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#hôtel de la gare
philoursmars · 2 years
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Retour à mon projet de présenter la plupart de mes 53880 photos (nouveau compte approximatif !)
2013. Marseille à Noël. MP 2013 (Marseille capitale européenne de la culture) se termine doucement…
- les 2 premières : la Corniche avec un visage anonyme exposé par l’artiste JR à Endoume.
- les 2 suivantes : l’Ombrière et l’Hôtel de Ville
- les 2 d’après : le Quai des Belges, l’église des Augustins et la Grande Roue
- Notre-Dame de la Garde vue des escaliers de la Gare Saint-Charles.
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catholicgurlypastor · 21 days
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Michel, un homme marié de 50 ans, entretient une relation secrète et passionnée avec Jean-Emmanuel, un homme africain de 56 ans, également marié. Depuis leur rencontre, ils sont pris dans un tourbillon de désirs inassouvis et de sentiments refoulés. Bien que Michel ait eu des relations amoureuses avec des garçons durant son adolescence, il a réprimé son orientation sexuelle pendant des années, cachant ce désir derrière une vie de couple hétérosexuelle. Jean-Emmanuel, amoureux de Michel, commence par l'appeler « mon chéri », mais Michel, troublé par ses propres sentiments et désirs, lui demande de l'appeler « ma chérie » ou « Vanina », un surnom qui lui permet d'embrasser une partie de lui-même qu'il a longtemps cachée. Au fil du temps, Michel accepte cette double identité féminine que lui propose Jean-Emmanuel, trouvant en elle un moyen de s'évader de sa propre réalité. La relation devient de plus en plus intense, avec des échanges de messages et d'appels érotiques, même lorsqu’ils sont chacun chez eux, près de leurs épouses.
Ils décident de se rencontrer enfin, à l'occasion des vacances, alors qu’ils seront tous les deux libres de leurs engagements familiaux. Ils se retrouvent dans le café d'une gare de banlieue, et la magie opère instantanément entre eux. Leurs mains se frôlent et se caressent sous la table, leurs regards sont remplis de tendresse et d'amour. Leur complicité est évidente, et ils se sentent naturellement attirés l’un vers l’autre. Ils quittent le café et déambulent main dans la main dans les rues de Paris, défiant les regards et les sous-entendus. Passant devant plusieurs petits hôtels, Vanina propose de prendre une chambre. Le réceptionniste les observe avec curiosité et une pointe de jugement, mais ils ne se laissent pas intimider. Ils montent dans la chambre et se laissent aller à la passion qui les consume depuis des mois. Ils se déshabillent sous la douche, s’enlacent, et Vanina honore la virilité de Jean-Emmanuel avec sa bouche, une étape décisive pour Michel, qui embrasse enfin pleinement son identité féminine. Après ces moments d’intimité intense, Jean-Emmanuel lui offre une parure de lingerie féminine, un geste d’attention qui touche profondément Vanina. Elle s’habille avec la délicatesse de la dentelle et ressent une confiance nouvelle, une affirmation de soi qu’elle n’a jamais ressentie auparavant. Ensemble, ils passent la journée au lit, dans cette chambre d’hôtel, se découvrant encore et encore, s’abandonnant à leur amour et à leurs désirs, sans inhibition ni honte. Michel, devenu Vanina, se sent enfin complète, acceptée, et pleinement heureuse. Jean-Emmanuel lui permet de s’épanouir dans cette nouvelle identité, de s’accepter telle qu’elle est, et Vanina découvre une liberté intérieure, une paix avec elle-même qu’elle n’avait jamais connue. Leur lien se renforce, et ils trouvent ensemble une sérénité nouvelle, une évidence de leur amour, et une promesse de vie et de désir 💖
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Michel, a 50-year-old married man, has a secret and passionate relationship with Jean-Emmanuel, a 56-year-old African man, also married. Since their meeting, they have been caught in a whirlwind of unfulfilled desires and repressed feelings. Although Michel had romantic relationships with boys during his adolescence, he repressed his sexual orientation for years, hiding this desire behind a heterosexual relationship. Jean-Emmanuel, in love with Michel, begins by calling him "my darling", but Michel, troubled by his own feelings and desires, asks him to call him "my darling" or "Vanina", a nickname which allows him to embrace a part of himself that he has hidden for a long time. Over time, Michel accepts this dual feminine identity that Jean-Emmanuel offers him, finding in it a way to escape from his own reality. The relationship becomes more and more intense, with exchanges of messages and erotic calls, even when they are each at home, near their wives.
