t-shirt pour tâter son corps puissant, retraçant le chemin de ses abdominaux durs qui se contractent sous mes doigts. Son cœur pulse à toute vitesse dans sa cage thoracique. Pour mieux le toucher, j'enlève son haut avec impatience. Je dévore des yeux son corps sculpté à la perfection sans dissimuler ma convoitise. Bon sang… La boxe lui a taillé un corps de rêve à damner la plus sainte des religieuses. Son buste se soulève au rythme de sa respiration irrégulière, ses joues sont rosies à cause de notre séance sensuelle. Cette vision magnifique me fait mordre inconsciemment la lèvre. Je plonge ma tête dans sa nuque, papillonne sur sa peau avec plus d'audace et d’assurance. Je touche, lèche, mords tout ce qui m'est désormais accessible. Nathaniel commence à perdre pied car ses mains sont vissées sur mes hanches. Il me force à interrompre l'ondulation lascive de mon bassin contre le sien. "Laisse-moi te toucher..." me supplie-t-il d'une voix gémissante. Son regard est implorant, humide. Mon amant est au bord de l'explosion mais sa requête se perd dans le silence de ma chambre. Aussitôt, je retire ses mains puis les bloque de part et d'autre de sa jolie tête blonde. "Non." D'un mouvement cruellement lent, ma langue chemine plus bas, toujours plus bas. Seul le bruit de ma bouche le dégustant et sa respiration haletante résonnent dans la pièce. Son ventre se contracte un peu plus sous le feu de mes baisers. Fébrilement, je défais le bouton de son jean pour le libérer de la prison de son pantalon. Excité par mon initiative osée, Nathaniel soulève ses hanches et je lui retire tous ses vêtements d'une traite. Pas une once de pudeur ne zèbre son regard doré. Son sexe gorgé se tient fièrement dressé devant moi, offert à ma seule fantaisie. Je le détaille plus longuement, comme pour m'imprégner de son image pour la tatouer dans mon esprit. Suis-je en train de rêver ? Ce ne serait pas la première fois. Mon fantasme paraît si réel. Il est tellement beau, encore plus que dans mes souvenirs. Cette vision aphrodisiaque de Nath nu sous moi, vêtu uniquement de ses colliers, envoie de puissante décharge électrique dans le bas de mon ventre, ma féminité me réclamant presque sauvagement l'envie d'être comblée sur le champ. Mais je n'ai pas encore assouvi tous mes désirs… Lorsque que je saisis enfin son membre dur, Nathaniel se fige. Le lent va-et-vient que j’impose le long de sa verge lui arrache plusieurs vocalises érotiques. Tout son être vibre au rythme de mes doigts et son bassin commence à bouger à la même cadence pour augmenter la friction. "Oh putain…" jure-t-il entre ses dents. Ses doigts sont fermement agrippés au lit. Je dois avouer que sa maîtrise de lui-même m'impressionne en toute sincérité. Alors que je m'évertue à lui faire perdre la tête, il obéit sagement à mon ordre de ne pas bouger. Jusqu'à quand va-t-il tenir ? L'idée de pousser le vice plus loin me traverse l'esprit. Malheureusement, je n'ai pas le temps de mettre mon plan à exécution. Avant de comprendre ce qu'il m'arrive, je me retrouve plaquer sous lui. Mes poignets sont emprisonnés au-dessus de ma tête par une de ses mains tandis que l'autre cale ma jambe contre son flanc. Son corps pèse délicieusement contre le mien pendant qu'il dévore mes lèvres fougueusement, affamé. Il presse son membre durci contre mon centre vibrant encore habillé et un gémissement de plaisir m'échappe, avalé par la férocité de sa bouche. Toujours clouée contre le lit, j'essaie de m'extirper de sa prise, j'ai tellement besoin de retirer mes vêtements, de sentir ma peau nue contre la sienne. Cette barrière de tissu est si frustrante ! Néanmoins, Nathaniel ne cède pas. Sa main qui traçait des figures imaginaires sur ma cuisse remonte désormais le long de mon ventre dans le but de saisir mon haut et il s’en sert pour lier mes poignets. "Qu'est-ce que…" "À ton tour de ne plus bouger." Ses yeux en disent long : il veut se venger. Il cajole sans prévenir mon téton nu insolemment dressé avec son pouce, m'extirpant un sanglot de plaisir. Inutile de préciser qu’il apprécie l’absence de soutien-gorge.   "Alors comme ça, on ne porte rien sous son haut ?" Je tente une réponse, mais celle-ci meurt entre mes lèvres immédiatement sous le feu de sa bouche câlinant ma poitrine. Il suce langoureusement mon téton coincé entre sa lèvre et sa langue sans se presser. Il mord et je tressaille, puis il lèche comme pour demander pardon. Je ne peux rien faire, si ce n'est m'abandonner totalement à lui, me faire plus souple dans ses bras. Perdue dans un océan de volupté, je remarque à peine qu'il me déshabille habilement. "Quand on est si belle, c'est un crime de porter des vêtements. Et puis, ce n'est pas juste que je sois le seul à être nu, tu ne crois pas ?" Je sursaute en sentant son autre main glisser entre les lèvres humides de mon sexe. Sans une once de gêne, mon bassin ondule à sa rencontre, désireux d'obtenir un frottement affolant. Nathaniel répond à mon désir aussitôt et je pousse un cri aigu impudique. Il lève la tête de ma poitrine – maintenant couverte de suçons – et me regarde, fier de son travail et la main toujours occupée à me rendre folle. "Nath… Oh Nath !" Je gémis indécemment. "Nath, s'il te plait !" Je n'ai même pas honte de le supplier. "Tu es bien bavarde tout à coup." se moque-t-il gentiment. "Tu veux quelque chose ?" Il prend un malin plaisir à me taquiner. Mes mains se débattent encore pour se libérer, mais rien à faire. À chaque fois que j'essaie de m'exprimer, il varie la pression sur mon clitoris et me rend incapable de structurer la moindre parole cohérente. "Alors ?" s'amuse Nathaniel. "Je… Ah ! Je voudrais… Hmmm !" "Oui ?" s'enquiert-il en butinant ma nuque de baisers fiévreux. Je vais avoir plein de suçons ici aussi… "T-toi… Je… Aaaah. B-Besoin. En moi-Ah !" Nathaniel fait mine de réfléchir.   "Ce n'est pas ce que je veux entendre." Avec une lenteur effarante, il s'applique à masser l'entrée de mon vagin sans le pénétrer. J'ai tellement besoin de le sentir en moi. Il me fait vivre un véritable supplice alors qu'il sait très bien ce que je désire. "Je te l'ai dit plus tôt, non ?" reprend-il d'une voix suave. "Pas de réponse, pas de câlin." "Nath, s'il te plait…" Je pousse un sanglot à mi-chemin du plaisir et du tourment.  En me voyant aussi désespérée de ne pas pouvoir articuler une phrase censée, il arrête sa torture un instant et laisse la raison me revenir. J'ai du mal à reprendre mon souffle. Après quelques minutes, je parviens finalement à m'exprimer. "Prends-moi. Maintenant." "À tes ordres, princesse." J'exhale un soupir de soulagement quand mon beau blond ne se fait pas prier pour accéder à ma demande. Ses doigts s'enfoncent enfin en moi, entamant un va-et-vient lascif. Nathaniel alterne savamment un rythme lent et rapide, une pression douce et forte. Je l'entends vaguement me parler sans comprendre ce qu'il raconte, trop absorbée par le plaisir qu'il me procure. Mes paupières se ferment et mon corps se cambre pour mieux l'accueillir. Cependant, ce n'est toujours pas ce que je veux. J’ai envie de lui, de son sexe dur et chaud plongé en moi. "Nathaniel, pas tes doigts…" Je crois entendre un léger rire. "Comme tu voudras." Il ne se retire pas pour autant, non. Il continue son jeu et sa bouche trace un chemin enflammé, commençant par le lobe de mon oreille. Puis il descend et descend encore. Ses lèvres passent par ma gorge, entre mes seins, puis mon nombril… Il écarte mes cuisses sans effort puis finit par remplacer ses doigts par sa langue. Par réflexe, je sursaute mais il me tient fermement clouer au lit pendant qu'il me lape comme un assoiffé. Le plaisir devient de plus en plus pressant, de plus en plus intense. Presque insupportable. Un flot jouissif commence à monter en moi jusqu'à ce que la sensation me foudroie sur place, m'emportant loin dans un maelstrom euphorique. Oh mon dieu. Je viens juste d'hurler mon orgasme. Les gens du dortoir ont sûrement du m'entendre. À cet instant précis, ça ne me dérange pas. Je me sens tellement bien que je m'en fiche complètement. Comment s'en préoccuper quand il me regarde avec cet air amoureux ? Ses doigts prolongent un peu plus mon plaisir tandis qu'il dépose un tendre baiser sur chacune de mes joues. Il caresse mes cheveux avec douceur, le temps que je m'apaise et reprenne mon souffle. Je sens ensuite mes mains être libérées et je m'empresse de les plonger dans sa chevelure dorée. Mes lèvres tendues quémandent un baiser qu'il m'offre sans résister. Le baiser se fait tendre et sensuelle. Je caresse d'une main distraite la peau nue de sa nuque et il s'enflamme à nouveau. Je réalise subitement que son membre est toujours dur contre moi et je me sens mal pour lui. Je veux lui offrir le même plaisir qu'il m'a donné… Il s'écarte cependant de moi avant même que je puisse tenter quoi que ce soit pour le soulager et j'ai soudain très froid. Sa chaleur me manque déjà. Je me redresse en position assise, le regardant fouiller la poche