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#mieux vaut en rire qu’en pleurer
ciboulo · 1 year
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Dans les derniers jours j’ai été social, un peu trop et un beau matin je me suis réveillé avec des feux sauvages, ce qui est terrible. On ne les voit pas vraiment mais j’ai quand même l’impression que ma tête au complet est un feu sauvage et ça me gêne assez.
La morale de l’histoire est de ne jamais laisser entrer des gens dans votre vie, ils vont toujours finir par vous faire du mal
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laudys83 · 1 year
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Le courage 2.0 👍
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thisisscratchy · 2 years
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💆🏽‍♂️ . . Ma tête dubitative sur le portrait réalisé par la talentueuse ´@vickijanefletcher quand on me dit que je ressemble à @k.mbappe ,... . . Des fois mieux vaut en rire qu’en pleurer... . . Cette semaine je viens de commencer une nouvelle intervention dans un centre culturel et si j’ai été accueilli avec chaleur et enthousiasme, la réceptionniste trouvais que j’étais le portrait craché de Kylian Mbappé. Alors celle ci c’était bien la toute première fois et la meilleure 😳🙄🤪🤣😭😭 . . On m’a souvent comparé à Will Smith, Lenny Kravitz, voir même pour les plus surprenants à Morpheus, Samuel L. Jackson et parfois même à Maître Gims. Souvent ces comparaisons arrivent quand je débarque dans des campagnes profondes éloignées ou bien viennent de tentatives de dragues peu habiles. Elles sont généralement coordonnées avec l’actualité médiatique et culturelle du moment soulignant le peu de représentativité des populations afro-descendantes dans les médias. . . Je suis sur que son intention n’était pas maligne mais bon...  mon rire jaune était lui bien réel, d’autant qu’elle avait réitéré sa blague par 3 fois, alors que je venais tout juste de me présenter sous mon patronyme officiel et que j’avais bien mis en place toutes les stratégies pour retenir son prénom. . . J’aurai aimé avoir eu la rapidité de lui dire qu’elle me rappelait Fanny Ardant. . . Mais je n’avais pas eu envie de faire de vagues devant les enfants du centre où je n’avais encore jamais mis les pieds. Heureusement sa collègue bienveillante est venu partagé sa gêne à l’écoute de ce trait d’esprit maladroit. Et vous, à qui vous a-t-on déjà comparé récemment ? . . #doppleganger #negrophilie #racismeordinaire il (at Port De La Villette, Ile-De-France, France) https://www.instagram.com/p/CmZjP7xrrKs/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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bdqg · 5 months
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Passe-temps
La vie c'est drôle à mort. Pascal Girard strips pour notre plus grand plaisir.
Et c’est reparti pour un tour. Faire mousser, rincer, répéter. Métro, boulot, dodo. La routine habituelle. La vie, quoi ! Celle dont on hérite. Celle que l’on donne parfois. Celle qui use. Celle qui amuse. On peut réfuter son absurdité, mais on ne peut nier sa fragilité. Il vaut mieux en rire qu’en pleurer même si c’est tantôt triste à mort. C’est d’ailleurs le principe appliqué par Pascal Girard…
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juliettemanciniart · 3 years
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Au fond, ils se sentent le besoin d’hurler leurs existence à tout va. Et j’en ai assez de cette politique du moi je moi je. Je trouve ça fou, depuis le début de l’année aucun n’a été capable de me demander un simple ça va ? En s’adaptant à mon cerveau atrophié, sans rire dans une hysterie collective niveau 6eme. Ces anorexiques. Masochistes. Maso moi ? Conne, vaine, paresseuse oui. Certes. Alors on se fait remarquer. En vomissant dans les poubelles, en fumant, en baisant.
Soudain on s’arrete. On nous parle. Un nouveau discours sur l’art contemporain. C’est sûrement passionnant, puissant, prophétique, mais trop long. Trop compliqué pour mon cerveau embrumé. Je baille et m’éloigne de ce groupe de jeune épuisant. Il y a des jours où je réfléchis vraiment comme une gamine, mais mon cerveau n’a pas le temps de grandir.
Je pars dans le musée de Barbie et je la regarde. Et je lance des attaques gros yeux à ces amis pseudo hype de paris qui n’ont rien de mieux à faire que de venir la moquer, ma princesse de plastique.. sèche tes larmes papillons mascara. Moi je te trouve bien belle, jurant dans tout ce paysage aigris. Je vais vous dire une confidence, je me projette sous ce soleil blond platine. C’est cadeau. Quelle sont niaises, remplissez leur la tête d’histoire d’amours hypocrites et on écarte leurs jambes si facilement. Elles ouvrent leurs bras à qui en mettent le prix, sans distinction du genre ou de l’espèce. Puis vient le chien Medore, la maison qui va avec. Mais au fond, qui y a t’il de mal à ça ? Est ce mal, d’être une femme objet ? C’est émouvant, exaspérant, moitié moitié. Je crois que j’ai trouvé le nouvel objet de mon affection, je me sens prête à extrapoler dessus pendant des heures. Elle veut juste qu’on l’aime, quitte à faire la popote. Et puis qu’on la jette, qu’on la laisse pourrir dans un coin ! C’est tant mieux pour elle. Ma bouche forme une parenthèse inversée. J’ai presque envie de pleurer. Enfin quelqu’un a ma hauteur dans tout Paris. Pourquoi rient elles ces poupées Shelly ? Elle sont si laides, elles ne comprennent pas la beauté de l’humaine disproportionnalité. Je sors de la salle refregidaire et me façonne à son image. Je suis bien prête à tout pour vous plaire, douce, dure, facile, inaccessible. C’est de nul importe. M’apercevoir que je n’étais pas la seule jolie poupée fut si cataclysmique. Maintenant je veux être la pire, la mieux habillée, la plus cadavérique. Je veux bien être diablement belle ! Avant de passer dans le monde de ces salles adultes. Je plaque un sourire candide sur mon visage ingénue. Ne jamais se fier à un sourire pareil, avant gardiste, dangereux. Par delà les pays, j’entends qu’on clame le retour de la potentielle génialité féministe entre ces lignes ? Ouhla. On se calme. Cessez un peu de lécher mes repetto achetés sur internet et à + dans l’bus. C’est si voluptueux, ce ceintre, ces clavicules blafardes se soulevant qu’importe si le vent vient de l’est ou de l’ouest, suspendant des vêtements informes et larges aux yeux de tous. Mieux vaut aller de suite me suspendre à l’étage Delacroix. J’y vais sans plus de cérémonie.
