Tumgik
#l'amour parle en fleurs
caypso · 11 months
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Dans le silence des âmes parlantes,
Les cœurs s'étreignent en un ballet muet,
Chaque battement, une étoile filante,
Dans l'immense ciel de l'indicible secret.
Sensibilité à fleur de peau,
Des cœurs qui dansent sans aucun écho,
L'absence de mot, douce caresse,
Un langage né de la tendresse.
Ému par l'invisible, par l'inaudible,
Là où les mots perdent leur sens,
L'amour s'exprime, pur et indicible,
Dans l'abandon total et immense.
J'aurais vu dans ce silence,
Une toile vierge pour l'espérance,
Les cœurs sensibles, en leur essence,
N'ont nul besoin de mots pour leur danse.
Dans le grand théâtre de l'existence,
Les âmes s'effleurent sans résonance,
Et dans ce monde où tout est absence,
Le cœur parle, suprême élégance.
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skelethrash · 8 months
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TON NOM
C'est marrant quand on parle de toi j'ai encore ce genre de réflexe heureux parfois. Une surprise plus qu'un choc, un souvenir plus qu'une joie,
Ce truc que tu ressens tout au fond de toi, comme si tes rouages avaient une conscience propre et profonde. C'est bête je sais.
Ou alors quand ton oreille choppes un mot en l'air dans une conversation étrangère, qu'il sonne un peu trop comme une chanson familière.
Moi, suffit d'un son trop violent ou trop tordu pour que tout ce mette à dérailler là dedans.
La poésie, l'amour, les contes de fées, les âmes maltraitées, les fleurs, les souffles, les condamnés, les âmes dérobées.
Si c'est en six lettres que tu t'es créé, il en faudrait des milliers pour exprimer tout ce que j'ai pu rejetter.
Puis à quoi bon, tout ce qu'il me reste c'est ton nom, alors autant en faire quelque chose de beau non?
V-I-K-T-O-R
V pour vain, I pour illusoire et K pour kouteau.
V-I-K-T-O-R
Et que'ce que j'aurais pas donné pour en aimer la sonorité?
V-I-K-T-O-R
Puis à quoi bon, tout ce qu'il me reste c'est ton nom.
Je dois t'avouer que je sais pas vraiment ce que j'raconte, la musique, d'habitude c'est moi qui l'écoute.
L'amour m'a rendu plume et ta fait ancre, sans toi je ne suis que passager du vent, sans trace de mon passage.
Faut dire que je sais pas aligner deux mots, j'ai juste un sacré culot de poser tout ça ici où un simple courant d'air peut guider.
Tu savais si bien dire, même quand t'écrivais les trucs les plus moches et blessant tu le rendait beau.
Aurevoir, c'est finis, merci d'être resté, ça va jamais s'améliorer, je t'aime, un jour, ne regrette pas, ne t'acharnes pas.
C'est peut être en six lettres que tu t'es créé, mais c'est en des milliers que je t'aimais, et pour l'éternité.
Puis à quoi bon, tout ce qu'il me reste c'est ton nom, alors autant en faire quelque chose de beau non?
V-I-K-T-O-R
T pour «Trop tard», O pour «Oxymore» et R «Reste encore un peu»
V-I-K-T-O-R
Et que'ce que j'aurais pas donné pour en aimer la sonorité?
V-I-K-T-O-R
Puis à quoi bon, tout ce qu'il me reste c'est ton nom.
Si tu savais à quel point je les ai détestés c'est six putain de lettres, me demande pas pourquoi j'ai jamais su la raison.
Ptêtre un mauvais jour, le blues post concert qui te fout la rage de pas avoir assez profité dla scène.
Maintenant je les aime, regardes, j'en écrit des chansons maintenant, ironic je sais.
Et même que j'en savoure chaque syllabes lorsqu'elles s'assemblent pour passer entre mes lèvres lors d'une conversation familière qui sonne un peu trop comme une chanson étrangère.
Kanné, I want you, I love you so, trop beau. Boys don't cry, true love waits, infirmière, quand je les écoute je sais pas si je veux t'embrasser ou me foutre en l'air.
Quand j'entends ton nom c'est comme être déporté dans ma propre tête, là où même les plus courageux n'irons pas en quête.
Puis à quoi bon tout ce qu'il me reste c'est ton nom alors autant en faire quelque chose de beau non?
V-I-K-T-O-R
V pour «Vas voir ailleurs si j'y suis», I pour «Il en restera plus rien», K pour «Kasse toi d'la».
T pour «T'es vraiment qu'un enculé», O pour «Ok, c'est bon j'ai compris», R pour «Reste loins de moi j'ten supplis»
V-I-K-T-O-R
V pour «Viens dans mes bras, juste ceux-là, juste pour cette fois», I pour «Impression de mourir à chaque instant quand t'es pas là», K pour «Kramé au troisième degrés»
T pour «Tu me manques tellement», O pour «Oui, je t'aime mon amour.», R pour «Reviens quand tu veux.»
Il est beau ton nom, Viktor.
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ladyniniane · 1 year
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Coucou :)
A mon tour haha,
🧾What is the most memorable book ending you’ve ever read? Did it leave you satisfied or wanting more ? 
📔Do you have any bookish rituals or habits that you follow before, during, or after reading a book ?
Bonne soirée à toi :)
Salut et merci pour tes questions :D
🧾What is the most memorable book ending you’ve ever read? Did it leave you satisfied or wanting more ?
Alors, beaucoup de fins m'ont plu ou marquée, en voici quelques unes !
La fin de Anne de Redmond de Lucy Maude Montgomery, que je trouve vraiment douce et adorable :
Gilbert l'attira contre lui et l'embrassa. Puis, ils prirent le chemin du retour au crépuscule, roi et reine couronnés dans le royaume nuptial de l'amour, le long des chemins sinueux frangés des plus jolies fleurs qui aient jamais éclos, et à travers des prairies hantées du souffle des vents de l'espoir et du souvenir.
J'avais aussi beaucoup aimé la fin de The winter witch de Paula Brackston (typiquement une lecture doudou pour moi). L'héroïne ne parle pas pendant tout le récit et trouve la force de le faire juste à la fin pour répondre à son mari qui lui dit qu'il l'aime et parce qu'elle se sent en confiance.
Du coup, les deux étaient très satisfaisantes haha.
📔Do you have any bookish rituals or habits that you follow before, during, or after reading a book ?
Tout tourne beaucoup autour de Goodreads. Quand un livre m'intéresse, je l'ajoute dessus pour m'en souvenir. Ensuite, pendant que je lis, je me mets dans un endroit confortable, de préférence à côté de mon chat. Une fois que j'ai terminé, je note le livre sur Goodreads pour garder une trace de ma lecture.
