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#malades/handicap
vabazeri · 1 month
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Digression-2
C'est ça de vieillir ? De prendre en age ? D'avoir la sensation que nous somme entouré de cons et ne plus avoir patiente de grand choses ? Ou c'est juste moi qui suis à bout de ma propre patiente et, potentiellement, à bout de ma foi en l'humanité ?
Le truc c'est qu'il y a beaucoup de personne avec qui j'ai des débats incroyables, sur des sujets hyper variés, ou tout le monde est heureux de parler et d'exposer sont point de vus sans lever la voix, sans jugement...
Et au milieu parfois j'ai jean-Michel égocentrique qui se pointe, avec l'agilité et la discrétion d'un pachyderme, pour imposer sa vision tel un petit panzer franchissant les frontières ennemies, car il semble avoir la science infuse (à ses dire). Eh puis alors j'en ai PARTOUT des cas comme ça, sur TOUS les sujets !
Vous en voulez quelques uns ? Allez, exemple :
"Faire stériliser sont animal de compagnie c'est barbare et c'est une mutilation inutile de l'homme pour contraindre l'animal aux coutumes modernes. Le problème des espèces invasive, comme le chat par exemple, c'est la domestication. Si ont ne fait rien, la nature ce régule d'elle même, donc arrêter de les nourrirs, de les faire stériliser et de les prendre chez vous. " (celon cette personne" la roue de voiture" est un prédateur naturel du chat)
À : oh tu connais pas B ? Va y essaye ! / B : ah oui merci ! / C : moi aussi je peu le faire regarde ! (le fait)/ A : non mais C, tu connais déjà, laisse les autres essayer aussi non ? (situation qui boucle environs 15 fois sur 1h - je le traduit par "eh ! Je suis le plus fort regarde moi", épuisant)
"si vous êtes malade ou avec un handicap c'est parce que vous n'avez pas su placer vos priorités aux bons endroits. Vous n'avez pas assez pris soin de votre santé donc c'est de votre faute." (très très grosse pensée aux diverses personnes avec un handicap et/ou maladie à vie/ longue durée, qu'elle soit physique ou mentale, qui ont absolument rien demander et qui lutte comme des acharnés au quotidien avec ça pour vivre décemment, le plus en autonomie possible et dignement.)
Bon, je pense que vous avez déjà l'idée du nombre de points qui se contredises et la bêtises de certaines réactions/ propos parfois. Comme si, beaucoup n'avaient pas fini de grandir et s'amusaient encore à des caprices d'enfants. Je pense que j'ai vraiment plus la patience pour ses personnes là. Et pire encore, j'arrive même plus à les tolérer. Elles sont bien trop energievore.
*oui, ses discussions sont toutes 100% vraies aussi lunaire paraissent-elles.
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zorume-star · 2 months
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GRÈVE DE LA FAIM D’UNE USAGÈRE DE LA PSYCHIATRIE EN COLÈRE, EXTÉNUÉE MAIS PAS (DU TOUT) À COURT D’ESPOIRS
REVENDICATIONS
Liste complète sur g1graine.fr !
B/ ️ POUR LA NEURODIVERSITÉ, LA FIN DES DISCRIMINATIONS, L’INCLUSION DE TOUS-TES : “Rien sur nous sans nous”
🔎 Constat : les personnes neurodivergentes / en situation de souffrance psychique sont encore bien trop souvent stigmatisées par la société. Les associations censées défendre leurs droits sont pour une grande partie d’entre elles tenues par des aidant-es et non pas par les personnes directement concernées, Au même titre que les autres oppressions, la psychophobie se cumule avec d’autres systèmes de domination : seule une approche intersectionnelle globale est en mesure d’aider toutes les personnes directement concernées sans distinction, sur des principes d’égalité.
🎯 Objectifs : il faut impérativement changer les représentations et discours sur la neurodiversité pour qu’ils cessent de stigmatiser, voire d’inciter à la haine. Les personnes directement concernées par les problématiques de santé mentale doivent rester unies et solidaires dans les luttes pour leurs droits, malgré les tentatives de séparation entre “bons” et “mauvais” malades, les hiérarchisations, etc. La société dans toutes ses parties et dans tous les domaines doit favoriser l’inclusion des personnes neuroatypiques / en situation de handicap psychique / souffrant de troubles psychiques.
☑️ A mettre en place
Reconnaissance des discriminations psychophobes comme des délits discriminatoires 
Sensibilisation de toute la société et tout le corps médical ainsi que la police (avec formations obligatoires) sur les violences exercées sur les personnes en situation de handicap psychique
Création de campagnes de prévention et d’information inclusives sur la santé mentale et contre la psychophobie (faites par les personnes directement concernées elles-mêmes)
Meilleure éducation sur le sujet par les personnes directement concernées à toutes les échelles de la société (école, travail, culture, médias…)
Fin de la pathologisation des personnes queer (trans, non-binaires, homosexuelles, bi, pan, asexuelles, intersexes, etc)
Prise en compte des dynamiques intersectionnelles dans les violences psychophobes et dans la prise en charge en santé mentale en général (par exemple : inégalités quand on est une femme, quand on est racisé-e, etc dans l’accès aux diagnostics et leur attribution)
Prise en compte de la parole des psychiatrisé-es/neuroatypiques lorsque sont signalées des VSS (violences sexistes et sexuelles)
Meilleur accompagnement des personnes psychiatrisées souhaitant devenir parent-es (fin de l’omerta sur cette question de la parentalité chez les personnes psychiatrisées, meilleur accès à l’information et arrêt des entraves plus ou moins implicites dans le processus)
Meilleure représentation des personnes handicapées dans tous les domaines de la vie publique et professionnels (y compris en politique et dans les médias)
Mise en place d’un système scolaire inclusif pour les personnes neuroatypiques ou ayant des problématiques en santé mentale
Abolition de la mise sous tutelle et de la privation de capacité juridique (cela doit être remplacé par un système assisté pour permettre aux personnes directement concernées de faire leurs propres choix)
Gestion plus participative des MDPH, en incluant des personnes directement concernées dans les décisions et les administrations 
Arrêt des discours eugénistes sur les handicaps psychiques
Remise en question profonde du diagnostic HPI, des tests de QI, de l’étiquette empruntée à la médecine nazie “Asperger” ; fin des hiérarchisations des personnes sur la base d’une prétendue “intelligence” (toujours très mal définie ou trop restrictive au demeurant) ou sur l’utilité sociale
Arrêt des distinctions plus ou moins tacites entre les “malades légers” et les “malades sévères/profonds/irrécupérables”
Arrêt des représentations édifiantes, fétichisantes, paternalistes, dévalorisantes, déshumanisantes, diabolisantes du handicap psychique
Meilleure aide à l’enfance et prise en compte des violences intra-familiales qui se déploient de manière systémique dans toute la société 
Plus d’inclusion des personnes directement concernées dans les processus de soins, les établissements de santé, les métiers de la santé mentale
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Toutes les revendications → https://g1graine.fr/ Signe la pétition → https://www.change.org/p/pour-la-neurodiversit%C3%A9-la-sant%C3%A9-mentale-et-une-grande-r%C3%A9forme-de-la-psychiatrie
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Nous savions qu’elle était malade et qu’elle souffrait de spasmophilie. Mais, récemment, les médecins lui ont diagnostiqué une maladie rare : le syndrome de l’homme raide.
