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#madame le juge
rwpohl · 5 months
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madame le juge: le dossier francoise muller, tv series 1978
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logogreffe · 4 months
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Beaver oil, a French mistake
Qui est-ce qui vient de découvrir que l'huile de ricin alias Castor oil n'est pas faite avec des castors ? C'est bibi ! Note 1 : A beaver = un castor
L'huile de ricin (ricinus oil) is called "castor oil" in English so I thought....that...it was made with beavers....juice ? Note 2 : Qui est-ce qui vient de + verbe à l'infinitif ...? = Qui vient de + verbe à l'infinitif....? = Who just + verb-ed...? Note 3 : C'est bibi = funny unformal way to say "it's me !" Other example : Et qui doit encore faire la vaisselle ? C'est bibi ! // And who has to do the dishes again ? Me !
Full Translation : Who just discovered that ricinus oil aka Castor oil isn't made with beavers ? Me !
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lolochaponnay · 4 months
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Le juge demande : - Dites-moi, madame Martin, pourquoi demandez-vous le divorce ? - Mon mari me traite comme un chien, monsieur le juge ! - Ah ? Il vous maltraite ? Il vous empêche de sortir ? - Non. Il voudrait que je sois fidèle!
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thebusylilbee · 1 month
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Au bout du fil, Marwan est dépité. « On nous parle d’humanité, de droit international, bla bla bla… Mais tout ça, ce ne sont que des paroles », lâche le Franco-Palestinien après avoir reçu la décision du tribunal administratif de Marseille, le 29 juillet. Celle-ci rejette le recours de sa sœur Shama, qui demandait à la justice d’annuler un arrêté dans lequel la préfecture des Bouches-du-Rhône refusait sa demande de titre de séjour et lui enjoignait de quitter le territoire. « C’est très dur », réagit l’intéressée, qui avait obtenu un récépissé de six mois à son arrivée en France.
Son avocat, Me Sidy Dioum, évoque « une sacrée surprise ». Il précise que la décision a beaucoup tardé à être rendue – l’audience au tribunal a eu lieu le 1er février, la décision est tombée six mois plus tard. « Le juge avait la possibilité d’annuler l’arrêté du préfet en se basant sur le principe d’erreur manifeste d’appréciation, au regard de la situation à Gaza. » Valider l’arrêté de la préfecture, et donc l’obligation de quitter le territoire français (OQTF), revient selon lui à « lui donner une corde pour se pendre ».
Sollicitée, la préfecture fait savoir que la situation de Shama a été « examinée avec attention » par ses services, et confirme que sa demande de titre de séjour a fait l’objet d’une décision de refus le 29 septembre 2023 portant mention d’une OQTF. « La situation de Madame a été appréciée avant le début du conflit en Palestine. À ce titre, l’OQTF ne sera pas mise à exécution », assure-t-elle, sans pour autant annuler la mesure.
Elle invite Shama à « porter à sa connaissance tout élément nouveau qui permettrait de reconsidérer sa situation ». Le ministère de l’intérieur n’a quant à lui pas répondu à nos questions. De son côté, Me Dioum maintient que le préfet, qui bénéficie d’un pouvoir discrétionnaire, aurait pu et pourrait encore « apprécier la situation différemment ».
Shama a quitté Gaza aux côtés de son frère, en décembre 2022, pour pouvoir l’accompagner en France grâce à un visa touristique. Elle est ensuite restée pour l’aider à se soigner. « J’ai suivi des études en France et j’ai acquis la nationalité en 2014. J’ai ensuite vécu à Londres, où je travaillais à l’université, mais j’ai voulu rentrer en Palestine », déroule Marwan dans un français teinté d’un léger accent.
Des arguments classiques côté préfecture
Mais en 2021, c’est la descente aux enfers. Un « missile israélien » touche sa maison et le blesse à la tête et aux jambes. À l’hôpital, on lui découvre aussi une tumeur au cerveau. Il souffre depuis de pertes d’équilibre et peine à se déplacer, même avec un déambulateur.
Pour le rencontrer, Me Dioum dit avoir dû se rendre à son domicile, ce qu’il fait rarement. « J’ai bien vu qu’il ne pouvait pas bouger et que sans Shama, il ne s’en sortirait pas. » L’avocat a fourni une série d’attestations médicales démontrant, ajoute-t-il, que l’état de Marwan nécessite un accompagnement au quotidien.
Dans son arrêté, la préfecture des Bouches-du-Rhône déroule ses arguments – classiques – pour justifier le rejet de la demande de titre de séjour et l’OQTF : Shama « ne rapporte pas d’éléments probants de l’ancienneté et du caractère habituel de son séjour », « ne démontre pas une insertion sociale et professionnelle significative sur le territoire français », « n’établit pas être dépourvue d’attaches personnelles et familiales dans son pays d’origine où résident ses parents ainsi que la majorité de sa fratrie ».
Le juge du tribunal administratif de Marseille estime que « s’il ressort des pièces du dossier que le frère de la requérante souffre de séquelles importantes », l’intéressée « ne justifie pas, ainsi qu’elle l’allègue, que son frère serait de nationalité française et n’établit pas non plus être la seule à pouvoir assurer une telle aide ».
Il souligne que Shama ne séjourne en France « que depuis neuf mois à la date de la décision contestée », qu’elle est célibataire et ne fait état d’aucune autre attache personnelle ou familiale en France. Allant dans le sens de la préfecture, il ajoute qu’elle « n’établit pas être dépourvue d’attaches sur le territoire palestinien ».
« Eu égard notamment à la faible durée de son séjour en France, l’arrêté [de la préfecture] n’a pas porté une atteinte disproportionnée au droit au respect de sa vie privée et familiale », tranche le juge administratif, qui laisse le choix aux autorités de « ne pas mettre immédiatement à exécution l’OQTF » et de prendre en compte la situation de conflit sur le territoire palestinien.
Une situation « terrible » à Gaza
« On sent une certaine hésitation, commente Me Dioum. Le juge sait que l’OQTF ne peut pas être matériellement exécutée. » L’avocat déplore que le tribunal n’ait pas vu une violation des obligations de la France au regard des conventions internationales, et le danger qu’encourrait Shama en cas de retour à Gaza, qui croule sous les bombes israéliennes.
Marwan se sent abandonné par la France. « À qui peut-on faire confiance après ça ?, interroge-t-il. Il faut respecter les textes de loi bien sûr, mais là, c’est une question humanitaire. » Il décrit un mois de juillet « terrible » au cours duquel trois de ses nièces ont été tuées.
Depuis le début du conflit, il ajoute que 65 membres de sa famille élargie sont morts dans les bombardements israéliens. Ceux qui ont survécu ont dû se déplacer plusieurs fois, du nord au sud, du sud au nord ; comme la majorité des déplacé·es gazaoui·es ces derniers mois.