de son pantalon. "Nathaniel… ?" Après quelques secondes, il en sort un préservatif puis revient vers moi. Il m'allonge doucement contre le lit et se place entre mes jambes une fois la protection enfilé. Et bien que je puisse lire l'envie dans ses yeux, il ne me pénètre pas encore. Ses prunelles sont voilées de doutes qui me serrent le cœur. "Dis-moi que tu veux que je te fasse l'amour." Quoi ? On vient de passer énormément de temps dans les préliminaires, je pensais pourtant nos intentions claires. Alors pourquoi hésite-t-il autant ? Et pourquoi a-t-il l'air d'être sur le point de pleurer ? Inquiète, je saisis délicatement son visage en coupe. "Que se passe-t-il ?" je lui demande avec douceur. Je lis l'appréhension dans son regard. Je peux voir les rouages de son cerveau cliqueter à toute vitesse, toutefois il soupire seulement, ne sachant peut-être pas comment exprimer ce qu'il ressent. Il ferme les yeux et se laisse aller contre la paume de mes mains comme pour mieux les sentir. "Je ne veux pas que tu regrettes d'être avec moi." Sa voix est tellement faible qu'elle est presque inaudible. Il a l'air si peu sûr de lui, si effrayé que ça me fend le cœur. Avec une tendresse presque maternelle, je parcours son visage de baisers adorateurs. "Nathaniel… Bien sûr que je n'ai aucun regret." "Alors s'il te plaît... dis-le. Je… j'ai besoin de l'entendre." Une bouffée d'amour m'envahit. Plus qu'une autorisation, c'est la confirmation de mes sentiments pour lui qu'il recherche depuis le début. J'ai mis du temps à comprendre qu'il ne parlait pas simplement de coucher avec moi. Il ne demande pas non plus juste du sexe. Il veut me faire l'amour. "Je te veux. Fais-moi l'amour." Pour sceller mon consentement, je place un chaste baiser sur ses lèvres. Il me sourit, ému et reconnaissant. Je le guide et finalement, il entre en moi. Petit à petit, il comble le vide bouillant de ma féminité et j'expire de bien-être. Pour mieux le sentir, je noue mes jambes autour de sa taille et il s'insère plus profondément encore. Nath s'immobilise et enfouit son visage dans le creux de mon cou. "Je t'aime." murmure-t-il tendrement. "Moi aussi, je t'aime…" Commence ensuite un ballet sensuel, il me prend avec une douceur désespérée. Le métal froid de sa chaîne caresse mes seins à chaque mouvement. Nos lèvres se cherchent, se trouvent une nouvelle fois, nos langues dansent au même rythme que nos deux corps tandis que sa main droite entrelace la mienne. Progressivement, un nouvel orgasme fait ascension en moi. Mes hanches ondulent, l'incitant à accélérer la cadence, mais son rythme reste catégoriquement lent. Je pousse un cri de plaisir à la suite d'un coup de rein puissant. Nathaniel grogne quand je plante mes ongles dans son dos. Son front se colle au mien et notre respiration saccadée se mélange. "Nath, plus vite." Je gémis, mais ma supplication reste sourde à ses oreilles. Il continue toujours langoureusement, seule la pression de son bassin change, douceur et force se succédant à la suite de l'autre. Contrairement à toute à l'heure, la jouissance monte en moi bien trop lentement… Je la sens si près et si éloigné à la fois. Comment une chose peut être aussi délicieuse et aussi douloureuse en même temps ? "Nathaniel… Je… J'ai besoin…" Ma voix sanglote, presque en pleure. "Je sais." Pourtant il refuse obstinément de modifier son rythme. Je suis au bord de l'orgasme. Encore un peu. Juste un peu et je sombre dans la folie. Devant son entêtement, je décide de prendre les choses mains et essaie de changer nos positions. Peut-être que si je le chevauche, je pourrais imposer la cadence que je désire, celle dont j'ai vraiment besoin, là maintenant. Cependant, il ne me laisse pas faire, me gardant sous lui. À court d'options, je me caresse. S'il ne m'accorde pas ma demande, je m'en occuperai moi-même.  Et là, oui… Je me rapproche un peu plus. Contre toute attente, il me laisse faire, se redresse même sur un coude afin de me faciliter l'accès. Il saisit une de mes jambes, la place sur son épaule et je me cambre délicieusement pour lui offrir un meilleur spectacle. "Tu es tellement belle…" soupire-t-il. De plus en plus impatient, le rythme de Nathaniel commence à se casser, devenant plus saccadé. Il chasse mes doigts pour les remplacer, presse, fait rouler sur son index mon bourgeon gorgé. Et doucement, atrocement doucement, toutes les terminaisons nerveuses de mon corps fondent en spasme. "Oh Nath… oui…" Mes muscles me lâchent au fur et à mesure que je navigue sur la vague du plaisir. C'est puissant et ça dure un long moment. J'ignore combien de temps. Je suis toujours dans un océan de bonheur quand je me rends compte que Nathaniel n'est plus très loin. Un pli barre son front et ses yeux sont fermés, désormais concentré sur son propre plaisir de façon irrésistible. Il est si beau. Quelques coups de reins convulsés et il s'immobilise et jouit en moi. Le râle rauque qu'il laisse échapper est tellement sexy. Je veux graver ce moment dans ma mémoire pour toujours. Il lui faut plusieurs secondes pour reprendre contenance. Je ne peux pas empêcher un gémissement s'échapper de mes lèvres quand il se retire. Il se couche à mes côtés après avoir jeté le préservatif usé dans ma corbeille, me prenant dans ses bras immédiatement. Je me laisse aller contre lui sans un mot, beaucoup trop épuisée de toute façon. Je lutte pour rester éveillée mais les doigts de Nathaniel qui dessinent des cercles dans le bas de mon dos rendent la tâche difficile. "Je ne veux pas m'endormir tout de suite…" je lui dis, baillant malgré moi. "Pourquoi ? Tu veux recommencer ?" "L'idée est séduisante, mais je suis beaucoup trop épuisée." "Petite nature." plaisante-t-il et je frappe gentiment son torse. Il rit doucement et je le rejoins. Une fois que nous nous sommes calmés, le silence nous enveloppe à nouveau. Je me blottis près de son cœur apaisant. Pour être honnête, j’ai peur d'être en plein rêve. J'appréhende qu'il disparaisse dès que j'aurais fermé les yeux pour me réveiller dans un lit vide le lendemain matin. Je ne pense pas que mon cœur survivra s’il m'abandonne, seule… Lisant dans mes pensées, Nathaniel me rassure en me caressant les cheveux. "Je ne vais nulle part, mon cœur." Ce surnom affectueux me fait sourire. C’est celui que j'aime le plus, celui qu'il utilisait quand nous étions encore au lycée. Il me vole un dernier baiser et je finis par m'endormir contre lui. -- "Tu as l'air de très bonne humeur, aujourd'hui." me fait remarquer Rosa. "Ah vraiment ?" Mon regard se pose partout sauf sur elle. Peut-on vraiment lire en moi comme un livre ouvert? Après la résolution de la panne de réseau et du problème entre Alexy et Rosalya, elle et moi sommes allés au parc. Conversation entre filles. Je sais qu'elle souffre toujours et je voulais lui faire penser à autre chose. Il semble que cela fonctionne un peu trop bien. "Oui, tu n'arrêtes pas de sourire." Affirme-t-il en riant. "Alors, tu as passé un excellente nuit ?" "H-hein ? Euh, j'ai très bien dormi…" Évidemment, elle ne me croit pas. À croire que j'ai une pancarte autour du cou affirme le contraire. Elle fait toujours son deuil et son cœur mettra du temps à guérir, mais je suis quand même heureuse qu'elle puisse au moins rire avec moi. C'est déjà ça de gagner. "À d'autres. Tu rayonnes d'une aura de sexe." Je sursaute à ces mots crus. Comment peut-on avoir une aura de sexe ?! "Alors t'as intérêt à me raconter a-b-s-o-l-u-m-e-n-t tout en détail." Je ne peux pas esquiver. Soudain, je sens mon portable vibrer dans ma poche. J'ai reçu un message. -     Tu me manques Nathaniel. Mon sourire a du s'élargir car j'entends Rosa me fait une pique. Je reçois un autre message. -     On pourrait aller chez moi ce soir. Tu manques aussi à Blanche, elle adorerait que tu la câlines Tu n'es vraiment pas subtile, chéri. C'est adorable… J'ai envie de le taquiner un peu. -     Ce ne serait pas toi qui aimerait des câlins plutôt ? -     J'espère bien recevoir autant d'attention qu'elle, voire plus ;) Je me pince les lèvres pour ne pas que mon sourire s'étire. Mes joues me font un peu mal à force. Je tape sur les touches de mon téléphone rapidement. -     Déjà en manque alors qu'on vient de se quitter ce matin ? -     Dis la fille qui s'est jetée sur moi Je suis sûre que je suis complètement rouge. Quand même, il n'est pas totalement innocent non plus. C'est lui qui a commencé à me peloter. Je réponds seulement : -     D'accord je viens, mais uniquement pour Blanche. A ce soir ♥
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reynaldvoyance · 5 years
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Les plus grands voyants de l'histoire (Le grand Chico Xavier) par ReynaldVoyance
Chico Xavier, Médium-Spirite
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Ce n'est pas anodin, ni une mauvaise frappe du clavier si j'écris Médium-Spirit en majuscule, car Chico Xavier était non seulement un grand de ce monde, mais aussi un très grand humaniste.
