basilepessoart · 10 days ago
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Y a du Niveau.
Vu le "plébiscite" (cliquez sur le lien originel malgré le risque ce claquage du pouce pour voir, 12 likes et....des commentaires, quel courage, j'en reviens pas) rare ici, apparemment le meilleur de mon travail tous domaines confondus depuis l'ouverture de ce Fb en août 2 017. Fascinant, la prochaine fois j'essaye "c'est l'histoire d'un mec, il a pété".
Par votre attitude lamentable, vous faites de ce Fb la preuve permanente que les meuliers et les là dis donc ont raison de trouver les blancs méprisables, de nous pisser dessus et de nous "Nick Conrader". Société en phase de dégénérescence finale, que n'importe quel gorille kahaniste peut retourner.
Basile Pesso, Land of Somewhere, 16 octobre 2 024 (Fb) Level 42, The Sun Goes Down
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observatoiredumensonge · 11 days ago
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L'ASSASSINAT DE SAMUEL PATY
Ce meurtre barbare d'un enseignement a pu avoir lieu parce que nombre d'enseignants se sont révélés des pleutres.
Temps de lecture = 4 minutes Ce meurtre barbare est le reflet de la lâcheté actuelle, morale et humaine. Par Marc Le Stahler Continue reading L’ASSASSINAT DE SAMUEL PATY
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letempsestephemere · 1 month ago
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A une époque très lointaine 400/500 après JESUS une armée musulmane avait envoyé leurs femmes cheveux lâchés et seins nus pour déstabiliser l’ennemi ILS SONT CAPABLES DE TOUT. Rappelez vous les enfants jetant des pierres aux Tsahal derrière les femmes et loin les petits hommes lâches et depuis des années le hezbollah est riche par ses plaques tournantes dans le Golf avec. “ les drogues” dans cette banque de gaza où il y aurait eu……un vol de 60 millions d euros ….. et rien à manger pour les enfants pris en otage par leur propre race 🥺🥺🥺🥺🥺🥺🥺🥺🥺🥺🥺🥺
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soulthom · 3 months ago
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Opiniâtreté et volonté d’avoir raison sont deux opposés
Si l’on veut avoir raison c’est parce qu’on sait qu’on a tort, et l’on ne veut alors pas s’exposer
L’opiniâtreté, elle, aime qu’on lui donne tort quand c’est vrai, car ça lui ouvre de nouveaux horizons !
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nullapophenia · 9 months ago
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scrungo dungo
if anyones ever wanted to see my thought process no you dont. this post is to flashbang myself at random points so i dont forget
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vicnormansstuff · 3 months ago
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🏴‍☠️L’orgueilleuse devise des formations d’assaut italiennes durant la grande guerre : « Me ne frego » (Je m’en fous), écrite sur le pansement d’une blessure, n’est pas seulement une profession de philosophie stoïque et le résumé d’une doctrine purement politique : c’est l’entraînement à la lutte, l’acceptation des risques qu’elle comporte ; c’est un style nouveau de vie italienne. C’est accepter et aimer la vie, ignorer le suicide et y voir une lâcheté ; c’est comprendre la vie comme un devoir, une élévation, une conquête : la vie doit être haute et pleine : vécue pour elle-même, mais surtout pour les autres, proches et lointains, présents et futurs…
Le 15 juin 1918, le commandant Freguglia convoqua le capitaine Pietro Zaninelli et ordonna une attaque contre les Autrichiens retranchés à la " Casa Bianca " de Montello. Il était essentiel de conquérir le bâtiment mais, et le major l'a bien précisé, c'était une mission suicide. Zaninelli a répondu - et est-ce une légende ou une histoire ? Le courage et l'abnégation doivent être estimés : "Monsieur le commandant, je m'en fous (Me Ne Frego), faites ce que vous avez à faire pour le roi et la patrie".
