#le zouk le plus long
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branché/E. SEVELE - MIXE 2020 le groupe branché / E SEVELE- BY DJ PHEMIX
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My BlackGirlMagicPotion (in the making)
English and French version
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My potion feels like a lie, like a fraud. She is a mix of two amazing sorcerers that forgot to give me my first grimoire.
My potion is the discomfort against the hungry looks that jackals give me, for being this fetishized creature. My potion is how pretty my hair is because it’s bigger, more alive, more fun than white girls’, but smaller, more acceptable than black women’s. It’s how everyone around me feels entitled to touch it and tell me that it would be great as a pillow. My potion is how light my skin is, while still having this honey layer come out when the sun resuscitates me. Making my white friends jealous. It’s my father’s features being slimmed down by my mother’s.
But my potion is also the sun-warm hugs that my dad wraps me in. It’s the long hours spent in bathtubs with my mom detangling my curls. It’s my grandmother’s warm apple pie undertaken by the taste of cinnamon that she only does for me. It’s the sound of my parents dancing to the rhythm of zouk. It’s the calm that my soul is, under the shining sun and breathing of the waves. It’s how the salt covers my body like a star dress. It’s how watering my plants feels like nurturing my soul. It’s how decorating my room makes me proud. It’s how my stretch marks flash like lightning. It’s how my body awakens to music by dancing. It’s how a shared fresh beer feels like a vacation. It’s how my aunt braids my hair while reminding me of my place in this world. It’s how pineapple is sweet both in my mouth but also on top of my head, no matter what that dumb child said in middle school. It’s how fictional characters feel more reachable than real people. It’s how fictional characters are so much more lovable. It’s how taking care of my appearance feels like a ceremony. It’s when my giggles forbid me to breathe. It’s the late-night bike rides. It’s my mom’s lasagna. It’s the naps with my baby brother. It’s my friend’s godly presence. It’s the rugby games on the TV. It’s the chance to debate with people and to learn from them. It’s the taste of my dad’s and aunt’s cooking. It’s my zodiac sign serving as an excuse for my love for food, my bed, and my stubbornness. It’s how addicted I have become to inked needles and shiny ones. It’s how the beads in my hair sing like bells, even if it makes too much noise sometimes. It’s how freedom feels driving my car. It’s how magical stars look in the silence. It’s how my brain is one step away from becoming the character from my stories. It’s how proud I am to be a woman. It’s the smell of spices, mostly garlic and madras on my hands. It’s how the cards feel familiar between my hands during the family afternoon. It’s the smell of lavender in my clothes, my bedsheets. It’s the shrimp beignet that my uncle makes. It’s how the rug in my living room feels like a cloud. It’s the late-night cravings that turn into a gastronomic dish. It’s my hair being frozen by coconut oil in winter. It’s the sand in the shower drain. It’s me stealing vinyl from my grandfather because he does not listen to them and they deserve to be loved. It’s being surrounded by a crowd of color, of zouk, of afro-music, and feeling like you are a part of something bigger than yourself. It’s the Vaseline that comes with you everywhere. It’s the tapping of my nails against a table, or my leg jumping up and down because I am too much alive sometimes and I want to explode.
I have my place in both worlds, but I also do not. My potion comes with privilege that others don’t have. It comes at the price of not knowing which community you belong to, it comes to being an individual. I was always reluctant to define myself. I was never the person that says, I am mixed-raced. Because of how light I am, people did not believe me. I always said that my dad was brown and my mom was white. They were definable. And that if I did not look at all like my mom and brothers it was because I was my dad’s daughter. I am aware that I will never experience what black women experience. I am not a black woman, neither am I a white woman, I am neither and both at the same time.
--------------------------------French--------------------------------------
Ma potion a un goût de mensonge, comme une escroquerie. Ma potion est un mélange de deux sorciers incroyables qui ont oublié de me donner mon premier grimoire.
Ma potion est-ce malaise face aux regards affamés que les chacals me lancent, étant cette créature fantasmatique. Ma potion c’est le fait que mes cheveux sont magnifiques car ils sont plus grands, plus animés que ceux des filles blanches, mais plus petit, plus acceptable que ceux des femmes noires. C’est le fait que les gens autour de moi pensent avoir le droit de les toucher et de me dire qu’ils feront un super coussin. Ma potion c’est ma peau claire, tout en ayant ce sou teinte de miel qui ressort quand le soleil me redonne vie. Rendant ainsi mes amis blancs jaloux. C’est les traits de mon père amincis par ceux de ma mère.
Mais ma potion c’est aussi les câlins doux comme le soleil dans lesquels mon papa m’enveloppe. C’est les longues heures passées dans un bain avec ma maman à me démêler les cheveux. C’est les tartes à la pomme chaude, imprégnées de Cannelle, que ma grand-mère ne prépare que pour moi. C’est le son de mes parents qui danse au rythme du zouk. C’est le calme qui envahit mon âme sous le soleil étincelant et le halètement des vagues. C’est le sel qui recouvre mon corps comme une robe d’étoiles. C’est arrosé mes plantes comme si je nourrissais mon âme. C’est le fait que décorer ma chambre me rend fière. C’est mes vergetures qui chatoient telles que les éclairs. C’est mon corps qui s’éveille en dansant au son de la musique. C’est ce sentiment de vacances qui accompagne une bière fraîche partagée. C’est ma tante me tressant les cheveux qui me rappelle ma place dans ce monde. C’est l’exister de l’ananas à la fois dans ma bouche mais aussi sur ma tête, qu’importe ce que ce gosse stupide m’a dit en grande section. C’est à quel point les personnages de fiction semblent plus accessibles que les vraies personnes. C’est combien les personnages de fiction sont beaucoup plus attrayants. C’est comment me préparer me donne l’impression de procéder à une cérémonie sacrée. C’est rire à m’en étouffer. C’est les balades en vélos au milieu de la nuit. C’est les lasagnes de ma maman. C’est les siestes avec mon petit frère. C’est la divine présence de mes amis. C’est les matchs de rugby à la télé. C’est l’opportunité de pouvoir débattre avec les gens et d’apprendre d’eux. C’est la saveur de la cuisine de mon père et de ma tante. C’est le fait d’utiliser mon signe astrologique comme excuse pour mon amour de la nourriture, mon lit et mon entêtement. C’est mon addiction grandissante des aiguilles d’encres et de bijoux. C’est les perles dans mes cheveux qui chantent comme des cloches, même si parfois elles font trop de bruit. C’est ce sentiment de liberté en conduisant ma voiture. C’est cette atmosphère magique que les étoiles ont dans le silence. C’est cette envie irrésistible de devenir un de mes personnages d’histoires. C’est la fierté que je ressens d’être une femme. C’est cette odeur d’épices, d’ail, de madras qui émanent de mes mains. C’est la familiarité des cartes dans mes mains les après-midi en famille. C’est l’odeur de lavande sur mes vêtements et mes draps. C’est les beignets à la crevette que mon oncle prépare. C’est le fait que le tapis du salon me fait penser à un nuage. C’est les fringales au beau milieu de la nuit qui se transforment en repas gastronomique. C’est mes cheveux congelés par l’huile de noix de coco en hiver. C’est le sable dans le siphon de la douche. C’est le vol de vinyle de mon grand-père parce qu’ils ne les écoutent pas et qu’ils méritent d’être aimés. C’est le fait d’être entouré par une foule de couleur, de zouk, de music afro et d’avoir l’impression de faire partie de quelque chose plus grand que toi. C’est la Vaseline qui t’accompagne partout où tu vas. C’est le tâtonnement dès mes ongles sur une table, où ma jambe sautillant parce que des fois je suis si vivante que je veux exploser.
J’appartiens à ces deux mondes, comme je n’y appartiens pas. Ma potion viens avec un privilège que d’autres n’ont pas. Elle vient avec ce prix de ne pas savoir à quel communauté tu appartiens, elle vient accompagnée de l’individualité. J’ai toujours été réticente à me définir. Je n’ai jamais vraiment été cette personne qui dit, je suis métisse. Les gens ne me croyaient pas parce que ma peau est claire. J’ai toujours dis que mon père était métisse et ma mère blanche. On pouvaient les définir. Et si je ne ressemblais pas à ma mère ni mes frères c’étaient parce que j’étais la fille de mon père. Je suis consciente que je ne vivrais jamais ce qu’une femme noire va vivre. Je ne suis pas une femme noire, ni une femme blanche, je suis une femme noire et une femme blanche, je suis à la fois les deux et rien du tout.
-Chelsy
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Provide ao dai dance group COMPANY BLUE GLOBAL
Spanish, the stating goes, would be the loving tongue, but French, significantly, would be the language the whole world dances to. Its not the French of Maurice Chevalier or Edith Piaf; its Creole-ized French from places in which colonizers and emigrants ran into the African diaspora - from the Caribbean, in Africa and around the Louisiana bayou. It is the language for the dance tunes popping out of Paris studios along with for that homegrown, accordion-driven get together audio of Gulf Coastline dancehalls, and though the dialects alter from nation to region, the exhortation Allons dansez! is usually a common imperative.

