Tumgik
#mais je ne vais pas me plaindre
thebusylilbee · 2 years
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PTDRR y a encore des gens qui croient que bac+5 c'est 45k garantis ?! I WISH BRO I WISH
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olympic-paris · 20 days
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saga: Soumission & Domination 261
Kamal veut devenir Escort
Maintenant que son niveau scolaire est revenu plus que correct, et qu'Eric lui défonce le cul à chaque leçon de pilotage, il veut que je l'embauche comme Escort.
Dans un premier temps, je ne suis pas d'accord. Ce n'est pas parce qu'il s'est remis à niveau qu'il doit penser qu'il est arrivé. Mais il réussit à circonvenir Alexandre qui lui me persuade que c'est la meilleure solution pour encadrer ses envies d'expériences. Ça plus l'intégrer à nos touzes devrait, d'après lui, assouvir ses envies d'explorations sexuelles. Il ajoute même qu'il bossera à l'oeil s'il le faut. Connaissant mes clients, un jeune mec de tout juste 18ans, ça va leur faire ouvrir le porte feuille encore plus que pour mes Espagnols.
Je briefe quand même ce petit con. S'il veut entrer dans mon écurie il faut qu'il sache se tenir. Je lui apprends les principes de ma société de service. Il ne faudrait pas que ses désirs passent devant ceux des clients. Comme ce sera temporaire, je ne le fais pas percer.
Pour mettre la pression, la mise aux enchères de sa première soirée et nuit ne durera que 2h. Comme prévu mes clients sont tous présents (internet) et dès l'ouverture, les chiffres s'envolent. Les photos de Kamal en boxer court y sont pour beaucoup. De plus, avec Jimmy, c'est mon seul beur et son physique finement musclé... La brosse noire qui couvre sa tête est assortie à la couleur de ses yeux mais l'absence de toute autre pilosité le fait paraitre plus jeune encore.
Je démarre au double du tarif de base et les laisse se battre. C'est le boss/amant de Kev qui remporte l'enchère en tuant le suspense après une demi heure seulement et en me proposant le tarif x 6.  Il m'appelle dans les minutes qui suivent et me dit que c'est Kev qui l'avait convaincu de mettre autant. Il me demande s'il les vaut bien. Je le rassure en lui demandant s'il n'avait jamais eu à se plaindre des prestations de mes Escorts. J'ajoute qu'il était jeune mais très volontaire et avide de tester autre chose que la monogamie.
Il me demande de lui envoyer Kamal le WE d'après. Kev l'attendra à la gare de Montparnasse le samedi suivant en début d'après midi.
Récit de Kamal :
Sasha m'a payé un billet de première. C'est la première fois que je voyage comme ça. Les sièges sont larges et la population autour de moi est classe, nous sommes trois, moi et deux quadra en costard. Ma tenue branchée tranche un peu sur leurs tenues ou même les jeans bleus foncés des plus jeunes qui occupent ces wagons.
Je me fais mater grave par un des quadra assis en face de moi. Je devine même la forme de son gland qui repousse le tissu de son pantalon pourtant large. Sasha ma dit de me tenir correctement et c'est ce que je fais, même si je me serais bien laissé aller à le sucer au moins. Quand j'ouvre le TETU que j'ai acheté avant de monter dans le train, le mec me fait un grand sourire et, discrètement, après avoir vérifié que notre voisin est hypnotisé par l'écran de son portable, il appui sur son pantalon pour mouler sa bite. C'est un beau morceau. Mais je dois me montrer respectueux de mon engagement auprès de Sasha. Ne me voyant pas réagir, il allonge la jambe et vient toucher la mienne avec son pied. Il se lève et part dans le couloir vers le bout du wagon. J'hésite, attends un peu et vais le rejoindre pour lui dire de ne rien attendre de moi. Je le retrouve devant le casier à valise. Il me salut et profite que je lui donne la main pour me plaquer contre lui histoire que je sois bien au courant de son envie. Je le remercie de l'intérêt qu'il me porte (Sasha m'a dit d'être toujours bien poli) mais que je ne peux m'occuper de lui étant déjà sous contrat. Il sort alors de sa poche un billet de 100. Je refuse à nouveau. Il ne se démonte pas et replonge sa main dans sa poche et sort un porte billet bien rempli duquel il tire deux autres billets en ajoutant " juste pour une pipe ". Je secoue la tête, pourtant intéressé par l'expérience.  Il finit par me les proposer pour une branlette. Là je me laisse persuader. Je prends les trois billets de sa main et on entre dans les toilettes. Même en première elles sont exigües. Il se penche pour me rouler un patin, je tourne la tête en lui rappelant que c'est juste une branlette qu'il a payé. Il défait sa ceinture, ouvre son pantalon et le baisse avec son caleçon flottant. Effectivement j'avais bien deviné, sa bite doit bien faire dans les 19cm et circoncise avec un gros gland. Je la prends en main et effectue les vas et viens qu'il attend de moi. Pas de chance pour lui, il jute dans la cuvette en moins de 5 mn. Je me lave les mains pendant qu'il referme sa braguette. Quand je me glisse dehors, je dis au mec qui attend que c'est encore occupé et, salope, passe ma langue sur mes lèvres.  Alors que mon quadra sort, j'entends le mec lui demander si ça valait le coup. Ce qui m'étonne c'est que le quadra ne se démonte pas et lui répond que c'était un peu cher mais bien fait. Là, je vois le mec entrer rapidement dans les WC. Quand il rejoint sa place, j'ai quand même droit à un beau sourire.
Sur le quai de la gare, je reconnais Kev que Sasha m'avait montré sur les montages projeté chez lui. Il est encore mieux en vrai. Il me capte quand je me dirige sur lui.
On prend un taxi pour rentrer chez lui. Dans l'ascenseur qui nous monte chez lui, je me rapproche de lui. Il me laisse me coller mais ajoute que c'est pas lui le client principal mais son mec, même si lui-même compte bien profiter de moi.
Quand j'entre chez eux, c'est limite comme dans un musée, des tableaux partout. Le mec qui nous attend au salon c'est celui qui m'a gagné aux enchères. Il est pas mal, même s'il est dans la 50aine.  Je lui dis bonjour, il me demande si je porte le boxer de la photo. Sasha avait prévu le coup et me l'avait fait mettre. Je dis oui et comprends qu'il veut me voir avec lui seulement sur moi. Je suis un peu maladroit mais arrive à me dépoiler sans tomber par terre. Je vois dans ses yeux qu'il ne regrette pas son achat ! Je m'assois à coté de lui et me penche pour défaire sa ceinture. J'ouvre son pantalon et découvre sa bite raide. Je m'incline un peu plus et embouche le morceau. Sans difficulté je lui fais une gorge profonde (qui ne l'est presque pas). Quand je me relève, kev s'est mis nu et est venu nous rejoindre. Lui est mieux monté, dans les dimensions d'Alexandre.