En bas, les gens se pressent, ils grouillent. Je ne vois qu’une masse floue, secoué de ricanement. Sûrement à mon sujet. Sûrement peu glorieux. Qu’ils rient. J’ai l’habitude. Qu’ils me collent une balle dans la tête. Je veux mourir. Une collégienne me pointe du doigt. Elle porte des Stan smith. C’est mignon, ce marshmallow congelé. Je secoue la tête. Tachant de chasser mon délire. Mais je suis hypnotisée par son autre main. Elle a un effet plus purifiant sur moi que tout potentielle fond marin dYves Klein. Cette parisienne n’est pas belle, elle est mignonne. Et ses cheveux de paille trahissent la maladie. On est à paris, la concurrence est rude, ici c’est genre, normal d’être anorexique. Elle fouille dans son paquet de harribos rejetant naïvement les dragées noires. Me, rejetant naïvement. J’ai envie de faire un Spoerri de ce moment, mais je ne suis pas une artiste de talent. Voir le caprice des dieux couler de ses lèvres labellotees, et en faire un ready made d’éponge, l’imprégnant de sa baveuse gloire cheesy. Et je pense: un jour, tout ce sucre fondera alors qu’elle criera le nom du premier conard venue.
J’erre entre les tableaux de scènes de torture sans plus les voir. Comme dans une forêt narcotique, attentiste de l’éveil paradoxal de son baiser anémié. Je ne sais plus quel rôle jouer, pourtant s’imposer l’immobilisme devant une telle perspective me laisse pantoise. Lent... lent.. mon sweat bleu spectral laisse une traînée gris cendrée sur mon passage. Je veux qu’il me transfuse, mon ombre, de cette aiguille trotteuse de l’heure qui passe. Lui faisant un croche pied. Je veux qu’il me traine sous le bois endormie de la table à manger. J’y reviens tous les week end, mon cœur exsangue d’Happy end. Qu’on aille fuser en dragon délavé. Chercher le diamant oublié et tremblant. Une javelle. Dans les chiottes. Qu’on casse la vaisselle de ce musée. Qu’ils fourmille sous mon teint hyalin et me fasse traverser son toit boule à facette, en un tas de silhouettes étirantes et caoutchouteuses pour aller rejoindre un astre blanc et nu, à l’artiste inconnu, underground, trouvé sur Tumblr.com. Je veux me pâlir pour me faire renaître à l’encre de Chine. Imiter une signature au Crystal bic bleu. Et la tasse de café qui se fele tandis qu’on entoure mon bras maigre. Dans vos yeux je lis la rage, dans les miens dans les vôtre je lis la peur. Mais je veux la faire trembler cette lueur manichéenne. Comme sur un fil d’un doigté, mutin et effilé, pantin épileptique. Alors j’arrache de mon poignet ridiculement fin l’entonnoir de la porcelaine dédoublée, et je nous fais tomber dans un monde inverse, le diable et moi. Dans les chiottes. La, rallumer la joie dans ses yeux, me fait éclater d’un rire joyeux 😀 et je me jette d’une montagne de Caspar David Friedrich. Mais on nous arrache bientôt à notre transe, textuel. Qui donc vient trouble ce moment d’intimité? Paniquée, je sors la tête de l’eau de rose du Marcel Duchamp. J’ouvre la porte et lui éclate la tête à la volée. Une femme de ménage du musée. Elle part laver ailleurs. Bon. Je voulais simplement discuter. Quelle malédictions que la beauté. Je referme la porte lentement et retourne dans les ténèbres de la possession. Je vois mon reflet au fond Duchamp. L’eau perle à mon front de marbre et va tomber sur mon marcel borde de rayures de marin. Mais, le spectre de mufasa vient me visiter et déclare: Juliette, tu dois reprendre ta place dans le cycle de la vie. Mais je ne le peux, tout le temps, je pense à mon ex, tel est le cycle de la mort. J’hurle. Et fait trembler la lumière tel des papillons Nabokov. Et j’ai peur du noir, je retourne donc dans le couloir.
