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#la femme chinoise
gachael · 2 years
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No Nukes 2012 / Yellow Magic Orchestra
Thousand Knives
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mitjalovse · 10 months
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youtube
Ryuichi Sakamoto actually reminded me of the fact many debuts from those with long careers basically belonged to the special category of the pioneering works within their genres. Thus, Yellow Magic Orchestra also did a great introduction and, yes, I should be more objective here, but even then – what they did was astounding. I mean, what was their benchmark at the time? Kraftwerk, I agree, but we already heard Sakamoto moving beyond what they did and going towards the direction the German group never suggested. Moreover, Sakamoto, Hosono and Takahashi made electronica more fun. This might be their greatest legacy – moving the electronic music away from the stuffiness. Sure, Kraftwerk also did that, though their sense of humour remained less pronounced.
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artfilmaesthetics · 10 months
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director trademarks:
jean-luc godard // red, white & blue
‘Made in U.S.A.’ (1966)
‘Le Mépris’ (1963)
‘Une Femme este une femme’ (1961)
‘Pierrot le Fou’ (1965)
‘Week-end’ (1967)
‘La Chinoise’ (1967)
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femmemistique · 3 months
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thought daughter summer !!
film recs for my fellow thought daughters ˚。⋆୨୧˚
Vivre Sa Vie (1962)
La Pianiste (2001)
Priscilla (2023)
Une femme est une femme (1961)
The Dreamers (2003)
Frances Ha (2012)
Amélie (2001)
La Belle Personne (2008)
Lost In Translation (2003)
Autumn Sonata (1978)
Repulsion (1965)
La Chinoise (1967)
Mirror (1975)
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cloevr · 9 months
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tagged by @suturesque und @videostak to share my current top 5 songs... i think lately the songs ive been finding myself on the most have been
gfoty - brand new bra
brando - sunn o))
jan haflin - angelfire
shygirl - bb
oneohtrix point never - long road home
extra for the hell of it because ive also been on it alot : ymo - la femme chinoise, but specifically the after service version
erm i tag @lolaisinheaven @brutechi @signeficunt @foreman @pastabot @clown-titties @lizardbait
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ladyniniane · 10 days
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Coucou ! Pour le reblog sur les histoire de fond, une anecdote ou une histoire de fond sur ton histoire en cours avec Zoé ou d'Anselma si ça ne te gêne pas ? Merci beaucoup d'avance ! :D
Coucou et merci beaucoup pour les questions :) Du coup je vais faire les deux !
-C'est l'histoire de Zoé qui a lancé ma passion pour l'empire byzantin et pas l'inverse. En gros, je voulais écrire une histoire qui se passait dans un palais et je voulais un décor différent (j'avoue qu'écrire de la fantasy d'inspiration médiévale/Europe de l'Ouest/du Nord me lasse un peu. Surtout qu'on voit ça partout au final).
Cela faisait longtemps que les visuels de l'empire byzantin (les mosaïques, les vêtements etc.) me trottaient dans la tête et me plaisaient beaucoup.
Et puis il y a l'histoire fascinante de l'impératrice Théodora (la femme de Justinien I, je précise pour les autres lecteurs vu que ce n'est pas la seule impératrice importante à porter ce nom). Je me rappelle que j'avais lu beaucoup de romans sur elle après découvert le personnage dans Civilisation V (par contre je n'ai pas encore vu le péplum de 1954. Mais je suis sûre qu'il est mieux que la saison 3 de V*king V*lhalla).
Son histoire est juste romanesque en diable et du coup je suis partie dans cette direction avec une femme de condition modeste qui va devenir impératrice. Mais même si je n'écris pas un roman historique, je voulais faire des recherches afin de faire ça correctement et de trouver de l'inspiration. Surtout que des fois la réalité est bien plus incroyable/romanesque que tout ce que l'on peut imaginer.
J'ai beaucoup aimé ce que j'ai découvert, je suis tombée dedans et je ne suis toujours pas revenue ! (Et je ne crois pas que mon retour soit pour bientôt vu que j'ai d'autres idées d'histoire dans le même univers).
-Pour Anselma, j'ai envie d'expliquer ce qui m'a donné envie d'écrire sur elle et comment on est arrivés au résultat actuel.
Ma première impression d’Anselma dans le jeu a été très positive à travers la description qu’en faisait Dimitri. Je me suis dit “tiens, une belle-mère qui avait l’air agréable ? C’est vraiment rare dans la fiction et plaisant”. Donc on avait un postulat original et intéressant.