They decide to finally meet, during the holidays, when they will both be free from their family commitments. They meet in the café of a suburban train station, and magic instantly happens between them. Their hands brush and caress each other under the table, their looks are filled with tenderness and love. Their complicity is obvious, and they feel naturally attracted to each other. They leave the café and stroll hand in hand through the streets of Paris, defying glances and innuendoes. Passing several small hotels, Vanina offers to take a room. The receptionist observes them with curiosity and a touch of judgment, but they do not let themselves be intimidated. They go up to the bedroom and indulge in the passion that has consumed them for months. They undress in the shower, embrace, and Vanina honors Jean-Emmanuel's virility with her mouth, a decisive step for Michel, who finally fully embraces his feminine identity. After these moments of intense intimacy, Jean-Emmanuel offers her a set of feminine lingerie, a gesture of attention that deeply touches Vanina. She dresses with the delicacy of lace and feels a new confidence, a self-affirmation that she has never felt before. Together, they spend the day in bed, in this hotel room, discovering themselves again and again, abandoning themselves to their love and their desires, without inhibition or shame. Michel, who has become Vanina, finally feels complete, accepted, and fully happy. Jean-Emmanuel allows her to flourish in this new identity, to accept herself as she is, and Vanina discovers an inner freedom, a peace with herself that she had never known. Their bond strengthens, and together they find a new serenity, evidence of their love, and a promise of life and desire 💖
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journaldenimportequi · 2 months
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Dimanche 14 juillet 2024
Cat Power under the thunder : soirée de loser
Je n'étais plus aussi chaud qu'avant concernant ce concert de Cat Power. Je ne sais pas, enfin, peut être que la flemme jouait un rôle là dedans. L'idée de prendre le bus et d'aller me fourrer dans un hôtel à deux heures de chez moi ne m'enchantait guère trop. Mais, hé, après tout c'était gratuit, j'aurais été bête d'y renoncer et en plus mon frère n'aurait pas apprécié que je n'y aille pas, si je lui avait fait faux bond pour ce concert et l'article qui devait suivre, il aurait mit un moment à me le pardonner.
Le trajet ne me paru pas bien long, occupé que j'étais à écouter Bruce Springsteen et à lire ce bouquin tout juste entamé, passionnant, « Bukowski, une vie », par Neeli Cherkovski. Dans lequel j'ai appris des nombreuses choses comme par exemple le fait que Bukowski n'était nullement homophobe, une prouesse, pour un mec de son temps, ça ne me le fait que l'aimer encore plus... j'aime aussi beaucoup sa haine du conformisme. Je me retrouve en lui, qui n'a jamais su garder un travail et qui ne vivait que pour l'écriture...longue vie à son œuvre !
Une fois arrivé à Perrache, voilà que, exactement comme la dernière fois et malgré le fait que j'y sois allé trois ou quatre fois, j'ai manqué de ne pas trouve mon chemin pour accéder à ce foutu hôtel Victoria qui est pourtant situé à environ 3 minutes de marche de la gare. Je suis finalement arriver à bon port, transpirant déjà bien trop.
J'ai réglé le prix d'une nuit et j'ai filé au 4ème étage retrouver ma modeste chambre.
Il faisait très chaud, j'ai dû prendre une douche dans une minuscule salle de bain, ça n'a pas rendu la tâche particulièrement facile. Et puis je me suis posé sur mon lit, j'avais des heures à tuer avant d'aller au concert alors j'ai repris ma lecture sur la vie de mon écrivain alcoolique préféré, tournant les pages avec une passion non feinte. Le temps passe vite quand on a de quoi lire !
Le moment venu, je suis parti prendre un Uber (je me déplace toujours en Uber, vous le savez si vous me lisez régulièrement, je hais les transports en commun) et je fut vite amené à bon port.
Je me suis dirigé vers l'entré des invités, loin de l'entrée de la plèbe où les gens faisaient la queue, queue qui me semblait interminable, j'étais fatigué rien qu'en voyant sa longueur.
Et puis je me suis dirigé vers ce comptoir où les gens invités annonçaient leur nom pour récupérer un précieux ticket.
Devant moi, une dame assez âgée qui semblait ne plus avoir toute sa tête, ne cessait de parler de Bob Dylan. « Bob Dylan, Bon Dylan c'est pas Bob Dylan, quoi ? Mais c'est marqué Bob Dylan ?!  C'est qui Cat Power ?» (il était indiqué sur le ticket « Cat Power chante Bob Dylan »). Elle semblait très déçue.
Pendant ce temps j'ai annoncé mon nom, « Yann Pinguet pour Slowshow », et on m'a donné le ticket. J'ai pensé « ouf, je suis vraiment sur la liste, j'ai toujours du mal à y croire décidément! ».
Après ça j'ai foncé vers les stands de nourriture et j'étais le tout premier client. J'avais très faim mais ils n'avaient que de la nourriture exotique à me proposer, alors que moi je ne demandais qu'à engloutir un hot-dog de base, voir un burger., ce genre là... Faute de quoi j'ai décidé de me contenter d'une gaufre au chocolat que j'ai arrosée avec un Pepsi, à défaut de Coca Cola.