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Une maladie qui n’a pas de traitement, seuls les symptômes peuvent être soulagés. Ainsi, comme pour toutes les personnes souffrant de handicaps invisibles, Céline Dion doit vivre avec ce syndrome et en subir les lourdes conséquences sur sa vie et sa carrière. Céline Dion avait d’ailleurs dû annuler de nombreux concerts en raison de sa santé vacillante.
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January 9 2023
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loomoffateleprojet · 1 year
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De Valefor
FAMILLE ROYALE SANG PUR / ROYALISTES | ANTI-SECRET MAGIQUE
Nom de famille issu d'un démon issu des croyances de la goétie, il serait l'un des Duc des Enfers. Nul ne sait où s'arrête le mythe, le fait est que les rois de France Moldu les craignaient comme le diable en personne.
Sur le trône obscur de France, fait d'obsidienne depuis leur querelle avec Morgane le Fay, c'est en 458 qu'est fondé le Royaume Magique de France. Un accord avec les Mérovingiens à l'époque. On dit que les Valefor ne sont pas pour rien dans la disparition successive des dynasties moldues. Vétéran dans l'art de la magie noire, ils sont fidèles à la sinistre réputation qu'ils véhiculent. Mais, ils sont à la fois bienveillants envers leurs sujets, et sans pitié envers toutes personnes qui ne leur est pas loyales. Rois généreux avec leur peuple, souvent décimés mais jamais la lignée ne s'est éteinte.
L'obscure magie fait partie de leur apprentissage. Officiellement, ils ne le font plus depuis la révolution, mais l'art de la magie noire est appris dès que les portes sont closes. Leur passé et leur présent teinté de magie noire, de tentative de malédiction fait des Valefor des Rois Maudits. S'il n'est pas prouvé qu'ils sont porteurs d'une malédiction du sang comme les Romanov, ils possèdent pourtant nombres de malheur les frappant aléatoirement à chaque génération. On dit que l'on joue à pile ou face si un Valefor sera heureux et en bonne santé, ou s'il sera malade et vivre une vie de désespoir. Folie, maladie inexpliquée, handicap… Le mystère reste entier.
A la Révolution, ils doivent leur salut à la famille Kama qui a défendu avec ardeur leur droit et leur a conseillé de s'incliner devant le Ministère des Affaires magique, sauvant une partie de leurs privilèges et les assurant de garder leur tête sur leurs épaules. Acceptant de devenir une monarchie semblable à celle de l'Angleterre moldu, ils perdent nombre de soutien, et s'isolent de plus en plus du pouvoir. Roi d'apparat, roi de pacotille. Chaque Roi de cette maison a choisi un nom de règne issu de l'Ars Goetia qui liste 73 démons. Le roi actuel est Byleth VI, de son vrai nom Aristide de Valefor. Il y a un an de cela, la préférence masculine pour le trône a pris fin dans l'un des décrets votés par le Sénat. Nul ne sait si la princesse amenée à régner choisira de poursuivre cette tradition. Si elle parvient toutefois à se hisser sur le trône d'obsidienne.
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Résumé du livre Être proche-aidant de Rosette POLETTI
Résumé du livre Être proche-aidant de Rosette POLETTI
Résumé du livre Être proche-aidant de Rosette POLETTI Résumé du livre Être proche-aidant c’est apprendre à danser sous la pluie  de Rosette POLETTI. Par le biais du livre Être proche-aidant c’est apprendre à danser sous la pluie, Rosette POLETTI nous explique comment prendre soin de soi sans culpabiliser, quand on s’occupe d’un proche malade, âgé ou en situation de handicap. Elle nous permet de…
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valloninfo · 18 days
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Le week-end dernier, l'équipe des moins de 18 ans du TC VDT s'est rendue à Berne pour affronter le club de Wander lors du premier tour des finales d'Interclubs juniors. Le défi était de taille, d'autant plus que l'équipe était réduite à trois joueurs seulement, en raison de l'absence de Matheo Kull, malade. Cette absence a automatiquement entraîné la perte par forfait de deux des six matchs, plaçant les jeunes joueurs sous une pression intense. Malgré ce handicap, Thibault Zehnder (R5), Mirco Claudio (R6) et Bastien Kull (R8) ont relevé le défi avec brio. Chacun d'entre eux a remporté son match en simple, montrant une grande maîtrise et une combativité exemplaire. Le duo Thibault-Mirco a ensuite assuré en double, permettant à l'équipe de s'imposer 4 à 2 contre Wander. Cette victoire leur ouvrait les portes du deuxième tour des finales. Un renfort bienvenu mais une opposition redoutable Le lendemain, dimanche 1er septembre, l'équipe du TC VDT, renforcée par Aïdan Baillods, un talentueux joueur des 15&U, a de nouveau pris la route du canton de Berne, cette fois en direction de Wohlensee. Face à une équipe locale plus expérimentée et mieux classée, les jeunes Vallonniers ont livré une bataille acharnée, mais ont finalement dû s'incliner 5 à 1, leur unique point étant obtenu par forfait. Malgré la défaite, la performance de Thibault et Bastien en double a été particulièrement remarquée. Opposés à deux joueurs classés R5, ils ont livré un match serré, ne cédant qu'au super tiebreak sur le score de 7:5 1:6 12-10. Ce résultat, bien que décevant, témoigne de leur persévérance et de leur talent. Un parcours remarquable et un engagement exemplaire Le TC VDT se montre fier du parcours de ses juniors, qui ont su démontrer tout au long de la saison un niveau de jeu élevé et une forte cohésion d’équipe. Bien que l’aventure en finale se soit arrêtée au deuxième tour, les jeunes joueurs peuvent se targuer d'une année riche en succès. Ils ne tarderont pas à revenir sur les courts, non pas en tant que compétiteurs cette fois, mais en tant qu’arbitres lors du tournoi juniors qui se tiendra le samedi 7 septembre. Cet engagement envers leur club montre une fois de plus leur dévouement et leur passion pour le tennis, à la fois sur et en dehors des courts. Le TC VDT peut compter sur ces jeunes talents pour porter haut les couleurs du club dans les saisons à venir.
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yes-bernie-stuff · 19 days
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Lundi 2 septembre 2024
La blessée, je la banderai, et la malade, je la fortifierai. Ézéchiel 34. 16
Le Seigneur se tint près de lui et dit : Aie bon courage. Actes 23. 11
Jésus, c’est lui mon courage
Ce 26 janvier 2018, Christine, 16 ans, traverse le quartier Bab Touma à Damas avec des amies, quand soudain les obus tombent par centaines. Les sirènes des ambulances résonnent dans toute la ville, et les blessés ne cessent d’affluer dans les hôpitaux. Parmi eux se trouve la jeune lycéenne. Immobilisée depuis bientôt cinq mois, Christine témoigne de ce qu’elle a vécu.
– Les premières heures étaient horribles… Une fois arrivée à l’hôpital, je commençai à me rendre compte de la chance que j’avais d’avoir survécu, même s’il me manquait une jambe. Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire malgré la douleur, et j’ai commencé à prier Dieu que je sois la dernière victime de ces mortiers… et qu’il pardonne à ceux qui les ont tirés.