Bonne journée à toi !
Bookish asks
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princemots3314 · 6 months
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Je lui parle.
Je peux encore parler à la #fleur.
Dialogue des débuts, la terre qui invoque le ciel pour verser quelques gouttes.
Il y a dans l'#infini d'un #instant, l'illusion de temps où le rêve tente de prendre forme en quelque forme que ce soit, assez de temps pour d'autres rêves.
Il y a assez de temps pour d'autres litanies.
Je parle à la fleur.
Et le néant ? Le pré n'est jamais désert. Les touffes de jasmin aux versants de nos pensers rappelle aux cœurs que la vie est là.
Puis, le matin est un chant.
L'heur est la lecture attentive de la rosée.
L'heur est l'ombrage de l'amour.
Chaque jour, le rêve se promène à l'allée de la passion.
C'est le bonheur qui prend forme en quelque forme que ce soit.
Le matin est un chant.
Et des litanies.
Je parle à la fleur.
#prose
#poesie
#poetry
#poesia
#prince_des_mots
Mohammed Labib
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ON VA REDÉFINIR CE QUE SONT NOS BESOINS TERRESTRES HUMAINS, SI VOUS LE VOULEZ BIEN, MES CHERS AMIS.
CAR L'AVIS OU L'OPINION DIVINE EST DIFFÉRENTE DE LA NÔTRE.
EN EFFET, LES PENSÉES DU CRÉATEUR NE SONT PAS DU TOUT, COMME NOS PENSÉES.
Jusqu'à présent, on pensait que nos besoins étaient de respirer, de manger, de boire, de dormir, d'aller aux toillette, de se laver afin de rester propre, de se vêtir pour se réchauffer et cacher sa nudité, d'avoir une maison pour se protéger, le sexe, le besoin d'accomplissement, d'avoir des objectifs qui nous donnent envie de vivre de tout notre être, jusqu'à la fin de notre existence terrestre et le besoin d'échanger ou de communiquer avec nos semblables, avec Dieu et avec tout ce que Dieu a créé.
Et le besoin de se sentir bien, de fonder une famille et de se multiplier sur la terre, tout simplement.
Mais Jésus qui est le chemin, donc l'unique exemple à suivre, par son enseignement et par sa vie, a redéfini nos besoins humains, en nous disant :
"Alors, lequel d'entre vous, en s'inquiétant, pourrait ajouter quoi que ce soit à sa vie ? "Et pourquoi te soucierais-tu de tes vêtements ? Regardez toutes les belles fleurs des champs. Elles ne travaillent pas et pourtant, même Salomon, dans toute sa splendeur, n'a pas été vêtu d'un vêtement aussi beau que l'une d'entre elles !"
"Si Dieu a vêtu la prairie de foin, qui n'est là que pour un temps, puis qui sèche et brûle, ne te fournira-t-il pas les vêtements dont tu as besoin, toi qui as peu de foi ? "Abandonnez donc vos soucis ! Pourquoi dire : "Que mangerons-nous ?", "Que boirons-nous ?", "De quoi nous vêtirons-nous ?"
"Car c'est à cela que courent les incrédules. Votre Père céleste ne connaît-il pas déjà les besoins de votre corps ?"
Et Jésus va même plus loin que cela en nous disant que sans lui ou encore séparé de Dieu, nous sommes des incapables.
"Je suis la vigne, vous êtes les sarments. Celui qui vit en moi et moi en lui porte beaucoup de fruits. Mais si vous n'êtes pas avec moi [si vous n'êtes pas en union vitale avec moi], vous ne pouvez rien faire."
Le but d'une branche d'un arbre est de porter du fruit, donc Jésus nous dit en réalité, que sans lui, donc sans rester connecter en permanence à Dieu, on n'accomplira jamais la raison pour laquelle on existe, mes chers amis.
LA VIE DU CHRIST NOUS DONNE LE COMPLÉMENT FINAL DE CET ENSEIGNEMENT, CAR IL NOUS DIT QUE SA NOURRITURE, DONC SON SEUL BESOIN, SON UNIQUE OBJECTIF DE VIE, EST DE FAIRE LA VOLONTÉ DE DIEU EN PERMANENCE, JUSQU'À LA FIN DE SON PARCOURS TERRESTRE.
"JÉSUS LEUR DIT : MON REPAS (MA NOURRITURE) EST DE FAIRE LA VOLONTÉ (LE PLAISIR) DE CELUI QUI M'A ENVOYÉ ET D'ACCOMPLIR ET D'ACHEVER COMPLÈTEMENT SON ŒUVRE."
FAIRE LA VOLONTÉ DE DIEU QUI EST AU CIEL EN PERMANENCE, EST DONC LE SEUL BESOIN DU CROYANT VÉRITABLE.
JE PARLE DE CELUI QUI CONSIDÈRE JÉSUS, QUI EST DIEU, COMME SON SEUL MODÈLE DE VIE, COMME LA SEULE PERSONNE À SUIVRE.
JE PARLE DE VIVRE POUR PLAIRE À DIEU CONTINUELLEMENT, JE PARLE D'UNE VIE DE SACRIFICE, ET DE RENIEMENT DE SOI, JUSQU'À LA FIN DE SON EXISTENCE TERRESTRE.
Si là n'est pas ta façon actuelle de vivre, de plus en plus, pourquoi dire que tu aimes Dieu et que tu veux passer l'éternité avec lui ?
En effet, aller au ciel consiste à vivre dans la maison de Dieu.
Veux-tu vivre pendant l'éternité avec quelqu'un que tu n'aimes pas de tout ton être au point de former un avec lui ?
CAR SI TU N'AIMES PAS DIEU, DE TOUT TON ÊTRE, EN ÉTANT SUR TERRE, NE CROIS PAS QUE PASSER L'ÉTERNITÉ AVEC LUI, FERA QUE TU L'AIMES DAVANTAGE, CHER AMI(E).
EN EFFET, L'AMOUR DE DIEU, RESPECTE LA VOLONTÉ DES ÊTRES HUMAINS.
DONC SI TU NE T'ES PAS LAISSÉ CHANGER SUR TERRE PAR LE CRÉATEUR, TU NE TE LAISSERAS PAS NON PLUS CHANGER PAR LUI, APRÈS TA MORT.
SI TU NE ME CROIS PAS, JE T'EXPLIQUERAI POURQUOI, DANS LA SUITE DE CE TEXTE.
LE CIEL N'EST PAS FAIT POUR CEUX QUI N'AIMENT PAS DIEU DE TOUT LEUR ÊTRE.
LA PARABOLE DES NOCES DU FILS DU ROI, NOUS LE FAIT COMPRENDRE.