This weekend, New Yorkers can dance to three from the worlds finest Afro-French bands. Les Quatre Etoiles, an alliance of four top rated Zairian musicians now based in Paris, are going to be at Kilimanjaro tonight; Tabou Combo, the major Haitian band (although its now based in Brooklyn), will return to S.O.B.s tomorrow, and Nathan plus the Zydeco Cha-Chas, from Lafayette, La., is going to be at Tramps tonight and tomorrow. Quatre Etoiles Les Quatre Etoiles Participate in soukous -rumba rhythms carried back to Africa, lightened up, and topped with cascading, intertwining, dizzyingly infectious guitar lines and sweetly harmonized vocals, usually in Lingala (a pan-tribal Zairian language) or French. Its 4 co-leaders experienced good individual reputations each time a document producer persuaded them to band together in Paris in 1983. Nyboma, a singer, were primary his very own band due to the fact 1973, and had collaborated with Yet another primary Zairian band leader, Sam Mangwana; Syran Mbenza played guide guitar on Mr. Mangwanas Maria Tebbo, a pan-African hit, and worked consistently for a studio musician. Wuta May perhaps experienced sung and composed tracks for eight years with Franco and O.K. Jazz, one of Zaires most critical and very long-working bands. And Bopol, who plays bass with Les Quatre Etoiles onstage, worked with Francos major rival, Tabu Ley and Orchestre Afrisa, then proven himself like a guitarist and bassist from the Paris studios. The band also provides a drummer from Guyana, Ti Paul, and two Zairian singers, Passy Jo and Jean Papi. Nyboma, the bands principal songwriter, said he knew he wished to sing from his early childhood. When Franco or Tabu Ley was actively playing, I'd do something just to hear them, he reported in French as a result of an interpreter. I'd personally stand outdoors the celebration, or climb trees, in an effort to see them. When he was 11 a long time previous, he commenced singing in the Roman Catholic Church mainly because I knew it was a fantastic destination to establish my voice. And by the point he was sixteen, twenty years in the past, he was discovered by Verckys, a major Zairian history producer, who manufactured hit just after hit soon after hit right up until nowadays, he claimed. Whilst soukous utilizes electrical guitars and lure drums, it has robust regular undercurrents. The fundamental rhythm, Nyboma stated, is named zebola, and it is actually employed by regular spiritualists in therapeutic ceremonies. If they have to Forged out evil spirits, he mentioned, the spiritualist or the head of the city wears a red outfit masking his whole body and performs particular dances, Which rhythm is in tune with zebola. The Zairian guitar style, whose rounded arpeggios at the moment are well known across West Africa and while in the Caribbean, also has regular roots. For most elements of Africa, Mr. Mbenza claimed, the motivating power in the communitys track and dance is definitely the drums. But in Zaire, it's got Traditionally been one sort or A further with the kalimba, a thumb piano that plinks out melodic designs that could be transferred to electric guitar. In Senegal, he continued, you can have an orchestra of drums of various dimensions. As well as in Zaire, you've got guide, rhythm and bass guitar. Whilst Les Quatre Etoiles will take precedence, its members explained, their personal careers proceed. Mr. Mbenza has been Energetic in Paris studios, lately dealing with Kassav, whose associates are from Guadeloupe and Martinique, and whose zouk, One more dance audio with Creole lyrics, has affinities with soukous. Once i do the job with Kassav, he mentioned, the inspiration might be zouk. But Each time the guitar comes in, it will be soukous. In Paris, everybody is seeking that soukous guitar line. The band will be to Engage in tonight at eleven:30 at Kilimanjaro, 531 West 19th Road (627-2333); admission is $15. Tabou Combo Tabou Combos new music, the compas direct, is a New Globe analogue of soukous - an insinuating midtempo lilt, with its own circular guitar traces. And due to the fact 1968, when Tabou Combo took its title, the team has long been carrying compas to the earth, maintaining the bounce of compas whilst borrowing Suggestions from around. In 1969, when Tabou Combo designed its standing by winning a national band contest, its edge arrived from The point that it drew on bossa novas and Wes Mongomerys jazz; these days, as Caribbean songs cross-pollinates, Tabou Combo dips into funk, merengue, even rap. The band doesnt Perform for Haitian people only, said Roger M. Eugene, a singer. We will play for virtually any nation. Now, we have tracks in French, English, Spanish, Creole and Lingala. Whenever you listen to the music for the first time, it's like youve never ever tasted sugar - and when you do, you cant Reside with out it. Tabou Combo began out being an eight-piece mini-jazz band; mini-jazz distinguished lesser teams, which used guitars, from older Haitian massive bands with horns. During the mid-seventies, if the band was listening to Earth, Wind and Fire, it decided to insert a four-piece horn area. We needed the American flavor, Mr. Eugene stated. Lately, a synthesizer has taken above some guitar lines. But even now, the music revolves throughout the compas defeat. Tabou Combo has just summed up its job having a Are living album, Reside au Zenith, on the band taking part in its hits for nine,000 individuals in Paris, lots of them stretching to dance-floor duration. (Its available by Mini Documents, Box 432, Baldwin, N.Y., 11510.) The band writes its new music as a cooperative. No one inside the band can say, Im the a person who built that tune, Mr. Eugene mentioned. We often give the credit history into the one particular who delivers the melody of the main a few traces, but then All people needs to carry anything to it, and in Haitian new music what can make the track is the middle - thats the place everybody memorizes the song. It is vital to us to work togther. Tabou Combo is to accomplish tomorrow at 10:thirty P.M. and 1 A.M. at S.O.B.s, 204 Varick Avenue (243-4940); admission is $17. Zydeco Cha-Chas Zydeco is really an all-American hybrid - waltzes and two-ways introduced to Louisiana by Celtic Acadians (who became Cajuns), additionally blues, rhythm-and-blues and whatsoever else Appears excellent to the dance ground. The new music rides around the wheeze of an accordion, the clatter of the frottoir or rubboard (a corrugated metallic vest, played which has a pair of spoons), and bluesy, resilient singing. Nathan Williams, who leads the Zydeco Cha-Chas, signifies zydecos younger technology - hes 26 a long time outdated, from the bayou city of St. Martinville, La. When I very first started out participating in, my wife didnt like it, he explained. She explained I had been far too youthful for zydeco. Now, she likes it. As a toddler, Mr. Williams accustomed to loaf around outdoors dances the place Clifton Chenier, the late king of zydeco, was undertaking; ultimately, Mr. Williamss older brother Sidney acquired him an accordion of his possess from An additional zydeco stalwart, Buckwheat, who also gave him classes. Whilst Doing work at his brothers advantage store, Sids A single-Quit in Lafayette, La., Nathan would vanish into your again room with his accordion, all day long lengthy, until eventually my brother said, Youre gonna make me split that accordion. But it had been an idle menace. Finally, Sidney Williams begun a club, El-Sid-Os, and installed his brothers band there on Friday evenings. We played for nothing every Friday evening right until the gang crafted up, Nathan Williams stated. Cung cấp nhóm múa Flamenco -Chas Engage in a crisp, modernized zydeco, with hints of rock and Jamaican ska rhythms, but Mr. Williams can be more likely to pump out aged-fashioned zydeco-and-rubboard duets. And he keeps an eye within the dance floor. You dont have as much Vitality if individuals arent dancing, he explained. When theyre dancing, they give you far more rhythm, and they cause you to funk it up. Nathan and also the Zydeco Cha-Chas are accomplishing tonight and tomorrow at eight:thirty and 11 P.M. and twelve:30 A.M. at Tramps, 45 West twenty first Avenue (727-7788). Admission is $twelve.
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Cette année c’était le 20ème World Creole Music Festival (WCMF), tenu du 26 au 28 octobre 2018 sur l’Ile de la Dominique au Windsor Park à Roseau.
Après l’annulation de l’édition 2017 du WCMF suite au passage du cyclone Maria, cette année la Dominique fait un doublon et fête en même temps les 40 ans de son indépendance et signe la 20ème édition du festival.
Le Ministre du Tourisme et de la Culture Robert Tonge à déclaré lors la soirée de lancement du World Creole Music Festival que cet événement était une fierté pour l’île de la Dominique : ” J’invite tous les Dominiquais à prendre part à cet événement, à le considérer comme une victoire face à l’adversité récente et comme une nouvelle étape sur le chemin vers le rétablissement de l’île. La Dominique est de nouveau prête à accueillir le monde pour vivre une célébration exceptionnelle. C’est notre 40ème anniversaire de l’indépendance et le World Creole Music Festival est la pièce maîtresse de ce qui promet d’être une explosion culturelle ! ”
Tout a été dit et franchement, on ne peut qu’approuver le Ministre tant ce fut un succès pour le WCMF au stade Windsor Park Sports de Roseau les 26, 27 et 28 octobre derniers.
Le World Creole Music Festival, événement majeur de la scène musicale des Caraïbes, vient d’enfoncer le clou de la renaissance sur la scène touristique de la Dominique après le passage de l’ouragan Maria en septembre 2017.
Ouverte depuis le début de cette année, l’ensemble de l’île s’est mobilisée pour pouvoir accueillir de nouveau les visiteurs dans les meilleures conditions possibles.
Un seul bémol peut être du côté de la gestion des ferry à Roseau ou durant les 3 jours qui ont suivi l’événement, il était plus facile de prendre un gros coup de soleil que de se voir embarquer dans des délais raisonnables. On ne peut qu’espérer que les autorités et l’office du tourisme puissent améliorer ce genre de coup de feu incontournable lorsque que l’on organise un festival de cette ampleur.
On a pu voir sur scène la star jamaïcaine du reggae Chronixx bien évidemment, mais aussi les artistes de dancehall Mavado of jamaica, les spécialistes du zouk jean marc Ferdinand, Francky vincent et stephane Ravor sans oublier les Soca starts , Machel Montano et Kes the Band… Les artistes locaux n’ont bien entendu pas été oublié, on avait sous les yeux et dans les oreilles Midnight Groovers, Signal Band, Triple Kay, Mizik a Nou All Stars et la chanteuse dominiquaise Asa Banton. Michel Martelly, ex président de la République d’Haïti était aussi de la partie. Pour celui qu’on surnomme “Sweet Micky”, politique et musique sont indissociables en ce sens que les deux disciplines nécessitent d’avoir du cœur.
Cette édition 2018 du World Creole Music Festival coïncidait avec le 40ème anniversaire de l’indépendance de l’île de la Dominique face au Royaume-Uni qui a eu lieu le 3 Novembre 1978.