Je me suis retrouver à sucer deux bites. Je fais bien attention à les satisfaire. Sasha m'a bien fait la leçon et je ne souhaite pas lui porter préjudice. Les deux mecs sont quand même pas mal et je n'ai pas de difficultés à m'exciter de la chose et à bander. Bientôt je suis a 4 patte entre les genoux d'Hervé pour le pomper alors que Kev me mange la rondelle pour la préparer à la sodo. Sa main, entre mes cuisses, tire ma bite vers l'arrière et me branle en même temps. C'est Kev qui décide que je suis prêt à me faire sodomiser et il prévient son mec. Je me tourne et vient m'assoir sur sa queue emballé d'une kpote. Il m'avait bien lubrifié puisque la bite glisse toute seul dans ma rondelle et mes fesses se posent sur lui. Il attrape ma taille et me fait sauter sur ses cuisses. C'est pas mauvais mais j'ai connu plus gros ! Après quelques minutes, il me pousse en avant sans déculer. Je m'accroche à la table basse et Kev met sa bite devant ma bouche. Je comprends que je dois le sucer. Je m'exécute. J'aime bien sa queue. Elle glisse dans ma gorge sans me faire vomir. Il me pilonne la gorge alors que son mec fait de même avec mon cul. Je prends du plaisir alors que j'ai toujours en tête l'aspect satisfaction du client. Kev le ressent et me dit de me laisser aller. Il se penche sur mon dos et glisse sa main sous moi pour me branler. Hervé lui dit de continuer car ça resserre mon anneau. J'ai du mal a tenir, le cul excité, la bite " traite " avec expertise et la bouche remplie. Alors que j'allais craquer, Kev serre ma bite derrière les couilles alors qu'Hervé éjacule. Kev me tient jusqu'à ce qu'il sorte de mon cul. Il m'attrape alors par la taille et me jette dos sur le canapé d'en face. Il tire mes jambes vers le haut et les écartant et enfonce sa bite dans mon cul. Bien que chauffée par son mec, ma rondelle doit s'écarter plus pour le laisser pénétrer. C'est bon ! Il bloque mes chevilles sur ses épaules et ses bras autour de mes épaules, il me soulève tout en s'enfonçant encore plus dans mon cul. On se déplace et il me dépose en travers des cuisses d'Hervé qui vient me rouler une pelle.
Je ne sais combien de temps cela dure mais il me baise super bien et je n'arrête pas de bander. Quand Hervé s'occupe de mes tétons, alternance de pincements et mordillements, il me fait rapidement exploser et se redresse juste à temps pour que mon sperme tombe sur mon visage et mon torse. Kev me lime encore quelques coups supplémentaires avant de sortir vite et, kpote retiré, me jute dessus. J'en ai plein partout !
C'est amusant mais c'est Kev qui me conduit à la salle de bain. On prend notre douche ensemble et il me savonne pour faire disparaitre les trace de sperme. Un de ses doigts s'égare dans mon anus et s'enfonce dedans sans difficulté. Il me dit alors de serrer mon cul. J'emprisonne son doigt et il me dit de serrer encore pour l'empêcher de sortir. Je m'exécute. Il est content du résultat. Je le libère et il nous rince. Il enfile un peignoir et m'en tend un autre. Je n'ai jamais vu une telle qualité de tissu éponge. Il tombe sur mes chevilles et j'ai l'impression d'être un nain ! Quand nous revenons au salon, Hervé est en costume et ses cheveux mouillés m'indique qu'il a du se laver dans une autre salle de bain. Il m'annonce qu'il ne sera pas là du reste du WE et qu'il me laisse entre les mains de Kev pour le reste du WE.
Surpris, je lui demande si Sasha est au courant. Il me montre le téléphone et me dit que je peux l'appeler si je veux. Je lui demande d'excuser ma surprise et me retient d'appeler.
Quand il part nous sortons aussi. Kev m'emmène dans son propre appart quelques mètres plus loin. Je préfère la déco du nouvel appartement, plus moderne. La porte d'entrée refermée, il me demande de me déshabiller. Je le fais alors que lui reste en boxer. Il passe quelques coups de fils et je crois comprendre qu'il propose à un de ses amis de venir nous rejoindre.
Il nous sert à boire une bière. Nous ne l'avons pas terminée que ça sonne à l'interphone. Le mec qui arrive est super balaise ! Kev me présente un de ses potes de sa salle de sport. Ce n'était pas la peine de me le dire ! Le mec a des bras plus gros que mes cuisses et ses pecs moulent un t-shirt qui semble être du 12 ans, tellement il est rempli ! Quand il enlève ses vêtements, il est impressionnant, tous ses muscles (sans exceptions et celui difficilement caché derrière les mailles d'un jock aussi) semblent hypertrophiés (encore plus qu'Eric qui est déjà très costaud). Kev ajoute qu'ils allaient me baiser jusqu'au départ de mon train, moi ça me va !
Je n'attends pas les ordres et m'agenouille devant le nouveau venu. Kev lui dit de laisser faire. Je commence par sucer son gland par-dessus le jock. Les mailles écartées par sa bite en cours de bandaison, laissent ma langue toucher sa peau. Il n'est pas encore dur que déjà sa bite est plus grosse que celle de Kev. Ça promet ! elle sera peut être aussi grosse que celle d'Eric ?  Je m'accroche à ses cuisses pour me stabiliser. Il parle à Kev comme si je n'étais pas là. Ça me fait sentir très salope. Je redouble d'attention. Le tissu se déforme et j'arrive à prendre son gland en bouche avec lui et tète. Je sens enfin une réaction. Il pose sa main derrière ma tête et la pousse vers lui. Comme le jock gène la progression, il me repousse, glisse sa bite sur le coté et m'empale la gorge sur sa bite. Il m'étouffe et est encore souple ! Je dégluti ce qui le fait rugir de plaisir. Il me repousse puis se met à me limer la gorge avec régularité. Plus ça va et plus sa queue durcit. Je n'arrive plus à le prendre en gorge tellement il est raide. Heureusement, Eric m'a appris comment faire. Je me couche sur le canapé, la tête rejeté en arrière de l'assise et ouvre la bouche en grand. Le mec comprend tout de suite et s'approche. Il plie un peu les genoux et replace sa bite dans ma bouche puis dans ma gorge. Il s'appui sur le dossier et se remet à me limer les amygdales avec son gros gland. Je les entends discuter des capacités de ma bouche de salope. Kev lui dit de faire attention à ne pas me juter dedans, que ce n'était pas dans le contrat. Quand son pote s'en étonne, Kev ajoute qu'il ne m'a loué que pour le WE. Il demande la place et les voila qui alternent en moi.
Je ne vois pas le temps passé et c'est l'allumage des lampes qui m'indique que cela doit bien faire 1h qu'ils se relaient pour me limer la gorge. J'en ai mal à la mâchoire !  Ils cessent avant de jouir. Pause où ils boivent une bière et Kev me propose un Coca que j'accepte d'une voix plutôt grave qui nous fait rire.
Son pote est curieux de savoir depuis quand je fais la pute. Je le corrige en précisant que je suis Escort et que c'est mon premier contrat. Il s'étonne que je sois aussi " souple ". J'ajoute que c'est mon premier contrat mais pas ma première expérience sexuelle !