Après ça j'ai filé rejoindre ma place. La place en question était pas mal, j'étais pas loin et en face de la scène.
Les ennuis ont commencés à ce moment là. Il faisait gris et l'application météo de mon téléphone annonçait un orage imminent. Par chance, je portais un grand imperméable parce que ma mère me l'avait conseillé à plusieurs reprises jusqu'à que je finisse par lui faire confiance. Il a commencé à pleuvoir et j'ai mis ma capuche, en pensant « quelle bonne idée, cet imper ! ».
Il s'est mis à pleuvoir avec une intensité de plus en plus forte et au moment du début de la première partie du concert je commençais à m'inquiéter parce que mon imper ne couvrait que le haut de mon corps et mes genoux s'en trouvés progressivement trempés.
Sur scène, l'artiste nommé Blumi assurait un show que je commençais à trouver intéressant, lorsque la dernière chanson fut jouée. A ce moment là, je me suis mis debout, totalement hébété, j'avais tout le pantalon trempé et mes chaussures étaient dans le même état. J'ai songé à me casser de là tout de suite, je n'avais qu'une envie, c'était d'être au sec quelque part. Mais je suis resté et le concert a finit par commencer.
A ce moment la le ciel s'était assombrit. Deux musiciens sont arrivés sur la scène, suivis de celle qu'on attendait tous, Chan Marshall, alias Cat Power.
Premier constat : la dame a pris de l'âge, c'est évident,et la personne qui s'installait devant le micro était loin de l'image que je me faisais de Cat Power, à savoir une jolie brune aux cheveux longs coiffés d'une fameuse franche.
A la place se tenait une femme aux contours épais et aux cheveux courts.
Mais après tout, ces considérations esthétiques ne sont pas très importantes, l'important c'est la voix et quand elle a entonné la première chanson, j'ai constaté qu'elle l'avait conservée et en bon état, malgré la clope qu'elle avait cru bon de s'allumer en plein milieu de la chanson.
J'ai ainsi pu écouter cette première chanson, de Dylan, donc. C'était « She Belongs To Me ».
Merveilleux, j'en oubliais presque le fait que j'avais le cul mouillé et les pieds qui pataugeaient dans l'eau. La nuit était tombé et des premières éclairs se faisaient entendre.
Débuta ensuite la seconde chanson, « Fourth Time Around ».
Et là, la chanteuse a interrompu le concert une première fois, pour nous dire qu'elle était effrayé par l'orage, que ce n'était peut être pas prudent de continuer.
Elle a fini par déguerpir une première fois et les gens ont commencés à râler, à siffler... un responsable est arrivé sur la scène, bien embêté, pour nous dire qu'il ne savait pas trop comment allait se dérouler la suite, ce fut la confusion, et puis Cat Power est revenue, et puis elle a repris la chanson exactement là où elle l'avait arrêté, mais l'orage était toujours présent et après quelques éclairs elle a définitivement foutue le camp.
A ce stade là les gens étaient mécontents et ils ont commencés peu à peu à partir, toujours sous la pluie.
Je n'ai pas perdu de temps et je me suis cassé au plus vite, je n'avais qu'une idée en tête, me mettre à l'abri au plus vite, et pour ça il fallait rejoindre mon hôtel.
Tâche ardue, il faisait nuit et pleuvait de plus belle.
Je ne savais même pas quel chemin prendre, alors j'ai suivi des gens et j'ai rejoins une vieille rue étroite qui descendait très bas, et j'ai marché ainsi pendant un bon kilomètre. J'avais ces vieilles rues en souvenir, de l'époque où j'y étais passé avec Marz, mon ex amoureuse mexicaine... c'était beaucoup moins romantique désormais, la rue n'en finissait plus et j'ai fini par retrouver une route et donc, la civilisation, je pouvais enfin appeler un Uber. C'est ce que j'ai fait et je suis parti m'abriter sous un porche en attentant le véhicule.
Finalement j'ai pu enfin rentré à l'hôtel, avec le bas de mon corps totalement trempé.
Résultat des courses, je me suis retrouvé en caleçon sur le lit de ma modeste chambre d'hôtel, sans avoir la possibilité de porter des affaires de rechange et je me suis dit que, vraiment, il était désormais peu probable que je m'aventure un jour à aller revoir un concert de Cat Power !!!