C’est l’heure de manger. J’attends que mes esclaves viennent me faire de l’ombre avec leurs palmes mais le métro leurs coûtent trop chère. Je marche donc vers mes camarades. Ça ira. Il faut juste que je trouve quelqu’un pour écourter ces moments de récré qui font engendrer mon estomac une œuvre satirique et contemporaine. Je vendrais mes charmes de Barbie pour cela. Je la bénirais, ferais des portraits classiques entourés de fleurs impressionnistes pour qu’il, ou elle, ne me laisse pas m’enfermer dans les toilettes pour me scarifier dans ces moments d’angoisse sociale. Je m’assois en tailleurs au milieu de ce cercle de cannibale et chante en hindou pour passer le rite d’initiation. Mais l’on ne veut pas, on me rejette aussi ici, moi le mouton noir des brebis égarées, quel échec cuisant pour une émission de télé-réalité. Leur regard lancent des infra rouges et leurs bouches s’affaissent en signe de désapprobation. Je recule sous l effet de la terreur, ma démarche compassé forme maintenant une équerre. Mes yeux exorbités de chihuahua se mouillent de déception. Les débris de mon cœur se fêlent de plus belle. Ils sembleraient qu’ils soient jaloux de mon aura de vampire cristal. Il faut dire qu’en dessous des 40 kilos je suis belle rires. Je comprends. Je leur tapotte l’épaule en riant. Dieu pardonne. Mais c’est que ces prolétaires sont têtus ! Ils me jettent leurs nourritures à ma baby face pour conjurer le mauvais sort et en remplacement de l’ail et du pieu dans le cœur. Ils veulent que je l’avale. Bande de pleutres amoraux ! Je vous exècre tous ! Toi toi et toi. Je lève mon verre à l’abandon, au diable qui m’emporte, et vous maudit, tous ! Je resterais la queen B. Allez pourrir dans votre lac de mc do Je m’abaisse à leurs niveau, plus bas que terre, et leur demande de signer la fiche de présence de mon dessin au crayon de couleur de Renaissance. Je l’agite à leur nez, des étoiles pleins les yeux. Je leur explique, patiente. Là c’est un chien à trois têtes, là c’est des pâquerettes, là un sceau magique, et des carcasses qui font des bébés embryons ! Il n’en ont rien à foutre. Préférant les saucisses aux sceaux 6. Ils allument un callumé de la paix qui m’est interdit. Je tousse et agite ma main devant mon nez. Ils rient. Je leur répond que j’ai une constitution fragile ! Ils m’arrachent à mon dessin, le froissent et le font tomber en slow motion dans un hambergeur ! Je joins mes mains délicates en inspirant sous toute cette violence. Je tente de le ramasser, j’ai le nez presque sur le ventre de mère nature. Elle me chuchote un faible merci. Je lui réponds que je compatis, mon corps fragile pourrait se briser si facilement. J’entends qu’ils disent des choses, à mon propos. Ils pensent que je suis:.. possédée ? Oh. Je calfeutre mon visage. Non... je ne veux pas qu’on voit... cette larme... je vais vous dire un secret, au fond de moi, je suis dépressive, et quand on dit des choses comme ça, ça fait mal à mon cœur, il saigne, il noircit. Jour après jours, toujours la même chose. Je pars sans plus de cérémonie. Soupirante. Les cèdres du parc artificiel m’ombrent de leurs sourcils. Je ne marche pas très bien sûr ce chemin d’exil, je chancelle, mais ça ira, ça ira, continuez sans moi.
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Une fille, un endomètre
Tout à commencé lorsque j’ai appris que je faisais partie de ce petit groupe chanceux, comprenant 10% à 30% des femmes en âge de procréer. Comme vous pouvez le constater les chiffres sont aussi incertains que l’avenir politique des Républicains.
En bref, j’ai appris que j’étais atteinte d’endométriose il y a quelques jours.
Bon, peut être pas il y a quelques jours, mais maintenant j’ai le droit de le dire sans que ma mère me dise “Tu dis n’importe quoi”, vu que des spécialistes l’ont confirmé !
C’est sur que comparé à un cancer phase terminale, vivre dans un pays en guerre ou porter du Desigual, ce n’est pas la plus grande des horreurs sur terre. Cependant, c’est suffisamment angoissant et douloureux pour moi comme pour en faire un blog.
Ce blog à donc comme principale fonction de passer ma frustration en essayant de dédramatiser ma situation avec beaucoup beaucoup d’humour, car bon, vaut mieux en rire qu’en pleurer non ?
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ao3feed-sambucky · 2 years
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Was this really a good idea ?
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by Black_wavess
Cinq étudiants qui partent en vacance, ça ne se passe jamais bien, mais en plus si ce groupe comporte des idiots de premières, il n’y qu’un résultat qui peut aboutir : le chaos. Mais mieux vaut en rire qu’en pleurer, non ?
Words: 261, Chapters: 1/?, Language: Français
Fandoms: Marvel Cinematic Universe, Marvel, The Avengers (Marvel) - All Media Types, The Avengers (Marvel Movies)
Rating: Teen And Up Audiences
Warnings: Creator Chose Not To Use Archive Warnings
Categories: Multi
Characters: Tony Stark, Loki (Marvel), Clint Barton, Natasha Romanov (Marvel), Steve Rogers, James "Bucky" Barnes, Sam Wilson (Marvel), Bruce Banner, Thor (Marvel)
Relationships: Loki/Tony Stark, Clint Barton & Natasha Romanov, Steve Rogers/Natasha Romanov, James "Bucky" Barnes/Sam Wilson
Additional Tags: Alternate Universe - College/University, Alternate Universe - Modern Setting, Alternate Universe - No Powers, Fluff, Comfort, Humor, Holidays, Camping
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ao3feed-lokitony · 2 years
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Cinq étudiants qui partent en vacance, ça ne se passe jamais bien, mais en plus si ce groupe comporte des idiots de premières, il n’y qu’un résultats qui peut aboutir : le chaos. Mais mieux vaut en rire qu’en pleurer non ?
Words: 261, Chapters: 1/?, Language: Français
Fandoms: Marvel Cinematic Universe, Marvel, The Avengers (Marvel) - All Media Types, The Avengers (Marvel Movies)
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cricri-speak · 4 years
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Séance #10: [Le mème pour une cause social]
Ils afflux sur votre page Facebook dans les commentaires ou dans les publications. La majorité sert à imager une expression, un point de vue. Souvent utiliser comme divertissement et pour faire rire, le mème est un phénomène abondant sur les réseaux sociaux. Autre que pour le plaisir, il peut aussi soutenir une cause sociale.
« Avant de concerner l’Internet, la notion de mème proposée par Dawkins définit une unité minimale de propagation des cultures » (Renaud, 2016, paragr.1). C’est effectivement, ce à quoi a servi le mème de Johniqua Charles, à propager sa culture. Lorsqu’elle s’est fait arrêter sans motifs valides, celle-ci a commencé à chanter au policier qu’il allait perdre son travail. Son rap est devenu viral sur le Web. Il est devenu un hymne pour les manifestations anti-violence policières à l’échelle mondiale (The conversation, 2020, parargr.1). La propagation de cette chanson a offert une arme de résistance pour les Afro-Américains. D'autre part, les mèmes renforcent le sentiment populaire (Arseneau,2019, paragr.4). Ils servent d’ailleurs à dénoncer des situations positives ou négatives (Arseneau,2019, paragr.10). Ceux-ci ont l’avantage de traverser les frontières culturelles et de toucher les différentes classes sociales (The conversation, 2019, parargr.8). Ainsi, les injustices sociales se retrouvent dénoncées par le mème dont sa force est l’absurdité et l’exagération. Certains experts qualifient cette exagération de déformation de la réalité (Arsenau, 2019, paragr.9).
