#je ne suis pas fait pour la social life

[ciboulo]

Dans les derniers jours j’ai été social, un peu trop et un beau matin je me suis réveillé avec des feux sauvages, ce qui est terrible. On ne les voit pas vraiment mais j’ai quand même l’impression que ma tête au complet est un feu sauvage et ça me gêne assez.

La morale de l’histoire est de ne jamais laisser entrer des gens dans votre vie, ils vont toujours finir par vous faire du mal

[maddiesbookshelves]

The Locker Room, by Timothé Le Boucher

It is a place where savagery knows no bounds. A place where foggy glass windows house a ruthless social hierarchy. A place where no one is truly safe. They call this place...the locker room. As teen boys discover a renovated locker room at their school, it becomes the nexus of genuinely life-altering events. Body shaming, bullying, and the cruelty of prying eyes are only the tip of the iceberg inside this cauldron of hormones and developing adolescent minds.

Would I recommend it to anyone? Really not to everyone, the bullying is pretty intense, so I'd advise people who are sensitive to it to be careful.

Level of (dis)satisfaction based on the summary and my expectations? I thought it would be in line with Ces jours qui disparaissent (The days that disappear), but not at all. While it's pretty different, the atmosphere is still nerve-racking, just for different reasons. But I still liked it anyway.

My thoughts on it? The fact that it's a "closed hearing" accentuates the stifling atmosphere, this idea that you can't escape this microcosm, its rules, its hierarchy. I really had middle school flashbacks and thought "damn, so glad we didn't have showers and that we weren't boys, the locker rooms were already stressful as they were."

The ending surprised me a lot, I didn't expect the story to take a turn like this. Timothé Le Boucher knows how to write an impactful ending, that's for sure.

French version under the cut

C'est un endroit où la brutalité n'a aucune limite. Un endroit où les vitres en verre opaque abritent une hiérarchie sociale impitoyable. Un endroit où personne n'est vraiment à l'abri. On appelle cet endroit... les vestiaires. Lorsque des adolescents découvrent des vestiaires rénovés de leur école, ils deviennent le nexus d'évènements qui vont changer leurs vies. Body-shaming, harcèlement, et la cruauté des regards inquisiteurs ne sont que la partie visible de l'iceberg dans ce chaudron d'hormones et d'esprits adolescents en développement.

Est-ce que tu le conseillerais à quelqu’un ? Vraiment pas à tout le monde. C’est assez hard niveau harcèlement donc attention aux personnes qui y sont sensibles.

Niveau de déception/satisfaction par rapport au résumé et tes attentes ? Je pensais que ça serait un peu plus dans la même lignée que Ces jours qui disparaissent mais pas du tout. L’ambiance est assez différente tout en restant angoissante, juste pour d’autres raisons. Mais dans tous les cas j’ai bien aimé.

Avis sans spoiler ? Le fait que ce soit un huis clos renforce le sentiment d’étouffement, cette idée qu'on ne peut pas échapper à ce microcosme, ses règles et sa hiérarchie. J’ai vraiment eu des flashback du collège et je me suis dit “putain, heureusement qu’on avait pas de douches et qu’on était pas des garçons, les vestiaires faisaient déjà assez stresser comme ça.”

La fin m’a vraiment surprise, je m’attendais pas à ce que l’histoire prenne un tournant pareil. Timothé Le Boucher sait comment écrire une fin marquante en tous cas.

[alialwaysmakeitlooksexy]

also i literally saw a documentary about white people going into some camp, in south africa, that teaches you to literally hate black people because, je cite : « tous ce qu’ils veulent c’est se venger des blancs ». déjà si on veut apparemment se venger c’est qu’avant tout y’all did some shit i think ???? et 2 chaque jour i see new reasons to why i should NEVER date a white person. like my list is sooo loooooonggg.

in my entire life i have NEVER met a single white person that didnt, at some point, said something that was based on a racist ideology. and yes i do believe every white person is like that because en tant que la « race inferieure » (AVEC DES ENORMES GUILLEMETS MAIS C JUSTE DE MANIERE SOCIALE OBVY) j’ai été socialiser afin d’agir de certaines façons lorsque je suis dans des predominantly white places et entourée de blancs. mais les blancs MDR, JAMAIS de la vida ils iront faire l’effort d’aller s’éduquer un minimum pour avoir un respect basique envers les minorités puisqu’ils savent pertinemment qu’ils sont la « race supérieure  ». et quand bien même ils iraient le faire y’a trop de choses qui lack, genre c’est littéralement dans leur éducation et socialisation. j’ai un exemple pertinent sah : lorsque j’étais amie avec X je lui avais clairement expliquée que taylor swift was EXTREMELY problematic because elle fais clairement l’appologie du white feminism et WEIRDLY à partir du moment où elle a arrêtee d’être amie avec moi, sa SEULE amie noir, elle a recommencée à ecouter du taylor swift. SEE ??? y’all don’t care about us at some point ! j’ai aussi pleins d’exemples avec mon ex mdr mais wtvr. la seule personne qui m’a seulement dis UNE SEULE FOIS un truc limite c’est nemo, et il faut savoir que toute ma vie j’ai été dans des pwi donc j’ai surtout côtoyer des blancs et je ne peux pas compter le nombre de fois où j’ai entendu des choses qu’on pourrait clairement definir de raciste tellement il y’en a. genre la seule personne blanche que je trust with my entire soul parce qu’elle fait un vrai effort d’écoute et de compréhension et que tout simplement c’est une normal human being qui a jamais involontairement reagis en mode « im white im superior », C’EST NEMO. et je parle même pas de l’intersectionnalisme (jsp si je peux mettre un « isme ») parce que c’est encore plus gros comme sujet et ça dépasserais le niveau basique de compréhension genre. et je parle encore moins des hommes pcq eux vraiment comme tata a dis on leur a pisser aux crânes à la naissance, genre j’me dis c’est pas décevant si ils comprennent rien ils sont juste né cons. bon anyyyywayyysss i apologize to my ancestors for still having crushes on white people, i might fall in love with one because i cant control it😆😆😆 but at least i’m educated on how awful they are towards poc et ça m’empêchera de end up with one xx

[shalomelohim]

All Souls Orchestra - Majesty (prom praise official) ft. Martin Smith - England-USA

“ L'Eternel règne, il est revêtu de majesté, L'Eternel est revêtu, il est ceint de force. Aussi le monde est ferme, il ne chancelle pas. Ton trône est établi dès les temps anciens ; Tu existes de toute éternité. “ (Psaume 93:1-2)

“ Mon âme, bénis l'Eternel ! Eternel, mon Dieu, tu es infiniment grand ! Tu es revêtu d'éclat et de magnificence ! “ (Psaume 104:1)

♥ ♥ ♥

Elohim / Dieu est l’Auteur de la beauté et de la belle musique. Il guida le roi David, le roi Salomon et d’autres personnes pour monter de magnifiques chorales, qui chantaient et louaient Elohim à des occasions spéciales (Construction du Temple, Saintes Convocations...) :

“ Et David dit aux chefs des Lévites de disposer leurs frères les chantres avec des instruments de musique, des luths, des harpes et des cymbales, qu'ils devaient faire retentir de sons éclatants en signe de réjouissance. “ (1 Chroniques 15:16)

“ Au moment où les sacrificateurs sortirent du lieu saint, -car tous les sacrificateurs présents s'étaient sanctifiés sans observer l'ordre des classes, et tous les Lévites qui étaient chantres, Asaph, Héman, Jeduthun, leurs fils et leurs frères, revêtus de byssus, se tenaient à l'orient de l'autel avec des cymbales, des luths et des harpes, et avaient auprès d'eux cent vingt sacrificateurs sonnant des trompettes, et lorsque ceux qui sonnaient des trompettes et ceux qui chantaient, s'unissant d'un même accord pour célébrer et pour louer YHWH, firent retentir les trompettes, les cymbales et les autres instruments, et célébrèrent YHWH par ces paroles : Car il est bon, car sa miséricorde dure à toujours ! En ce moment, la maison, la maison de YHWH fut remplie d'une nuée. ” (2 Chroniques 5:12-14)

“ David et tout Israël dansaient devant Elohim de toute leur force, en chantant, et en jouant des harpes, des luths, des tambourins, des cymbales et des trompettes. “ (1 Chroniques 13:8)

“ Les sacrificateurs se tenaient à leur poste, et les Lévites aussi avec les instruments faits en l'honneur de YHWH par le roi David pour le chant des louanges de YHWH, lorsque David les chargea de célébrer YHWH en disant : Car sa miséricorde dure à toujours ! Les sacrificateurs sonnaient des trompettes vis-à-vis d'eux. Et tout Israël était là. “ (2 Chroniques 7:6)

“ Les Lévites prirent place avec les instruments de David, et les sacrificateurs avec les trompettes. Ezéchias ordonna d'offrir l'holocauste sur l'autel ; et au moment où commença l'holocauste, commença aussi le chant de l'Eternel, au son des trompettes et avec accompagnement des instruments de David, roi d'Israël. Toute l'assemblée se prosterna, on chanta le cantique, et l'on sonna des trompettes… “ (2 Chroniques 29:27-28)

Pouvons-nous imaginer dans le monde à venir :

la musique splendide, les choeurs, les danses qui accompagneront les Fêtes d’Elohim et l’adoration de Yahshua / Jésus à Jérusalem ?

les défilés impressionnants de dignitaires, d’hommes et de femmes de toutes classes sociales, affluant dans la Ville Sainte – frissonnant de voir et d’adorer directement leur Créateur ?