Bande son : Born To Run, Bruce Springsteen
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poetesse-verte · 5 months
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Errances
J'aimerais siroter un café sur une terrasse parisienne, dessiner des cœurs cabossés à volonté. J'ai envie de revisiter la tour Eiffel, de griffer mes genoux sur le sol et d'en rire, de me moquer de ma légendaire maladresse ! Je veux que mon verre de vin soit mon verre de fin, voir les lumières se refléter sur la Seine, râler sur le prix de l'addition puis partir sans payer. Avoir les joues douloureuses, lever les bras si haut que je pourrais presque toucher le soleil, ou la lune, ou un nuage noir rempli d'orage. Être à l'arrière d'une Vespa et fuir les vagues qui s'écrasent le long des rochers. Fumer, puis regretter, accumuler des objets inutiles, les vendre, devenir riche. Prendre le train avec une impatience palpitante. Partager un dessert, déguster des macarons géants du 4e arrondissement, chasser mes vieux démons, courir autour d'un feu de joie, laisser mon cœur sur le quai de la gare, revenir le chercher. Danser. Stop. Encore danser ! Voir le monde flou, retirer un caillou de ma botte. Attendre au feu rouge avec mille pensées qui fourmillent. Soupirer, confectionner une robe avec le rideau d'un hôtel. Débattre de la couleur de mes yeux ; sont-ils verts, sont-ils bleus, vert-bleu, bleu-vert... Toujours croire que je peux toucher le soleil, ou la lune, ou ce nuage... Mettre mon réveil, l'entendre sonner, et ne pas me lever à l'heure... Oh et puis tant pis ! Vivre.
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vieillesboutiques · 7 months
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Aubergiste, boulanger, hôtel de la gare, route de Pont de Vaux, Manziat, Ain.
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nixariel · 2 years
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More trivia! (this time with Extra Maps™)
For interest's sake I was trying to figure out where in Poitiers Cleo’s hôtel particulier might be, plus identify the train stations featured during Carmen's trip to Paris—and I think I’ve figured (most of) it out.
First of all, Carmen is supposed to be fifty yards from the townhouse in this shot.
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That puts the building somewhere on the east side of the River Clain, slightly north of the Cathédrale Saint-Pierre de Poitiers, but not too far from what looks like the Pont Joubert (the little bridge in the lower right corner). The Caserne d’Aboville (barracks for the 9e Brigade d'Infanterie de Marine) would be a reasonable stand-in for location, and even looks a little similar in terms of architectural style.
The station Carmen flies in to also bears a more-than-passing resemblance to the real Gare de Poitiers
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but the pattern of terrain she passes over doesn’t quite fit with what appears to be a southerly approach.
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However! This particular background gets rotated and recycled about ten seconds after initial use (left being its first appearance, rotated for comparison; right is unaltered but from ten seconds later), and if we go by the second version,
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the curve of the river is a close-enough fit for having taken a path like so
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with the little arrow being her upcoming destination, the Gare de Poitiers. Unfortunately I could not match the station Carmen’s train briefly stops at to a real location en route to Paris
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so if anyone recognizes it, please let me know! Which leads me to the other ‘???’ moment I had while working on this because
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...yeah. Yeah, I’ve got NO idea what’s going on with Player’s map here. He's got France oriented in the usual 'up is north' way, but that just makes it weirder? Because by that compass, Carmen is moving south—even though Paris is east and NORTH of Poitiers.
Though this show does get a little fuzzy with its geography at times*cough*Interpol's HQ is in LYON*coughcough*and Devineaux’s conspiracy map has the Canary Islands on the WRONG side of Africa*cough*
Anyway, after Player regains Carmen’s signal, her GPS marker is heading in approximately the right direction
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answering exactly zero questions about where it was going earlier, but all’s well that still ends (somehow) in Paris, I guess? The Gare du Nord then looks to be the best match for where Carmen makes her exit
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even if all direct trains from Poitiers to Paris seem to go to Gare Montparnasse instead.
Update: this seems to have turned into a bit of a series, so check the reblogs to get an episode-by-episode for the rest of S1! A full-show overview is here. Also, the street Chase and Julia are driving down at the very beginning of the episode looks to be none other than the Rue de la Cathédrale, as the structure behind them is consistent with the Cathédrale Saint-Pierre’s south tower. From a cartographic standpoint, it does place them on the wrong side of the Clain as well as moving in the opposite direction of Cleo’s residence, but that’s where the artistic licence comes in, I guess. ;)
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« Au Tremblant », un nom étrange pour cet hôtel qui cache certainement une histoire passionnante (mais laquelle ?). Ce bâtiment, situé sur la commune de La Chaise-Dieu (Haute-Loire), a vu le jour en 1902, juste après l'ouverture de la gare locale. Sa position sur le plateau du Livradois l'exposait aux éléments déchaînés et c'est ainsi qu'il a été baptisé le « Tremblant ». Pendant un siècle, il a accueilli des voyageurs d'affaires, des vacanciers en quête de repos, des soldats permissionnaires et a été témoin de nombreux repas de famille ou banquets d'associations. Malgré ses deux étoiles, il a dû fermer ses portes au début des années 2000, faute de pouvoir se conformer aux normes plus strictes et à la concurrence des nouveaux modes d'hébergement et de consommation. Les vacanciers sont sur l’autoroute, les commerciaux vont dans les hôtels des zones industrielles, le train a disparu depuis fort longtemps… Le Tremblant est désormais un souvenir, mais il restera certainement dans la mémoire de ceux qui ont eu la chance de séjourner dans ses murs.