Ensuite on est passés à l’horreur avec l’aspect “Cornelia contrôlait sa vie privée et tout ce qu’elle voulait c’était retrouver sa fille”. Je n’ai pas pu m’empêcher de remplir le blanc : elle voulait retrouver sa fille parce que… ? On l’avait séparée de sa fille ? On l’avait menacée ? Elle était seule ? 
Mais on restait dans une espèce de flou parce que ses motivations et son histoire n’ont aucun sens. On l’a dit et résumé plein de fois, mais même un bad trip sous acide aurait plus de sens que toute cette affaire. 
Son personnage m’inspirait malgré tout de la sympathie. Et comme un des principes de ma fic c’était “donnons de la personnalité aux mamans de Fodlan” et bien il me semblait logique de devoir m’y coller à un moment où un autre. 
Surtout que cette histoire de “mère seule contre le monde qui veut protéger sa fille” est un ressort émotionnel qui me touche énormément. Alors oui, je sais. Toutes les femmes et toutes les mères ne sont pas forcément bonnes. Et je pense avoir clairement évité cet écueil dans mon histoire vu la diversité des profils qu’on a (d’autant plus en comptant l’univers étendu avec Tiana et la mère de Mencia).
Et puis il y avait son passé. J’ai découvert les séries chinoises par des histoires se passant dans le harem (Legend of Zhen Huan etc.). Elles montrent des femmes pleines de ressources qui cherchent à s’en sortir dans un système toxique et destructeur. Pour moi, il était facile de voir Anselma comme la protagoniste de l’une de ces séries. D’autant que peu d’histoires s’attachent à ce qu’elle a pu ressentir. Je me dis que pour elle, arriver en Faerghus représentait l’espoir d’une nouvelle vie auprès de quelqu’un dont elle s’imaginait qu’il allait l’aimer. 
Bon du coup, je suis passée par toute la phase détective, à essayer de faire sens de la version du jeu puis à me dire “allez osef on change pour que ça en ait (un peu plus)”. Par exemple, si Hildegarde est dans le Royaume au moment de la tragédie, cela permet beaucoup mieux d’expliquer les actions d’Anselma. En quoi conspirer pour tuer Lambert aurait-il pu lui permettre de revoir sa fille si Hilde n’était déjà plus dans le Royaume ? Anselma n’aurait eu qu’à se tirer dans l’Empire et c’était fini ! 
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Ismène est apparue en parallèle. Je n’aime pas le concept d’un peuple entièrement maléfique. Et je voulais un personnage qui puisse représenter les Agarthais autrement. Et je me disais qu’Ismène avait besoin de quelqu’un pour la lier à sa part humaine. Qu’elle avait besoin d’une mère. Et je voulais qu’Anselma puisse raconter son histoire et qu’on sache où elle est allée après Duscur. Je voulais qu’Anselma puisse souffler un peu et finir sa vie avec des gens qui prennent soin d’elle. Et donc…
Tout c’est fait logiquement. C’est ce qui m’a appris à écouter mes idées qui apparaissent comme des dingueries. Souvent, les personnages meurent après avoir eu leur rédemption. Moi, je préfère quand ils vivent pour se confronter aux conséquences de leurs erreurs et essayer de faire mieux. Du coup, tout semblait logique : et si Anselma avait la possibilité de prendre en charge un troisième enfant et que tout se passe bien cette fois ? Et si elle pouvait lui offrir de la force et de l’amour ? Enfant qui a son tour soulagerait Dimitri en lui permettant de connaître ce qu’il s’est passé / ou qui aiderait le monde en s’opposant à Hilde ?
Le traitement d’Anselma et de Lambert dans le fandom m’a confortée. J’ai eu peu l’esprit de contradiction, surtout quand il s’agit de femmes qui s’en prennent injustement plein la tronche. Lambert est un mauvais mari et père. Pour moi ce n’est pas du headcanon. C’est aisèment démontrable à partir des éléments du jeu. Pourtant il est lavé plus blanc que blanc. Mais rien ne dit vraiment qu’Anselma ait été le monstre que certains décrivent. Elle a une histoire mal écrite. C’est différent. 
Ecrire sur elle et Ismène me donne de la sérotonine. Et j’aime aussi sa relation avec Stéphanos parce que amitié homme/femme ! Yes ! 