Beaucoup apporteront avec eux de magnifiques présents, des choses précieuses avec lesquelles ils adoreront Yahshua / Jésus, leur Roi pour l’éternité, qui sera assis en personne sur Son Trône à Jérusalem !

AlleluYAH !

♥ ♥ ♥

Lyrics (Google traduction) :

Here I am humbled by Your Majesty Ici, je suis humilié(e) par Ta Majesté Covered by Your Grace so free Couvert par Ta Grâce si libre Here I am, knowing I’m a sinful man Je suis là, sachant que je suis un homme pécheur Covered by The Blood of The Lamb Couvert par Le Sang de L'Agneau

Now I’ve found The Greatest Love of all is mine Maintenant j'ai trouvé que le plus grand amour de tous est le mien Since You laid down Your life Depuis que Tu as donné Ta vie The Greatest Sacrifice Le plus grand sacrifice

Majesty, Majesty Majesté, Majesté Your Grace has found me just as I am Ta Grâce m'a trouvé tel que je suis Empty handed, but alive in Your Hands Les mains vides, mais vivant entre Tes Mains

Here I am humbled by The Love that You give Ici, je suis humilié par l'Amour que Tu donnes Forgiven so that I can forgive Pardonné pour que je puisse pardonner Here I stand, knowing that I’m Your Desire Je me tiens ici, sachant que je suis Ton Désir Sanctified by Glory and Fire Sanctifié par la Gloire et le Feu

And now I’ve found The Greatest Love of all is mine Et maintenant j'ai trouvé que le plus grand amour de tous est le mien Since You laid down Your Life Depuis que Tu as donné Ta Vie The Greatest Sacrifice Le plus grand sacrifice

Majesty, Majesty Majesté, Majesté Your Grace has found me just as I am Ta Grâce m'a trouvé tel que je suis Empty handed, but alive in Your Hands Les mains vides, mais vivant entre Tes Mains

Majesty, Majesty Majesté, Majesté Forever I am changed by Your Love Pour toujours je suis changé par Ton Amour In the Presence of Your Majesty En présence de Ta Majesté Majesty, Majesty Majesté, Majesté

Majesty, Majesty Majesté, Majesté Your Grace has found me just as I am Ta Grâce m'a trouvé tel que je suis Empty handed, but alive in Your Hands Les mains vides, mais vivant entre Tes Mains

[nimphontheshore]

Hey babydoll,

Today marks one year since I’ve confessed to you. Which is… Crazy, isn’t it ? Un vendredi treize, it has always been a lucky day for me. Je suis très nostalgique ce soir — et sûrement I will be today — je trouve ça drôle, de me revoir un an plus tôt, à passer par trois milles chemin pour confess; à hésiter, revenir sur mes paroles avec la boule au ventre. Tellement nerveux, when I look back, I don’t really recognize myself. It was so new to me. Puis, de se regarder now… Tout le chemin qu’on a fait. Maintenant, mon comportement n’a plus de secrets pour toi — ni pour moi, d’ailleurs. Now I know one thing for sure : I’ve just been in love with you since then, l’intensité de mes sentiments était si forte; assez pour me faire perdre la tête : back then, and obviously still now. Je me souviens de ta réaction, je me souviens de nos échanges embrouillés à la suite (ma faute, i know) mais je me souviens surtout des jours/semaines qui ont suivi, et comment on était encore plus attaché l’un à l’autre. On était vraiment des petits mentally ill tbh… Je trouve que c’est fou, à quel point on a prit les choses sérieusement aussi vite, à quel point on voyait tout sous un angle très deep. Alors qu’au fond, on aurait pu juste… Être sérieux, sans pour autant s’en demander trop, sans se casser la tête. Comme tout situationship (ew) normal, right? But we did nothing normal. Or maybe we’re the only type of normal in this whole entire world. One thing for sure, both of hearts knew, well before our minds. C’est la seule explication pour tout ça, pour notre comportement, tu vois ? Y’a toujours eu ça entre nous, some kind of invisible force, that got us so close, fighting for each other without realizing it. And I’ve always fought for that, always.

1 an que im standing in front of you, choosing you, over and over again. Tu sais, j’ai toujours été sûr de toi. You’re the only thing I’ve been sure about in my entire life. Même dans les moments où j’ai pu montrer ou dire le contraire, it was just a defense mechanism, me being scared or heartbroken, but in the end, je le savais, que si ce n’était pas toi, ce ne serait jamais personne. Tu sais, avant toi, je tombais sur des vidéos (encore now) on socials, des gens qui montraient à quel point they were in love and sharing everything with someone and then breaking up, then finding someone else and it felt like they were sharing the same intensity, that basically, it was the… Same kind of feelings, same kind of connexion. Je m’exprime mal mais tout ça pour dire que. J’ai jamais aimé cette idée, comme quoi on puisse construire des connexions avec énormément de personnes et que ces connexions soient toutes aussi intenses les unes que les autres, et qu’on puisse pleurer autant pour une, puis pareil pour la suivante. And now that I have you, ça renforce juste mon thought comme quoi it could never been me. I’ve cared before, of course I did, but it’s nothing close to what we have. The pain I’ve felt with you, wasn’t like anything I’ve ever lived through with anyone else. Et j’insiste sur le anyone, not even in the past years. Et pourtant, je pensais avoir tout connu de la douleur affective, amoureuse, whatever they wanna call it. I really thought I went through it all, but falling in love with you showed me wrong. I learned everything from the beginning, i began feeling so much more deeply. It’s so different, you know? Emotions, feelings, everything is different with you. I really feel like you are all of my firsts — and that makes sense because you are, since you’re the one. Before don’t actually… Matter. Et je dis pas ça pour cracher dans ma soupe but it’s true. I just needed you to truly see, to truly feel; et je sais que mes mots sont réels et pas seulement de belles paroles parce que, pour le coup, tout ça se traduit dans mes actes; dans mon comportement et dans l’amour que j’essaie de te donner au quotidien. Tout ça résonne avec all the love and care I’ve got for you. Je voulais dire que je suis une toute nouvelle personne with you but truth is… Je pense que I’ve just discovered myself, really.

So thank you doll for being with me. Merci de m’avoir fait confiance, de m’avoir laissé une chance y’a tout juste un an, merci d’avoir été vulnérable enough to let me peek inside, because I really liked it and never wanted to leave again. So many things could have gone wrong but everything went right. Tout ça c’est parce que we’re always so true with each other, because our love is literally so fucking huge and pure, parce qu’on se connaît et y’a rien entre nous; pas d’égo, pas de shame, rien. C’est nous against them all, quoi qu’il arrive. Et je sais que tout se passera bien. Parce que je sais que tu m’aimes, tu sais que j’t’aime à en crever (quite literally) et jamais je ne mettrai ça en péril volontairement. You’re my entire life now, I need to take care of you as much as I take care of myself (if not more. Yes! Priority!)

Happy one year of Kier being so down bad and Nereid falling right with him. C’était le début d’une longue guerre until I did make you mine.

Ps: You’ve been mine since, originally, this date. It’s really like that in my head, you know? Because since then, even if we had a couple of weeks of bad days, même dans les pires moments, c’était toujours nous deux contre tous. Même quand tout allait mal, c’était toi dans ma tête et moi dans la tienne, consciemment ou non. T’es à moi depuis ce jour, le 13 octobre 2022, et je suis si reconnaissant que tu sois toujours avec moi aujourd’hui et de plus, as my girlfriend.

🎤 Alors madame, ça fait quoi de se coltiner Kier, DATING Kier, depuis un an aujourd’hui ?

[madamedupigeonsalon]

Psychologie : peut on tout dire ?

Oui , j ai fais des erreurs dans ma vie . Je ne suis pas parfait. J avais une envie de réussir ( a cause de la pression sociale). J ai toujours envie de réussir mais pas laisser de ma personne pour autant. Aujourd’hui, je veux me voir dans le miroir.

