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#jeu d'horreur
rinkopatateneko · 2 years
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ENFIN, le jour de Bendy And the Dark Revival est arrivé ! Avant la sortie du jeu, je vous propose de plonger dans l'univers de Bendy, à travers mon analyse et mes interprétations de ses sombre secrets.
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atelier-naginata · 2 years
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Amnesia Rebirth : horreur cryptique et invincibilité maternelle
Pour le deuxième jeu d'Halloween 2022, j'ai décidé de jeter mon dévolu sur Amnesia Rebirth, présent dans le Gamepass PC. J'en avais déjà vu aussi un bout de let's play chez Atomium, et il avait l'air de bien apprécier son expérience. Je pensais donc mettre la main sur une valeur sûre, dernier épisode d'une série relativement aimée par les fans de jeux d'horreur. Je n'avais jamais touché à un Amnesia jusque là, et pensais vivre une séance de walking simulator classique, à grosse ambiance et gros jumpscares. Dernière précision avant de rentrer dans le vif du sujet : détestant particulièrement les courses poursuites et les parties de cache-cache, j'ai arpenté le jeu dans son mode "walking simulator" (proposé avant de lancer une partie), c'est à dire sans monstre (ou presque) et sans besoin de gérer la santé mentale (ou presque).
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Dans Amnesia Rebirth, nous incarnons Tasi, dessinatrice technique française, partie pour une expédition archéologique en 1937 en Algérie, en compagnie de son mari entre autres. Tout commence par le réveil de Tasi, seule, au milieu du désert et de la carcasse de leur avion fraichement écrasé. A partir de là, il va falloir tenter de comprendre où sont les autres et comment sortir de cet enfer. On tente de reconstituer le puzzle à coup de flashback et d'écrits trouvés sur la route, et rapidement... le récit se met à coincer.
Avant de défoncer le jeu continuer mon analyse, je me dois de revenir sur une notion très importante en particulier pour les oeuvres fantastiques : la suspension de l'incrédulité. Un petit lien wikipedia sur le sujet ne fera pas de mal, mais pour faire court, c'est notre capacité à accepter les choses incroyables ou les incohérences dans les récits pour leur donner de la crédibilité. Et s'il y a bien un genre où il est nécessaire de volontairement fermer les yeux sur tout un tas de détails stupides, c'est le JRPG ; en ce sens, j'estime que je suis souvent bonne spectatrice du fait de ma tendance à ne pas trop remettre en question ce que je vois, et à accepter les incohérences irréalistes qu'on rencontre dans tous types de fictions.
Et malgré ça, je n'ai jamais réussi à rentrer dans Amnesia Rebirth, à cause d'un point en particulier. Après avoir fini le jeu, comme à mon habitude, je me suis plongée sur Youtube à la recherche d'une bonne grosse analyse bien musclée, histoire de confronter mon opinion à celles d'autres joueurs. Je vous recommande d'ailleurs chaudement la plus longue et la plus détaillée que j'ai pu trouver :
EDIT : J'allais vous partager cette vidéo, et on m'a fait remarquer, à juste titre, qu'au milieu de plein de remarques tout à fait valables, l'auteur faisait preuve d'une misogynie assez dégueulasse. Entre autre, il permet de répondre à la question que je me posais en jouant, à savoir "comment un homme peut réagir au fait d'incarner un perso féminin enceinte ?". Réponse : mal. Je ne rentre pas dans le détail, mais pour en revenir à la vidéo, j'ai bien réfléchi au fait de la linker ou non, et j'en suis arrivée à la conclusion que je ne voulais pas promouvoir ce type de contenu. Vous aurez donc uniquement ma réflexion brute.
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Attention, c'est là qu'on va commencer à spoiler. Assez rapidement dans le jeu, on découvre que Tasi est enceinte, de 3 mois. Il lui arrive moultes aventures, composées principalement de chutes, parfois vraiment hautes, et de plein de choses beaucoup trop lourdes qui lui tombent dessus. Sauf que notre personnage n'est jamais blessé, jamais en danger. Que ce soit l'écroulement d'un tank, des chutes de plusieurs mètres, des gros blocs qui nous tombent sur le ventre, Tasi s'en sort toujours sans la moindre égratignures. Et en plus de ce détail, sa grossesse avance régulièrement de 3 mois, comme par magie, lors des changements de lieux.
A cause de ces faits tout à fait étranges et irréalistes, j'ai très rapidement mis en doute ce que nous montrait le jeu. L'action d'Amnesia Rebirth se passe à moitié dans le monde réel, dans le désert, et à moitié dans une dimension parallèle où aurait vécu une civilisation très avancée technologiquement, dont seule la reine serait actuellement vivante, tirant son énergie d'humains enfermés dans des tombeaux et donc techniquement transformés en pile. Sauf que ce monde parallèle n'est jamais crédible. On pourrait fermer les yeux sur les bidons d'huile pour la lanterne et les allumettes qui sont disséminés dans ce monde : on reste dans un jeu où il faut gérer des ressources et bon, soit, on retrouve les mêmes allumettes dans le désert et dans le monde parallèle mais tant pis.
Là où ça me dérange plus, c'est quand on se retrouve face à une civilisation hyper avancée, qui arrive à créer des portails de téléportation et à extraire de l'énergie pure des corps humains, mais qui s'éclaire à la bougie et utilise un système de pyramides complètement stupides pour gérer la distribution d'énergie. Ce n'est pas un monde crédible, mais un monde de jeux vidéo fait pour enchaîner les énigmes. Je ne parle même pas des tablettes en langage inconnu qui se traduisent automatiquement pour que Tasi puisse les lire...
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Je soulève donc ces deux points pour dire qu'à aucun moment, le jeu n'était crédible pour moi. Outre que l'intrigue était décousue et difficile à suivre (pour ne pas dire incompréhensible), je n'ai jamais réussi à prendre au sérieux l'héroïne invincible à la grossesse express, et le monde parallèle de jeu vidéo. Du coup, je me suis très vite convaincue qu'on était dans un jeu type Little Hope ou Martha is dead : nous voyons le récit par les yeux du héros, qui nous ment, volontairement ou non. Et de ce fait, j'étais enchantée par mon expérience car j'adore ce type de procédé. Non seulement il force à rester vigilant à chaque détail, mais en plus, il invite à réfléchir à toutes les possibilités les plus farfelues pour tenter de comprendre ce qui se passe réellement. Mais j'aurais dû me méfier : si dès le début on commence à douter de la véracité de l'expérience racontée par le protagoniste, cela signifique soit qu'on se trompe, soit que c'est très mal écrit...
Aux deux tiers du jeu, Tasi se retrouve à nouveau dans le désert, avec l'accouchement qui démarre. Elle finit par donner naissance à sa fille (mais en 5 minutes parce qu'on est dans un jeu vidéo), le docteur lui vole son enfant et hop, la revoilà instantanément debout, à poursuivre à grandes enjambées le bougre. Encore une fois je me suis retrouvée à me gratter la tête en me demandant quand la chute arriverait... Est-ce que Tasi était en pleine hallucination ? Peut-être enfermée dans une de ces piles qui forcent les émotions en rapport avec la famille pour fournir de l'énergie ? N'importe quoi, s'il vous plait, mais ne me dites pas tout simplement avec l'air détaché que tout ça est bien réel...
Eh bien si. J'ai passé 12 heures à attendre une vraie explication solide sur toutes les incohérences qui m'ont sauté au visage et m'ont empêché de rentrer dans l'histoire, et au final, il n'y en avait pas. Je ne sais même pas quoi écrire de plus tellement la déception a été gigantesque quand j'ai compris qu'il n'y avait pas de grande révélation. Mon seul but à ce moment était de terminer au plus vite et de passer à autre chose. Quant à la fin...
Il serait peut-être temps d'ailleurs de faire un petit récapitulatif de ce que j'ai compris de l'histoire. Tasi et son équipe sont partie en Algérie pour effectuer des fouilles concernant des vestiges d'une ancienne civilisation. Ils se retrouvent accueillis par la reine de cet autre monde, qui les fait boire à une fontaine les transformant doucement en monstre. En position de force, elle leur propose un marché : que Tasi accouche et lui donne sa fille, en échange de la vie de tous ses camarades. Voilà. C'est tout. Sauf que Tasi refuse (et ne s'en rappelle qu'à la fin du jeu parce que... ?), toute son équipe meurt et il ne reste qu'elle.
Il y a trois fins possible : soit on s'échappe du monde parallèle, sachant que notre enfant porte une maladie incurable qui la tuera dans quelques années, soit on se fait transformer en monstre mais notre fille restera dans l'autre monde où la maladie ne se déclarera pas, soit on meurt en détruisant la reine maléfique. Que du bonheur, n'est-ce pas !