« C’est la guerre, on ne peut pas retourner à Gaza. Il n’y a plus rien, ni hôpital, ni maisons. On a le sentiment qu’ils n’ont aucune pitié pour nous », regrette Shama.
La décision du tribunal a agi comme un coup de massue, conclut Marwan : « Tout le monde est contre nous. Ma sœur est bloquée aujourd’hui, on attend de savoir ce que la préfecture va faire. »
Face à ce qu’il qualifie de « drame humain », Me Dioum compte faire appel et espère voir la décision de la préfecture annulée. Un autre espoir subsiste pour Shama : que sa demande d’asile, déposée après l’audience au tribunal administratif, lui permette d’obtenir une protection.
En février, un couple de Gazaouis avait également été visé par une OQTF après un rejet de sa demande de titre de séjour. La préfecture d’Ille-et-Vilaine assumait de vouloir l’expulser malgré les massacres à Gaza, estimant que la situation était « globalement stable » en Cisjordanie, et qu’il était « concevable que les intéressés puissent s’y installer ».
La mesure d’éloignement avait été suspendue après la médiatisation de l’affaire et le couple avait vu sa demande d’asile étudiée en accéléré. Shaden et Ibrahim avaient rapidement obtenu l’asile.
Nejma Brahim
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selidren · 3 months
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Automne 1921 - Champs-les-Sims
1/10
Cher Eugénie,
Je vous remercie pour votre recette, nous l'avons donnée à Madame Armadet qui nous a par la suite régalé. Constantin en particulier a énormément apprécie. Je vous adresse aussi mes condoléances pour la soeur de Jules, il ne semble pas que mon mari y ait pensé dans sa lettre. C'est bien triste, et je pense que si la famille avait été au courant de ses difficultés, nous aurions été ravis de l'aider. Je pense également tous les jours à votre Louise et je prie pour elle chaque dimanche à la messe.
Pour en revenir à votre question, je n'ai pas eu une enfance où la bienveillance féminine prédominait. Je suis assez casanière à parler de ma jeunesse, chose pour laquelle je ne juge pas Constantin quand il se refuse à évoquer sa mère. Je me suis retrouvée orpheline très jeune et ait été menée chez ma tante paternelle qui résidait à Savigny-sur-Orge, au sud de Paris. Elle n'avait pas vraiment envie de m'élever, aussi m'a t-elle envoyée en pension chez les religieuses grâce à l'argent laissé par mon père. Contrairement à Constantin, mon éducation chez les soeurs s'est passée sans encombre, et j'appréciais même d'y être, parce que ma tante et mes cousines me traitaient comme une pestiférée. Il me revient certaines mesquineries abominables, comme le jour où mon oncle est passé donner des sucreries aux enfants de la maison (lui-même ne s'est jamais marié et n'a jamais eu d'enfants) qu'il a confiées à ma tante. Au moment de la distribution, quand est venu mon tour, elle m'a regardé d'un regard méchant et m'a dit que je n'en aurait pas, car j'avais déjà pour moi tout l'héritage des grands-parents et que cela devrait me suffire. Elle ne cessait de prendre à parti mes cousines, et étant elles-mêmes de petites filles, elles ont adopté à mon égard la même attitude de rejet et de méchanceté. Voyez-vous, mon père, à la mort de mes grands-parents a capté une grande partie de l'héritage, car ma tante et mon oncle étaient en froid avec leur père. Je ne dis pas que cela est juste, mais cela a nourrit la rancoeur. Etant fille unique, cet argent m'est revenu à la mort de mon père, en attendant ma majorité, et a attisé l'aigreur de ma tante. L'argent est un poison, d'autant plus que la somme qui me revenait n'était pas si élevée que cela. Si je vous avait été apparentée, nulle doute qu'on aurait parlé de moi comme de la cousine pauvre.
J'ai heureusement pu recevoir une éducation correcte, qui m'a permis de devenir gouvernante pour enfants de bonne famille. D'ailleurs, je suis arrivée à Champs-les-Sims car mes précédents employeurs m'avaient recommandé à Jeanne, votre belle-soeur, dont j'ai débuté l'instruction des plus jeunes enfants. C'est en arrivant dans cette famille que j'ai découvert la connivence et l'amour que peuvent se porter les femmes. Je vous joins d'ailleurs une photographie dont je suis très fière : mes trois aînées qui se sont préparées elles-mêmes pour la cérémonie en l'honneur de Madame Eugénie. Je pense que vous n'aurez aucun mal à les reconnaître.
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aisakalegacy · 5 months
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Hiver 1919, Hylewood, Canada (11/21)
Layan, c’est son nom, a déjà tout perdu. Sa faute a déjà été payée. Dieu a brisé Jésus Christ pour sauver de misérables pécheurs, et c’est son modèle que je veux suivre. Cette femme n’est pas éduquée, tout comme je ne l’étais pas moi-même quand je me suis mariée, tout comme ma bonne amie Jeanne Rumédier ne l’était pas elle-même avant d’épouser feu Monsieur Le Bris. Nous avons toutes trois été victimes de notre manque d’éducation, avant d’être les victimes d’homme mauvais et mal intentionnés à notre égard. J’ai une grande sympathie pour les femmes de la sorte, et je ne les juge nullement, car je me reconnais en elle. Mon mari a péché, mais il était de mon devoir chrétien d’offrir à cette pauvre femme le gîte et le couvert, et de ne pas la laisser périr de la misère où la faute de mon mari la condamnait.
[Transcription] Eugénie Le Bris : Madame Bahar… Layan Bahar : Il faut m’appeler Layan, Madame. Bahar était mon mari, mais il m’a chassée. Eugénie Le Bris : Layan… Qu’allez-vous faire tantôt ? Layan Bahar : Je ne comprends pas… Eugénie Le Bris : Vous êtes venue de loin… Je suppose que vous allez rester au Canada. Layan Bahar : Jules ne peut pas prendre une deuxième épouse ici… Eugénie Le Bris : Non, il ne peut pas… Ici, les lois sont différentes de l’Egypte. Layan Bahar : Je pense que je vais partir avec la petite et trouver du travail… Je ne peux pas rentrer chez moi, mon mari me tuerais. Eugénie Le Bris : Layan, votre cuisine est délicieuse. Est-ce que vous accepteriez de travailler ici, comme cuisinière ? Layla pourrait rester à la nurserie avec Lola, ma dernière. Elles sont sœurs, nous pourrions les élever ensemble. Layan Bahar : Alhamdulillah (Loué soit Dieu), merci Madame. Tu es bonne. Pardon, je ne voulais pas prendre ton mari. Eugénie Le Bris : Je sais. Vous avez ben payé votre faute et vous la regrettez amèrement. Je pense qu’aux yeux de Dieu, vous êtes acquittée. Jules, lui, savait ce qu’il faisait.
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tontodechoque · 11 months
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madame le juge
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 20
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Hello les loulous !