Chico Médium brésilien, est né le 2 Avril 1910 à Pédro Léopoldo, dans l'état du Minas Gérais au brésil. Il vit dans une famille nombreuse qui comptent neuf enfants, dont les parents sont analphabètes. Sa maman est blanchisseuse et son père vendeur de billets de loteries. La famille vit comme elle peut, en ces temps difficiles...
Dès l'âge de cinq ans, Chico perd sa mère, c'est un drame terrible pour lui, comme tout à chacun. C'est là, affirme cet être exceptionnel, qu'il entend des voix. Déjà à neuf ans, il travaille comme tisserand, tout en continuant l'école. A douze ans, devant la stupéfaction de sa maîtresse, il rédige au tableau devant tous les élèves, une rédaction écrite de la main d'un esprit, la meilleure qu'il soit. L'écriture automatique s'installe, ce qui, des années plus tard, aura une grande importance pour le monde spirite. Souffrant d'obssession, il parvint à guérir sa soeur, c'est là qu'adhère alors la famille, au spiritisme.
Le 21 Juin 1927, il étudie la doctrine spirite et fonde le centre "Luiz Gonzaga". Sans relâche, il s'investit dans son activité de Médium, et développe ses capacités en psychographie. En 1931, sa vie bascule quand son "Mentor" Emmanuel (esprit-guide de Chico), intervient dans sa vie. Guidé par cet être invisible, il écrit son premier ouvrage " Le parnasse d'outre-tombe" en 1932, recueil de 60 poèmes, tous attribués à des poètes disparus, modeste succès, quand les gens savent que ces écrits sont l'oeuvre de personnes décédés.
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Certainement pour le piéger, le journal O globo de Rio dépêche un de ses journalistes, non initié à ce genre de pratique. Assistant plusieurs semaines aux réunions du groupe Luiz Gonzaga, il s'ensuit alors une série de reportages qui popularisent le spiritisme. C'est alors, pour Chico Xavier, une grande motivation, mais aussi et surtout la preuve de l'existence et la véracité de ses dires.
Chico ne cesse alors d'écrire des poèmes, des romans, des recueils de pensées et des traités de techniques spirites qui auront un très gros succès. La plus vendue reste "Nosso Lar", diffusée à plus de 1 million d'exemplaire, la plupart des droits d'auteur sont vendus à des oeuvres de charité. Tout en aidant tous ceux et celles qui ont besoin de son aide et il y en a, des files d'attente de plus de 500 mètres devant son domicile et ce, tous les jours.
Ce Médium hors-pair vit alors que de son maigre salaire d'employé au ministère de l'agriculture, il s'installera en 1987 à Uberaba qui devient un énorme lieu de rassemblement pour les Médiums et Spirites du monde entier. Il y meurt en 2002, laissant derrière lui une oeuvre littéraire phénoménale.
Le Brésil devient la patrie d'adoption du spiritisme: il y compterait 20 millions de sympathisants dont 2,3 millions de pratiquants, ce qui en ferait la troisième religion du pays. Aujourd'hui, des dizaines de villes au Brésil ont une rue Chico Xavier, tant il a fait pour les autres, en s'oubliant soi-même, et en aidant les personnes dans le deuil. Les preuves de ses dires de son vivant sont irréfutables. (Prénoms, cause de la mort, même écriture que les défunts, etc..).
451 livres lui sont attribués dont 39 édités après sa mort. Comme tous les Médiums, Chico Xavier ne prétendait pas être l'auteur des livres mais uniquement l'instrument utilisé par les esprits pour se manifester et transmettre leurs enseignements. C'est la raison pour laquelle, le nom d'un esprit est associé à chaque livre. Je vous invite à visionner deux de ses films, Chico Xavier et Nosso Lar, vous n'en sortirez pas indemne. Chico est pour moi un très grand maître, irremplaçable, humain qui n'a cessé d'aider son prochain. Vive Chico!... Lire aussi:
Chico Xavier, l'homme et le médium, Mickaël Ponsardin, Éditions du CSI Brasilia 2010.
Vous pouvez retrouver votre voyant Reynald à l'adresse ci-contre: https://www.selection-voyance.fr/votre-voyant/278/reynald
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traitor-for-hire · 5 years
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Chapitre 2 : Un joyeux Noël
Dans l'aube grise du matin de Noël, Jo fut la première à s'éveiller. Il n'y avait pas de bas pendus au manteau de la cheminée, et pendant un instant elle se sentit aussi désappointée qu'elle l'avait été longtemps auparavant quand sa petite chaussette était tombée, trop pleine de présents. Puis elle se souvint de la promesse de sa mère et, glissant la main sous l'oreiller, en tira un petit livre à la couverture écarlate. Elle le connaissait bien, car c'était la vieille et belle histoire de la meilleure vie jamais vécue, et Jo se dit que c'était là un vrai guide pour tout pèlerin au début d'un long voyage. Elle réveilla Meg d'un « Joyeux Noël, » et l'invita à regarder sous son oreiller. Un livre à la couverture verte apparut, avec la même image à l'intérieur, et quelques mots écrits par leur mère qui rendirent ce présent très précieux à leurs yeux. Beth et Amy s'éveillèrent à leur tour et trouvèrent leur petit livre - l'un gris tourterelle, l'autre bleu, et toutes s'assirent pour les contempler et discuter tandis que le jour naissant rosissait le ciel d'orient.
En dépit de sa coquetterie, Meg avait une nature pieuse et douce, qui influençait inconsciemment ses sœurs et particulièrement Jo, qui l'aimait tendrement et lui obéissait car ses conseils étaient si gentiment offerts.
« Les filles, » dit sérieusement Meg, s'adressant aussi bien à la tête échevelée à côté d'elle qu'aux deux petites en bonnets de nuit dans la chambre à côté, « Mère veut que nous lisions et aimions ces livres, et que nous nous en inspirions, et nous devons commencer tout de suite. Nous avions pris de bonnes habitudes, mais depuis que Père est parti et que toutes ces affaires de guerre nous ont perturbées, nous avons négligé beaucoup de choses. Vous pouvez faire comme bon vous semble, mais je vais garder mon livre sur la table de chevet et en lire un peu chaque matin dès mon réveil, car je sais que cela me fera du bien et m'aidera au cours de ma journée. »
Puis elle ouvrit son nouveau livre et commença à lire. Jo passa un bras autour d'elle, et joue contre joue, se mit aussi à lire, avec cette expression tranquille si rare sur son visage animé.
« Comme Meg est bonne ! Viens, Amy, faisons comme elles. Je t'aiderai avec les mots difficiles, et elles expliqueront ce que nous ne comprenons pas, » murmura Beth, très impressionnée par les jolis livres et l'exemple de ses sœurs.
« Je suis contente que le mien soit bleu, » dit Amy. Puis les chambres se firent très silencieuses tandis que l'on tournait doucement les pages, et le soleil d'hiver se glissa par la fenêtre pour illuminer et saluer ces visages sérieux en ce matin de Noël. 
« Où est Mère ? » demanda Beth, quand Jo et elle descendirent une demi-heure plus tard pour la remercier des cadeaux.
« Dieu seul le sait. Quelque pauvre créature est venue quémander, et votre maman est partie de suite voir ce qui lui manquait. Il n'y a jamais eu de femme comme elle pour ce qui est de donner victuailles et boisson, vêtements et chauffage, » répondit Hannah, qui vivait avec la famille depuis la naissance de Meg et était davantage considérée comme une amie que comme une servante.
« Elle sera bientôt de retour, je pense, alors préparez vos gâteaux, que tout soit prêt, » dit Meg en regardant les cadeaux rassemblés dans un panier qui avait été glissé sous le sofa, prêt pour l'occasion. « Tiens, où est la bouteille d'eau de Cologne d'Amy ? » ajouta-t-elle en ne voyant pas le petit flacon.
« Elle l'a prise il y a une minute, et est partie pour y mettre un ruban, ou quelque chose comme ça, » répondit Jo, qui dansait autour de la pièce pour assouplir les nouvelles chaussures.
« Mes mouchoirs ont bon air, n'est-ce pas ? Hannah les a lavés et repassés pour moi, et je les ai marqués moi-même, » dit Beth en contemplant fièrement les lettres quelque peu irrégulières, fruits de son dur labeur.
« Oh, regarde ! Elle a écrit "Mère" au lieu de "M. March". C'est trop drôle ! s'écria Jo en en prenant un.
—  Ça ne va pas ? J'ai pensé que ce serait mieux parce que les initiales de Meg sont aussi M.M., et je veux que personne d'autre que Marmee ne se serve de ceux-là, dit Beth, l'air troublée.
—  C'est très bien, ma chérie, et une très jolie idée - et pratique aussi, car personne ne pourra se tromper maintenant. Cela lui plaira beaucoup, je le sais, » dit Meg avec un froncement de sourcils pour Jo et un sourire pour Beth. 