Pour l’UA avec Edith, je me suis toujours dit qu’elle et Anselma s’entendraient bien si elles se rencontraient dans d’autres circonstances. Si certaines choses les opposent, elles se ressemblent aussi beaucoup : altruisme, détermination, sens de la justice… Sauf que des fois ils se passent des choses en mettant les persos ensemble dans la même pièce. Et je me suis donc rendu compte qu’elles n’étaient pas amies mais qu’elles s’aimaient. J’avoue que c’est plutôt satisfaisant de voir les deux femmes déçues par Lambert ensemble. Comme ça, Anselma reste la belle-mère de Dimitri, les modalités sont juste différentes :P.
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leseffrontesfr · 1 year
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— Alphonse, cher maître, puis-je vous importuner dans votre travail ? — Mais entrez-donc, mon ami. Vous êtes venu accompagné ? — Point du tout ! C’est par coïncidence que Mademoiselle se présente à votre porte au moment où j’y frappe. — Monsieur Fauré, je dois vous parler ! — Vous êtes ? — Séraphine Lampion. Avez-vous une bouilloire ? — En effet, elle se trouve sur le poêle. J’en suis pleinement satisfait. Inutile de m’en vendre une nouvelle. — Je vais faire du thé. — Et bien faites. Et vous, mon cher Hypolite, quel bon vent vous amène ? — Une brise toute joyeuse ! J’ai été chargé par la Société des Artistes Méridionaux de la rédaction du catalogue de la prochaine exposition. La curiosité et une impatience toute enfantine m’ont portées jusqu’à votre atelier pour connaître les œuvres dont vous voudrez bien nous honorer. — Voilà une fort bonne nouvelle ! Je mets justement la dernière touche à… — Où rangez-vous les tasses ? — Dans la petite armoire chinoise, Mademoiselle. Près de la fenêtre. — Ah ? Quelle drôle d’idée. Vous n’avez que du thé noir ? — Oui, je m’en excuse. Je vous disais, mon cher Hypolite, que je mets la dernière touche à un magnifique bouquet de violettes qui fera oublier mes mimosas de l’exposition précédente. — Comment serait-ce possible ? Vos mimosas étaient si beaux qu’on croyait en sentir le parfum ! — C’est l’excellent indigo de chez Viollet-Roze qui m’a inspiré une toute nouvelle combinaison de nuances. Un ange a dû guider ma main pour me faire accomplir ce prodige chromatique ! — Je me réjouis d’avance de le contempler… Mais… Mais… Mademoiselle ? Votre robe tombe il me semble… — Vous n’avez pas de sucre non plus ? Pas de miel ? Il va être raide mon thé. — Ma parole vous voilà dénudée ! Perdez-vous toute pudeur ? — La pudeur ! Dans un atelier de peintre où défilent les modèles tirés du caniveau entrent deux séances de passe ! Que les hommes sont hypocrites ! — Je ne peins que des fleurs, des paysages et quelques fois des visages. Je le jure ! Dites-lui, Hypolite. — Jamais Alphonse ne s’est adonné à la peinture licencieuse, Mademoiselle, pas même au genre mythologique ou allégorique. Votre reproche est infondé. — Les hommes sont tous les mêmes. C’est pour cela que vous avez besoin de moi, Alphonse. Ce n’est pas en peignant des coquelicots dans un champs ou des nymphéas sur une mare que vous deviendrez célèbre. — Je suis sûr que mes violettes toulousaines marqueront tous les amoureux des fleurs et du Bel Art ! — Et pourquoi pas des tournesols fanés dans un vase en terre cuite, tant que vous y êtes ? Non, Alphonse, si vous voulez passer à la postérité, il vous faut peindre un nu. Voici mon nu, peignez-le. — Je… je ne sais que dire, Mademoiselle Séraphine. C’est un très beau nu. Votre offre est généreuse, mais je ne puis. Ce n’est pas moi, ce n’est pas mon art. D’autres peintres savent mieux que moi peindre ce genre de… ce genre là. — Je n’offre pas, je vous commande. Regardez ça… Et ça… Ah, vous regardez, cochon ! Alors peignez. Faites-moi belle et désirable, qu’on ne parle que de moi sur le Capitole. — Hypolite, que dois-je faire ? Est-elle folle ? — Je ne crois pas. Un peu plus impudente que les femmes de son temps, mais guère plus que les romaines des antiques orgies. Qui sait ? Un jour, sûrement, chaque jeune femme voudra que sa photographie soit exposée au monde entier. Dans quelle tenue ? Je n’ose l’imaginer. Il faut prendre en pitié les hommes des temps futurs, s’ils aiment encore les fleurs. Peignez-donc la scène, puisque Mademoiselle vous le demande. Quelle jolie vision que le tourbillon du thé…
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satinea · 1 month
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L'amour est blanc parce qu'il est la somme de toutes les couleurs, parce qu'il est la gomme qui m'efface, m'épelle et fait valser l'alphabet de mon identité, parce qu'il est le trou au travers de mon corps, le cerceau par où le jour entre et sort, bondit et se propage en rugissant dans ma chair nue.