Des signes positifs pour l’avenir, la population de la Dominique accueillante en marge d’un pays d’une richesse inouïe en terme de flore et de faune devrait retrouver très rapidement une place d’honneur des destinations touristiques de la Caraibes. Le pays aux 365 rivières n’est qu’a quelques heures du monde et mérite toute l’attention de ces visiteurs. Située au nord de la Martinique et au sud des Saintes et de Marie-Galante, ce petit bout de terre de 46 km de long et 25 km de large, regorge de trésors insoupçonnés pour les amoureux de nature et de découverte.
A propos du World Creole Music Festival
Le festival dominiquais célèbre la culture créole de la Caraïbes, de l’Europe et de l’Afrique. Le World Creole Music Festival a lieu chaque année en octobre. C’est un événement important dans l’agenda des festivités créoles et des célébrations de l’indépendance de l’île de la Dominique qui se déroulent pendant cette période, tout en stimulant le tourisme. Chaque année, plusieurs genres musicaux sont mis à l’honneur : reggae, zouk, kompa, cadence, bouyon, salsa, dancehall et hip hop, meringue, soukous ou encore zydeco. Le festival est souvent surnommé ” Trois Nuits de Rythmes Pulsants ” pour son large répertoire de styles musicaux représentés à chaque édition.
A propos de l’île de la Dominique
Située au centre de l’archipel caribéen, à égale distance de la Martinique et la Guadeloupe, l’île de 1250 km2 bénéficie d’un climat tropical et offre une variété de paysages sans comparaison : montagnes, volcans, forêts, rivières et cascades… Cette nature préservée fait de la Dominique une destination idéale pour s’adonner sans limites aux sports de plein air (randonnée, plongée sous-marine ou snorkeling, baignade en rivière), profiter des nombreux spas naturels qui parsèment l’île ou observer les baleines… La culture dominiquaise est imprégnée par l’histoire anglaise et les traditions créoles : cette richesse culturelle se reflète aussi dans l’architecture, la gastronomie et la musique.
Quelques chiffres pour vous donner une idée
– 365 rivières et 12 chutes d’eau incontournables. – le Morne Diablotin, le piton le plus élevé de l’île culmine à 1447 mètres. – 6 sortes de forêts tropicales qui couvrent 60% de l’île. La plus célèbre est la ” Rain Forest “, unique en son genre. – 11 montagnes – 172 types d’oiseaux et plus de 1000 variétés de plantes fleuries. – 70 000 habitants dont 24 000 à Roseau, la capitale.
Un environnement préservé
La plupart des sites de randonnée et les rivières sont situés au coeur des parcs nationaux. Les visites sont souvent payantes, ce qui permet d’entretenir la nature et de protéger les différents lieux. Régulièrement aussi, un guide est proposé -voire imposé- afin d’accéder à ces trésors naturels nichés au coeur de la chaîne des pitons.
Comment s’y rendre ?
Par bateau : – L’Express des Îles (www.express-des-iles.com) – Départ de Fort-de-France ou de pointe-a-Pitre, arrivée à Roseau, la capitale dominiquaise (2 heures de trajet) – Val’Ferry (http://www.valferry.fr) – Départ de Fort-de-France ou de pointe-a-Pitre, arrivée à Roseau ou Portsmouth. Par avion : – La Liat (www.liatairline.com) – Arrivée à l’aéroport de Melville Hall à l’est de l’île (30 minutes de trajet). – Airawak (http://www.airawak.com/fr/), compagnie aérienne française qui effectue des vols à la demande basée à la zone aviation générale de l’aéroport du Lamentin. Tel : 0596 51 66 88 – TC Air ” Taxi Caraïbes Air ” (http://www.tcair.fr/), compagnie aérienne française qui effectue des vols à la demande, basée à la zone aviation générale de l’aéroport du Lamentin. Tel : 0596 66 69 60
Suivre l’île de la Dominique sur Facebook : @IleDeLaDominique
Plus d’informations sur l’île de la Dominique : www.authentique-dominique.com et www.dominicaupdate.com
Office du Tourisme de la Dominique Discover Dominica Authority c/o GroupExpression Laure LE CORNEC Tel. 01 58 01 01 30 – [email protected]
Île de la Dominique : Son 20ème World Créole Music Festival et son 40ème anniversaire de l’indépendance Cette année c'était le 20ème World Creole Music Festival (WCMF), tenu du 26 au 28 octobre 2018 sur l’Ile de la Dominique au Windsor Park à Roseau.
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FRANCHE TOUCHE
Nicolas TRESPALLE / ©Élodie Daguin - Barbara Carlotti
HERVÉ BOURHIS
Déjà bien rôdé avec son Petit Livre Rock, son Petit Livre Beatles ou son Petit Livre de Black Music, l’illustrateur, accompagné cette fois au crayon par Hervé Tanquerelle, rempile pour survoler la grande et petite histoire de la « French Pop ».
Jouant du flou artistico-juridique qui entoure ce terme, les auteurs se sont amusés à compiler en près de 250 pages une somme d’anecdotes érudites sur la chanson française et francophone, décortiquée en long en large et surtout en travers. Invitant au feuilletage plus qu’à une lecture linéaire, l’ouvrage, qui remonte tout de même à 1792 avec La Marseillaise pour suivre l’actualité la plus récente de 2018, offre un tableau vertigineux de cette « Pop » qui embrasse tous les genres et sous-genres puisque s’y percutent le twist, l’electro, le rap, le disco, le prog’, l’alternatif, le metal, le rock guadeloupéen voire le « zouk béton » jusqu’à l’inévitable chanson à texte. Autant dire que ce panorama, s’il ne peut faire l’impasse sur les cadors inévitables que peuvent être Trenet, Gainsbourg, Daho ou Françoise Hardy, tire tout son sel des centaines d’artistes obscurs ou brièvement populaires présentés ici sur un pied d’égalité et qui ont formé par leur audace, leur folie, leur flair, parfois leur cynisme, une partie du patrimoine musical du pays de Francis Lalanne. Si on retrouve bien sûr quelques plaisirs coupables pour les tubes du Top 50 ou des focus sur des aveuglements encore incompréhensibles (La Danse des canards, naturellement Palme du WTF), le projet du duo se lit surtout comme une entreprise de réhabilitation méritée pour toute cette armada de francs-tireurs et de soutiers discrets du métier. Ponctué de blaguounettes, Le Petit Livre French Pop remet ainsi l’accent sur les éternels losers et présentent quelques chefs-d’oeuvre inconnus et autres maudits de la discographie franchouille. Citons, avec subjectivité, Ronnie Bird, Chico, Vigon, les Problèmes (futurs Charlots !), les rollergirls mirifiques Stella, Clothilde, Jacqueline Taïeb, le mystérieux Alain Kan et plus récemment les Diabologum, Julien Gasc et nos vaillants garageux Magnétix. À l’occasion de l’Escale, un concert dessiné viendra offrir une BO sur mesure à ce répertoire irraisonné grâce à la présence de Barbara Carlotti, dont l’album autoproduit Magnétique figure en bonne place dans les pages de l’ouvrage. Personnalité à la fois discrète et saillante de la chanson française, la chanteuse qui a par le passé travaillé avec l’auteur de BD Christophe Blain sur La Fille – un road trip psychédélique en BD qu’elle a mis en paroles et musique – viendra faire mentir définitivement le perfide John Lennon lorsqu’il claironnait que le « rock français, c’est comme le vin anglais ».
Concert dessiné, L'Escale du livre pop ! Samedi 6 avril, IUT Plateau TV - Heure à confirmer 12 / 15 € - Billetterie sur www.escaledulivre.com
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Moi, c’est le cinéma (37)
Chronique pour Le Cinéma Est Mort sur CanalB
http://www.canalb.fr/le-cinema-est-mort

Je vous salue bien bas, bande de cinéphiles assoiffés. Ils savent me parler les deux animateurs vedettes du Cinéma est mort. Il y a deux jours, alors que j'étais bien occupé à ne rien faire, ils m'ont contacté avec beaucoup de politesse et de tact en me vendant l'idée d'une émission spéciale films de droite. Après avoir fait trois fois le tour de mon quartier à cloche pied et en marche arrière pour calmer mon trop plein de joie, je me suis mis en quête de films dits "de droite". C'est pas ce qui manque allez vous me dire et vous n'avez pas tort mais il fallait faire un choix. Un film avec Christian Clavier ? Un avec le donneur de leçons Pierre Arditi ? Tous les films où Fabrice Lucchini intervient ? Ah que c'est compliqué de choisir, ça me rappelle un jour de 2002 où on me proposait de choisir entre un gros tortionnaire sénile et un grand con affamé. Un des pires souvenirs de tous les concours Eurovision de la chanson que j'ai vécu. Mais revenons vite à ce qui nous emballe le plus dans cette petite vie : Le Cinéma !
Le film dont j'ai l'honneur et la chance de vous causer aujourd'hui est adapté librement du roman de l'écrivain de droite, Henri Beyle, plus connu sous son pseudonyme facebook, Stendhal. En général, je n'aime pas trop les films tirés de bouquins. c'est un exercice assez casse-gueule, rappelez vous le livre de la jungle de Kipling qu'avait tout salopé ce bêta de Tarantino il y a quelques années. Un des derniers grands rôles cependant pour Tom Cruise assez convaincant en Mowgli, le petit homme un peu neuneu. Mais où tarantino a multiplié les erreurs de débutants, Fabien Onteniente, puisque c'est bien de lui dont il s'agit, a su trouver le ton juste du début à la fin.
C'est pas n'importe qui Onteniente ! Médaillé de la ville de Joinville le Pont, champion départemental de saut à la perche en 1976 avec un bon de 13,24 mètres. Un cador ! Et quand il s'est attaqué à ce chef d' œuvre qu'est Le rouge et le noir, il y est allé à la cool, « relax max » comme il dit souvent car même s'il est de droite, il n'est pas dénué d'humour.