Rah vous savez quoi ? J'écris tout ça et je suis énervée. J'ai la même sensation d'arnaque que lorsque j'avais fini Little Hope, jeu pour lequel j'ai d'ailleurs gagné en tendresse avec le temps et le recul. Mais mazette ! Je me suis forcée à finir Amnesia Rebirth en espérant qu'il y avait un truc pour racheter le tout, mais pas du tout. Je pense que je n'aurais pas été si dépitée si le jeu avait duré quelques heures de moins, mais là, c'était trop.
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L'épilogue de tout ça (en reprenant l'écriture un jour plus tard en m'étant calmée, et après quelques nouvelles recherches) est qu'Amnesia Rebirth m'a déçue par son manque de crédibilité, mais m'a tout de même permis de me mettre (ainsi que ma commu en stream) dans une position tout à fait inédite : celle d'un personnage féminin enceinte. Là où ça devient comique, c'est que le scénariste est un homme. Et malheureusement, je rappelle que nous sommes dans un jeu d'horreur ; j'ai bien peur, en y réfléchissant, que la grossesse ne soit qu'un élément supplémentaire pour rajouter de la shock value, pour faire horreur un maximum, alors que ça devrait rester une donnée neutre. Sentiment renforcé par le fait que cette grossesse se passe en ultra accéléré parce que TGCM (ta gueule c'est magique).
Je vous parlais plus haut d'une vidéo finalement pas linkée car trop misogyne pour être partagée. L'auteur de la vidéo (de même que ma commu pendant le stream) a été choqué par le passage de l'accouchement, et par le fait qu'on nous le fasse jouer, tout en se plaignant que "c'est trop long". Alors que de mon côté, la scène a perdue en crédibilité justement pour son côté ultra expéditif (il n'y a que dans les jeux et les séries qu'on accouche en 2 minutes). Mais soyons honnête : la seule raison pour laquelle cette scène d'accouchement existe est pour choquer et rajouter à l'horreur sauf que... pour moi ça n'a rien d'horrible, c'est une chose tout à fait naturelle et neutre.
Peut-être que je suis médisante, peut-être que l'ajout de cet élément partait d'un bon sentiment, pour tenter de titiller l'empathie des joueurs... Mais je doute que les intentions soient si nobles quand elles sont injectées dans un jeu d'horreur.
Bref, vous l'aurez compris, Amnesia Rebirth, de la même façon que Le suicide de Rachel Foster est un jeu que j'ai parcouru avec plein d'innocence mais dont ma haine grandit crescendo plus j'y pense après coup. Je pourrais disserter stérilement pendant des heures sur tout ce qui ne va pas, en finissant par tourner en rond dans mon ressenti énervé et dégouté.
Je vous propose donc de poser dans un coin ce jeu, et de ne plus jamais y penser, pour notre santé mentale à tous...
Et si j’ai réussi à piquer votre curiosité, vous pouvez retrouver la collection de toutes les VOD de mon let’s play complet sur Twitch : 
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darkchaton444 · 1 year
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Link ou BEN ? x Reader
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Hey hey hey ! Si vous aimez cette histoire et qu'elle n'avance pas assez vite à votre goût, vous pouvez toujours en lire d'autres tout aussi palpitantes sur mon compte Wattpad <3 :
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IMPORTANT :
Ça fait une éternité que je n'ai pas joué aux jeux Zelda et NON je n'ai pas joué au nouveau :') Me bâchez pas pliz-
Parcontre, si -> Je dis de la merde <-
Reprenez moi sans vergogne XD
Bonne lecture ! ____________________________________________________________
[Narrateur à la 1e pers.] [Dans notre monde.] [Pov : ???]
Il y a de ça quelques années, les premiers jeux de Zelda ont fait un carton.
Notamment Zelda Majora's Mask, sur la Nintendo 64, sorti en l'an 2000. Bien que le jeu et les graphismes pouvaient parfois être simplistes voire laisser à désirer, l'histoire et le gameplay ont séduit bon nombre de joueurs.
Dont moi.
Lorsque je n'étais encore qu'un gamin, j'avais l'une de ces fameuses Nintendo 64. Elle m'avait été offerte par mon grand père. Je ne possédais pas beaucoup de jeux à l'époque, mais je ne m'en plaignais pas. Mon favoris était, oui, Zelda Majora's Mask.
Ce ne sont que des années plus tard, à présent grandis, que j'ai cours à l'Université. Au début de mon parcours universitaire, j'avais appris que mes parents avaient emménagés dans une petite banlieue tranquille. Alors, un 28 août, j'ai décidé de leur rendre visite.
Au moment de prendre le chemin du retour, après un bon 3 heures à converser autour d'une tasse de café, c'était à ma grande joie que mon père m'avait redonné ma vieille Nintendo. Heureux de pouvoir rejouer aux jeux de mon enfance, durant le trajet alors que j'étais entrain d'y penser, j'apperçu une rue différente des autres. Dans celle-ci, plusieurs maisons s'adonnaient à des ventes de garage. Une idée avait alors germée dans un coin de mon esprit, celle de pouvoir trouver d'anciennes cartouches de jeux.
En parcourant diverses de ces ventes de garage, j'en étais arrivé à tomber sur le fameux jeu de Zelda. Il était dans une boîte avec d'autres jeux, mais aucun autre sur la même console. Cette boîte se trouvait entre quelques tableaux à l'art douteux et d'autres babioles toutes aussi étranges. Et alors ?
Eh bien, vous n'imaginez pas ma joie à ce moment-là. La cartouche de jeu était mise à la vente par un vieil homme qui avait tout bonnement le même aura que ceux dans les films d'horreur. Mais un aura étrangement généreux et sympathique, car au lieu de me la vendre, il me l'avait donné gratuitement.
Ainsi, je l'avais juste remercié poliment sans me poser d'avantages de questions. À cette époque, les films d'horreur n'avaient pas tous ce même début de piège.
Puis je me suis rendu à mon dortoir universitaire, hâtif de pouvoir rejouer à Zelda Majora's Mask.
Et...
C'était donc là que mon pire cauchemar... Mon ébat contre les ombres, eut commencé. Comme Il le dit si bien... Je n'aurais pas dû faire ça.
Ce n'est que plus tard, les mains crispées sur la manette en étant couvert d'un profond malaise, que je fixai mon Link brûler sur place dans une posture glitchée. La statuette de BEN, se trouvait devant moi, positionné à côté du vendeur au sourire effrayant. Qui est BEN ? Je ne savais pas, et je ne suis toujours pas sûr. Il m'avait juste dit qu'il était mort noyé, et qu'il voulait être libéré.
Je pense... Je ne sais plus... Avoir donné plus d'informations sur mon blog... Il fallait que j'en parle. J'ai essayé d'en parler. J'ai vraiment essayé...
Mais BEN me contrôlait et me guidait malsainement peu importe ce que je voulais faire, surtout sur le net. Il prenait contrôle de tout objet électronique avec lequel j'utilise. Lorsqu'il veut me parler plus clairement, on tchatte sur un site appelé CleverBot. Si je refuse, il me tourmente, encore et encore.
I have something to show you. Go play (J'ai quelque chose à te montrer. Va jouer)
Avait-il dit une fois. Je lui ai donc répondu.
I don't want to... (Je ne veux pas...)
Sur ce, j'avais arrêté de lui parler et je n'avais pas été jouer comme il me l'avait ordonné. Mais comme je l'ai précisé, il avait continué de me tourmenter, par vengeance ou bien par manipulation. Je voyais son image, celle de Ben, dans des endroits où il n'était pas supposé être. Si je faisais une recherche internet, il apparaissait, avec ce sourire dérangeant.
Je... Je n'en peux plus... Je n'arrivais plus à dormir, les nuits. Je le voyais même dans mes cauchemars. Lorsque j'étais seul dans ma chambre de campus universitaire, j'avais l'impression qu'il était là. Je sentais... Son aura. Depuis que j'ai joué à la cartouche de jeu, et qu'Il me manipule, je sens cette aura horrifiante n'importe où. N'importe quand. Et le pire. C'est que je ne sais toujours pas quand est-ce qu'il compte en finir...
J'avais besoin de sortir de ma boîte à terreur et à solitude, où j'allais devenir complètement fou. Ça faisait quelques jours déjà que je sentais les mêmes symptômes que celles de la dépression. Je ne sais pas si c'était parce que je ne voulais pas, ou si c'était car je pensais que je ne pouvais pas aller en cours, mais j'ai commencé à créer des excuses pour ne plus y aller. Déjà car je n'en avais plus la force, mais ensuite car je n'en avais plus la concentration ou la motivation.
J'avais alors décidé de revenir au nid familial, quand je sentais que j'allais craquer... J'avais besoin de réconfort, de visages rassurants. J'avais finalement envisagé cette idée uniquement après deux putains de mois d'hantises sans donner de nouvelles à personne.
Je n'avais pas préparé des centaines de valises, seulement une et un sac à dos suffisaient. J'avais zieuté ma Nintendo 64, et en avait avancé la main vers elle, mais je me suis stoppé dans mon élan.