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alain-keler · 8 months
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Samedi 28 janvier 2012.
La salle d’attente de la gare de Spisska nova Ves est un peu triste. Vendredi soir il y a quelques personnes qui sont venus y chercher un refuge contre le froid. A minuit elles devront aller voir ailleurs. C’est sans doute la même chose dans toutes les gares de Slovaquie, de République tchèque et de tous les autres pays.
Les couchettes du train qui nous emmène vers Prague sont assez simples, vieillottes et me font penser à nos vieux trains de nuit. Le train s’arrête souvent, grince, fait toutes sortes de bruits. Épuisé, je trouve enfin le sommeil. C’est à ce moment, au petit matin, que le contrôleur nous annonce l’arrivée prochaine en gare de Prague.
De chaque côté de la voie ferrée, des cheminées se dressent telles des vestiges d’un temps révolu. A la fin des années 80, un peu avant les bouleversements qui secouèrent le monde communiste, j’étais venu faire un reportage sur l’église souterraine en Tchécoslovaquie. Dans un hôtel où nous étions descendus, des peintures au réalisme socialiste étaient accrochées sur les murs. On y voyait des usines avec des cheminées qui crachaient de la fumée noire, ce qui fit dire à mon chauffeur "plus il y a de fumée, plus c’est socialiste". Les cheminées sont toujours là, mais au moins ce matin la fumée a disparu. Et le socialisme aussi !
Deux cafés pour me réveiller, puis un autre convoi nous emmène vers une petite ville du sud où ce soir est organisé un bal avec une tombola dont le prix est un sanglier. L’endroit où la soirée aura lieu est une espèce de bar un peu bizarre tenu par l’ami de Lenka.
La fatigue est toujours présente chez moi et l’inspiration se fait rare. Je vais faire une sieste. Si jamais je dois courir après la bête !
Vous pouvez retrouver ces histoires dans le livre "Un voyage en hiver" publié aux éditions de juillet en 2021.
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cestdanslatete · 1 year
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Je suis partie, ce week-end, au mariage de ma meilleure amie. C'était le premier mariage auquel j'assistais (qui plus est, en tant que témoin (j'ai d'ailleurs appris l'expression "témoin majeur" (et, sinon, on peut être plusieurs fois témoin, dans sa vie ?))) et j'ai beaucoup aimé l'expérience. J'y ai ressenti beaucoup d'amour ; dans le choix des mots pour les discours, dans celui des musiques dédicacées. Gros coup de foudre, enfin, pour la "salade olivier" 🔥 (la version iranienne) et pour les chambres du haras dans lequel nous logions (à jamais dans mon cœur : les tableaux représentant des chats que je n'ai pas pensé à prendre en photo).
Hier, lorsque j'ai dû préparer à nouveau mon sac pour partir en séjour avec mes collègues, j'ai senti l'anxiété m'envahir. J'ai repensé à tous les mails à traiter, les manip' à faire sur nos plateformes, les articles à rédiger, la peur de ne pas être à ma place… J'ai respiré un bon coup, et puis j'ai pris la ligne 6, parce qu'il fallait bien décoller, et je suis arrivée devant le TGV 3 minutes avant son départ (🤙 easy 🤙).
On a bu un café dans un bar avec un mur couvert de vieilles valises, on a pris un TER dont l'une des gares d'arrêt est Saint-Sébastien Pas Enchantés (salut, c seb, pas enchanté), on a pris place à bord de 2 CV pour parcourir les routes et résoudre des énigmes, on s'est acheminés vers notre hôtel magnifique (et là, clairement, je suis reconnaissante de pouvoir profiter de trucs aussi cool) pour déposer nos affaires, on est ressortis pour une BALADE EN BÂTEAU (le meilleur truc (bonne bouffe, bons vins, une lumière incroyable, de chouettes paysages, une enceinte pour se faire des blind tests)), après une mini poignée d'heures de sommeil, on a savouré un bon petit-déj' (toujours l'impression d'être une reine dans ces moments-là) (+ un des signes que le buffet était bon = pain aux céréales au moelleux et à la température parfaite), on a marché vers plein d'endroits (Machines qui étaient fermées pour cause de mouvement social (ON EST LÀ 💪), tour LU, château, cathédrale), on a encore bien mangé (tartare à l'italienne) mais en deux-deux pour ne pas rater le train du retour.
