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#maux de dos
mskquebec · 4 months
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Phone: (418) 622-3371
Address: 1440 Rue Cyrille-Duquet # 205, Québec, QC G1N 2E5
''Nos médecins spécialistes, forts de nombreuses années d’expérience, sont activement impliqués dans l’enseignement universitaire. MSK Québec est d’ailleurs un milieu de formation accrédité recevant les futurs médecins de l’Université Laval. Nos médecins spécialistes disposent donc d’une grande expertise en réadaptation et en traitement des maladies touchant l’appareil musculo-squelettique. MSK Québec, en regroupant sous un même toit une clinique de physiothérapie et de médecine spécialisée, favorise la synergie des forces de son personnel afin de vous offrir des soins de qualité, adaptés à votre condition et permettant une récupération optimale. C’est avec plaisir que nous vous aiderons à récupérer suite à une blessure sportive, à un accident ou à une maladie qui pourrait être source de douleur ou entraîner des limitations fonctionnelles dans vos activités.''
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MAUX DE DOS ET HYPNOSE ? Hypnose DCS unique au monde
🌿💫 Si vous souffrez de maux de dos chroniques et souhaitez trouver un soulagement durable et naturel, l'hypnose réelle et professionnelle pourrait être la solution que vous recherchiez !
Grâce aux recherches scientifiques démontrant l’efficacité de l’hypnose dans la gestion et la réduction des maux de dos chroniques, de plus en plus de personnes dans le monde explorent cette pratique thérapeutique pour améliorer leur bien-être physique et mental. 🌍✨
Voici les déclarations de 3 personnalités célèbres qui ont partagé publiquement les bienfaits de l’hypnose dans le traitement des maux de dos chroniques :
1️⃣ Jennifer Aniston : "L'hypnose a été une véritable révélation pour moi dans la gestion de mes maux de dos chroniques. Elle m'a aidée à détendre mes muscles et à réduire la douleur de manière significative."
2️⃣ Hugh Jackman : "Après des années à souffrir de maux de dos chroniques, j'ai découvert que l'hypnose était la clé pour améliorer ma qualité de vie et retrouver un bien-être physique."
3️⃣ Gwyneth Paltrow : "L'hypnose a eu un impact extraordinaire sur mes maux de dos chroniques. Elle m'a permis de relâcher les tensions et de réduire les douleurs de manière naturelle et efficace."
Si vous recherchez également une approche thérapeutique innovante pour gérer les maux de dos chroniques et améliorer votre qualité de vie, considérez l’hypnose comme une option possible.
Consultez un hypnothérapeute expérimenté et commencez votre voyage vers un bien-être physique et mental optimal, sans douleur chronique. 🌿🌟
Si vous n'avez pas envie de vous promener dans les chapelles, téléchargez cet audio DCS unique intitulé :
PAS DE DOULEUR DE DOS (PAS DE CERVICAL)
https://claudiosaracino.com/prodotti/no-mal-di-schiena-cronico-no-cervicale-metodo-dcs/
#hypnose #mal de dos #bien-être #santé #célébrités #douleur #douleurschroniques #douleurs #cervicales #hypnosedcs #methodedcs #drclaudiosaracino
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mellosdrawings · 3 months
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When you need to declare your love to your wife but it is so strong you can't help but revert back to french.
You know the perk of being french ? I can write Rook rambling haha !
(Though I am incapable of writing poetry, so here is the poem I used and its approximate translation:
Je respire où tu palpites,
Tu sais ; à quoi bon, hélas !
Rester là si tu me quittes,
Et vivre si tu t'en vas ?
(I breathe where you throb, you know ;
What for, alas! stay here if you leave me, and live if you go away?)
A quoi bon vivre, étant l'ombre
De cet ange qui s'enfuit ?
A quoi bon, sous le ciel sombre,
N'être plus que de la nuit ?
(What good is living, being the shadow of this fleeing angel?
What for, under the dark sky, being from the night only?)
Je suis la fleur des murailles
Dont avril est le seul bien.
Il suffit que tu t'en ailles
Pour qu'il ne reste plus rien.
(I am the flower of your walls for which April is the only good.
You only need to leave for me to be left with nothing.)
Tu m'entoures d'Auréoles;
Te voir est mon seul souci.
Il suffit que tu t'envoles
Pour que je m'envole aussi.
(You surround me with Halos;
I care only about seeing you.
You need only to take flight for me to fly too.)
Si tu pars, mon front se penche ;
Mon âme au ciel, son berceau,
Fuira, dans ta main blanche
Tu tiens ce sauvage oiseau.
(Should you leave, my front/forehead shall lean ;
My soul in the sky, its cradle, will flee,
In your white hand you hold this wild bird.)
Que veux-tu que je devienne
Si je n'entends plus ton pas ?
Est-ce ta vie ou la mienne
Qui s'en va ? Je ne sais pas.
(What would I become, should I not hear your steps anymore?
Is it your life or mine that is fleeing ?
I cannot tell?)
Quand mon orage succombe,
J'en reprends dans ton coeur pur ;
Je suis comme la colombe
Qui vient boire au lac d'azur.
(When my thunder dies down, I take some from your pure heart ;
I am like the dove that just drank in the azur lake.)
L'amour fait comprendre à l'âme
L'univers, salubre et béni ;
Et cette petite flamme
Seule éclaire l'infini
(Love makes the soul understand the universe, healthful and blessed ;
And this lonely little flame shines upon the endless)
Sans toi, toute la nature
N'est plus qu'un cachot fermé,
Où je vais à l'aventure,
Pâle et n'étant plus aimé.
(Without you, all of nature is only a closed cell where I go on an adventure,
Pale and no longer beloved.)
Sans toi, tout s'effeuille et tombe ;
L'ombre emplit mon noir sourcil ;
Une fête est une tombe,
La patrie est un exil.
(Without you, everything falls apart ;
Shadows fill my dark eyebrow ;
A feast/party is a tomb,
The homeland is an exile.)
Je t'implore et réclame ;
Ne fuis pas loin de mes maux,
O fauvette de mon âme
Qui chantes dans mes rameaux !
(I beg and demand ;
Do not flee any longer from my pain,
O warbler of my soul who sings in my twigs!)
De quoi puis-je avoir envie,
De quoi puis-je avoir effroi,
Que ferai-je de la vie
Si tu n'es plus près de moi ?
(What could I want?
What could I be afraid of?
What would I do of life without you by my side?)
Tu portes dans la lumière,
Tu portes dans les buissons,
Sur une aile ma prière,
Et sur l'autre mes chansons.