– Si on ne pardonne pas, on ne peut pas vivre avec autrui, reconnaît son père.
– Au fond de moi, je sens comme une force qui me fait supporter ce malheur, une force surnaturelle. C’est la présence et l’amour du Christ.
– Notre fille est très courageuse, témoigne sa mère. C’est elle qui nous donne la patience.
– Je me dis, continue Christine, que Dieu m’a privée de ma jambe pour me donner quelque chose de plus précieux : une nouvelle vie et sa présence à mes côtés. Jésus, c’est lui mon courage, et ça me suffit.
Malgré son handicap, Christine reste résolument tournée vers l’avenir.
– Début septembre, je reprends le chemin du lycée. À la rentrée, j’aurai ma première prothèse et je pourrai marcher de nouveau.
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christophe76460 · 19 days
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Lundi 2 septembre 2024
La blessée, je la banderai, et la malade, je la fortifierai.
Ézéchiel 34. 16
Le Seigneur se tint près de lui et dit : Aie bon courage.
Actes 23. 11
Jésus, c’est lui mon courage
Ce 26 janvier 2018, Christine, 16 ans, traverse le quartier Bab Touma à Damas avec des amies, quand soudain les obus tombent par centaines. Les sirènes des ambulances résonnent dans toute la ville, et les blessés ne cessent d’affluer dans les hôpitaux. Parmi eux se trouve la jeune lycéenne. Immobilisée depuis bientôt cinq mois, Christine témoigne de ce qu’elle a vécu.
– Les premières heures étaient horribles… Une fois arrivée à l’hôpital, je commençai à me rendre compte de la chance que j’avais d’avoir survécu, même s’il me manquait une jambe. Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire malgré la douleur, et j’ai commencé à prier Dieu que je sois la dernière victime de ces mortiers… et qu’il pardonne à ceux qui les ont tirés.
– Si on ne pardonne pas, on ne peut pas vivre avec autrui, reconnaît son père.
– Au fond de moi, je sens comme une force qui me fait supporter ce malheur, une force surnaturelle. C’est la présence et l’amour du Christ.
– Notre fille est très courageuse, témoigne sa mère. C’est elle qui nous donne la patience.
– Je me dis, continue Christine, que Dieu m’a privée de ma jambe pour me donner quelque chose de plus précieux : une nouvelle vie et sa présence à mes côtés. Jésus, c’est lui mon courage, et ça me suffit.
Malgré son handicap, Christine reste résolument tournée vers l’avenir.
– Début septembre, je reprends le chemin du lycée. À la rentrée, j’aurai ma première prothèse et je pourrai marcher de nouveau.
la bonne semence
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miroir-de-sports · 28 days
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Vélo pour tous
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Dans le cadre des parcours du cœur qui se sont déroulés à Couternon, la Commission des Personnes en situation de handicap a accueilli des adhérents de l’association SEP 1 plus, structure qui accompagne des malades atteints de sclérose en plaques, évalués à 3000 en Côte d’Or. Notre objectif est de leur faire vivre ou revivre des sensations équivalentes à celles ressenties à bicyclette.
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Avec nos vélos spéciaux et accompagnés d'un deux-roues et d'un tandem, nous avons qualifié cette randonnée a posteriori de CID, Cyclo Inclusion Découverte. Car des découvertes il y en a eu le 11 mai et nous en tirons de premiers enseignements pour les prochains rendez-vous.
Première découverte, les véhicules utilisés sont étranges parce qu'ils sont adaptés au transport de personnes et parce qu'on ne pédale pas comme sur un vélo classique ; ils ont été pour partie loués à la société Colibrius : quatre tricycles VAN RAAM à assistance électrique dont un Vélo Plus équipé pour charger un fauteuil roulant et son passager ; en plus de cela, le tandem Club Dijonnais (TCD) a apporté son propre matériel, notamment un tricycle côte à côte doté d’un double système de pédalage à main et à pied et d’une batterie en fin de vie. Plusieurs pilotes ont été affectés aux cycles : Jean Louis Saugier, dirigeant de Colibrius, 3 membres du Codep, notre Président Jean Paul Martinet, Hervé Baudon, Philippe Bracon, et en soutien deux Beaunois du club de Montbard, Serge Neugnot, Roger Angevelle ; ensemble ils ont alterné avec réussite l'usage des différents matériels.
Deuxième découverte : on a vu que Serge et Alain, passager SEP 1 Plus du tricycle TCD, se sentaient pousser des ailes, multipliant leurs efforts pour compenser les aléas de leur monture défaillante.  
Troisième découverte : nous avons mesuré nos premiers temps de référence d'une randonnée C I D ; la première randonnée, un aller-retour à Arc-sur-Tille, fut réalisée avec un temps de 40 minutes pour 9 km parcourus (pauses non incluses). La seconde randonnée fut exécutée en 36 minutes pour 8km500. En prenant en compte les utilisations des tests sur place et des nombreux essais sur le parking de la salle des fêtes, les tricycles du loueur disposaient d’une autonomie résiduelle de 60 %. 
Quatrième découverte : pour ceux qui en doutent encore, des personnes en situation de handicap peuvent pédaler, qui plus est lorsqu’elles ont un périmètre d’autonomie de 300 m à la marche ; si au cours de la première randonnée “c’était le paradis” pour Geneviève qui n’avait rien eu à faire sur le Vélo Plus, installée dans son fauteuil, la seconde randonnée fut un peu moins facile pour l’ancienne compétitrice de gymnastique qui s’exerça au pédalage du Fun2go avec Philippe comme pilote. 
Cinquième découverte :  le mot de la fin, “Nous partîmes moins de cent, mais par un prompt renfort, nous nous vîmes des centaines en arrivant au port, tant à nous voir pédaler avec un fier visage, les plus éprouvés reprenaient de courage”. 
A bientôt pour un prochain C I D. Le combat continue.   Avec un C.I.D vous ne direz plus jamais " Ô rage, Ô désespoir, Ô vieillesse ennemie".
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Assistantes de vie : Tout savoir sur ce métier au service des autres
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Dans un monde où la population vieillissante et les personnes en situation de dépendance sont de plus en plus nombreuses, le rôle des assistantes de vie devient crucial. Ces professionnelles dévouées assurent non seulement les soins quotidiens, mais apportent également un soutien moral et une présence rassurante aux personnes vulnérables. Leur vocation va bien au-delà des simples tâches ménagères ou médicales : elles incarnent un véritable lien social et une source de réconfort. Aujourd'hui, nous mettons en lumière le métier d'assistante de vie, les compétences nécessaires, les défis rencontrés et les motivations qui poussent ces femmes et hommes à choisir une carrière dédiée au service des autres.
Qu'est-ce qu'une assistante de vie ?