Et c'est ce qu'il a fait, obtenant la médaille d'argent de la valeur militaire pour sa mémoire avec cette motivation : "Il a été mortellement blessé par une mitrailleuse ennemie à la tête de l'Arditi de sa compagnie, après les avoir menés à trois reprises à l'assaut d'une position ennemie au chant de l'hymne du bataillon"…
Via la cagoule 1937
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lizzy-wanders · 5 months ago
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Honneur
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Je crois que ce qui est le plus à déplorer dans notre société contemporaine, c’est la disparition de l’honneur. Elle était pareille à une mère ; une femme gracieuse et élancée, belle autant que forte, mais également stricte, qui s'assure que sa progéniture puisse survivre et surtout vivre comme il se doit. Lorsque les hommes ont cessé de vouloir mourir pour elle, ils l’ont lentement traquée et mise à mort dans le secret afin ne plus en porter la responsabilité. Ils ont voulu faire taire ses précieux conseils ainsi que ses reproches bien méritées, promettant ainsi les générations futures à la lâcheté : cette nourrice qui n’enseigne rien, mais gave plutôt ses protégés jusqu’à les faire vomir pour les nourrir encore. Elle les maintiens dans un cocon de plaisirs et d’émotions qui doivent sans cesse être écoutées et validées au lieu d’être appréhendées et comprises.
Or, il n’est jamais été question de mourir pour être honorable, cela n’était qu’un mensonge grossier perpétré par des extrémistes. L’honneur, c’était avant tout de respecter ses engagements même lorsque cela devenait difficile ou que l’on en avait plus envie, traiter autrui avec dignité, travailler dur et demeurer humble. Il s’agissait de principes simples auxquels tous avaient avantage à se plier, pourtant, on a voulu s’en départir comme un enfant capricieux pousse ses légumes hors de son assiette.
Aujourd’hui, c’est comme si l’on avait voulu effacer jusqu’à la mémoire même de l’honneur. On ne prononce guère plus son nom, mise à part dans les contes et les romans. On ne l’enseigne plus aux petits et à sa place, on donne des instructions vagues et moins fortes,  comme « sois gentil », ou « sois patient ». Il en résulte des individus maladroits et hypocrites qui ne se soucient point de l’impact qu’ils ont chez les autres et croient à tort que tous les écarts de conduite pourront être pardonnés ou oubliés. Rétablir son honneur n’est plus un enjeux, la noblesse de caractère s’est perdue, les rois et les reines sont déchues.
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ekman · 9 months ago
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Je constate que la France, avec la participation active de l'UE et sous le haut patronage du commisaire Breton, s'enfonce doucement dans une forme anesthésiante de dictature avérée. En effet, la plupart des canaux d'information russes ou pro-russes habituellement disponible sur Telegram, sont rendus inaccessibles avec un numéro de mobile français... "car ils enfreignent la législation locale". Je voudrais que l'on me présente la loi qui autorise le gouvernement à censurer l'information sur Internet, fut-elle russe. Car, je ne sache pas que nous soyons en guerre avec Vladimir – du moins pas officiellement et, de toute façon, le serions-nous que ce serait de la plus déplorable façon : a-t-on jamais gagné de guerre en ne la déclarant pas ? Bien entendu, personne ne réagit à cela, la plupart de mes compatriotes (quotidiennement entrainés à regarder le doigt et non la lune) considérant que "c'est normal puisque c'est Poutine l'agresseur". J'ajoute que j'ai également expérimenté aujourd'hui mon premier cas de lâcheté numérique, un (ou une ? Un .iel peut-être ?) membre de la vaste tribu Tumblr ayant cru bon de me traiter de criminel sexuel suite à mon billet sur Gérard Depardieu : "vu que vous défendez un pédo et un violeur on peux considérer que vous l'êtes aussi ? Abruti de première, c'est grave quand même de mettre tant d'énergie à défendre un criminel". Cela m'a bien fait rire, et je souhaitais recommander en retour à ce .iel d'aller découvrir les joies de l'hypnose avec Gérard Miller, mais le courageux personnage m'avait entretemps bloqué. Encore un Bayard du clavier, voire un petit Breton exilé !