« Voici Mère. Cachez le panier, vite ! » s'écria Jo quand une porte claqua et que des pas résonnèrent dans le hall.
Amy entra précipitamment, et eut l'air plutôt gênée quand elle vit que ses sœurs l'attendaient toutes.
« Où étais-tu, et que caches-tu dans ton dos ? » demanda Meg, étonnée de voir, par son bonnet et son manteau, qu'Amy la paresseuse était sortie si tôt.
« Ne ris pas, Jo ! Je voulais que personne ne sache avant le dernier moment. Je suis seulement allée changer la petite bouteille pour une grande, et j'ai donné tout mon argent pour l'avoir, et j'essaie vraiment de ne plus être égoïste. »
Tout en parlant, Amy montra la bouteille élégante qui remplaçait la moins chère, et elle avait l'air si sincère et si humble dans son effort de s'oublier que Meg la prit dans ses bras sur le champ, et Jo déclara qu'elle était « une perle », tandis que Beth courut à la fenêtre et cueillit sa plus belle rose pour orner l'imposant flacon.
« Vous voyez, j'ai eu honte de mon présent, après avoir lu et avoir discuté d'être bonne ce matin, alors j'ai couru au magasin et je l'ai échangé dès que je me suis levée, et j'en suis bien contente, car mon cadeau est le plus beau maintenant. »
Un autre claquement de la porte d'entrée renvoya le panier sous le sofa et les filles à table, pressées de prendre leur petit-déjeuner.
« Joyeux Noël, Marmee ! Et bien d'autres à venir ! Merci pour nos livres. Nous en avons lu un peu, et comptons en lire chaque jour, crièrent-elles en chœur.
—  Joyeux Noël, mes petites filles ! Je suis heureuse que vous ayez déjà commencé vos livres, et j'espère que vous continuerez. Mais je veux dire un mot avant de nous asseoir. Non loin d'ici vit une pauvre femme avec un nouveau-né. Six enfants sont pelotonnés dans un seul lit pour ne pas geler, car ils n'ont pas de feu. Ils n'ont rien à manger, et l'aîné des garçons est venu me dire qu'ils souffraient de la faim et du froid. Mes filles, voudrez-vous bien leur offrir votre petit-déjeuner comme cadeau de Noël ? »
Elles avaient toutes inhabituellement faim, ayant attendu près d'une heure, et durant une minute personne ne parla. Une minute seulement, car Jo s'écria, « Je suis si contente que tu sois venue avant que nous ne commencions !
—  Puis-je venir et aider à porter les choses pour les pauvres petits enfants ? demanda Beth avec enthousiasme.
—  Je porterai la crème et les muffins, » ajouta Amy, abandonnant héroïquement ce qu'elle aimait le plus.
Meg recouvrait déjà les crêpes, et empilait le pain sur une assiette.
« Je savais que vous le feriez, » dit Mrs. March avec un sourire satisfait. « Vous allez toutes venir et m'aider, et quand nous rentrerons nous aurons du pain et du lait pour petit-déjeuner, et nous nous rattraperons au déjeuner. »
Elles furent bientôt prêtes et la procession se mit en route. Heureusement il était tôt, et elles passèrent par les petites rues ; aussi peu de gens les virent, et nul ne rit de l'étrange convoi.
Quelle pauvre chambre c'était : nue et misérable, sans feu, avec des draps en haillons, une mère malade, un bébé hurlant, et un groupe d'enfants pâles et affamés pelotonnés les uns contre les autres sous une couverture, essayant de se tenir chaud.
Comme les grands yeux s'écarquillèrent, et les lèvres bleuies sourirent quand les filles entrèrent.
« Ach, mein Gott ! Des anges venus à nous ! dit la pauvre femme en pleurant de joie.
—  Drôles d'anges, en capuchons et mitaines, » dit Jo, et tout le monde rit.
Quelques minutes plus tard, on eût vraiment dit que de bons esprits s'étaient mis à l'œuvre. Hannah, qui avait porté le bois, fit du feu, et colmata les vitres brisées avec de vieux chapeaux et sa propre cape. Mrs. March donna du thé et du gruau à la mère, et la réconforta avec des promesse de l'aider, tandis qu'elle habillait le bébé aussi tendrement que s'il eût été le sien. Pendant ce temps les filles dressèrent la table, installèrent les enfants autour du feu, et les nourrirent comme des oisillons affamés - tout en riant, parlant, et essayant de comprendre leur anglais étrange.
« Das ist gut ! Die Engel-kinder ! » criaient les pauvres petits tandis qu'ils mangeaient et réchauffaient leurs mains empourprées devant l'agréable brasier. Les filles n'avaient jamais été appelées des anges auparavant, et trouvèrent cela très agréable, particulièrement Jo, qui avait été considérée comme un vrai « Sancho » depuis sa naissance. Ce fut un petit-déjeuner très heureux, quoiqu'elle n'en eurent pas une miette. Et quand elles s'en furent, laissant une famille réconfortée, je pense qu'il n'y avait pas en ville quatre personnes plus heureuses que les petites filles au ventre creux qui avaient offert leur petit-déjeuner pour se contenter de pain et de lait le matin de Noël.
« C'est cela, aimer son prochain mieux que soi-même, et cela me plaît, » dit Meg, comme elles disposaient leurs présents pendant que leur mère était à l'étage à rassembler des vêtements pour les pauvres Hummel.
Ce n'était pas un spectacle époustouflant, mais il y avait beaucoup d'amour dans les quelques petits paquets, et dans le grand vase de roses rouges, de chrysanthèmes blancs et de lierre qui trônait au milieu de la table, lui donnant un air tout à fait élégant.
« Elle arrive ! Vas-y, Beth ! Ouvre la porte, Amy ! Trois hourras pour Marmee ! » cria Jo en sautant partout, tandis que Meg allait se placer pour conduire Mère à la place d'honneur.
Beth joua sa marche la plus gaie, Amy ouvrit la porte en grand, et Meg tint son rôle d'escorte avec une grande dignité. Mrs. March était à la fois surprise et touchée, et souriait, les larmes aux yeux, tandis qu'elle examinait ses présents et lisait les petites notes qui les accompagnaient. Elle enfila aussitôt les pantoufles, un nouveau mouchoir fut glissé dans sa poche, parfumé par l'eau de Cologne d'Amy, la rose fut ajustée à son corsage, et les jolis gants furent déclarés parfaits.
Il y eut beaucoup de rires et d'embrassades et d'explications, de cette façon simple et aimante qui rend ces célébrations domestiques si plaisantes sur le moment et si douces dans les souvenirs, et puis il fallut se mettre au travail.
Les actes de charité et les cérémonies du matin avaient pris tant de temps que le reste de la journée fut consacré aux préparations pour les festivités du soir. Étant encore trop jeunes pour aller souvent au théâtre et ne pouvant se permettre de dépenser beaucoup pour des représentations privées, les filles se creusaient la tête, et nécessité étant mère de l'invention, fabriquaient ce dont elles avaient besoin. Certaines de leurs créations étaient très ingénieuses - guitares en carton, lampes antiques faites de saucières à l'ancienne mode recouvertes de papier d'argent, magnifiques robes de vieux coton étincelantes de copeaux métalliques récupérés d'une usine de conserves, et armures couvertes des mêmes débris en losanges qui restaient après la découpe des couvercles. La grande chambre était la scène de bien des révélations innocentes.
Aucun homme n'était admis, aussi Jo jouait tous les rôles masculins que son cœur désirait et trouvait une immense satisfaction en la possession d'une paires de bottes fauves données par une amie, qui connaissait une dame qui connaissait un acteur. Ces bottes, un vieux fleuret, et un pourpoint à crevés utilisé autrefois par un artiste pour quelque peinture, étaient les plus grands trésors de Jo et apparaissaient à toutes occasions. La petite taille de la compagnie obligeait les deux actrices principales à endosser plusieurs rôles, et elles méritaient bien des louanges pour le difficile travail accompli en apprenant trois ou quatre rôles différents, en changeant de costumes à multiples reprises et en gérant les coulisses en plus du reste. C'était un excellent entraînement pour leurs mémoires, un amusement inoffensif, et qui occupait bien des heures qui autrement seraient restées oisives, solitaires, ou passées en compagnie moins bénéfique.
Le soir de Noël, une douzaine de jeunes filles s'entassèrent sur le lit qui était le balcon, et s'assirent devant les rideaux d'indienne bleue et jaune avec une impatience des plus flatteuses. Il y avait des froufrous et des chuchotements de l'autre côté du rideau, un rien de fumée de lampe, et un gloussement occasionnel de la part d'Amy qui avait tendance à se mettre dans tous ses états dans l'excitation du moment. Puis une cloche sonna, les rideaux s'ouvrirent, et la tragédie lyrique commença.