J ai pu dire des choses à des personnes ( amis ou famille ) dont je ne suis pas fier. Pourquoi ? Parce que je devais réussir ! Avec une mère sérieuse et femme de devoir ( attention, elle m aimais beaucoup) je voulais la rendre fière . J ai passé une partie de ma vie à la rassurer sur mon parcours. Je lui disais pas souvent que je l aimais mais j apprend aujourd’hui et je me redécouvre de la même manière.

Est ce que je pouvais dire : comment tu vas ? Non … ça ne m intéressait pas. J avais de l éducation mais il y avait des phrases qui comptent pas.

J ai été dur avec certaines personnes, on m a laissé des traces et avec le recul j ai laissé des traces aussi. J étais pas dans le présent. Heureusement, j ai changé de chemin et bien sur ça me fait tout drôle . Pourquoi ? Parce que j ai trouvé le rôle d homme que je joue dans la société.

Psychologiquement, j ai un équilibre dans ma tête . Quelques regrets ( d avoir heurté des gens) et parfois ça m a donné une peur pour le vide… mais ça va mieux. J apprend à vivre le moment présent et le bonheur immédiat : carpe diem.

Pour résumer , je crois qu on peut tout dire mais a tout le monde mais si on peut tourner 7 fois sa langue dans sa bouche et bien , faites le ! Oui , il faut pas tout bousculer parce qu on peut blesser des personnes qu on aime. Prenez soin de vous , prenez soin des autres.

Psychology : can we say everything ?

Yes, I have made mistakes in my life. I'm not perfect. I wanted to succeed (because of social pressure). I always want to succeed but not give up on myself. Today I want to see myself in the mirror.

I have said things to people (friends or family) that I am not proud of. For what ? Because I had to succeed! With a serious mother and a woman of duty (be careful, she loved me very much) I wanted to make her proud. I spent part of my life reassuring her about my journey. I didn't often tell him that I loved him but I'm learning today and I'm rediscovering myself in the same way.

Could I say: how are you? No...that didn't interest me. I had an education but there were sentences that didn't count.

I was hard on certain people, people left marks on me and looking back I left marks too. I wasn't in the present. Fortunately, I changed path and of course it makes me very funny. For what ? Because I found the role of man that I play in society.

Psychologically, I have a balance in my head. Some regrets (having bumped into people) and sometimes it gave me a fear of heights... but it's getting better. I learn to live in the present moment and immediate happiness: carpe diem.

To summarize, I believe that you can say anything to everyone, but if you can turn your tongue in your mouth 7 times, well, do it! Yes, you shouldn't upset everything because you can hurt people you love. Take care of yourself, take care of others.

Kevin Ngirimcuti

[aspiekazan]

Comment on s'appelle ? / What's our name ?

On va un peu se présenter ici. De manière anonyme, bien entendu. Je m'appelle Kazan. J'ai actuellement 28 ans, je suis éducateur auprès d'enfants et adolescents déficients intellectuels et autistes. Pour une fois, le cordonnier est bien chaussé et je suis autiste dit "Asperger", diagnostiqué officiellement depuis 7 mois seulement. Mes centres d'intérêts spécifiques sont suffisant pour que j'en tire deux catégories: les sciences de l'univers et de la terre et l'art. (Que je peux tout à fait détailler en sous-catégories). J'ai un émerveillement et une sensibilité exacerbée pour le Beau, un sens particulier du Beau d'ailleurs. Je suis perfectionniste, mais la perfection est propre à chacun. Pourquoi ce blog ? L'autisme, de part mon métier, est devenu un centre d'intérêt bien à lui. De part mes difficultés sociales, j'ai toute ma vie chercher à comprendre l'être humain et la psychologie des neurotypiques. J'emprunte souvent la citation de Sartre "L'enfer c'est les autres.", mais j'ai espoir qu'un jour nous vivions tous en harmonie (Je peux être du genre utopiste, en tous cas j'essaye.) J'en suis venu donc à la conclusion suivante: cela ne pourra se faire qu'au travers de la sensibilisation et de l'information. Aujourd'hui, il persiste de majeurs stéréotypes et préjugés sur l'autisme, la plupart étant été fondé par des personnes comme Freud ou bien Hans Asperger lui-même (pour ne citer qu'eux). Et j'aimerai, comme beaucoup d'autistes ayant la capacité de communiquer sur eux-mêmes, parler de mon vécu et ressenti. J'aimerai grâce à mes connaissances d'éducateur, mettre en avant la théorie et le concret des personnes autistes.

J'espère me faire comprendre, me faire entendre avec toute la bienveillance et la tolérance nécessaire. J'apprends encore tous les jours, je modifie mon vocabulaire comme je le peux pour qu'il soit le plus inclusif possible (l'écriture inclusive ne m'est encore pas automatique, veuillez m'en excuser), car je sais ô combien blessante et dévalorisante la langue française peut parfois être. ************************************************************************ We’re going to introduce ourselves here. Anonymously, of course. My name is Kazan. I am currently 28 years old, and I am an educator for children and adolescents with intellectual disabilities and autism. For once, the shoemaker is well shod and I am autistic said "Asperger", officially diagnosed for 7 months only. My specific interests are sufficient for me to draw from it two categories: the sciences of the universe and the earth and art. (which I can fully detail in subcategories). I have a heightened sense of wonder and sensitivity for the Beautiful, a particular sense of the Beautiful for that matter. I am a perfectionist, but perfection is unique to everyone. Why this blog? Autism, because of my profession, has become a center of interest on its own. Because of my social difficulties, I have all my life tried to understand the human being and the psychology of neurotypics. I often borrow Sartre’s quote "Hell is the others." , but I hope that one day we all live in harmony (I can be a utopian type, anyway I try.) So I came to the following conclusion: this can only be done through awareness and information. Today, there are still major stereotypes and prejudices about autism, most of which were founded by people like Freud or Hans Asperger himself (to name just a few). And I would like, like many autistic people with the ability to communicate about themselves, to talk about my experience and feelings. I would like thanks to my knowledge as an educator, to put forward the theory and the concrete life of autistic people. I hope to make myself understood, to be heard with all the necessary kindness and tolerance. I am still learning every day, I change my vocabulary as I can to make it as inclusive as possible (inclusive writing is not yet automatic, please excuse me), because I deeply know how painful and shameful the French language can sometimes be.

[lesombresdeschoses]

THE WEIRD LIFE MAGAZINE

« Je me souviens de chaque instant vécu là-bas. Dans les limbes. Ce Nexus étrange créé par ma grand-mère. Un trou noir qui m'engloutit pour m'ouvrir les yeux sur ma vie. Cette existence de mort. J'étais morte. Je renais. J'avais parfois l'impression de vivre la vie d'une autre. De mon double dans un autre univers. »

Lawrina Mortensen, l'ex-inspectrice de la brigade criminelle de Londres est devenue romancière après son expérience insolite. Plongée, pendant trois mois, dans un profond coma, notre héroïne a expérimenté toute une existence.

L'Au-Delà. Dans cette sphère, personne n'était conscient d'être mort. Tout ce petit monde croyait vivre dans la réalité. La petite fille de l'ex-agent du MI6 Yvonne O'Donnell, belle, intelligente, mais butée, ne voulait pas comprendre que sa carrière dans la police la détruisait, entraînant son entourage dans cette funeste déchéance. Morgann Mortensen, sa soeur, assassinée lors d'une mission d'infiltration. Dell, l'adolescent témoin du meurtre de celle-ci. Deyn son époux a sombré dans la folie après qu'elle l'a quitté. L'inspecteur Chef Tyler Declan McKenzie, son collègue, décédé des suites de ses blessures en lui sauvant la vie. De l'autre côté du miroir, Lawrina Mortensen en a vu de toutes les couleurs, il fallait qu'elle comprenne qu'il est inutile de s'accrocher à une existence qui ne veut pas de vous. Une carrière qui détruit tout sur son sillage. Lawrina n'est pas responsable de tout les malheurs du monde, les gens font leurs propres choix. En aucune façon, elle n'a pu impacter ces choix. Et pourtant, sa culpabilité grandissant, l'inspectrice s'acharnait à vouloir corriger une trajectoire dont l'origine ne dépendait pas d'elle. Chacun est responsable de sa destinée. Personne d'autre. Lawrina ne pleure jamais. Elle ne pleure jamais les morts. Elle ne montre jamais ses sentiments. Elle ne s'attache jamais. Trop de fantômes dans sa vie. Être flic, c'est aussi porter le deuil des autres.

Aujourd'hui, l'Ecossaise - aux origine irlandaises - de trente-neuf ans a opéré un changement à trois-cent-soixante degrés. Romancière de talent, Le livre des rêves - son recueil de nouvelles fantastiques campé dans un univers de science fiction - est devenu un best-seller. Ses fans attendent la suite avec impatience. Inspiré par son expérience et le journal intime de sa grand-mère, le premier livre est la promesse d'une longue série de romans passionnants.