J.-M. M.
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leparfumdesreves · 2 months ago
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Avec sa chanson, "La Corrida" sortie en 1994, Francis Cabrel s’inscrit dans la lutte anti-corrida. Dans ce subtil plaidoyer contre la Tauromachie, Cabrel se met à la place d’un taureau et lui donne la parole pour dénoncer l’absurdité et la cruauté de la Corrida. Ainsi le personnage central de la chanson, le "Protagoniste", le Narrateur, n’est pas un homme, mais le taureau qui doit faire face au Toréador et à la foule réunie pour le voir se faire tuer dans l’arène. "Je ne pensais pas qu’on pouvait autant s’amuser autour d’une tombe".
Il décrit tout ce qui s’y passe, de l’attente dans le couloir noir à la mort tout en passant par les diverses tortures subies par l’animal. Il entonne avec force et ironie un refrain devenu mythique, "Est-ce que ce monde est sérieux ?".
Par cette phrase, Francis Cabrel cherche à nous faire prendre conscience de la mesquinerie et de la lâcheté qui règne lors d’une corrida.
Cette chanson est dans tous les esprits des militants anti-tauromachie et devient leur Hymne...
Merci Monsieur Cabrel...🙏
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observatoiredumensonge · 1 year ago
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L’autocensure est un mal corrosif qui se nourrit de la peur et de la lâcheté.
Ce n’est pas en refusant la vérité que notre monde s’en sortira. + On a senti comme un malaise… Par Gilbert Malaval Restez informés, abonnez-vous à Semaine du MENSONGE au tarif préférentiel exceptionnel de : 1,50 € par mois pendant un an,Paiement sécurisé. Abonnement annuel 1,50 € par mois Cliquer ICI Attention ce texte est un pamphlet n’engageant que son auteur. Observatoire du…
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lounesdarbois · 3 months ago
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Les Anglais de souche attaquent leur police dans plusieurs villes pour la punir de sa lâcheté envers les racailles. Superbe phénomène, pourtant logique et prévisible. En Angleterre, les hommes qui tiennent la rue sont les Anglais de souche eux-mêmes avec une vraie culture de la baston, mêlée à une certaine confiance en la loi ("loyalism", "being a loyal subject"), ce qui fait que la racaille rase les murs, tenue en respect par les poings dans leurs gueules et par les caméras. Il n'y a pas "d'invasion" en Angleterre comme chez nous, je fréquente ce pays depuis 1989. Le peuple de souche là-bas continue sa vie aujourd'hui comme dans les années 80, il se reproduit, il gagne de l'argent, il casse des gueules, s'entraîne et se saoule comme si rien n'avait eu lieu depuis 40 ans. C'est cette continuité parfaite de la vie qui vous étonne en premier lieu là-bas.
Liverpool, Sunderland, Leeds, et tant d'autres villes du nord, surtout les plus pauvres (Stoke-on-Trent, Derby, Birmingham) sont des lieux où la racaille est vaincue chaque fois qu'elle bouge depuis des décennies, tout l'inverse de chez nous.
En Angleterre il y a très peu de y*. Un prolétariat choyé, de souche, qui réside en maisons individuelles, parfaitement raccord avec les intérêts de la bourgeoisie. Peu d'idéologie. Haine absolue du socialisme, des étrangers et de l'emprise de l'Etat, soit un peuple quasi invincible au plan mental, physique et économique.
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orendil · 26 days ago
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Pendant longtemps, j'ai cru que c'était ça, la vie. Sauver tout le monde. Que je devais le faire, parce que sans cela, il n'y avait rien. J'avais besoin de cette mission, de ce fardeau. La douleur des autres, je la voulais. Je voulais m'en recouvrir, la porter à même la peau, comme une armure, pour combler ce qui manquait. Parce qu'il manquait toujours quelque chose. Une brèche, une absence, un vide si grand que même l'amour ne pouvait plus rien y faire.