Une assistante de vie, aussi connue sous le terme d'auxiliaire de vie sociale, est une professionnelle qui joue un rôle essentiel dans le soutien quotidien des personnes âgées, malades ou en situation de handicap. Son intervention permet à ces individus de maintenir une certaine autonomie et de continuer à vivre chez eux dans des conditions optimales. Mais au-delà de cette définition générale, le rôle de l'assistante de vie est bien plus vaste et complexe. Les responsabilités quotidiennes d'une assistante de vie L'assistante de vie est responsable de nombreuses tâches variées qui peuvent être regroupées en plusieurs catégories : - Aide à la vie quotidienne (AVQ) - Hygiène personnelle : Assurer la toilette, l'habillage et les soins corporels des personnes aidées. - Repas : Préparer des repas équilibrés, adaptés aux besoins diététiques et aux préférences des bénéficiaires, et parfois aider à les prendre. - Mobilité : Aider aux déplacements à l'intérieur et à l'extérieur du domicile, notamment pour prévenir les risques de chute. - Soutien moral et social - Compagnie : Offrir une présence chaleureuse et attentive, écouter les préoccupations et les histoires de vie des personnes aidées. - Stimulation : Encourager la participation à des activités sociales, culturelles et de loisirs pour maintenir une vie active et réduire l'isolement. - Gestion du cadre de vie - Entretien ménager : Effectuer les tâches ménagères courantes pour maintenir un environnement propre et sain. - Courses et approvisionnements : Faire les courses nécessaires pour garantir que les bénéficiaires ont tout ce dont ils ont besoin. Créer une relation de confiance et de proximité avec les bénéficiants L'une des caractéristiques les plus importantes du travail d'une assistante de vie est la relation de confiance qu'elle établit avec les personnes qu'elle aide. Cette relation est souvent bâtie sur plusieurs années de service et repose sur la confidentialité, le respect et l'empathie. L'assistante de vie devient une figure de confiance, souvent considérée comme un membre de la famille, qui apporte un réconfort psychologique inestimable aux personnes aidées et à leurs proches. Les domaines d'intervention d'une auxiliaire de vie Les assistantes de vie interviennent dans divers contextes : - Domicile privé : La majorité des assistantes de vie travaillent au domicile des personnes aidées, permettant ainsi à ces dernières de rester dans un environnement familier et réconfortant. - Structures collectives : Certaines assistantes de vie exercent dans des structures telles que des maisons de retraite, des résidences pour personnes âgées ou des foyers pour personnes handicapées. L'importance de l'adaptabilité dans ce métier de service Chaque personne aidée est unique, avec des besoins spécifiques qui peuvent évoluer avec le temps. Une bonne assistante de vie doit donc faire preuve d'une grande adaptabilité et d'une capacité à s'ajuster rapidement aux nouvelles situations. Cela peut inclure l'apprentissage de nouvelles compétences pour répondre à des besoins médicaux particuliers ou la mise en place de nouvelles routines pour s'adapter aux changements de santé des bénéficiaires.
Pourquoi choisir le métier d'assistante de vie en 8 points ?
Le choix de devenir assistante de vie repose souvent sur des motivations profondes et variées, allant de la volonté d'aider autrui à la recherche d'une carrière enrichissante et humaine. Ce métier, bien que souvent exigeant, offre de nombreuses satisfactions personnelles et professionnelles. Comprendre pourquoi quelqu'un choisirait de devenir assistante de vie nécessite de plonger dans les motivations, les gratifications et les valeurs associées à cette profession. 1. La volonté d'aider les autres La motivation première pour beaucoup de ceux qui choisissent cette carrière est une véritable vocation pour l'aide et le soutien aux autres. Les assistantes de vie sont souvent animées par un profond désir de faire une différence dans la vie des personnes vulnérables. Cette volonté de servir et de prendre soin des autres est une force motrice puissante qui les pousse à s'engager dans ce métier. 2. Les aspects gratifiants du métier Le métier d'assistante de vie est intrinsèquement gratifiant à plusieurs niveaux. Voir les personnes aidées retrouver une certaine autonomie et une meilleure qualité de vie grâce à son intervention procure une immense satisfaction personnelle. Les témoignages de gratitude et les sourires des bénéficiaires sont des récompenses inestimables qui renforcent le sentiment d'accomplissement des assistantes de vie. 3. La relation humaine au cœur du métier L'un des aspects les plus enrichissants du travail d'assistante de vie est la relation humaine qui se tisse avec les personnes aidées. Cette relation de proximité, souvent construite sur la confiance et l'empathie, permet aux assistantes de vie de devenir des figures de soutien essentielles dans la vie des bénéficiaires. Cette dimension humaine et affective est une source de motivation continue pour les professionnelles de ce secteur. 4. Un métier aux valeurs humaines fortes Les assistantes de vie exercent un métier qui véhicule des valeurs humaines essentielles telles que la compassion, la patience et le respect. Ces valeurs sont au cœur de leur pratique quotidienne et sont souvent ce qui attire et retient les personnes dans cette profession. En choisissant cette carrière, les assistantes de vie s'engagent à défendre et à promouvoir ces valeurs dans leur travail. 5. Les opportunités de développement personnel et professionnel Devenir assistante de vie offre également des opportunités de développement personnel et professionnel. Les assistantes de vie peuvent acquérir une variété de compétences pratiques et relationnelles qui sont précieuses dans de nombreux aspects de la vie. De plus, il existe des possibilités de formation continue et de spécialisation qui permettent d'évoluer dans la carrière et de prendre des responsabilités accrues. 6. Un métier diversifié et stimulant Le quotidien d'une assistante de vie est loin d'être monotone. Les tâches variées et les situations changeantes requièrent une grande adaptabilité et garantissent que chaque jour apporte de nouveaux défis et de nouvelles expériences. Cette diversité rend le métier stimulant et évite la routine, ce qui peut être très motivant pour les personnes aimant les environnements dynamiques. 7. Témoignages de professionnelles De nombreuses assistantes de vie témoignent de la manière dont leur carrière a enrichi leur vie. Elles parlent de la fierté qu'elles ressentent à l'idée de contribuer positivement à la vie de leurs bénéficiaires et de l'attachement émotionnel qu'elles développent envers eux. Ces témoignages sont souvent remplis de récits touchants et inspirants, illustrant à quel point ce métier peut être profondément satisfaisant et significatif. 8. La reconnaissance sociale et familiale Enfin, choisir le métier d'assistante de vie apporte une reconnaissance sociale et familiale. Être perçu comme une personne dévouée et bienveillante renforce l'estime de soi et la valorisation par les proches. Cette reconnaissance est un facteur de motivation supplémentaire qui pousse les assistantes de vie à exceller dans leur travail.
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Quelles sont les compétences et qualités requises pour être une bonne assistante de vie ?