Et décidé de la laisser là-bas.
Face à ma requête, mes parents étaient à la fois inquiets mais heureux, que je vienne. Ils ignoraient tout de ma situation actuelle, et je ne comptait pas la leur dire. Je veux juste me bercer d'illusions d'espoir, en retrouvant mes proches.
Ils m'ont installé dans une chambre d'invitée qui était assez simpliste. Ils ont gardé quelques uns de mes anciens meubles, comme le lit, mon bureau ou les commodes, mais la décoration m'était étrangère. Même si au fond, peu importe.
J'ai donc installé mon ordinateur portable sur mon ancien bureau, et ai placé ma Nintendo 64...
Et... Ai placé ma Nintendo 64...
À peine la console prit, je la relâcha en me crispant et elle retomba dans le sac. Ce n'est pas possible... CE N'EST PAS POSSIBLE.
"- Je... Je ne l'ai pas amenée avec moi..." Murmurais-je pour moi-même en tremblant...
J'entendis des pas lourds dans le couloir, ainsi que les craquements du plancher. C'était mon père, à coup sûr. Vu que j'ai laissé la porte ouverte, j'entendis sa voix rauque et calme.
"- Tout va bien, bonhomme ? Bon je sais que tu n'es plus un p'tit gars, mais sache que ta mère et moi, nous sommes vraiment heureux que tu sois à la maison."
J'étais ensuite resté, planté là, à observer la console pendant quelques secondes silencencieuses. Puis je lui répondit que j'étais également heureux.
La nuit tombée, de nouveau, je ne pu m'endormir. Mais cette fois, ce n'était pas à cause de ma conscience, ou de mes nombreuses visions cauchemardesques. Mais c'était littéralement de Sa faute.
Il faisait exprès ; Il me spammait de messages sur CleverBot. Même en mettant mon phone à silencieux, même en l'éteignant, même en sachant que normalement CleverBot ne peut pas envoyer de notifs, bordel. Le son des notifications qu'il m'envoyait étaient agaçant. Il voulait clairement que j'allume ma Nintendo. Il voulait jouer.
Do it. (Fais-le.)
Do it.
Do it.
Do it.
Do it.
Do it.
LEAVE ME THE FUCK ALONE (LAISSE MOI PUTAIN DE TRANQUILLE)
Last chance. (Dernière chance.)
Or what? (Ou quoi?)
Or you'll be the one who meet a terrible fate. (Ou tu seras celui qui rencontrera une terrible fin.)
Cette dernière phrase me fit trembler d'un coup sordide. J'ai froid, et je suis déjà mort de peur. Donc je peux vraiment mourir ? Et comment il va faire, pour me tuer ? Produire une décharge électrique ? ET PUIS QUOI ENCORE ?
Je suis venu ici pour échapper à ça, et me voilà encore en face de lui.
Go fuck yourself.
Sur ce, je me redresse brusquement sur mon lit. Le phone se remet à faire des bruits de notifications. Dans une poussée d'agressivité, je fracasse le portable de toute mes forces contre le mur. L'écran se brise en morceaux et quelques bouts mécaniques s'effondrent n'importe où sur le sol. Pourtant, de ma position, je constate l'écran qui est toujours allumé.
Sans savoir pourquoi, mon cœur se met à éclater dans ma poitrine. Tellement que j'ai peur de frôler la crise cardiaque. Mon souffle s'accélère et tremble sous la peur. Même en l'ayant éclaté sur le mur, il demeure fonctionnel. Ce bordel...
"- Laisse-moi tranquille... Ben..."
Soudain, du téléphone, un enclenchement vocal se fait entendre. Un son comme lorsqu'on fait "Dit Siri". Puis un rire méchaniquement enfantin sort de l'écran. C'est insupportable. Cette voix est malsaine et malveillante. Le rire tourne en boucle comme si c'était un sombre enregistrement. Ça ne s'arrêtera pas, non, tant que je ne ferai rien. J'ai toujours les foies. Mais c'est grâce à ça, que je réussis à empoigner ma couverture bleue, de la dégager de sur moi, de me lever et de marcher d'un pas non assuré vers la petite machine électronique.
Le rire est toujours en cours, lorsque je le prends. L'écran est si craquelée que je ne vois pas quelle application a employée Ben. À bout de nerf, je serre les dents. La peur et la frustration se font violence en moi. Les heures de sommeil manquées commencent à se faire sentir. Mes cernes témoignent de ma fureur. Ça fait... Deux mois.
Le rire continue de se moquer de moi. De se moquer de ma frustration, de mon désespoir. Une idée aussi sombre que Sa personnalité me surgit dans la tête. Sans me soucier du plancher qui craque comme un appel à l'aide, je n'ai qu'un endroit en tête.
J'arrive dans la salle de bain et allume aussitôt la lampe torche du téléphone. Et écrase celui-ci sur la surface de la cuvette de toilette. Dans le bain, je met le bouchon et active la chapelure d'eau. La baignoire se remplit peu à peu.
Je l'observe avec amertume et satisfaction, avant de prendre le téléphone, puis mettre la caméra bien en joue sur l'eau sombre : l'éclat de la lampe du téléphone fait un reflet semblable à la lune sur la mer.
"- Et ça, ça t'amuse, p'tit con ?"
Le rire se tût instantanément et un silence de mort arrache la place. Un rictus mauvais apparaît au coin de mes lèvres. Cependant, le silence glacial se brisa par quelque chose de plus inquiétant, encore. Cette fois, au lieu d'un rire machiavélique, se fait entendre... Un halètement. Une respiration lourde mais remplie de glitchs, à l'autre bout du fil.
"- T'as les foies, là, hein ?" Murmurais-je avec agressivité. "Alors ça fait quoi ? T'as du fun ?"
"- Tu n'aurais pas dû faireça."
À peine sa phrase prononcée, je lâche sans remords le téléphone dans l'eau et tout bruit ainsi que source de lumière se meurtrie instantanément. Je pousse un soupir de relâchement.
Ce doit être mon cerveau qui est saturé, mais mon sentiment d'apaisement fut vite interrompu, une fois le pied mis dans ma chambre. La télévision était ouverte sur la lune de Majora's Mask, avec la musique de Healing qui se joue avec les mauvaises notes.
La Nintendo n'est absolument pas connectée. En fait, rien n'est connectée à cette télévision, je ne l'avais jamais ouverte depuis ma venue.
"- ... Ben..." Prononçai-je plus comme un appel qu'un effroi.
La bouche de la lune se mit à bouger :
"- Won--- der-- ful-- Moon. Congra---tulations, He---rrr--o." (Merveilleuse lune. Félicitations, héros.)
Les mots avaient plusieurs intonations comme si BEN pigeait ces mots sur... Le Web...?
"- No-ot. Won---der--ful----en--o-o-ough." (Pas assez merveilleuse.)
Je me pinça l'arrête du nez. Depuis plusieurs minutes déjà, mon corps s'était habitué à remplacer la terreur par la colère et l'impatience. Mes nerfs allaient lâcher et ça me prit tout pour ne pas hurler ces mots :
"- Que. Me. Veux. Tu. À la fin ?"
"- Pl--aaa-y. Wit--h y--yo--u." (Jouer avec toi.)
"- Et ce n'est pas ce que tu fais depuis 2 mois !?"
"- W-wh--y b-b-b-bee--ing--so --st-ubbo--rrn ? I---I on-ly wan--t a f--rrriend. Co-nnn-ect your N-n-n-nint-t-tend--o." (Pourquoi être si têtu ? Je veux seulement un ami. Connecte ta nintendo.)
En soupirant sombrement, je la sortit de mon sac. Pourquoi est-elle là ? J'entends déjà mes lecteurs écrire "moi, je l'aurais brûlé, mis au chemin, donnée même". Et croient-ils que je n'ai pas essayé ? Croient-ils que je ne me suis pas arraché mes cheveux lorsque je me rendais compte que la Nintendo trouvait le moyen de réapparaître comme par magie ? Et la cartouche, même ?!
Je m'asseyai devant la TV, posant la nintendo en face. Je précisa que je n'avais amené aucun fil et qu'aucun, exactement comme la console, n'était apparu des enfers.
"- Y--ouu- Do--nnt--NEED--it." (Tu n'en as pas besoin.)
(C'est ainsi que Ben créa le Bluetooth- XD (Pardon.))
Lorsque j'appuyai sur le bouton de démarrage de ma console, rien ne se passa. Après tout ce qui se passait, je m'attendais à ce qu'elle s'allume tout aussi magiquement que les autres situations improbables.
"- Ça ne marche pas." Maugréais-je.
Les yeux encore sur la console, le même rire insupportable que tout à l'heure raisonna et lorsque je regarda l'écran de la télé, la lune avait disparu. Elle avait fait place à un jeune garçon plutôt réaliste, au sourire malfaisant. Ses yeux étaient saignants et sa peau était grise bleutée.