« Une forêt lugubre », selon l'unique programme, était représentée par quelques arbustes en pot, de la feutrine verte au sol, et une grotte dans le lointain. Cette grotte était constituée d'un étendoir pour le toit, de bureaux pour les murs, et à l'intérieur était un petit fourneau au dessus duquel se penchait une vieille sorcière. La scène étant plongée dans l'obscurité, la lueur du fourneau fit son petit effet, tout spécialement quand la sorcière ôta le couvercle de la bouilloire et que jaillit de la vraie vapeur. Un temps fut accordé pour permettre au premier frisson de se dissiper, puis Hugo, le vilain, entra d'un pas raide avec une épée au côté, un chapeau tombant, une barbe noire, une cape mystérieuse, et les fameuses bottes. Après avoir fait les cent pas avec beaucoup d'agitation, il se frappa le front et se mit à chanter avec furie sa haine pour Rodrigo, son amour pour Zara, et sa plaisante résolution de tuer l'un et de conquérir l'autre. Les tons rauques de la voix d'Hugo, ainsi que ses cris occasionnels quand ses sentiments prenaient le dessus, étaient très impressionnants, et l'audience applaudit dès l'instant où il reprit son souffle. Saluant avec l'air de celui habitué aux louanges du public, il se faufila jusqu'à la caverne et ordonna à Hagar de venir avec un « Holà, maraude ! J'ai besoin de toi ! » plein d'autorité.
Apparut Meg, le visage encadré de crin gris, dans une robe noire et rouge, avec un bâton et une cape couverte de dessins cabalistiques. Hugo lui demanda une potion pour gagner l'adoration de Zara, et une pour détruire Rodrigo. Hagar, dans une jolie mélodie dramatique, lui promit les deux, et appela l'esprit qui lui donnerait le philtre d'amour.
« Accours, accours, de ta demeure, 
Esprit de l'air, je te convoque ! 
Né des roses, nourri de rosée, 
Peux-tu concocter charmes et potions ?  
Porte-moi donc à tire d'aile
Le philtre parfumé dont j'ai besoin. 
Fais le doux et fort sans pareil
Esprit, réponds à mon appel ! »
De doux accords résonnèrent, et au fond de la caverne apparut une petite silhouette dans un nuage de blanc, avec des ailes scintillantes et une guirlande de roses sur ses cheveux d'or. Agitant une baguette, il chanta :
« Me voici descendu,
De mon domaine
Dans la lune lointaine.
Prends cette potion
Et fais-en bon usage
Ou son pouvoir s'évanouira ! »
Et, laissant tomber une petite bouteille dorée aux pieds de la sorcière, l'esprit disparut. Un nouveau chant de la sorcière provoqua une autre apparition - bien moins aimable, car c'est un vilain lutin noir qui se manifesta dans un bang !, croassa sa réponse, jeta une fiole sombre à Hugo et disparut avec un rire moqueur. Ayant chanté ses remerciements, Hugo glissa les flacons dans ses bottes et s'en alla. Puis Hagar informa l'audience qu'il avait tué quelques unes de ses amies autrefois et qu'elle l'avait maudit pour cela, et entendait se venger de lui en contrariant ses plans. Puis le rideau tomba, et le public se reposa en mangeant des bonbons tout en discutant les mérites de la pièce. 
De nombreux coups de marteaux résonnèrent avant que le rideau ne s'élève à nouveau, mais quand apparut le chef d'œuvre de charpenterie qui avait été mis en place, personne ne se plaignit du délai. C'était véritablement superbe. Une tour s'élevait jusqu'au plafond, avec, à mi-hauteur, une fenêtre où brûlait une lampe. Derrière le rideau blanc apparut Zara dans une belle robe bleu et argent, attendant Rodrigo. Il s'en vint porteur d'une somptueuse parure : chapeau à plume, cape rouge, longues boucles brunes, une guitare, et bien sûr, les bottes. Agenouillé devant la tour, il chanta une sérénade d'une voix suppliante. Zara lui répondit, et, après un dialogue musical, consentit à fuir. Alors vint le grand effet de la pièce. Rodrigo fit apparaître une échelle de corde à cinq échelons, en jeta l'extrémité, et invita Zara à descendre. Timidement elle se glissa hors de sa croisée, posa la main sur l'épaule de Rodrigo, et se trouvait sur le point de sauter gracieusement, mais « Hélas ! Hélas pour Zara ! » elle avait oublié sa traîne - elle se prit dans la fenêtre et la tour vacilla, s'inclina en avant, tomba avec fracas, et enfouit les amants malheureux dans ses ruines.
Un cri général s'éleva tandis que les bottes fauves s'agitaient en tous sens dans les décombres et qu'une tête blonde émergeait en s'exclamant, « Je te l'avais bien dit ! Je te l'avais bien dit ! » Avec une merveilleuse présence d'esprit, Don Pedro, le père cruel, se précipita et traîna sa fille hors de là avec un rapide aparté :
« Ne ris pas ! Fais comme si tout s'était bien passé ! » Puis, ordonnant à Rodrigo de se relever, il le bannit du royaume avec colère et mépris. Quoiqu'il fut encore bien secoué par la chute de la tour, Rodrigo défia le vieux gentilhomme et refusa de bouger. Sa détermination enflamma Zara, qui défia également son père ; et il ordonna qu'on les enferme tous les deux dans les oubliettes du château. Un serviteur petit et corpulent apparut avec des chaînes et les emmena, l'air très effrayé et ayant de toute évidence oublié le discours qu'il aurait dû tenir.
L'acte trois démarrait dans le hall du château, et Hagar fit son apparition, étant venue pour libérer les amants et en finir avec Hugo. Elle l'entend venir et se cache, le voit verser les potions dans deux coupes de vin et commander au timide serviteur, « Porte-les aux captifs dans leurs cellules, et dis-leur que je serai bientôt là. » Le domestique prend Hugo à part pour lui dire quelque chose, et Hagar échange les coupes pour deux autres, inoffensives. Ferdinando, le « sbire », les emmène, et Hagar repose la coupe contenant le poison destiné à Rodrigo. Assoiffé après un long discours, Hugo la boit, perd ses moyens, et après moultes gesticulations et piétinements, tombe raide mort, tandis que Hagar lui apprend ce qu'elle a fait dans un chant à la mélodie puissante et exquise.
C'était véritablement une scène palpitante, bien que certains aient pu penser qu'une soudaine cascade de longs cheveux gâchait quelque peu l'effet de la mort du vilain. Il fut rappelé devant le rideau, et apparut avec beaucoup de dignité, tenant Hagar par la main, dont le chant était considéré plus merveilleux encore que tout le reste de la pièce.
L'acte quatre mit en scène un Rodrigo désespéré de l'inconstance de Zara qu'on venait de lui rapporter, et sur le point de mettre fin à ses jours en se poignardant. À l'instant où la dague se pose sur son cœur, une charmante chanson résonne sous sa fenêtre et l'informe que Zara lui est fidèle mais est en danger, et qu'il peut la sauver s'il le veut. On lui jette une clé, qui ouvre la geôle, et dans un accès de ravissement il arrache ses chaînes et se précipite pour retrouver et sauver sa dame.
L'acte cinq ouvrit sur une discussion orageuse entre Zara et Don Pedro. Il souhaite l'envoyer au couvent, mais elle s'y oppose, et après une touchante plaidoirie, est sur le point de s'évanouir quand Rodrigo fait irruption et demande sa main. Don Pedro la lui refuse, au motif qu'il n'est pas riche. Ils crient et gesticulent furieusement mais ne parviennent pas à se mettre d'accord, et Rodrigo est sur le point d'enlever une Zara épuisée quand le domestique timide entre avec une lettre et un sac venant d'Hagar, qui a mystérieusement disparu. On apprend qu'elle lègue une fortune inouïe au jeune couple, et promet un destin tragique à Don Pedro s'il ne les rend pas heureux. On ouvre le sac, et une avalanche de pièces en fer-blanc inonde la scène, brillant maintenant de mille éclats. Cette vue adoucit complètement le père intraitable. Il consent sans un murmure, tous entonnent un joyeux chorus, et le rideau tombe sur les amoureux agenouillés pour recevoir la bénédiction de Don Pedro dans des attitudes romantiques pleines de grâce.
Un tonnerre d'applaudissements suivit mais s'interrompit de manière inattendue quand la couchette pliante sur laquelle se trouvait le « balcon » se referma d'un seul coup sur l'audience enthousiaste. Rodrigo et Don Pedro volèrent à la rescousse, et tout le monde s'en tira indemne, quoique plus d'une fut incapable de parler à force de rire. L'excitation était à peine retombée quand Hannah apparut, avec les « Compliments de Mrs. March », et pria ces dames de descendre pour le souper.
C'était une surprise même pour les actrices, et quand elles virent la table, elle se regardèrent l'une l'autre avec un étonnement ravi. Cela ressemblait bien à Marmee, de leur préparer un petit cadeau, mais elles n'avaient rien vu de tel depuis les jours d'abondance passée. Il y avait de la crème glacée - il y en avait même deux bols, blanche et rose - et du gâteau et des fruits et des sucreries françaises amusantes, et au milieu de la table, quatre grands bouquets de fleurs de serre.
Elle en eurent le souffle coupé, et contemplèrent la table avant de se tourner vers leur mère, qui semblait s'amuser immensément.
« Est-ce l'œuvre des fées ? demanda Amy.
—  C'est le Père Noël, dit Beth.
—  C'est Mère qui l'a fait. » Et Meg arborait son plus doux sourire, en dépit de la barbe grise et des sourcils blancs.
« Tante March a eu un accès de bonté et a envoyé le souper, » s'écria Jo prise d'une inspiration soudaine.
« Rien de tout ça. Le vieux Mr. Laurence l'a envoyé, répondit Mrs. March.
—  Le grand-père du jeune Laurence ! Qu'est-ce qui a bien pu lui mettre une telle idée en tête ? Nous ne le connaissons pas ! s'exclama Meg.