Pour exceller en tant qu'assistante de vie, il est essentiel de posséder un ensemble de compétences et de qualités spécifiques. Ces aptitudes ne se limitent pas aux compétences techniques, mais englobent également des qualités humaines et relationnelles qui permettent d'apporter un soutien complet et bienveillant aux personnes aidées. Compétences techniques et pratiques Les assistantes de vie doivent maîtriser un large éventail de compétences techniques pour répondre efficacement aux besoins quotidiens des personnes aidées. Cela inclut la capacité à réaliser des soins de base, tels que l'aide à la toilette, l'habillage et les soins d'hygiène personnelle. Elles doivent également être capables de préparer des repas équilibrés, en tenant compte des régimes alimentaires spécifiques et des préférences des bénéficiaires. De plus, les assistantes de vie doivent savoir administrer des médicaments, suivre des protocoles médicaux simples et utiliser correctement les équipements de mobilité et de soin. Compétences relationnelles et émotionnelles Au-delà des compétences techniques, les assistantes de vie doivent posséder des compétences relationnelles solides. La communication est au cœur de leur métier : elles doivent être capables d'écouter attentivement, de comprendre les besoins et les souhaits des personnes aidées, et de communiquer de manière claire et empathique. La capacité à établir une relation de confiance avec les bénéficiaires est essentielle, tout comme la capacité à gérer les situations de stress et à apporter un soutien émotionnel dans les moments difficiles. Les 3 qualités personnelles indispensables pour devenir auxiliaire de vie Certaines qualités personnelles sont particulièrement importantes pour les assistantes de vie. Parmi elles, l'empathie est sans doute la plus cruciale. La capacité à se mettre à la place des autres et à ressentir ce qu'ils éprouvent permet de fournir un soutien plus adapté et plus humain. La patience est également essentielle, car les assistantes de vie travaillent souvent avec des personnes qui nécessitent du temps et de l'attention pour accomplir des tâches quotidiennes. La discrétion est une autre qualité importante, car les assistantes de vie sont souvent témoins de moments intimes et doivent respecter la confidentialité des bénéficiaires. Qualité 1 : Adaptabilité et flexibilité Le métier d'assistante de vie demande une grande adaptabilité et une flexibilité à toute épreuve. Les situations et les besoins des bénéficiaires peuvent changer rapidement, et une bonne auxiliaire de vie doit être capable de s'ajuster à ces changements de manière fluide. Cela peut inclure l'apprentissage de nouvelles compétences ou l'adaptation à des horaires de travail variables. Une assistante de vie adaptable est mieux préparée à gérer les imprévus et à offrir un soutien continu et efficace. Qualité 2 : Capacité d'organisation L'organisation est une compétence clé pour les auxiliaires de vie. Elles doivent gérer leur temps de manière efficace pour s'assurer que toutes les tâches quotidiennes sont accomplies, tout en laissant de la place pour les imprévus et les urgences. Une bonne assistante de vie sait planifier les activités de la journée, coordonner les soins et les services nécessaires, et maintenir un environnement de vie propre et ordonné pour les bénéficiaires. Liste des compétences techniques essentielles - Soins d'hygiène personnelle : Toilettage, bain, habillage. - Préparation des repas : Cuisine adaptée aux besoins diététiques. - Administration de médicaments : Suivi des prescriptions médicales. - Utilisation des équipements de mobilité : Manipulation des fauteuils roulants, déambulateurs. - Suivi des protocoles médicaux : Surveillance des signes vitaux, application des soins simples. Qualité 3 : Engagement et motivation Enfin, l'engagement et la motivation sont des éléments fondamentaux pour être une bonne assistante de vie. Cette profession demande un dévouement total et une passion pour le service aux autres. Les auxiliaires de vie doivent être motivées par le désir de faire une différence positive dans la vie des personnes qu'elles aident. Leur engagement se traduit par une volonté constante d'améliorer leurs compétences, de rester informées des meilleures pratiques et de toujours offrir le meilleur soutien possible.
Comment devenir une assistante ou auxiliaire de vie ?
La formation des assistantes de vie est une étape cruciale pour garantir qu'elles disposent des compétences et des connaissances nécessaires pour offrir un soutien de qualité aux personnes en situation de dépendance. Ce processus de formation est conçu pour préparer les candidates à répondre efficacement aux divers besoins des bénéficiaires, tout en respectant les normes professionnelles et éthiques. Les voies d'accès à la profession Il existe plusieurs voies pour accéder au métier d'auxiliaire de vie, chacune offrant une combinaison de formation théorique et pratique. Les candidates peuvent suivre des parcours de formation initiale, tels que les diplômes d'État, ou opter pour des formations continues et des certifications spécifiques. Diplôme d'état d'accompagnant éducatif et social (DEAES) Le Diplôme d'État d'Accompagnant Éducatif et Social (DEAES) est l'une des principales qualifications pour devenir assistante de vie. Cette formation couvre un large éventail de compétences, allant de l'accompagnement des personnes dans les actes essentiels de la vie quotidienne à la participation à leur bien-être physique et psychologique. Le DEAES se divise en trois spécialités : l'accompagnement de la vie à domicile, l'accompagnement de la vie en structure collective, et l'accompagnement à l'éducation inclusive et à la vie ordinaire. Formations certifiantes et modules spécifiques Outre le DEAES, il existe de nombreuses formations certifiantes et modules spécifiques qui permettent d'acquérir ou de renforcer des compétences particulières. Ces formations sont souvent plus courtes et ciblées, offrant une spécialisation dans des domaines tels que les soins palliatifs, la prise en charge des personnes atteintes de maladies neurodégénératives, ou l'assistance aux personnes en situation de handicap. Voici quelques unes de nos formations pour vous perfectionner... Contenu et durée des formations pour devenir auxiliaire de vie La formation des assistantes de vie est structurée autour d'un contenu théorique et pratique. La partie théorique comprend des cours sur les aspects médicaux, psychologiques et sociaux du soutien aux personnes dépendantes. Elle couvre des sujets tels que les pathologies courantes, les techniques de communication, et les principes d'éthique et de déontologie. La partie pratique, quant à elle, est réalisée sous forme de stages en milieu professionnel. Ces stages permettent aux futures assistantes de vie de mettre en pratique les connaissances acquises en cours, de développer leurs compétences techniques, et de se familiariser avec le quotidien du métier. Les stages sont généralement réalisés dans diverses structures, telles que les domiciles des bénéficiaires, les maisons de retraite, et les établissements spécialisés. Liste des modules de formation essentiels - Module d'accompagnement dans les actes de la vie quotidienne : Techniques de toilette, habillage, alimentation. - Module de communication et relation : Stratégies de communication adaptée, écoute active, relation d'aide. - Module de participation à la vie sociale et citoyenne : Activités de stimulation cognitive et sociale, animation de groupes. - Module de soutien médico-psychologique : Connaissance des pathologies, techniques de soins de confort, soutien psychologique. - Module de sécurité et prévention : Prévention des chutes, techniques de manutention, gestion des urgences. Les exigences de formation continue d'une assistante de vie La formation ne s'arrête pas à l'obtention d'un diplôme initial. Les assistantes de vie sont encouragées à participer à des formations continues tout au long de leur carrière pour actualiser leurs compétences et se tenir informées des nouvelles pratiques et réglementations. Ces formations continues sont essentielles pour maintenir un haut niveau de qualité dans les soins et l'accompagnement offerts aux bénéficiaires. Elles couvrent des thèmes variés, allant des nouvelles technologies de l'assistance à domicile aux approches innovantes en matière de soins palliatifs. L'importance de l'accompagnement pédagogique Un aspect souvent sous-estimé mais crucial de la formation des assistantes de vie est l'accompagnement pédagogique. Les formatrices et formateurs jouent un rôle clé en fournissant un soutien personnalisé, en guidant les étudiantes à travers les défis de la formation, et en les aidant à développer leur identité professionnelle. Cet accompagnement inclut des évaluations régulières, des séances de tutorat, et des opportunités de réflexion sur les pratiques professionnelles.