Vous lisez certainement cette intro un moment après la publication du post sur le chapitre 19, mais sachez que je commence immédiatement après avoir fini le chapitre précédent. Celui-ci était si mauvais que j’ai désespérément besoin de prendre quelque chose de bon dans cette saga avant de refermer mon document LibreOffice.
La dernière fois, Mara trahissait l’Empire, tuait un Très Haut Mage et volait la sphère-négation, tout ça dans un chapitre qui arrivait à être chiant à mourir en dépit des enjeux.
Aujourd’hui, nous rejoignons notre mauvaise troupe sur Tadix. Le chapitre 20 s’intitule « Archange, ou comment découvrir que son futur potentiel peut-être petit copain voire fiancé est sans doute un sérial killer. »
Bref, la dernière fois qu’ils apparaissaient, nos sacrés camarades venaient tout juste d’invoquer Archange et sa clique, ce à quoi certains dragons ne réagissaient pas très bien.
Archange ordonne à ses démons de se calmer avant que tout ça vire au bain de sang. Tout ce beau monde se détend, les démons sont tous des top models, et Archange va voir Tara, ravi de la croiser. Tout ça ne plaît pas du tout à Cal, qui lâche un grognement. Parce que même le génie du groupe réagit comme un clebs quand il voit sa copine se faire draguer par un prétendant politique.
« Fafnir écrasa le pied de Cal, ce qui le fit sursauter. Il jeta un regard blessé à la naine, qui le lui rendit froidement, haussant ses sourcils roux d’un air de dire : « Eh bien quoi ? Tu veux vraiment tout faire rater ? » »
Putain, même Fafnir a une réaction logique, tu la sens ton efficacité, Cal ?
« Il se sentait l’âme d’un homme de Cro-Magnon. À moi ! À moi ! En fait, il aurait bien attrapé Tara pour l’emmener dans sa caverne. (les hommes de Cro-Magnon ne méritent pas la comparaison avec Cal. Et je suis persuadée qu’ils étaient mille fois plus subtils que ce que Madame S.A.M. imagine. Also Cal vient d’Autremonde et les bouquins passent leur temps à nous dire qu’il est inculte sur tout ce qui concerne la Terre, il ne devrait pas se faire ce genre de réflexion)
Sauf que, pour l’instant, Tara avait l’air littéralement hypnotisée par le bellâtre. Elle le regardait comme s’ils étaient seuls au monde. Cal espéra très fort que c’était du cinéma. Qu’elle n’oubliait pas que ce… truc était un monstre sous ce corps trop parfait. (Oh mais fait chier… qu’est-ce qu’on en a à foutre de la réelle apparence d’Archange ? Certes, je ne choisirai peut-être pas un démon pour une partie de jambes en l’air, mais 1/ peut-être qu’il y a des gens qui aiment bien, d’où tu juges. 2/ les relations inter-espèces ne doivent pas être si rares que ça dans cet univers, il y en a eu plusieurs simplement dans le magic gang 3/ La visée de Tara n’est pas de se marier par amour pour Archange, mais pour former une alliance politique qui leur éviterait une guerre ! Un autre parti envisagé était Chem, tu crois qu’elle a envie de pécho son mentor ? Donc qu’est-ce qu’on s’en fout d’à quoi il ressemble en vérité, ou du fait qu’il cache à quoi il ressemble ?? L’essentiel, ce sont ses actions, à la fin, pas le nombre d’yeux qu’il a !)
En fait, si Cal avait été dans les pensées de Tara, il aurait été encore plus inquiet. Parce que lorsque Archange avait plongé ses yeux verts dans les yeux bleu marine de Tara, la jeune fille avait senti… quelque chose.
Comme si elle était attirée par Archange. Un peu comme ce qu’elle ressentait… avait ressenti pour Robin, lorsqu’elle était folle amoureuse du demi-elfe. »
Ce bouquin aurait dû s’appeler « Tara Duncan : Adonis contre apollons ». Quand j’ai commencé ce PDF, j’attendais de la baston, pas un concours de JoJo poses. Je veux juste qu’un dragon casse la gueule d’un démon à ce stade, s’il n’y a que ça je serai déjà contente. C’est dire.
Sur ce, Archange ordonne à ses subalternes de distribuer les cadeaux qu’ils ont amené.
« Les démons avaient bien étudié les Omoisiens. Ils savaient ce qui allait plaire à Lisbeth. Tout n’était qu’or et joyaux étonnants, pierres extraites de leurs planètes, nouvelles couleurs, nouvelles textures, étoffes soyeuses rebrodées d’animaux improbables. Tara ne put s’empêcher d’être surprise. Elle ne savait pas pourquoi mais elle avait du mal à imaginer que les démons avaient un tel sens artistique. Mais elle comprenait très bien ce qu’ils faisaient. « Regardez, nous ne sommes pas différents de vous, nous aimons les mêmes choses, nous avons le sens de la beauté, soyons amis. »
C’était incroyablement habile. D’ailleurs, tout autour d’elle, elle sentait que les gens se détendaient »
Putain mais quelle habileté de fou d’offrir des cadeaux pour briser la glace face à des alliés politiques. Trop malins les gars. Stade avancé de réflexion, 4739 de QI, hauts potentiels intellectuels.
« [Lisbeth] leur offrit de précieuses semences, des blés résistant aux maladies, des pousses d’arbres fruitiers en stase prêtes à être plantées, des embryons d’animaux, un millier environ, des objets et gadgets fabriqués par ses usines et ses savants. Elle montrait l’étendue de ce qu’AutreMonde et Omois pouvaient apporter aux nouvelles planètes. Les machines mi-mécaniques mi-magiques, des systèmes de communication (elle avait la ferme intention d’inonder ce nouveau et juteux marché avec ses plaquettes de cristal-phone super-sophistiquées avec projection holographique des appelants, mémoire de plusieurs milliers de TMO52 etc.), des connaissances médicales aussi, des sorts de Reparus automatiques très coûteux et complexes, puisqu’on ne pouvait pas se guérir soi-même, ou encore de merveilleux parfums, des onguents onctueux et adoucissants, bref, un panel très varié dans lequel leurs futurs partenaires commerciaux allaient pouvoir choisir ce qui leur serait utile.
C’était aussi intelligent que ce qu’avaient fait les démons. »
Nan. Nan, c’est bien plus intelligent que ce qu’ont offert les démons, bien plus élaboré et ciblé, et une plus grande preuve de considération. Rendons à César ce qui appartient à César, ça, c’est une écriture de Lisbeth telle qu’elle la mérite. D’autant que, si on est indulgent envers madame S.A.M. et qu’on choisit de dire que ce n’est pas un élément sorti du chapeau, les Reparus automatiques ne sont pas répandus dans l’univers de Tara Duncan. Ce qui signifie que Lisbeth réserve ces éléments coûteux à la diplomatie avec les démons. Très in-character pour le personnage. À côté de ça, les tissus péniblement décrits que leur offrent les démons, ils peuvent aller se rhabiller avec.