—  Hannah a tout raconté au sujet de votre petit-déjeuner à l'une de ses servantes. C'est un étrange vieux gentleman, mais l'histoire lui a plu. Il connaissait mon père il y a bien des années, et il m'a envoyé un mot poli cet après-midi, disant qu'il espérait que je lui permettrais d'exprimer ses sentiments amicaux envers mes enfants en leur envoyant quelques friandises en ce jour de fête. Je ne pouvais pas refuser, et ainsi vous avez un petit festin ce soir pour compenser votre petit déjeuner de pain et de lait.
—  Ce garçon le lui a mis en tête, j'en suis sûre ! C'est un type épatant, et j'aimerais que nous puissions faire connaissance. Il a l'air d'en avoir envie mais il est timide, et Meg est si collet monté qu'elle ne me laisse pas lui parler quand nous le croisons, » dit Jo, tandis que les assiettes circulaient autour de la table, et que la crème glacée disparaissait des bols à vue d'œil, avec des oh et des ah de satisfaction.
—  Vous parlez des gens qui habitent dans la grande maison voisine, n'est-ce pas ? demanda l'une des filles. Ma mère connaît le vieux Mr. Laurence, mais elle dit qu'il est très fier et n'aime pas se mêler à ses voisins. Il garde son petit-fils cloîtré, quand il n'est pas en train de chevaucher ou de se promener avec son tuteur, et le fait étudier très dur. Nous l'avons invité à notre fête, mais il n'est pas venu. Mère dit qu'il est très gentil, bien qu'il ne nous parle jamais, à nous les filles.
—  Notre chatte s'est sauvée une fois, et il l'a ramenée, et nous avons parlé par dessus la barrière, et nous nous entendions formidablement bien - à discuter du cricket, et ainsi de suite - quand il a vu Meg arriver et est parti. J'entends bien le connaître un jour, car il a besoin de s'amuser, j'en suis sûre, dit Jo avec détermination.
—  J'aime ses manières, et il a l'air d'un petit gentleman, aussi je n'ai aucune objection à ce que tu fasses sa connaissance si une opportunité se présente. Il a apporté les fleurs lui-même, et je lui aurais bien demandé d'entrer, si j'avais été sûre de ce qui se passait à l'étage. Il avait l'air si pensif quand il est parti, en entendant vos rires.
—  Heureusement que tu n'en as rien fait ! dit Jo en riant et  en regardant ses bottes. Mais nous jouerons un jour une autre pièce, qu'il pourra voir. Peut-être qu'il nous aidera à jouer. Ne serait-ce pas splendide ?
—  Je n'ai jamais eu un si beau bouquet ! Comme c'est joli ! dit Meg en examinant ses fleurs avec grand intérêt.
—  Ils sont charmants. Mais j'aime mieux le parfum des roses de Beth, » dit Mrs. March, en humant la fleur à demi fanée à son corsage.
Beth se blottit contre elle, et murmura doucement, « J'aimerais pouvoir toutes les envoyer à Père. J'ai bien peur qu'il ne passe pas un aussi joyeux Noël que nous. »
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histoiresworld · 6 years
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Procréation assistée par ma belle-soeur
                                                 J’étais un homme sans problème jusqu’à l’histoire que je vais vous raconter. Marié à une merveilleuse femme, Carine, nous vivions une vie de couple épanouie jusqu’au jour où après trois ans de mariage nous décidâmes d’avoir un enfant ensemble. Cette décision mûrement réfléchie ne s’accompagna malheureusement pas du résultat escompté. Après plus d’un an à essayer, nous nous sommes rendus à l’évidence qu’il y avait un problème. Nous sommes allés voir des spécialistes et après plusieurs séries de tests, on nous a annoncé que le problème venait de Carine. La conception naturelle étant presque impossible, nous sommes passés par la méthode médicalisée. Sans plus de résultats. Nous avons essayé plus de fois que je ne saurais le dire, toutes nos économies y sont passées et nous avons emprunté autour de nous, mais rien n’a fait. Après notre dernier échec, Carine est entrée en dépression. Enchaînant les heures sup pour rembourser nos dettes et espérer retenter une fois de plus notre chance, je ne pouvais pas être suffisamment là pour l’aider à surmonter cette épreuve. Heureusement, Carine n’était pas seule. Devant sa détresse, Delphine, sa sœur venait la voir quotidiennement avant de finalement s’installer chez nous pour la soutenir. Ce soutien a pris pourtant une forme que je n’aurais jamais pu imaginer. Un lundi soir, alors que je revenais du travail, Carine m’a dit qu’elle voulait me parler sérieusement. J’étais inquiet et surpris lorsque nous sommes allés dans le salon où nous attendait Delphine. — Voilà, Delphine et moi nous avons discuté, beaucoup discuté, et nous avons trouvé une solution pour que nous ayons un enfant. — Laquelle ? — Delphine doit le porter à ma place. Je les regarde avec de grands yeux. — Les mères porteuses sont interdites en France et tu imagines ce que cela va nous coûter d’aller à l’étranger pour le faire ? — C’est pour ça que nous allons devoir utiliser une méthode naturelle ? — Naturelle ? Je les regarde toutes les deux sans comprendre où elles veulent en venir quand soudain l’évidence me saute aux yeux. — Non ! Tu ne veux tout de même pas que je couche avec ta sœur et que je la mette enceinte ? — Si. — Mais vous n’êtes pas bien toutes les deux ! — C’est la seule solution. — Je refuse. Je les abandonne toutes les deux, Carine, en larme après mon refus, qui est réconforté par sa sœur. Nous n’échangeons pas un mot jusqu’au lendemain soir où ma femme revient à la charge, m’expliquant qu’au moins ainsi l’enfant lui ressemblera un peu. Je lui dis une fois de plus non et le lendemain c’est Delphine qui tente de me convaincre, insistant sur le fait que l’idée venait d’elle. Pendant une semaine encore, elles se relaient pour tenter de me convaincre. Petit à petit, elle sème le doute en moi. À bout de nerfs, je décide le vendredi en fin d’après-midi de passer voir mon meilleur ami à la sortie du travail. Lorsqu’il me voit, il comprend que quelque chose ne va pas. Il m’offre à boire et après quelques verres et avoir échangé quelques banalités, je lui révèle ce qui me tourmente ainsi. — Non, tu déconnes ! — Pas pour un truc pareil. — Et tu as dit quoi ? — Non, bien sûr, mais ça ne les a pas arrêtées pour autant et maintenant je doute. — Et tu voudrais savoir ce que je ferais à ta place ? — Oui. — Eh bas, à ta place, la belle-sœur, elle serait déjà en train de rebondir sur moi, ma queue enfoncée dans sa chatte déjà fourrée d’une première dose de sperme, et je ne la laisserais pas filer avant d’avoir drainé l’intégralité de mes couilles dans son con. — Ami de la poésie… — Va pas te plaindre, bien des mecs tueraient pour avoir une femme qui leur offre leur sœur à tirer. Allez, fonce. Surtout que la Delphine, c’est pas une mocheté. — Si c’était histoire de tirer un coup, je n’aurais pas besoin de ton avis. — C’est certes spécial ce qu’elles te demandent, mais elles se sont mises d’accord. Ça reste en famille, alors, profite. Pendant le trajet de retour, je continue de réfléchir. Dois-je vraiment suivre son conseil et céder ? Je dois reconnaître que parler avec lui de ma belle-sœur a réveillé de vieux souvenirs des débuts de notre relation avec Carine. Le souvenir de ces nuits où j’avais pu fantasmer de sa sœur, m’imaginer la baiser elle ou bien de les prendre toutes les deux. Toutes les deux sont deux grandes et belles brunes. Si Carine n’a pas à se plaindre au niveau de ses formes, Delphine la surclasse de très loin. Sa poitrine est lourde et opulente et elle a les fesses qui vont avec. Plus je roule, plus je pense à Delphine et plus j’ai du mal à retenir un début d’érection. Néanmoins, une fois arrivé chez moi, alors que je sais qu’elles vont une fois de plus venir me voir pour me convaincre, je reste dans ma voiture pour réfléchir une dernière fois. Lorsque je rentre, je me sens nauséeux et regrette déjà ma décision. Quand Carine me voit, je me sens mal et je décide d’aller au plus vite et d’éviter toute discussion ou explication. — Où est ta sœur ? — Elle vient de rentrer dans la salle de bains pour se doucher. — Bon, reste là. Alors qu’elle comprend soudain que je me suis rangé à leur idée folle et qu’elle se lève pour me remercier, je tends une main vers elle pour lui dire de ne pas bouger. Je vais dans la salle de bains. Delphine est sous la douche et chantonne. Je me déshabille une boule au ventre et j’ouvre la cabine de couche. Delphine sursaute en me voyant. Je ne peux m’empêcher de détailler son corps ruisselant d’eau. Je fixe sa large poitrine, ses imposants tétons. Je me sens rougir au moment de baisser les yeux pour admirer sa chatte taillée en triangle. Devant ma réaction, Delphine me lance un regard mutin et sans dire un mot, voyant que je suis toujours mal à l’aise, elle prend ma main et m’invite à rentrer. Nous voilà serrés dans ce minuscule espace. Elle me place sous le jet avant de prendre une bonne dose de savon et commencer à me laver. Je suis forcé de reconnaître que sentir ses doigts glisser sur mon corps est plutôt agréable. Elle fait ça très délicatement pour bien me détendre. Je ressens