Selon moi, le mème est un moyen d’expression justifié. Effectivement, en trop grand nombre ceux-ci peuvent mener à un dérapage, voir à une complexification ou à une déformation de la situation. Cependant, les réseaux sociaux fournissent une tribune aux citoyens. Cette façon imagée d’illustrer un enjeu de société permet une vulgarisation du problème, facilite son accessibilité et sa compréhension. Ces montages assurent une sorte de soutien et renforcent les communautés sur les réseaux sociaux. De plus, mieux vaut en rire qu’en pleurer.
The conversation. (28 octobre 2020). Le «mème» une arme de résistance pour les Afro-Américains. Repéré au : https://theconversation.com/le-meme-une-arme-de-resistance-pour-les-afro-americains-145277
Renaud, C. (2016). Les mèmes internet : dynamiques d’énonciations sur le réseau social chinois Sina Weibo. Travaux de linguistique, 73(2), 27-43. https://doi.org/10.3917/tl.073.0027
Arseneau, Maya. (7 avril 2019). L’expression de l’opinion publique par les mèmes. Radio-Canada. Repéré au :https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1161685/stq-traverse-opinion-publique-memes
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extrabeurre · 4 years
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BORAT SUBSEQUENT MOVIEFILM de Jason Woliner: Wa wa wee wa!
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Sans exagérer, j’ai rarement ri aussi fort que durant l’avant-première montréalaise de Borat: Cultural Learnings of America for Make Benefit Glorious Nation of Kazakhstan en 2006. Évidemment, en cette année étrange où il est de moins en moins possible de vivre une expérience cinématographique collective, l’effet d’entraînement d’être dans une salle pleine de gens qui rigolent est absent lorsqu’on regarde la suite, seul chez soi. Mais cela ne minimise pas l’immense impact humoristique de Borat Subsequent Moviefilm: Delivery of Prodigious Bribe to American Regime for Make Benefit Once Glorious Nation of Kazakhstan, assurément la comédie de l’année.
Pour vous rafraîchir la mémoire, Borat Sagdiyev (Sacha Baron Cohen) est un reporter du Kazakhstan sans éducation, sans manières et sans pudeur. Au-delà de sa moustache mal entretenue, de son habit cheap et de son accent caricatural, il démontre une incompréhension totale de choses qu’on prend pour acquises, passe souvent des commentaires incroyablement offensants — en 2006 et encore plus en 2020, alors que les humoristes marchent de plus en plus sur des œufs — ou fait des choses parfaitement ridicules. Mais le plus intéressant de ces films est que le personnage fictif de Borat interagit souvent avec du vrai monde, des individus connus ou pas, qui réagissent à ses frasques avec incrédulité, tout en exposant parfois aussi des aspects troublants de leur propre système de valeurs, tragiquement partagé par de grands pans de la société américaine, qui est devenue exponentiellement plus absurde au cours des dernières années. Mieux vaut en rire qu’en pleurer? 
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  On a demandé aux critiques d’éviter de dévoiler les moments forts de ce nouveau documenteur ou d’identifier les victimes de Borat, mais évidemment, nombre de journalistes n’ont pas pu s’empêcher de divulgâcher certains éléments qui, force est d’admettre, sont d’intérêt médiatique. L’effet de surprise étant crucial dans une comédie, j’éviterai personnellement de répéter quelconque gag ou de décrire en détail toute situation, pour simplement vous confirmer que oui, le film comporte comme son prédécesseur son lot de scènes outrancières, choquantes et délirantes. 
Le récit commence lorsqu’après de longues années dans un goulag, Borat est à nouveau envoyé aux États-Unis, afin de livrer un pot-de-vin à l’administration Trump dans le but d’améliorer les relations du Kazakhstan avec cette dernière. Ce « stupid foreign reporter » étant maintenant un personnage inscrit dans la culture populaire, il doit enfiler différents déguisements pour aller à la rencontre de divers intervenants cette fois-ci. Attaque satirique en règle contre la nation MAGA, le film se moque notamment des complotistes et des anti-masques qui prennent de plus en plus de place dans l’espace public, une partie du tournage ayant eu lieu depuis le début de la pandémie de COVID-19.
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  Or, la révélation du film est Maria Bakalova dans le rôle de Tutar, la fille de Borat, qu’il maltraite horriblement, sa culture étant profondément misogyne en plus d’être antisémite. Sans trop en dire, je me dois de souligner qu’un des points saillants du scénario est l’improbable émancipation féministe de Tutar et l’évolution de sa relation avec son père. Il y a des touches grotesques à cette trame narrative, bien sûr, mais elle est néanmoins porteuse d’un message positif et, ma foi, assez touchant.
Si ce n’était que du climax avec un certain politicien célèbre dont tout le monde parle, Borat Subsequent Moviefilm serait un des films les plus marquants de 2020. Mais tout le film est drôle et audacieux et, je réitère, étonnamment poignant thématiquement et émotionnellement. 
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 Borat Subsequent Moviefilm sera disponible sur Prime Video dès ce vendredi 23 octobre.
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intimeanonyme · 8 years
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En allant en cours ce matin, je me suis rendue compte que cela faisait longtemps que je n’avais plus publié sur Tumblr et je me suis dit que c’était peut-être un signe montrant que j’allais vraiment mieux. Et puis je suis allée chez L, je lui ai reparlé de mes parents et j’ai eu envie de pleurer. Alors peut-être que je ne vais pas si bien que ça et que je ne suis pas prête à oublier aussi rapidement que ma mère m’a dit que personne ne m’aimait et que toutes ces blagues à propos de “j’m’en fous, de toute manière personne ne m’aime !” ne sont qu’une manière d’en rire. Car il vaut mieux en rire qu’en pleurer.
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Les envahisseurs
Mieux vaut en rire qu’en pleurer. David Vincent les a vus !
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utopiedujour · 5 years
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Boris Johnson en prison !, le 12 septembre 2019 – Retranscription
Retranscription de Boris Johnson en prison ?, le 12 septembre 2019. 