« De fait, avec ses coffres regorgeant de joyaux et d’étoffes, il paraissait un peu futile, quoique très luxueux, alors que l’Impératrice montrait sa volonté de commercer. D’accord. Le point était pour Lisbeth. Il tourna son regard vers Tara. La jeune fille l’avait certainement conseillée. Il ne devait pas, jamais, sous-estimer l’intelligence de la jeune humaine. »
Oui bah c’est ça, suppose que le mérite revient à Tara et pas à Lisbeth. C’est sûr que Lisbeth n’a pas l’intelligence de prendre cette décision elle-même. Elle n’est jamais qu’Impératrice d’Omois depuis plusieurs années. Une broutille.
Bon, cela dit, vu la façon dont elle a exercé son pouvoir dans les chapitres précédents, la narration a probablement raison d’accorder cette idée à Tara. Mais ça m’énerve profondément.
Archange est parfait et il trouve Tara parfaite, blablabla. C’est l’heure de la récré, et par récré on entend que les démons vont se balader un peu partout et le reste des gens présents aussi. On a une redite de la blague « Ce serait drôle si on tuait un démon sans faire exprès oupsie » du chapitre 17, mais qui ne marche pas cette fois. Les âmes démoniaques, prisonnières des objets que porte Tara, se tiennent à carreau.
Un Tadixien vient s’enquérir du magicgang, ce qui fait réagir bizarrement Fabrice, qui se demande s’il ne serait pas atteint un peu par la magie démoniaque de la troupe d’Archange. Oupsie doupsie.
« Fabrice aurait dû rester sur Terre » : 3 (surtout que pour l’instant il est aussi utile qu’un plot).
Et sur ce, Glubl est de retour !! Vous savez, le type que rencontre Moineau pendant la réception, dans le chapitre 4 ? Je l’aime bien, même s’il n’a pas fait grand-chose pour l’instant. C’est le moment d’en apprendre un petit peu plus sur lui :
« Comme Sylver, il était une sorte d’hybride. Une création artificielle voulue par un sortcelier qui désirait que des humains, et non plus des gnomes, soient capables de communiquer avec les Santivoriens. Il avait donc mélangé les ADN, mis les produits dans le ventre de plusieurs mères porteuses humaines, puis attendu de voir ce qui allait en sortir. La majorité des infortunés frères et sœurs de Glubl étaient morts ou étaient nés si déformés que la mort aurait été préférable. Fort heureusement, le sortcelier en question avait fini par être démasqué et emprisonné. Glubl avait été confié à des parents humains, mais, très jeune, avait manifesté de grandes capacités télépathiques. Dès qu’un Diseur se promenait à proximité, le jeune garçon était capable de percevoir ce qu’il disait. »
Bon, mis à part cette histoire d’être né « si déformé que la mort aurait été préférable » (je vois d’où ça vient mais ça a des petits relents de validisme quand même), je trouve l’origin story de Glubl cent fois plus intéressante que tout ce qui a été tenté en terme de personnages jusque-là. Sincèrement.
Tara va pour se reposer, mais elle croise…
« Mourmur les attendait près de l’entrée du couloir alors qu’ils se dirigeaient vers leurs chambres. »
YES, enfin ma dopamine est de retour.
« — L’Impératrice ne fait pas confiance aux démons (ça, elle n’était pas la seule !). Elle pense qu’ils vont peut-être tenter d’utiliser leur magie démoniaque afin de faire venir d’autres démons, maintenant qu’autant d’entre eux sont ici. Mes petits bijoux sont là pour les en empêcher. Ils bloquent le flux du pentagramme, on ne peut pas l’utiliser, et si on passe les défenses de mes machines, elles émettent tout de suite un signal d’alarme qui réveillerait un mort. Elles passent aussi du vert au rouge dès qu’un vortex est ouvert dans un rayon de cent tatrolls (j’ai tendance à penser qu’il y a plus subtil, comme alerte. Genre quitte à ce que Lisbeth et Tara aient toutes les deux des montres, utilisez-les pour les avertir discrètement, afin que les démons ne se doutent pas qu’on sait ce qu’ils sont en train de faire ? C’est donner une information capitale à un potentiel ennemi... Bon je sais pas pourquoi je me fatigue, Mourmur son truc c’est les explosions, pas la discrétion). Grâce à ma présence dans le cercle, j’ai pu mesurer tout ce dont j’avais besoin pour nous protéger et surtout pour les calibrer. Pardon si cela a pris autant de temps, mais j’ai dû utiliser une partie de la magie que vous envoyiez dans le vortex afin de les rendre compatibles avec. (Mourmur qui s’excuse ? OOC, je suis entièrement sortie de l’histoire. Plus sérieusement, le mec est giga imbu de lui-même et a une trop forte confiance en lui, il devrait plutôt se vanter)
Le vieux savant avait l’air très satisfait de lui (MERCI, ça c’est le Mourmur que je connais). Tara comprenait à présent un peu mieux pourquoi il avait fait partie de l’étoile du pentagramme, alors qu’il était le plus faible d’entre eux en magie, et de loin, mais aussi pourquoi il avait été si long et si compliqué de faire venir les démons »
Oui, c’est bien ce que je pensais, Mourmur n’excelle pas en magie comme le reste de la famille. Faut pas s’étonner après si c’est mon personnage préféré (même si, faut avouer, s’ils avaient continué de développer Manitou, ça aurait sans doute été lui mon préféré).
« Ils hochèrent tous la tête d’un air très convaincu.
Tara aperçut du coin de l’œil une silhouette qu’elle connaissait bien.
Angelica.
La peste parlait avec un démon qui semblait l’écouter avec passion.
Tara serra les lèvres. Qu’est-ce que son ennemie était en train de manigancer encore ?
À la fin de la discussion entre Angelica et le démon, alors que Mourmur continuait à expliquer ce qu’il avait mis en place pour les protéger, Tara faillit avaler de travers. Angelica venait de poser la main sur le torse musclé du démon, moulé par une fine chemise bleue. C’était un geste très intime pour quelqu’un qu’elle avait dû rencontrer deux minutes plus tôt ! Le démon sourit et ils partirent ensemble.
— Et toi, Tara, qu’est-ce que tu en penses ?
— Hein ? dit Tara qui n’avait pas écouté un mot.
— Deux, répondit Cal, moqueur. (Bon, je peux critiquer Cal autant que je veux, mais celle-là j’aurais pu la faire, j’accepte. L’un de mes crushs répond bien « Feur » quand on lui dit « Quoi », donc bon...) Nous nous demandions si tu pensais que les démons étaient aussi inoffensifs qu’ils s’appliquent à le paraître ou bien des bêtes assoiffées de sang. Pour l’instant, les bêtes assoiffées de sang mènent cinq voix contre une, notre amie Fafnir s’obstinant à les trouver « mignons ». »
Étrangement, j’aime bien cette scène… ? Oui, mes standards ont fortement baissé, mon fav c’est Mourmur et je lis Tara Duncan, de plus le chapitre précédent était affreux… Mais en terme de mise en scène et de dialogue, elle fonctionne. C’est facile de la visualiser car elle se découpe exactement comme un extrait de série télévisée. Là je comprends l’idée, et c’est plutôt bien retranscrit.