(You carry in the light,
You carry in the bushes,
On a wing my prayers,
On the other my songs.)
Que dirai-je aux champs que voile
L'inconsolable douleur ?
Que ferai-je de l'étoile ?
Que ferai-je de la fleur ?
(What will I tell to the fields that hide my inconsolable pain?
What would I do of the star?
What would I do of the flower?)
Que dirai-je au bois morose
Qu'illuminait ta douceur ?
Que répondrai-je à la rose
Disant : " Où donc est ma soeur ?"
(What will I tell to the morose forest that illuminated your softness?
What will I answer at the rose asking "Where is my sister?")
J'en mourrai ; fuis, si tu l'oses.
A quoi bon, jours révolus !
Regarder toutes ces choses
Qu'elle ne regarde plus ?
(I would die ;
Flee if you dare.
What is the point, days gone! of looking at all those she no longer looks at?)
Que ferai-je de la lyre,
De la vertu, du destin ?
Hélas ! et, sans ton sourire,
Que ferai-je du matin ?
(What would I do of the lyre, of virtue, of destiny?
Alas! And, without your smile,
What would I do of the morning?)
Que ferai-je, seul, farouche,
Sans toi, du jour et des cieux,
De mes baisers sans ta bouche,
Et de mes pleurs sans tes yeux !
(What would I do, alone, wild, without you, of days and heavens,
Of my kisses without your lips,
And of my tears without your eyes!)
Il suffit que tu t'envoles pour que je m'envoles aussi - Victor Hugo
(You need only take flight for me to fly too))
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hedgehog-moss · 1 year
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do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours: 
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
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dorothea (part five of five) | h. targaryen
Description: Helaena hangs out in your hotel room for some 'classic sleepover.' Feelings come to life. Pairing: helaena targaryen/cam-girl!reader Author's Note: inspired by Aural Fixation (i cannot find the fic 😭)
part four
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Helaena hasn't stopped staring at your phone for the past hour, waiting for any notification that would cement her suspicions. Any ping from onlyfans would make do - but there wasn't any. It seems like your phone was on silent mode.
A humble sigh escapes her mouth - she keeps staring at you, studying every curve on your face. Since the start of her suspicions, she hasn't been able to look at you clearly - all she sees is Dorothea Mae, the girl of her dreams - and perhaps there wasn't any difference between the both of you.
"Are you okay, babe?" a frown is etched on your face while leaning deeper into her touch. Helaena was a human heater - she was always so fucking warm. "Y-yes," she stutters - keeping her phone away from view - lest you see all her notifications from Adam and Eve.
"You're not paying attention to the show, I thought we were going to talk about it after." you whine, slowly taking your eyes away from the screen. The both of you were watching the new season of Black Mirror - Helaena seemed disinterested, and you couldn't understand why. She loved Black Mirror - she believes that it is a mirror of reality, no matter how satirical or exaggerated the show is.
"- the new season feels like a let down," she avoids your gaze, throwing her attention back on the screen. A gasp exits your mouth. "How dare you?" you chuckle softly - not agreeing with her.
"The third episode is kinda good." you defend the show - seeing a piece of your relationship with her inside of it. A laugh escapes her mouth. "I had to cover my eyes during the murder scene," she giggles - knowing that it was probably your favorite part.
"That is the best part," you breathe. A smile finds its way on her lips. She still knows you after all these years apart.
For a moment - she feels guilty for invading your personal space in onlyfans, knowing that there was decades of love between you.
You were her everything.
Her first crush. Her first best friend. Her first real friend.
"Fuck," you curse - seeing that your phone was drained. "W-why? Were you waiting for someone?" she found the power to ask. She was bitterly thrown back into reality - back to her pre-conceived notions about you. "No - I need to search the ending of this episode, or else I won't be able to watch." you close your eyes, reaching for the remote. "Can I borrow your laptop?" you raise your eyebrows - and she complies without second thought. '
She could hear the hair pin drop.
Her search history was as follows: 'don't stop believin lyrics' 'instagram captions harry potter' and finally 'dorothea mae onlyfans'
Everything begins to happen in show motion, the opening of your mouth and the closing of her laptop. "Wow," you breathe - biting back the chuckle that wanted to escape your mouth.
"I-I didn't know that it was you at first." she alibis, and the chuckle escapes your mouth. "- but somewhere along the lines, you did." you insinuated - eyes narrowing at her flushed features.
So beautiful.
"It does make sense - I magically had a new female client." you place a finger to your lips - pretending to be disappointed in her. "If you want to stop being friends, I totally understand." she closes her eyes - waiting for you to stand up and leave her. - but instead she feels a soft pair of lips on hers.
'Quand on n'a que l'amour' the credits began to roll.
Helaena could feel a pair of arms trailing down her loose shirt. "Helaena," you moan her name like a solemn prayer. 'À offrir en prière' the song continues. "I've loved you since we were seventeen," you confess - eyes twinkling at the very mention of love.
'Pour les maux de la terre.'
"I've loved you since we were fourteen." she chuckles in response.
'En simple troubadour' the song continued to sing - echoing through your small hotel room. "I'm never letting you go again," you whisper - pressing another kiss on her strawberry lips.
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toelicker69: a day in the life of a dink couple.
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RhaenyraTargaryen: there are kids in this app, 🤣🥰 - toelicker69: love you, Rhae 💗 - RhaenyraTargaryen: love you too
yourinstagram: more like MILF 🔥
aegon.hightower: god my eyes 🤮 - captainaemond: might actually lose my ONLY working eye - toelicker69: doesn't matter cuz ur practically blind
daeronronie: that looks fun! - yourinstagram: oh my god - aegon.hightower: Guess who's not invited to his bday 😆
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yourinstagram: "call the waiter" "i'm shy" 🥺 tagged: toelicker69
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toelicker69: two introverts go to a restaurant: - yourinstagram: *gets the wrong order* but it's fine 😭
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yourinstagram: it's a bouncing baby girl! meet Suellen Gloria 💙
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toelicker69: officially MILFS
captainaemond: the only Targaryen i can tolerate
aegon.hightower: not you naming the lizard after an old lady - toelicker69: didn't expect a simpleton to understand - aegon.hightower: bro wants to be cool so bad - toelicker69: fuck u
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alys_likes_lys: She's the most beautiful woman in the world, but she's not in the picture - because she's me! #TheDayIBecameAThirdWheel. Happy Anniversary girls! 💗
I've never seen a couple more in love than the both of you. Me and Rhaenyra are patiently waiting for the wedding 👀 but neither of you heard it from me (in case someone wants to propose.)