Autant le livre est beaucoup trop long, autant le film est relativement court puisqu'il dure, générique compris, 42 minutes. « J'ai voulu faire court car je n'ai jamais réussi à finir le bouquin » confesse humblement l'ami Fabien à Laurent Joffrin, journaliste de droite un peu connu pour ses éditos dans le journal Valeurs Actuelles je crois.
Julien Sorel est le héros plein de panache et de fougue contenue. Son ambition est telle qu'il est obligé de se faire limer les ratiches une fois par mois, ce qui représente un sacré paquet de pognon à sortir. Pour jouer le rôle du jeune con ambitieux et méprisant il fallait du lourd. Quelqu'un de dynamique, faussement séduisant et réellement détestable. Gérard Klein n'étant pas libre, c'est Renaud qui s'y colle. Il est parfait comme souvent chez lui, le regard bleu acier, la tête haute et la bouche en cul de poule. Pour d'évidentes raisons de compréhension du spectateur, il est doublé vocalement par Gilbert Montagné, ce qui amène un léger côté zouk aux dialogues, un peu surprenant au départ mais on s'habitue très vite.
Admirateur de Napoléon Bonaparte, connaissant par cœur le nouveau testament en latin, le petit Julien est mal vu de ses camarades de classe. Humiliations, jets de billes dans les yeux, Onteniente filme cette violence avec tendresse. Cette fameuse scène où, se changeant après son cours d'éducation physique et sportive, il ne retrouve plus son pantalon est à la fois hilarante et triste. On sent la rage contenue chez Julien Sorel, les petits poings serrés et le regard qui dit, un jour, je vous baiserai tous. Pris sous son aile par le curé Chélan, joué comme d'habitude très approximativement par François Berléand, il devient le précepteur des enfants d'un couple de notables, Monsieur et Madame de Rênal.
Lui est maire du patelin, Verrières, dans le Doubs, un climat rude, le Doubs étant l'un des départements les plus froids du pays. Je vous donne cette information par pure sympathie puisque le film, vous vous en doutez bien, a été tourné dans un studio en banlieue parisienne.
C'est Vincent Lindon qui joue Monsieur le maire. Il faut le voir parader dans les rues de sa ville avec sa belle écharpe tricolore, serrant des paluches en ayant un petit mot gentil pour tout le monde, on dirait Montebourg dès qu'une caméra le filme. Étant rarement à la maison, il ne se rend pas compte que le jeune puceau précepteur est en train de séduire sa moitié à grands coups de yeux qui roulent et de petites acrobaties qui font tant rire les femmes. La femme en question, c'est Mathilde Seignier. Contrairement au livre où la froideur et la timidité de la Rênal en font un personnage énigmatique, Onteniente l'a pensée vulgaire et grande gueule. « C'est pas ce que je lui ai demandé mais elle ne sait faire que ça » confiait le mois denier Fabien à Jean Michel Apathie dans Cassoulet Magazine, rajoutant, dans un sourire, « keep cool ça le fait quand même ». Peu importe au final tant la première scène de séduction de Sorel envers madame de Rênal restera à coups sûrs dans l'histoire du cinéma. Six minutes intenses où Renaud multiplie les cascades, les blagues, pour finir avec une imitation de François Mitterrand complètement folle et exécutée avec classe par le plus célèbre des rebelles de droite. Sans vouloir passer pour un prophète, je sens bien, si ce n'est l'Oscar, au minimum le grand prix d'interprétation au prochain festival du film d'Avoriaz.
Se sentant pousser des ailes, Julien séduit tout ce qui bouge, les enfants, les animaux de compagnie, les vieux, les jeunes, bref, c'est un sacré filou. Mais voilà qu'après avoir refusé les avances de la femme de chambre des Rênal, cette dernière envoie une missive anonyme à Monsieur le maire lui dévoilant le jeu de séduction de Julien envers sa femme. Dans le rôle, toujours difficile, de la domestique, je dois tirer un grand coup de chapeau à Line Renaud, l'éternelle. Quelle carrière ! Quel chemin parcouru depuis son premier rôle dans L'arrivée d'un train en gare de la Ciotat de Louis Lumière en 1896. Cette lettre anonyme fout bien le merdier dans la vie de Julien Sorel qui n'a pas d'autre choix que de partir au grand séminaire de Besançon. Là-bas, c'est un peu son service militaire au Sorel, la franche camaraderie, les concours de pets, les chansons paillardes, j'en passe et des biens pires. Une fois de plus pris pour cible par ses camarades mais ne se remettant jamais en cause, le fier jeune homme devient secrétaire du célèbre marquis de Mole et séduit très vite sa fille, Mathilde jouée une fois de plus par Mathilde Seignier. « Un peu pour l'économie de budget et puis c'est marrant parce qu'elle a le même prénom », expliquait Onteniente il y a quelques jours dans l'émission du très agaçant Augustin Trapenard, Aimer tout et n'importe quoi sur France Inter.
Mathilde est folle de Sorel et veut l'épouser, elle en parle à son marquis de père qui, lui, n'est pas super chaud. Mais, prévoyant, il anoblit Julien, qui devient chevalier Sorel de la Vernaye et il l'envoie à Strasbourg manger des saucisses. Encore un trait de fantaisie du réalisateur excentrique.
Je ne dévoilerai pas la fin du monument et encore moins dans quelles conditions meurt Julien Sorel mais sachez quand même que ce film s'est tourné en trois jours avec des bouts de ficelles et que toutes, je dis bien toutes les cascades ont été réalisées sans doublure. Le minimum que l'on puisse faire devant tous les films d'Ontoniente, c'est de s'incliner en silence. Ce film va sans doute diviser, faire jaser dans les chaumières mais il a le mérite de questionner sur le trop plein d'ambition de la jeunesse dorée du Doubs. Un film de droite comme on aime et qui se fera sans doute assassiner par ces gauchiasses de Télérama mais qu'importe !
Voilà, j'espère sincèrement vous avoir convaincu d'aller voir ce chef d'œuvre. Sachez enfin qu'il ne faut pas s'inquiéter, même si la période est pesante, si parfois vous avez du mal à respirer et que vous ne voyez pas d'espoir arriver. Je le crie et le répète ! On va le gagner le concours eurovision de la chanson et on va tous les baiser !
LB.
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L'arroseuse arrosée
Je me présente : je m'appelle Benjamin, j'ai 40 ans, et je suis marié à une magnifique femme qui se prénomme Delphine qui en a 35. Nous pratiquons le sexe libre et sans limites. J'ai déjà raconté sur ce site quelques aventures.
Cet été, nous sommes partis, ma femme, mes enfants et moi, en vacances 3 semaines près d'Avignon dans un petit camping familial avec mes beaux-parents, la tante de ma femme et ses 2 fils. Nous sommes tous réunis pour un mariage d'un autre cousin de ma femme. La tante de ma femme, Sonia, a élevé seule ses fils, Ludwig et Stanislas, après le décès de leur père lorsqu'ils étaient très jeunes. Elle ne s'est jamais remise en couple après.
Ludwig et Stanislas sont des faux jumeaux d'à peine 18 ans : nous avons fêté leurs anniversaires en mai dernier. Ce sont des geeks par excellence. Ils sont toujours ensemble et ne sortent de leur mobile-home que pour aller chasser les Pokémons avec leurs portables. Ils sont très grands – plus de 1,95 m – mais très filiformes, du type basketteurs.
À plusieurs reprises, j'ai remarqué que leurs yeux restaient figés sur ma femme, leur cousine, et plus précisément sur ses décolletés ou le haut de ses cuisses. Particulièrement pendant ses séances de piscine et de bronzage. Il faut savoir que ma femme déteste les marques de bronzage ; donc, dès que l'occasion se présente, elle se met topless et rentre son bas de maillot de sa raie pour en faire un string.
Les ayant démasqués, j'en discute avec Delphine et nous décidons de les aguicher un peu. Deux jours plus tard, après une matinée relativement calme, nous nous réunissons pour manger tous ensemble. Nous arrivons les premiers, sans les enfants, au mobil-home de Sonia où se trouvent aussi les jumeaux en train de jouer sur leur téléphone. Delphine et moi faisons le tour pour les bonjours habituels. Je remarque que les jumeaux ne perdent pas une miette de la tenue leur cousine. Elle a sur elle une robe de plage vert clair bandeau sans soutif. Une idée me vient en tête et j'attends le moment opportun pour la mettre en œuvre.
Cette occasion arrive peu de temps après. Faisant tomber la clé de notre mobile-home, Delphine se baisse à côté de moi. Sans qu'elle le remarque, je mets le pied sur sa robe et attends qu'elle se lève. N'ayant pas vu que je marche sur sa robe, Delphine se lève d'un coup ; sa robe retenue libère sa poitrine qui est exhibée à la vue de tous, et surtout devant ses deux cousins qui ne perdent pas une miette du spectacle ! Je fais mine de m'excuser, et Delphine, surprise, remonte sa robe rapidement. Ludwig n'arrive plus à parler et se précipite dans sa chambre, le visage rouge vif. Quant à Stanislas, il reprend vite fait son portable et bredouille une excuse de Pokémon pour partir dans le camping. Une fois seuls sur la terrasse, Delphine me tape sur l'épaule.
— Tu aurais pu me prévenir que tu allais faire ça ! — Si je t'avais prévenue, ça aurait eu l'air moins naturel. — T'as raison. Tu crois qu'ils ont apprécié la vue ? — Tu rigoles ! Sûr que Ludwig est parti se branler dans sa chambre, et Stanislas bandait quand il est parti ! — Tu crois ? — Ludwig, ché pas, mais Stanislas, oui : j'ai vu la bosse à travers son short. Je pense qu'on va s'amuser avec les deux geeks !