Tara apprend que Lisbeth a décidé d’éloigner les chambres de ses amis de la sienne. Mais bon, le fait que Lisbeth accepte leur présence est déjà une faveur que j’ai du mal à comprendre.
« Tara rentra donc seule dans sa suite toute blanche et prit une douche pour délasser ses épaules fatiguées par la charge de magie. Les sièges, perchés sur de fragiles tiges d’acier, robots animés et non pas magiques, s’écartaient sur son chemin. La première fois qu’elle s’était assise sur l’un d’eux, elle avait eu peur que son poids ne le fasse basculer ou ne le casse, mais le siège avait tenu le choc. Puis, d’une voix métallique, lui avait signalé qu’elle pouvait se laisser aller, qu’il était inutile qu’elle se tienne sur la pointe des pieds afin de répartir son poids et qu’il avait été fabriqué pour supporter une masse de deux tonnes. Tara avait fait la grimace, ces robots étaient un peu trop malins à son goût. Elle préférait les bons vieux fauteuils de bois confortables animés sur AutreMonde.
Au moins, eux ne parlaient pas. Enfin, pas encore »
Des fauteuils animés comme des robots c’est giga stylé, Tara est juste une hater des Tadixiens, c’est fou. Je suis sûre que si Mourmur ou Cal lui avaient fabriqué la même chose elle aurait trouvé ça super original et inventif. Et puis bon, un truc en principe pas vivant mais qui parle et rend des services elle en a un sur sa nuque, c’est sa changeline. Et je doute que son exosquelette du tome précédent n’était pas un poil robotisé. Les doubles standards ça suffit.
Bon, j’exagère, je ne suis pas opposée à ce qu’ils développent l’aversion irrationnelle de Tara envers une planète inconnue. C’est simplement dommage que ce soit contre Tadix qu’elle soit hostile, car à part les mœurs des Tadixiens autour des banquets, il n’y a rien d’extraordinairement détestable. Au moins, la narration nous fait savoir que ce n’est que le point de vue de Tara. Pour l’instant.
« La changeline lui créa un pyjama moelleux et frissonnante, parce que la température était un peu fraîche dans sa chambre, (je ne sais pas pourquoi j’ai ri en imaginant à quoi ressemblait un pyjama « moelleux et frissonnante ». Disons que coller ces deux bouts ensemble n’était pas super habile) Tara se glissa avec Galant à ses côtés dans le grand lit tout aussi blanc. Elle posa les Objets près d’elle, les sangles se resserrèrent afin de l’empêcher de s’envoler pendant son repos et sombra dans un sommeil sans rêve, tandis que son pégase l’enveloppait de ses ailes duveteuses. (mais l’image de cette chambre… je veux vivre là-bas, vraiment. Pourquoi on passe autant de temps sur AutreMonde ? Tout ce qu’ils ont pour eux c’est des palais faits en pierres précieuses)
Le lit la réveilla une heure plus tard, tandis que les sangles se rétractaient et qu’une douce lumière commençait lentement à éclairer la chambre. Tara sourit en réalisant qu’elle était surprise. D’habitude, soit on l’enlevait, soit quelqu’un s’introduisait dans sa chambre, soit il se passait quelque chose de bizarre ou d’étrange. Et là, rien. Comme si on lui donnait un petit répit avant que les choses vraiment sérieuses ne commencent. Elle s’étira et commença à se lever.
Puis se figea lorsqu’une voix bien connue murmura doucement.
— Tara ? »
Et le chapitre se termine ainsi ! J’ai bien fait d’enchaîner avec celui-là, il était nettement plus agréable à lire.
La prochaine fois, nous nous concentrerons sur Robin ! Ce sera l’occasion de savoir ce qui lui est arrivé.
D’ici là, à toutes !
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claudehenrion · 8 months
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La vérité sur Gabriel Attal... et notre futur proche.
Si l'on en croit la totalité des gazetiers lévogyres de toute couleur rose foncée qui polluent le microcosme germanopratin (NDLR : c'est étrange comme tout change, dans le monde, sauf la teinte politique des journaleux : ils ont ''tout faux'', et sur tout... mais ils refusent de le reconnaître !), notre ''young leader'' et premier ministre, n'aurait qu'une seule qualité et qu'une caractéristique : il est jeune... comme si la jeunesse était une excuse et pouvait ternir lieu de ''projet'', et comme si l'inexpérience absolue pouvait être une qualité...
L'avantage, chers amis-lecteurs, qu'il peut y avoir à être abonné à un ''Blog'' comme celui-ci, c'est que vous avez la quasi-certitude de recevoir, ''en avant-première'', des informations ''de derrière les fagots'' qui vous permettront parfois de briller dans les emm.. nuyeux ''dîners-en-ville'' où il est bien vu de sortir une information que les autres n'ont pas.. Et ce matin, comme cela m'arrive de temps en temps, je vais servir une rafale de bottes secrètes passionnantes : je les tiens du cousin berrichon (par son père.. parce que, du côté de sa mère, ce serait plutôt moitié breizh, moitié auvergnat et moitié ariégeois) de mon amie Madame Michu –un ''gens généralement bien informés'' dont les exploits, narrés par Coluche, ont enchanté nos ''années 80''.
Gabriel Attal est, incontestablement, djeunz... au point que certains émettent souvent des doutes sur sa capacité à régner sur ''un pays où il existe 258 variétés de fromages'', pour reprendre cette jolie définition que donnait le Général. Comme on pouvait s'y attendre, la presse s'est ruée sur cette chance formidable : pouvoir répéter, sans en changer un mot, ce que vos chers con frères (que je préfère écrits en deux mots, vous savez ça !) ont déjà recopié sur ceux qui l'avaient lu ailleurs et rapporté. Nous croulons donc littéralement sous le même récit colporté cent et bientôt mille fois, de la vie de ce petit garçon moqué et harcelé qui a été déclaré ''Djeunz'' avant même d'avoir eu le temps d'être ''jeune''. Tout ce qu'il connaît de la vie, c'est qu'il ne sait rien de la vie... Et, nous explique-t-on avec l'air componctueux, c'est ça le mieux, pour diriger un pays. Moi, je veux bien (façon alambiquée de dire : je n'y crois pas une seconde !).