L'excitation est toujours là et personne ne débande. Kev prévient son ami qu'il passera le premier dans mon cul, la dilatation par sa bite risquerait de prendre du temps pour venir resserrer la sienne. Il joint l'action aux dires et s'enveloppe d'une kpote avant de me poser en levrette sur sa table basse et de m'enculer. Je m'étais refermé depuis la fois précédente et j'ai bien apprécié le nouveau déplissage de mon anneau.  Il me lime avec rythme jusqu'à ce que je sente 1 puis 2 de ses doigts se glisser le long de sa bite. Je tortille du cul mais il me dit que j'ai intérêt à le laisser faire pour me préparer à son pote. Je le rassure et lui dis que je prends des cours de pilotage moto. Il comprend le sous entendu car il connait Eric.
Il continu à me labourer le trou pendant que je maintiens son pote bien raide à coup de langue et de déglutition. Quand il sort de moi, je suis bien assoupli par ses coups de rein. Alors qu'il kpote son pote, je sniffe le poppers mis à ma disposition. Quand son pote m'enfile enfin, je suis bien prêt et même s'il rentre assez facilement, je sens son gros diamètre élargir encore plus ma rondelle. J'ai l'impression de me faire démonter par Eric. Il s'enfonce doucement pour que je sente bien chaque mm de sa queue. Lui non plus n'est pas un novice de l'enculage ! Je me concentre et serre doucement mon anneau pour qu'il colle au plus près de la hampe. Je sens l'augmentation du diamètre alors qu'il pousse les derniers cm (les plus épais) en moi. Le passage de son gland contre ma prostate ma donner un spasme limite à juter.
Il reste quelques minutes bien calé tout au fond de moi. Comme il est épilé total, je ne sens que sa peau contre la mienne. Kev, qui le regarde faire, lui dit d'y aller franchement puisqu'il m'a préparé. Je me sens pris aux épaules et, avant qu'il ne sorte une première fois, il me tire vers lui. Alors que je le croyais planté au plus profond de moi, je sens mes fesses s'écarter et sa bite progresser encore un peu. Trop bon !
Après c'est un déchainement de sensations. Je me fait labourer, ballotter en tout sens (mes quelques 10aines de kg semblant une plume entre les mains de cet adepte de la muscu). Je pense qu'il m'a enculé plus de temps sans que je touche le sol qu'en levrette. C'est impressionnant de se retrouver plié contre des pecs, planté sur une bite et soulevé régulièrement comme si je n'étais qu'une simple barre d'exercice ! Ma propre bite, coincée contre ses abdos, me fait mal à force de bander. Alors que je suis toujours en suspension dans les bras du musclor, je sens Kev se coller contre mon dos et ses lèvres courir sur mon cou et mes épaules. Je sens aussi son gland buter contre la queue de son pote et ma rondelle. A ce moment là je n'ai qu'une peur c'est qu'il essaye de m'enculer en double ! Heureusement il n'insiste pas et alors que son pote me plante à fond une dernière fois pour s'immobiliser afin de remplir sa kpote, j'explose à mon tour quand je sens le jus de Kev me couvrir le dos. Musclor tombe sur le canapé, m'entrainant avec lui. Je le sens encore raide en moi.
Je me décolle de lui, mon sperme poisse entre nos deux corps. Je veux me relever mais mes jambes ont du mal à me soutenir et Kev me rattrape avant que je tombe par terre.
Le reste de la soirée se passe plus " calmement " même si Musclor reste avec nous.
Jardinier
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hedgehog-moss · 1 year
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Bonjour, Mon rêve absolu est d'habiter à la campagne, dans un endroit très isolé et sans voisins. Mais j'ai la phobie des chasseurs, et je ne sais pas comment je vais faire pour les supporter. Je randonne beaucoup en campagne, et j'en croise énormément, ou bien je me retrouve au milieu de battues (je suis pourtant sur des circuits de rando). Je vois des amorces de cartouche près des maisons, aussi. Bref, je me demandais : comment fais-tu avec eux ? Merci pour ton blog, si beau et reposant ! <3<3
Salut :) Je compatis vraiment, la chasse est une plaie... Ils sont censés disposer des panneaux 'battue en cours' mais pareil je croise souvent des chasseurs & chiens en forêt sans avoir vu le moindre panneau. (Une fois j'ai vu un chasseur en train d'installer tranquillement son panneau à 100m de chez moi – j'ai été le voir en mode faudrait peut-être songer à pas se foutre du monde et il a dit qu'il ne s'était pas rendu compte qu'il était si près, alors qu'on voyait ma maison depuis l'endroit où il mettait le panneau...)
Ils aiment bien prétendre être l'ultime rempart entre l'honnête citoyen et une incontrôlable invasion de sangliers mais j'ai dû batailler pendant un an pour qu'ils arrêtent de poser des tonneaux pleins de maïs dans mes bois pour attirer les sangliers, donc bon. Arrêtez de les gaver déjà ? Ils élèvent aussi des faisans pour les mettre en liberté la veille d'une battue, les pauvres pitchouns n'ont aucun instinct de survie (se laissent approcher sans problème, errent au milieu des routes d'un air paumé...), ça doit être aussi gratifiant que de chasser des poulets de batterie. C'est vraiment le sketch des Inconnus où ils arrivent avec leur propre galinette et se mettent à quatre pour lui tirer dessus dès qu'elle sort de sa cage.
Bref je n'ai pas vraiment de solution, j'imagine que les options se résument à : 1. Parler de ta problématique aux maires des communes quand tu en seras à prospecter, pour savoir s'il y a des espaces protégés ou plus sûrs — sur les hauts plateaux derrière chez moi il doit y avoir peu de gibier par rapport aux coteaux boisés, je n'y vois jamais de chasseurs par ex 2. S'adapter comme les chevreuils pour devenir un animal nocturne et faire ses balades la nuit. Bon personnellement j'adore me balader la nuit, il y a plein d'animaux sauvages et de beaux ciels étoilés, mais c'est vrai qu'on ne profite pas trop des paysages ! 3. Ne se balader que chez soi de septembre à mars, si on possède un terrain avec quelques champs ou une parcelle de forêt, puisqu'on peut faire interdire la chasse dans les terrains privés (c'est pas foolproof mais à force de râler on y arrive...), et ne s'aventurer plus loin que hors saison :/ 4. j'allais ajouter : s'installer à proximité d'un parc naturel ou une forêt protégée, mais je viens de vérifier et apparemment la chasse est quand même autorisée dans la plupart de ces zones >< J'ai une forêt protégée près de chez moi où chasse & exploitation sont interdites, mais ça doit être au cas par cas pour savoir ce qui est autorisé ou pas dans une forêt donnée, et les autorisations peuvent changer (comme dans le parc naturel du Vercors je crois où ils avaient interdit puis ré-autorisé puis ré-interdit la chasse en l'espace de 3 ans...)