Les héros de ses récits sont un hommage à tous ceux qui ne peuvent plus témoigner de l'extraordinaire aventure qu'est la vie sur notre belle planète bleue. Tyler McKenzie et Yvonne O'Donnell vivent dans le coeur de Lawrina Mortensen. L'immortalité à portée de plume.

*

Etienne Leroy. J'ai aimé cet homme, mais je ne me suis jamais attachée à personne, pas même à lui. L'Univers est tellement plus grand qu'une simple histoire d'amour. J'ai parfois l'impression que c'est l'égo qui aime et que le cœur vit, tout simplement.

A chacun son puzzle. Tout est intriqué et c'est ce qui fait la beauté de cette toile universelle.

Ce journal de bord, je vous le dédie. A vous, mes petites filles. Chacune de vous deux aura son parcours, ses embuches, son enfer. N'ayez pas peur. Vivez. Ne craignez pas le changement, ne craignez pas l'existence. Elle vous donne les outils pour appréhender l'univers, quand l'heure sera venue. Mourir n'est pas la fin. C'est un changement d'état. N'ayez pas peur du changement. N'ayez pas peur de laisser mourir les choses. Ne laissez pas votre esprit s'étioler dans la médiocrité du dictat social. Vivez.

Je l'aimais et pour cela je l'ai laissé mourir. C'était son destin. Son chemin. Son expérience.

Yvonne Renée O'DONNELL

*

Une belle leçon existentielle.

Alisson MORIARTY pour THE WEIRD LIFE MAGAZINE. 

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A la question : Pourquoi la poule traverse-t-elle la route, voici comment chacun répond :

RENÉ DESCARTES : Pour aller de l'autre côté.

PLATON : Pour son bien. De l'autre côté est le Vrai.

ARISTOTE : C'est la nature des poules que de traverser les routes.

KARL MARX : C'était historiquement et socialement inévitable.

HIPPOCRATE : c’est en raison d'un excès de sécrétion de son pancréas.

MARTIN LUTHER KING : J'ai la vision d'un monde où toutes les poules seraient libres de traverser la route sans avoir à justifier leur acte.

KAIS SAÏD : La poule n'a jamais traversé la route. Je suis le seul à pouvoir le faire.

SIGMUND FREUD : Le fait que vous vous préoccupiez du fait que la poule ait traversé la route révèle votre fort sentiment d'insécurité latente.

BILL GATES : Nous venons justement de mettre au point le nouveau Office 2022 qui ne se contentera pas seulement de faire traverser les routes à vos poules, mais couvera aussi aussi leurs oeufs, les classera par taille…

GALILEE : Et pourtant, elle traverse.

L'EGLISE DE SCIENTOLOGIE : La raison pour laquelle la poule traverse est en vous, mais vous ne le savez pas encore. Moyennant la modique somme de 1000 $ par séance, une analyse psychologique vous permettra de la découvrir.

EINSTEIN : Le fait que ce soit la poule qui traverse la route ou que ce soit la route qui se meuve sous la poule dépend uniquement du référentiel dans lequel vous vous placez.

JEAN-CLAUDE VANDAMME : Je suis aware que poule a traversé la road parce qu'elle sait qu'elle la traverse. Tu vois la route c'est sa vie et sa mort, la route c'est tout le potentiel de sa vie, et moi Jean Claude Super Star quand le truck arrive sur moi, je pense à la poule et je fusionne avec tout le potentiel de la life de la road ! Et ça c'est beau !

FOREST GUMP : Cours poule cours !!!

STALINE : la poule devra être fusillée sur le champ, ainsi que tous les témoins de la scène et 10 autres personnes prises au hasard, pour n'avoir pas empêché cet acte subversif.

EMMANUEL MACRON : C’est parce que la poule a trouvé du travail de l’autre côté comme tous ses compatriotes qui contribueront à réduire le taux de chômage selon nos prévisions.

WILLIAM SHAKESPEARE : Traverser la route ou ne pas la traverser ? Telle est la question !

GEAN GABIN : Maintenant je sais que tout le monde sait que la poule n'a jamais traversé la route

Lequel vous a convaincu ?

Ma réponse à moi la 1 il s’avère que c’est un coq qui l'attendait

[dagss]

comme prévu on part sur une de mes célèbres périodes de disparition ✨

je disparais officiellement jusqu'à dimanche prochain (le 12 décembre). peut-être plus loin, mais le 15 y'a spidey no way home qui sort alors j'vais devoir revenir pour hurler j'pense

anyway c'est un truc que je fais souvent et faut pas s'inquiéter, et je mets toujours un message pour prévenir quand je le fais. comme c'est la première fois que je le fais depuis que j'ai ce blog et que @dagonet est un peu + impliqué dans le fandom kt, j'explique vite fait pourquoi sous le cut.

bref si jamais vous avez des choses à porter à mon attention pendant mon absence, vous pouvez les poser dans ma askbox et je verrais ça dimanche prochain ♥

aren't u curious!! kzsgdfc je pars parce que : life is hard, i'm depressed, et je suis basiquement au bout de tout là, mon cerveau est vide. but it's ok je suis pas suicidaire du tout je suis juste très anxieuse et socialement je suis horrible donc j'ai besoin parfois de juste plus exister aux yeux des autres pour recharger mes très petites batteries, les vrais connaissent. arhem. en plus voilà, je suis déjà anxieuse en permanence et là le psy bientôt ça multiplie environ par 187.

(ndlr : j'ai mon premier rdv chez le psy le 22 décembre donc je viendrais 100% chialer en ligne ce jour-là, si je le fais pas c'est que je suis trop fucked up et qu'il m'a internée de force et dans ce cas-là bah................ venez me chercher idk??? ça arrivera pas mais jépeur pcq je sais pas comment ça marche le psy, et l'anxiété fait que j'imagine le pire scénario par défaut, it's ok don't mind me, bref)

enfin voilà, en gros si je continuais à poster alors que je suis comme ça, ce serait juste des posts assez pathétiques & i don't like being like this aux yeux de tous ksjksjksj

si vous me voyez connectée tejez-moi, mais vous me verrez pas connectée vu que je rêve de tout couper depuis des semaines, sweet sweet solitude. j'ai besoin d'être injoignable donc svp ne cherchez pas à me contacter par d'autres moyens, j'ai besoin de stopper la pression des interactions etc, ça inclut aussi discord et twitter qui sont mes deux autres rs et que je coupe tout pareil. normalement vous aurez pas de trucs urgents à me communiquer donc it's fine!!

ZOUBIS on se revoit à mon retour <3

[empiredesimparte]

LONG ENTRETIEN : Le Prince Napoléon, un homme d'avenir

INTERVIEW: Prince Napoléon, a man of the future

Prince Napoleon has been the head of the imperial household since he was a young boy. Shock encounter with Francesim's mysterious prince charming.

Le Prince Napoléon est le chef de la maison impériale depuis son plus jeune âge. Rencontre choc avec le mystérieux prince charmant de Francesim.

My lord, you have been in Paris for a year now, what has changed for you since your return from exile?

The feeling of being back with my own people has been a great emotion. The people of Ajaccio and Paris have been very welcoming and I'm grateful to them. Now I can devote myself fully to my public and political responsibilities.

You have been the head of the imperial house since you were just eight years old. Your grandfather appointed you as his heir...

I'm proud to be a Simparte, and like my grandfather, I believe that my name means progress above all. To serve the Francesim is the duty of every Napoleon. My predecessors were modern men and I follow their traces as a requirement.

How did you feel the day you received this dignity?

I have always been very close to my grandfather. His death still evokes a deep sadness in me. I remember all the imperial ceremonies in Belgisim around this handover. As a child, I didn't understand all the subtleties of such a role, but I knew that it would change my life.

Your father never received the title of head of house, how did he feel about his son receiving it to his detriment?

My father is a straightforward person who has always had his own view of politics. He was undoubtedly affected by it, but did not oppose it. Today, he works with the Belgisim royal family and is happy about it. For my part, I wanted to return to my country.

And what about your mother? What did she inspire you to do? After all, she left you the Bourbon legacy...

My mother has always supported me, and taught me that I should bring honour to my family through merit and modesty. My name does not make me the person I am: it inspires me and it is up to me to continue the work of this prestigious heritage.

Do you intend to get involved in Francesim?

I have worked a lot in exile, I have observed the strengths and weaknesses of our country since my studies in various foreign countries. I am concretely committed to Francesim since I joined the army, and I intend to bring our country into the modern world. Many universal values are - knowingly or unknowingly - forgotten by our politicians.

What kind of politics would you pursue?

I want to do good, and I have never hidden my imperial pretensions. I will soon be touring Francesim to listen to our citizens and bring them my solutions: a liberal and social empire, which goes beyond the divisions of republican politics. The modernity of the two previous empires inspires me and I hope will inspire the French.

Do you think the Republic is outdated?