BEN drowned...
"- I-I-I don't NEED i-it t---to b-b-be t---urn--ed O-on. I-I-I ju--ust NEED y---yo-u to b-b-be neeear i-it." (Je n'ai pas besoin que ce soit allumé. J'ai juste besoin que tu en sois proche."
"- Qu--"
Soudain, je ne su absolument pas si j'étais devenu fou. Mais...
Ben tira les bras vers moi avant que des doigts ne sortent de la télévision, allant s'appuyer à son rebord. À partir de là, tout se passa bien trop vite. Et dans cet ordre :
Son sourire figé. Sa forme réaliste sortant de la télévision. Mon cri d'horreur.
Puis le noir.
Et enfin... Le bruit du vent.
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leleaulait · 7 months
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On en parle de l'OST de Bramble : The Mountain King ?
Déjà le jeu est une tuerie à tous les niveaux, ça parle de la mythologie et du folklore nordique donc ça me plaît, et parfois ça me fout des sales frissons d'horreur. Mais tout est bon dans ce jeu, les boss, le scénar (en particulier une scène où je me suis dis"nan ils vont quand même pas oser ?" Ah si, ils ont osé O.O), la DA, la bande son... Donc je vous ordonne d'y jouer !
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quebec-canada · 9 months
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Créateurs de contenu Québecois (ou de la francophonie) sur YouTube
J'ai décidé de faire une liste pratique de liens vers des chaines YouTube québécoises (ou de la francophonie canadienne) que je vais épingler tout en haut du blog, donc facile à trouver!
Capitaine Montréal - Chaine d'un amoureux de Montréal animée par Ugo Bergeron
CHESTBRAS - Chaine des fameux sketchs Chest Bras et Synvain Rénove
Coralie St-Georges - Chaines de vidéos sur l'actualité, culture populaire, histoires troublantes, lifestlye et vlogs
Diplodocus Comédie - Chaine de sketchs humoristiques de Jean-François Bibeau
Le François Pérusse - Chaine de François Pérusse
Gurky - Chaine de Gurky, testeur de plein de choses
Haunted Montreal | Montréal Hanté - Ça parle de soi?!
Histoires de Crimes par Marie - Chaine de crime animée par Marie
L'Histoire nous le dira - Chaine à contenu historique animée par Laurent Turcot
Horreur FM - Critique de film d'horreur ici sur YouTube et sur Horreur Québec
Le Jeu C'est Sérieux - Chaine de collection de jeux vidéos animée par Guiz et Laurent
Kev [WTFKeV] - Chaine d'humour irrévérencieux animée par Kev
Ma Prof de Français - Chaine d'apprentissage et d compréhension du français québécois animée par Geneviève
ONF - Chaine de l'Office National du Film
Pi AIR; - Chaine de vidéos des paysages et villes de la Montérégie prises par drone (ou hélico?)
Propos Montréal - Un blogue urbain et une chaîne YouTube éducative
RBO - Chaine de Rock et Belles Oreilles
Starlight Dream Dolls - Chaine de customisation de poupées. L'auteur fait ses vidéos en anglais pour avoir un plus grand auditoire, mais il est 100% franco (un ami <3 )
Testeur Alpha - Chaine de jeu vidéos animée par Alpha
Tousqui Annie - Chaine de couture et de crafting animée par Annie (une amie <3 )
URBANIA - Chaine du magazine URBANIA et hébergeur du podcast Les Pires Moments de l'Histoire de Charles Beauchesne
Victoria Charlton - Chaine de crime animée par Victoria Charlton
WTFKeV Podcast - Podcasts de Kev (WTFKeV)
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ed-jv · 1 year
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[FR] The Texas Chain Saw Massacre - Les premières minutes - Gameplay PC - 4K - 60ips 
The Texas Chain Saw Massacre - Les premières minutes 
Dans The Texas Chain Saw Massacre, un jeu d'horreur asymétrique à la troisième personne inspiré du film d'horreur mythique et révolutionnaire de 1974, incarnez l'un des célèbres membres de la Famille du Massacre ou l'une de leurs victimes.
En tant que victime, vous allez devoir faire preuve de discrétion et de présence d'esprit pour échapper à la Famille et trouver les outils nécessaires à votre potentielle fuite. Les joueurs de la Famille du Massacre doivent trouver, traquer et empêcher leurs invités de s'échapper. Parviendrez-vous à survivre ?
Vivez une véritable histoire sombre et macabre dans The Texas Chain Saw Massacre.
Développeur : Sumo Nottingham Éditeur : Gun Interactive
Sur PC - XBOX ONE - XBOX SERIES - PS4 & PS5 le 18 août 2023.
PEGI 18
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reivarg · 1 year
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« Avez-vous déjà tué votre meilleur ami ? » (Battle Royale)
Note au lecteur : Avant d'entrer dans la présentation de ce film, je tenais à préciser qu'il a été à sa sortie interdit au moins de seize ans lors de sa sortie dans l'Hexagone, en effet Battle est un film d'horreur japonais, mais il ne s'agit pas d'un film d'horreur typique, car non ! Ce n'est pas de ce type de film où les pulsions interdites sont censurées. Non, ici les pulsions des personnages se développent à cause de leur égoïsme. Dans ce film, nous sommes confrontés à un monde cruel, révélant dans la noirceur des âmes.
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« Japon, début du 21ᵉ siècle, le chômage et la délinquance explosent. Pour rétablir l'ordre, le gouvernement désigne au hasard une classe de trente lycéens chaque année et les soumet à une loi : Battle Royale. »
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Battle Royale est donc un film sorti au début du nouveau millénaire, en 2000 pour être précise. Produit par Kinji Fukasaku (1930-2003) aux studios Toei Animation, il est issu du roman éponyme de Kōshun Takami paru en 1999. Ce film est avant d'être un film d'horreur, une dystopie — communément nommé un film d'anticipation — si cela est plus clair pour vous, mais aussi d'action. Ce film est à mes yeux un film d'horreur du cinéma japonais plutôt bon, même si certaines scènes sont grotesques.
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Venons-en désormais au scénario de film : dans un Japon ayant subi sans aucun doute une crise économique sans précédent entraînant une augmentation du chômage de 15% -soit un million de personnes sans emploi – accompagné d'une rébellion de quatre-vingt mille élèves qui ne se rendirent pas à l'école en raison de la perte de confiance en soi des adultes entraînant la peur des jeunes. Pour rétablir l'ordre chez les jeunes, le gouvernement vota la « loi B • R » — abréviation du terme Battle Royale – donnant son nom au « jeu » auquel les élèves sélectionnés une fois par an participeront. La classe est par ailleurs choisie parmi toutes les classes de Terminale du Japon — dans le film, il s'agit des élèves de la Terminale du lycée de Shiroiwa, il s'agit d'un lycée bien évidemment inventé —.
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Jusque-là, rien ne semble encore trop étrange, mais passons maintenant aux règles énoncées dans les articles de la « loi B • R ».
Le but du jeu qu'est Battle Royale est de former une nation saine de corps et d'esprit et s'applique à toute la population sans aucune distinction.
Durant le temps de jeu étalé sur trois jours, les participants devront se battre dans la joie et la bonne humeur, s'amusant avec combattivité et appréciant leur chance immense de pouvoir participer à un tel jeu. Le refus de participation est interdit et toute tentative d'entraver le jeu sera puni.
Il est également à noter que les participants sont exempts de toute punition judiciaire et se voient donc autorisés à tuer, provoquer des incendies, se servir d'armes de toute nature — poisons et matières médicamenteuses comprises —.
La seule chose intéressante est que le gagnant aura sa vie future entièrement financée par l'État japonais et, sera considéré comme un citoyen modèle, exemple à suivre pour former la nation saine de corps et d'esprit.
Battle Royale est donc un survival où quarante-deux jeunes vont devoir s'entretuer dans la joie et la bonne humeur comme le dit la présentatrice des règles du jeu.
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Dans les quarante-deux personnages, certains prennent plus d'importance que d'autres.
Prenons par exemple les deux personnages les plus âgés, Kawada Shōgo et Kiriyama Kazuo qui créent un manichéisme trop important dans le film.
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Kawada Shōgo, gagnant d'une édition précédente de Battle Royale et engagé volontaire, porte des vêtements assez clairs, à gauche sur l'image ci-dessus, est contre le jeu. Il est de ce fait le symbole du bien. Il se révèlera d'ailleurs être plutôt sympathique alors que Kiriyama Kazuo, à droite sur l'image, possède des habits noirs et a toute l'allure du méchant. Ce dernier est par ailleurs une vraie machine à tuer et s'est inscrit à Battle Royale pour le plaisir de tuer des gens.
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Nous avons par ailleurs le personnage de Souma Mitsuko qui se révèlera être la fille la plus sanguinaire, mais aussi l'une des plus machiavéliques de l'intrigue, prête à tout pour survivre au jeu.