L'amour est blanc comme la nuit, l'aube entre parenthèses, les pointes des parenthèses tendues pour se rejoindre, tracer l'oeil aveugle du voyant. L'amour est blanc comme le premier lange de la vie, et son linceul recommencé, la robe des communiants et la couronne de fleurs sur la tête des vierges qu'on mène à la déflo­ration, l'amour est blanc comme la chemise de l'homme que je veux, les draps entre lesquels je l'imagine, car de n'importe quelle couleur les draps sont toujours blancs, où dansent nos corps en ombres chinoises, les draps sont blancs comme les pages tissées de toute éternité par les fileuses de destins, blancs comme l'écume laissée sur la plage, et la crête des vagues quand au matin on les secoue sur l'île désertée du lit.
Les draps sont blancs parce que si longtemps les femmes les ont empilés dans de sombres armoires comme une lumière secrète, parce que je les ai vus étendus par terre au soleil comme des offrandes, où ils étaient l'image même de l'Amour couché sous le Ciel, ouvert, extasié sous le poids du divin dans l'herbe scintillante des prés.
L'époque est sombre et j'ai envie de lumière, de vies tissées d'envies de vivre, de désirs solides et joyeux, je veux des choses concrètes, anciennes et humaines, comme les rêves, la pensée, la musique, la danse, les livres et le plaisir. Je veux de l'amour.
REYES ALINA - Les draps blancs (Extrait "Politique de l'amour")
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iwillnotserve · 3 months
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Share five songs you've had on repeat
tagged by @m-y--p-a-s-s-i-o-n-s thank u!!
La Femme Chinoise-Yellow Magic Orchestra
2. This Charming Man-the Smith
3. I'm Happy Just to Dance With You-the Beatles
4.Telephone- Lady Gaga
5. the Weeping Song-Nick Cave and the Bad Seeds
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raisongardee · 4 months
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"Sur le bord de la falaise, à quelques centaines de pas du petit monastère qui domine la large vallée du Brahmapoutre, nous pénétrâmes dans une petite grotte de deux mètres sur deux. Un trou dans le rocher éclairait un autel rudimentaire et kitsch où trônait une belle statue en pied de Machik Labdrön, de facture récente. Je demandai au moine la permission de rester là un moment, et après avoir sorti mon texte, je commençai le rituel. Notre chauffeur tibétain bardé de cuir se glissa silencieusement dans la grotte après avoir ôté son immuable casquette chinoise, se prosterna trois fois et s’assit à nos côtés. Le moine suivait le texte par-dessus mon épaule, ne connaissant visiblement pas cette pratique ; mais, curieusement, le chauffeur se mit à chanter le rituel de mémoire, à l’unisson… Insoutenable paradoxe du Tibet chinois."
Jérôme Édou, Machik Labdrön, femme et dakini du Tibet, 2003.
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namazuviera · 1 year
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La Namazu Femme Chinoise
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chic-a-gigot · 2 years
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La Mode nationale, no. 289, 7 novembre 1891, Paris. No. 14. — Robes, manteaux, chapeau et toilettes d'intérieur. Bibliothèque nationale de France
Explication des gravures:
(1) Manteau de drap, vagué devant au corsage, relevé en pli Watteau sur une épaule, où il est retenu par un motif en passementerie. Croix de Malte sur la poitrine. Manches coquillées sur manches plates à poignets de fourrure chèvre du Thibet. Col boa, même fourrure que celle du manteau. Petit chapeau de drap, à bords retroussès, garni sur le côté par une agrafe en ruban.
(1) Cloth coat, wavy in front at the bodice, raised in a Watteau pleat on one shoulder, where it is held in place by a trimming pattern. Maltese cross on the chest. Shell sleeves on flat sleeves with Tibetan goat fur cuffs. Boa collar, same fur as the coat. Small cloth hat, with rolled edges, trimmed on the side with a ribbon clasp.