Pour moi, c'est important de noter ces petits détails ; autrement j'oublie.
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abridurif · 10 months
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Je laisse les gens de goût orner leur demeure avec la reproduction de chefs-d’œuvre qu’ils admirent et décharger leur mémoire du soin de leur conserver une image précieuse en la confiant à un cadre de bois sculpté. Je laisse les gens de goût faire de leur chambre l’image même de leur goût et la remplir seulement de choses qu’il puisse approuver. Pour moi, je ne me sens vivre et penser que dans une chambre où tout est à la création et le langage de vies profondément différentes de la mienne, d’un goût opposé au mien, où je ne retrouve rien de ma pensée consciente, où mon imagination s’exalte en se sentant plongée au sein du non-moi ; je ne me sens heureux qu’en mettant le pied – avenue de la Gare, sur le Port, ou place de l’Église – dans un de ces hôtels de province aux longs corridors froids où le vent du dehors lutte avec succès contre les efforts du calorifère, où la carte de géographie détaillée de l’arrondissement est encore le seul ornement des murs… Marcel Proust, « Sur la lecture », préface à J. Ruskin, Sésame et lys, 1906
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Jour 44 - Entre Bacalar et Tulum
Première sonnerie du réveil, on se lève rapidement pour rendre nos vélos histoire de ne pas payer une journée supplémentaire alors que nous partons 😅
On s'est endormi un peu tard hier, alors on se recouche une heure !
Préparation des sacs, arrêt dans une petite supérette et en route pour Tulum qui est à environ 3h de route de Bacalar 🛣️
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Je n'ai pas vu grand chose de la route, j'ai surtout dormi 😂 Antoine a regardé un film il me semble ! Nous n'avons pas pu regarder le match car il n'y avait pas de connexion sur la route 😟 on a juste vu les 5 dernières minutes à la gare routière.
En arrivant, nous partons à la recherche d'un hôtel. Deux options s'offrent à nous :
➡️ un hôtel en centre ville mais loin de la plage
➡️ un hôtel en bord de plage et donc à 5km du centre-ville
Tulum est connu pour sa superbe plage mais les hôtels y sont chers. Nous choisissons donc la première option, quitte à louer un vélo ou un scooter pour se déplacer entre nos différentes visites.
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Nous trouvons un petit hôtel avec une piscine en rooftop, dont nous profitons en fin d'après-midi 🏊🏻‍♀️
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pigeonneaux · 1 year
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Pour 1 719e par mois je pourrais roleplayer as orelsan (être gardienne de nuit dans un hôtel) (dans une des villes les plus dangereuses de france) (dans le quartier de la gare)
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sophietdbquebec · 2 years
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14 février - Québec City 
Ce matin, avec Alix et Romain, nous avons laissé Blandine et Adrien qui travaillent cette semaine. Après avoir récupéré notre voiture de location dans un garage, nous avons pris la route vers le nord, direction Québec. Nous sommes arrivés en début d’après-midi à Lévis, la ville située de l’autre côté de la rive du St-Laurent, afin de prendre le traversier, un ferry brise-glace qui fait la navette entre les deux villes. Depuis le bateau, nous avions une superbe vue du château Frontenac, un hôtel construit au XIXe siècle qui surplombe la ville.
Nous sommes donc arrivés dans la Basse-Ville de Québec par bateau, et nous avons commencé à arpenter les jolies rues de la vieille ville, couvertes de slush. Nous nous sommes arrêtés dans un petit café pour manger et nous avons longé les murs de l’unique citadelle américaine pour monter dans la Haute-Ville. Nous sommes arrivés sur la terrasse du Château, d’où l’on a une belle vue sur le fleuve qui commence à s’élargir.  En hiver, une piste de glissade est installée sur la terrasse. Il faut acheter un ticket, récupérer une luge et monter les marches pour arriver à la zone de lancement. Nous nous sommes donc installés à 3 sur la luge, et nous avons dévalé très rapidement la pente, la pancarte indiquait que l’on peut aller jusqu’à 70km/h. 
Après un dernier tour dans la ville, nous avons rejoins la gare fluviale pour retourner à Lévis et récupérer la voiture. En attendant le traversier, nous nous sommes posés pour regarder les blocs de glace avancer sur le St-Laurent, qui nous donnent l'impression que c'est nous qui bougeons. Le soleil venait juste de se coucher quand nous traversions, ce qui nous a offert de magnifiques couleurs sur le fleuve. Après avoir fait des courses, nous sommes arrivés dans notre Airbnb en début de soirée. 
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journaldenimportequi · 10 months
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Jeudi 16 novembre 2023
Escapade parisienne
Les jours passent et je trouve toujours une bonne raison de remettre au lendemain le moment d'écrire ces lignes mais ce soir je suis motivé alors me voilà.