EN EFFET, UN HOMME SANS HABIT DE NOCES, DONC SANS ÊTRE REMPLI DE L'AMOUR VÉRITABLE POUR DIEU, S'EST RETROUVÉ PAR MÉGARDE AU CIEL, DONC AUX NOCES DU FILS DU ROI.
ET LE ROI QUI REPRÉSENTE DIEU, EN RÉALITÉ, A DIT DE METTRE CETTE PERSONNE, SANS HABITS DE NOCES, DONC SANS AMOUR VÉRITABLE POUR DIEU, EN ENFER.
Car cette personne ne s'est pas préparée à aller au ciel, en vivant sa vie terrestre de tout son être, en étant fidèle à ses convictions intimes et profonde, et en respectant sa propre conscience, jusqu'à la fin de sa vie.
Autrement dit, cette personne n'a pas vécu une vie qui montre à Dieu qu'elle était sincère, tout simplement.
Durant son séjour terrestre, elle n'a pas laissé Dieu la conduire, à travers sa propre conscience, afin que le Créateur lui apprenne à vivre en aimant Dieu et les gens autour d'elle, afin d'un jour d'aller au ciel, et d'y être heureux.
Si tu veux les références de ce passage, concernant cette parabole, à toi de le retrouver, cher ami(e).
Car le salut est personnel.
Et la seule personne qui est digne de confiance est ton Créateur.
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lahabanera · 1 year
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La structure de l'Opéra
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Acte 1
No. 1 Prelude - A public square in Seville No. 2 Scene and Chorus: ‘Sur la place, Chacun passe’ - Moralès, Micaëla, Chorus No. 3 Chorus of Urchins: ‘Avec la garde montante’ - Moralès, Don José, Chorus Recitative: ‘C’est bien la’ - Zuniga, Don José No. 4 Chorus of cigarette girls: ‘La cloche a sonné’ - Carmen, Chorus No. 5 Habanera: ‘L'amour est un oiseau rebelle’ - Carmen, Chorus No. 6 Scene: ‘Carmen! Sur tes pas nous pressons tous!’ - Chorus Recitative: ‘Quels regards! Quelle effronterie!’ - Don José, Micaëla No. 7 Duet: ‘Parle-moi de ma mère’ - Don José, Micaëla Recitative: ‘Reste là maintenant’ - Don José, Micaëla No. 8 Chorus: ‘Que se passe-t-il là-bas?’ - Zuniga, Chorus No. 9 Song and Melodrama: ‘Mon officier’ - Don José, Carmen, Zuniga, Chorus No. 10 Seguidilla and Duet: ‘Près des ramparts de Séville’ - Carmen, Don José No. 11 Finale: ‘Voici l'ordre; partez’ - Zuniga, Carmen
Entr'acte
Act 2 - Lillas Pastia’s Tavern
No. 12 Gypsy song: ‘Les tringles des sistres tintaient’ - Carmen, Mercédès, Frasquita Recitative: ‘Messieurs, Pastia me dit’ - Frasquita, Zuniga, Carmen, Mercédès No. 13 Chorus: ‘Vivat! Vivat le Toréro!’ - Zuniga, Carmen, Frasquita, Moralès, Chorus No. 14 Couplets: ‘Votre toast, je peux vous le rendre (The Toreador song)’ - 1.04 Escamillo, Frasquita, Mercédès, Carmen, Moralès, Zuniga, Chorus Recitative: ‘La belle, un mot’ - Escamillo, Carmen, Zuniga
Exit of Escamillo
Recitative: ‘Eh bien vite’ - Frasquita, El Dancaïro, Mercédès, Carmen No. 15 Quintet: ‘Nous avons en tête une affaire!’ - El Dancaïro, El Remendado, Carmen, Frasquita, Mercédès Recitative: ‘Mais qui donc attends-tu?’ - El Dancaïro, Carmen, El Remendado No. 16 Canzonetta: ‘Halte-là! Qui va là?’ - Don José, Carmen, Mercédès, Frasquita, El Dancaïro, El Remendado Recitative: ‘Enfin c’est toi!’ - Carmen, Don José No. 17 Duet: ‘Je vais danser en votre honneur’ and The Flower Song ‘La fleur que tu m'avais jetée’ - Carmen, Don José No. 18 Finale: Holà! Carmen! Holà! - Frasquita, Mercédès, Carmen, Don José, El Remendado, El Dancaïro, Zuniga, Chorus
Entr'acte
Act 3 - A Wild Mountain Pass
No. 19: Sextet and Chorus: ‘Écoute, compagnon, écoute’ - Mercédès, Frasquita, Carmen, Don José, El Dancaïro, El Remendado, Chorus Recitative: ‘Reposons-nous une heure ici’ - El Dancaïro, Carmen, Don José No. 20 Trio: ‘Mêlons! Coupons!’ and The Card Aria ‘En vain pour éviter’ - Frasquita, Mercédès, Carmen Recitative: ‘Eh bien? Nous essayerons de passer’ - Carmen, Frasquita, El Dancaïro No. 21 Morceau d’ensemble: ‘Quant au douanier, c'est notre affaire!’ - Frasquita, Mercédès, Carmen, El Dancaïro, El Remendado, Chorus No. 22 Aria: ‘C'est les contrebandiers le refuge ordinaire’ and ‘Je dis que rien ne m'épouvante’ - Micaëla Recitative: ‘Je ne me trompe pas’ - Micaëla, Escamillo, Don José No. 23 Duet: ‘Je suis Escamillo, Toréro de Grenade!’ - Escamillo, Don José No. 24 Finale: ‘Holà holà José!’ - Carmen, Escamillo, Micaëla, Frasquita, Mercédès, El Dancaïro, Don José, El Remendado, Chorus
Entr'acte
Act 4 - Public Square in Seville, The Entrance of the Arena
No. 25 Chorus: ‘A deux cuartos!’ - Zuniga, Chorus No. 26 March and Chorus: ‘Les voici! Voici la quadrille’ and ‘Si tu m'aimes, Carmen’ - Frasquita, Mercédès, Carmen, Escamillo, Chorus, Children’s Chorus No. 27 Duet and Finale: ‘C'est toi? C'est moi!’ - Carmen, Don José, Chorus
Libretto
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J'ai donné un coup de poing à une fleur
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Elle m'a embrassée .
Cette fleur était Violette comme Dieu et les Femmes.
Divin cri ,pleurs des flammes
Je tournait sur moi même, cherchant mon corps
Je pleurait dans les viols ,hurlant la mort et quand j'ai épouser la pluie sa bague de fiançaille était le sang du soleil et les larmes Mauve du ciel si Bleu
Mes entrailles si Prune invoquaient la Lune
Le ciel saigne et repeint le monde ce soir mon amour!