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finale is dedicated to @sweethoneyblossom1 and @ruby-dragon, the reblogs are giving me life 😭
@watercolorskyy @bellastwd @nyctophilic0vitnir @sweethoneyblossom1 @gettheetoanunneryimmediatly @dahlias-and-marigolds
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wolfielivy · 7 days
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Get ready to be the envy of the neighborhood, kids! Because here comes Deadpool with carrot smoothie recipes that will leave you fresher than a cucumber and with skin that even Wolverine would envy.
Smoothie 1: The "Youth Beam" 💋💋💋💋💋
🎀 Ingredients:
- 1 cup chopped carrots
- 1/2 cup spinach
- 1 frozen banana
- 1/4 cup water
- 1 tablespoon almond butter
- 1 teaspoon chia seeds
🎀 Benefits:
- Bye-bye wrinkles! The vitamin A in carrots and spinach gives you baby-soft skin.
- The banana gives you energy to run like crazy.
- Chia seeds are like a microscopic superhero that helps you stay healthy.
Smoothie 2: The "Goddess Skin" 💋💋💋💋💋
🎀 Ingredients:
- 1 cup chopped carrots
- 1/2 cup frozen strawberries
- 1/4 cup Greek yogurt
- 1/2 cup water
- 1 tablespoon honey
- A handful of fresh mint
🎀 Benefits:
- Strawberries are like vitamin C bombs, helping you fight free radicals and give you glowing skin.
- Greek yogurt gives you protein to keep your muscles strong so you can do push-ups non-stop.
Smoothie 3: The "Superpowered"💋💋💋💋💋
🎀 Ingredients:
- 1 cup chopped carrots
- 1/2 cup frozen mango
- 1/4 cup almond milk
- 1 tablespoon sunflower seeds
- 1/2 teaspoon cinnamon
- A dash of fresh ginger
🎀 Benefits:
- Mango gives you vitamin A, which helps you have eagle vision.
- Cinnamon is like the superhero of spices, helping you control your blood sugar levels.
- Ginger helps you fight stomach upset.
French:
Préparez-vous à être l'envie du quartier, les enfants ! Parce que voici Deadpool avec des recettes de smoothies à la carotte qui vous laisseront plus frais qu'un concombre et avec une peau que même Wolverine envierait.
Smoothie 1 : Le "Rayon de Jeunesse" 💋💋💋💋💋
🎀 Ingrédients :
- 1 tasse de carottes hachées
- 1/2 tasse d'épinards
- 1 banane congelée
- 1/4 tasse d'eau
- 1 cuillère à soupe de beurre d'amande
- 1 cuillère à café de graines de chia
🎀 Avantages :
- Adieu les rides ! La vitamine A des carottes et des épinards vous donne une peau de bébé.
- La banane vous donne de l'énergie pour courir comme un fou.
- Les graines de chia sont comme un super-héros microscopique qui vous aide à rester en bonne santé.
Smoothie 2 : La "Peau de Déesse" 💋💋💋💋💋
🎀 Ingrédients :
- 1 tasse de carottes hachées
- 1/2 tasse de fraises congelées
- 1/4 tasse de yaourt grec
- 1/2 tasse d'eau
- 1 cuillère à soupe de miel
- Une poignée de menthe fraîche
🎀 Avantages :
- Les fraises sont comme des bombes de vitamine C, qui vous aident à combattre les radicaux libres et à vous donner une peau éclatante.
- Le yaourt grec vous donne des protéines pour que vos muscles soient forts et que vous puissiez faire des pompes sans arrêt.
Smoothie 3 : Le "Superpuissant" 💋💋💋💋💋
🎀 Ingrédients :
- 1 tasse de carottes hachées
- 1/2 tasse de mangue congelée
- 1/4 tasse de lait d'amande
- 1 cuillère à soupe de graines de tournesol
- 1/2 cuillère à café de cannelle
- Une pincée de gingembre frais
🎀 Avantages :
- La mangue vous donne de la vitamine A, ce qui vous aide à avoir une vision d'aigle.
- La cannelle est comme le super-héros des épices, elle vous aide à contrôler votre taux de sucre dans le sang.
- Le gingembre vous aide à combattre les maux d'estomac.
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e642 · 11 months
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Probablement que je ne m'y ferai jamais réellement d'avoir déménagé à Nice, loin de mes repères. A chaque fois que je reviens à Toulon, que je passe devant mon ancien appartement, que je vais au cinéma où je suis allée bien 50 fois avec mon mec, je ressens une nostalgie presque douloureuse. Je regrette ces lieux. Tout ce que j'y ai vécu, tout ce que j'y ai construit et investi. À chaque fois que je repars pour Nice, j'ai du mal à chercher le bon train sur le tableau de la gare. À chaque fois que je descends pour prendre le tram je me rappelle que j'ai même pas pris la peine de prendre un abonnement pour les transports. C'est comme si j'allais partir du jour au lendemain. Je sors pas dans cette ville. J'y construits rien. J'y vis rien. J'attends encore plus que l'année passe. En sachant que si je réussis, j'y resterai une année de plus. Et si je rate, ce sera encore un gouffre où il faudra escalader. Mais je sais, d'avance, que je n'ai pas la force. Je vis seule. Extrêmement seule. Sans ami, sans famille, sans sortie, sans rien. J'alterne entre les quatre murs de mon appartement que j'ai laissé vierge de ma présence, ou ceux de la fac. Je suis un fantôme. Chaque prof attrape ma veste pour me demander si tout va bien. Non. Évidemment. Mais ya rien à dire. J'ai l'impression, cette année plus que les précédentes, de passer à côté de quelque chose. Je sais pas si c'est du suicide ou si c'est quelque chose que les vivants font. Je ne sais pas mettre le doigt dessus. Je sais juste que j'alterne entre les crises de colère et celles d'angoisse. Je passe plus de temps à suffoquer qu'à réellement respirer. Je le sens dans tout mon corps l'anxiété. J'ai mal partout, j'ai des migraines, des nausées, des insomnies intenses, des maux de ventre de malade, mon vitiligo qui s'accroît dans mon dos. J'aurais beau ne plus parler que mon corps en dira toujours plus que moi. J'ai pas la sensation d'avoir une seule seconde de repos entre les pensées intrusives, les trucs à gérer, la fatigue, c'est un tout qui ronge mes entrailles. Je me sens grignotée par un mal qui aura de toute évidence ma peau. Elle me fait dépérir cette ville, cette vie, cette situation. Je me sens faible. Il y a des jours où j'entends même pas le son de ma voix tant je suis taiseuse. Je m'en veux je crois. Si c'est ça se chercher, alors je crois que je préférais accepter de ne jamais me trouver.