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Viennent ensuite Nanahara Shūya et Nakagawa Noriko – image ci-dessus – deux amis qui resteront ensemble durant le film et seront rejoints par Kawada.
Pour conclure cet article, passons à la partie de la critique réalisée selon mon point de vue sur le film, donc des plus subjectives.
J'ai été, la première fois que j'ai visionné ce long métrage, agréablement surprise. J'avais en effet déjà regardé des films d'horreurs japonais et coréens du même genre et je les avais trouvés complètement tirés par les cheveux, ce qui est moins le cas pour Battle Royale : le film a un scénario qui tient la route.
Le film aborde comme thème principal le passage de l'adolescence à l'âge adulte et reste assez réaliste dans la société actuelle. Lorsque nous sommes enfants, nous sommes tous (à quelques exceptions près) amis pour la vie, puis lorsque nous grandissons, nous cherchons à devenir les meilleurs, élimant les plus faibles qui ne tiendront pas selon le système élitiste demandant toujours plus de sacrifices dans lequel nous nous trouvons. J'espère toutefois que personne ici n'a jamais tué un de ses amis pour rester supérieur à lui.
De plus, le thème du passage à l'âge adulte est également montré par la relation entre les adultes et les enfants. Les adultes cherchent à museler leurs enfants afin qu'ils pensent de la même manière qu'eux.
J'ai personnellement vécu cette situation, ayant été élevée par mes grands-parents, ma grand-mère en particulier qui, jusqu'à sa mort, trouva toujours quelque chose à me reprocher et ne fut jamais satisfaite de moi pour toute une liste de raisons que je n'énoncerai pas ici.
Passons maintenant au jeu d'acteur qui n'est pas mauvais, mais n'est pas parfait non plus, surtout dans les scènes de morts où tout est un petit peu surjoué — remercions tout particulièrement le côté épique demandé par le kabuki – et où il y a un peu too much de sang, certainement dû au petit budget du film.
Certains acteurs comme Tarō Yamamoto – acteur de Kawada – et Masanobu Andō – acteur de Kazuo Kiriyama – jouent particulièrement bien et ont des personnages intéressants, bien que très clichés, mais cela est malheureusement loin d'être le cas pour tous qui ont pour la plupart des personnages plats dont on ne sait pas grand-chose. Nous n'avons donc que quelques informations sur le personnage de Kawada, Kazuo et Nanahara Shūya mais cela ne leur donne malheureusement pas plus de profondeur.
Il est toutefois à noter que le film ne disposait que d'un petit budget et que par conséquence, il ne pouvait pas faire des miracles.
Attaquons-nous aux dialogues qui sont parfois étranges, cela en particulier dans la version française du film, entraînant des moments grotesques et grandiloquents, provoquant des fous-rire pour certains.
Pour conclure cette critique... Disons que le film peut être sympathique lorsqu'on le regarde quand nous sommes des adolescents, mais aujourd'hui, à vingt-cinq ans, j'ai beaucoup plus de mal à le trouver intéressant.
C'est donc un film pour les adolescents en rébellion. Je ne comprends par ailleurs pas sa classification comme film d'horreur et l'interdiction au moins de seize ans à sa sortie dans les salles.
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lifextime · 1 year
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Kuon
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Kuon (traduction : éternité), est mon premier jeu du studio From Software (Elden Rings, Evergrace, Dark Souls, Sekiro, Bloodborne et j'en passe), et il est sorti en 2004 au Japon et en 2006 en Europe. Comme je suis en train de rejouer à ce jeu, car je tiens à battre officiellement mon record, je me suis dit pourquoi ne pas parler de cette licence méconnue du grand publique, alors qu'en réalité, il mériterait un remake ou un remaster !
Histoire : Kuon se déroule dans le Japon médiéval et raconte une histoire sombre et mystérieuse. Le jeu suit trois personnages différents, chacun ayant son propre scénario, explorant une maison hantée remplie de créatures surnaturelles et de secrets anciens. L'histoire est profondément ancrée dans le folklore et la mythologie japonaise, ce qui ajoute une dimension fascinante à l'ensemble. Les rebondissements inattendus et les révélations surprenantes tout au long du jeu maintiennent l'intérêt du joueur et le poussent à découvrir les mystères cachés.
Les personnages :
Utsuki : Utsuki est une jeune fille qui se retrouve piégée dans la maison hantée. Elle est à la recherche de sa sœur, Kureha, et son histoire se concentre principalement sur sa quête pour la retrouver. Utsuki est dotée de pouvoirs mystiques liés à la divination. Elle peut utiliser un miroir pour voir les choses invisibles et trouver des indices cruciaux. Elle est également plus agile que les autres personnages, ce qui lui permet d'esquiver plus facilement les attaques ennemies. (premiere voie)
Sakuya : Sakuya est une prêtresse du temple Tsuchihara qui explore également la maison hantée. Son scénario se concentre sur sa lutte contre les forces maléfiques qui se sont emparées de la maison. Sakuya est spécialisée dans les sorts d'exorcisme et peut invoquer des sorts puissants pour repousser les ennemis. Elle est plus résistante aux attaques et dispose d'un éventail sacré pour combattre les créatures surnaturelles. (seconde voie)
Seimei : Seimei est un mystérieux sorcier qui pénètre également dans la maison hantée. Son histoire révèle des liens avec le passé de la maison et les secrets qui y sont enfouis. Seimei utilise des sorts de magie noire pour attaquer les ennemis et peut invoquer des esprits pour l'aider. Il est également capable de lancer des sorts de guérison pour se soigner et soutenir ses alliés. (conclusion de l'histoire)
Impact culturel : Kuon a été salué pour sa représentation authentique du folklore et de la culture japonaise. Les développeurs de FromSoftware ont clairement fait des recherches approfondies pour intégrer des éléments traditionnels dans le jeu. Cela a permis de créer une atmosphère immersive et une expérience unique pour les joueurs intéressés par la culture japonaise. Kuon a également ouvert la voie à d'autres jeux d'horreur basés sur des légendes et des mythes japonais, contribuant ainsi à l'expansion de ce genre dans l'industrie du jeu vidéo. Le thème de l'Eternité y est parfaitement bien retranscrit tout en respectant les nombreux mythes à ce sujet.
Gameplay : Le gameplay de Kuon offre une combinaison d'action-aventure et de survival horror. Les joueurs doivent explorer la maison hantée, résoudre des énigmes et affronter des ennemis surnaturels. Chaque personnage a ses propres compétences et capacités spéciales, ajoutant de la diversité au gameplay (exemple : infiltrations, combat de zone, combat d'invocation etc ..). Cependant, certains aspects du gameplay peuvent sembler rigides et les contrôles peuvent être un peu frustrants, en particulier lors des combats (exemple : la cameras peut faire défaut lors des sorts à distance). De plus, la difficulté du jeu peut parfois être abrupte, ce qui peut décourager certains joueurs moins expérimentés.
Difficulté & Heures de jeu : Kuon est connu pour sa difficulté, qui peut être considérée comme assez élevée. Le jeu présente plusieurs défis pour les joueurs, que ce soit dans la résolution d'énigmes complexes, la gestion des ressources limitées ou les affrontements avec les ennemis.
L'un des aspects les plus difficiles de Kuon réside dans la navigation de la maison hantée. Les joueurs doivent explorer des environnements déroutants, souvent avec des chemins cachés et des pièges. La maison est conçue de manière à désorienter le joueur, ce qui rend la progression difficile et demande une attention minutieuse.
En ce qui concerne les combats, Kuon peut être exigeant (voir très exigeant). Les ennemis sont puissants et nécessitent une bonne maîtrise des compétences de chaque personnage pour être vaincus efficacement. De plus, les ressources comme les potions de soin et les amulettes protectrices sont limitées, ce qui ajoute un élément de gestion stratégique. Une mauvaise gestion des ressources peut rendre les combats encore plus difficiles.
Il est important de noter que la difficulté de Kuon peut être considérée comme abrupte, car le jeu peut passer d'une relative facilité à des défis beaucoup plus complexes en un clin d'œil. Cela peut parfois être frustrant pour les joueurs moins expérimentés ou ceux qui préfèrent une courbe de difficulté plus progressive.
Cependant, certains joueurs apprécient justement cette difficulté élevée, car elle ajoute une dimension de tension et de satisfaction lors de la résolution des défis. La difficulté de Kuon peut également contribuer à prolonger la durée de vie du jeu, car il faudra souvent plusieurs essais pour surmonter certains obstacles (notamment dans la secondes partie du jeu).
Pour résumer, Kuon est un jeu qui demande de la patience, de l'attention et une certaine maîtrise pour être pleinement apprécié. Si tu es à la recherche d'un défi stimulant dans un contexte d'horreur, Kuon pourrait être un choix intéressant.