Il n'a manqué à personne qu'il manque à cette analyse... le principal : le thème astrologique de ce fort en thème... Fort heureusement pour vous, votre blogueur personnel est là pour pallier cette lacune, avec l'aide inévaluable de la célèbre Natacha S., astrologue-conseil à Ciboure (c'est ''dans le soixante-quatre'' !) qui se présente, sur le site ''Planète point fr'' comme ''astrologue chevronnée ayant plus de trente ans d'expérience''. (NDLR : on n'est jamais assez prudent, par les temps qui courent, avec tous ces migrants qui courent aussi... mais plus vite que les flics qui voudraient bien les rattraper pour que des juges –inscrits au syndicat rouge dit de la magistrature isochrome-- les relâchent sans relâche...). Comme d'autres, cette experte digne de con courir avec Mc Kinsey pour ponctionner nos budgets déjà défaillants –et même défaillis !-- est formelle : il est né le 16 mars 1989 à 13 h 35 à Clamart (c'est dans le département quatre-vingt-douze, béni, depuis), et il a donc le Soleil en Cancer (à 28°17') et la Lune en Bélier (à 5°33), ce qui change tout...
Mais tout ceci n'est rien : ses Dominantes sont Cancer, Poissons, Capricorne, Lune, Saturne, Soleil et ses Maisons 9, 12, 6 / Eau, Terre / Cardinal, ce qui devrait retenir votre attention. Car ''se trouver en poisson avec un ascendant Cancer... fait éclater une personnalité d'eau, marquée par l'intuition et la douceur... ce qui force l'attention''. (je n'invente rien). Et en plus de toutes ces merveilles, il a une Lune puissante –mais non, voyons ! Ce n'est pas ce que vous croyez : cet édito s'interdit de parler de ce qui n'est pas astral chez Attal et vice-versa-- ''ce qui lui permet de capter l'air du temps avec aisance''. En lisant ça, j'ai été rassuré : imaginez qu'au lieu de capter l'air avec sa Lune et avec aisance, il ait, par exemple, bu la tasse ou craché le morceau ! Ouf ! Dans notre manque de pot, on a du pot ! On doit avoir Saturne... là où vous pensez !
Mais avançons, s'il vous plaît : j'ai été vraiment heureux de constater que la conjonction (en un seul mot, s'il vous plaît : c'est notre PM !) du Soleil et de Vénus en Poissons souligne son habileté à nager dans l'eau au milieu de projets complexes ! Mais je ne vais pas vous faire mariner davantage : ''Il a trois planètes dans sa Maison neuf (et non pas ''neuve'' comme on l'aurait écrit normalement). Cette maison-là est celle de l'humanisme, qui ''élève l'être humain au dessus de sa condition de bête '' --sic ! (NB : je me disais bien, aussi : pour être premier ministre à 34 ans, faut pas être bête !). Mais tout n'est pas rose, malgré ses origines socialistes : la conjonction de Mars et Jupiter (pas Macron... l'autre, si j'ai bien compris !) souligne une forme d'hyper activité (ça, comme dit l'autre, on l'avait remarqué !).
Une conclusion ? Comme il se répète, partout dans Landerneau et à la Lanterne qu'on le jugera sur ses succès (dont le système et le club Bildenberg ont déjà la liste impressionnante, prête depuis bien avant sa nomination officielle), on ne doit tirer de cette magnifique analyse astrale attale... qu'il ne faut pas conclure ! Flaubert, d'ailleurs, ne disait-il pas que ''seuls les imbéciles veulent conclure'' ? Une remarque, tout de même : le patron de notre nouvelle star astrologique aurait pu faire l'économie d'une conférence (en un mot, ici : c'est le président !) de presse pour nous faire découvrir ex nihilo ''SES'' projets pour ''NOTRE'' futur... lui qui a été élu sans le moindre programme et qui nous un impose un, soudain, concocté tout seul dans son coin, à la manière de ces autocrates qu'il feint de critiquer mais dont il imite servilement le comportement.
Le message qu'il va nous emboquer (il y en a pour 2 heures et demi... ) va sans doute tourner autour de ''tout va mieux, on progresse, on a déjà fait 60 ou 70 % du chemin'', et de ''unis, nous vaincrons'' (Question : ''pourquoi plus il nous impose de ses faux progrès, plus les gens sont malheureux ?). Ensuite, je parie qu'il va énumérer les centaines d'actions ponctuelles qui vont (ou pas !) nous tomber sur la cafetière dans les jours qui viennent. Que d'indigestions en perspective ! Mais on est ''rodés'', et personne n'y croit plus. Après ''un premier ministre pour la galerie'', une ''conférence de presse pour rien''... C'est quand, ''la quille'' ? 
H-Cl.
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aaronburrdaily · 1 year
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June 18, 1809
Couche at 12. Lev. at 8. Slept the whole time sound. Raining. Read till 12. Dressed and walked to Professor Gahn’s country house, about two and a half miles. Found there a large circle. Baron (General) Cronstedt (brother of him of Calberg) et ux.; she had just performed a journey by land with her three children from Tornea through Finland to ——— and thence across the gulph¹ to Stockholm; a cheerful, pleasing woman; la belle Comtesse Lowenhaupt, to whom je feroit I’am²; M’lle Hoschell, la charmante boiteuse,³ who plays on harp tre. superieurment; Colonel Gahn,—we barely saluted and did not speak afterward, est drole⁴; M’e ———, fem, du juge et souer cadette de Hoschell; bien belle et interessante; douce, plein d’am.⁵ A very pleasant day. Came off at 9, declining to stay to supper. Dr. Gahn showed me his ice-house built above ground. Two walls or houses of wood about eighteen inches apart filled in with charcoal. Home at 10. Read various nonsense two hours. Mem.: Baron Munck’s servant called this morning with a verbal message from le Baron and la Baronne with tickets of entrance and inviting me and Hosack to dine and pass the day at Haga. We were engaged. Hosack did not go to G.’s on account of the rain.
1  So in the MS. Old-style spelling. 2  The pretty Countess L. to whom I [ fain ] would make love [ je ferais volontiers I’amour ]. 3  The charming lame girl. 4  Probably c’est drôle. It is queer! 5  Madame ———, wife of the judge and younger sister of Hoschell. Very fine looking and interesting. Sweet, full of friendship (amitié), or love (amour).