Bonjour, nous sommes le jeudi 12 septembre 2019 et si vous me voyez sourire dans cet exposé qui sera consacré au Royaume-Uni, ce sera en vertu du principe qu’il vaut mieux en rire qu’en pleurer. Toute ironie de ma part relèvera de la catégorie britannique bien connue du gallows humour, l’humour noir, l’humour de potence et les Anglais, les Britanniques, sont encore disposés à rire de ce qui est en train de se passer dans leur pays, qui est quelque chose d’extraordinaire dans leur histoire.
On commence par un dessin humoristique. Je vous le montre d’abord.
Il y a donc deux personnes qui sortent du 10 Downing Street, qui est la résidence officielle des Premiers ministres britanniques, et l’un s’adresse à l’autre. Il a une expression un petit peu défaite et il dit la chose suivante : « Eh bien voilà alors le nouveau plan. Si Boris est en prison, eh bien, IL EST DANS L’IMPOSSIBILITÉ d’aller à Bruxelles et de demander une extension ». Voilà, c’est le nouveau plan.
À quoi ça fait référence ? Ça fait référence aux choses que les Britanniques observent ces jours-ci. M. Boris Johnson a une carrière calamiteuse. Six motions ont été présentées au Parlement depuis sa nomination et 6 ont été des défaites cinglantes pour son camp. Mais son camp essaye encore d’expliquer à chaque fois que ce revers supplémentaire « cache quelque chose », « permet d’utiliser l’atout », la carte qui permettra de sauver la mise et qu’en fait, tout ça, c’est « un plan diabolique, machiavélique pour faire avancer les choses ! ». Le dernier épisode machiavélique, c’est donc que M. Johnson soit non seulement renversé mais qu’il atterrisse carrément en prison et ça lui permettra de réussir son plan machiavélique qui est donc une sortie de l’Union européenne sans accord.
Les journées précédentes ont été catastrophiques pour M. Johnson. Je vous ai tenu au courant. Hier, il y a encore eu deux évènements qui sont parmi les revers majeurs les plus considérables. Le premier, je vous en parlé tout de suite. Ça a fait la une des journaux britanniques et de la presse internationale : une Cour d’appel en Écosse a dit que la décision, la prorogation, la décision d’ajourner le Parlement pour 5 semaines par M. Johnson était illégale et elle a laissé entendre que le fait qu’il l’ait « vendue », qu’il ait convaincu la reine d’accepter cette mesure le mettait en position délicate vis-à-vis, justement, de la justice. Il pourrait s’agir d’une chose pour laquelle il pourrait être carrément, effectivement, poursuivi. Ça relève, sinon de la haute-trahison, de la trahison en tous cas. C’était une très très mauvaise nouvelle.
Sur un mode très trumpien, un porte-parole du 10 Downing Street, donc l’équivalent de la Maison-Blanche, a dit que c’était la preuve que les Écossais étaient biaisés. Accusation absolument ridicule : les Écossais, la justice écossaise, la justice de tout le royaume s’efforce d’avoir le même niveau de haute qualité et la suggestion que le jugement était passé en Écosse pour essayer d’empêcher que ce soit en Angleterre était absolument ridicule parce que la personne devait savoir – et était donc de mauvaise foi –  que si la demande avait été faite en Écosse, c’était parce que le département de la justice, le Palais de justice était fermé à Londres [pour les vacances] et que donc, il y a la possibilité, de la même façon qu’en France, de déposer quelque chose à Lille ou bien à Rennes ou à Perpignan. Ça ne fait aucune différence. C’est en principe la même justice qui s’exerce. Parfois, il y a donc des mesures de « dépaysement » pour empêcher un biais dans les décisions de justice mais, au niveau des Cours d’appel britanniques, il n’y a aucune suggestion que les choses puissent se faire autrement que dans le système général.
C’était une excellente nouvelle pour nous mais c’est une très mauvaise pour M. Johnson.
Il y a eu aussi, et ça, c’est la justice qui l’a imposé, que soit révélé le document qui s’appelle « Yellowhammer », le document de mesures et de précautions à prendre en cas d’un Brexit sans accord. Ce document avait déjà fuité au mois d’août mais on n’était pas très sûr, du coup, de sa provenance et de son statut. S’agissait-il d’un brouillon d’avant qu’il soit Premier ministre comme l’a prétendu M. Johnson ? Ce qui est faux puisque la date, maintenant, est vraiment visible. Il s’agit d’un document qui a été émis alors qu’il était déjà Premier ministre.
Le portrait est fait de catastrophes absolument abominables. Le trafic entre la France et la Grande-Bretagne, sur les premières 24 heures, pourrait tomber à la moitié ou encore moins : 40 %, de ce qu’il est, en raison du fait que les camions qui opèrent la rotation entre le continent et la Grande-Bretagne (qui dépend énormément du continent pour les produits pharmaceutiques et pour l’alimentation), la quasi-totalité, 85 %, de ces camions ne sont pas équipés pour leur permettre de passer en douane facilement en France, si bien que des retards d’1 jour et demi, 2 jours et demi sont à attendre, une baisse du trafic, donc de la moitié au moins, et une situation qui pourrait se maintenir pendant 3 mois.
Pour ce qui est des médicaments nécessaires d’urgence et dont le trafic, la circulation, doit être constante du fait que ce sont des produits à faible temps de conservation, on arriverait rapidement à une situation catastrophique du point de vue de l’approvisionnement des pharmacies en Grande-Bretagne.
Le document parle aussi de troubles à attendre de l’ordre public, avec des protestations, des manifestants contestant et des contre-manifestants, mobilisant une partie significative de la police, est-il dit, l’augmentation des prix qui en résulterait immédiatement mettrait les populations les plus exposées, dit le document, rapidement dans une situation très difficile en termes de coût de carburant, de fioul et d’alimentation.
Donc, un portrait catastrophique.
Les discussions qui ont lieu maintenant du côté du Parti conservateur sont de savoir s’il s’agit d’un de ces documents qui décrit la pire situation possible ? Le document utilise, lui, le mot de « raisonnable ». Il s’agit d’un scénario raisonnable des choses qui pourraient se passer. Il s’agit effectivement d’un worst case scenario [« si les choses tournaient mal »] c’est-à-dire une description de ce qui pourrait aller mal mais, est-il ajouté, « raisonnable », sans termes excessifs.