Pandolf a horreur des chiens de chasse et il entend les battues bien avant moi et ça le fait grommeler, donc avoir un chien peut aider, au moins pour être alertée de la présence de chasseurs à proximité, surtout les jours de mauvaise visibilité. Je me souviens d'une fois où il s'était mis à grogner sans que je sache pourquoi (on était chez nous), je vais voir au fond du pré et au bout d'un moment j'entends un coup de fusil au loin et c'était un jour de brouillard épais où on ne voyait pas à cinq mètres, faut vraiment être un branquignol pour chasser dans ces conditions... Mais même si on arrive à mettre la main sur un interlocuteur auprès de qui se plaindre on reçoit en gros le message "ah oui c'est pas très autorisé ça mais bon ma bonne dame faudra vous y faire, vous êtes à la campagne, y'a des chasseurs"
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chifourmi · 5 months
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Comment je n'en PEUX PLUS de ma mère. Je vais écrire ce texte à chaud je le supprimerai peut-être plus tard. On lui a offert son cadeau de la fête des mères vendredi pcq aujourd'hui on était pas dispo tous les 4. Comme d'hab elle était pas contente?? Alors qu'on lui a offert des fleurs comme elle réclame tout le temps. Même la dernière fois sans occasion particulière on s'est ramenés avec des fleurs mon père et moi et elle n'était pas contente pcq c'était un bouquet de la fleuriste et qu'elle aimait pas la compo??????? Comment on peut être aussi capricieuse???? En plus elle ne nous l'avait jamais dit donc on pouvait pas savoir. Vraiment j'en peux plus elle s'en blc de l'intention et ok tu peux ne pas aimer mais elle te le fait savoir TOUTE LA JOURNÉE. Elle s'isole, fait des phrases passives agressives, des sous-entendus de merde. Vraiment c'est invivable. Et OK elle a vécu un cancer et là elle est en pleine reconstruction de sein mais on essaye de faire TOUT pour elle. Dès qu'elle demande quelqu'un, dans la seconde y a quelqu'un qui accourt. On se bousille pour son bonheur et c'est hyper normal je sais bien mais quand t'as que de l'ingratitude comme réponse c'est juste pas possible, elle ne nous remercie jamais, ne se remet jamais en question. C'est tellement lourd on est bassinés de négativité et j'imagine même pas à quel point ce qu'elle traverse est dur mais ça l'est pour nous aussi parce que combien de fois on a eu peur de la perdre et en plus de ça elle nous fait subir le pire. Vraiment je suis à bout, je sais même plus ce que je dois faire pour qu'elle soit heureuse, elle nous en demande beaucoup beaucoup trop. Et en même temps je ne me sens même pas légitime de me plaindre pcq elle a vécu tellement d'opérations et c'est toujours pas fini, ça fait 3 ans, et j'imagine même pas dans quel désespoir elle doit être. Mais voilà là j'en peux tellement plus et j'ai besoin de me plaindre aussi. J'ai tellement hâte que tout ça se finisse putain cette merde de cancer est complètement en train de détruire notre famille.
(Je SAIS que c'est ELLE qui vit des épreuves atroces et que je peux même pas imaginer ce que ça fait, je l'ai bien compris, donc si y a quelqu'un qui ose me dire que j'ai pas le droit de me plaindre je le bloque mdr)
(12/05/2024)
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theoppositeofadults · 4 months
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eheh j'étais EN ROGNE dimanche soir quand Macron a annoncé la dissolution de l'AN parce que non seulement : risque pour la démocratie, Macron qui se prend pour Napoléon,.... mais aussi : j'ai mis UNE HEURE à atteindre mon bureau de vote pour les élections européennes parce que je dois aller au bout du monde et le tram est en travaux - je ne vous cache pas que quand j'étais en train de marcher le long d'une autoroute, j'ai du penser fort à la démocratie et j'ai dit à ma compagne de route "ah oui c'est embêtant mais au moins on ne vote qu'une fois par an" et bim ! Macron a dit triple uno
mais mais mais ! qu'est-ce que je viens d'apprendre ! je vais pouvoir voter en ligne!! donc je peux arrêter de me plaindre de mon épopée électorale
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dazeofcoral · 2 months
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ça va partir dans trois milles directions là parce que j'ai les nerfs à vif et 10 000 choses à dire sur le sujet... on va se plaindre qu'il n'y a plus assez de personnages hétéros sur les forums... vous êtes sérieux....
on va pas se mentir parce que j'aime rester sincère dans mes publications, c'est vrai sur certains forums c'est limite impossible de trouver un lien love si on fait un perso hétéro, t'as même des forums ou c'est mal vu /non je plaisante pas, j'aimerais bien pourtant parce que peace and love accepter tout le monde c'est aussi les hétéro, n'en déplaise à certains être hétéro c'est pas être fermé d'esprit c'est seulement avoir une préférence, soit /
mais de là à en faire un CDG ouin ouin il y a trop de gay et à lancer des débats sur les serveurs discord ? :OO: c'est quoi qui est trop difficile, cliquer deux fois sur présentation => fiches validées => puis sur plusieurs fiches, de quoi se faire une idée? non parce que c'est ce que font les gens intelligents et si tu vois 15 fiches de présentation et pas un seul perso qui pourrait potentiellement se mettre en couple avec un perso hétéro, va voir ailleurs ou accepte de te lancer et de pas faire tourner ton personnage autour d'un lien love, à croire qu'on sait pas vivre sans ou le temps qui faut pour trouver un partenaire rp pour le jouer, sérieux en passant ; je suis pan et j'ai eu des relations avec des hétéros, on y est pas allergique leul. va falloir revoir la def de pan je pense pour certains, on doit vous passer des liens ? :/oo\:
je cite une autre connerie que j'ai lu il y dix minutes : "tout le monde joue des gay on sait plus se trouver un mec pour son personnage féminin" :/\: / =>> c'est grave qu'en plus ce soit que les personnages masculins qui sont visés. comme par hasard tiens ! ces même joueuses qui sont en train de se plaindre et qui sont les premières à faire des perso hommes pan/bi qui sont jamais mais alors j-a-m-a-i-s en couple avec une femme ? et quand il y a une ex c'est pour construire un drama de la femme outrée et qui a une dent contre le mec qui l'a laché pour un autre mec? ces mêmes joueuses qui se plaignent que leur personnage féminin trouve pas de mec loooool? et vous pensez pas faire partie du problème là ? ah non pardon, vous au moins votre perso il est pas /que/ gay. vous jouez pas /que/ des gay. sur papier, pour un peu mettre de /diversité/ et pouvoir pointer du doigts ceux qui jouent des perso 100% gay, parce qu'en pratique on vous voit jouer des perso 100% gay aussi LEUL zéro représentation pendant des décennies et maintenant ça vous plaît pas d'en voir partout, pour citer une autre belle andouille sur un serveur discord. vous inquiétez pas hein, si c'est ce que vous pensez on veut pas de vous sur nos forums trop /gay/ à votre goût.
restez loin, très loin.
et éduquez vous aussi, parce que j'ai vu de ces conneries sur un discord je me suis demandé.e d'où sont sortit ces cas du 19ème siècle je précise que j'emploie presque uniquement le terme /gay/ parce qu'à priori après avoir lu une heure des conversations à gerber là dessus sur discord je me rends compte que la commu rp ne comprends que ce terme là, à les lire les pan on couche avec tout le monde bah bah bah, les bi c'est des indécis lol lol lol et tous les autres termes ils connaissent pas vraiment, c'est mis pour faire stylé d'après certaines. chouette on se casse les bourses pour faire des perso nuancés ou s'autoriser de jouer un perso à notre image et non non on fait ça que pour se faire remarquer LEUL je vais gerber et rester loin de l'écran pendant trois jours, merci, à part ça on doit se sentir safe dans la commu rp j'aimerais bien savoir où vous voulez que les gens se sentent safe !