Bande son : La bande son de Kuon contribue grandement à l'atmosphère angoissante du jeu. Les pistes musicales sont bien choisies et renforcent l'immersion du joueur dans l'horreur et le mystère. Les bruitages sont également bien réalisés, ajoutant une dimension supplémentaire à l'expérience effrayante. Les voix des personnages, bien que limitées, sont également bien interprétées et contribuent à l'authenticité de l'ambiance japonaise.
Points forts :
L'histoire riche et captivante, basée sur le folklore japonais.
L'immersion dans une ambiance sombre et terrifiante.
La représentation authentique de la culture japonaise.
Les rebondissements et révélations surprenantes tout au long du jeu.
Points faibles :
Les contrôles rigides et parfois frustrants.
La difficulté abrupte qui peut décourager certains joueurs.
Les combats peuvent manquer de fluidité et de variété.
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claudehenrion · 2 years
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Euthanasie...
  On pourrait parfois croire qu'il existe, en France, une sorte de  fascination pour ces réformes informes qui avaient été (dis?)qualifiées de ''sociétales'' pendant le catastrophique intérim hollandais --dont Il nous reste un serpent de mer : le débat sur l'euthanasie. Les communicants, pour parler de cet ''assassinat pré-pardonné par la loi'', ont fabriqué un nom trompeur : ''la mort dans la dignité'', mensonge hélas ''avalé'' par plein de braves gens victimes des mots détournés de leur sens. C'est un autre de ces sujet-du-moment dont il n'est pas possible de ne pas parler.
Mené par une minorité progressiste déterminée à casser tous les codes de ''l'ancien monde'', le ''suicide assisté'' est devenu un ''sujet-du-jour'' dans une partie de la population et auprès d'une majorité de politiciens ''accros'' aux modes et aux lobbies. Au lieu de ''vivre dans le dignité'', ce qui est le ''job'' des politiciens, il s'agit de mourir dans un état administratif que des technocrates baptisent ''la dignité'' et qui se révélera, le temps passant, une tromperie de plus dans l'arsenal d'horreurs qui ravagent peu à peu notre cadre de vie (dont ''la mort'' est une partie intégrante).
Chopin, Beethoven, Berlioz, Bruckner, Schubert, Haendel, Grieg, Gounod, Purcell, parmi tant d'autres, ont proposé à l'humanité des œuvres grandioses destinées à accompagner le passage (inévitable) de la vie au trépas. Parions que la sinistre ''marche funèbre de Macron'' dont on va nous rebattre les oreilles dans les mois qui viennent (il se dit qu’il aime mieux qu'on parle de ça... que du froid glaçant qui va nous transpercer, fruit de l'imprévoyance² de son prédécesseur et de lui-même, et de leurs prises de position irréfléchies et indéfendables) sera moins ''sexy'' ! Mais... chuuuut : il est très mal vu de dire la vérité, sur ce sujet comme sur tous les autres !
C'est à cette stratégie éculée que le président a donc recours : occuper l'opinion avec une loi dite sociétale pour ne pas parler du réel désastre économique,  social et humain. En annonçant, le mardi 13 septembre, vouloir réunir une consultation citoyenne sur la fin de vie, Emmanuel Macron applique un élément de plus de son programme progressiste : le résultat de ces discussions entre gens qui ne savent rien du sujet mais qui vont être soumis à des tirs de barrages insupportables, est, évidemment, connu d'avance ! En pleine crise de l'énergie, dans un contexte inflationniste, et avec peut-être une vraie guerre à nos portes, le chef de l'État étale un cynisme sans faille. Mais les dés sont pipés sur toute la ligne : depuis Hollande, on a bricolé un soi-disant Comité d'Ethique bourré de gens qui n'en ont aucune (dernière insulte au bon sens en date : Cécile Duflot ! C'est tout dire !) : ce qu'ils appellent leur éthique consiste à approuver bruyamment tout ce qui vient d'en haut.
Le moment, nous serine-t-on comme si c'était vrai, serait bien choisi. Et de fait, les esprits, préparés, n’ont jamais été aussi matraqués... juste au moment où, alors que la crise sanitaire a mis en lumière de graves failles dans le système de santé français, une légalisation de l'euthanasie ouvrirait la voie à des dérives graves qui pourraient s'avérer d'autant plus déplorables que le pays connaît des difficultés économiques (on appelle ça ''la convoitise des héritages'', et c'est un fait historique bien connu). D'autre part, les défaites (mariage homosexuel, GPA, extensions de l'IVG...) qui ont mis un peu ''hors jeu'' le camp ''pro-famille'' peuvent le --et nous-- pousser à désespérer, car en réalité, le combat ne consiste pas qu'à barrer la route à des mesures criminelles ou à donner droit à de nouveaux besoins de l'humanité, mais à faire passer un message, à le marteler et à le banaliser. Puisque un objectif dans la politique actuelle de déshumanisation et de désenchantement du monde est l'institutionnalisation en cours du suicide assisté, légal et pré-pardonné, il faut ouvrir tous les tiroirs cachés, les arguments assassinés, le non-dit, les contre-vérités et les mensonges que tant de braves gens ont avalés : l'alternative à un assassinat légalisé (mais qui ne sera jamais ''légitime'', bien sûr !), ce n'est pas ''la mort dans la souffrance'' mais un ''droit à la vie dans la dignité'' !
Les combats sur ces non-sujets qui se déroulent depuis une quinzaine d’années ne sont prioritaires que pour une infime minorité dont on gonfle les effectifs sans pudeur. Ils s'inscrivent dans une lutte de longue haleine. Le ''camp de la vie'' renaissant toujours de ses cendres et nos adversaires ne rêvant (à les en croire) que de faciliter et d’aider la mort des leurs, on serait en droit d’espérer, à terme, un basculement sociologique, d’autant que toutes leurs digressions, qu'ils disent sociétales, ne sont que mortifères, chacune n'’étant qu'une étape de plus dans la ''lutte finale'' apocalyptique du Bien contre le progressisme, la bataille ultime...
Tout-à fait par hasard, alors que je réfléchissais à ce ''billet'', une question m'est venue, hier : soit un candidat au suicide qui ''se rate'' (dose de barbiturique trop petite... fenêtre d'où il s'est jeté pas assez élevée... corde qui se rompt... etc...). Quelle attitude vont devoir ou pouvoir adopter les pompiers ? Va-t-on les poursuivre s'ils le sauvent de la mort ? Au fond, nos hordes de technocrates sans conscience ni éthique se moquent bien du sort des pompiers : ils ont déjà privé de boulot des milliers d'entre eux... rien que pour le plaisir de les ''emmerder'', au nom de cette décadence qu'ils appellent ''leur éthique'' et qui n'est qu'  ''une culture de mort'', où le puissant et magnifique ''Aimez-vous les uns les autres'' chrétien est remplacé par un épouvantable ''Aidez-vous les uns les autres... à mourir'' ! Que c’est moche !
En attendant, évitons de ne nous raconter des carabistouilles : si cette belle (?)  idée macrono-progressiste passe (et tout porte à croire que c'est ''comme si c'était fait'' : ''la mauvaise idée chasse toujours la bonne'', dit presque la Loi de Gresham à peine mise au goût de l'absence de goût du jour), le vieux ou le malade qui donnera l'impression de ''un peu trop tirer sur la corde'' (c’est-à-dire si ses dépenses totales de santé dépassent la somme qu'il a ''raquée'' pendant ses années de ''cotisant''... ou si c'est la 3 ème année consécutive que sa survie reporte encore cette descente tant attendue du Nil en felouque par tel héritier... ou bien s'il persiste à occuper un logement décrété trop grand pour lui et (car ?) convoité par tel autre, qui s'y verrait bien...) aura intérêt à être en bons termes avec sa concierge, son médecin, son kiné, ses voisins et ses petits-enfants... car sinon, les ''ceux qui savent'' auront vite fait de régler son sort, ''dans la dignité'' : à peine close la porte de la chambre où il a été enfermé (NB : on l'a déclaré ''grabataire'' en relevant les barrières latérales de son lit... bien sûr ''pour éviter qu'il ne tombe'' --sic !), les discussions pourront ''y aller'', pour décider si le temps ne serait pas largement venu de le faire profiter des aménités de ''la dignité'' caricaturée par des ''autorisés'' qui s'auto-pardonneront cette forfaiture en se mettant à 3 pour une signature ''collégiale'' --mais pas moins impersonnelle, moins technocratique, et pas moins in-humaine pour autant.
Et n'allez pas dire que j'exagère : dans votre for intérieur, vous savez très bien que c'est la seule évolution possible, et que d'autres chemins à long terme sont inenvisageables : comme cela a été le cas pour toutes et chacune de ces lois scélérates prétendues ''sociétales'', l'aspiration  vers le néant, le pire et le ''too much'' devient vite de droit et de fait : c'est le destin des choses. Et personne, que je sache, n'a jamais remis en cause ce grand principe si superbement énoncé par Alphonse Allais : '' Une fois qu'on a passé les bornes, il n'y a plus de limites''.