Rouge sont les routes dans le Bleu pour toujours
La Lune criait .
La Femme est la nuit et l'homme le matin
Il était temps que la nuit se dénude et hurle sa splendeur dans ses voûtes célestes.
Là où les artères de l'univers sont les ovaires crucifiées et sanctifiées
La dernière cène n'est pas que le cri du Christ mais aussi celui des femmes .
Les vulves sont accrochées à des croix dans des manteaux Violet et des couronnes en épines.
Judas n'est pas la foi mais bien le patriarcat
Là où la mer se suicide ,pendue à ses propres vagues, elle ressuscite dans l'abstrait de la peinture ,celle de la folie absolue
Là où le chaos abolie le mur du son pour faire des années lumiere une Éternité accessible aux justes
Là où les étoiles dansent la valse dans l'osmose et l'eau est une mélodie qui nous berce dans ses partitions aquatiques
Je renaît et retrouve mon corps dans une danse somptueuse
Je fume le cœur d'une fleur de lavande .
Elle me fait l'amour en échange, léchant mes tétons comme on prie l'infinie.
Elle me parle ,cette fleur violente aux cheveux fous et violés par le mal.
Sa violence est d'une si grande douceur ,d'une pudeur mystique et symphonique.
Sa souffrance danse comme le firmament et les épiphanies solidaires de l'amour .
Son Violet est nue dans son voile d'étoiles là où Babylone est pardonné.
La Vierge est sacrée et j'en porte un voile
Les putes son sacrées et j'en suis la voile
Les criminels deviennent des roses repenties aux odeurs de pardon et de foi révolutionnaire.
Les Femmes crucifiées par la vulve brandissent le sang de leur sexe et peignent un nouveau monde Mauve ,entre le Bleu du ciel et le Rouge de leur cri
J'ai donnée un coup de poing à une fleur et elle est devenue poésie
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Nébuleuse
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gedjub · 2 years
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270223 Pars du principe que la plupart d'entre nous est perdue, dans le brouillard au pays de l'amour.
280223 au bon soleil du matin, les camions des lions, les arbres des arbres (moi aussi peux-être), les oiseaux des oiseaux, les gens des singes, ou des perroquets.
+ Avec les rêves j'ai une nouvelle habitude: je savoure en me couchant les restes de ceux de la veille.
010323 ballon bleu sur ciel bleu, je monte chercher une vieille idée, une image d'enfance. Immeuble, oiseaux et ciel bleu, calme, fenêtre et pelouse, horizon, vol et monologue. Un vase et des fleurs dans l'intérieur blanc, des va-et-vient volants entre le toit et chez moi. Je cherche des yeux dans le ciel bleu la vue d'oiseau que je connais, le toit encore flou où me poser, et reprendre cette histoire-là. Et dessiner ce miroir. Et redescendre, pour te raconter l'élégance de cette vision d'enfance.
+ Le soleil entre, j'ouvre la fenêtre, et je vais me mettre dans l'autre pièce pour regarder les rayons passer dans le couloir. Alors je vois, chez moi, le ciel bleu, les mouettes blanches tournoyer, les parasols jaunes, le sable et la mer.
+ Oh, la barbe cette nifle!
+ Pauvres pays sans soleil, pays pauvres, oui, c'est vous.
+ Trois mots: soleil, sommeil, rêve.
Le soleil a sommeil, il rêve.
Sommeil, rêve de soleil.
Dans un rêve, le soleil me tenait la main, lui-même ensommeillé.
Bleu, blanc, jaune.
+ Au parc (T-Feld). La lumière solaire rase la large étendue d'herbe et projette loin et longue les ombres des petits arbres ça et là. J'ai senti l'un de ces souvenirs inreconnus, me suis arrêté. Si j'ajoute un immeuble blanc sur ma droite après le soleil, ou un chemin entrant dans une forêt un peu plus loin, je pleure. Qu'est-ce que c'était, et où ?
+ un opéra de simplicité. L'immeuble, l'oiseau, la fenêtre, la pelouse, le ciel, les vols, le jour et la nuit.
+ Mon passage préféré de Turandot:
Perché tarda la luna? Faccia pallida!
Móstrati in cielo! Presto! Vieni! Spunta!
O testa mozza! O squallida!
Vieni! Spunta! Móstrati in cielo!
O testa mozza! O esangue!…
+ Je repense souvent à Marita. "Pour le chocolat et les fleurs..."
030323 Jeanette et moi cachées à plat ventre dans une trappe secrète sous le banc d'un piano.
040323 Fringale de simplicité
+ L'arbre parle le langage du nuage avec un fort accent.
+ Je trouve des mots nouveaux en marge des mots fléchés. Par exemple: voltigre (verbes en -gre), papepiou.
+ Me servir de la voix comme d'un pinceau
+ Sourd, dedans et moi.
+ J'ai créé une pluie de métal qui fond au contact du sol, des crânes, des maisons... et des robots qui chantent en chœur; derrière eux, des voitures font des mini-va-et-vient accompagnés de débuts de bruits électriques designés. Un seul être humain accompagne le morceau en frappant un grand gong. Le chant imite une respiration, à laquelle il manquerait toutefois un demi-temps. La pluie est régulière mais le rythme de chaque note, de chaque couleur de goutte, est différent.
050323 À la lumière un peu nuageuse qui me vient au visage maintenant, j'étais enfant dans un restaurant italien; intensification, c'est tout orange derrière mes paupières, je suis enfant en aviron sur l'eau du Vidourle.
+ Moia. Plus de voyelles donne plus de soleil.
+ Une rue à deux visages. (À Deux-Visages)
+ Derrière la véranda de tata Martine, ... verrière.
080323 c'est l'heure que j'adore où le dehors est bleu Miranda derrière ma lumière jaune.
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plumedepoete · 2 years
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Le coureur - Cédric Etienne
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Je suis le dragueur Qui pour ton cœur Lui parle avec fleur Je suis le charmeur Belles sont les étoiles Dans une nuit filantes Dessinant une toile Aux couleurs brillantes Mes yeux ont le feu Du soleil couchant Un océan bleu Brille en reflétant Tu es l'arc en ciel Le pont de l'amour Butiner ton miel Pour en faire des jours Je suis le coureur De ce bois mesdames Mais de toutes ces femmes Pour toi les couleurs A genoux posé Je n'ai que ces fleurs Et pour demander Je te tends mon cœur Je suis sous le charme Et je me désarme Tu gonfles ma voile Oh! Toi mon étoile Mon cœur est dragué Rivière de l'amour Comme le plus beau jour Tu m'as inondé Read the full article
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auda-isarn · 2 years
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On m'a souvent demandé " Comment on sait que l'on ait amoureux et que l'on aime une personne ? ".