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mochademic · 5 months
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100 Days of Productivity [Day: 81] || 100 Jours de Productivité [Jour: 81]
major highlight of the day: getting new tea & finally getting my hands on another tub of my favourite banana yogurt. :]
I've always enjoyed filling my life up with as many books as possible. ones to read, write in – I love them all. one of the bigger projects I want to undertake later this year is making a couple built-in bookshelves this year to organize them.
today was spent catching up the last of the freelance work I've been behind on. thankfully these were all new projects; I don't think I would have been half as productive if I had been stressing about open orders. it's strange to be back in the position where all of my school work is permanently done. but I won't complain, especially since we're on to much better things now.
currently listening // Limerence by Yves Tumor
le point fort de la journée : un nouveau thé et enfin un autre pot de mon yaourt à la banane préféré :]
J'ai toujours aimé remplir ma vie avec autant de livres que possible. des livres pour lire, pour écrire - je les aime tous. l'un des plus grands projets que je veux entreprendre plus tard cette année est de faire quelques étagères encastrées pour les organiser tous.
j'ai passé la journée d'aujourd'hui à rattraper les derniers travaux de freelance que j'avais pris du retard. heureusement, il ne s'agissait que de nouveaux projets ; je ne pense pas que j'aurais été à moitié aussi productive si j'avais été stressée par des commandes en cours. c'est étrange d'être de retour dans la position où tous mes travaux scolaires sont définitivement terminés. mais je ne vais pas me plaindre, d'autant plus que nous passons à des choses bien meilleures maintenant.
chanson // Limerence par Yves Tumor
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selidren · 5 months
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Printemps 1918 - Champs-les-Sims
5/10
Ils ont une relation assez particulière. J'ai parfois l'impression de voir un grand frère s'adresser à sa petite soeur, alors qu'ils ont strictement le même âge. C'est assez touchant quelque part. De son côté, elle tempère le caractère parfois un peu trop sévère de son frère et lui rappelle qu'il est toujours un enfant. C'est en les voyant que je regrette de n'avoir eu ni frère ni soeur. J'y pense d'ailleurs, en avez-vous vous-même ? Votre époux s'est parfois essayé à nous décrire les méandres de votre arbre généalogique, mais je ne crois pas qu'il ait déjà abordé le sujet.
Transcription :
Arsinoé « Mais bon, ne le lui dit pas, ça ne servirai à rien. Ah ! Je crois qu’on y est presque. Tu as pensé à prendre l’écharpe et le vieux chapeau de Grand-Père ? »
Marc-Antoine « Une minute… Le chapeau de Grand-Père ? Pour faire un bonhomme de neige ? Tu es sure que ce n’est pas trop… irrespectueux ? »
Arsinoé « J’ai demandé à Papa, et il pense que ce n’est pas grave. Il dit que de toute façon, plus personne n’oserait porter cette vieillerie. »
Marc-Antoine « Oui, mais de là à le laisser à la merci des éléments… »
Arsinoé « Bon, si ça te dérange tant que ça, je suis sure qu’on peut trouver autre chose. Oncle Adelphe est souvent d’accord pour nous prêter des choses. »
Marc-Antoine « Non ça ira, je ne vais pas jouer les rabat-joies. Mais tu ne te pose pas des questions sur notre grand-père de temps en temps ? »
Arsinoé « Non, pas tant que ça. Il faut dire que Grand-Mère ne cesse de nous rabattre les oreilles avec ses transactions, l’aménagement du jardin d’hiver, à quel point c’était un fils et un père exceptionnel… Parfois j’ai l’impression de l’avoir un peu connu. »
Marc-Antoine « Moi, pas du tout. Mais il avait l’air d’être quelqu’un d’exceptionnel. Grand-Mère dis que je devrai lui ressembler. »
Arsinoé « Mais tu lui ressembles déjà, c’est ce que dis Papa en tous cas. »
Marc-Antoine « Je ne suis pas sur que dans sa bouche, ce soit un compliment. »
Arsinoé « Ah heu… bah… on s’en fiche de son avis non ? »
Marc-Antoine « Wahou ! Arsinoé Le Bris se permet d’être irrespectueuse ? On devrait le faire dire à la gazette régionale ! »
Arsinoé « Oh arrête un peu. J’en ai peut-être marre que les seuls compliments que me font les adultes sont que je suis gentille et bien élevée ! Oh, mais ne répète pas à Maman que j’ai dit ça, je pense qu’elle ne serait vraiment pas contente. »
Marc-Antoine « Je serai muet comme une tombe. Grand-Mère dit que notre grand-père était très doué pour garder les secrets de la famille et que c’est utile. Donc je pense que je peux bien garder les secrets de mon héritière. »
Arsinoé « Ton héritière ? »
Marc-Antoine « Oui enfin, c’est une façon de parler. Mais dès que tu diras du mal des adultes, je serai là pour me taire et te couvrir. Tu peux compter sur moi ! »
Marc-Antoine « D’ailleurs, ça te dirait de faire quelque chose d’interdit ? »
Arsinoé « C’est à dire que… le soleil va bientôt se coucher. »
Marc-Antoine « Justement. Grand-Mère avait promis de m’emmener me promener et elle ne l’a toujours pas fait, alors que dirai-tu d’aller à l’étang pour patiner un peu ? Kléber m’a dit qu’il laissait toujours ses paires de patins là-bas pour éviter que sa mère ne les lui confisque. »
Arsinoé « C’est vrai que Kléber est malin, mais… tu es sur de toi ? On ne risque pas de se faire disputer vraiment très fort ? Et puis tu sais, Grand-Mère oublie pas mal de choses en ce moment, elle a peut-être juste besoin que tu lui rappelle de t’emmener en promenade. »
Marc-Antoine « Mais je n’étais pas en train de me plaindre ! Pas du tout ! Bon, après oui, on risque de récolter une volée de bois vert mais ça vaut le coup non ? »
Arsinoé « Bon allez, d’accord ! »
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etoilementeuse · 2 months
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diabolik lovers : haunted dark bridal — ayato ; dark 02 [traduction française]
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—— La scène débute dans la chambre de Yui.
Yui : Hmm, je ne sais pas pourquoi, mais je n’arrive pas à dormir... Je devrais être fatiguée, pourtant.
(Allez, fermons les yeux...)
(Je vais essayer de penser à quelque chose d’agréable pour faire de beaux rêves.)
… … … …
—— Bruit de tissus qui se froissent.
Yui : Hm...?
Ah... Q-Qu’est-ce que...!?
(I-Il y a quelque chose sur mon ventre, mais je ne sais pas de quoi il s’agit !!)
Est-ce que... Ayato-kun, c’est toi ?
(C’est trop petit pour être lui... Mais alors, qu’est-ce que c’est...!?)
—— Bruit de battements d’ailes.
Yui : Kyaaaaaa———!
—— Ayato arrive en courant.
Ayato : C’est quoi ce boucan ? Qu’est-ce qu’il se passe ici !?
Huh!?
… Eh bien, tu es drôlement audacieuse aujourd’hui, à venir courir dans mes bras comme ça.
Yui : Le lit...
Ayato : … Hein ?
Yui : I-Il y a une créature noire dans mon lit...!
Ayato : Haa ? Qu’est-ce que c’est ?
Tout ce boucan pour ça ? C’est juste une chauve-souris.
Yui : U-Une chauve-souris !?