I think so. Like everything else, it has its strengths and weaknesses. But today, it is sitting on its achievements and politicians only think about the next elections. Everything is thought of for the elections, there is no more sincerity, only the lure of power and corruption. The Emperor is an independent, modern, pragmatic and immortal leader and administrator.

Chapter 0 - Le vol de l’Aigle : Beginning ⸺ Previous ⸺ Next

Monseigneur, vous êtes arrivé à Paris depuis un an maintenant, qu'est-ce qui a changé pour vous depuis votre retour d'exil ?

Le sentiment de retrouver les miens a été une grande émotion. Les habitants d'Ajaccio et Paris ont été très accueillants et je leur en suis reconnaissant. Maintenant, je peux me consacrer pleinement à mes responsabilités publiques et politiques.

Vous êtes le chef de la maison impériale depuis l'âge de 8 ans à peine. Votre grand-père vous a désigné comme son héritier...

Je suis fier d'être un Simparte, et comme mon grand-père, je pense que mon nom signifie le progrès avant tout. Servir la Francesim est le devoir de tout Napoléon. Mes prédécesseurs étaient des hommes modernes et je suis leur trace comme une exigence.

Qu'avez-vous ressenti le jour où vous avez reçu cette dignité ?

J'ai toujours été très proche de mon grand-père. Sa mort m'évoque encore une tristesse profonde. Je me souviens de toutes les cérémonies impériales en Belgisim autour de cette passation. Petit, je ne comprenais pas toutes les subtilités d'un tel rôle, mais je savais que cela allait changer ma vie.

Votre père n'a jamais reçu le titre de chef de maison, comment a-t-il vécu de voir son fils le recevoir à son détriment ?

Mon père est quelqu'un de droit, qui a toujours eu sa propre vision de la politique. Il en a été affecté indéniablement, mais ne s'y est pas opposé. Aujourd'hui, il travaille auprès de la famille royale de Belgisim et en est heureux. Pour ma part, j'ai souhaité rentrer au pays.

Et qu'en est-il de votre mère ? Que vous a-t-elle inspiré ? Après tout, elle vous a légué l'héritage des Bourbon...

Ma mère m'a toujours soutenu, et m'a appris que je devais faire honneur à ma famille par le mérite et la modestie. Mon nom ne fait pas la personne que je suis : il m'inspire et c'est à moi de poursuivre l'oeuvre de cet héritage prestigieux.

Comptez-vous vous engager en Francesim ?

J'ai beaucoup travaillé en exil, j'ai observé les forces et les faiblesses de notre pays depuis mes études dans divers pays étrangers. Je suis concrètement engagé pour la Francesim depuis mon entrée à l'armée, et je compte bien faire basculer notre pays dans le monde moderne. Beaucoup des valeurs universelles sont - sciemment ou non - oubliées par nos politiques.

Quelle sorte de politique mèneriez-vous ?

Je veux faire le bien, et je n'ai jamais caché mes prétentions impériales. Prochainement, je ferai le tour de la Francesim pour écouter nos concitoyens et leur apporter mes solutions : un empire libéral et social, qui dépasse les clivages de la politique républicaine. La modernité des deux précédents empires m'inspire et je l'espère, sauront inspirer les français.

La République est, selon vous, dépassée ?

Je le crois. Comme toute chose, elle a ses forces et ses faiblesses. Mais aujourd'hui, elle s'est assise sur ses acquis et les politiciens ne pensent qu'aux prochaines élections. Tout est pensé pour les élections, il n'y a plus de sincérité seulement l'appât du pouvoir et corruption. L'Empereur est un leader et un administrateur indépendant, moderne, pragmatique, et immortel.

[gwardensblog]

🍵🗒️ 𖥦 [𝐆𝐫𝐞𝐞𝐧𝐲-ᵇˡᵒᵍ].𝖼𖦹𝗆 ִֶָ 𔘓𓂃 ִֶָ

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ﾟ。 。【Ｔｈｏｕｇｈｔ¹】

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˚๑🌨️꒱✦┊ Slice of life stories

╰┈➤ C'est drôle, je me lance dans ce petit concept un peu inutile si on est honnête avec nous même. Parler de sa vie sur un blog et sur un réseau social les gens s'en foutent et vivent leur vie.

- : ̗̀➛ Pendant que d'autres, ont réfléchis trop. Sur des choses qui prend la tête et qui te ronge l'esprit et ton corps. Chacun à sa façon de gérer son problème, nous sommes tous et toutes différents, un mal être, une situation n'est pas plus grave qu'une autre. Certaines personnes mettent le doigt rapidement sur un ressenti, sur un mot, pour nous...

Parler de notre vie c'est un calvaire. Ça te tracasse, ça te bouffe psychiquement. Les lundis matins sont simples pour d'autres, et nous c'est encore une journée ou on survit à cette réalité.

Le bonheur n'est pas si simple à avoir.

- : ̗̀➛ C'est compliqué hein ? Je sais. Ici je vous parlerais de mon mal être, mal être que peut connaisse sans doute.

Le déni d'une situation.

Pendant longtemps j'ai fait comme si ma situation était normale. Que des violences conjugales étaient "normales".

Non.

- : ̗̀➛ J'ai mis du temps. Des larmes. Des cries, des angoisses. Des peurs. Et j'ai pas fini ma propre thérapie. Je le dirais qu'une fois. Ce mot est encore dur à sortir de mes lèvres, même à l'écrit.

2020-2021.

Notre famille a été abandonnée par notre géniteur.

- : ̗̀➛ Pour l'instant je ne rentrerais pas dans détails des évènements. Faisons doucement. Les mots me manquent et nous manquent.

C'est débile n'est-ce pas ?

D'avoir des périodes de joie et d'avoir une simple fatigue de fin de journée. Et parfois. Nous avons des périodes. Ou on se sent irréelle, extérieur aux autres, trop différents, trop mature peut-être ? On est pas assez rond, on est trop triangle, trop carré pour les autres.

Je n'ai pas fini d'aller mieux. Je suis peut-être être entrain d'atteindre le gouffre pour mieux remonter après tout ? Nos victoires ne seront que plus belles. Nous pleurerons plus de remords, de tristesse, de haine envers la vie. Nous pleurerons de joie ensemble.

J'en suis sûrement à la dernière étape. J'ai la haine et la tristesse de la vie. J'ai perdu des kilos, mes 50kg sont partis en lambeaux, j'en fais maintenant 42 pour 1m70. C'est peu. J'ai trop pris conscience des choses beaucoup trop

violement. Oui. C'était un menteur, manipulateur, une créature violente. J'ai encore ses mots qui tournent dans ma tête : "Tu es une menteuse." Moi sa propre fille j'étais une menteuse à ses yeux.

- : ̗̀➛ Au yeux du monde on est des menteurs.

"Ça va passer" "Sale dépressif" "T'es trop bizarre". Toi aussi tu as eu ça hein ? Je sais. On le sait. Non. On est pas tous et toutes dépressifs et dépressives. On est en décalage avec les autres. On a trop conscience que le bonheur n'est pas encore à notre portée. Se lever le matin est encore un fardeau. Les insomnies n'est pas que parce qu'on arrive pas à dormir. Non. On a peur du lendemain. On a peur de revivre nos angoisses. De vivre avec cette fatigue émotionnelle.

- : ̗̀➛ Peut-être que nous avons un mal psychologique ? Peut-être ? Après tout nos peurs viennent d'un traumatisme. J'ai peur du noir. Le noir ce sont les nuits ou j'entendais des cries et des coups. Je suis emetophobe aussi. Non. Ce n'est pas que la peur du dégoût de vomir. C'est aussi la peur de vomir en soit. Alors quoi ? On se restreint. Je me restreint de manger. Le fais-je volontairement ou non ? J'en sais rien. Le fais-je parce que je le hais ? J'en sais rien. On réfléchit trop. Des questions bêtes qui prennent trop la tête et de place dans notre vie.

- : ̗̀➛ Je crois que pour aujourd'hui j'en ai assez dit... ? Je n'ai plus rien à dire. Peut-être que j'écrirais de nouveau ce soir, les publications seront sans doute aléatoires.

Vous pouvez parler librement de ce qui vous ronge en commentaires. Safe place. Le ou la première qui dénigre une autre personne je bloque et je signale. J'espère que vous allez bien, que votre journée c'est bien passé. Que vous vous reposez convenablement. Je finis personnellement à 19h45, je suis crevé, et mes yeux me piquent un peu. J'ai rien révisé pour les galops d'essais de cette semaine et de l'autre. Je panique même pas, je suis dépitée de moi-même. J'ai pas de motivation lors des examens de toute façon. :/

- : ̗̀➛ Je vous aimes.

C'est normal de ne pas aller bien.

Tu n'est pas seul•e.