J'ai cru que j'étais forte. Que j'étais assez forte pour tout porter. Pour prendre sur moi la peine des autres, leur tristesse, leur malheur. Parce qu'il fallait que je sois quelqu'un de bien. Pour eux, pour moi. Mais surtout pour moi. Pour ne pas sentir ce vide, ce gouffre. Il fallait que je sois forte pour eux, et dans ce mensonge, je me disais que peut-être, j'existerais.
Et puis, la vérité est venue, doucement d'abord, puis d'un coup. La lâcheté. Elle m'a pris à la gorge. Je n'étais pas cette femme, cette sauveuse que je prétendais être. J'étais fatiguée, lasse. Incapable de porter même un souffle de plus. Le monde, je ne pouvais plus le sauver, et peut-être que je ne l'avais jamais pu. Peut-être que tout cela, c'était seulement pour moi. Pour me convaincre que je valais quelque chose. Pour me donner une existence. Mais je n'y arrive plus. Je n'en peux plus.
Alors maintenant, il reste quoi ?
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bell-jarring · 3 months ago
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Il se peut que je confonde,
Mon obsession enfantine,
Avec les émotions profondes.
Ou peut-être suis-je la victime,
D’un monde paradoxal et immonde.
Je ne cède pas à la lâcheté,
Et d’une voix forte et douce,
Je proclame avec fierté,
Que je veux que ma bouche,
Ne prononce que son nom pour l’éternité.
Non, mon amour n’est pas sensé,
Et ce n’est pas du tout prudent.
Mais les règles, je les ai renoncés,
Quand j’ai vu ses lèvres tentantes.
Je n’ai aucune raison, pour laquelle je l’aime,
Qui pourrait satisfaire leur trahison,
Contre toutes les émotions humains.
Mon amour transcende leur confinement,
Et se satisfait de son propre raisonnement.
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e642 · 7 months ago
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Le point de non retour relationnel, je le ressens comme un long soupire. Un élan pour arranger les choses, et puis, finalement, se résigner à les laisser tel quel. Un "ça ne sert à rien" chuchoter doucement mais constamment. C'est quand tu sens que ça t'impacte toujours mais plus de la même manière qu'avant. Tristesse s'est changée en colère et inquiétude en lassitude. C'est quand le ratio contribution/rétribution d'une des actions que tu t'apprêtes à faire se fait instantanément. Où avant il fallait peser le pour et le contre, là, ça s'impose à nous. Sûrement aussi quand tu ne t'arrêtes plus sur aucune inattention, manque, maladresse, tu te dis que c'est pas grave là où avant ça l'était. C'est cette perte de significativité. Cette indifférence de l'indifférence de l'autre. Il n'y a plus de conditionnel, on est plus dans le aurait pu, aurait dû, j'aimerais que, pourrait faire. C'est plus une question d'attente parce que, petit à petit, ça germe, un jour on se lève et on attend définitivement plus rien de quelqu'un. C'est sûrement ça l'acceptation. Non pas que la relation soit acceptable ou qu'on se résolve à la laisser s'atrophier, au contraire, je crois que c'est à ce moment là que naît le déclic. Le saisir c'est dur, s'en dessaisir l'est peut-être davantage même s'il n'y paraît pas quand on est dans le présent. J'ai toujours trouvé ça surprenant le travail interne qu'il se passe en nous. En les autres. Je ne crois pas qu'on puisse toujours être sûr de se lever émotionnellement intact et indemne de la veille. Ça arrive comme ça. Un jour la réserve est épuisée là où tu pensais pouvoir puiser indéfiniment. La plupart des mises à jour émotionnelles sont libératrices, parce qu'on peut enfin avancer, ou concevoir qu'on puisse avancer, mais elles sont douloureuses aussi. Si ça fait mal c'est parce que ça appelle à faire fatalement des choix qui seront visiblement peu anodins. Il n'y a rien de plus effrayant que de faire un choix en réalité. C'est