un frisson au moment où elle commence à s’occuper de mon pénis. Elle le frotte sur toute la longueur, le fait glisser entre ses doigts. Elle se met à me masturber doucement, son souffle dans mon cou. Il ne faut pas longtemps de ce traitement pour que ma verge se redresse. Elle me fait alors me retourner, et tout en continuant de s’occuper de moi, elle se saisit de ma main droite et porte mes doigts à ses lèvres, les aspire un à un dans sa bouche, avant de les présenter devant sa chatte. — Occupe-toi de moi. De nouveau mal à l’aise, je me contente au début de lui caresser maladroitement la vulve ce qui la fait sourire. — Enfonce tes doigts en moi. Je n’ose pas franchir ce cap. Elle se saisit alors de ma main et guide elle-même mes doigts en elle. Je me retrouve avec deux doigts enfoncés en entier dans sa chatte chaude et déjà bien humide. Contrairement à moi, Delphine semble souffrir de bien moins de scrupules et d’état d’âme. Elle est tellement à son aise qu’elle se masturbe elle-même avec ma main qu’elle ne lâche pas. C’est elle qui dirige la profondeur et le rythme. Ce qu’elle se fait semble lui faire du bien, car elle s’appuie un peu plus contre moi et j’entends sa respiration s’accélérer. Elle finit par se crisper légèrement. Elle s’est donné un petit orgasme. — Passons aux choses sérieuses. Elle m’embrasse dans le cou et commence sa descente en posant des baisers sur mon torse jusqu’à atteindre mon gland gonflé qu’elle embrasse. Mon corps tressaute quand ses lèvres sont remplacées par sa langue. Elle la fait tourner autour de mon gland avant de la faire glisser à plusieurs reprises sur toute la longueur de ma hampe. Malgré la sensation délicieuse qu’elle me procure, ma morale refait surface. — Attends, Delphine. Il faut arrêter, il doit bien y avoir une autre solution, on ne peut paaaaas… Ma voix m’échappe au moment où ma belle-sœur fait glisser ma bite au fond de sa bouche. Je perds tous mes moyens à mesure qu’elle m’avale. — Oh Putain ! Je sens mon gland qui arrive au fond de la gorge de Delphine et qui continue encore sa progression jusqu’à ce que je sente enfin ses lèvres sur mon pubis. Elle garde cette position plusieurs secondes avant de me recracher complètement. — Tu disais ? — On ne peut… Une fois de plus, je suis incapable de finir ma phrase. Elle m’a repris en bouche et me gratifie d’une nouvelle gorge profonde. Elle répète ce petit manège encore trois fois, me rendant muet à chaque fois. Puis, voyant que je continue à avoir des scrupules, elle renonce à me recracher et me suce comme une folle. Après plusieurs minutes de ce délicieux traitement et malgré tous mes efforts pour résister, je sens mon jus monter. — Putain, je vais jouir. Sur ces mots, Delphine arrête de me pomper. Elle se redresse, se saisit de ma bite qu’elle dirige vers sa chatte avant de s’embrocher sur moi. Je n’ai pas le temps de réagir ni de retenir mon éjaculation, et je me répands dans sa chatte à gros flots de sperme. — Voilà, tu as joui en moi. Maintenant, à toi de me dire si on va continuer comme ça ou si tu vas enfin prendre les choses en moi et me donner du plaisir. Parce que j’aime bien tailler des pipes, mais j’aime aussi me faire baiser. Ce qui vient de se passer et ces quelques mots ont raison de mes dernières réserves. Je pose mes mains sur ses épaules pour la faire s’agenouiller. Elle semble déçue de ma décision, mais résignée, elle me reprend en bouche. — Vas-y, suce-moi, fais-moi rebander bien dur, que je puisse te baiser ! Satisfaite de ma décision, elle me lance un regard empli d’excitation avant de plonger sa tête entre mes jambes et de me pomper avec avidité. Elle est vraiment très douée pour sucer et il ne faut pas longtemps avant de me retrouver avec une belle érection. Estimant ma queue assez dure, je la fais se relever et la plaque brusquement contre la cabine de douche. — Écoute-moi bien. On va mettre les choses une dernière fois au clair. J’aime Carine et avec elle je fais l’amour. Toi, je te baiserais. Je te ferais toutes les saloperies qui me passeront par la tête jusqu’à ce que tu sois grosse. Tu es toujours partante ? — Qu’est-ce que tu attends pour te servir de moi pour te vider les couilles ? Elle me lance un regard d’une indécence folle auquel je réponds en présentant ma bite à l’entrée de sa chatte avant de m’enfoncer d’un coup sec jusqu’à la garde. Je la tire par les cheveux pour la faire basculer en arrière. Elle pousse un petit cri et je profite de sa bouche ouverte pour fourrer ma langue à l’intérieur et lui rouler un patin bien baveux. Ses couinements sont ainsi étouffés tandis que je me mets à la limer de façon furieuse. Ma belle-sœur est particulièrement réceptive à ce que je lui fais parce qu’il ne lui faut pas longtemps avant de partir dans un premier orgasme. Sa jouissance passée, je la fais s’agenouiller avant de présenter ma bite devant ses lèvres entrouvertes où je force le passage. Cette fois-ci, ce n’est pas elle qui me suce, mais moi qui lui baisse la bouche ou plutôt la gorge. Je la prends d’un rythme furieux, toute la cabine de douche vibre sous mes coups de reins. Lorsque j’abandonne enfin ses lèvres, son visage est écarlate, mais elle a toujours ce même regard lubrique. Je la force à se relever, enroule une des jambes autour de moi avant de l’embrocher pour la tringler comme le dernier des salauds, mes deux mains cramponnées sur ses seins. — Ils te plaisent, mon salaud ! Depuis qu’on se connaît, tu n’arrêtes pas de les reluquer, tu as toujours fantasmé dessus. — Et maintenant, ils sont à moi et j’en fais ce que je veux. Tout en continuant à la baiser d’un rythme soutenu, je la fixe du regard au moment où je me saisis de ses tétons dressés que je pince fort avant de les tordre. Delphine hurle de douleur en soutenant mon regard. Je me penche sur elle et plonge ma langue dans sa bouche pour la faire taire. J’abandonne sa bouche pour descendre sur sa poitrine et je les tète à tour de rôle. J’empoigne fermement son sein droit que je soulève et tire vers le haut. — Suce-le ! Je la regarde faire tourner sa langue sur son auréole avant de refermer ses lèvres dessus. Elle l’aspire goulûment en observant la réaction. Pour toute réponse, je m’empare de son sein gauche que je porte à ma bouche. — Vas-y, baise-moi, remplis ma chatte de sperme, engrosse-moi. Je veux que tu sois fou en voyant du lait sortir de ma poitrine que tu adores. — Salope ! Je vais la remplir ta chatte de chienne ! Je ne sais pas ce qui me prend de lui dire de telles choses. Je devrais la remercier pour ce qu’elle fait, pour l’enfant qu’elle est prête à nous donner à Carine et moi, mais pour parvenir à coucher avec elle, j’ai complètement détruit son image de belle-sœur aimante pour la transformer en dernière des salopes. Tout ce qui me vient ce sont des insultes alors que je lui saisis les poignets que je tiens au-dessus de la tête comme pour la soumettre pendant que je pilonne sa chatte comme un sauvage. Je finis par jouir en elle dans un râle pendant que Delphine pousse un long et sonore gémissement. Nous restons emboîtés pendant de longues secondes à reprendre notre souffle. Quand nous nous séparons enfin, Delphine ouvre la cabine de douche et s’empare d’une serviette pour se sécher. Elle m’en tend une, mais je lui saisis la main et la ramène brusquement vers moi. Je la dévisage d’un regard a****l puis je glisse une main dans ses cheveux mouillés et je la tire vers le bas pour la faire s’agenouiller devant mon sexe à moitié bandé. — Encore ? s’étonne Delphine. — Tu ne quitteras pas cette pièce avant d’avoir définitivement essoré mes couilles, dis-je d’une voix autoritaire. De ma main libre, je glisse ma queue dans sa bouche où je fais de nombreux allers et retours pour me faire bander une fois de plus. Quand celle-ci est de nouveau dure comme du béton, je m’enfonce entièrement au fond de sa gorge et je tiens cette position de longues secondes. Je ne bouge plus jusqu’à ce que Delphine me fasse comprendre qu’elle étouffe en me frappant les cuisses. Je la libère enfin et alors qu’elle reprend difficilement son souffle, je la fais se basculer pour qu’elle soit à quatre pattes. Je présente ma bite dressée à l’entrée de son cul. — Oh là, qu’est-ce que tu fais ? Si on baise ensemble, c’est pour que je tombe enceinte et que vous ayez un enfant. — Ne t’inquiète pas, je ferais comme toi tout à l’heure quand tu m’as sucé. Au moment de jouir, je me planterais dans ta chatte. D’une main sur la tête, je plaque son délicat visage au sol et de l’autre je guide ma bite à l’entrée de son cul. J’appuie de toutes mes forces et dans un cri aigu, je finis par forcer son œillet et entrer mon gland. Après lui avoir laissé un moment pour s’habituer, je continue ma progression à l’intérieur de son cul. J’entre la moitié de ma queue avant de la retirer pour ne laisser en elle plus que la pointe de mon gland. Je fais ainsi plusieurs allers et retours jusqu’à ce que je sente son cul se détendre. Je sors finalement entièrement d’elle puis des deux mains j’écarte ses fesses et ouvre