Je suis plutôt influencé par mes lectures du moments, à savoir les mémoires de Paul Bowles et le journal de Paul Léautaud.
Voilà des gens qui savaient écrire !
Quand je lis les écrits de Paul Bowles, je ne peux que regretter amèrement de ne pas mener une vie d'aventurier, explorateur du monde, toujours parti quelque par autour du globe, avec une prédilection pour les endroits exotiques.
Ah c'est sûr qu'il en avait des choses à raconter !
Ne devrais je pas faire pareil ?
Me forcer à bouger pour avoir des choses à raconter ?
Mais je ne suis pas un aventurier, moi je suis trop attaché à mon confort pour courir dans le désert et dans la jungle.
Cependant, il est certain que si j'avais les moyens financiers, je voyagerais régulièrement.
J'ai gardé notamment cette envie persistante de revoir New York City.
Je n'abandonne pas l'idée.
En attendant, je vais à Paris puisque Paris est à 3 heures et demi de train de chez moi.
Ainsi, j'y suis retourné l'autre jour.
Le week-end d'avant, j'ai retrouvé mes amis Justine, Canel et Arthur et nous sommes allé manger au restaurant japonais, puis nous avons filés, Canel en moins, direction la bourse aux disques de Clermont-Ferrand pendant quelques heures et nous sommes ressortis enrichis de quelques galettes plus ou moins intéressantes (j'ai acheté des cds que je possédais déjà en vinyles).
Et puis donc, le lundi suivant, je suis parti à Paris.
Le prétexte de ce séjour court (juste un peu plus de 24 heures) fut la visite d'une exposition au musée d'Orsay consacrée à Van Gogh.
C'est une bonne raison de monter à la capitale, vous en conviendrez.
Je suis donc arrivé à la gare de Bercy après un voyage en train toujours agréable (j'aime les voyages en train) et je suis allé acheter des tickets de métro puis je me suis rendu à mon hôtel habituel, dans le 18ème.
La gérante m'a reconnue, il faut croire que j'ai une gueule qu'on oublie pas (à mon grand désarroi, je rêve de ressemble à monsieur tout le monde).
Il faut dire que ça doit faire la troisième ou la quatrième fois que je séjourne dans cet établissement.
J'ai déposé mes affaire et j'ai filé au boulevard Saint Michel pour me rendre dans le magasin Gibert consacré à la musique et j'ai passé du temps à éplucher les bacs de cds en cherchant la bonne affaire.
J'ai été très raisonnable puisque je suis ressorti avec deux cds d'occasion (un Bob Dylan, « Blonde On Blonde », et un Kanye West, « Late Registration »).
Encore une fois, je possédais déjà ces albums en vinyle.
Après ça j'ai remonté le boulevard et j'ai marché sans but précis.
Je suis passé devant La Closerie Des Lilas, j'ai pensé à Hemingway mais je ne suis pas rentré, trop impressionné par l'histoire de ce lieu, « je ne suis pas digne », j'ai pensé.
Et puis le coca devait coûter une blinde, en plus !
J'ai continué à marcher et le temps s'est gâté, il a finit par pleuvoir et j'ai dû me réfugier dans une brasserie où, unique client, j'ai profité des happy hours pour déguster une pinte de blonde à 5€.
A ce moment là, j'étais plutôt content de moi.
Seul, mais content, je n'aurais pas voulu être autre part.
J'ai fini par rentrer à l'hôtel, en Uber, parce qu'il pleuvait trop et je n'avais pas le courage de me taper tout le chemin inverse jusqu'au métro.
Le trajet m'a coûté près de 27 balles et il a duré presque une bonne heure.
Pendant tout le trajet, le chauffeur n'a pas dit un mot et c'était très bien comme ça.
J'ai observé Paris sous la pluie et c'était presque romantique, il ne manquait plus qu'une compagne à mes côtés.
Je suis rentré, j'ai avalé un sandwich triangle sans saveur en me félicitant de ne pas avoir dépensé de l'argent pour un repas et puis je suis parti, toujours en Uber, il faisait nuit, rejoindre Mathieu, Nina et leurs amis dans un bar à Belleville.
Cette fois ci, le chauffeur n'était pas muet, bien au contraire, il passait son temps à invectiver les autres automobilistes qui avaient le toupet de partager sa route.
Encore une fois je me suis plu à observer Paris et ce soir il y avait une ambiance apocalyptique, des gens criaient, il y avait une tension causée par l'actualité (conflit israélo-palestinien, une manifestation pro palestinienne avait eu lieu quelques heures avant).
J'ai fini par arriver devant le bar non sans un certain trac : j'ai toujours un peu peur de rencontrer des gens nouveaux, je connaissais déjà Mathieu et Nina mais il n'empêche que c'est dur de sortir de ma zone de confort.