H-Cl..
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Amour Sucré: Armin Alternate Life Episode 2 (SPOIL)
Bonjour mes petites loutres !
Je vous publie aujourd'hui mon ressentie et mon avis concernant le deuxième épisode de l'Alternate Life d'Armin sur le jeu Amour Sucré. Et bon dieu, j'ai des choses à dire...
Rappelons-nous, que la Sucrette à la fin du premier épisode, s'est jeté sur Armin pour l'embrasser (out of the blue).
Pour commencer, j'ai bien ris et trouvé ça cool la discussion entre Yeleen et elle. L'idée qu'elle s'ouvre à quelqu'un, pour demander à un avis extérieur de pourquoi elle aurait réagit comme ça. Même si au fond, elle le sait mais elle ne veut tout simplement pas l'assumer. L'arrivée d'Armin, m'a paru être une bonne idée car comme ils se sont quittés sans explications, ça a dû vachement les perturber. Et encore plus, si la Sucrette aurait attendu bien plus longtemps pour être face à lui. Armin a donc bien fait de venir la voir.
Ce que je n'ais pas trouvé super, c'est que Yeleen ne les ais pas laissés parler seul à seul, même si elle est au courant de ce qui s'est passé. Elle n'avait rien à faire là, et encore plus quand Armin a commencé sa déclaration et rampé aux pieds de la Sucrette pour recommencer leur relation.
Et LA par contre, j'ai beaucoup aimé ce que la Sucrette lui a dit. Qu'elle veut bien, se redonner pour leur relation mais avec quand même certaines conditions. Même si le "parce que j'ai trop souffert", laisse à penser qu'il n'y a qu'elle qui a souffert le plus alors que ce n'est pas le cas. Armin a tout aussi souffert. Puis j'ai eu de nouveau la douche froide, lorsqu'il a commencé à lui faire des susurres dans son oreille en mode: "c'est toi qui va te mettre à genoux". J'ai pas eu un frisson de plaisir, mais plutôt d'horreur. Parce que clairement dire ce genre de chose, en mode aguicheur et hyper confiant, tu ne vas pas aller loin.
ENSUITE, pourquoi forcément il faut que ça soit LUI qui doit faire des efforts qu'au lieu de PROPOSER de faire une sortie il faut qu'il demande à ELLE à chaque fois ce qu'ELLE voudrait faire...Vous comprenez où je veux en venir ? Il n'a plus de droit de proposer quoi que se soit au final...
Mais j'ai adoré le vent qu'elle lui a donné, lorsqu'il a voulu l'embrasser. Hehehe, ça lui permet de bien se rendre compte, que c'est sérieux.
Ce que je trouve dommage, c'est le questionnement qu'elle se pose. De savoir si finalement elle se sent prête. Car elle devrait déjà avoir sa réponse, pour éviter de faire souffrir Armin, si sa décision est que finalement elle ne se sent pas encore prête. Car on voit, et elle le voit aussi que LUI est déjà prêt à revivre une vraie relation avec elle.
Le moment dans la forêt avec le rapprochement, j'avoue qu'il m'a un petit peu émoustillé. Le Armin, il sait ce qu'il fait là dessus y'a pas photo. Par contre, je trouve ça tout à fait normal qu'en deux ans de séparation il est vu d'autres filles. Ce qui me paraît plus réaliste.
Et de nouveau la mention de sex au moment le plus pourri. Et la Sucrette être à nouveau une perverse: "mais est-ce que nous avions les mêmes allusions, parce qu'il m'a proposé d'aller chez lui ?" Meuf, je pensais que tu avais dis que tu voulais faire les choses lentement ??? Au bout d'un moment, va falloir savoir ce que tu veux, ma cocotte !!
Et là, vient le discussion dont je ne m'attendais pas. Le long débat sur le MCU et quels persos ils aimeraient être. J'ai beaucoup apprécié les avis d'Armin. Maintenant je vais avoir du mal à choisir entre lui, Kentin et Nathaniel... Le moment de rapprochement est vraiment cute. Avec l'illustration, qui fait plaisir, où ils s'endorment tout les deux. Même si le passage avec l'autre illu était bien aussi. Mais j'avoue que j'ai bien apprécié le moment avec le film.
En conclusion, je dirais que l'épisode était bien meilleure dans mes attentes. Bien que je trouve que ça va un peu trop vite, mais on ne peut pas avoir une vingtaine d'épisodes comme dans l'histoire principale. Cependant, leur relation repart du bon pied et tout les deux semblent vraiment vouloir que ça fonctionne.
Je vous retrouve pour le prochaine épisode mes petites loutres, prenez soin de vous. See ya ! <3
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lesangdesrats · 2 years
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Extrait de journal, 8 avril 2022. "Cette nuit long rêve compliqué: je me cachais, j'avais peur, mon père ou Vincent avaient trouvé le secret d'un vieux monsieur, dans une pile de petites fiches; les fiches étaient des fantômes, des créatures, et je vivais dans un jeu vidéo d'horreur: il faisait presque complètement noir dans une ancienne cave maçonnée et une frêle créature humanoïde venait s'agiter auprès de moi."
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MARDI 11 OCTOBRE 2022 (Billet 4 / 5)
« DON’T WORRY DARLING » (2h 03min)
Un film d’Olivia Wilde, avec Florence Pugh, Harry Styles, Chris Pine…
La bande-annonce laissait entrevoir un film mi-science-fiction/mi-thriller, donc pas du tout fait pour Marina, JM y est donc allé tout seul samedi dernier.
La salle était presque pleine… et pleine de jeunes (moyenne d’âge : 17-24 ans). C’est certainement dû à la présence au casting d’Harry Styles, un chanteur anglais qui a composé au moins 2 tubes plus ou moins planétaires (« Sign of the Times » et plus récemment, « As It Was » - JM adore).
L’intrigue n’est pas du tout simple à résumer. Quant à la dernière image, JM, très perplexe, a dû demander en sortant à un groupe de jeune-filles qui le précédait si l’héroïne allait s’en sortir ou pas. Elles ont donné une réponse unanime, qui a convaincu JM mais que nous ne dévoilerons pas ici pour ne pas spolier la fin du film.
Les critiques, à sa sortie, ont été très partagées (déjà lorsqu’il a été projeté hors compétition à la Mostra de Venise), allant des 4 Étoiles données par « Le Parisien », « Les Inrockuptibles » (pourtant en général assez sévère) et « Les Fiches du Cinéma », 3 Étoiles pour « Le Figaro », « Écran Large » mais seulement 2 Étoiles du « Monde », de « Libération » et de « Télérama ». Les critiques des spectateurs, elles, sont nettement meilleures.
JM, tout en reconnaissant certaines faiblesses du scénario dans la dernière partie, mais emballé par le jeu des 2 vedettes principales, surtout Florence Pugh, les décors, les costumes et l’idée de l’intrigue (faisant un peu penser à celle de « The Truman Show »), ne s’est pas ennuyé une seconde et lui a donné 3,8 cœurs sur 5. Il ne le conseille qu’aux amateurs de science-fiction (qui doivent se compter sur les doigts d’une main dans les lecteurs/abonnés de notre Blog – surtout qu’il ne s’agit surtout pas de science-fiction style « La Guerre des Étoiles »).
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« Don't Worry Darling » a tout pour plaire : un casting d'acteurs en pleine ascension et une bande-annonce intrigante. Mais qu'en-est-il en réalité ? 
Une vie trop belle pour être vraie 
Tout semble normal : Jack (Harry Styles) se réveille et prend le petit-déjeuner préparé par sa femme Alice (Florence Pugh), puis se rend au projet Victory, où il travaille mystérieusement, comme tous les autres hommes de la ville, sur le « développement de matériaux progressifs ».
Pendant ce temps, Alice mène une vie idyllique. Le couple n'a pas d'enfants. Elle passe donc ses journées à faire du shopping avec ses amies, à « jardiner » (ce qui signifie en réalité boire sur des chaises longues dans le jardin avec sa meilleure amie Bunny, jouée par Olivia Wilde) et à préparer le dîner pour le retour de Jack. Après, ou parfois avant, ils ont des relations sexuelles sauvages et charnelles. Cette routine est réglée comme une horloge, à tel point que lorsqu'elle est perturbée par le suicide d’une voisine, en deuil et perturbée, Alice commence à se demander ce qui pourrait se trouver au-delà des limites de sa ville trop parfaite.
La première du film a eu lieu hier à la Mostra de Venise, dans un climat de controverse. Ce qui est bien dommage étant donné que le produit final est assez séduisant pour donner de l'espoir pour l'avenir des films à petit budget.