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rapha-reads · 3 months
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Anne Rice, IWTV, Part 3, Armand to Louis:
"'It is through you that I can save myself from the despair which I've described to you as our death. It is through you that I must make my link with this nineteenth century and come to understand it in a way that will revitalize me, which I so desperately need. [...] No. I must make contact with the age. [...] And I can do this through you . . . not to learn things from you which I can see in a moment in an art gallery or read in an hour in the thickest books . . . you are the spirit, you are the heart.'
'No, no.' I threw up my hands. I was on the point of a bitter, hysterical laughter. 'Don't you see? I'm not the spirit of any age. I'm at odds with everything and always have been! I have never belonged anywhere with anyone at any time!' It was too painful, too perfectly true.
But his face only brightened with an irresistible smile. He seemed on the verge of laughing at me, and then his shoulders began to move with this laughter. 'But Louis,' he said softly. 'This is the very spirit of your age. Don't you see that? Everyone else feels as you feel. Your fall from grace and faith has been the fall of a century.'"
Alfred de Musset, Confession d'un enfant du siècle, chapitre 2 :
"Trois éléments partageaient donc la vie qui s’offrait alors aux jeunes gens : derrière eux un passé à jamais détruit*, s’agitant encore sur ses ruines, avec tous les fossiles des siècles de l’absolutisme ; devant eux l’aurore d’un immense horizon, les premières clartés de l’avenir** ; et entre ces deux mondes… quelque chose de semblable à l’Océan qui sépare le vieux continent de la jeune Amérique, je ne sais quoi de vague et de flottant, une mer houleuse et pleine de naufrages, traversée de temps en temps par quelque blanche voile lointaine ou par quelque navire soufflant une lourde vapeur ; le siècle présent, en un mot, qui sépare le passé de l’avenir, qui n’est ni l’un ni l’autre et qui ressemble à tous deux à la fois, et où l’on ne sait, à chaque pas qu’on fait, si l’on marche sur une semence ou sur un débris***.
[...] Il leur restait donc le présent, l’esprit du siècle, ange du crépuscule, qui n’est ni la nuit ni le jour ; ils le trouvèrent assis sur un sac de chaux plein d’ossements, serré dans le manteau des égoïstes, et grelottant d’un froid terrible. L’angoisse de la mort leur entra dans l’âme à la vue de ce spectre moitié momie et moitié fœtus**** [...]
Toute la maladie du siècle présent vient de deux causes ; le peuple qui a passé par 93 et par 1814 porte au cœur deux blessures. Tout ce qui était n’est plus, tout ce qui sera n’est pas encore. Ne cherchez pas ailleurs le secret de nos maux*****."
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Anne Rice definitely read Musset. And Musset would have ADORED Armand and loathed Louis - or maybe the contrary. And depending on when exactly during the 19th century Armand and Louis met, Armand might have already read Musset, and Louis would read him at the end of the century - Confession was published in 1836.
Translations of the passages in bold (translation by me and it's 4am for me right now, so don't expect a perfect work):
*"behind them a past forever destroyed"
**"in front of them, the dawn of an immense horizon, the first lights of the future"
***"the present century, in a word, what separates the past from the future, which is neither one nor the other and which resembles both at the same time, and where one does not know, with each step one takes, if one steps on a seed or rubble"
****"The anguish of death entered their souls at the sight of this specter, half mummy and half fetus."
*****"All that was is no more, all that will be is not yet. Do not look elsewhere for the secret of our ills."
There's a whole Comparative Literature essay that could be written, mirroring Confession with Interview... I will definitely come back to that idea later. Probably. At some point.
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aurevoirmonty · 7 months
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Labour, travail
Pour ce qui est des changements de valeur attachés aux mots, changements qui indiquent clairement un changement radical de vision du monde, le cas le plus typique est peut-être le terme travail. En latin, ce mot a principalement une connotation négative. Bien que dans certains cas, il puisse se référer à l'activité en général — comme dans l'expression labor rei militaris, l'activité dans l'armée — sa signification prédominante exprimait l'idée de labeur, d'épuisement, d'effort désagréable et parfois même de malheur, de tourment, de fardeau, de punition. Le terme grec ponos avait un sens analogue. Ainsi, laborare pouvait aussi signifier souffrir, être angoissé ou tourmenté. Quid ego laboravi ? signifie : 'Pourquoi me suis-je tourmenté ?' Laborare ex renis, ex capite signifie : souffrir de maux de dos ou de tête. Labor itineris signifie : la fatigue et les inconvénients du voyage — et ainsi de suite.
Le Romain, donc, n'aurait jamais pensé faire du travail une sorte de vertu et d'idéal social. Pourtant, la civilisation romaine ne peut guère être décrite comme une civilisation de paresseux, de flâneurs et 'd'oisifs'. La vérité est qu'à cette époque, il y avait un sens de la distance. 'Travailler' se contrastait avec agere, l'action au sens supérieur. 'Travailler' correspondait aux formes sombres, matérielles, serviles et insignifiantes de l'activité humaine, et se référait à ceux pour qui l'activité était déterminée exclusivement par le besoin, la nécessité ou un sort malheureux (le monde ancien avait aussi une métaphysique de l'esclavage). Opposés à de telles personnes étaient ceux qui agissent au sens propre du terme, ceux qui se consacrent à des formes d'action libres, non physiques, conscientes, délibérées et dans une certaine mesure désintéressées. En effet, le terme 'travail' n'était pas appliqué dans le cas d'une personne qui exerçait des activités matérielles, mais plutôt il était appliqué avec un certain caractère qualitatif, sur la base d'une vocation authentique et libre ; une telle personne était un artifex (il y avait aussi le terme opifex), et cette vision était également conservée à des époques ultérieures, dans le climat et le style des corporations d'artisans traditionnels.
Le changement de sens et de valeur du mot en question est donc un signe très clair du caractère plébéien qui est de plus en plus venu dominer le monde occidental, une civilisation de plus en plus façonnée par ce qui dans toute hiérarchie sociale complète sont les strates les plus basses. Le 'culte moderne du travail' est d'autant plus aberrant qu'aujourd'hui, plus que jamais, dans notre régime d'industrialisation, de mécanisation et de production de masse anonyme, le travail a nécessairement perdu toute valeur supérieure qu'il aurait pu avoir. Malgré cela, nous en sommes venus à parler d'une 'religion du travail', d'un 'humanisme du travail' et même d'un 'État du travail', faisant du travail une sorte d'impératif éthique et social insolent pour tout le monde, auquel on a presque envie de répondre avec défi par le dicton espagnol El hombre que trabaja pierde un tiempo precioso (l'homme qui travaille perd un temps précieux).