son anus dans lequel je crache à dix reprises. Je me représente à l’entrée de son cul et dans un grognement de bûcheron je m’enfonce à l’intérieur jusqu’à la garde. — Ah ! Putain ! Je ne lui laisse pas le temps de se remettre et je ressors entièrement de son cul pour le limer de la même façon une vingtaine de fois. — Ton cul est délicieux, je crois que je vais souvent le solliciter. Merci de m’avoir montré comment faire. D’une claque sur les fesses qui lui fait pousser un nouveau cri, je me mets à défoncer son cul. Je la prends sans ménagement, alternant pistonnage intensif et grands coups de bite en sortant entièrement de son cul pour la remettre jusqu’à la garde. Après plusieurs minutes de ce traitement, Delphine est soudain emportée par un orgasme terrible. Tout son corps se met à trembler et elle s’effondre au sol. Je l’accompagne dans sa chute pour ne surtout pas quitter son cul où je m’enfonce bien au fond d’un grand coup de reins qui lui fait pousser un nouveau râle. — Eh bas putain, t’aimes ça te faire ouvrir le cul ! — J’ai déjà eu des orgasmes pendant une sodo, mais jamais d’aussi intenses. — Et je compte bien t’en donner encore, je suis loin de jouir. Je me dégage d’elle et admire un instant son cul ouvert qui se referme au rythme de ses spasmes. Je me penche sur son trou béant où j’enfonce ma langue. Je la lèche consciencieusement sous ses râles de plaisir. De deux doigts, je le maintiens grand ouvert et crache une fois de plus dedans avant de me planter au plus profond d’un violent coup de bite. Je me relance dans un limage intensif qui la fait une fois de plus hurler. Je suis vraiment devenu un gros pervers, car plus elle crie, plus je suis excité et plus je la défonce fort. Je savoure avec délice les contractions de son cul quand un nouvel orgasme l’emporte. Sa jouissance passée, je la fais se relever, ma bite toujours plantée en elle. Je la plaque devant le lavabo et son large miroir. — Regarde comme tu es belle quand tu jouis du cul. Tu as vraiment un visage de salope. — Salope ? C’est comme ça que tu parles de ta belle-sœur qui t’offre son corps pour que vous ayez un bébé ? — Ma belle-sœur qui a ma queue plantée dans son cul et qui aime ça. Je donne trois coups de queue particulièrement puissants qui font se balancer sa poitrine. — Dis-moi que le visage que je vois dans ce miroir n’est pas celui d’une salope qui aime ce que je lui fais. Delphine fixe son reflet dans le miroir, mais ne me répond pas. Pour la faire réagir, je sors entièrement de son cul pour mieux replonger dedans et m’enfoncer jusqu’à la garde. Je lui donne ainsi plusieurs impressionnants coups de reins. — Dis… le… Elle tente de résister en me fixant dans le miroir, mais sa résistance à ses limites et son corps se met soudain à trembler. Elle vient d’avoir un petit orgasme. — Ah ! Je suis une belle salope qui aime se faire ouvrir le cul par son beau-frère. Heureux de sa soumission, je la tire en arrière pour l’embrasser avec fougue. Alors que nos langues s’emmêlent, je reprends ma sodomie. Je vais toujours plus vite et plus fort, enivré par le reflet que nous renvoie le miroir. J’ai l’impression de regarder un porno bien hard où ma belle-sœur et moi sommes les acteurs principaux. Après de longues minutes à user et abuser de son cul, je sens que je vais bientôt jouir. — Putain, ce que j’aimerais farcir ton cul avec mon sperme, c’est vraiment dommage ! Je sors de son cul pour me planter soudainement dans sa chatte. — Je vais devoir me contenter de remplir pour la troisième fois ta chatte. Une dizaine de coups de reins plus tard, je me fige au fond de son vagin où je décharge de nouveau une belle quantité de foutre provoquant une nouvelle jouissance chez ma belle-sœur. Je glisse une main sur son cou pour la forcer à regarder dans le miroir, pour voir à quoi nous ressemblons quand nous avons un orgasme. Je me dégage finalement de Delphine et vais me laisser tomber le long de la porte de la salle de bains tandis qu’elle se laisse glisser au pied du lavabo. Nous restons sans rien dire, à reprendre notre souffle en savourant le plaisir du moment que nous venons de passer. — Tu ne m’as vraiment pas ménagé. Ce sera toujours aussi intense ? — Toujours. Quand nous sommes ensemble, tu n’es plus Delphine, tu n’es plus ma belle-sœur. Tu es juste une belle salope que je tringle selon mes pulsions. — Et là, je suis de nouveau Delphine pour toi ? — Ça dépend si mes couilles sont complètement vides. En guise d’invitation, j’écarte mes cuisses et offre ma bite qui pend au sol. Ma belle-sœur répond à mon appel en rampant jusqu’à moi. D’une main, elle soulève ma queue et de l’autre elle se saisit de mes couilles qu’elles portent à sa bouche. Tout en me masturbant doucement, elle les avale à tour de rôle avant de parvenir dans une violente succion à les gober toutes les deux en même temps. Un tel traitement ne tarde pas à produire son effet et alors que je m’en croyais incapable je me remets à bander. Fière de l’effet qu’elle produit chez moi, elle me lance un regard d’une lubricité folle avant de quitter mes couilles pour reprendre ma bite en bouche. Elle m’avale en entier, me faisant le plaisir de revisiter le fond de sa gorge avant de me recracher. — Cette fois-ci, le fond de tes couilles est pour moi seulement. Delphine se met à me pomper avec une frénésie folle, je pousse des râles en continu tellement j’aime ce qu’elle me fait. Régulièrement, elle m’avale en entier et garde de longues secondes cette position en levant sur moi des yeux d’une lubricité folle. Elle me fait ma plus belle fellation de toute ma vie pendant de longues minutes avant de me quitter et de s’asseoir. Sa respiration est rapide après ce qu’elle vient de me faire. — Aucun mec n’a jamais tenu aussi longtemps face à pareil traitement sans se répandre dans ma bouche. Tes couilles doivent vraiment être vides, c’est dommage. Cette façon qu’elle a de présenter ses regrets de ne pas pouvoir boire mon sperme et le regard vicieux qu’elle me lance ont le don de me rendre fou. — Attends, tu vas voir, tu vas y goûter à mon jus de couille. Je la saisis par les cheveux, l’amène au sol et l’allonge sur le dos. Je passe une main sous son cou pour le relever avant de présenter ma bite à l’entrée de sa bouche. — Ouvre ta bouche, que je puisse baiser ta gorge comme je baiserais ta chatte ! Delphine a un instant d’hésitation avant de finalement m’obéir. Je ne lui laisse pas le temps de changer d’avis et je la pénètre brusquement sur toute la longueur. Elle est parcourue d’un spasme sous la v******e de mon intrusion et tente de me recracher, mais je maintiens ma prise. Les deux mains derrière la tête, je la prends comme le dernier des porcs ne sortant d’elle que de trop brefs instants pour la laisser reprendre difficilement souffle. Les deux mains écrasées dans ses seins je me lance dans un ultime va-et-vient démentiel en l’insultant. — Tu voulais mon foutre, sale chienne ? Tu voulais y goûter ? Il va falloir attendre une autre fois parce que je vais tout envoyer directement dans ton estomac. Dans un râle monstrueux, je me fige aussi profondément que possible dans sa gorge avant d’expulser trois jets de spermes. La quantité est ridicule, mais le plaisir que chacun des jets me donne est énorme. Je reste encore un instant planté dans ma belle-sœur avant de sortir d’elle et de me relever. Elle reste immobile sur le carrelage, son visage est écarlate. Elle regarde dans le vague ma bite qui pend. — Maintenant, mes couilles sont vides, tu peux partir. Elle est pourtant incapable du moindre mouvement et je l’abandonne là au milieu de la salle de bains pour rejoindre ma femme. Cette pensée a tôt fait de refroidir mon excitation. Ce n’est plus une quelconque salope que j’ai abandonnée derrière moi, mais ma belle-sœur et je fais demi-tour. Je la retrouve allongée dans la position où je l’avais laissée. Je la prends dans mes bras, l’enveloppe dans un peignoir et je la porte jusqu’à sa chambre. Je la dépose sur son lit. Je lui caresse doucement le visage en attente d’une réaction. Les quelques mots qu’elle parvient à me dire ont le don de réveiller mon côté pervers. — J’espère qu’il me faudra longtemps avant de tomber enceinte.                                           
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vero67110-blog · 5 years
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Les chats, mes guides pour la voyance
Les chats m’ont toujours attiré depuis toute petite. Ce sont des êtres mystérieux qui m’appuient lors de mes consultations de voyance. Il sont doux et farouche mais ils me permettent de faire de meilleures prédictions.  Je propose des consultations par téléphone depuis le canton du Valais en Suisse. Je suis Voyante et Médium, et je vous aide à communiquer avec une personne disparue, à guérir votre animal de compagnie, ou encore à vous libérer d’énergies néfastes grâce à mon magnétisme.
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Je vous embrasse.
Véronique
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