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latribune · 3 days
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if-you-fan-a-fire · 11 months
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"PELLETIER CRIE SON INNOCENCE LIVANT D'ETRE CONDAMNÉ A MORT," Le Petit Journal (Montreal). October 15, 1933. Page 1. ---- Philias Pelletier, l'assassin de sa cousine Mme Isidore Guérin (née Marie-Ange Pelletier) a été condamné samedi matin, par l'hon. Juge L. Loranger, à être pendu le 12 janvier prochain. On lira en page 3 les details émouvants et terribles de cette condamnation. Nous publions ci-contre une photographie de la maquette du domicile occupé par Mme Guérin, lors de son assassinat. Ce plan de leur logis présenté par M. Henri Talbot-Gonin, architecte, a servi de pièce à conviction la semaine derniere, en Cour du Banc du Roi, pour bien établir comment ce meurtre crapuleux a éle commis. En haut, à droite: les deux fenêtres du petit logement occupé par les jeunes époux. On indique par une crois la fenetre de la chambre a coucher de madame Pelletier, où elle fut étranglen. En haut, à gauche: arrière de la maison. C'est de la fenêtre marquée par une fleche que la victime a été vue à 7 heures 43, le matin du crime. Ce qui prouvait qu'elle était encore vivante en ce moment. En bas: le logement vu par le haut (le toit enlevé). Les lignes pointilées marquent le trajet de l'assassin. C'est dans la pièce du haut qu'il a du rencontrer sa cousine (deux cercles indiquent l'endroit) c'est dans la chambre à coucher qu'il la entrainée et qu'il l'a tuée (l'endroit est marqué par un grand circle. A droite, photoegraphie du condamné à mort prise à l'entrée de la Morgus, alors qu'il n'était encore qu'un simple prévenu. Pelletier était accompagné du délective Laroche (à droite). L'assassin avait exactement le même regard que sur celle photo, lorqu'll s'entendit condamner hier matin à étre pendu.
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christophe76460 · 4 months
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Une Semaine d'Expériences avec Dieu(SED N°152024)
Dimanche, 19 mai 2024
"Jésus leur répondit : — Vous êtes dans l’erreur, parce que vous ne connaissez pas les Écritures et que vous ne comprenez pas quelle est la puissance de Dieu."
Matthieu 22,29(PVI)
Un remède très efficace
"Une personne qui souffrait de fréquentes et pénibles crises de dépression se résigna à consulter un médecin réputé. Celui-ci la questionna longuement, nota toutes ses réponses et l'observa silencieusement. Enfin il se leva sans rédiger d'ordonnance et dit à la consultante :
—Madame, vous allez rentrer chez vous et dès ce soir, vous lirez votre Bible une heure par jour et au bout d'un mois de ce traitement, vous reviendrez me voir !
La dame sortit sans dire un mot mais elle ne put s'empêcher de penser : Il se moque de moi ! Je ne suis pas venue voir un prêtre mais un médecin !
Pourtant, le soir, elle chercha sa Bible. Après tout, cela ne me coûte rien : je vais essayer le traitement !
Elle lut et se sentait poussée à prier soir après soir et, petit à petit, une heureuse sérénité chassa ses idées noires.
Elle retourna chez le médecin :
—Oh Madame, il me suffit de vous voir pour être certain que vous allez mieux. Rien d'étonnant à cela ! Je vous ai ordonné le traitement que je suis moi-même.
Prenant sur son bureau une Bible qui avait beaucoup servi, il ajouta:
—Vous voyez ce livre, je ne me mets jamais au travail dans ce cabinet sans le consulter. Ne me remerciez pas, mais remerciez Dieu et continuez le traitement !" (Source: 365histoires.com).
Mon ami(e), si beaucoup de personnes sous-estiment la Bible, la Parole de Dieu ou la prennent pour un livre tout comme les autres, c'est parce qu'elles ne la connaissent(comprennent) pas et n'ont aucune idée de l'étendue de la puissance y afférente, la puissance de Son auteur(Verset du jour).
Or,
- elle est Esprit et Vie (Jean 6,63),
- elle est efficace, plus incisive qu’aucune épée à double tranchant,
- elle pénètre jusqu’aux profondeurs de l’être : articulations et moelle (de notre vie intérieure), jusqu’à la ligne de séparation entre la vie de l’âme et celle de l’esprit,
- elle discerne et révèle les sentiments et les penchants du cœur,
- elle juge les pensées et les intentions les plus secrètes (Hébreux 4,12),
- elle guérit (Ps 107,20),
- elle régénère (1Pierre 1,23), etc.
"Heureux sont, et seront pour toujours, ceux qui écoutent la Parole de Dieu et qui la mettent en pratique !" (Luc 11,28). C'est pourquoi, "Maintenant, je vous confie à Dieu et à Sa Parole d’amour. Cette Parole a le pouvoir de vous faire progresser dans la foi et de vous accorder les biens que Dieu réserve à tous ceux qui Lui appartiennent." (Actes 20,32).
Amen !!!
Merci d'être fidèle !
Kwami Pétro
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selidren · 4 months
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Printemps 1920 - Champs-les-Sims
5/5
Fort heureusement, Antoine est entré cette année au pensionnat de la maison d'éducation des Loges. Constantin a insisté pour que ce soit un établissement strictement laïc, lui qui n'aime pas trop le clergé en général (il m'a fallut dénicher des trésors d'argumentation pour qu'il accepte de faire baptiser les enfants, puis la confirmation et la communion). J'espère que le fait de côtoyer des garçons de son âge (il n'a grandit qu'entouré de filles, presque exclusivement) lui permettra de vivre une adolescence plus apaisée, loin de tracas d'héritages avec lesquels Madame Eugénie lui rebattait les oreilles quotidiennement. Il est prévu que Jean-François, quand il en aura l'âge, intègre le même établissement.
Quand à notre petite Eugénie, elle va avoir quatre ans cette année et se porte à merveille. C'est une petite fille joyeuse, qui me ressemble beaucoup. Elle est très entourée par ses soeurs, qui s'en occupent peut-être plus que je le fait, alors même qu'elles sont très prises par leurs leçons. Leur père et moi avons insisté pour qu'elles sachent le grec et le latin. Si Noé et Cléo s'y soumettent bien volontiers, Sélène ne tient pas vraiment en place, c'est une enfance assez sportive, qui ne jure que par le tennis depuis qu'elle y a joué avec leur cousin Ange il y a quelques temps. Madame Eugénie ne juge bien évidemment pas cela très convenable, mais j'aimerai lui trouver un professeur. Si c'est ce qu'aime ma fille, je veux qu'elle puisse pratiquer ce sport comme elle l'entend, d'autant plus que les jeunes femmes sont nombreuses à s'y intéresser de nos jours. J'y pense, votre Lucien, a t-il des passions ? J'ai entendu dire que cela prend souvent les enfants à l'adolescence et une passion pourrait le détourner de ces petites manies d'aller observer les gens, afin de canaliser cette curiosité.