Je pense pas qu'il y'ait une réponse qui convienne à tous le monde ou qui soit universelle, je pense que c'est propre à chacun. Donc y'a aucunes réponses qui soit mauvaises, elles sont toutes bonnes, toutes valides.
Beaucoup disent les " Papillons dans le ventre " ou " La chaleur qui part de ta poitrine et qui monte jusqu'aux joues quand tu vois cette personne " ou encore le fait que notre première et dernière pensée de la journée soit consacrée à une personne. Et c'est valide tout ça.
Mais pour moi, et ça concerne que moi tout ça, les papillons, la chaleur, les pensées, c'est ce que j'appelle le sentiment amoureux. Mais si je parle de l'Amour, j'aurais tendance à dire que ces papillons ils ne sont pas là, où du moins si on veux garder cette métaphore, ils ont arrêtés de battre des ailes, ils ont arrêtés leur envol et ils ce sont posés là où ils ce sentent le plus en sécurité.
Parce que pour moi, même si il peut y'avoir des discordes, inévitables dans une relation, surtout à 20 ans, l'amour c'est apaisant, c'est calme, c'est serein, c'est une sensation de bien être, c'est pas des baisers h24, des démonstrations d'amour h24, parce que l'autre personne sait déjà qu'on l'aime, elle le sent.
Donc les baisers, les fleurs, les petits cadeaux, pour moi c'est des preuves d'amour, des petites actions sympathiques, mais ce n'est pas l'évidence de l'amour, je peux offrir des cadeaux à un ami. C'est super compliqué à expliquer. C'est un peu comme une présence que tu ressens à l'intérieur de toi, h24 pour le coup.
Tu sais au fond de toi que la seule chose que tu veux c'est le bonheur de l'autre. C'est vouloir que les malheurs de la vie, qui sont certes inévitables, soient les plus doux possibles. C'est vouloir la protéger. C'est connaître tellement bien la personne que l'on aime, que l'on sait comment elle se sent à chaque instant. C'est connaître ses silences, savoir quand elle a besoin de ce glisser dans me bras, et au contraire quand elle a besoin de respirer. C'est la connaître mieux que l'on ce connaît soit même. Et mieux qu' elle, elle ce connaît elle même.
Pour moi il y'a donc une différence entre être amoureux et l'amour, l'amour c'est une fois que l'on a montré les sentiments amoureux.
Pour résumer, comment on sait que l'on aime quelqu'un ? Le cœur le sait.
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choses-dingen · 2 years
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Nouvelle lecture. Les Différentes Régions du ciel. Christian Bobin
« Ce n'est pas pour devenir écrivain qu'on écrit. C'est pour rejoindre en silence cet amour qui manque à tout amour. Je m'assieds devant la table d'écriture et je laisse venir à moi les différentes régions du ciel. »
Entreprise pour célébrer Christian Bobin, la réunion de ses oeuvres dans la collection «Quarto» prend des allures de testament après la disparition de l'écrivain le 23 novembre. Que dire de celui qui parlait de la mort comme ce qu'il y a de plus secret et de plus précieux en nous ? Qui écrivait de la vie qu'elle est «la petite classe de l'éternel »?  Jean-Louis Jeannelle, dans Le Monde. Né en 1951,  Bobin bâtit depuis près d'un demi-siècle une œuvre poétique inclassable qui au cours du temps réinvente ses formes. En privilégiant une écriture concentrée, tantôt faite de notes brèves prises sur le vif comme dans un carnet de peintre, tantôt de visions poétiques très denses, creusant au plus profond de la psyché humaine, il aborde des thèmes universels comme l'amour, la mélancolie, l'absence. Touchant les âmes simples comme les érudits, son écriture lumineuse est un rempart contre le désenchantement, mais aussi contre l'irrésistible prolifération d'une « pensée » unique. Il nous parle des voix singulières, des pensées à contre-courant, de visages qui nous rendent vivants, des sourires « ces plus beaux exploits du monde ».
17 textes de formes variées, représentatifs de l'œuvre foisonnante de Christian Bobin, assimilable à une déambulation poétique et contemplative de l'obscurité à la lumière.
Ce volume de 1000 pages contient :
   L'eau des miroirs (inédit)    Souveraineté du vide    L'enchantement simple    Le huitième jour de la semaine    Lettres d'or    La part manquante    Le colporteur    Éloge du rien    Une petite robe de fête    Le Très-Bas    La plus que vive    Autoportrait au radiateur    Le Christ aux coquelicots    Les ruines du ciel    Noireclaire    La nuit du cœur    Pierre
Quelques Extraits de Lettres d'or  1987
Qu'est-ce que l'amour ? C'est ce que personne ne sait. Mais qu'est-ce que personne ? C'est chacun de nous dans le secret de sa vie engloutie. L'amour s'adresse en nous au plus intime, à ce qui , dans le plus intime de nous, est sans visage, sans forme et sans nom : personne. [...]
Je ne saurais vous dire la jouissance que me donne votre corps, lorsque vous me l'abandonnez. Aucun langage ne la recueille. Aucun regard ne la contient. Les amants éprouvent, sans le comprendre, ce qu'est l'éternité : elle se confond avec la faiblesse qui précipite leur souffle. Elle obscurcit leur sang et fait la nuit autour d'eux, comme il arrive dans une souffrance, lorsqu'une flamme élance les chairs les plus tendres. La jouissance engendre un savoir sans équivalence sur l'éternel : elle révèle en nous bien trop d'enfance et de douceur pour que mourir, jamais, en vienne à bout. Les mains sur la peau touche l’âme à vif [...]  (page 263)
Aimer quelqu'un, c'est le dépouiller de son âme, et c'est lui apprendre ainsi - dans ce rapt - combien son âme est grande, inépuisable et claire. Nous souffrons tous de cela :de n'être pas assez volés. Nous souffrons des forces qui sont en nous et que personne ne sait piller, pour nous les faire découvrir. Je suis ivre de cet amour qui me porte vers vous, comme vers celle qui recueille toutes les fleurs de mon nom. Je suis ivre de cet amour qui me ramène au bercail d'une enfance.