(2) Grand chapeau de feutre duvete gris, très avancé sur le front et garni en dessus par une masse de coques de ruban, d'où ressort, derrière, un pouf de plumes d'autruche.
(2) Large hat of gray down felt, very prominent on the forehead and trimmed above with a mass of ribbon shells, from which stands out, behind, a pouf of ostrich feathers.
(3) Toilette de maîtresse de maison, femme âgée. Robe en pékin de soie couleur évêque. Grande casaque à longues basques, ouverte sur un gilet de fourrure blanche, avec cravate semblable. Manches flottantes, à poignets de fourrure. Jupe légèrement froncée à la ceinture, boutonnée dans le bas sur le côté.
(3) Mistress of the house ensemble, for an older woman. Dress in bishop-colored silk pekin. Large coat with long tails, open over a white fur waistcoat, with similar tie. Floating sleeves, with fur cuffs. Skirt slightly gathered at the waist, buttoned at the bottom on the side.
Métrage: 16 mètres de pékin de soie.
(4) Toilette de jeune fille, en lainage rayé bleu et blanc, corsage à longues basques, étroites devant et forme habit derrière. Devant, grand plastron boutonné, faisant pointe jusqu'à la ceinture. Tout le corsage est entouré par un dépassant de soie blanche. Jupe froncée légèrement tout autour de la ceinture.
(4) Young girl's ensemble, in blue and white striped wool, bodice with long tails, narrow in front and dress-like in back. In front, large buttoned bib, pointing to the waistband. The whole bodice is surrounded by an overhang of white silk. Slightly gathered skirt all around the waistband.
Métrage: 10 mètres lainage, grande largeur.
(5) Grand manteau forme chinoise, en drap inoire. Devants droits, brodés dans le bas par des soies de couleurs. Le devant, fermé par une bande en damas broché, est encadré par deux autres bandes de velours bleu foncé; épaules bouffantes, entourées de velours et d'une frange de perles. Grand col Médicis, retenu par une patte boutonnée. Petite toque de drap bleu, surmontée par un pouf droit, en plumes d'autruche blanches.
(5) Large Chinese-shaped coat, in black cloth. Straight fronts, embroidered at the bottom with colored silks. The front, closed by a band of brocaded damask, is framed by two other bands of dark blue velvet; puffy shoulders, surrounded by velvet and a fringe of pearls. Large Medici collar, held in place by a buttoned tab. Small blue cloth hat, surmounted by a straight pouf, in white ostrich feathers.
(6) Toilette de jeune fille, en lainage vieux rouge et voile crème. Corsage court forme corselet, entouré de pompons de laine, entourant une chemisette unie semblable, avec col officier. Manches larges du haut, étroites et boutonnées dans le bas. Devant de jupe, formant tablier, garni de boutons dans le haut, sur une jupe de voile crème, toute plissée en surplis tout autour.
(6) Young girl's ensemble, in old red wool and cream voile. Short corselet bodice, surrounded by wool pompoms, surrounding a similar plain shirt, with stand-up collar. Wide sleeves at the top, narrow and buttoned at the bottom. Front of the skirt, forming an apron, trimmed with buttons at the top, over a cream voile skirt, all pleated in a surplice all around.
Métrage: 4 mètres lainage vieux rouge, grande largeur; 6 mètres voile crème, grande largeur.
(7) Toilette de jeune femme, en drap de dame bleu-amiral. Corsage plat sous une grande draperie vagueée passant d'une épaule à l'autre, tout entourée d'un galon d'argent et retombant devant jusqu'au bas de la jupe. Le reste du costume, forme princess, est plat sur les côtés et plissé derrieère à la ceinture. Manches en brocart bleu et blanc.
(7) Young woman's ensemble, in admiral blue lady's cloth. Flat bodice under a large loose drapery passing from one shoulder to the other, all surrounded by a silver lace and falling in front to the bottom of the skirt. The rest of the costume, princess shape, is flat on the sides and pleated behind at the waistband. Blue and white brocade sleeves.
Métrage: 9 mètres drap bleu; 8 mètres brocart.
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professeur-stump · 1 year
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Quand Tchouang Kiang paraît avec ses doigts délicats comme des jeunes pousses, sa peau blanche comme du fard, son cou fin comme un ver, ses dents semblables aux graines de courge, son front large comme celui des cigales, ses sourcils pareils aux antennes des vers à soie, le poète crie aux gens de se retirer bien vite et de ne point lasser par leur présence l'heureux seigneur de cette belle femme à la taille imposante.