Les défis du métier d'auxiliaire de vie
Le métier d'assistante de vie, bien que profondément gratifiant, présente également de nombreux défis. Ces défis peuvent être émotionnels, physiques et organisationnels, nécessitant une grande résilience et une adaptabilité de la part des professionnelles. Comprendre ces défis est essentiel pour apprécier pleinement la complexité de ce métier et pour soutenir adéquatement celles et ceux qui choisissent cette carrière. Défis émotionnels L'un des aspects les plus éprouvants du métier d'auxiliaire de vie est la charge émotionnelle. Travailler quotidiennement avec des personnes en situation de vulnérabilité implique de faire face à des émotions intenses, que ce soit la tristesse, l'anxiété ou la frustration des bénéficiaires. Les assistantes de vie développent souvent des relations profondes et personnelles avec les personnes qu'elles assistent, ce qui peut rendre difficile la gestion de la souffrance et du deuil. Elles doivent constamment jongler entre l'empathie nécessaire pour offrir un soutien de qualité et la nécessité de se protéger émotionnellement pour éviter l'épuisement professionnel. Défis physiques Le travail d'assistante de vie est également physiquement exigeant. Read the full article
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harriet-de-g · 2 years
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Lutte handie & justice sociale
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[Vous pouvez retrouver ce texte dans sa version imprimable ici !]
Récemment, j’ai posté ici la traduction du texte d’Hailey Hudson « Moving From Disability Rights to Disability Justice » : texte qui reprend les bases de ce que pourraient être les fondations d’un mouvement militant handi. Dans la réalité, le mouvement militant en France est resté longtemps bloqué à une autre époque, notamment dû au fait qu’il était majoritairement porté par des associations gestionnaires1.
Pour le dire autrement, les personnes qui ont pris en charge la lutte pour nos droits, sont les mêmes qui tirent profit de notre exclusion. Des thèmes comme le validisme ou les maltraitances en institutions sont alors quasi inexistants. Ces dernières années, avec la coordination que permet internet, on a vu émerger une nouvelle génération d’activistes portant des revendications plus radicales.
On parle de la fin des institutions, d’accessibilité universelle ou d’autodertermination. Ces positions existaient bien avant, notamment dans les mouvements anti-psychatrie, mais ont gagné une plus large audience et visibilité.
C’est pour votre bien,
Ces positions sont en France encore largement minoritaire, même parmi les associations de malades ou de leurs proches. L’institutionnalisation, donc l’enfermement, est encore considérée en France comme une pratique à promouvoir. Le fait qu’une autorité comme l’ONU dénonce leurs existences depuis des années, l’impact néfaste qu’elles ont sur ces occupantEs n’y change rien.
En effet, la lutte pour les droits des personnes handicapées (PA) a longtemps été porté à la fois par elleux-même mais aussi leurs proches et le corps médical. Les propos de ces derniers ont historiquement souvent plus de considérations médiatiques et politiques que les premierEs concernéEs. Il semblait difficile d’imaginer que les préoccupations de chaque groupe puissent être différentes, voire antagonistes. Encore aujourd’hui, peu de personnes valides se questionnent sur leur propension « à parler à la place de ». Elles considèrent connaître nécessairement mieux que les concernéEs leurs besoins. Une approche anti-validiste consiste à observer cette dynamique pour ce qu’elle est réellement : l’expression d’un rapport d’oppression.
En France, les problématiques ayant trait au handicap ont du mal à s’émanciper de la présence des structures médico-sociales. Elles peinent à être seulement considéré comme politique. De nombreux champs de justice sociale exclue de fait de potentiels militant·es handicapé·es : en ne considérant par leurs problématiques, en ignorant les enjeux d’accessibilité ou en reproduisant des comportements discriminatoires.
C’est en partie dû à une méconnaissance totale. Cependant, le fait que ces luttes ont, en France, historiquement été portés par des associations à portée médicales et caritatives, n’y est pas pour rien.
Les structures associatives liées au handicap sont souvent regroupées par pathologie comme L ‘APF2, l’AFM Téléthon3 ou l’Unapei4 pour ne citer que les + influentes. Pour ces associations, et les nombreuses autres fondées sur un modèle similaire, la lutte pour les PA se résume d’abord à lutter pour ses droits. Les demandes qui émanent de ses structures sont alors très spécifiques et dépassent rarement leurs enjeux propres. On parle financement de la recherche, place en établissements, centre de recherches dédiés, etc. Chacune lutte pour son petit pré carré, sans une critique de l’ordre social permettant l’exclusion.
Lutte en vase clos
Une des conséquences est que l’on y retrouve une population très homogène, qui peine à interroger les rapports de pouvoir en son sein. Si les choses commencent à évoluer, la plupart des militants reconnus dans le domaine partagent le même profil. Ce sont aujourd’hui encore des hommes, blancs, défendant avant tout leurs intérêts. De ce fait, les politiques en matière de handicap ont généralement ignoré les enjeux d’autres populations, comme les femmes ou les personnes raciséEs. L’assistance sexuelle, débat régulièrement remis sur la table, est un bon exemple. Ses arguments reposent sur des discours sexistes et souvent, au mépris des travailleureuses du sexe. Peu importe si un grand nombre d’entre elleux ont choisi ce métier car leur handicap ne leur permettrait pas d’exercer une activité professionnelle plus contraignante.
Le fait de mettre autant l’accent sur le droit a tendance à faire oublier qu’il ne protège pas tout le monde pareil. Non seulement, pour les questions de handicap, les textes de loi sont peu ou mal appliqués. Mais la capacité à faire valoir ces droits dépend énormément de votre place dans la société. Le fait de passer principalement son énergie sur des points légaux empêche aussi d’imaginer des alternatives qui bénéficierait à tout·es.
Car la réalité est que si certainEs luttent pour une meilleure législation, d’autres en sont encore à lutter pour le droit d’exister sans la peur permanente de subir des violences. Les difficultés liées à l’errance médicale, le refus de soin, les violences institutionnelles sont des sujets peu abordés. Quand ils le sont, c’est souvent de façon anecdotique, ou sous la forme de témoignages dépolitisés. Or, on sait que ces problématiques touchent davantage les populations marginalisées.
Du fait d’une population peu diversifiée, les espaces de luttes handies peinent à être réellement accueillants pour d’autres réalités. Cela va parfois avec un désintérêt pour d’autres questions sociales. Pourtant, le fait d’être handicapéE n’empêche en rien l’expression d’autres privilèges. Cela demande une réelle analyse des dynamiques internes. Sans cela, les luttes handies se privent d’apports conséquents et de la possibilité de créer des ponts. Comment, en effet, se retrouver dans un mouvement disant défendre les droits de PA dans leur ensemble, tout en invisibilisant une part importante de sa communauté ?