Delphine m'embrasse fougueusement et rentre dans le mobile-home pour aller aider sa tante. Le reste de la journée se passe normalement. Hormis les regards plus voyeurs des jumeaux sur leur cousine qui prend un plaisir à se dandiner devant eux, ça doit l'émoustiller de savoir qu'elle plaît à des jeunes alors qu'elle a eu deux enfants et qu'elle a plus de 10 ans d'écart par rapport à eux.
Le soir même, c'est la soirée du camping ; nous décidons de tous y aller. Tout le monde est d'accord, sauf les jumeaux qui préfèrent rester au mobile-home avec leur portable même après que leur mère et de leur cousine aient insisté. Au milieu de la soirée, après quelques verres et malgré une femme chaude comme la braise, je suis obligée de rentrer pour coucher les petits qui réclament leur lit. Je laisse donc Delphine et sa tante seules à la soirée.
La suite de la soirée est le récit de Delphine.
Une fois Benjamin parti coucher les enfants, je reste avec ma tante à la soirée. Peu de temps après, un homme devient entreprenant avec Sonia qui le suit au bar. Étant seule sur la piste et ayant une boule chaude dans le bas-ventre, une idée coquine me vient en tête : et si j'allais exciter les deux cousins avant de me faire baiser en rentrant au mobile-home par Benjamin ? Pour la soirée, j'ai mis une jupette volante noire sur un body-string avec un décolleté vertigineux, et sans sous-vêtements dessous.
Je m'approche du mobile-home de mes cousins et remarque de la lumière. Génial, ils ne dorment pas encore. Je monte sur la terrasse et frappe à la porte vitrée. Après avoir insisté, Stanislas m'ouvre la porte. Il est surpris de ma visite. Il pensait que c'était sa mère qui rentrait. Il me fait entrer.
— Bonsoir cousine ; qu'est-ce que tu viens faire ici ? Tu es perdue ? — Non, je venais voir si vous ne vous ennuyez pas trop. — Non, ça va : on joue en réseau à Call of ! - À quoi ? — Laisse tomber, tu ne dois pas connaître ! — T'as raison, je suis dépassée sur ça. Mais sinon, ça ne vous dit pas de danser et faire la fête ? — Non. De toute façon, on sait pas danser. — Allez faites pas vos timides ! — Non, c'est mort : on danse pas ! — Pfff, les jeunes… Vous dansez pas, vous buvez pas ; alors, pour le reste… — Tu veux dire quoi, là ? Tu veux boire ? — Si tu as une bière, c'est pas de refus ; mais seulement si vous en buvez une avec moi. — OK. Ludwig, va sortir trois bières et trois verres. — Pourquoi des verres ? On boit à la bouteille, non ? — Si tu veux, cousine.
Ludwig revient rapidement avec les trois bières débouchées. Nous les buvons rapidement, et les tournées s'enchaînent. Au bout de 3 ou 4 bières chacun et une conversation normale, je propose de nouveau de danser. Ludwig accepte immédiatement. Je prends mon portable et je mets une playlist slow et zouk. À peine le portable posé sur le canapé que Ludwig m'att**** par le bras et m'enlace pour un slow. Étant plus petite que lui, j'ai ma tête sur son torse.
Après quelques minutes de danse TRÈS serrée, je commence à sentir sa bite durcir contre mon ventre. Je sens ma chatte mouiller mon body et le feu s'allumer dans mon bas-ventre. Je le serre un peu plus pour plaquer mes seins contre son ventre. Après quelques danses en continu, Stanislas m'arrache à son frère et me plaque contre lui. Il est dans le même état. Je dirais même qu'il a une bite plus grosse que son frère. Ludwig se rassoit et prend son portable pour nous filmer en train de danser. Stanislas est plus entreprenant que son frère : ses mains descendent le long de mon corps pour se caler sur le creux de mes reins. Je décide de le laisser faire pour voir jusqu'où il osera aller. Après une bonne minute sans réaction de ma part, il descend un peu plus ; il a maintenant les mains sur mes fesses et commence à remonter ma jupe. Je vois bien leur manège, aux deux loulous : un qui filme, l'autre qui essaie de me mettre cul-nu devant le téléphone. Je suis en ébullition et décide donc de les allumer encore plus ; au pire, je ferai semblant de m'offusquer et je partirai en les laissant seuls avec leur érection nocturne.
Stanislas continue ; je sens l'air frais sur mes fesses. Je ne dis rien quand tout à coup, au moment où je suis fesses devant le téléphone de son frère, il plaque ses deux mains sur mon cul. Je me dégage immédiatement et faisant semblant d'avoir l'air outré, je le gifle.
— Tu fais quoi, là ? Je te signale que je suis ta cousine, et en plus je suis un peu trop vieille pour toi ! — Excuse, cousine ! Mais comprends-moi, tu n'arrêtes pas de nous aguicher depuis le début des vacances ; et puis même si t'es plus vieille que nous, tu es encore très belle, tu sais. — Ce n'est pas la question ! Et d'où je vous aguiche ? — Bah, tu n'arrêtes pas, entre le topless à la piscine et encore à midi à nous montrer tes seins sur la terrasse. — Rien à voir : je suis une femme, pas un objet. Et je te signale qu'à midi, c'était un accident et il n'y avait rien de prévu là-dedans. Et en plus, je suis votre cousine ! — Excuse-moi encore, cousine, mais être cousins n'a rien à voir avec l'attirance qu'on a envers toi. — Qu'on… — Oui : moi aussi je te trouve très belle, cousine ! — Merci à tous les deux, mais comprenez que je suis surprise de ton geste. Et toi, Ludwig, efface cette vidéo ! — D'accord. — Promis ? — Promis. — Bon, on n'en parle plus ; l'incident est clos.
Les deux geeks de cousins ne sont pas si innocents, en fin de compte. Je me rassois sur le canapé du mobile-home et nous reprenons une conversation normale. Stanislas se lève et revient avec trois nouvelles bières. La conversation tombe sur le sujet « sexe ». Ludwig commence :
— Dis-moi, cousine : avec Benjamin, tu fais souvent l'amour ? — Oui. Pourquoi cette question ? C'est un très bon amant en plus d'être un très bon mari. — Comme ça… Je cherche à savoir pourquoi tu as une sensualité aussi débordante. — Parce que je suis comblée, niveau cul ; et une femme comblée rayonne de mille feux. — Je remarque ça : tu transpires le sexe, et dès que nous te voyons on ne peut pas s'empêcher de bander !
L'alcool aidant, les cousins se lâchent. Au lieu d'être surprise de leur attitude, je me laisse piéger par leurs questions de plus en plus précises. Stanislas enchaîne :
— Dis-nous : tu aime le sexe en général ? — Oui. Et pas que ! — Comment ça ? — Je vous en ai trop dit, excusez-moi. — Non, vas-y, cousine, développe : ça restera entre nous. — Bon, vous le dites à personne. Des fois, avec Benjamin, nous faisons des petits jeux sexuels. — Comment ça ? Vous vous déguisez, et tout et tout ? — Oui, c'est ça ; et pas que ! Mais bon, je ne vais pas vous raconter toute ma sexualité. — Allez, fais pas ta relou ! Au pire, on fait un action ou vérité. — Pfff ! Ça fait des siècles que je n'ai pas joué à ce jeu, mais pourquoi pas ? — Super ! On prend cette canette vide, on la fait tourner, et celui qui est devant le goulot doit poser une question ou un gage à l'un des deux autres. Mais attention : si on pense que la réponse est fausse, il faut prouver ses dires au sceptique, sinon gage obligatoire ; et si le gage n'est pas réalisé, il y a une punition décidée par les deux autres. OK ?
— OK. — Qui commence ? — Toi, cousine : tu es la seule femme. — Merci.
Je fais tourner la canette ; c'est moi qui dois commencer.
— Ludwig, action ou vérité ? — Action.
Je commence soft.
— Va dehors et hurle comme un loup à la lune.
Il le fait sans hésiter et rentre dans le mobile-home juste après ma validation. Il fait tourner la bouteille. C'est Stanislas qui est désigné.
— Delphine, action ou vérité ? — Vérité (j'aurai plus de chance de me dérober). — OK. Es-tu plutôt poilue ou complètement rasée ? — C'est quoi, cette question ? — Réponds, sinon tu as un gage !
Je commence à les cerner : ils vont me poser que des questions de ce style, ces deux loustics ; je dois me méfier.
— Épilée. — Menteuse !
Il ne perd pas une occasion : pas si naïf que ça, le Stanislas… Je lui prends la main et la passe sous ma jupe et mon body, je la pose sur mon mont de Vénus imberbe. Il ouvre grand les yeux et la bouche. Je retire sa main et lui fais un sourire pour le narguer. Je relance la bouteille ; elle s'arrête sur Ludwig.
— Cousine, action ou vérité ? — Vérité. — Pfff… T'es nulle ! Tu ne vas quand même pas faire que des vérités ? — Non ; mais là, c'est vérité ! — OK. Dis-nous : est-ce que tu étais complice pour nous exciter quand Benjamin a fait exprès de marcher sur ta robe ?
— Non ! Bien sûr que non ! — Menteuse ! — Comment ça ? Prouve-le alors !
Je fixe Ludwig droit dans les yeux avec un petit sourire au coin de la bouche ; il ne peut absolument pas prouver le contraire. Enfin je le pensais… Ludwig prend son téléphone et fouille dedans. En me fixant à son tour, il appuie sur une bande son. Aux premières paroles, je reconnais la voix : c'est celle de Ben. Le fumier nous écoutait derrière sa fenêtre et nous a enregistrés suite à mon exhibition sur la terrasse ! Je perds mon sourire.