D'autres sont trop triangles ou carrés comme toi. Et je vous aime. Je vous soutiens. On y arrivera mes p'tits anges. J'en suis sur. La victoire sera belle. Baisse pas les bras. La vie est une pute oui. Je suis d'accord. Mais. Tu auras connu plus d'expérience que les autres. Et ça.

- : ̗̀➛ Ça te rend plus humains•es que les autres. 🤍

5:33 PM 22 nov. 2021

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꒰꒰🥛︰୨୧︰𝐆𝐨𝐨𝐝𝐛𝐲𝐞

[extrabeurre]

2020: On a plié, mais on a tenu

Il ne me viendrait normalement jamais à l’idée de lister tous les films que j’ai vus en salle pendant une année, mais 2020 est exceptionnelle de bien des façons, étant entre autres de loin l’année où je suis le moins allé au cinéma de ma vie adulte. Donc, dans l’ordre : 1917, Bad Boys for Life, Jay and Silent Bob Reboot (suivi d’un Q&A avec Kevin Smith en personne), Le rire, Mafia Inc., Jusqu’au déclin (première mondiale aux RVQC)... puis après une pause de 6 mois, le fameux Tenet. Les salles ont ensuite été forcées de refermer leurs portes dans les zones rouges, alors que Hollywood reportait de toute façon pratiquement toutes ses sorties à 2021.

Peu de films vus sur grand écran, donc, mais j’en ai néanmoins regardé énormément. On connaît la chanson : vidéo sur demande, Blu-ray, DVD, l’occasionnelle VHS, ainsi que les incontournables plateformes de diffusion en continu. Puis il y a eu l’édition virtuelle de Fantasia, un des moments forts de mon année, ainsi que quelques autres séances de festival en ligne ici et là. Soulignons par ailleurs que le Cinéma du Parc et le Cinéma Moderne offrent actuellement une programmation en ligne, en attendant la réouverture des salles. 

Autre fait notable : j’ai participé à une dizaine d’épisodes du podcast Rembobinage avec mon ami Hugo Prévost, où nous avons discuté de quelques-uns des titres qui se retrouvent dans mon top 10, en plus de revisiter plusieurs classiques. Le cinéaste Rafaël Ouellet s’est par ailleurs joint à nous pour discuter de Cop Land et The Sugarland Express récemment. Ça s’écoute via Pieuvre.ca. 

1 - LOVERS ROCK (Steve McQueen)

L’événement cinéma de l’année : une anthologie de cinq longs métrages réalisés par Steve McQueen, qui s’est intéressé à divers aspects de l’expérience des Afro-Caribéens en Angleterre, des années 60 aux années 80, abordant notamment des sujets encore tristement d’actualité comme le racisme systémique, le profilage racial, la brutalité policière, etc. Mon préféré du lot est de loin Lovers Rock. En 70 minutes, McQueen signe le film le plus sensuel de l'année, avec la meilleure trame sonore. Un house party jamaïcain à Londres en 1981, avec un peu de drame, un soupçon de tension, un brin de commentaire social en filigrane, mais surtout plein de belles personnes qui dansent, qui chantent, qui se courtisent, qui fument du weed et qui boivent de la bière. J'ai été complètement captivé par les couleurs chaudes des images, par la caméra qui déambule sur la piste de danse et à travers la maison, par le montage si fluide. C'est vraiment comme si on était là, ce qui est assez transcendant en cette année de distanciation sociale et de confinement. Probablement le meilleur film de party que j'ai vu de ma vie. La séquence de Silly Games est extraordinaire, bien sûr, mais j'aime autant, voire plus celle de Kunta Kinte Dub. Mercury Sound! Mercury Sound! (Vu sur Prime Video)

2 - PORTRAIT DE LA JEUNE FILLE EN FEU (Céline Sciamma)

C'est quelque peu curieux que ce film ait remporté le Prix du scénario à Cannes alors que sa grande force est manifestement sa mise en scène. Le récit est plutôt simple, les dialogues épars, les personnages sommairement esquissés. Mais les images sont absolument glorieuses! C'est un film sur la beauté, l'art et l'amour où les mots sont presque superflus. Tout se joue dans les regards : ceux des actrices, celui de la réalisatrice. En ce qui me concerne du moins, les moments les plus émouvants sont purement visuels - incluant quelques éléments fantastiques inexpliqués. Du grand cinéma. (Vu en vidéo sur demande)

3 - LE RIRE (Martin Laroche)

« Ça va bien aller » dit un personnage dans les 5 premières minutes, et ce n’est qu’un des échos de 2020 que renferme ce film visionnaire. Le rire est un grand film sur la résilience, incarnée par l’extraordinaire Léane Labrèche-Dor, dont le personnage survit aux pires horreurs imaginables pour ensuite se dévouer à aider les autres. C’est une œuvre à la fois lourde et légère, sombre et lumineuse, lucide et rêveuse, fataliste et teintée d’espoir. (Vu au Cinéma du Parc)

4 - TENET (Christopher Nolan)

Une œuvre immense tant par ses set-pieces saisissantes que par ses concepts complexes. Rarement un film m’en a mis plein la vue aussi intensément. Plein les oreilles aussi. Comme dans pratiquement toute la filmographie de Nolan, le rapport au temps est le thème central du récit, qui est finalement un film de voyage dans le temps, ou plus précisément d’inversion temporelle, à classer avec les autres classiques du genre tels que The Terminator, Back to the Future et Twelve Monkeys. (Vu en IMAX au Cinéma Banque Scotia)

5 - THE WOLF OF SNOW HOLLOW (Jim Cummings)

Un film où l’humour et le pathos coexiste avec les codes d’un thriller à la Fargo ou The Silence of the Lambs et des éléments d’horreur. Comme dans tous les meilleurs films de genre, les personnages sont bien développés et divers thèmes sont abordés entre les scènes de suspense et de violence. Le film est dédicacé à la mémoire de Robert Forster, qui incarne le père du flic joué par Jim Cummings. (Vu en vidéo sur demande)

6 - SOUND OF METAL (Darius Marder)

Pouvoir entendre est quelque chose qu’on prend pour acquis, alors c’est vraiment anxiogène de regarder/écouter ce film où un batteur perd soudainement l’ouïe. Et pourtant, une bonne partie du film est calme, sereine, alors que le protagoniste « apprend à être sourd ». Le mix sonore est particulièrement inspiré, le silence y étant omniprésent. (Vu au Cinéma du Parc en ligne)

7 - i’m thinking of ending things (Charlie Kaufman)

Comme toujours chez Charlie Kaufman, ça peut être déprimant, malaisant, angoissant, mais c'est aussi hilarant. C'est ancré dans l'intériorité, les souvenirs pêle-mêle, l'absence de repères, les œuvres d'art qui vampirisent notre propre imagination, le rapport au temps. Au deuxième visionnement, on comprend davantage ce que la jeune femme idéalisée et le vieux concierge représentent; les indices sont là. En même temps, ça demeure mystérieux, ambigu, ouvert à interprétation(s). (Vu sur Netflix)

8 - DA 5 BLOODS (Spike Lee)

Le film s’ouvre avec un montage époustouflant au rythme de la première de six chansons tirées de What’s Going On de Marvin Gaye. Spike Lee offre une proposition foisonnante qui prend tour à tour la forme d’une buddy comedy, d’un pamphlet politique, d’un film d’aventure, et d’un drame psychologique. Si ce n'est que pour la performance hallucinante de Delroy Lindo, vous ne devez pas manquer ça. (Vu sur Netflix)

9 - FIRST COW (Kelly Reichardt)

Un western minimaliste. Patient. Discret. Avec une mise en scène méticuleuse, une direction artistique riche en détails, en textures. Un récit très organique, enraciné dans le territoire. Une histoire d'amitié. Une allégorie du capitalisme. Mais il n'y a rien que j'ai plus adoré que la tendresse avec laquelle Cookie trait la vache en lui jasant ça. (Vu en vidéo sur demande)

10 - NOMADLAND (Chloé Zhao)

Un émouvant film sur le deuil, le vieillissement, la fuite, l’esprit de communauté, la tyrannie du dollar… Sur l’idéal de l’Amérique aussi, loin du cauchemar actuel. Visuellement sublime, avec beaucoup de magic hour, de paysages magnifiques et de visages pleins de vécu, ce road movie adopte une approche à la fois contemplative, lyrique et quasi documentaire. (Vu lors de l’édition semi-virtuelle du TIFF)

MENTION SPÉCIALE (1) BORAT SUBSEQUENT MOVIEFILM (Jason Woliner)

J’ai hésité un peu à inclure ce film, même si j’estime qu’il s’agit de la comédie de l’année. Mais au gré de certains échanges, il m’est apparu évident que c’est un des films les plus marquants de 2020, surtout qu’une partie du tournage a eu lieu depuis le début de la pandémie et durant la campagne électorale américaine. Il fait bon retrouver Sacha Baron Cohen dans son rôle le plus célèbre, mais la révélation du film est Maria Bakalova dans le rôle de Tutar, la fille de Borat. (Vu sur Prime Video)

MENTION SPÉCIALE (2) HAMILTON (Thomas Kail)

Ce qui rend Hamilton particulièrement émouvant en 2020, c'est de se rappeler qu'au moment de déclarer leur indépendance puis de rédiger la Constitution, les États-Unis étaient basés sur des idéaux, qui semblent avoir été oubliés ces dernières années. En plus, le fait que la majorité des rôles soient ici joués par des personnes de couleur crée une vision de l'Amérique encore plus idéalisée. Lin-Manuel Miranda est un phénoménal raconteur d'histoires et d'Histoire, jonglant avec d'innombrables personnages, événements, thèmes et motifs récurrents à travers un flot torrentiel de mots chantés ou rappés. (Vu sur Disney+)

TOP 5 SÉRIES

1 - C’est comme ça que je t’aime (Jean-François Rivard)  2 - The Last Dance (Jason Hehir) 3 - The Mandalorian (Jon Favreau et coll.) 4 - The Queen’s Gambit (Scott Frank) 5 - Tiger King (Eric Goode & Rebecca Chaiklin)

[alicelacalisse]

20, 43, 63, 83!!