Techniquement et esthétiquement, le film est une merveille. Il s'ouvre sur un monde brillant de maisons du milieu du siècle dernier qu'on croirait faites à l'emporte-pièce, inspirées de la maison Kaufmann à Palm Springs. Le directeur de la photographie Matthew Libatique, lauréat d'un Oscar, joue un rôle important dans la transformation du désert californien en un maelström d'horreur, alors que les murs de la maison d'Alice se referment littéralement sur elle et qu'elle voit d'étranges apparitions dans les miroirs. Les costumes d'époque d'Arianne Phillips, un mélange de pièces sur mesure et de vêtements vintage, sont un régal pour les fans de la mode des années 1950.
Ensemble, Florence Pugh et Harry Styles forment un couple saisissant et crédible à l'écran. Mais le jeu de l'actrice est particulièrement excellent ici.
Lors de la conférence de presse, Olivia Wilde a exprimé son intérêt pour la réalisation de films « cheval de Troie » qui portent un sens plus profond sous leur vernis divertissant et brillant. Le sous-texte de « Don't Worry Darling » n'est pas nouveau, mais il est fascinant, compte tenu de la manière dont le cadre domestique peut étouffer et dont les désirs et les ambitions d'une femme peuvent être dangereusement mal interprétés.
(Source : « vogue.fr »)
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atelier-naginata · 2 years
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Uninvited Guest : ambiance et jumpscare à outrance
Comme chaque année, j'annonce qu'en stream, pour Halloween, il y aura plein de jeux d'horreur. Et comme chaque année, octobre passe à une vitesse folle et je me retrouve à faire un jeu ou deux dans le thème… Pour 2022, j'ai cédé à la tentation de parcourir Uninvited Guest… et ça a été… bruyant.
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A la base, tout est partie d'une chaine Youtube que j'apprécie particulièrement (SHN Survival Horror Network), qui fait des let’s play de jeux d'horreur sans commentaire. Je dois faire partie des rares personnes qui n'aiment pas les LP de peur par des streamers/youtubeurs qui surjouent ou qui font des blagues qui tuent l'ambiance. Donc soit il faut que le joueur soit bien dedans, soit je préfère sans commentaire. Et donc (fermons la petite page de pub !), j'ai commencé à regarder le let’s play sur Uninvited Guest, pensant ne jamais le faire et l'offrir plutôt à ma victime favorite…
Sauf qu'au bout de 5 minutes de vidéo, j'avais déjà couiné et sursauté plusieurs fois… ce qui ne m'arrive jamais en regardant simplement des let’s play. Je savais donc que j'avais la perle qui produirait un spectacle intéressant.
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Uninvited Guest nous place dans la peau d'un père de famille désargenté et désespéré de ne pouvoir soigner sa fille atteinte d'une maladie rare. Un soir d'errance, il rencontre par hasard un riche collectionneur qui lui propose un marché qu'il ne peut rejeter : s'introduire par effraction dans un manoir et voler une toile particulièrement unique, contre une grosse récompense qui lui permettra de sauver sa fille. Sans se poser de question, notre protagoniste se jette sur son cheval et part en direction de la fameuse demeure pour accomplir son larcin.
La mention faite au cheval m'a fait tiquer par rapport à l'époque dans laquelle nous replace cet indice. Bon, en fait, je n'avais pas lu le résumé sur steam qui indique clairement que le jeu se passe en 1930. J'avais personnellement placé l'action vers 1600 et quelques… Mais en bref, l'action ne se déroule pas à notre époque, et cette info aura son importance.
Si vous souhaitez un résumé de l'aventure, vous pouvez visionner le récap du stream et des moments qui m'ont le plus marqué :
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Si l'on devait résumer Uninvited Guest à un mot, ce serait “jumpscare”. Il y en a plein, tout le temps, qui s'enchainent, de ouf, à répétition, c'est une véritable orgie non stop. Et il y a de quoi s'énerver un peu car déjà, le concept est sur-utilisé dans les jeux d'horreur de nos jours, mais certains sont particulièrement cheap et faciles, ce qui a tendance à m'agacer plus qu'autre chose.
J'ai une confidence à vous faire : quand je joue à ce type de jeu, ce qui me fait avancer à deux à l'heure et prendre tout mon temps est plus la peur des jumpscare que les sursauts en eux-même ; c'est la peur de se prendre d'un coup dans les oreilles un son très fort au milieu d'un silence de mort, c'est la peur de se voir projeter une image abomifreuse dans la tête d'un coup. Ou pour le résumer autrement, c'est la peur d'avoir mes sens maltraités brutalement, plus que la peur de l'environnement ou des créatures. Et avec Uninvited Guest, eh bien, je n'ai pas été déçue.
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Pour rajouter un peu à mon sel, certains passages, particulièrement dans le chapitre 4, m'ont exaspéré. Il y a d'abord une course  poursuite qui demande de se caler dans un recoin d'un couloir après avoir sonné une cloche. Sauf que le timing n'est tout simplement pas possible à respecter si vous jouer à la manette, ou avec une sensibilité de la souris trop basse. C'est le seul passage où j'ai dû passer clavier/souris après plusieurs essais infructueux. Mais limite, cette partie était facile comparé à ce qui m'attendait après : vous vous retrouvez dans une petite salle circulaire, entouré de statues, donc une seule se déplace très rapidement et traverse la pièce en ligne droite. Il faut du coup la suivre à chaque instant et l'esquiver, pour un temps indéterminé. Je dis “indéterminé”, n'ayant jamais réussi à arriver au bout de cet event.
Heureusement, le jeu contient de base un menu permettant de choisir le chapitre qu'on veut parcourir. Je prends ça, personnellement, pour un aveu de ratage, une façon pour les développeurs de dire “on sait qu'il y a quelques passages qui puent mais on veut vous permettre de voir la fin”. Je râle, mais merci ! J'ai pu passer ce chapitre 4 et arriver enfin à la délivrance.
Et quelle fin ! Je ne m'attendais à rien en particulier, et j'avoue qu'il s'est bousculé beaucoup de choses dans ma tête au moment où cet hélicoptère est passé au dessus de moi… Je n'en dis pas plus, si vous voulez voir cette cinématique, je vous renvoie à ma vidéo, avec le bon timecode.
Au final, Uninvited Guest a été une expérience intéressante, pas parfaite, mais avec une ambiance et certains passages qui m'ont vraiment plu, et avec pile poil la bonne longueur pour que l'aventure ne s'essoufle pas trop. Bref, un bon moment de peur, se payant le luxe d'être à petit prix sur Steam !
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qsmptwitchupdates · 1 month
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Etoiles is live in the category ELDEN RING!
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ed-jv · 2 years
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[FR] THE DEVIL IN ME - BONUS - Quelques morts - 4K 
THE DEVIL IN ME
BIENVENUE DANS THE DARK PICTURES
Une série de jeux d'horreur à embranchements développée par le studio à l'origine d'Until Dawn, idéale pour de courtes sessions de jeu en solo ou entre amis. The Devil in Me, son quatrième volet, est l'épisode final de la première saison.
Une équipe de documentaristes reçoit une mystérieuse invitation pour visiter une réplique du "Château des meurtres" du tueur en série H. H. Holmes. Une opportunité presque trop belle pour être vraie, à l'heure où ils cherchent désespérément à regagner l'intérêt du public.
L'hôtel semble être le cadre idéal pour leur prochain épisode, mais il leur réserve quelques surprises. L'équipe découvre bientôt qu'elle est surveillée, manipulée, et qu'il y a bien plus en jeu que son taux d'audience !
EXPLOREZ LE CHÂTEAU DES MEURTRES
Ne vous fiez pas aux apparences, l'établissement est à se damner ! Explorez les moindres recoins de l'Hôtel de l'Exposition universelle en tirant parti des nouveautés de cet ultime épisode, comme l'inventaire de personnage, les énigmes liées à des outils et la possibilité de courir, sauter et grimper.
VOTRE MORT EST SON DESSEIN
Échappez aux créations sadiques d'un esprit malfaisant souhaitant à tout prix devenir le plus grand tueur en série d'Amérique, et survivez à des "salles d'exécution" qu'il a spécifiquement conçues pour vous ôter la vie.
NE JOUEZ PAS SEUL
Mettez à l'épreuve votre courage et votre loyauté : risquerez-vous votre vie pour une personne qui vous est chère ? Les deux modes multijoueurs acclamés de la série sont de retour : vivez votre aventure en ligne avec un ami, ou misez sur la force du nombre en jouant hors ligne et jusqu'à 5 à tour de rôle.
Saurez-vous déjouer les plans du tueur et sauver l'intégralité de votre équipe ? Dans votre version de l'histoire, tous les personnages jouables pourront vivre ou mourir.
Développeur : SUPERMASSIVE GAMES
Éditeur : BANDAI NAMCO Entertainment
Sur PC - XBOX ONE - XBOX SERIES - PS4 - PS5 le 18 novembre 2022.
PEGI 18
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darkmovies · 3 months
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