Situation très très difficile pour M. Johnson. Maintenant, on lui décrit la situation qui aurait lieu le 31 octobre si aucun accord n’avait lieu. Menacé de poursuites judiciaires éventuellement.
M. Dominic Grieve, l’ancien ministre de la Justice, avait demandé aussi à ce que soit divulguée la correspondance autour de la mesure, qui est donc désavouée par les tribunaux, d’interrompre, d’ajourner le Parlement pendant 5 semaines et ce M. Dominic Grieve, donc ancien ministre de la Justice sous David Cameron, c’est-à-dire donc une personnalité du Parti conservateur, dit qu’à sa connaissance, d’après ce qu’il a pu voir, cette correspondance – dont il a demandé qu’elle devienne publique – contient « les éléments d’un scandale » mais, bien entendu, le Parti conservateur, là, a refusé de diffuser ces documents, disant qu’ils étaient « de nature personnelle ». On a déjà entendu ça dans d’autres contextes.
Donc M. Boris Johnson qui, hier matin, était en position délicate, s’est retrouvé hier soir dans une position encore beaucoup plus délicate. Je vous tiens au courant.
***
Un petit commentaire d’ordre personnel. De 2005 à 2008, j’ai essayé d’alerter (sans avoir un blog à l’époque, simplement par des mails, par des courriers, en écrivant un livre), j’ai essayé d’annoncer, de prévenir, d’alerter à la crise des subprimes qui allait avoir lieu.
J’étais bien placé. Je me trouvais dans un secteur très proche [le secteur prime]. Puis j’ai travaillé dans le secteur même des subprimes, délibérément, une fois mon manuscrit non  pas publié mais terminé, et je n’étais absolument pas écouté.
Il y a eu quelques articles [à moi] publiés en 2005-2006 annonçant la crise mais de manière tellement confidentielle qu’il ne s’agissait pas vraiment d’alerter : il n’y avait pas assez de gens qui le voyaient.
Ce qui a paru était en français, ce qui encore n’était pas le meilleur moyen de faire circuler l’information aux États-Unis.
Bien sûr, mes collègues savaient ce que je disais. La plupart disaient d’ailleurs la même chose, ou faisaient circuler les informations que je mettais ensemble.
Les faits m’ont donné raison. Comme je le disais l’autre jour –  je rappelais encore hier qu’Aristote dit qu’on peut dire avec certitude de l’avenir, deux choses. Des choses nécessaires, on peut dire qu’elles auront lieu. Et ça, ça a été le cas de ce que j’ai essayé de faire avec la crise des subprimes. Et l’autre chose qu’on peut dire à propos de l’avenir, c’est que les choses impossibles ne peuvent pas avoir lieu : elles n’auront pas lieu, indépendamment du fait qu’une majorité du peuple, même importante, puisse voter pour des choses, des propositions impossibles, ça ne fait aucune différence : c’est impossible. C’est impossible = ça n’aura pas lieu.
J’ai répété au cours des trois années, depuis juin 2016 [date du referendum], j’ai fait des chroniques (dans le journal Le Monde ; j’ai fait des chroniques dans le journal L’Écho en Belgique ; j’ai fait des chroniques dans Trends-Tendances, le magazine des milieux d’affaires en Belgique) sur le Brexit. J’ai de quoi – là aussi, comme pour Trump – faire un volume en expliquant ce qui se passait au fur et à mesure.
Je connais bien l’Angleterre pour une raison différente [que les États-Unis]. Je n’ai pas travaillé dans la banque en Angleterre [P.J. si: un an dans la City à Londres] mais j’ai été, là aussi, au cœur du système d’une certaine manière : en étant un professeur à Cambridge (on peut difficilement être plus au centre de la vie intellectuelle en Grande-Bretagne). J’ai été là 10 ans. J’ai eu le temps de voir comment ça se passait.
Je voudrais remercier une personne, un « sujet britannique » comme on dit, qui m’a écrit, je crois que c’est hier… Cette personne réagissait au fait que j’ai dit (c’était avant-hier sans doute), que j’avais pleuré en regardant ce qui s’était passé au Parlement. C’était a disgrace. Voilà, c’était une tragédie. Ce n’est pas bien pour un pays d’en arriver-là (et encore, le petit document de la BBC que je vous ai montré était expurgé : on n’en était pas aux insultes pures et simples). C’est mauvais pour une nation.
C’est une grande nation. Elle a… entre 1940 et 1944, elle a servi d’exemple au monde. Pour les gens qui écoutaient secrètement la BBC dans les pays occupés, c’était important [P.J. le souvenir me revient alors de propos émus entendus de mes aînés, quand j’étais gosse]. C’était très important, sa résistance. Ça aidait tout le monde. C’était un exemple de persévérance, etc. (Tous les Britanniques ne sont pas des gens honorables. Je peux dire quelque chose, je dirais, de moins positif [rires] que j’ai dit quand j’étais jeune : dans une bagarre improvisée, je préférais de loin avoir des Français devant moi que des Britanniques parce que, voilà, ça se passe encore autrement… Voilà. C’est un petit élément un peu négatif [rires]).
Merci quand même à cette personne qui m’a donné des éléments d’information, qui m’a soutenu et moi, je l’ai soutenue à mon tour…
Nous sommes dans une période difficile : ce n’est pas avec plaisir que je vois ma « prophétie » se réaliser, que le Brexit est impossible. C’est avec tristesse.
C’était avec tristesse aussi les subprimes. Il est dommage que les gens qui crient « casse-cou » soient écoutés de manière distraite. J’ai été écouté de manière moins discrète pour le Brexit mais ça n’a pas fait beaucoup de différence. Je termine sur une petite note personnelle pour dire que tout ça ne me fait pas plaisir. Comme d’habitude, dans les tragédies, on voit l’humanité au mieux de sa forme et au pire de sa forme. Il y a, en Grande-Bretagne, des membres du Parti conservateur qui se conduisent de manière exemplaire et… héroïque…  bien que leurs opinions politiques ne soient pas ma tasse de thé, ni de café. Il faut le dire aussi.