Ayato : T’as peur de ce genre de trucs ?
Yui : H-Hum...
Ayato : Pff...
Cette chauve-souris, elle t’a touchée ?
Yui : Hein...? E-Euh, oui. Elle a réussi à rentrer dans mon lit...
Ayato : Où est-ce qu’elle t’a touchée ?
Yui : S-Sur... mon ventre.
Ayato : Montre-moi.
Yui : Ah... Non !
Ayato : Ah—, ça va être un problème.
Yui : … Q-Quoi ?
Ayato : Elle t’a griffée. Ses griffes sont venimeuses, tu sais ?
Yui : Hein...!?
—— La chauve-souris virevolte dans la pièce.
Ayato : Oh... Elle aussi est attirée par ton sang ? Elle essaie encore de t’avoir, non ?
Yui : N-Non...!!
Ayato : Attention...!
Haha, tu n’as aucune idée de la situation dans laquelle tu t’es mise, pas vrai ?
Yui : Hein...!?
Ayato : Tu exposes ton cou sous mes yeux... C’est une invitation, c’est ça ?
Yui : N-Non...
Ayato : Si c’est ce que tu désires, je vais boire ton sang. Même si je n’ai pas spécialement soif...
—— Ayato mord Yui.
Yui : Kya... Aïe...!
Ayato : [bruits de succion]
Yui : Ah...!
Ayato : … Hehe, ton sang ouvre l’appétit...
—J’en ai juste bu une gorgée et d’un coup, je suis assoiffé.
Yui : L-Lâche-moi...!
Ayato : Qu’est-ce que tu racontes ? C’est toi qui m’as invité, après tout.
C’est ça. J’aspirerai le venin au passage.
Yui : Ah...!
Ayato : C’était où, déjà ? Par ici, peut-être ? … [bruits de succion]
➛ Aspirer le poison est dangereux (♥) Yui : T-Tu ne peux pas aspirer le poison... C’est dangereux ! Ayato : Haa ? Yui : Tu vas t’empoisonner...! Ayato : … Pff. Tu t’inquiètes pour moi dans une situation pareille ? Ne t’en fais pas. Mon corps n’est pas frêle au point de se laisser affaiblir par un peu de poison. [bruits de succion] Yui : (H-Huh ? Mais, la chauve-souris a griffé...) (… De l’autre côté ! Il ne mord pas au bon endroit !)
➛ Ne mords pas ici Yui : Ah ! N-Ne fais pas ça... Ne mords pas ici...! Ayato : Il faut bien que j’aspire le poison, non ? [bruits de succion] Yui : C-Ce n’est pas ici que la chauve-souris m’a griffée...! Ayato : Ah ? Ah bon ?
Yui : N-Ne me dis pas que...
Ayato : Haha, t’as enfin remarqué ?
Yui : Je le savais...! Il n’y a même pas de griffures, pas vrai !?
Ayato : Et j’ai aussi menti en te disant que c’était venimeux.
Yui : C-C’est vraiment...!
Ayato : Ouais, ouais, je t’écouterai te plaindre une autre fois.
Yui : A-Ayato-kun...
Ayato : Pour le moment, j’ai envie de profiter de la douceur de ta peau...
Yui : Ah...!
Ayato : … Et du goût de ton sang.
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ㅤ ← [dark 01]ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ[dark 03] → 
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nayelleya · 17 days
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update de l'inconnu
Bon alors, le rendez-vous était hier au milieu d'un pont. J'arrive avec quinze minutes d'avance. Je vais à l'endroit indiqué mais je le vois, de l'autre côté du pont en train de littéralement partir ? Alors je marche jusqu'à le voir sur un passage piéton. Je lui tapote l'épaule et il se retourne et me dit "Tu es venue c'est pas possible" (drôle qu'il me dise ça car je pensais qu'il n'allait absolument pas venir). On se fait direct un énorme câlin. Il était là depuis 30 minutes sauf que quand je l'ai vu partir c'était juste pour s'acheter des cigarettes. Bref, on passe au tabac et on ne se rend toujours pas compte qu'on est tous les deux venu ici. Il me touchait de temps en temps les bras et les épaules pour se rendre compte que j'étais vivante c'était à la fois drôle et mignon à voir.
On commence à marcher, on se pose dans un de ces bars parisiens avec des bières en bouteilles à 33cl qui coûte 7€ et le serveur ne me mettait vraiment pas à l'aise alors il décide qu'on va partir (je n'osais pas partir de moi-même). Donc, on se remet à marcher pendant très longtemps. On se raconte notre été. Lui été remplit de révisions et moi de dépression. Il me demande si ça va mieux, je lui demande si ses examens se sont bien passés. Je finis par lui dire que cet été la seule chose qui me faisait tenir réellement en vie c'était que je me disais que j'allais potentiellement le voir. Il m'a dit que c'était touchant, je lui ai dit qu'il ne fallait pas qu'il s'inquiète si un jour je ne viens pas à un de nos rendez-vous. Je voudrais qu'il passe sa vie à se dire que je suis bien vivante. On discute aussi de comment notre entourage a réagit face à notre rencontre à Vienne. J'apprends aussi, qu'il a énormément lu le papier que je lui avais laissé. Il s'était mit des rappels un mois, une semaine et deux jours avant en regardant bien si il avait noté la bonne date, le bon lieu et la bonne heure. Il avait même prit le papier en France pour le lire et ne pas se tromper. Moi qui croyais qu'il n'allait jamais venir, je lui dis que j'avais hésité à venir justement. Il savait que j'allais venir (le mec trop confiant jpp).
Bref, on marche, on se prend une bière sur le passage et on continue à marcher. Je commence à avoir mal aux genoux et je n'arrête pas de me plaindre littéralement. Mais on continue de vagabonder, il était euphorique et je l'étais aussi mais je le chariais comme quoi je ne voulais plus le revoir après cela (totalement faux je veux le voir toute ma vie). On rentre dans une cours pour voir les appartements. Il me fait rire parce qu'il prenait beaucoup de photos de la ville et était émerveillé par tout. Il m'a même prit en photo en souvenir (je n'ai même pas pensé à faire cela, trop bête). (Je n'explique pas exactement tout car le post va faire 15 pages). À un moment j'ai tellement mal qu'il commence à chercher alors un endroit où on pourrait manger. On trouve un joli restaurant asiatique, on commande et en mangeant on parle déjà de notre prochain rendez-vous. Il était 21h30 et nous voir tous les deux ici ressemblait réellement à un film. Comme la première fois, ça semblait hors du temps, irréel et magique. On a réussit a se fixer un autre rendez-vous et on l'a noté dans un papier pour ne pas oublier. Il me demande si je veux voir un de ses amis qui habite ici. Je suis plutôt réticente mais au bout d'une heure à déambuler j'accepte car il m'avait déjà parlé de lui et je le sentais bien.