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christophe76460 · 2 years
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Je vous aime de l'amour de Jésus-Christ ❤️⚘️
DIEU DONNE TOUT CE QUI EST NÉCESSAIRE À LA VIE
{Matthieu 6:25-34}
" C'est pourquoi je vous dis : ne vous faites pas de souci pour votre vie ni pour votre corps. Ne vous demandez pas : “Qu'est-ce que nous allons manger ? Avec quoi est-ce que nous allons nous habiller ?” Oui, votre vie est plus importante que la nourriture, et votre corps est plus important que les vêtements. Regardez les oiseaux. Ils ne sèment pas, ils ne moissonnent pas. Ils ne mettent pas de récoltes dans les greniers. Et votre Père qui est dans les cieux les nourrit ! Vous valez beaucoup plus que les oiseaux ! " Ce n'est pas en vous faisant du souci que vous pouvez ajouter un seul jour à votre vie ! Pourquoi alors vous faire du souci pour les vêtements ? Observez les fleurs des champs, regardez comment elles poussent. Elles ne filent pas et elles ne tissent pas. Pourtant, je vous le dis : même Salomon, avec toute sa richesse, n'a jamais eu de vêtements aussi beaux qu'une seule de ces fleurs. L'herbe est aujourd'hui dans les champs, et demain on la jettera au feu. Et pourtant, Dieu l'habille de vêtements magnifiques. Vous qui n'avez pas beaucoup de foi, vous pouvez être sûrs d'une chose : Dieu en fera au moins autant pour vous ! " Ne soyez pas inquiets en vous demandant : “Qu'est-ce que nous allons manger ? Qu’est-ce que nous allons boire ? Avec quoi est-ce que nous allons nous habiller ?” En effet, les gens qui ne connaissent pas Dieu cherchent tout cela sans arrêt. Vous avez besoin de toutes ces choses, et votre Père qui est dans les cieux le sait bien. Cherchez d'abord le Royaume de Dieu et ce que Dieu demande. Il vous donnera tout le reste en plus. " Donc, ne vous faites pas de souci pour demain. Demain se fera du souci pour lui-même. La fatigue d'aujourd'hui suffit pour aujourd'hui ! "
Jésus-Christ a parler ainsi au gens de son peuple , aujourd'hui encore il nous parle ainsi. La vie n'est pas facile et je comprends que vous vous inquiétez de comment vous allez payer votre loyer, électicité, eaux, impôt etc... Mais Jésus-Christ vous dit de ne pas vous inquiétez car Dieu donne de quoi vivre à tout les hommes.
Pensez vous qu'un sans abri soit moins heureux qu'un riche ? Certe il vous semble que le pauvre n'as pas d'abri ou reposer sa tête , mais le savez vous Jésus-Christ lui même n'avait pas ou reposer sa tête.
{Luc 9:58}
"Jésus lui répondit: Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des nids: mais le Fils de l'homme n'a pas un lieu où il puisse reposer sa tête."
Je vous le dit , si vous abandonnez totalement votre vie à Jésus-Christ , vous ne vous inquièterez plus de rien, car peu importe ce que votre vie vous réserve votre seul objectif est d'être avec Jésus-Christ.
Si Jésus-Christ nous enseignait de ne pas s'inquiéter, c'est que c'est mieux pour nous , ce qui sort de sa bouche est Vérité. La Parole de Dieu dit de faire savoir avec foi nos besoins à Dieu.
{Philippiens 4:6}
"Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces."
{Hébreux 11:6}
"Or sans la foi il est impossible de lui être agréable; car il faut que celui qui s'approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent"
La foi est importante, car sans la foi nous ne pouvons plaire à Dieu . Quand vous demander quelque chose ayez foi que Dieu vous la déjà donner. Soyez patient et ayez foi en attendant l'exaucement de votre demande . Dieu sais ce qui est bon pour vous , il ne vous donnera jamais quelque chose qui ne soit pas bon pour vous même si vous lui demander. Si parfois vos prières ne sont pas exaucées ne pensez pas que Dieu ne les a pas entendu ! Il y a des raisons que seul Dieu connait. Ne blâmé pas Dieu pour cela , et garder toujours la foi , et chassez vos doutes et vos peurs. Car la peur stop votre foi d'agir.
Je vous encourage a faire confiance à Dieu dans votre vie. Il est le Maître sur la vie ou la mort , il est le Dieu de l'univers. Et surtout il est notre Dieu d'amour.
Au nom de Jésus-Christ . En Christ pour toujours ❤⚘️
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foxsoulcourt · 5 years
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The beautiful epilogue for @scribbleb-red ‘s L’AMOUR PARLE EN FLEURS has posted! Twenty years after the story started, we find a bittersweet celebration about to begin. Come see who’s there. Find out who is in that mysterious urn! Witness the power of love rolling out over another generation.
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lahabanera · 1 year
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Carmen airs https://www.opera-arias.com/bizet/carmen/libretto/
La Habanera. Carmen. Elina Garancha
L'amour est un oiseau rebelle Que nul ne peut apprivoiser Et c'est bien en vain qu'on l'appelle S'il lui convient de refuser Rien n'y fait, menace ou prière L'un parle bien, l'autre se tait Et c'est l'autre que je préfère Il n'a rien dit, mais il me plaît
L'amour, L'amour …
L'amour est enfant de bohème Il n'a jamais, jamais, connu de loi Si tu ne m'aimes pas, je t'aime Et si je t'aime, prends garde à toi
Prends garde à toi Si tu ne m'aimes pas, si tu ne m'aimes pas, je t'aime Prends garde à toi Mais si je t'aime, si je t'aime, prends garde à toi
L'oiseau que tu croyais surprendre Battit de l'aile et s'envola L'amour est loin, tu peux l'attendre Tu ne l'attends plus, il est là Tout autour de toi, vite, vite Il vient, s'en va, puis il revient Tu crois le tenir, il t'éviteTu crois l'éviter, il te tient
L'amour ...
____________________________________ JOSÉ
Parle-moi de ma mère!
MICAËLA
J'apporte de sa part, fidèle messagère, Cette lettre. …
JOSÉ
Ma mère, je la vois Oui je revois mon village! O souvenirs d'autrefois, Doux souvenirs du pays! Doux souvenirs du pays! O souvenirs chéris! Vous remplissez mon coeur De force et de courage. O souvenirs chéris! Ma mère je la vois, je revois mon village!
MICAËLA
Sa mère, il la revoit! Il revoit son village! Ô souvenirs d'autrefois! Souvenirs du pays! Vous remplissez son coeur De force et de courage. O souvenirs chéris! Sa mère il la revoit, il revoit son village!
Près des remparts …
_____________________________
La fleur que tu m’avais jetée, Dans ma prison m’était restée. Flétrie et séche, cette fleur Gardait toujours sa douce odeur; Et pendant des heures entiéres, Sur mes yeux, fermant mes paupières, De cette odeur je m’enivrais Et dans la nuit je te voyais! Je me prenais à te maudire, À te détester, à me dire : Pourquoi faut-il que le destin L’ait mise là sur mon chemin? Puis je m’accusais de blasphème, Et je ne sentais en moi-même, Je ne sentais qu’un seul désir, Un seul désir, un seul espoir: Te revoir, ô Carmen, oui, te revoir! Car tu n’avais eu qu’à paraître, Qu’a jeter un regard sur moin Pour t’emperer de tout mon être, Ô ma Carmen! Et j’étais une chose à toi Carmen, je t’aime!