Je continue de vous tenir au courant. Regardez la petite vidéo que j’ai faite à Trans-Mutation. Ce n’est pas mon exposé proprement dit. Mon exposé va venir (mon exposé devant la salle), mais là, c’est une petite capsule qui a été faite très bien par une personne qui s’occupait de ça, d’interviewer les intervenants sous forme de petite vidéo. Je parle de manière condensée de l’extinction – c’est une autre histoire, encore qu’elle soit liée malheureusement ! Si vous avez le temps de passer les 6 minutes à regarder ça…
Quand j’étais allé la fois précédente à Trans-Mutation, c’était il y a 7 ans sans doute, en 2012, on avait fait de la même manière (c’est la même personne d’ailleurs qui l’avait fait) une petite vidéo. Elle est bien regardée. Elle est très regardée. Elle fait partie de mes vidéos les plus vues que vous pouvez maintenant voir dans la colonne de gauche du blog.
Voilà, allez, à bientôt. J’espère pas « trop bientôt « parce que ça voudrait dire que les choses s’aggravent encore ici ou là dans un monde dont l’état présent ressemble fort à de l’effondrement.
Allez, à bientôt !
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sylvieerwan · 5 years
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Parfois, mieux vaut en rire qu’en pleurer. Pourtant au départ, cette histoire n’a pas de quoi faire sourire. Ce dimanche, une femme de 95 n’a pas pu voter à Nérac dans le Lot-et-Garonne, tout simplement parce qu’elle était considérée comme… morte !
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blogbenelaunay · 6 years
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Promis, le prochain post sera plus drôle.
Julie se lance dans son ressenti du cancer de sa mère...moi.
Contrairement à ce qu’on pense, la position «d’accompagnant » est quand même très chaude ... je ne l’ai vécu que de loin avec Manu, ma cousine, que j’appelais tous les dimanches depuis l’annonce de son cancer sauf... le dimanche précédent sa mort... ce hasard de mon manquement m’a longtemps perturbée.
Comme si la magie d’un appel eût pu bouleverser l’ordre des choses, empêcher la mort...
J’ai refusé obstinément de me rendre à ses obsèques...
La maladie ne pouvait être pire pour moi à vivre que de vivre à nouveau celle d’un proche!
D’où mon ironie permanente!
Place à Julie...
Je rajoute juste un mot: France Lise a été une rencontre magnifique pour nous deux... et, ce n’était qu’un tout petit (de putain de merde...) cancer du sein qui l’a emportée...
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Maman,
En mai/juin 2014, on est allée à Paris. Je venais d’apprendre que tu étais malade. On a mangé les glaces Berthillon dans un bar. On est rentré dans une boutique sur l’île de la cité. J’ai vu un petite carnet qui me plaisait. Tu as décidé de me l’acheter. Tu as glissé que ça pourrait peut- être m’aider.
Il n’a pas du tout le même ton que ton blog. Tu en fais ce que tu veux. Publier ou garder pour Papa et toi.
Il m’a cependant beaucoup aidé. Ce que j’ai écrit, c’était dans les moments où le moral était bas. Tu constateras que c’était plutôt rare compte tenu des fois où j’écrivais dedans.
31 juillet 2014
Y a-t-il un moment où l'on réalise ? Au début quand on te l'annonce ? Par la suite quand tu vois l'ampleur de la chose ? Ou bien à la fin quand arrive la "happy end" ou cette fin que tu avais tant redoutée ?
Aujourd'hui, je n'ai pas de réponse à cette question.
L'annonce de la maladie a été un peu surprenante. On ne s'attend jamais vraiment à cela, on pense toujours que c'est pour les autres.
Mon frère n'a pas pleuré, il est resté bloqué, sans un mot. Pour ma part, le nom de la maladie a retenti dans ma tête et déclenché une réaction immédiate. Je n'ai même pas eu le temps de comprendre ce que cela représentait vraiment. Ce nom fait peur, il effraie mais pourtant tu ne sais pas ce que c'est exactement malgré tout ce que tu peux apprendre à l'école. Alors, tu te calmes, tu réfléchis à ce que ça peut signifier. Tu continues ta petite vie comme si rien n’avait changé. C'est évidemment un leurre car tout a et va changer.
La maladie s'impose, tu n'as pas ton mot à dire. Dans un premier temps ça va devenir le sujet de discussion à table, le soir quand tu rentres des cours etc.... Puis, dans un second temps, ça ne va plus être uniquement des discussions, cette maladie, tu vas en voir sa portée, l'effet qu'elle a sur le physique.
Ce qui est étonnant avec cette maladie, c'est qu'à côté, les gens qui se plaignent vont réellement t'énerver. Leurs petites plaintes quotidiennes que jusqu'à présent tu pouvais supporter vont te mettre presque hors de toi.
Au fur et à mesure que la maladie s'installe, tu vas chercher la fuite. Des vacances font du bien, ça permet de déconnecter de cette réalité désagréable. Finalement, je n'appellerai pas ça faire mais prendre des distances. Sans cela, cette maladie ne touche pas uniquement la malade, elle bouffe aussi son proche entourage.
On dit que les vrais amis sont ceux qui restent dans les moments difficiles mais quand on partage une douleur comme celle-ci avec ses amis, malheureusement ils peuvent rester mais toutes les paroles qu'ils prononceront seront vaines. Il n'y a rien à dire à cela. C'est à ce moment là qu'on se rend compte que la confidence avec quelqu'un sera dure.Alors pourquoi ne pas se confier à personne ?
1er août 2014
"Ca va aller", "ça a été pris tôt, il n'y a pas d'inquiétudes à avoir"... Ces phrases reviennent tellement souvent. Les gens disent ça comme si c'était une évidence que cette maladie ne perdurera pas. Je l'espère mais le soucis avec ce genre de choses, c'est que ça ne part jamais vraiment et que si cette chose veut te bouffer, elle te bouffera. Donc finalement, ces phrases de réconfort n'ont aucun intérêt car personne ne sait. Quelqu'un dit condamné peut se soigner et l'autre, dont on disait qu'il n'y avait pas de soucis à se faire, peut finir sa vie plus rapidement qu'il croyait. C'est le hasard. Alors on espère, on attend car il n'y a plus que cela à faire. On, nous, je. Oui j'attends seule. On a notre propre réaction et personne d'extérieur ne peut comprendre ce que l'on ressent. Saez a écrit "Tous différents dans la même merde". Dans sa chanson, même s'il décrit le côté individualiste d'une population, on peut donner une interprétation différent en considérant que le "tous différents" correspond à nos réponses personnelles face à un problème commun : "la même merde".