Donc vers 22h30/23h (je ne sais plus trop). On rejoint son ami dans un bar très très sympa. Et directement je l'adore son pote, une personne tellement apaisante. Je me sentais si bien avec l'inconnu mais là c'était doublé. On a beaucoup discutés, les garçons beaucoup bu pendant qu'ils parlaient de leur relation ou avec des copains dont j'ai déjà entendu le nom. Et, même si ils racontaient des anecdotes de leurs vies à deux je me sentais pas du tout mise de côté. C'était vraiment très plaisant car normalement je me sens pas trop comme cela. Son ami a même prit mon mail pour pouvoir m'envoyer des documents pour la méthodologie à la fac car j'étais selon lui un jeune talent aha. L'inconnu disait que c'était de la triche, seulement on a promit avec son ami que ce serait purement professionnel et que je n'allais pas demander des nouvelles de lui. On regarde l'heure à un moment et on se rend compte qu'il est 1h40. On avait tous halluciné.es car le temps passait tellement rapidement. L'inconnu decide de nous payer des shots (spoiler : j'ai bof aimé). On décide de partir car le bar fermait et qu'on voulait continuer la soirée autre part pas très loin.
On arrive dans une sorte de boîte/bar. Un établissement que je déteste typiquement à Lyon. Mais j'étais tellement heureuse d'être avec eux, j'étais un peu saoul que cela ne me dérangeait pas. On danse (enfin eux, moi je me tapais des énormes barres car ce moment était tout simplement improbable). On va ensuite au coin fumeur. Et là, je ne sais pas si c'était l'euphorie, l'alcool mais je me souviendrais très longtemps de ce moment. Il était vraiment et sincèrement heureux que je sois venue au rendez-vous. Donc, chaque fois qu'on parlait (enfin lui car il est beaucoup plus sociable que son ami et moi aha) il parlait de notre rencontre. Il me disait "Tiens Leyan raconte, tu racontes beaucoup mieux que moi je le sais" et je le voyais avec un sourire aux lèvres en disant "Mais c'est pas dingue quand même cette rencontre ???". Il me dit aussi à un moment qu'on devrait écrire une nouvelle sur nous deux. Je lui ai dit que j'avais déjà commencé. Il veut le lire dans cinq ans. Je ne dévoile pas tout ici parce que sinon vraiment le post ferait 1000000 pages. J'espère que vous achèterez mon livre parlant de lui et moi (lol).
Bref, les gars étaient super fatigués, il était 4h du matin. On part alors de cet établissement et L'inconnu me paye un uber pour que je sois safe sur la route. On s'est fait un énorme câlin et on s'est dit à la prochaine.
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e642 · 1 year
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Ma mère a dit "les gens sont décevants". Et c'est vrai. J'aime pas avouer que j'attends quelque chose de quelqu'un parce que j'aime pas avouer que j'ai besoin des autres ou que je cale des intentions sur les autres. Mais même si je sais que je le suis aussi, qu'on me le reproche sans cesse, j'essaie de rester légitime pour le reprocher aux autres. Enfin, je ne le reproche jamais aux autres parce que ya rien à dire. La vraie déception est silencieuse et creuse. J'ai longtemps espéré que les gens se rendent compte qu'ils étaient décevants seul mais ça n'arrivera pas car personne ne leur dit et qu'ils ne se demandent jamais s'ils le sont. C'est dingue de jamais se remettre en question. Je crois que ça faisait longtemps qu'on ne m'avait pas blessée comme ce garçon me blesse. Je n'arrive pas à l'aimer parce qu'il me rend trop triste. Je n'arrive pas à arrêter de le voir car je sais que personne ne veut de moi à côté. Ça fait pitié, et encore plus d'en avoir conscience. Je dénonce les mêmes comportement que j'ai. Je me demande quand je vais rencontrer quelqu'un qui me mérite et me rend la pareille sans avoir à demander. Sans avoir à me soucier de tout. Sans cette charge mentale écrasante et douloureuse. J'aimerais faire des choses bien avec quelqu'un mais je me retrouve toujours avec des personnes qui me tirent vers le bas uniquement parce que j'accepte ça. Je parle beaucoup des mêmes choses en ce moment parce que je me sens mal de m'auto bloquée dans des situations dégradantes. Je me sens même pas légitime de m'en plaindre car j'accepte en me disant que même si on me traite mal, on me traite mieux que ce que je me traite seule. Mais même pas au final. De ces dernières années, j'aurais eu le cœur morcelé par le manque de respect, de tact et de réciprocité de mon entourage. J'ai l'impression de sans cesse être rabaissée. Il faut que je me retrouve seule à nouveau, c'est la seule manière que j'ai d'aller mieux. Quémander le respect des autres c'est une bien belle et fatiguante perte de temps à laquelle je m'astreints trop régulièrement. En vérité, ça me glace le sang tout ça et ça me décide à me renfermer d'avantage encore.
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Opération speciale
Chap: 1
Ce soir, il m'a prévenu que l'on allait sortir. Comme souvent.
Je suis assise à côté de lui, côté passager. Mes chevilles liées par des menottes dont il garde la clef dans sa poche de pantalon. Une vieille habitude depuis que je vis chez lui. Ou plutôt, depuis qu'il m'a interdit de partir de chez lui!
Il a toujours peur que je me sauve. Il m'attache ou m'enferme en permanence. Pour moi ce n'est pas vraiment une nécessité, je n'ai pas d'endroit où aller, pas d'argent. Je ne sais même pas si je partirais dans l'éventualité où il me laisserait libre.
Il est dur mais plutôt juste. Je subis au quotidien. Je m'attache à lui comme un otage qui se lie à son gardien. Je m'habitue à cette vie finalement. Mon cerveau se vide.
Plus d'envies. Plus de rêves.
Je deviens un automate. Je subis sans me plaindre. Les quelques punitions que j'ai reçues les premiers temps m'en ont dissuadées. Les cachets qu'il me donne plusieurs fois par jour aussi j'imagine. Je me sens las. Sans énergie. Je n'étais pas comme cela avant.
Il est pharmacien. C'est facile pour lui de me rendre à sa merci. De me droguer. De faire de moi un zombie.
Nous avancons dans Strasbourg et nous nous rapprochons du centre. Le regarde par la fenêtre de la voiture. Le regard vide. Le paysage urbain défile. Des lumières. Des boutiques en train de fermer. Des passants.
J'imagine la soirée que je vais passer.
Je n'ai pas peur. Je n'ai plus peur. Je m'habitue a être malmenée. J'aurai mal sans doute. Je passerai un mauvais moment. Ça m'est égal. Je pense à après. Quand il irait travailler demain matin. Je serai enfin seule. Enfermée dans ma chambre. Mais seule. Je dormirai. J'ai toujours envie de dormir depuis que je suis chez lui. Les cachets sans doute...
Il se gare le long d'un trottoir. Il y a un peu de monde dans la rue. Je pourrais crier. Demander de l'aide.
Même pas la force. Même pas l'envie. Juste l'idée qui me traverse l'esprit...
Il défait les menottes et me regarde d'une manière menaçante:
- Je te fais confiance petite pute! Tu restes bien docilement à côté de moi, d'accord?
- oui Maître.
Je me garde bien de lui dire que je n'ai pas la force ni l'énergie de fuir ou de demander de l'aide. Il doit bien le savoir de toute manière.
D'ailleurs je ne peux pas lui parler. Il me l'a interdit. Je peux juste lui répondre. Et encore, avec calme, politesse et en baissant les yeux! Réponses courtes obligatoires. J'ai été punie plusieurs fois au début pour manque de respect. Je fais attention désormais. Ses punitions font trop mal.
Il fait le tour de la voiture et m'ouvre la portière.
- merci Maître.