Plus généralement, j'ai déjà noté à une autre occasion que le monde traditionnel se distingue du monde moderne par le fait que tandis que dans le premier 'travailler' pouvait prendre la forme d'une 'action' ou d'un art, dans le monde moderne, même l'action et l'art prennent parfois le caractère de 'travail' — c'est-à-dire, d'une activité contrainte, opaque et intéressée, effectuée, non selon une vocation, mais selon le besoin et, surtout, pour le profit, pour le lucre.
Julius Evola, La Décadence des Mots
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loup-venant · 8 months
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Je ne m'en sortirai jamais. Le souvenir de la chaleur du soleil sur ma peau, sensation des plus agréables, fond devant le brasier de mes maux. Le plus récent, mon corps en avalanche perpétuelle me contraint à rester au lit. Une douleur alarmante me pince violemment dans le bas du dos. Elle s'amplifie quand j'éternue et collecte les dernières onces de ma motivation.
Je passe mon temps à me divertir de mon existence. J'y reviens seulement pour manger et dormir, et uniquement car c'est indispensable.
Au fil des jours, j'oublie peu à peu ce qui m'anime. Ma respiration se lie au rythme des publications sans fin dont je nourris mon quotidien. Je n'ai d'yeux que pour mon écran. Les horizons extérieurs me parviennent édités n'offrant qu'une partie édulcorée de la réalité. Réalité qui me tabasse, impitoyable, quand je tente de quitter mon intérieur.
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claudehenrion · 10 months
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Visite guidée du ''Jardin d'Eden''...
Sans que nos contemporains s'en rendent parfaitement compte, la situation actuelle du monde est d'une gravité consternante, que rien ne vient contrebalancer et où aucun espoir n'est visible ''à vue d'homme'', à un point qui rend utile de revenir sur nos ''éditoriaux'' des jours derniers, où nous expliquions que un retour rapide aux ''fondamentaux'' de notre civilisation est non seulement... fondamental (pardon... mais c'est ce que je veux dire !), mais ''vital'', au pied de la lettre.
Pour des raisons que la morale ne comprend pas toujours (NB : Allons ! Soyons honnête : ''ne comprend pas souvent, voire jamais ''!), la chrétienté occidentale a accepté que des esprits mal intentionnés (Jospin et Chirac ayant été deux de ces pervers-masochistes malfaisants) lui arrachent ses racines, la laissant sans défense devant un vide mortifère... dont la nature a horreur et qu'elle s'est donc empressée de combler, par ''people-boats'' entiers, pleins de ''boat-people''. Nos grands hommes –dont on ne dira jamais à quel point ils sont petits-- ont suivi de longs ''cursus'' bourrés de savoirs inutiles (s'ils avaient été utiles, ça se saurait : des résultats, même petits eux aussi, auraient suivi. Or ils n'ont à montrer, à leur minable actif, que... leur effroyable passif !) n'ont jamais appris qu'un arbre, privé de ses racines, commence par flotter dans le vent... puis meurt. Il n'y a pas d'alternative connue. Ils nous ont mis dans cet état, sciemment, volontairement.
Un regard un peu profond démontre sans ambiguïté que la plupart des maux qui affligent en ce moment notre ''ex-belle planète bleue''(en commençant par ses habitants les plus malheureux) sont le fait des hommes eux-mêmes ou plus exactement de l'incapacité dont ils se sont dotés de ne plus être capables de ''tenir'' la mission de gardiennage respectueux, de travail intelligent, de maîtrise dans la domination et d'exploitation pacifique. Et non seulement ils ont délibérément –mais sans le moindre motif valable-- tourné le dos à leur ''définition de fonction'' et à leur seule et unique ''raison d'être'', mais ils ont trouvé malin d'accuser Dieu de tout ce qui va mal, et de s'auto-attribuer (toujours sans raison) ce qu'ils croient aller bien... tant que ''la suite inattendue des événements'' ne leur fournit pas de mauvaises bonnes raisons de se défausser, là comme ailleurs...
Pour bien comprendre ce qu'aurait du ou pu être notre destinée si nous étions restés ''dans les clous'', il faut et il suffit de relire le premier chapitre de la Genèse –qui est, en plus, l'un des plus beaux textes de toute la littérature. Quelques extraits, en vrac : ''Et Dieu dit : '' Que les eaux foisonnent d’une profusion d’êtres vivants, et que les oiseaux volent au-dessus de la terre, sous le firmament du ciel''...  Dieu fit les bêtes sauvages selon leur espèce, les bestiaux selon leur espèce, et toutes les bestioles de la terre. Et Dieu dit : ''Que l'Homme soit le maître des poissons de la mer, des oiseaux du ciel, des bestiaux, de toutes les bêtes sauvages, et de toutes les bestioles'' … Dieu créa l’homme à son image, (puis) il les créa homme et femme... et leur dit : ''Soyez féconds et multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-la. Soyez les maîtres des poissons de la mer, des oiseaux du ciel, et de tous les animaux qui vont et viennent sur la terre.''... Le Seigneur Dieu prit l’homme et le conduisit dans le jardin d’Éden pour qu’il le travaille et le garde... Le Seigneur Dieu donna à l’homme cet ordre : ''Tu peux manger les fruits de tous les arbres du jardin, mais l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n’en mangeras pas, ou tu mourras''...
Mais non contents de nous croire tout permis, nous avons ignoré et mal traité cette Terre et ses autres habitants... dont nous étions responsables, et nous avons goûté et re-goûté à ce maudit ''arbre de la connaissance'' (que nous avons appelé ''la Science'') ? Nous avons déduit de sa fréquentation exagérée que nous pourrions commander aux lois de la Terre, de la Nature, et de l'humanité, à la vie, à la mort. Et, comme cela avait été annoncé en des temps hors de notre temps, la science, ce fruit défendu, poussé à ses extrémités ultimes, nous a donné l'impression de pouvoir supplanter Dieu : sans même nous en rendre compte , non seulement nous avons coupé nos racines, mais nous avons pris plaisir à nous goinfrer de fruits défendus. Résultat... nous mourons... et le monde, avec nous...  