En lisant l'écume des jours de B.Vian, j'avais trouvé son oeuvre magnifique, touchante. Il y a un côté si poétique et pourtant l'histoire est si tragique. L'étau qui se resserre, voilà ce que j'ai ressenti
Les premiers jours, après l'annonce. Un sentiment d'oppression. Le roman de B.Vian a alors pris tout son sens. Autour de toi, il n'y a plus qu'elle. Petit à petit, tu avances et ça se resserre, l'image de la maison qui s'assombrie et pourrie, t'apparaît. C'est pas ta maison qui pourrie, non, tu en prends trop soin, comme la petite souris, mais c'est son atmosphère qui devient insoutenable et l'air irrespirable.
Cette maladie te fais grandir à une vitesse inimaginable. Elle a un impact direct sur ta vision des choses. D'abord tu vas cesser de te plaindre, tu découvres concrètement ce qu'est la relativité (pas pour autant que tu l'apprécies le jours de l'épreuve du bac physique !). Ensuite, tu vas supporter les autres qui ne passent heureusement pas par cette épreuve et donc se plaignent. Tu vas aussi devenir beaucoup plus franche envers tes amis et ce, quitte à manquer de délicatesse. Enfin, tu vas prendre conscience de la valeur d'une vie. Tu comprends qu'à chaque instant quelque chose peut se produire et ôter la vie d'une personne que tu aimes. C'est là, à ce moment là que tu apprends à dire : je t'aime.
4 août 2014
Un regard dans le silence ou bien un geste ont tellement plus de valeur que des mots. Quand j’ai annoncé à certaines personnes pour la maladie, une m’a dit je suis désolée. Oui, moi aussi. Et maintenant, on fait quoi ? Il faut rester si conforme, c’est effrayant.
A la maison, on rit de cette maladie. Bon bien sûr on rit parfois de travers mais il vaut mieux en rire qu’en pleurer, n’est ce pas ?
Pour le moment les traitements lourds n’ont pas commencé. On a les infos, on sait que pour le moral ça ne va pas être facile mais avons nous le choix ?
Je pense que pour tout le monde un bol d’air ferait du bien.
Non daté
Je ne voulais pas en parler à mes amis pour ne pas les inquiéter. Pourtant, j’avais réellement besoin d’en parler. Marjorie fut donc la personne à qui j’ai pu me confier. Etant mon amie d’enfance, il était logique qu’elle soit informée car elle connait ma mère depuis toujours.
Je ne savais pas qu’elle pleurerait. C’était sûrement égoïste de ma part mais j’avais besoin de partager mes peurs, ce poids avec quelqu’un. Je n’en ai pas reparlé ensuite. Bien sur, à la maison on en parlait sans arrêt donc à l’extérieur j’avais envie de ne pas y penser.
Non daté
Lundi 15 décembre 2014. 10 jours avant noël. Rentrée d’une journée d’examens. Ce fameux “assieds toi” que je connais maintenant. J’ai refusé de m’asseoir en me disant que cela ferait disparaitre la mauvaise nouvelle. Ce calcul était erroné. Je me suis assise et ma mère m’a annoncé la mort de Youki.
Non daté
Quand je pense que c’est bon ! Le cancer est mort, il n’y a plus de traitements. Ca soulage. Ce qui est étrange c’est que je n’ai jamais douté qu’elle s’en sortirai. Pour moi c’était évident. Je pense que c’est ce terme “cancer” qui m’a fait flipper. Après, quand je vois l’état physique dans lequel ça l’a mis, cela était très stressant. Les traitements sont vraiment lourds et ce n’est pas facile de voir sa mère fatiguée, la peau brulée, l’envie de vomir. Au final, ce qui m’a sûrement le moins perturbé, c’est la perte de cheveux.
Nous avons fêté sa fin de cancer, un beau jour. Pourtant, j’ai eu une constante envie de pleurer. Oui, on a gagné sur le cancer mais entre temps on a perdu Youki. Maman ne le dira surement pas, tout comme papa et Alix, mais ne pas lui avoir dit au revoir reste quelque chose qui est difficile à digérer. J’ai du mal à me dire que je verrai plus la truffe de mon chien.
Je me dis que j’ai eu de la chance. Ma mère n’a pas eu le pire cancer, elle est toujours avec nous donc je n’ai pas de raisons légitimes de me plaindre.
Non daté
Hier j’ai rencontré France-Lise, une amie de maman. Elles se sont rencontrées à l’IGR. Comme pour maman, elle n’a montré aucune faiblesse, elle semble débordante d’énergies et je ne la vois pas faiblir de si tôt. C’est une femme incroyable.
13 juin 2017
Aujourd’hui maman a été opérée ! Reconstruction ! Certaines personnes étaient angoissées pour elle. Moi je suis juste contente pour elle parce que ça va dans le sens de la guérison. On y voit vraiment du positif. Ils ont du la réopérer, là j’ai moins fait maline. On s’accroche. Je suis sûre que ça va lui faire du bien de retrouver un corps dans lequel elle se sent bien. elle a tellement dû s’accrocher ! Je suis fière d’elle, de Papa ! Il ‘épaule.
21 août 2018
Malgré ce qui est écrit. Non, le cancer n’est pas mort. Ce n’est pas aussi facile. Ca fait 4 ans et il est toujours là que ce soit dans les opérations pour la reconstruction, dans l’hormonothérapie ou encore les rendez-vous à l’hôpital.
Je me considère toujours chanceuse. J’ai toujours ma maman. Et, mon père et mon frère ont assuré grave.
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akemoi · 6 years
Text
« Il vaut mieux en rire qu’en pleurer ! », le 19 juin 2018 – Retranscription
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