(Marcel Granet, La civilisation chinoise)
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à la recherche de mes lectures estivales
Après mon année de préparation à l'agrégation de lettres modernes, passée à lire et relire la même dizaine de livres au programme, j'ai (enfin) pu lire ce que je voulais, et la variété de mes lectures en témoigne. De la poésie à l'essai-fiction en passant par de la littérature contemporaine et même une pièce de théâtre, mes lectures ont été relativement diverses, parfois géniales et parfois moins... mais revenons-en au début.
Alors que j'étais à Paris, prête à passer mes oraux d'agrégation, et ayant terminé mon énième relecture du Temps retrouvé de Proust (mon bijou), j'ai lu une poignée d'ouvrages qui m'ont accompagnée pendant ces temps instables.
Lectures parisiennes
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Mon premier livre hors-agreg a été Roses d'acier. Chronique d'un collectif de travailleuses du sexe chinoises, écrit par le journaliste Rémi Yang (que j'ai interviewé) et publié chez Marchialy. De ce livre, j'ai déjà parlé dans un article publié chez Diacritik et que vous pouvez lire juste ici.
Emprunté dans une bibliothèque parisienne, j'ai ensuite lu L'Invitation de Claude Simon, un auteur que j'adore et qui ne m'a encore une fois pas déçue. L'Invitation, c'est cette description cryptique de ce qui ressemble à un voyage d'affaires, dans un pays et avec des personnes jamais nommées, par un narrateur qui se veut avant tout observateur, voire critique. C'est dans un entralcs de violence et de beauté, comme de passé et de présent, que Claude Simon construit ce récit court et linéaire, que je ne peux que recommander si vous désirez découvrir ce majestueux auteur.
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Enfin, et vous le verrez par la suite, j'ai entamé un petit périple dans les méandres de la littérature contemporaine grâce à la plateforme NetGalley, qui permet de recevoir des services presse en version électronique. La première étape de ce voyage a été Rétrécissement de Frédéric Schiffter, un roman dont le potentiel n'a malheureusement pas été exploité : j'en parle un peu plus en détail dans ma critique Goodreads.
Lectures de plage
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Qui dit lectures estivales dit lectures au bord de la mer, avec iode et odeur de crème solaire pour complimenter celle du vieux papier de mes livres d'occasion.
Acheté en frippe à Paris, Trois femmes suivi de Noces, recueil de nouvelles de l'écrivain autrichien Robert Musil (connu pour son Homme sans qualités), m'a suivi jusque dans le sud, où j'ai adoré son mélange glaçant et presque psychédélique de psychologie et de fantastique. Là encore, j'en ai parlé un peu plus en longueur dans une vidéo, où j'évoque aussi les deux lectures suivantes : celle de closer, baby, closer, un recueil de poèmes tout récent de la poétesse Savannah Brown, dont je ne cesse de chanter les louanges, et celle de la pièce de Jean-Paul Sartre intitulée Le Diable et le bon dieu, immense coup de cœur qui rejoint ma collection de livres traitant du sacré, de la foi, de la morale, le tout dans un ouragan de violence.
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Dans ma fièvre vingtièmiste, j'ai enchaîné avec Enfance de Nathalie Sarraute, autrice que je n'avais jusqu'ici jamais lue. Construite comme un dialogue entre le je et son alter ego, cette autobiographie non seulement promet un certain plaisir de lecture, mais s'inscrit dans une interrogation passionnante sur le double je et la diffraction narratoriale qui anime le genre biographique depuis, au moins, La Religieuse de Diderot. Une merveilleuse lecture de plage.
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Deuxième lecture contemporaine de l’été, moins ambivalente que la première : j’ai apprécié la narration captivante de Sorj Chalandon dans L’Enragé, ce roman qui raconte l’histoire véritable d’un adolescent qui, enfin parvenu à s’échapper du bagne, doit réapprendre à vivre avec la violence qui couve en lui. Le style n’est ni incroyablement beau ni incroyablement mauvais, les personnages sont bien construits ; arrivée dans le dernier tiers, j’avais même du mal à lâcher le livre.