Vous ne me croyez pas ? Dans la seule matinée du 27 novembre, j'avais compté 4 articles dans la presse qui disaient : ''La Terre (variants : l'Homme ici, et l'Humanité, là) risque de mourir par la faute de l'Intelligence artificielle, l'IA''... ''Dès 2014, Elon Musk prévenait que ''l'IA est potentiellement plus dangereuse que les bombes nucléaires''... ''Hier (c'est moins loin !), le remplaçant de Sam Altman à la tête de ''OpenAI'' estimait ''entre 5 et 50 % la probabilité de voir l'IA anéantir l'humanité''... et Alain Rémond affirmait, dans le même cénacle : ''le but de OpenAI est d'anéantir l'humanité''. Et voilà que ressort sur nos petits écrans cette vidéo de 2020 où Bill Gates annonçait que ''pour sauver la planète, 3 milliards d'humains doivent disparaître''. (''Excusez du peu'', diraient les journalistes sportifs !). Dieu nous avait prévenus, avec sagesse : la connaissance est mortelle à l'homme.
A chaque relecture des superbes lignes de la Genèse, je me dis que les humains qui vivent dans nos régions –en réalité bénies par le sort, par le destin... et par le climat, malgré les inondations récentes-- témoignent à l'encontre de leur ''Créateur'' d'une immense ingratitude... dont nous constatons, chaque jour davantage et fut-ce ''à l'insu de notre plein gré'', les résultats dramatiques (NDLR : parce que, quoi qu,on raconte, ''le hasard et la nécessité'' sont bien insuffisants pour tout expliquer, et la Science, malgré les rodomontades de certains de ses membres indignes d'elle, n'a jamais pu élaborer l'amorce du début d'un commencement d'explication ''qui tienne la route''!),... Rendez-vous compte : ''L'homme aurait dû se comporter en responsable, et en comptable aussi, de tous les êtres vivants''... ça vous a une autre valeur eschatologique que toutes les lallations puériles d'une Greta Thunberg et toute la phraséologie technocratique du Giec –la litote en plus, et les mensonges en moins !
Cette forme moderne d'incapacité à admettre que le mystère de la vie (NB : jamais expliquée par la Science, ne craignons pas de le répéter), figure dans la longue liste de nos échecs et... de notre chute : irrespect devant le miracle qu'est un corps vivant... rêve fou de fabriquer (?) nous-mêmes la vie (?) dans un laboratoire... déterminisme matérialiste... folie transhumaniste d'un ''vivant augmenté'', plus ''cyborg'' qu'humain... etc... : tout est bon pour ''évacuer'' le Créateur et sa création. A l'arrivée, une humanité sans boussole, anxieuse, fuyant son humanisme, pas plus heureuse que ''avant'' –et même : beaucoup moins, en moyenne. Le temps passant, on ne peut même plus parler d'ingratitude mais d'une ignorance choisie, d'une incapacité fabriquée de toutes pièces de voir … ce qui est étalé devant nos yeux ''grand fermés''...
Le résultat, au stade où nous avons dégringolé, c'est un pays où une partie de la population se dit victime de judéophobie ou d'anti-sémitisme (ces deux mots étant souvent confondus dans le discours public)... où une autre partie de la population (pour une petite partie ''nationale-de-papier'' mais majoritairement ''immigrante'') se prétend soumise à ce qu'elle appelle de l'islamophobie –qu'elle est plus prompte à dénoncer qu'à démontrer... et une troisième partie, encore largement majoritaire, est si mal traitée qu'elle n'ose même plus se plaindre de son sort, pourtant peu enviable : les plus matraqués, fiscalement parlant, au monde... jamais écoutés et priés de se taire, politiquement) se sait frappée par un violent ''racisme anti-blancs'' qu'approuvent les ''woke'' maisque nient l'administration, les politiques, la presse vendue, et la justice –qui mérite de moins en moins souvent ce nom générique, qu'elle s'était octroyée en des temps où existait une corrélation entre le mot lui-même et la chose désignée... Autant en emporte le vent...
On en est réduits à rêver d'émigration massive vers la Lune... Les générations à venir –s'il reste une ''humanité''-- évoqueront peut-être les merveilles d'un néo ''jardin d'Eden'' qu'elles appelleront : le ''Paradis lunaire'' ! Pauvre humanité !
H-Cl.
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NSBC • Chapitre 8
Ma grossesse avance, et je peux vous assurer que c’est pas toujours une partie de plaisir… Alors, oui, sentir une vie qui se développe en moi a un côté assez réjouissant, mais entre les nausées, les maux de dos et l’impression d’avoir une vessie trois fois moins grande qu’avant… j’ai hâte qu’il sorte, ce bébé.
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En plus, je ne vois pas souvent Edward. Il travaille les week-ends, et en semaine, il est déjà au boulot lorsque je rentre du mien. Je savais qu’il travaillait dans un bar, et ça ne me dérangeait pas spécialement au début, mais là, pendant ma grossesse, avec mes hormones qui font n’importe quoi, ça me rend triste…
Au moins, avec l’approche du terme, je remarque que finalement, mes nausées s’espacent. Je peux manger un petit-déjeuner sans avoir peur de tout vomir après !
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Bon, j’ai parlé un peu trop vite, pour cette fois-là…
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Je trouve le temps, quand même, d’appeler régulièrement le Conseil de Géologie pour ordonner l’analyse de différents cristaux ou métaux. Des fois, les analyses ne donnent rien de bon, mais quelques fois, j’ai des surprises. Alors il ne faut rien lâcher !
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Et malgré tout, quand je regarde où j’en étais il n’y a même pas un an, je sais que j’ai entamé ma vie telle que je rêvais qu’elle soit. Remplie d’amour…
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… et de réussite professionnelle.
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Et puis un matin, alors que je me préparais pour aller au boulot…
« Oh, oh… EDWARD !! »
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« Quoi, qu’est-ce qui se passe ?!
— Je vais accoucher, crétin !
— Hein ?! Déjà ?!
— Appelle un taxi, vite, il faut que j’aille à l’hôpital… »
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Même paniqué, il a réussi à se bouger pour le faire, et nous sommes arrivés à l’hôpital.
« Un médecin, vite !
— Respire, Ed, tu ne m’aides pas du tout… »
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Et apparemment, le type de l’accueil non plus n’est pas décidé à m’aider…
« Dites, c’est urgent, j’vous signale…
— Ouais, ouais, deux minutes… »
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Finalement, je suis invitée à aller dans une des salles du fond. Edward me suit en courant, tout joyeux.
« Ma chérie, on va être parents, c’est génial !