20. do you want a grand adventure ?

pas vraiment je pense ? j'ai l'impression d'être une personne qui ressasse énormément, j'ai du mal à vivre dans le présent donc je pense que je serais bloquée dans ce moment pour toujours

43. do you create art ? how do you define art ?

je pense que l'art est quelque chose qui est créé par les hommes, surtout, pour exprimer une idée de manière créative. c'est un moyen de communication d'émotions ou de pensées, ou alors juste un support pour les exprimer. pendant longtemps, j'ai fait du violon mais je ne pense pas que c'était de l'art, mais il me semble que j'écris assez bien (okay peut-être pas ici) et c'est peut-être la manière à moi d'être un peu artiste ☺️🌼 j'ai surtout l'impression d'être bonne pour décrypter et analyser, et pour moi c'est un peu une forme d'art ça aussi. même si c'est moins évident que les autres

63. how confident are you, really ?

ça dépend de quels aspects de ma vie on parle. je suis assez confiante en mon intelligence honnêtement et je pense que j'ai une bonne personnalité et que je suis une personne intéressante avec des opinions mais j'ai souvent des doutes sur ma capacité à vivre en groupe et à me sociabiliser (ce qui est aussi une forme d'intelligence en soit). et c'est beaucoup plus banal mais avoir confiance en soi physiquement ça reste difficile je trouve. j'ai la sensation d'avoir un corps facile à aimer (je suis grande et mince) mais par exemple je vis très mal le fait d'être poilue et d'avoir des poils là où d'autres filles n'en ont pas. j'ai du mal à regarder des photos de moi et ça me frustre très souvent (une fois quand j'étais au lycée j'avais amené des photos pour refaire ma carte de lycéenne pour ma réinscription et la dame de l'accueil m'a dit que j'étais jolie mais pas très photogénique et je pense à ça tout le temps). aussi quand j'étais au collège je ne rentrais pas du tout dans les standards de beauté, c'était vraiment la mode des filles avec des longs cheveux lisses, ce qui était l'opposé de mon physique. je pense que c'est quelque chose qui a beaucoup changé et quand tu grandis les gens sont plus attirés par des styles un peu plus naturels (donc plus de cheveux bouclés par ex, moins de maquillage, un style plus comfortable blablabla) et surtout ils s'en foutent beaucoup plus donc personnellement ça m'a vraiment aidé, et j'ai beaucoup plus confiance en moi mais ça laisse quand même des traces

83. given the chance to live your life on mars, with no hope of returning to earth but with the promise of scientific discovery and glory, would you take it ?

ahah non. je suis une personne terriblement solitaire mais extrêmement dépendante du lien social, et surtout j'ai un besoin terrible d'être dans un milieu familier. pas que je ne pourrais jamais déménager (je suis bien partie de chez mes parents cette année pour aller dans une ville que je connaissais pas du tout) mais le retour aux sources c'est vraiment quelque chose qui me pousse à continuer personnellement. très souvent en vacances être chez moi me manque et au final c'est la perspective de rentrer à la maison à un moment donné qui me donne de la force

[thebookworm-lebouquineur]

ANOTHER GRAFFITI ARTIST / WRITER: REVS’SUBWAY NYC

Page 1 of many - “To Joe Public: You might be askin yourself right now, what is this shit…what is this all about? Its about a kid who is just livin his life and tellin his story. The only one he knows how.”

"A Joe Public : Vous vous demandez peut-être en ce moment, qu'est-ce que c'est que cette merde... de quoi s'agit-il ? Il s'agit d'un enfant qui ne fait que vivre sa vie et raconter son histoire. La seule qu'il connaisse."

 Text is broken up by gaps in the wall: PAGE 22 (BTK) OF STILLWELL — WE WERE BOTH CHECKIN SHIT OUT MY PIECE ROLLED IN + THERE ON IR … ABOVE ME THAT … WE GO THRU THE … WRITES … THEN HE POINTS … A FEW SECONDS OF … HE NIPPED ME BUT I LET IT GO … BECOME FRIENDS—HE HAD A … WHO WROTE … I GOT TO KNOW … BKLYN WRITERS … NSA. ETC ONE DAY ME + IR … LUNCH AT THIS … ON  SMITH ST — I BOCKROCKED … MEAT — HE DIDN’T ROCK … ASTOR DT CAUGHT ME + CUTTED ME IN THE BACK … + HE LET ME GO … LUCKY – REVS!

Le texte est découpé par des trous dans le mur : PAGE 22 (BTK) DE STILLWELL - NOUS ÉTIONS TOUS LES DEUX EN TRAIN DE VÉRIFIER MON MORCEAU ROULÉ + LÀ SUR IR ... AU-DESSUS DE MOI QUE ... NOUS PASSONS PAR LE ... ÉCRIT ... PUIS IL POINTE ... QUELQUES SECONDES DE ... IL M'A PINCÉ MAIS J'AI LAISSÉ TOMBER ... DEVENIR AMIS - IL AVAIT UN ... QUI A ÉCRIT ... J'AI APPRIS À CONNAÎTRE ... LES ÉCRIVAINS DE BKLYN ... NSA. ETC. UN JOUR, J'AI DÉJEUNÉ AVEC LUI ... SUR LA RUE SMITH - J'AI FAIT DU ROCK ... DE LA VIANDE - IL N'A PAS FAIT DE ROCK ... ASTOR M'A ATTRAPÉ + M'A COUPÉ DANS LE DOS ... + IL M'A LAISSÉ PARTIR ... CHANCEUX - REVS !

 PAGE 25 OF MANY 1/16/98 LUCKY ME, TOOK ALL MY DOE THAT I SAVED UP FOR 3 YEARS ABOUT 6 GRAND THAT WAS 2 JOBS — SODA CAN CHANGE + THE SELLIN OF SOME SHIT — MY LIFE SAVINGS — WENT DOWN TO ATLANTIC CITY WITH HOPE, J. YOUNG AND BLITZ — PUT IT ALL ON RED!!! AND CAME BACK TO BKLYN WITH 12 GEES! GEE. MAN IT FELT GOOD — IT WAS ABOUT TIME!! THANKX – REVZ

PAGE 25 DE BEAUCOUP 1/16/98 J'AI EU DE LA CHANCE, J'AI PRIS TOUTE MA FORTUNE QUE J'AVAIS ÉCONOMISÉE PENDANT 3 ANS - ENVIRON 6 000 $, SOIT 2 EMPLOIS - LE SODA PEUT CHANGER + LA VENTE DE QUELQUES MERDES - MES ÉCONOMIES DE TOUTE UNE VIE - JE SUIS DESCENDUE À ATLANTIC CITY AVEC ESPOIR, J. YOUNG ET BLITZ - METTEZ TOUT EN ROUGE !!! ET JE SUIS REVENU À BKLYN AVEC 12 MILLIERS DE DOLLARS ! GEE. MEC, ÇA FAIT DU BIEN - IL ÉTAIT TEMPS !! MERCI - REVZ

 page 27 of many We were scopin out the station when we ran into "EK" & "TP" (ter dodes) told em i was gonna do whole car top to bottom - them looked surprised cause 86st aint that kind of lam up - whon went in i realized there was nowdy to pull it off so we du    - the train was dark bombed!!! damn what a great smell! them were ikin purple mops awe used paint...

Page 27 de beaucoup - Nous étions en train de sortir de la gare quand nous sommes tombés sur "EK" et "TP" (ter dodes) et leur avons dit que j'allais faire tout le wagon de haut en bas - ils avaient l'air surpris parce que la 86ème n'était pas du tout comme ça - quand nous sommes entrés, j'ai réalisé qu'il n'y avait plus rien à faire, alors nous avons du - le train était noir comme une bombe !!! putain quelle bonne odeur ! c'était comme des serpillières violettes, nous avons utilisé de la peinture...