Finalement, tout s'est bien passé.
Je n'ai absolument rien bu pendant toute la soirée, et mon côté pingre s'en est félicité.
La soirée était une soirée blind test et c'était très amusant.
Tout s'est terminé à une heure raisonnable et je suis rentré en Uber.
Je me suis endormi facilement, en essayant de ne pas trop songer aux punaises de lits dont les médias n'avaient de cesse de nous parler depuis un bon mois.
Je me suis levé tôt, puisque j'avais commandé un petit déjeuner servi dans ma chambre à 7 heures et demi.
Entre temps, j'ai contacté mon cousin Jimmy qui habite dans le coin pour lui proposer qu'on se voit pour manger à midi avant mon départ.
Il m'a dit que j'étais dingue de dépenser 110€ pour une nuit à l'hôtel, que la prochaine fois je ferais mieux de le prévenir pour qu'il m'héberge.
Nous avons convenus de nous voir à midi.
J'ai rassemblé mes affaires et j'ai quitté mon hôtel pour aller au musée d'Orsay où avait lieu l'exposition.
Et puis, je suis rentré, et j'en ai pris plein les yeux.
Il faut dire que ça fait plusieurs mois que je suis plongé dans une biographie consacrée à Van Gogh et qu'il m'accompagne donc au quotidien, j'ai l'impression qu'il est un de mes proches, presque un ami.
Ce fut vraiment très émouvant de pouvoir observer sa peinture en vrai et de près.
Car sa peinture, il faut la voir en vrai, en 3d, je vous jure, c'est autre chose que de regarder de simples photographies.
Quelle émotion c'était de voir sa palette et ses tubes de peintures, d'observer ses coups de pinceau, ses épaisses couches de peintures recouvrant ses toiles !
Il faut préciser que l'exposition était consacrée à ses deux derniers mois de vie.
J'ai été étonné par le format de ses peintures que je n'imaginais pas si imposant.
J'ai aussi remarqué qu'il ne signait là presque jamais ses toiles.
Et puis encore une fois, beaucoup d'émotion en observant « champ de blé aux corbeaux » qui est une toile qui m'a beaucoup marquée et très tôt puisqu'elle était dans mon bouquin d'école en primaire, au CE2.
Je suis ressorti de là avec une furieuse envie de peintre en me demandant si il était possible d'en être autrement.
Et puis j'ai quitté le musée, pour quelque temps, puisqu'il est évident que j'y reviendrais un jour prochain.
J'ai pris le métro et je me suis rendu au lieu de rendez vous pour attendre mon cousin qui était là pile à l'heure.
Ca me fait toujours quelque chose de le voir, mon cousin, car il est très lié à mon enfance et je suis toujours très nostalgique.
Je suis le seul cousin à le fréquenter encore, aussi.
Je suis très heureux d'avoir conservé un lien avec lui.
Nous avons mangés et j'ai réussi à lui payer le repas (les fois précédentes il avait toujours réussi à me payer la note).
Nous sommes allés nous promener, sommes entrés dans une Fnac et nous avons parlé musique (Cypress Hill), série télé (Miami Vice) et jeux vidéos (Dragon Ball Kakarot).
Et puis nous nous sommes quittés et j'ai filé à la gare de Bercy prendre mon train après une petite journée qui s'est déroulée très vite, finalement, mais je n'étais pas mécontent de cette escapade, il est toujours bon de changer d'air et malgré tout, Paris sera toujours magique à mes yeux.
Voici une poignée de réflexions posées en vrac ces dernières semaines dans le bloc note de mon téléphone :
Plus je me cultive, plus j'ai honte de savoir aussi peu de choses.
Je suis un esthète laid, quelle ironie, tout de même !
J'ai de préjugés à propos des belges et des homosexuels qui ont toujours ma sympathie immédiate, ce qui est plutôt stupide, je m'en rend bien compte.
Je termine ce récit en saluant celles qui me lisent toujours : fidèles lectrices (il semblerait qu'aucun homme ne me lis désormais), c'est un honneur d'être lu par vous : coucou Glady, coucou Kalina !
Bande son : Teenager Of The Year, Frank Black
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herpoetryqueen · 2 years
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Hôtels : Assimilation Et Réservation Services Pas Chersjust A Séjour
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Un endroit idéal qui vous permettra à la fois une pause délicate et ressourçante dans vos journées de travail comme un point de départ propice pour découvrir les merveilles inattendues dont regorge Limoges et les secrets méconnus du Limousin. Les chambres de cet hôtel de charme vous accueilleront dans une atmosphère chaleureuse. Les pierres apparentes, la tomette et les poutres en chêne confèrent au lieu un cachet unique...
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vieillesboutiques · 2 years
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