— Je partagerai ton enthousiasme quand je n’aurai plus l’impression que cet enfant essaie de me déchirer l’intérieur du ventre… »
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Cette remarque l’a refroidi, et il me suit sans rien dire après ça, même s’il n’arrive décidément pas à se dépêtrer de son sourire niais.
« Allez, mademoiselle, respirez, ne vous en faites pas, ça fait 45 ans que je fais ce métier ! »
C’est justement ça qui m’inquiète… Il sait encore tenir un instrument chirurgical sans trembler le vieux ?
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« V-Vous êtes sûr que ça va aller, Docteur ? »
Ah, Edward panique à nouveau. Super. Et moi, je suis dans le coaltar… Qu’est-ce qu’il m’a injecté… ?
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« Ah, oups, ça arrive de temps en temps…
— Pardon ?! » J’avais raison de me méfier du vieux… Il veut pas remettre ça à sa place ?!
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J’ai dû m’évanouir après, parce que j’ai un blanc de quelques instants… et je me suis faite réveillée par des pleurs. Les pleurs de mon bébé… Oh, mon petit amour…
Je me suis levée aussi vite que j’ai pu (donc très lentement, vous vous en doutez) et j’ai fais la connaissance de mon petit garçon, sous l’œil bienveillant de son père. Bienvenu dans la famille, Gabriel…
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A peine rentré, Edward prend ses marques, et change même la couche de Gabriel. Je suis contente qu’il le fasse, j’aurai ma journée de travail pour me préparer à cette idée…
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Eh oui, j’y vais, c’est Edward qui a décidé de prendre un congé parental pour s’occuper du petit. Je l’ai d’ailleurs remercié chaleureusement en rentrant le soir, avant de demander des nouvelles  de notre enfant.
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« Rien de particulier, il a dormi presque toute la journée entre deux biberons. »
Un bébé qui dort bien, donc. Nos heures de sommeil ne vont peut-être pas diminuer tant que ça, finalement. Espérons que ça dure… !
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the-swan · 1 year
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♡ STORYTIME :: a lie within a dream
CHAPTER 01. peaceful sleep
— et elle chante, Ash, comme si les mots n'en seraient jamais suffisant. de ses doigts à pincer les cordes, de son archet à glisser contre l'instrument : violoncelle ,, comme seul réel ami. vibre les sonorités ,, les muses lui en avaient offert : talent des plus précieux ! seule réussite, sur les terres escarpées.
"again and again ! play ! Ash !"
de ses mains à ne jamais devoir être abîmées, enfant sur laquelle l'on avait tout misé : car de sa seule passion ,, les maladresses en semblaient toujours sournoises. et malgré les blessures, et malgré les efforts, à tuer son petit corps, elle souriait ! celle à être amoureuse des notes idylliques.
CHAPTER 02. farewell, nerverland
— rire angélique, merveille de l'univers ,, elle voltige, sautille sur les pavés, fleurit comme bien trop sage. innocence dans l'âme, naïveté à vouloir en croire bonté dans tous : Ash, elle en suivait les papillons dans la rue, s'arrêtait pour en sentir les fleurs sauvages, comme si tous les maux sur ses épaules n'en étaient que chaos dans quelques uns de ses rêves. et de ses gentillesses toujours trop mélodieuses, à vouloir vivre le jour le jour sans ne plus en être emprisonnée : elle en attrapait les étoiles, de ses paumes, pour pouvoir les protéger à leur tour.
CHAPTER 03. love me like this
tw. violence conjugale ,, coups et blessures
— et dans les contes, les princesses douces et délicates en trouvaient toujours leur prince. sourire à mourir, cœur à s'éteindre. quand elle avait cru, en ses mots. à lui avoir offert tous ses sourires, les lueurs s'en étaient éteintes, dans son regard.
et de ses coups,,
à mourir :
sous ses yeux.
d'un amour sincère ! quand de fin de lycée, tout n'en avait été qu'illusion perfide : jeu bien mené, ficelles à l'avoir suspendue dans les tréfonds des Enfers. car d'une possessivité extrême face à ses douceurs altruistes, les coups étaient venus en redessiner son corps. de quelques galaxies, de quelques étoiles, là, ici : à toujours en afficher sourire sur ses lippes, pour tout dissimuler. à ne rien dire, se taire ! jusqu'à ce que les joues inondées par les pleurs en reçoivent les bénédictions des cieux. protégée de tout un monde : personne n'avait rien vu ! et elle en était effrayée ,, de chaque geste que l'on venait à lui adresser : comme par instinct de survie, face aux cruautés du monde. réactions automatiques, quand délaissée par le démon pour une autre proie ,, les poumons revenaient à fleurir presque trop doucement.
CHAPTER 04. the swan
— court sur scène, de ses délicatesses si merveilleuse ,, sylphide à se faire fraîcheur de vivre : quand sur scène, elle rayonnait. fierté de ses parents, à trop souvent l'ignorer quand elle n'en brillait pas derrière son instrument, elle venait à en aimer chacun des instants où les doigts en caressaient son violoncelle. à l'enlacer, le chérir, comme réelle personne. personnification : de ses romances inventées ! à rêver comme mélodrame de quelques baisers contre ses joues.
Saint Saens :: à la refaire naître.
quand comme un cygne, d'une blancheur aux puretés qui lui en collaient à l'épiderme, elle en était iconique ! connue, là, pour sa bonté infernale ! quand entre banquets et soirées organisées, elle en était toujours au planning ! de son petit corps trop frêle ,, à rayonner. comme pour en cacher, que les étages n'en étaient pas si élevés par rapport à d'autres.
qu'importe ,,
quand chaque jour :
en étaient requiem fleuris.
CHAPTER 05. starlight parade
tw. harcèlement
— et sur son dos, instrument à se balader ! elle sourit à tout le monde, en vient en aide à tous ceux dans le besoin. bonne poire, Ash ! car de quelques travaux, joueuse incroyable : dans ce conservatoire, sa place n'en est que futile. mais elle aime si sentir entourée ! de quelques visages familiers. douceur d'un temps, à côté des concerts réalisés.
à être :
pantin de certains.
car elle en était trop gentille ,, pour en laisser de marbres ceux aux alentours. entre déclarations factices, pour en voir ses réactions, demandes toujours plus saugrenues, comme pour la tester. il y avait parfois les sarcasmes et les petites bousculades ! celles que l'on accuse de pacifique : quand les jeux n'en étaient pas sains. là, entre les couloirs, entre les salles de répétitions. à lui voler son archet, détraquer son métronome ,, quelques mots sur les partitions : ô jamais vraiment mélodieux. et pourtant, Ash, soleil à briller : elle en avait capturé tous ses rayons sans y faire attention !
and they will just get over it one day.
alors à supporter : à en avoir l'habitude. petite poupée à se jouer du monde, à sembler naïve et beaucoup trop bête ,, à pourtant savoir, au fond, que le monde n'en aimait tout simplement pas ceux qui en essayaient d'être heureux.