 PAGE 37 OF MANY 5/22/98 … ALWAYS FIGHTIN WITH EACH … TAN AND SKINNY HE REMINDS ME OF SPONE … REAL FOUL MOUTH … THEY USED TO CURSE THEIR MOTHER — IT WAS FUNNY — THEY WERE LIKE A COMEDY TEAM!! ID GO TO THEIR HOUSE + LISTEN TO KISS AND CHRIS WOULD RECITE “SATURDAY NITE LIVE” WITH “JANE YOU IGNORANT SLUT!” + WHEN THIS MAN WOULD GET MAD CHRIS WOULD TELL HER “HEY”… |

PAGE 37 DE BEAUCOUP DE 5/22/98 ... TOUJOURS À SE BATTRE AVEC CHACUN ... BRONZÉ ET MAIGRE IL ME RAPPELLE LE SPONE ... VÉRITABLE BOUCHE FÉTIDE ... ILS AVAIENT L'HABITUDE DE MAUDIRE LEUR MÈRE - C'ÉTAIT DRÔLE - ILS ÉTAIENT COMME UNE ÉQUIPE DE COMIQUES ! J'ALLAIS CHEZ EUX, J'ÉCOUTAIS LES BAISERS ET KRIS RÉCITAIT "SATURDAY NITE LIVE" AVEC "JANE, ESPÈCE DE SALOPE IGNORANTE !" + QUAND CET HOMME SE METTAIT EN COLÈRE, CHRIS LUI DISAIT "HEY"...

 NO RIGHTS… PAGE 38 OF MANY 5/22/98 THEN THERE WAS THIS FAT OLD LADY WITH A CANE WHO LIVED NEXT DOOR TO FELIX — SHE HAD DYED CURLY BLONDE HAIR — WED PLAY PUNCH BALL IN FRONT OF FELIX’S BUILDING + SHE’D STORM THE STOOP + RIFF HARD! SHE’D TELL US “GO AWAY” — “PLAY IN FRONT OF YOUR OWN BUILDING” … DONT LIVE HERE! WED SAY YEAH “FELIX” LIVE HERE + SHE’D SAY SO WHAT! … PLAYIN ON THE SIDEWALK OR HANGIN ON THE STOOP! SO WE… – REVS DOOLES-

PAS DE DROITS... PAGE 38 DE BEAUCOUP 5/22/98 ALORS IL Y AVAIT CETTE VIEILLE GROSSE DAME AVEC UNE CANNE QUI VIVAIT À CÔTÉ DE FELIX - ELLE AVAIT TEINT LES CHEVEUX BLONDS BOUCLÉS - MARIÉ JOUER AU PUNCH BALL DEVANT L'IMMEUBLE DE FELIX + ELLE PRENAIT D'ASSAUT LE PERRON + RIFF DUR ! ELLE NOUS DISAIT "ALLEZ-VOUS-EN" - "JOUEZ DEVANT VOTRE PROPRE IMMEUBLE" ... NE VIVEZ PAS ICI ! ON DISAIT "OUI, FÉLIX" HABITE ICI + ELLE DISAIT "ET ALORS ?" ... JOUER SUR LE TROTTOIR OU S'ACCROCHER SUR LE PERRON ! ALORS ON... - REVS DOOLES-

 PAGE 91 OF MANY 2/20/99 THERE WAS NO SUCH THING AS YUPPIES BACK THEN SCOOTIN ROUND IN THEIR SAABS AND BMWS – EATIN FAKE GOURMET FOOD AND 7 GRAIN BREAD MOST OF US GREW UP ON WONDER BREAD WITH PEANUT BUT & JELLY OR BOLOGNA SANDWICHES (WITH MUSTARD)! WATCHIN ZOOM ON T.V. OR SESAME STREET OR SIGMUND + THE SEAMONSTER OR FAT ALBERT OR THE BUGS BUNNY ROAD RUNNER SHOW — YEAH … WAKIN UP AT 5AM ON A SATURDAY MORNIN + WATCHIN CARTOONS!! WHATS UP DOC?? REVS

PAGE 91 DE BEAUCOUP DE 2/20/99, IL N'Y AVAIT PAS DE YUPPIES À L'ÉPOQUE QUI SE PROMENAIENT DANS LEURS SAABS ET BMW - MANGEANT DE LA FAUSSE NOURRITURE GASTRONOMIQUE ET DU PAIN AUX 7 CÉRÉALES ; LA PLUPART D'ENTRE NOUS AVONS GRANDI AVEC DU PAIN MIRACULEUX AVEC DU BEURRE DE CACAHUÈTE & DE LA GELÉE OU DES SANDWICHES À LA MORTADELLE (AVEC DE LA MOUTARDE) ! REGARDER ZOOM SUR T.V. OU SESAME STREET OU SIGMUND + LE SEAMONSTER OU FAT ALBERT OU LE BUGS BUNNY ROAD RUNNER SHOW - OUAIS ... SE RÉVEILLER À 5H DU MATIN UN SAMEDI MATIN + REGARDER DES DESSINS ANIMÉS ! QU'EST-CE QU'IL Y A DE MIEUX ? REVS

 ​PAGE 143 OF MANY 10/14/99 PERSONALITIES — LOUD POLITICS IN THE HARDCORE WORLD … GAME I KNOW — WHOSE DOWN — WHOSE “COOL,” WHO AINT!! — A SOCIAL GAME … ANTI-SOCIAL PEOPLE! — JUST LIKE EVERYTHING ELSE BUT HOT … DIFFERENT IS THERES NO OFFICIAL FORMULA, WRITTEN RULES OR LEGAL … JUST UNDERSTOOD ONES! BUT ITS STILL BETTER THAN ALL THE SHIT THATS OUT THERE — THE LITTLE SCAM AT CBGBS WAS FOR 1 PERSON DAY … GET STAMPED + THEN TRANSFER IT TO AS MANY FRIENDS AS POSSIBLE (FRESH INK) – REVS

PAGE 143 DE NOMBREUSES PERSONNALITÉS DU 14/10/99 - LA POLITIQUE BRUYANTE DANS LE MONDE DU HARDCORE ... JEU QUE JE CONNAIS - DONT LE BAS - DONT LE "COOL", QUI N'EST PAS ! - UN JEU SOCIAL ... DES GENS ANTISOCIAUX ! - COMME TOUT CE QUI N'EST PAS CHAUD ... DIFFÉRENT EST QU'IL N'Y A PAS DE FORMULE OFFICIELLE, DE RÈGLES ÉCRITES OU LÉGALES ... JUSTE DES RÈGLES COMPRISES ! MAIS C'EST QUAND MÊME MIEUX QUE TOUTES LES MERDES QUI EXISTENT - LA PETITE ARNAQUE CHEZ CBGBS ÉTAIT POUR 1 JOUR-PERSONNE ... SE FAIRE TAMPONNER + PUIS LE TRANSFÉRER À AUTANT D'AMIS QUE POSSIBLE (ENCRE FRAÎCHE) – REVS

 PAGE 221 OF MANY MIR (BTK) DIED IN 87 — HE WAS DRIVIN ON THE BQE … SOMETHING HAPPENED TO THE CAR — HE GOT OUT TO LOOK — A DRUNK OFF DUTY COP SWERVED INTO HIM + KILLED HIM — HE WAS SUPPOSED TO PICK ME UP — I KNOW IF I WAS THERE … OUT TOO! IT AINT SMART TO HANG BY A DEAD CAR IN A LIVE LANE. BUT WHEN YOUR 18-19 YOU DONT KNOW NO BETTER — NOTHIN HAPPENED TO THE COP CAUSE COPS PROTECT YOUR OWN … ONE OF A BILLION INSTANCES… |

PAGE 221 DE NOMBREUX MIR (BTK) SONT MORTS EN 87 - IL CONDUISAIT SUR LE BQE ... QUELQUE CHOSE EST ARRIVÉ À LA VOITURE - IL EST SORTI POUR REGARDER - UN FLIC IVRE HORS SERVICE A FAIT UNE EMBARDÉE SUR LUI + L'A TUÉ - IL ÉTAIT CENSÉ ME PRENDRE - JE SAIS SI J'ÉTAIS LÀ ... DEHORS AUSSI ! C'EST PAS TRÈS MALIN DE SE RETROUVER À CÔTÉ D'UNE VOITURE MORTE SUR UNE VOIE DE CIRCULATION. MAIS QUAND TU AS 18-19 ANS, TU NE SAIS PAS CE QUI T'ARRIVE - RIEN N'EST ARRIVÉ AU FLIC PARCE QUE LES FLICS PROTÈGENT LES SIENS ... UN CAS SUR UN MILLIARD ...

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