— Tu nous as entendus ? — Eh oui, ma chère cousine : les murs ont des oreilles ! — Et tu nous as enregistrés ? — Oui : je voulais le faire entendre à Stanislas pour lui prouver que tu nous aguichais ; il me croyait pas. — Petit futé ! Mais tu sais, c'était la première fois, et en plus je n'étais pas au courant que Benjamin allait faire ça. — Au courant ou pas, tu étais complice de ton mari pour nous exciter. Donc tu es une MENTEUSE ! — OK, j'avoue. — Donc tu as un gage ! — Allez-y. C'est quoi, mon gage ?
Les deux frères se regardent un instant sans parler, et d'une seule et même voix ils disent à l'unisson :
— Tu deviens notre objet sexuel pour le reste de la nuit. — Mais vous êtes fous tous les deux, c'est hors de question ! Et si vous me f***ez, cela s'appelle du viol ! — Écoute, cousine, nous avons des preuves que tu es consentante. — Ah bon ? Et lesquelles ? — Plusieurs photos de toi topless devant nous, l'enregistrement sur la terrasse, plus des photos que Stanislas à réussi à prendre juste avant que tu remontes ta robe, et enfin la vidéo de ta danse où tu le laisses poser ses mains sur ton cul nu.
Je suis prise au piège ! Moi qui les croyais naïfs et prudes, je vois qu'ils en sont loin. Mes menaces sont vaines ; d'un côté, je suis venue pour ça, les exciter : je ne peux m'en prendre qu'à moi-même. Je les regarde tous les deux ; ils me fixent et n'attendent que mon accord pour faire de moi leur chose. Je tente une dernière échappée :
— Vous êtes deux beaux comédiens ; vous cachez bien votre jeu, mais votre mère va bientôt arriver, et je ne pense pas qu'elle sera contente de voir ses deux bébés en train de baiser leur cousine en plein milieu de son mobile-home. — Tu parles de ta tante ? Alors regarde un peu…
Stanislas me tend son portable. Dessus, je vois sa mère en train de sucer une bite pendant que Ludwig la prend en levrette. Je rends le portable à Stanislas.
— Je suppose que la bite qu'elle suce, c'est la tienne ? — Tout à fait. Pourquoi crois-tu que nous allons encore en vacances avec elle et qu'elle ne s'est jamais remariée ? — Je ne me suis jamais posé la question, à vrai dire. — Bon, fini de parler. Maintenant tu es à nous, et tu vas te faire baiser toute la nuit, chère cousine. — Vantards ! Dans cinq minutes vous aurez fini, et moi je serai sur ma faim. — Tu crois ça ? Tu ne vas pas être déçue… Maintenant, à genoux, et ferme-la !
Un peu surprise du ton que Ludwig a pris, je me mets à genoux sans rien dire, presque comme hypnotisée. À peine en position, mes deux amants d'un soir se placent devant moi et me sortent leur engin : deux belles bites bien dures qui pointent dans ma direction. Je les att**** et commence à les branler. Stanislas m'att**** par les cheveux et m'enfourne sa bite dans la bouche. Je le suce tout en continuant de branler son frère. Ce dernier m'arrache de mon jouet pour me donner le sien à sucer. Ludwig est moins doux que Stanislas : il pose ses mains
de chaque côté de mon visage et m'impose un rythme très rapide. Il me baise littéralement la bouche ; son gland cogne au fond de ma gorge, ce qui me fait saliver énormément. Je m'agrippe à ses cuisses pour ne pas perdre l'équilibre. Stan part dans la cuisine et revient avec une paire de ciseaux.
— J'ai envie de voir tes seins. — Donne les ciseaux, frérot !
Tout en me lâchant la tête, Ludwig prend les ciseaux. Il pince mon téton gauche entre son pouce et son index, le fait rouler pour me faire crier un peu. Ensuite il tire sur le tissu de mon body et plante les ciseaux dedans, coupe le tissu. Un fois fini, mon sein sort par le trou qu'il vient de faire. Il fait pareil au niveau de mon sein gauche.
— Voilà. Tu aimes tellement les faire voir, maintenant c'est chose faite.
Il rend les ciseaux à son frère et prend sa bite en main pour me la faire claquer sur les joues en me traitant de petite salope. Stanislas s'assoit près de nous sur le canapé et se branle doucement.
— À mon tour : je veux qu'elle me suce aussi. — Pas de problème ; je vais m'occuper de sa petite chatte en même temps.
Je n'ai pas un mot à dire. À peine éloigné, Stan me tire par les cheveux et me roule une pelle. Nos langues tournent l'une autour de l'autre. Je suis en eau, je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses. L'instant d'après je me retrouve à le sucer et je sens Ludwig me relever le bassin par le body. Je suis à quatre pattes devant Stanislas en train de le sucer et je sens son frère me dégrafer le body et plonger le visage dans ma fente. Je sens sa langue laper mon jus : il me lèche toute la raie, s'arrêtant sur ma rondelle de temps en temps. Il me doigte la chatte et l'anus, ce qui me fait gémir de plus en plus. Moi, j'alterne entre pipe et branlette. D'un coup, je sens que Ludwig se retire. Quand je me retourne pour voir ce qu'il fait, je le vois nu, la bite à la main, en train de se positionner derrière moi. Je n'ai pas le temps de lui dire quoi que ce soit qu'il me perfore le vagin d'un trait. Cette pénétration me fait crier sans retenue. Pour me faire taire, Stanislas m'enfourne sa bite dans la bouche et me f***e à l'avaler en entier. Son frère me lime la chatte avec énergie ; je sens ses couilles me claquer le clitoris à chaque fois. Stan prend son appareil en filme la scène, moi en train de me faire prendre en levrette tout en lui prodiguant une gorge profonde. Quand j'arrive à me dégager la bouche, je regarde Stan droit dans les yeux et lui dis :
— Au lieu de filmer, tu veux pas plutôt m'enculer pendant que ton frère me baise ? — Tu veux qu'on te prenne en double ? — Oui. Vous ne voulez pas découvrir des choses ? Je suis votre objet cette nuit, non ? — Oh, putain… elle est encore plus chienne que maman ! — Tu vas couiner, cousine ; prépare-toi ! — J'attends pour l'instant ; j'ai mieux à la maison.
Je suis dans un état second ; je veux me faire baiser, et je ne partirai pas sans avoir eu ma promesse.
Ludwig se retire et s'allonge sur le dos ; je m'empale sur sa bite et commence les va-et-vient. Stanislas, maintenant nu lui aussi, se place derrière moi. Je sens un truc froid sur ma rosette ; après une petite résistance, elle entre en moi. C'est trop petit pour être sa bite. Je tourne la tête et vois Stan se lubrifiant la bite avec des petites plaquettes de beurre. J'y crois pas… il vient de m'en mettre une dans le cul ! Il m'en met une deuxième, puis une troisième. Je sens maintenant ses doigts entrer dans mon cul. Directement deux, puis trois, et enfin il présente son gland. Son frère me tient serrée contre lui ; son gland entre sans résistance et je sens son chibre coulisser dans mon rectum tout doucement. Il se cale à fond en moi.
Je me sens pleine ; je suis pleine. Ils commencent à bouger chacun à son rythme pour petit à petit bouger au même rythme. Rythme qui augmente au fur et à mesure de mes couinements et de mes ondulations. J'ai l'impression qu'ils vont me perforer de part en part. Je crie de toute ma voix, je jouis de mes deux trous constamment. J'ai la tête qui tourne, je vais tomber dans les pommes. Enfin je les sens gicler dans mes cavités. Leur sperme chaud me remplit et déborde. J'ai les jambes en coton.
Stan se retire le premier et me cale sa bite dans la bouche. Je le suce sans réfléchir ; il a le goût de mon cul et de son sperme mélangés. J'aime ça. Ma pipe post-coït lui redonne de la vigueur. Son frère fait de même ; je le nettoie, et il reprend de la vigueur aussi grâce à ma langue experte. Ils changent de trou. La joute est encore plus
intense ; ils sont plus endurants. Ils se mettent à me prendre en double vaginale ; ils tentent la double anale mais échouent, heureusement pour moi !
Tout à coup, ils se retirent en même temps et me mettent à genoux devant eux, se branlent et éjaculent sur moi. Les premiers jets arrivent directement sur mon visage et mes cheveux, les autres terminent sur mes seins libres ; je tire la langue pour récupérer cette merveilleuse semence. Tour à tour ils se font lécher pour avoir une bite bien propre. Les deux frères s'affalent sur le canapé et me regardent, souillée, le maquillage coulant. Ils me prennent en photo ; je n'ai plus la f***e de dire quoi que ce soit, alors je les laisse faire : ils ont mérité leur trophée.
— Tu as aimé, cousine ? — Oui. Vous m'avez surprise, à vrai dire : je ne vous pensais pas aussi pervers. — Mais tu n'as encore rien vu, ma chère ! - Me dites pas que vous avez encore du jus : je ne vous croirais pas. — Du jus, pas pour l'instant ; mais tu ne vas pas t'en sortir comme ça, cousine : tu vas gouter à notre spécialité ! — Tu crois qu'elle peut le faire ? dit Stan à son frère. — Bien sûr. Regarde maman : elle a eu deux enfants comme elle, et sans compter la double vaginale qu'elle vient de faire sans résistance. Maman le faisait bien avant de réussir la double. — Tu as raison ; je vais chercher ce qu'il faut.
Qu'est ce qu'ils mijotent encore ? Ils viennent de me baiser deux fois de suite par mes deux trous, et ils en veulent encore ? Je suis vraiment une mauvaise physionomiste : jamais je n'aurais imaginé qu'ils étaient comme ça. Des vrais bêtes de sexe, insatiables ! Je pense que je vais prendre cher ; rien que d'y penser, je recommence à mouiller. Stanislas revient avec de nouveaux petits pains de beurre. Il en donne à Ludwig qui les pose sur le canapé en lui disant :
— À toi l'honneur : tu as les mains plus fines.