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Acheté à Paris lui aussi, j’ai lu le recueil de nouvelles de Nabokov intitulé Mademoiselle O, du nom de la première nouvelle du recueil. C’est une autre facette de l’écrivain que l’on découvre ici, dans de courts récits pétris de souvenirs personnels et d’observations, mais aussi dans des histoires presque absurdes qui s’inscrivent parfaitement dans l’esthétique de l’auteur. Les nouvelles sont très courtes, une bonne façon de découvrir l’œuvre magistrale d’un des plus grands écrivains du XXe siècle.
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Et parce qu’un ouvrage du XXe en cache toujours un autre… j’ai profité de l’avoir trouvé en boîte à livres pour lire Une femme d’Annie Ernaux, autrice que j’ai lue à plusieurs reprises, dont je n’apprécie pas particulièrement le style mais que je me fais un devoir de lire morceau par morceau. Dans ce récit, court à son habitude, Ernaux raconte la vie de sa mère, son éducation, sa modeste ascension sociale puis sa contraction de la maladie d’Alzheimer. Mais elle évoque aussi ce genre littéraire singulier qui lui appartient et qui se situe entre la littérature et la sociologie, le livre ne proposant pas seulement le récit de la mort d’une femme mais aussi celui de la naissance de l’écriture d’une autre.
Enfin, éloignons-nous du roman le temps de mes dernières lectures de plage : j’ai lu Lise Deharme, cygne noir de Nicolas Perge, une biographie toute récente de la poétesse surréaliste éponyme dont je n’avais auparavant jamais entendu parler. De son enfance à sa rencontre avec André Breton, en passant par sa multitude d’œuvres artistiques et littéraires, Perge raconte, en mêlant enfance, vie adulte et vieillesse, la vie mouvementée d’une autrice oubliée et pourtant essentielle à l’évolution du surréalisme en France. À lire, avant ou après la lecture de ses livres à elle.
Tes yeux sont deux cratères / de lave et de gouffres ouverts / semés d'étincelles et de feu / Tes yeux sont deux mondes perdus — Lise Deharme, Cahier de curieuse personne (1937)
À la biographie a succédé la philosophie, puisque j’ai lu Le Mythe de Sisyphe de Camus (il était temps !). Si les premières parties sur le suicide et la morale étaient certes intéressantes, j’ai surtout aimé les dernières parties, celles où l’auteur traite de littérature, et notamment des œuvres de Dostoïevski et de Kafka — mes deux écrivains adorés.
L’été prend fin
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Entre la préparation des cours et les formations, plus le temps de lire autant qu’au plus fort de l’été. Mes dernières lectures estivales ont été plus brèves, à commencer par le nouveau roman de Han Kang, Impossibles adieux, que j’ai abandonné (ironie du sort) au premier tiers. Son récit était haché, mal construit, trop peu envoûtant ; sa valeur esthétique semblait reposer sur la répétition d’un seul et unique motif, comme si l’autrice n’avait voulu écrire qu’à partir d’une image jusqu’à la vider de toute puissance stylistique ou émotionnelle.
Après cette déception, retour vers une valeur sûre : j’ai enfin lu les Journées de lecture de Proust, cette préface à sa traduction de Sésame et les lys de Ruskin. Outre le plaisir de retrouver les amples phrases de Proust, le livre est empli d’une douceur nostalgique puisqu’il revient sur des souvenirs de lectures d’enfance, sur la beauté qu’ils contiennent et sur ce que la lecture a d’unique pour le développement d’un esprit. C’est loin d’être le meilleur de ce qu’a fait Proust, mais c’est une lecture courte qui permet de voir, déjà, les germes de la Recherche.
Il n'y a peut-être pas de jours de notre enfance que nous ayons si pleinement vécus que ceux que nous avons cru laisser sans les vivre, ceux que nous avons passé avec un livre préféré.
Mon dernier livre de l'été fut L'Abîme, un roman contemporain de Nicolas Chemla, que j'ai... abandonné. Que n'était mon enthousiasme, pourtant, au début de ma lecture, lorsque j'ai vu ces phrases longues, ces mots envoûtants, cette intrigue prometteuse...! Malheureusement, cet enthousiasme s'est rapidement dégonflé quand le narrateur est devenu, peu à peu, puis tellement que je ne pouvais plus passer outre, l'archétype même du "vieux con réac'", qui déteste tout et tout le monde, sauf son chat qu'il passe des pages et des pages à décrire — quand il ne nous fait pas un descriptif exhaustif de toutes les publicités qu'il croise sur Google. J'ai dit ma déception sur Goodreads, mais pour résumer : abstenez-vous.