Bien à vous,
Albertine Le Bris
Transcription :
Arsinoé « Qu’est-ce que tu fais là ? »
Cléopâtre « Je me cache de Grand-Mère. Elle devait passer la nuit chez Jacqueline, mais elle a décidé de rentrer finalement. »
Arsinoé « Mais quel est le rapport avec toi cachée sur la terrasse dans la pénombre avec tes exercices de grec ? »
Cléopâtre « Si elle me voit mise comme ça, elle va encore me faire une infinité de réflexions sur le maquillage trop foncé qui me donne des airs de fille de joie où sur le fait que ma robe n’est pas appropriée aux circonstances. »
Arsinoé « Je vois. »
Cléopâtre « Quand je l’entend, j’ai du mal à imaginer qu’elle ait pu être jeune un jour. Ou alors elle était une de ces filles insipides et sans imagination qui se mettent en ménage à vingt ans, dont le rêve le plus cher est de devenir une mère idéale. J’ai besoin de romanesque moi ! De rêves, de déclaration enflammées ! De bals qui durent jusqu’au petit matin, cet instant juste avant l’aurore où le plus bel homme parmi les mondains vient vous avouer qu’il vous a observée la soirée durant, et qu’il n’a trouvé qu’à la naissance du jour le courage de venir vous dire qu’il vous trouve belle... »
Arsinoé « Tu iras bientôt à un bal, j’en suis sure. »
Cléopâtre « Oui, mais en attendant, j’aimerais qu’elle me laisse rêver en paix. »
Arsinoé « J’aime beaucoup cette robe moi. Tu ressembles à une héroïne de romans d’aventures. »
Cléopâtre « Merci, c’est gentil. Mais… qu’est-ce que tu fais avec cette assiette? »
Arsinoé « Je me cache aussi de Grand-Mère. Je peux pouvoir lui dire que j’ai déjà mangé quand elle descendra pour souper. »
Cléopâtre « Malin ! Tu as l’esprit plus rebelle que je l’imaginais. »
Arsinoé « Tu as besoin d’aide sur ton grec ? »
Cléopâtre « Mmh… volontiers ! Mais où est Antoine quand on a besoin de lui ? »
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enquetedepolars · 4 months
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Évaluation des enquêtes de Maigret par Simenon
Pietr-le-Letton ++++
Le Charretier de "La Providence" +++
Monsieur Gallet, décédé ++++
Le Pendu de Saint-Pholien ++++
La Tête d'un homme ++++
Le Chien jaune ++
La Nuit du carrefour ++++
Un Crime en Hollande ++
Au Rendez-vous des Terre-Neuvas +++
La Danseuse du Gai-Moulin ++++
La Guinguette à deux sous ++
L'Ombre chinoise +++++
L'Affaire Saint-Fiacre ++++
Chez les Flamands ?
Le Port des brumes
Le Fou de Bergerac ?
Liberty Bar
L'Ecluse n°1 ?
Maigret
Les Caves du Majestic
La Maison du juge
Cécile est morte
Signé Picpus
Félicie est là
L'Inspecteur Cadavre
Maigret se fâche
Maigret à New York
Les Vacances de Maigret ?
Maigret et son mort
La Première Enquête de Maigret
Mon ami Maigret
Maigret chez le coroner
Maigret et la vieille dame
L'Amie de Madame Maigret +++++
Les Mémoires de Maigret
Maigret au Picratt's
Maigret en meublé
Maigret et la Grande Perche ?
Maigret, Lognon et les gangsters
Le Revolver de Maigret
Maigret et l'homme du banc
Maigret a peur
Maigret se trompe
Maigret à l'école
Maigret et la jeune morte
Maigret chez le ministre ?
Maigret et le corps sans tête
Maigret tend un piège ?
Un échec de Maigret ?
Maigret s'amuse
Maigret voyage
Les Scrupules de Maigret ?
Une confidence de Maigret
Maigret aux assises
Maigret et les témoins récalcitrants ++++
Maigret et les vieillards
Maigret et le voleur paresseux
Maigret et les braves gens
Maigret et le client du samedi
Maigret et le clochard ++++
La Colère de Maigret
Maigret et le fantôme
Maigret se défend
La Patience de Maigret
Maigret et l'affaire Nahour
Le Voleur de Maigret ++++
Maigret à Vichy
Maigret hésite
L'Ami d'enfance de Maigret
Maigret et le tueur
Maigret et le marchand de vin ?
La Folle de Maigret
Maigret et l'homme tout seul
Maigret et l'indicateur ++++
Maigret et Monsieur Charles
Nouvelles
La Péniche aux deux pendus
L'Affaire du boulevard Beaumarchais
La Fenêtre ouverte
Monsieur Lundi
Jeumont, 51 minutes d'arrêt
Peine de mort
Les Larmes de bougie
Rue Pigalle
Une Erreur de Maigret
L'Amoureux de madame Maigret
La Vieille Dame de Bayeux
L'Auberge aux noyés
Stan le tueur
L'Étoile du Nord
Tempête sur la Manche
Mademoiselle Berthe et son amant
Le Notaire de Châteauneuf
L'Improbable Monsieur Owen
Ceux du Grand-Café
Menaces de mort
Les Caves du Majestic
La Maison du juge
Cécile est morte
Signé Picpus
Félicie est là
L'Inspecteur Cadavre
La Pipe de Maigret
Le Témoignage de l'enfant de chœur
Le Client le plus obstiné du monde
Maigret et l'Inspecteur malgracieux
On ne tue pas les pauvres types
L'Homme dans la rue
Vente à la bougie
Un Noël de Maigret +++++
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hobodiffusion · 5 months
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★ 3 mai 2024 > bit.ly/hobo-3mai2024
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★ Les nouveautés de nos éditrices et éditeurs sorties le 3 mai 2024 > bit.ly/hobo-3mai2024
CONTRE ATTAQUE, Nantes, ville révoltée, Divergences
Vincent SIZAIRE, Gouverner les juges, La Dispute
Karl KORSCH, Livre des abolitions, L'Asymétrie
Ágnes HELLER, La Théorie des besoins chez Marx, Éditions sociales
Furio JESI, Mythe, La Tempête
Mario MIELI, La Gaie critique, La Tempête
Chantal MAILLÉ, Une bâtisseuse remarquable, Remue-ménage
Brontez PURNELL, Johnny, est-ce que tu m'aimerais si j'avais une plus grosse bite ?, Rotolux Press
Estelle BENAZET HEUGENHAUSER, Le Régime parfait, Rotolux Press
Estelle BENAZET HEUGENHAUSER, Les Recettes de madame Perez pour un destin parfait, Rotolux Press
Abdulkader EL JANABI, Journal inactuel de l'oubli, L'Asymétrie
Morgane STANKIEWIEZ, Les Amitiés fantômes, Goater
Dieudonné NIANGOUNA, Salve d'honneur pour orchestre à papa, L'Oeil d'Or
Mempo GIARDINELLI, Pourquoi avoir interdit le cirque ?, L'Atinoir
Dominique MEENS, Pêche à pied, Pontcerq
Méryl PINQUE, Solastalgiques, Ravin bleu
Florence ANDOKA, Rouge Kusama, La Variation
Sophie GÉLINIER, Francine Lancelot, L'Oeil d'Or
"Si je ne m’intègre pas ce n’est pas parce que je suis noir, si je ne m’intègre pas ce n’est pas parce que je suis pauvre, si je ne m’intègre pas c’est parce que j’ai envie de tout défoncer et que je veux trouver des mecs qui se sentent comme moi." Brontez Purnell, Johnny, est-ce que tu m'aimerais si j'avais une plus grosse bite ?, Rotolux Press.
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