CARMEN
Eh! oui, tu m'aimes ... ne me dis pas non, je m'y connais! Tes égards, la facon dont tu me parles. Et cette fleur que tu as gardée. Oh! Tu peux la jeter maintenant ... cela n'y fera rien. Elle est restée assez de temps sur ton coeur; le charme a opéré ...
_______________________________ ESCAMILLO
Votre toast ... je peux vous le rendre, Señors, Señors, car avec les soldats Oui les toreros peuvent s'entendre, Pour plaisirs ils ont les combats. Le cirque est plein, c'est jour de fête, Le cirque est plein du haut en bas. Les spectateurs perdant la tête, Les spectateurs s'interpellent à grands fracas: Apostrophes, cris et tapage Poussés jusques à la fureur. Car c'est la fête du courage, C'est la fête des gens de cour. Allons en garde! Allons! Allons! Ah!
Toréador, en garde, Toréador, toréador, Et songe bien, oui songe en combattant Qu'un oeil noir te regarde Et que l'amour t'attend. Toréador, l'amour, L'amour t'attend! ...
________________________________
LE REMENDADO et LE DANCAÏRE
Oui, nous avons besoin de vous!
Car nous l'avouons humblement,
Et fort respectueusement,
Oui nous l'avouons humblement:
Quand il s'agit de tromperie,
De duperie, de volerie,
Il est toujours bon, sur ma foi,
D'avoir les femmes avec soi,
Et sans elles,
Mes toutes belles,
On ne fait jamais rien de bien.
FRASQUITA, MERCÉDÈS et CARMEN
Quoi! Sans nous jamais rien
De bien?
ESCAMILLO
Si tu m'aimes, Carmen,
Tu pourras tout à l'heure
Etre fière de moi.
Si tu m'aimes! Si tu m'aimes!
CARMEN
Ah! Je t'aime, Escamillo,
je t'aime et que je meure
Si j'ai jamais aimé quelqu'un
Autant que toi.
CARMEN et ESCAMILLO
Ah! Je t'aime.
Oui je t'aime.
CARMEN
C'est toi?
JOSÉ
C'est moi.
CARMEN
L'on m'avait avertie
Que tu n'étais pas loin,
Que tu devais venir,
L'on m'avait même dit
De craindre pour ma vie,
Mais je suis brave
Et n'ai pas voulu fuir.
JOSÉ
Je ne menace pas, j'implore, je supplie;
Notre passé, Carmen,
Notre passé je l'oublie,
Oui, nous allons tous deux
Commencer une autre vie,
Loin d'ici, sous d'autres cieux.
CARMEN
Tu demandes l'impossible,
Carmen jamais n'a menti,
Son âme reste inflexible,
Entre elle et toi, tout est fini.
Jamais je n'ai menti;
Entre nous tout est fini.
JOSÉ
Carmen, Il en est temps encore,
Oui, il est temps encore …
O ma Carmen, laisse-moi
Te sauver, toi que j'adore,
Et me sauver avec toi.
CARMEN
Non, je sais bien que c'est l'heure,
je sais bien que tu me tueras.
Mais que je vive ou que je meure
Non! Non! Non! Je ne céderai pas.
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fallingin-like · 5 years
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november 16
l’amour parle en fleus by @scribbleb-red [requested by @fuzzballsheltiepants]
see which other fics i’m reviewing this month! / my review request post! 
this is a wonderful and heartbreaking fic that deals with grief and the beauty of life. it is soft and sweet, while dealing with hard topics and loss. this fic is incomplete.
disclaimer: i reviewed this fic when it had 7 chapters, so no comments on chapter 8. sorry!
this fic was stunning and i was blown away by your amazing descriptions and imagery. everything is so vivid and feels real. i was so interested in the little pieces of andrew and neil’s stories and how they pieced together to bring them to this story.
parts that stood out to me:
”he had cut himself free of the roots of his past and planted new ones, blooming in a country that should never have belonged to him, yet matched the varying shades of his soul” wow, this is such a beautiful beginning to the story, the wording you used makes it read like poetry, especially the last part of the sentence
”not on that sun-drenched afternoon” oh this is wonderful
”bruises had stiffened his face into a mask” i love the way that you wrote this
it breaks my heart to see how affected andrew is by aaron’s death. although he tries his best to show it outwardly, andrew gave up so much of himself to protect aaron
ooh the house/property you’ve described sounds so nice. do you have something specific (like an existing house) that you’re referencing?
”maybe he’d make it a challenge to sleep in all of them” whatamood andrew
”the air was clean and full of grass, as if it had only ever been breathed by wild things” oh, this is so nice
cats! sounds like a dream, to be in a bnb and find out they have cats
it sounds like fun to read a book that someone has annotated. so much that you can learn about them through how they react to the events in the novel in comparison to what you feel or think
”liked how steady and quiet king was, how sir vocalised every time they wanted something” love that you had andrew highlight these characteristics, it seems very in character
”the sound of footsteps approaching an unlockable door” EXCUSE ME DID YOU THINK YOU COULD JUST SLIDE THIS IN AFTER “a number plate, a smile, a mist rising over a river” AND THINK I WOULD NOT NOTICE. LIKE IT’S NOT A DEVASTATING SENTENCE.
”his was a skull full of a thousand momento mori. aaron was just the latest” woah what a powerful two sentences
how cute that andrew keeps all of neil’s notes! sounds like something i would do haha
ohmygoodness neil singing is bringing me back to my french classes from a long long time ago (i can remember enough to kind of work out the english translations loool)
”because worst of all, nathaniel never seemed to notice him back. it rankled… didn’t the idiot care that he was killing the world over with that voice?” yeah okay andrew, you keep thinking that’s the reason you hate that neil doesn’t notice you.
woah you descriptions of the outside is absolutely gorgeous. the colours, descriptions, and imagery are so wonderful and overwhelming and beautiful. i get so lost in the sheer volume of it all, i forget about andrew’s anger (as i’m sure he also does, a little)
andrew picking up his cigarette butt is so lovely and fitting for this section of the story
AH IT’S NEIL
”and, as the folds of material were plucked at by the wind’s childish fingers, andrew followed the sharp lines of his collarbones, the smattering of freckles, strangely warped and wefted flesh” I LOVE THIS. the wording you used is absolutely amazing
NEIL HAS PIERCINGS AND HE KEEPS LAVENDER IN THEM THIS IS THE BEST
oh, the story of aaron giving andrew his hat is so soft, such a wonderful thing shared between the two of them. it’s so small, but for us who know how much of a struggle everything is with them, a constant push and pull, it’s everything.
neil’s loft sounds so nice, how did you come up with this idea?
also prickly neil is great, i love that you have this shortly after andrew goes to touch a plant and gets pricked because of it
”a stab of hatred lanced through andrew’s stomach, white-hot, easy. sweat rolled down the centre of his back, a sour coating filled the back of his throat” ahh your descriptions are so so good
”andrew replied, popping the ‘p’ like an eyeball under a thumb.” exCUSE ME LIKE WHAT??
also i am very much a fan of neil being super strong
uhhHHHH neil has a tongue piercing?? i think andrew actually vapourized in that moment
orange! tractor! adorable!