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Nota bene : pour la magistrale renaissance de ce blog, je lui ai ajouté une section "labo d'écriture", où vous pourrez (bientôt) retrouver des textes et poèmes signés de ma plume.
Littérairement vôtre,
Ève
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ladyniniane · 1 year
Note
71 et 133, pour les recs de livre ? :D
Salut et merci pour les questions :)
71) Your favorite LGBTQ+ fiction?
Je mettrai en première place Le prieuré de l'Oranger de Samantha Shannon. L'intrigue est distrayante, les héroïnes sont attachantes et ce livre m'a permis de m'évader à un moment où j'en avais besoin.
Je pense aussi à The Ascendant Series de K. Arsenautl Rivera. J'avais été divertie par l'aspect épique, le monde de fantasy égalitaire porté par des femmes puissantes et les influences japonaises et mongoles. Les couvertures sont superbes en plus.
Un petit mot aussi pour La dame à la louve de Rénée Vivien. Même si toutes les nouvelles du recueil ne correspondent pas à cette catégorie, l'écriture est juste superbe.
Récemment j'ai aimé Valiant Ladies de Melissa Grey et The Valkyrie de Kate Heartfield.
133) A book you came across randomly and fell in love with.
Dans le pavillon rouge de Pauline Chen. J'ai trouvé ce livre par hasard à la bibliothèque quand je vivais à Paris. Je ne connaissais pas du tout le classique de la littérature chinoise dont il s'inspire, mais j'ai été emportée et transportée dans l'histoire.
Book recs ask game
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pascal-et-sarah · 10 months
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Séance du mercredi 2023-11-29
Laputa c'est quand même un nom étrange
Le château dans le ciel - 天空の城ラピュタ - Netflix - 2h05 - 🇯🇵🏰🤖
Comme vous êtes au pays du cinéma vous avez la chance d'aller voir en salle le dernier film d'animation du maître Miyazaki. Dans notre pays exotique nous n'avons pas encore eu cette chance alors du coup on revoit tous les films du studio Ghibli pour passer le temps. Après Naussicaä une fable écologique on est là face à une fable anti guerre. Les méchants hommes en marrons du gouvernement tente d'emprisonner une jeune femme qui est héritière d'un royaume disparu.
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Le film explore de nombreux thèmes chers à Miyaszaki, l'aviation, les royaumes oubliés, la folie des Hommes... Le tout avec une virtuosité et une poésie sans nom. Si Nausicaä manquait parfois de rythme Le château dans le ciel montre à voir une épure de cinéma parfait où tout s'ordonne autour d'un message d'une beauté hallucinante.
8/10
Encore une histoire vraie... Mais au moins c'est marrant
Quiz Lady - Netflix - 1h40 - 🇺🇸🎯🦮
Awkwafina est une actrice américaine d'origine chinoise qui me fait très souvent rire, donc quand elle décide de participer à un film je lève un sourcil. Elle joue ici Anne une introvertie qui n'aime que deux choses dans la vie, son chien et une émission de trivia à la question pour un champion. Un jour forcée par sa sœur extravertie (Sandra Oh) elle va participer au jeu en tant que candidate.
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Aucune surprise ici, c'est l'archétype du film hollywoodien. Elle ne veut pas, elle ne peut pas, elle se fâche avec sa sœur et à la fin le pouvoir de la famille bla bla bla. Et pourtant, on ne passe pas un mauvais moment, l'alchimie fonctionne, Will Ferell en animateur du jeu est fort sympathique. Un bon dimanche soir au coin de la télévision.
5/10
croa croa
Les oiseaux - The Birds - Internet - 1h59 - 🇺🇸🐦‍⬛🦜
Le maître du suspens des années 60-70 adapte une nouvelle de la romancière britannique géniale Daphné du Maurier. Que pourrait-il donc se passer? Une riche fille à papa rencontre un avocat sexy chez la vendeur d'oiseaux. Et donc elle décide de le suivre dans sa ville d'origine pour le week-end.
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La pauvre Mélanie arrive en ville et pouf elle se fait agresser par une mouette. Les poules arrêtent de manger, les corbeaux commencent à s'agiter... Bref les oiseaux ne sont pas content. Le film n'est pas le meilleur de la carrière d'Alfred (on pense à fenêtre sur cour...) mais il y a quand même de grands moment (la discussion entre Mélanie et Annie pleine de sous-entendus est une des scènes de dialogue les plus forte du cinéma américain). À voir dans une vie de cinéphile quand même.
7/10
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