Stanislas, sans rien dire, se beurre les mains ; je n'ose y croire : ils ne vont quand même pas me fister, ces pervers ? J'ai ma réponse : Ludwig me saisit par les épaules et me plaque le visage sur le sol, il me relève la croupe et me fesse deux ou trois fois. J'ai le cul qui brûle, je me mets à couler. Stanislas s'approche de mon derrière et entre trois doigts sans hésitation dans ma chatte. Il me pistonne et fait bouger ses doigts en moi. Je gémis de plaisir.
— Tu vois, elle adore ça, Stan. Passe à la vitesse supérieure !
Stanislas écoute son frère sans dire un mot. Il m'enfonce quatre, puis cinq doigts. Sa main résiste un peu à entrer ; il f***e plus, et d'un coup mon corps cède. Il a son poing dans ma chatte ! Il reste immobile un instant avant de commencer à faire des rotations. Je sens ma cyprine couler sur mes cuisses. Stan le remarque aussi et n'hésite pas à le faire remarquer à son frère. Ludwig bande de nouveau ; il prend son téléphone et filme la scène tout en se branlant. Stan s'amuse avec ma chatte comme un chat avec une souris. Il sort son poing et le remet avec de moins en moins de résistance. Il me pistonne le vagin avec son poing. D'un coup il se retire et écarte mes deux globes fessiers au maximum.
— Ludwig, prends sa chatte toute ouverte en photo ; sûr que je peux y mettre les deux mains !
Je commence à paniquer : être fistée par deux mains, je ne l'ai jamais fait ; je crois qu'il va me déchirer, mais je n'ai pas le temps de réagir qu'il commence. Il entre une main puis je sens l'autre glisser le long de son poignet. Il entre un doigt puis deux, puis au fur et à mesure il entre ses cinq doigts. Ma chatte me brûle ; mes larmes coulent sur mes joues et sur le sol. Son frère l'encourage en lui beurrant les parties de sa main encore à l'extérieur. Les minutes me paraissent longues… D'un coup, je les entends crier de joie : il a réussi à me caler ses deux mains dans la chatte ! Je ne sentirai plus jamais une bite : il a flingué ma matrice !
Après l'excitation de sa prouesse, il commence à me pistonner. Je crie de douleur et de plaisir à la fois ; la chaleur est tellement intense qu'à la fin je ne la sens plus. Je recommence à jouir de plus belle, ce qui le conforte dans sa prouesse et le fait commencer un mouvement de va-et-vient. Je jouis sous ses coups de poings dans ma chatte. Ludwig n'en peut plus ; il lui ordonne de se retirer pour qu'il puisse m'enculer de nouveau. Quand Stanislas retire ses mains, je sens comme un courant d'air dans mon vagin ; cette sensation me provoque un énième orgasme.
Quand je reviens sur terre, Ludwig est déjà dans mon cul et me lime sans retenue. Stanislas a pris le relais pour filmer.
— Stan, passe-moi le beurre ! — Qu'est-ce que tu veux en faire ? — Passe, putain !
Stanislas le lui passe et reprend le cadrage de la scène. Je n'ai plus de f***es pour quoi que ce soit. Je n'ose même pas imaginer ce qu'il a en tête, mais ça ne peut pas être pire qu'un double fist. Je me suis trompée ! Il se retire et commence à me fourrer de plaquettes de beurre comme si j'étais une dinde de Noël. Il ne va pas tenter… Mais si : je commence à sentir ses doigts autour de ma rosette dilatée. Je ne sens même pas les doigts entrer, juste son poing cogner sur mon sphincter. Il est plus violent que son frère ; il me fait bouger sur le sol. J'essaie de me retenir au canapé mais ma tête cogne sur le pied à chaque mouvement de sa part, mon visage frotte le sol.
Stanislas me donne un coussin pour poser ma tête. Son poing entre d'un coup. Il ne s'arrête pas là : immédiatement après, il me pistonne comme un fou. Des bruits obscènes de beurre fondu et de foutre mélangés se font entendre ; je jouis en continu. Il se retire, fait prendre par son frère des photos – en mode selfie et autres – de mes orifices distendus. Il prend la bouteille de bière qui traîne sur le sol et me l'enfonce sans résistance dans le cul.
— Tiens, cousine : un joli gode pour te rappeler cette soirée.
Difficilement, j'articule :
— Vous n'allez pas me laisser comme ça ! Je vais me nettoyer un peu avant de partir. — Chuis con ! Bien sûr qu'on va te nettoyer. — Stan, ouvre la porte et aide-moi à la mettre sur la terrasse.
Stanislas obéit sans dire un mot. Ils me prennent sous les aisselles et m'amènent dehors ; j'arrive difficilement à marcher. Ils me laissent tomber à genoux et se mettent l'un à côté de l'autre devant moi, la bite à la main. Je m'approche pour les sucer, les yeux à demi-clos, quand je reçois un premier jet chaud. J'ouvre plus les yeux, et là je les vois en train de commencer à me pisser dessus. Ils m'inondent de leur pisse chaude.
— Voilà, cousine, comment on lave des chiennes de ta trempe !
Je n'en reviens pas : ils n'ont aucune limite ! Une fois fini de me pisser dessus, les deux frères rentrent dans leur mobile-home et ferment la porte, me laissant là, souillée de foutre et de pisse, les seins à l'air et le body encore dégrafé. Après de longues minutes, les yeux dans le vague en pensant à tout ce qui vient de se passer, j'entends un bruit sur la terrasse. Je tourne la tête et vois ma tante sur une chaise en train de se doigter tout en me regardant. Sans un mot et péniblement, je me lève et descends de la terrasse pour rejoindre mon mobile-home. Sur le chemin, je m'arrête plusieurs fois car mes jambes ne me tiennent plus. En traversant le terrain de foot désert pour aller plus vite, je tombe même à genoux sur la pelouse ; je sens un courant d'air sur ma fente. En remettant mon body, je m'aperçois que j'ai encore la canette de bière dans le cul. Je la retire et sens un vide en moi. J'arrive enfin sur la terrasse de mon mobile-home ; Benjamin m'attend sur une chaise longue. Il se lève et me prend dans ses bras.
— Je vais tout t'expliquer, Ben. — Ne t'inquiète pas, ma chérie : je sais tout. — Comment ça, tu sais ? — L'important, c'est de savoir si tu as passé une bonne soirée.
Je suis troublée ; comment peut-il tout savoir ? Est-ce que mes cousins lui ont envoyé des photos ? Benjamin me porte dans ses bras et m'amène directement dans la douche ; il me déshabille et me fait prendre une douche. Je reste assise dans la douche, le laissant me nettoyer comme une poupée de chiffon. Le seul acte doux de la soirée envers moi.
— Bon. Alors, tu as aimé ta soirée, ma chérie ? — Comment tu es au courant ? — Réponds à ma question et tu auras ta réponse. — Oui, j'ai aimé, même si je vais avoir mal partout demain. — Sûre ? Tu as aimé ? — Oui. Je me suis fait baiser comme une chienne, et je peux même dire que ça fait du bien de se sentir aussi désirée. — Eh bien, c'était le but. En fait, je t'ai tendu un piège, ma chérie. — Quoi ? — Attends, écoute. Il y a quelques jours de ça, j'ai surpris tes cousins en train de se branler dans leur mobile-home. Je les ai laissé finir, et après je suis rentré avant qu'ils n'aient le temps de s'essuyer. Après des boutades et des petites moqueries, je leur ai demandé sur qui ils se branlaient. Ma surprise fut énorme quand, tout penauds, ils m'ont fait voir leurs téléphones : ils avaient plein de photos de toi en train de bronzer à la piscine, et même des photos du dessous de ta robe pendant le mariage. — Salaud ! C'était pas un doute ! Alors, quand tu m'en as parlé, tu échafaudais un plan avec eux ! — Oui, j'avoue. Je voulais savoir si tu serais partante pour te faire baiser par tes cousins. Ensuite je leur ai laissé carte blanche, leur disant que tu étais ouverte sur plein de choses, mais que si tu disais non, c'était non. — Et comment tu savais que j'allais y passer ? — Je n'en savais rien. Normalement, quand tu rentrais ce soir, je devais t'envoyer là-bas sous prétexte qu'ils voulaient te voir, sûrement à cause de l'incident de ce midi. Mais quand j'ai reçu la vidéo de ton slow, j'ai tout de suite compris que tu venais de te livrer à eux toute seule et que tu étais chaude pour cette soirée. Ce que je leur ai dit, d'ailleurs. — Tu as reçu beaucoup de photos ? — Toutes ; et les vidéos aussi : ils les mettaient au fur et à mesure sur un cloud qu'on a ouvert tous les trois. — Je me suis bien fait baiser ; et dans tous les sens ! — C'est ça, ma chérie ; mais tu as aimé, et c'est ce qui compte. — Et pour ma tante, tu étais au courant aussi ? — Quoi, ta tante ? — Ils la baisent. Et là, ils m'ont pissé dessus devant elle ! — Non… — Si ! Et en plus, quand je m'en suis aperçu, elle était en train de se doigter. — Ça par contre, ils ne m'en ont pas parlé. Mais tu crains quoi ? Qu'elle te juge ? Elle se fait baiser par ses fils, tu viens de me dire ; elle est loin d'être irréprochable. — Tu as raison. De toute façon, je suis trop fatiguée pour me poser ce genre de question ce soir. Tu m'aides à aller au lit ? — Oui, je te sèche et on y va.
Benjamin me déposa sur le lit, m'embrassa, et je m'endormis avant même qu'il me rejoigne.
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10 African Cities Known for Music
Music is the voice of a people’s culture. African music is the sound of the continent’s culture.
While every community in Africa has its own kind of music, there are certain countries that have more established music centers than others.