CHAPTER 06. mad world
tw. pression psychologique
— famille renommée ,, quand papa en était directeur d'une école de musique très fermée, que maman en était professeure au conservatoire. à devoir être princesse parfaite : quand les doigts à s'en abîmer, elle devait jouer, encore et encore, jusqu'à ce que les harmonies en soient divines, jusqu'à ce que le public en pleure. et d'un petit nom, dans le spectacle, famille invitée à de nombreuses cérémonies et divers évènements, à emmener derrière eux, petite muse à briller : elle était celle à rassembler ! Ash. de ses sourires, de ses délicatesses, à s'être faite un nom !
bousculée :
par de nombreux ,,
regards.
quand de quelques mécènes parfois trop vicieux, à se produire ((trop)) souvent, pour son fin corps : elle s'en épuisait souvent ! car les menaces pleuvaient, à ne pas savoir ce qui en adviendrait de sa passion si de ses parents contrariés, elle n'en atteignait pas les Paradis virtuoses. et du haut de leur 82ème étage ,, ô à ne pas en atteindre les sommets ,, il n'y en avait pourtant que désirs à briller, chez ses parents. loin, de celle qui n'en aimait que sa liberté de jouer de son instrument.
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wumisims · 3 days
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Lola en a marre de sa grossesse
Maux de dos, crampes, vomissements, ... Lola n'en peut plus de cette grossesse. Pourvu que son petit garçon sorte vite !
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devlm · 19 days
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Les Dangers du Temps d'Écran Excessif et Comment les Éviter
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Dans notre ère numérique, il est de plus en plus difficile de limiter le temps passé devant les écrans. Que ce soit pour le travail, les loisirs ou les interactions sociales, les écrans occupent une place centrale dans nos vies. Mais si l'utilisation des écrans peut sembler inoffensive, elle peut en réalité poser des risques graves pour la santé physique et mentale. Alors, comment trouver l'équilibre et éviter les effets négatifs de l'usage excessif des écrans ? Les Impacts Négatifs du Temps d'Écran Excessif https://www.youtube.com/watch?v=THJ4ToQT3xg 1. Fatigue visuelle numérique L'un des premiers effets que l'on ressent après des heures devant un écran est la fatigue visuelle. Les yeux deviennent secs, irrités, et des maux de tête peuvent apparaître. Cette fatigue oculaire, aussi appelée syndrome de vision informatique, est amplifiée par la lumière bleue émise par les écrans, qui perturbe également notre rythme circadien, affectant ainsi la qualité du sommeil. 2. Troubles du sommeil L'exposition prolongée à la lumière bleue des écrans, notamment avant le coucher, perturbe la production de mélatonine, l'hormone responsable du sommeil. Résultat : des difficultés à s'endormir, des nuits agitées et une sensation de fatigue chronique. Le manque de sommeil peut alors avoir des répercussions sur notre humeur, notre productivité et notre bien-être général. 3. Sédentarité et problèmes physiques Passer trop de temps assis devant un écran contribue à une sédentarité accrue. Cela augmente les risques de développer des problèmes de santé physique tels que l'obésité, les maladies cardiovasculaires, et les douleurs chroniques, notamment au niveau du dos et du cou. Cette inactivité peut également affaiblir le système immunitaire et conduire à une perte de force musculaire. 4. Problèmes de santé mentale Le temps excessif passé devant un écran est souvent associé à une augmentation du stress, de l'anxiété et de la dépression. L'isolement social induit par une consommation excessive de contenu numérique peut entraîner une perte de connexion avec la réalité et un sentiment de solitude. En outre, l'exposition constante aux réseaux sociaux peut engendrer une comparaison sociale malsaine, menant à une diminution de l'estime de soi. 5. Impact sur les relations sociales La surconsommation des écrans peut créer des barrières dans les relations familiales et amicales. Lorsque l'on est absorbé par un écran, il devient difficile de se connecter émotionnellement avec les autres. Ce manque d'interaction peut engendrer des conflits, notamment au sein des familles, et réduire la qualité des échanges humains. Comment Réduire et Mieux Gérer le Temps d'Écran
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1. Mettre en place des limites claires Il est essentiel d'établir des limites claires sur le temps passé devant les écrans. Que ce soit pour le travail ou les loisirs, il est recommandé de programmer des pauses régulières afin de permettre au corps et à l'esprit de se reposer. Une règle simple comme le 20-20-20 (toutes les 20 minutes, regardez quelque chose à 20 pieds de distance pendant 20 secondes) peut aider à soulager la fatigue visuelle. 2. Créer des zones sans écrans Définir des espaces sans écrans dans la maison, comme la chambre à coucher ou la salle à manger, peut grandement améliorer la qualité du sommeil et renforcer les liens familiaux. Ces moments sans écrans permettent de se reconnecter avec soi-même et avec les autres, loin des distractions numériques. 3. Utiliser des applications de gestion du temps d’écran Il existe de nombreuses applications conçues pour aider à suivre et limiter le temps d'écran. Ces outils permettent de fixer des objectifs, d'envoyer des rappels pour faire des pauses et de limiter l'accès à certaines applications à des heures précises de la journée. 4. Favoriser les activités hors ligne Encourager des activités qui ne nécessitent pas d'écrans, telles que la lecture, la marche, le sport ou les jeux de société, peut aider à réduire la dépendance aux écrans. Ces activités stimulent la créativité, améliorent la concentration et favorisent le bien-être général. 5. Promouvoir l'éducation numérique En particulier pour les enfants, il est crucial d'éduquer sur l'utilisation responsable des écrans. Les parents peuvent montrer l'exemple en limitant leur propre temps d'écran et en encourageant des discussions ouvertes sur les dangers d'une consommation excessive. Conclusion La clé pour éviter les dangers du temps d'écran excessif réside dans la modération et la vigilance. En adoptant des pratiques simples et en établissant des limites claires, il est possible de profiter des avantages de la technologie tout en préservant notre santé physique, mentale et émotionnelle. Il est temps de reprendre le contrôle de notre temps, de redécouvrir le monde réel et de protéger notre bien-être. Read the full article
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