pas le faire le problème, c'est l'issu, les répercussions, les conséquences. Au fond, c'est compliqué de se dire qu'on saura si notre choix nous dessert uniquement quand il sera fait. C'est pour ça que beaucoup en font peu ou le moins possible en comptant sur le reste du monde pour le faire à leur place histoire de se sentir parfaitement intègre et léger. C'est sûrement ça que j'attends aussi. J'ai toujours voulu qu'on choisisse pour moi. Cependant, je sens au fond de mon cœur cette urgence de prise d'initiative et de décision. Ça me fait mal constamment. Je me demande pourquoi ce serait à moi de faire certains choix alors que j'y suis seulement poussée. C'est injuste. Pourquoi je devrais être maître des conséquences alors que je n'ai pas été maître de l'arrivée du choix ? Pourquoi la lâcheté de certains devraient nous pousser à avoir le courage de faire des choix qui nous appartiennent certes mais dont nous ne sommes pas le décisionnaire réel ?
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norellenilia · 5 months ago
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Je décède de rire
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Vraiment comment se dédouaner de tout comportement malsain qui ne sera pas présenté comme tel qu'on trouvera dans l'histoire grâce à la sempiternelle formule magique de la lâcheté, "C'est d'la fictiooooon !"
Un bon moyen aussi de prendre les lecteurs qui réagiront pour des imbéciles en leur disant que "si vous savez pas séparer la fiction de la réalité c'est vot' problème ololol"
Je sais pas si c'est le signe pour moi d'abandonner maintenant ou au contraire de persévérer pour voir jusqu'à quel point je n'ai pas de discernement lol
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christian-dubuis-santini · 3 months ago
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Que les activistes "vegan" s’attaquent plus volontiers à des boucheries fermées qu’à des chasseurs en battue, ou que les pourfendeurs de religion préfèrent s’en prendre au christianisme qu’à l’islam, quoi d’étonnant? "Tendre l’autre joue" ne signifie pas ce qu’on croit a priori…
"Tendre l'autre joue" est l'une des paraboles chrétiennes les plus mal comprises depuis son origine.
Une remarquable variation contemporaine du "tendre l'autre joue" se trouve dans le Fight Club de David Fincher, notamment dans cette scène d'anthologie où le héros du film s'auto-tabasse devant son patron...
Voilà le sens ultime du "tendre l'autre joue", loin d'être une forme de passivité morbide, un déficit de combativité, un aveu de faiblesse, une lâcheté ou une démission, c'est au contraire le défi suprême, aller dans le même sens que l'Autre au point de le dégonder (le faire sortir de ses gonds) le laisser à l'inconsistance de sa position, en s'extrayant du cercle de l'échange, de l'action/réaction, du commerce, des calculs, des intérêts pathologiques, des petites perversions...
Freud avait compris que la psychanalyse se trouvait soumise à la même problématique, la même logique (et la même incompréhension fondamentale) que ce qui avait forcé le Christ à proposer de "tendre l'autre joue", à savoir rompre ce cercle vicieux de l'échange par une attitude susceptible de changer les coordonnées mêmes de la "réalité" relationnelle, c'est ainsi qu'il donnait en 1933 ce conseil à l'une de ses patientes préférées, Hilda Doolittle: "Je vous en prie, jamais­ je veux dire jamais, à aucun moment, en aucune circonstance, n¹essayez jamais de me défendre si et quand vous entendez des remarques injurieuses sur moi et mon travail... Vous ne ferez pas de bien au détracteur en commettant la faute d¹entreprendre une défense logique. Vous approfondirez seulement sa haine, ou sa peur et ses préjugés."
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