Explorer les alternatives
Disons ici que le but est d’améliorer le sort de toutes les personnes handies, (pas seulement le sien et celui de celleux qui nous ressemble). Passer d’une logique de lutte pour des droits à celle d’une lutte anti-validiste pourrait la première étape. Pragmatiquement, cela commence par le fait de reconnaître que le handicap n’est pas un bloc monolithique. Nombreuses sont les intersections possibles avec d’autres formes d’oppressions. Non contentes de pouvoir exister ensemble, elles interagissent et se renforcent souvent mutuellement. Il n’est par exemple pas rare de pouvoir tisser un lien historique sur l’évolution conjointe du racisme et validisme.
Il est nécessaire d’inclure l’expérience de la multitude, et de créer des espaces qui permettent réellement leur accueil. Ça passe notamment par le fait de créer des outils de politisation à destination du plus grand nombre, sur une logique d’accessibilité universelle5.
À l’intérieur même de nos luttes, il y a aussi urgence à sortir d’une logique productiviste, et donc foncièrement validiste. La valeur d’une contribution ne devrait pas uniquement se mesurer, à la quantité de temps ou d’énergie dépensée. Cela disqualifiant celleux qui n’ont simplement pas les ressources de faire plus. On pourrait ainsi cesser de mettre autant l’emphase sur les plus académiquement valorisé·es pour remettre au centre les plus impactéEs.
S’interroger sur ce qui a permis, la persistance du validisme passe obligatoirement par le fait de revoir son rapport au capitaliste. Oui, je le redirai autant que nécessaire, il n’est pas possible de démanteler l’un sans l’autre. Dans les faits, cela implique la possibilité de convergences avec d’autres mouvements sociaux. Avec cette remise en question, vient la possibilité d’un partage de savoir, qui bénéficie en réalité à toustes.
Il n’est à mon sens pas possible d’être anti-validiste, de critiquer les institutions d’enfermement6 tout en défendant le système carcéral (sans voir les liens évidents). Ou de lutter pour un meilleur accès aux soins médicaux tout en soutenant des politiques libérales. La base de la Justice pour Toutes les Personnes Handicapées est toujours : plus de justice sociale pour toustes ; pas la protection de ses maigres privilèges aux dépens des autres.
1 Une association gestionnaire est une structure exerçant une activité économique souvent à but social/humanitaire dont le but premier reste de générer du profit. Dans le cadre du handicap, cela prends généralement la forme de centre médicaux sociaux, ou de service à la personne.
2 Association des paralysés de France,
3 AFM Téléthon : Associations des familles de malades génétiques à l’origine d’un appel national au don annuel.
4 Unapei : associations gestionnaires d’établissement fondés par des « parents d’enfants en situation de handicap intellectuel et cognitif. »
5 Le plus grand nombre ne fait pas référence à une large audience, mais à sa diversité, en gros faire des contenus en prenant en compte les besoins d’accessibilité diverses (sous-titre, contenu audio, texte facile à lire et à comprendre,...). Partager du contenu dit anti-validiste sans penser au texte alternatif étant un bon exemple de pratique contradictoire
6 Je parle ici de Centre médico-sociaux, hôpitaux psychiatriques, ESAT (Établissement et service d’aide par le travail),…
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gazoducs87 · 4 months
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Je voulais juste vous dire une chose par rapport à ceux qui sont plus faibles que nous ( de nature - par le handicap - la vieillesse ou un accident de vie ou l’espèce - la race - les origines - la corpulence ).
J’ai récemment adopté une petite chienne elle pèse 4,5kg ... autrement dis elle est juste un ou deux kilo de plus qu’un chihuahua... donc elle est est aussi très petite et ce , malheureusement, par le biais de modification génétique où on veut un chien de race , un chien dont on a à choisit la taille ou la tache à accomplir à la maison.
Les pinsher au départ n’etait pas «  NAIN » il était en Allemagne tel le chat élevé pour éliminer les rongeurs autour des maisons. Bien qu’ils aient un mordant incroyable et de belles canines ce ne sont pas des chasseurs de nature.
Tous ce qu’elle aime elle c’est jouer et aussi protéger la maison ( c’est le rôle de tous le chien).
Pour en revenir à sa petite taille.
Je me rend compte qu’en l’adoptant elle est seule avec quelqu’un qu’elle ne connaît pas ... au départ elle a peur elle tremble ... je pourrai l’egorger la tuer là jeter dans l’eau bouillante l’écraser l’étrangler ou la jeter par la fenêtre et ce ne serait pas considéré comme un crime car c’est juste un animal rien d’autre. Aussi la violer.
Ça m’a rendu très triste j’ai pensé à tout ceux qui contrairement à elle n’ont pas eut la chance de tomber sur un foyer où on leur veut du bien.
Soit maltraiter au pire ... au mieux abandonné et récupérer par les services sociaux avec 50% de chance d’être euthanasier ... j’en ai beaucoup pleurer et la encore j’ai les larmes aux yeux .
Svp soyez bon avec les animaux et si vous ne pouvez pas l’être faites les adopter comme ce fut le cas pour CHERIL .
Je suis tout à fait reconnaissante de la dame qui a honnêtement dis qu’elle n’en voulait pas car elle est trop occupé avec son mari malade.
Un chien c’est du temps et de l’argent. Et le chemin ensemble doit être pavé d’amour pas de négligence , d’incompréhension , de mal traitance.
Croyez moi dans la vrai vie un chien nést pas aussi docile que veulent bien le prétendre les vidéo YouTube.
Ils refusent de faire caca ou on leur a dis
N’aime pas se prôner quand nous on et vice versa
Veulent pas qu’on leur brosse les dents ou qu’on les shampoine et tout ça on le fait et pour eux c’est à contre coeur mais ils acceptent car ça fait partie de leur éducation de savoir que c’est pour leur bien.
Car un chien peut avoir des carries - des abcès dentaires - des puces et des tiques , des pattes sales à forces de marcher et de sentir la crottes des autres et aussi avoir des ongles incarnés et qui s’infectent si on ne les coupent pas.
Tél un ami ou un enfant ou vous même ne négliger pas leur santé
J’ai souscrit à santé VET!! Je vous recommande ;)
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vracimages · 5 months
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Forrest Gump
L'histoire commence dans les années 1950 en Alabama (USA). On découvre un petit garçon qui vit seul avec sa mère. Il est harcelé par les autres enfants, car il doit porter des orthèses qui l'empêchent de marcher correctement. Mais cette démarche étrange tape dans l'oeil d'un jeune chanteur qui rend ce déhancher célèbre, c'est Elvis Presley. Une petit fille, Jenny, prend un jour la défense de Forrest et deviendra sa meilleurs amie. Jenny vit avec son père dans des conditions misérables et elle est souvent maltraitée. Forrest découvre qu'il est capable de courir très vite un jour ou il tente d'échapper à des enfants et qu'il casse ses orthèses dans la course. Grace à ce don, il sera admis à l'université, bien que son QI soit très faible. Il devient un joueur de talent dans son équipe de baseball, ce qui lui vaut de rencontrer le président J. Kennedy. A la fin de ses études, Forrest doit partir faire la guerre du Vietnam. Il en reviendra en héro après avoir sauvé plusieurs de ses camarades, dont son lieutenant, Dan, qu'il a éloigné du champs de bataille en le portant et en courant vite comme il sait le faire. Forrest se découvre ensuite un don pour le ping-pong, ce qui lui vaut d'aller en Chine affronter les plus grands champions. A son retour, il retrouve Jenny dans une manifestation contre la guerre au Vietnam où il se trouve mis en avant, alors qu'il ne faisait que passer dans le coin. Grace à l'argent que lui ont rapporté les tournois en Chine, il achète un bateau pour pêcher la crevette, comme il l'avait promis à son ami Boubba qui est mort au Vietnam. Le lieutenant Dan devient son associer et à cause d'un ouragan qui détruit beaucoup d'autres bateaux, Forrest et Dan font fortune. Dan investie l'argent dans une compagnie informatique et Forrest et lui n'ont plus besoin de travailler. Forrest retrouve Jenny et il ont une brève aventure avant que Jenny s'enfuie. Forrest a le cœur brisé et se met à courir sans but. Petit à petit d'autres personnes se joignent à lui, croyant que celui-ci à une mission. Puis un jour, Forrest est fatigué de courir et s'arrête et tous découvre qu'en fait, tout cela n'avait pas le sens qu'ils espéraient. Forrest rentre chez lui et il a la surprise d'y trouver Jenny et son fils, qui est aussi le fils de Forrest. Celui ci n'a aucun retard mental, ce qui soulage Forrest. Mais Jenny est très malade et meurt quelques mois plus tard. Forrest reste avec son fils dans la maison ou il a grandit et s'occupe de son enfant.