We are going to consider African cities where music is dominant in terms of music infrastructure and the culture of music as a people’s way of life. Here we go!
10. Ouagadougou
Ouagadougou is the capital city of Burkina Faso. Baptized by the legendary Thomas Sankara, this city is famous for its traditional music setup.
However, you can still find a blend of modern music, in addition to traditional musical entertainment. Ouagadougou is also known for its spectacular cultural displays, especially traditional clothing.
Some of the popular music venues include Le Bateau Ivre, Le Calypso, Dancing Acapulco, Byblos, and The Mask, among others.
9. Accra
Accra is the capital city of Ghana. It is the original home of the Pan-Africanist movement, established by Ghana’s first president, Kwame Nkrumah.
Renowned musical artists that have made Accra their base include Ria Boss, Rvdical The Kid, Alex Wondergem, FOKN Bois, Gafacci, among others.
Some of the popular music venues in Ghana include Clear Spice, Chez Afrique, Kona Café & Grill, Labadi Beach, +233 Jazz Bar, Plotseven, Champs Sports Bar & Grill, Republic Bar & Grill, Rockstone’s Office, among others.
In case you are one of those who loves a mix of cultural music and contemporary Western music, Alliance Francaise and Geote Institute are some of the few places. Some of the renowned cultural groups in Accra include Afrochella.
8. Abidjan
Abidjan is the capital city of Ivory Coast. Ivory is the most populous French-speaking city in West Africa.
French has a great cultural influence in Ivory Coast. As such, music in Abidjan has been greatly influenced by French. There is a great Franco-African fusion when it comes to music.
Indeed, Abidjan is often referred to as Africa’s Paris. Many big names in Ivory Coast started off their music career in Abidjan and later on relocated to Paris to make an international appeal.
7. Luanda
Luanda is the capital city of Angola. It is one of the fastest developing cities in Africa, thanks to its booming oil and diamonds industries that have financed its rapid expansion.
However, it being the most expensive city in Africa, plus being predominantly Portuguese speaking, it has discouraged a lot of musicians from other parts of Africa.
Angola is one of the few countries in Africa that are Portuguese speaking. As such, its music is heavily influenced by the Portuguese dialect and culture. Semba is the traditional music in Angola.
However, it has undergone a lot of Portuguese influence such that you can hardly distinguish it from the Brazilian Samba.
Apart from Semba, other music genres that have native influence include Kizomba, lKiduro, Kilapanda, Zouk, and Merengue.
6. Addis Ababa
Addis Ababa is the capital city of Ethiopia. It is also the capital city of Africa – being home to the African Union (AU) headquarters. Addis Ababa is probably the oldest city in North-Eastern Africa.
Ethiopians have a well-established ancient culture pre-dating the Biblical times. As such, compared to most Sub-Saharan cities, Ethiopia has a very authentic culture that was less influenced by colonialism. It is the only country in Africa that was neither enslaved nor colonized.
Ethiopians as a people are very proud of their culture. This can be observed in their music, religion, language, and even form of writing.
5. Lagos
Lagos, though not the capital city, is the biggest city in Nigeria, and so far the biggest in West Africa. This coastal city boasts of being a melting pot of West African cultures.
From music to film, Lagos has cut out its special place in West Africa. Although it faces competition from the capital city, Abuja, in terms of infrastructure, Lagos is more livable than Abuja.
Thus, more people find it a great place for leisure and entertainment.
4. Dakar
Dakar is the cultural capital of West Africa. Through deliberate effort by Senegal’s first president, Leopold Senghor, to promote music and Senegalese culture, Dakar became a prominent city with musicians from neighboring countries finding it a welcoming music base.
3. Nairobi
Famously billed as the ‘City in the Sun.’
Nairobi is not only the capital city of Kenya but also the largest city in the Eastern and Central Africa. As such, it has a reasonably good music infrastructure.
Most upcoming musicians from East and Central Africa find it more convenient to establish a base in Nairobi as they nurture their skills and talents. In Nairobi, you can get famous names from DRC, Tanzania, Uganda, and Somalia carrying out their music venture.
Chibalonza of DRC, Jose Chameleon of Uganda, and Diamond Platinumz of Tanzania are just but a few of the recent ones to have a base in Nairobi.
2. Johannesburg
Johannesburg is a melting pot of cultures, predominantly African and European cultures. During the long period of Apartheid, Johannesburg used to be predominantly a European music capital in Africa. However, after the end of Apartheid, Indigenous African music started permeating every facet of Johannesburg.
Though there are not so many big music names coming from Johannesburg, this capital city has a world-class music infrastructure. As such, most music recordings by big names in Southern and Eastern Africa are done in Johannesburg.
Big music names from South Africa include Hugh Masekela, Miriam Makeba, Brenda Fassie, Lucky Dube, among many others.
1. Kinshasa-Brazzaville
Kinshasa is the capital city of Democratic Republic of Congo (DRC, or simply Congo-Kinshasa), while Brazzaville is the capital city of the Republic of Congo (Congo-Brazzaville). These are twin cities only separated by a river which forms the national border between these two countries.
It is common to have musicians crisscrossing from one side to the other for music production and live performances. Sometimes, it is hard to distinguish whether a given musician is from Kinshasa or Brazzaville.
Kinshasa is known as the Lingala capital of Africa due to the dominance of the Lingala music (a music genre that blends French, and local dialects).
Some of the famous musicians from Kinshasa-Brazzaville include Franklin Boukaka, Franco Matiadi, Tabu Ley, Kofi Olomide, among many others.
The music blends naturally into the indigenous lifestyle of the people of Congo. It is the traditional way of life that is expressed in almost every other social activity.
The final note
You cannot meaningfully talk about Africa without mentioning its unique kind of music. With over 5,000 ethnic groups, Africa’s music beats are diverse.
Nonetheless, visiting music scenes in Africa’s capitals is the best way to have a one-pot recipe for a fused collection of dozens of those cultures in each respective region.
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Jour 14
Ce matin, nous nous réveillons tôt pour rencontrer la doctorante Ilaria chez elle à 9h. Ses sujets d’études sont portés sur les femmes issues du milieu rural et sur les femmes mariées au Rwanda. Sa longue interview nous a permis de mieux comprendre le fonctionnement de la société ici. Elle a même impressionné nos deux amis Didonc et Angeloos, qui n’en revenaient pas de voir une expatriée si renseignée sur leur pays.
A la suite de cette riche rencontre, nous séparons l’équipe en deux groupes. Le premier rejoint le stade national afin d’interviewer Aline Ndacyayisenga, une taekwondoïste qui se prépare aux Jeux Olympiques. Le deuxième va acheter de l’eau et commencer à préparer l’interview suivante, celle d’une présentatrice célèbre au Rwanda que l’on retrouva en direct à la télévision seulement une demi-heure après avoir répondu à nos questions dans notre jardin. Autour d’un délicieux repas préparé par Fatem, Camille et Morgane, nous discutons du programme de l’après-midi.
A 16h nous nous trouvons donc au Nyamirambo Women’s Center où nous avons la chance d’interviewer Marie-Aimé, la présidente. Ainsi nous avons pu voir les femmes à leurs ateliers de couture et faire quelques achats dans leur magnifique boutique. Didonc a ensuite voulu nous faire visiter son chez-lui étant donné qu’il habitait dans le même quartier. On en profite pour boire une bière en terrasse avant de partir pour une réunion animée. Une fois le thème des épisodes du webdocumentaire choisis, nous partons, non sans nostalgie, profiter de notre dernière soirée ici.
Entre un karaoké chaotique et du zouk enflammé (et les retrouvailles-surprise avec Angel, la musicienne interviewée quelques jours plus tôt), c’est des souvenirs plein la tête que nous nous couchons pour la dernière fois dans la villa.
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DAY 14
This morning, we wake up early to meet PhD Ilaria at her place around 9am. Her thesis are focused on women living in rural areas and married women in Rwanda. Her long interview allows us to have a better understanding of how society works here. She even impresses our two friends Didonc and Angeloos, who are astonished to see an expatriate so knowledgeable about their country.
In the aftermath of this enlightening encounter, we split the team into two groups. One joins the national stadium to interview Aline Ndacyayisenga, a Taekwondoist preparing for the Olympic Games. The second is going to buy water and prepare the next interview with a famous Rwandan presenter that we are going to see in live on television only an hour and a half after answering our questions in our garden. We discuss the afternoon program around a delicious meal cooked by Fatem, Camille and Morgane.
At 4 pm we are at the Nyamirambo Women's Center where we are lucky to interview Marie-Aimé, the president. In this way we could see women at their sewing workshops and do some shopping in their beautiful shop. Didonc then wants to show us his home because he lives in the same neighborhood. We enjoy drinking a beer on terrace before leaving for a lively working meeting. Once the episodes' themes of the webdocumentary chosen, we are nostalgic to leave and enjoy our last night here.
Between a tumultuous karaoke and an impassioned zouk (and a surprise reunion with Angel, the musician interviewed a few days earlier), we go to bed for the last time in the villa, the head full of memories.
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Stony est venu mettre le feu au Taxi Brousse !
Stony est venu mettre le feu au Taxi Brousse !
OUI Stony est venu mettre le feu au Taxi Brousse ! Deux ans après son dernier passage au taxibrousse et juste avant sa participation à l’évènement, le Zouk le plus long le 30 avril 2017 en Martinique, la pétillante Stony nous a fait l’honneur de faire une escale à Marseille ! (more…)
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#SoundCloud#music#DJ PHEMIX#Zouk 2020#Nouveauté 2020#Le zouk le plus long#Confidence pour confidence
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Zouk retro sensation Vol.2 - By DJ PHEMIX
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Mix spécial Tatiana Miath (Remember) - By DJ Phemix
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Mix spécial 100 % Diyanah - Zouk 2018 (Phx clin d'oeil) - By DJ Phemix
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