Il me prend sous le bras, gentiment.
Nous commençons à marcher. Comme des amoureux. Nous donnons le change j'imagine, pour les autres passants.
Je fais l'objet de quelques regards de mecs que nous croisons. Je suis habillée un peu court pour ce début de soirée. C'est lui qui choisi mes tenues.
Il est fier que les hommes me regardent.
Il me chuchote à l'oreille:
- tu vois petite pute, tu plais aux hommes! Je suis fier de toi!
- merci Maître... je réponds en chuchotant également.
Dans ma tête, un sourire passe. La satisfaction. J'avoue ressentir une certaine fierté à plaire. Presque de l'excitation.
Nous arrivons en bas d'un immeuble. Il sonne.
Nous entrons lorsque la porte se déverrouille....
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deesseashley · 1 year
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07/10/2023 -- Photo 3 :
Alors de base je devais en poster 2 autres avant mais je ne vais pas le faire tout simplement parce que je ne vois pas l'intérêt de mettre qu'une poitrine et rien d'autres, ce n'est pas assez représentatif de ce que je fais du coup il y aura quelques skips. Bon bug de doigts mais ça arrive assez souvent donc je vais éviter de me plaindre et à part ça le reste est quand même plutôt réussit
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Un an de plus
Me voilà au premier jour de mes 56 ans. C'est un chiffre qui ne me parle pas, auquel je ne m'identifie pas, car mon esprit est resté bloqué quelque part dans ma trentaine. Mon corps par contre, poursuit le processus de vieillissement à mon plus grand désespoir !
56 ans et toujours des envies d'une vie plus riche, d'un amour plus fort, de lendemain qui chante même si je sais que je n'ai pas à me plaindre de ma vie.
Depuis mon 51e anniversaire, j'ai décidé de ne plus faire mon anniversaire chez moi. En 2020, je suis allée visiter le Louvre, toute seule. Ensuite, j'ai décidé de retourner chez mes parents pour chacun de mes anniversaires. Cela fait du bien de retrouver sa place "d'enfant". Et je veux en profiter tant qu'ils sont encore là. L'avantage c'est que ce jour là, je ne suis jamais seule, ni prise dans des activités coutumières. Je vais au restaurant, je sors faire les magasins, ou me balader en bord de mer, c'est MON jour et je le célèbre vraiment !
J'ai reçu de très gentils messages dont l'un de quelqu'un qui compte encore beaucoup pour moi et avec qui je n'avais plus discuté depuis 9 mois. Le second venait d'un ancien crush, qui vit au Brésil et qui, bien qu'il ne soit sur aucun réseau social, c'est souvenu de la date. Il dit que je suis inoubliable. Nous ne nous sommes pourtant jamais rencontré. Mais c'est toujours agréable de savoir qu'on laisse un bon souvenir à ceux qui ont croisé nos vies, s'y sont arrêté un moment avant de reprendre leur route.
Je sais qu'il ne restera pas grand-chose de moi après mon passage sur cette terre. Et peu importe. L'important c'est ce qui j'y laisse de mon vivant. Alors, belle année de mes 56 ans, moi-même !!
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chifourmi · 2 years
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Honnêtement j'ai l'impression que je vais vivre seule toute ma vie. J'arrive pas à me rapprocher des neurotypiques sans être mal à l'aise. Ça fait grave prétentieux de dire ça sauf que dans l'équation le problème c'est moi. J'ai l'impression de faire tache. Je ne sais pas comment expliquer mais j'ai l'impression que le monde est harmonieux, que la vie se passe de manière fluide mais quand moi je suis là, je casse complètement le rythme. Les gens paraissent tellement naturels dans tout ce qu'ils font, puis y a moi quoi. J'arrive même pas à imaginer que ça puisse changer. Je ne sais pas comment faire en fait. C'est comme si j'avais un retard énorme à rattraper parce que tout le monde est loin devant moi. Je dois tout le temps faire des efforts pour des choses qui sont simples pour tout le monde et ça me casse les couilles de subir ma vie à ce point. Puis en vrai j'en ai marre de me plaindre parce que c'est chiant d'être h24 négative mais je peux pas m'en empêcher parce que ça va pas et je peux pas faire semblant. Puis même le fait d'aller voir un.e psy, je vois pas à quoi ça sert. Avant je conseillais à tout le monde de le faire mais honnêtement est-ce que ça a déjà vraiment aidé quelqu'un? Sur le moment ça fait du bien de se confier mais qu'est ce que ça apporte de concret ensuite? C'est comme si on mettait un pansement trop petit sur une blessure énorme.
J'arrive juste pas à avancer et je comprends pas ce qui bloque concrètement parce que j'ai envie mais ça marche pas. Je croyais que mon voyage au Canada allait tout changer mais c'était juste une parenthèse et le mal-être n'en n'est pas une.
En ce moment le seul espoir que j'ai c'est d'avoir un fichu diagnostic pour mettre des mots sur ce que je vis et en quelque sorte légitimer mon mal-être.
(21/03/2023)
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pauline-lewis · 9 months
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The Cassandra Cat de Vojtěch Jasný
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Donc l'année dernière je cherchais des films avec des chats pour un projet personnel et c'est cette année que Criterion décide de faire un temps fort "Cat Movies." Bon, je ne vais pas me plaindre car ça m'a permis de découvrir le doux et enchanteur Un jour un chat (The Cassandra Cat en anglais) de Vojtěch Jasný, cinéaste de la Nouvelle Vague Tchèque.       Le film raconte l'histoire d'un instituteur idéaliste qui cherche à stimuler la créativité et l'imagination de ses élèves et est en conflit avec son directeur, un homme austère passionné par la chasse et la taxidermie. Un jour, une troupe ambulante arrive, composée notamment d'un magicien et d'une mystérieuse femme vêtue d'une combinaison rouge et portant dans ses bras un chat affublé de lunettes de soleil. Pendant le spectacle, elle les retire de la truffe du félin et tous les habitants du village se voient affublés d'une couleur selon leurs particularités : amoureux·ses, menteurs·euses, voleurs·euses, infidèles… Le chat devient dès lors un danger pour l'ordre établi. Un danger qu'il faut donc éradiquer.     Alors oui, la présence d'un chat (sosie du mien) qui porte des petites lunettes de soleil garantissait déjà que j'allais aimer ce film. Mais j'ai aussi été éblouie par les séquences oniriques, et notamment celle du grand spectacle de magie, qui ressemblent à des scènes de comédie musicale, où les personnages peints de différentes couleurs se lancent dans des danses folles. J'ai ressenti devant ce film ces frissons de joie si particuliers que font naître en moi les grandes comédies musicales (les explosions de couleurs sont très Minnelli-esque).       Mais ce que j'ai préféré, je crois, c'est la place accordée aux enfants. Des enfants qui font la grève, à qui on rend leur agentivité en leur donnant un pouvoir inédit. Ce sont ces enfants-là qui comprennent instinctivement qu'il faut protéger les animaux, les rêveurses et les anarchistes. Il y a une scène magnifique dans laquelle iels recouvrent la petite ville de dessins.     On arrive à ce film par le félin qui porte des lunettes et on reste pour la magie, pour l'espoir, pour les couleurs et pour le souffle si précieux, si doux aussi, de l'imagination.
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