Tout au long de sa vie, Forrest nous démontre qu'on peut dépasser les difficultés même lorsqu'on est atteint d'un handicap. Il vite une vie simple, et sans le chercher il devient quelqu'un a qui il arrive des choses extraordinaires et qui rencontre des personnes célèbres.
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Maladies rares et Covid 19 : un cocktail explosif 10 déc 2020
Par : Dr Moussayer Khadija
Tags : sante, Covid-19, Maladies rares
L’Alliance des Maladies Rares du Maroc (AMRM) organise avec le soutien du Laboratoire Janssen le 12 décembre 2020 de 17h à 18h30 un Webinar sous le thème « Quel vécu des patients touchés par maladies rares en temps de Coronavirus ». Cette rencontre sera l’occasion de souligner l’ampleur de ces maladies et la problématique qu’elles posent au Maroc. Elle sera émaillée par des témoignages afin de sensibiliser sur ces maladies et sur les difficultés qu’elles présentent en ce temps de pandémie.
Des maladies rares mais de nombreux malades
Les maladies rares, anciennement appelées maladies orphelines, posent un problème majeur de santé publique au Maroc. L’absence de centres spécialisés et la non disponibilité de nombreux médicaments rendent leur prise en charge hasardeuse. L’épidémie du coronavirus complexifie davantage le vécu des malades déjà précaire à cause d’une difficulté accrue d’accès aux soins.
C’est un ensemble de maladies qui par définition touchent moins d’une personne sur 2 000.
Près de 8 000 sont déjà recensées et chaque année 200 à 300 sont nouvellement décrites. 5 % de la population mondiale serait concernée dont environ 1.5 millions de marocains. Un médecin rencontre dans sa pratique quotidienne plus ce type de maladies que de cas de cancer ou de diabète !
Très diverses, on peut en citer : la mucoviscidose, le vieillissement accéléré (progéria) ; la maladie des os de verre, le lupus ou la sclérodermie.
Les maladies rares au Maroc : un grand défi
Au Maroc, les malades atteints d’une maladie rare sont entrainés dans un parcours du combattant éprouvant. Pourtant, des solutions existent pour limiter les dégâts causés par certaines d’entre elles, c’est en particulier le dépistage systématique de tout nouveau-né.
C’est un geste d’une importance capitale : il permettrait par exemple d‘éviter un handicap certain causé par l’hypothyroïdie congénitale ou par la phénylcétonurie (un défaut d’assimilation d’un acide aminé, la phénylalanine) grâce respectivement à un traitement peu coûteux et à un régime alimentaire adéquat, commencés tous les deux dès la naissance.
Il est crucial de développer des centres de référence nationaux dédiés à chaque maladie rare ou groupe de maladies rares pour leur diagnostic et des centres de compétence locaux pour l’octroi des soins à proximité de la résidence des patients.
Maladies rares et Covid 19 : un cocktail explosif
L’impact de cette crise sanitaire sur les personnes concernées a été considérable. Le confinement, la fermeture de frontières ainsi que la coupure des liaisons entre les villes a entravé coup sur coup la mobilité des patients, leur approvisionnement en médicaments non disponibles au Maroc ainsi que leur déplacement vers les centres spécialisés. La crainte de contamination par le Covid 19 a été un frein supplémentaire pour se diriger vers les hôpitaux pour les soins médicaux habituels ou pour des interventions chirurgicales nécessaires entravant ainsi la continuité des Pharmacovigilance
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Comment devenir Aidant Expert : reconnaissance & impact du rôle
Introduction Vous faites partie des 11 millions de personnes en France qui prennent soin de leurs proches âgés, malades ou en situation de handicap. Vous êtes un aidant ou une aidante. Savez-vous que vous développez des compétences, des astuces, et mettez en place des stratégies pour réussir ? En partageant vos conseils pratiques avec d’autres, vous devenez un pair aidant, voire un aidant…
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yes-bernie-stuff · 6 months
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Tous Différents, Tous Pareils 21/03/2024
Dieu ne fait pas de favoritisme. Dans toute nation, celui qui le craint et qui pratique la justice lui est agréable. Actes 10.34-35
Aujourd’hui, c’est la journée mondiale de la trisomie 21. Devant ses copains de CE2 attentifs et sa maîtresse émue, notre petit-fils Thibault fait un exposé sur le handicap de sa précieuse petite sœur Amélie. Dans la classe de celle-ci, maîtresse et élèves arborent des chaussettes dépareillées, traduction visuelle du slogan si bienfaisant : « Tous différents, tous pareils ! »
Oui, nous sommes tous différents, de milieu pauvre ou aisé, en bonne santé ou bien malades ou handicapés, gavés d’amour dans une famille unie, ou bien rejetés, oubliés. C’est souvent tellement injuste, à en hurler, mais c’est la condition humaine dans un monde déchu.
Bonne nouvelle, nous sommes aussi tous pareils. Dieu nous avait créés à sa ressemblance. Et si nous avons dénaturé cette image du Créateur en nous, nous restons tous précieux à ses yeux, qui que nous soyons ! Il a un plan d’amour pour chacun, et il a payé le prix fort pour le réaliser : son Fils Jésus-Christ est venu endosser notre culpabilité sur la croix et nous réconcilier avec lui. Il transforme notre quotidien sur terre en nous comblant de son amour, quelle que soit notre situation. Et il nous prépare un avenir merveilleux et éternel auprès de lui, qui nous fera oublier les disparités actuelles.
Alors, n’hésitons plus à venir à lui !
Claude Schneider
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 13, versets 1 à 5.
1 En ce même temps, quelques personnes qui se trouvaient là racontaient à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec celui de leurs sacrifices.
2 Il leur répondit: Croyez-vous que ces Galiléens fussent de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont souffert de la sorte?
3 Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également.
4 Ou bien, ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuées, croyez-vous qu'elles fussent plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem?
5 Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également.
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