”apathy, his brain supplied, the opposite of anger, the inverse of hate” oh this is interesting. i guess i always automatically thought of love, but when i think of this, it seems so right. hate, anger are such strong emotions, overtaking everything, making it hard to think, feeling so so much, but the absence of that feeling? oh
”and neil was leaning forward, plucking the cigarette from andrew’s fingers and taking a drag, smoke spilling between his teeth when he grinned a grin like a knife blade. andrew felt it in his gut” !!! this!!!
”addiction left people brittle. left them dry as kindling and just as easy to burn” woah
i really cannot handle these boys
NEIL IS MISSING PART OF HIS FINGER, OH MY GOODNESS I AM LOSING IT HERE. 
amazing bit about the garden, never thought about it that way. it’s so true
honestly, there is just so so much to unpack. love your description of the buzzing andrew is feeling, i really like hearing andrew’s thought process, how everything turns back to aaron, love the way that, even now, he can read neil so well
THE TWINYARD EMBRACE. THE WAY THEY HOLD EACH OTHER. “‘you killed him,’ andrew said. ‘you killed her,’ replied aaron.” THIS ACKNOWLEDGEMENT THAT THEY HAVE PROTECTED EACH OTHER. THE BEGINNING OF JOINT THERAPY. THEY WAY THAT THEY SLOWLY LEARN TO LOVE EACH OTHER IN A WAY THAT’S MORE HEALTHY.
ahhhhh andrew talking to neil? this is so so good to see his progress, to see how he’s working through his grieving
oh boy, loving the little rivalry that eduard brings, the kind of tension heh
this town/market sounds amazing, so beautiful
IN THE GAME. OH DANG EDUARD YOU ARE NOT THE FARMER BOY WHO HAS THE HOTS FOR NEIL THAT I THOUGHT YOU WERE
”’well… like an american,’ said neil, like it explained everything. and it did, like a fire hissing out in the rain, andrew felt his shoulders relax, his ire cool” ahh so nice.
”because neil was so much give, when andrew needed to take” oh this is so interesting!
”neil shouldn’t be allowed to just vanish” AHH
”andrew shouldn’t have lashed out, sneered at neil’s story and spot on his honesty” NOOO ANDREW WHY
”his scars were the noughts to andrew’s crosses” oh this is so nice (like, not nice, but you know)
woah it’s really interesting hearing neil’s story while also having andrew’s commentary available with his knowledge from school. to see the personal side of it and also what was portrayed to the public
as much as i love neil with long curly hair, him with a buzzed look has me interested. paired with his cheekbones and his eyes, woahhhhh
”it looked like he’d been bled of life, colours fading until he became a negative of himself or an older version of the hollow-eyed teenager from the newspapers all those years ago.” i think this is my favourite sentence of this fic so far. makes me hurt.
AARON USED TO CALL ANDREW A TURNIP THAT IS SO ADORABLE I WANT PEOPLE TO CALL ME TURNIP (wait i just looked up what it means and although it is true i have no brains i was thinking in an affectionate way. turnips look really cute and are tiny lol)
ahhh neil in his bed in the barn during the storm ;-;
i love how you incorporated consent into andrew anchoring neil from his panic with the hand on his neck
ohmygoodness i cannot believe that neil has a PALMETTO HOODIE WITH A NAME AND NUMBER ON IT AH
”they took long walks through the fields and along the mountain paths, navigating the rocky terrain of andrew’s grief and neil’s jagged history that came so painfully close to intertwining with andrew’s own” oh this is such a beautiful sentence
NEIL HAS WATCHED ANDREW’S INTERVIEWS EXCUSE ME WHAT THAT IS SO CUTE
”he caught his reflection in the mirror and saw only himself” THIS IS AMAZING. what a transition that we get to see andrew experience
”for months andrew’s mind was a jagged thing, not knowing what he wanted or what he needed” !!
ooh love the acknowledgement that younger andrew would have denied his feelings but he’s more mature now and is more in tune with his emotions and wants!! amazing
”dinner with neil was an abundant thing. odd choice of word, but it was the only way andrew could describe it” it is an odd choice, but at the same time i think i understand it?
oh. andrew’s dream of aaron in the field. it’s so sad and soft and makes me feel blurry around the edges. what a contrast to the evening with neil. i like it though. you don’t just get over grieving. it gets better and it gets worse. it comes back again and again, even when you think it will not return. “wait for me. wait for me” i love what this adds, it feels so right
”andrew pressed every lane and shady square between the pages of his memory” so wonderful
PARLE EN FLEURS. EVERYTHING MAKES SENSE NOW.
woah aaron’s story was intense and well-told. things make a lot more sense now.
love that andrew sends nicky pictures to show everything, to share without words. they have such a unique relationship, they both care so much but are so different in the way that they show it sometimes it clashes
”it’s not the kind of pain that can be quantified. and it will still hurt in a year, in five, in ten”
i mostly skimmed the last chapter because i know that i easily internalize the thoughts and feelings that come when people write depression. 
i love the way that you structured this fic. the chapter titles are perfect because throughout the fic we see andrew’s healing and grieving. it’s subtle, but he clearly shifts through the different stages that you include and i’m really impressed by how seamlessly you incorporated that into the fic. the fic’s focus slowly transfers from aaron to neil so naturally that you almost don’t notice it until you take a step away for a moment.
you do such a marvelous job with the descriptions of this fic, i liked so so many sentences that i could not possibly mention them all. the town and the fields and the surroundings sound so beautiful and stunning, you made everything so vibrant and alive. all the colours and textures and words that you used really established an amazing backdrop to the story you wrote.
and the story, i loved your approach to this, it’s very realistic. the interactions between andrew and neil are pure and natural and don’t seem forced. you created complicated, intricate relationships between all the characters, brought up the difficulty of expressing emotions and feelings with people, and trust that was built. i liked the way that you wrote the characters, and i adore neil with his flower piercings. thank you so much for writing this fic! i can’t wait to see what comes next!
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babaleza · 4 years
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Lavender boy for @fabulousmisfits in Instagram
Neil from L'amoure parle en fleurs
(amazing fic on ao3)
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