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#musée imaginaire
bocadosdefilosofia · 1 year
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«Si meditamos detenidamente por un momento qué es lo que queremos decir con arte y de qué hablamos cuando hablamos de arte, resulta la siguiente paradoja: el llamado arte clásico que tenemos a la vista es una producción de obras que, en sí mismas, no eran primariamente entendidas como arte, sino como configuraciones que se encontraban en sus respectivos ámbitos, religioso o secular, de la vida, como una ornamentación del modo de vida propio y de los actos consiguientes: el culto, la representación del poderoso, y cosas semejantes. Pero, desde el momento en que el concepto de “arte” adoptó el tono que para nosotros le es propio y la obra de arte empezó a existir totalmente por sí misma, desprendida de toda relación con la vida, convirtiéndose el arte en arte, es decir, en musée imaginaire en el sentido de Malraux, desde que el arte no quiso ser ya nada más que arte, comenzó la gran revolución artística, que ha ido acentuándose en la modernidad hasta que el arte se ha liberado de todos los temas de la tradición figurativa y de toda inteligibilidad de la proposición, volviéndose discutible en ambos lados: ¿es esto todavía arte? ¿De verdad que eso pretende ser arte? ¿Qué se oculta en esta paradoja? ¿Acaso el arte ha sido siempre arte, y nada más que arte?»
Hans-Georg Gadamer: La actualidad de lo bello. Paidós, pág. 59.  Barcelona, 1991
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paulnie · 5 months
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francepittoresque · 2 years
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EXPOSITION | Anatomie comparée des espèces imaginaires ➽ https://bit.ly/3quAu8K Films, BD, comics... les univers fictionnels passionnent et regorgent d’êtres imaginaires qui empruntent leurs caractéristiques fantastiques à des espèces bien réelles. Des dragons de la mythologie à notre voisin Totoro, du monstre d’ « Alien » à la Vouivre, l’exposition « Anatomie comparée des espèces imaginaires » est l’opportunité de découvrir l’anatomie comparée et les sciences de l’évolution (paléontologie, biologie...) à travers l’analyse rigoureuse mais amusante d’espèces fantastiques
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garadinervi · 3 months
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Philipp Goldbach, Le Musée Imaginaire (André Malraux), [from the series 'Micrograph'], (pencil on paper), 2020 [© Philipp Goldbach]
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tomoleary · 1 year
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Hergé - Le musée imaginaire de Tintin (The imaginary museum of Tintin)
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mariepascaleremy · 2 months
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9 AVRIL JOURNÉE MONDIALE DE LA LICORNE
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La fascination pour cet animal mythique, issu d'un univers invisible, n'est pas nouvelle. Mais que notre société matérialiste et athée lui consacre une journée mondiale est surprenant. Peut-on y voir un désir de merveilleux, de magie, voire une aspiration au spirituel ? Pline l'Ancien, dans son "Histoire naturelle", décrit la licorne arborant une unique corne noire de deux coudées de long au milieu du front, insistant sur le fait qu'elle ne pouvait être capturée vivante. Des figures telles qu'Hérodote, Élien et Aristote ont également mentionné cet animal, sans oublier l'historien grec Ctésias (Ve-IVe siècle av. J.-C.) qui, dans ses écrits sur l'Inde, évoquait l'existence d'un animal sauvage semblable à un cheval, avec une corne frontale aux propriétés thérapeutiques remarquables, affirmant que boire dans cette corne garantissait une immunité contre les maladies et les poisons, un concept repris dans l'univers de "Harry Potter" où Voldemort consomme du sang de licorne pour survivre. La licorne, convoité pour ses vertus médicinales légendaires, ne pouvant être approchée que par une vierge ; les chasseurs laissent une jeune fille vierge seule au milieu d'une clairière, se cachent non loin et, quand l'animal découvre la jeune fille, s'approche d'elle, pose sa tête sur son giron et s'endort, ils se précipitent sur lui pour s'en saisir. Certains voient dans cette scène de chasse à la licorne une allusion à l'arrestation de Jésus-Christ et à sa Passion. La licorne est pour la religion chrétienne un symbole de pureté et de chasteté, sa corne unique, symbole de puissance représenterait l'incarnation du Verbe de Dieu dans le sein de la Vierge. Aujourd'hui la licorne représente l'extraordinaire et l'exclusivité ; depuis les années 1970 elle est aussi emblématique du mouvement LGBT pour son association avec l'arc-en-ciel, symbole de diversité repris par le drapeau LGBT. Par extension, le terme "licorne" désigne maintenant des entreprises de la Silicon Valley valant plus d'un milliard de dollars, des sportifs aux talents uniques ou des journalistes polyvalents. Peut être que cette appellation souligne la capacité à embrasser le fantastique, à suspendre notre incrédulité et à rechercher au-delà des preuves tangibles, symbolisant ainsi un refuge rassurant, un regret de l'innocence perdue et une aspiration vers un imaginaire éthéré et insaisissable. Quoiqu'il en soit emportons la licorne cette nuit dans notre coeur et nos pensées... nos rêves n'en seront que plus lumineux et guérisseurs. Image : La tapisserie de la Dame à la licorne au musée de CLuny
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abridurif · 9 months
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Toujours. Le nom vient avant. La chose que l’on voit, c’est le nom. Il faut vérifier que quelque chose répond à ce nom, répond présent. Les cinéphiles ont tous ce vice qui leur reste : celui des listes. Si je fais une liste, je m’exonère du fait que je n’y figure pas ou même que j’ai passé mon enfance à avoir peur de ne pas être sur la liste. Il fallait que toute chose réponde à son nom – les pays, les villes, les gens, les œuvres – et qu’on puisse aller vérifier. Et c’est comme ça que la vie passe et qu’on se retrouve finalement très ignorant, à ceci près que, passé un certain seuil, on n’est plus jamais questionné sur son savoir, sur la réalité concrète de ce savoir, sur le bluff et la frime, sur la folie que ça représente, de toute façon, de vouloir entretenir un rapport personnel, intime, à toutes les pièces du musée imaginaire. Comme un gardien qui, en plus, vivrait avec qu’il garde et ce qui le garde. Serge Daney, Persévérance, P.O.L éditeur, 1994
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| INSPIRATION | André Malraux at home, selecting images for his book "Musée Imaginaire de la Sculpture Mondiale - des bas-reliefs aux grottes sacrées", photographed by Maurice Jarnoux in 1953.
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alexisgeorge24 · 10 months
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18 août :
Journée transport pour rejoindre Lillehammer, une petite ville au Nord d'Oslo. J'y arrive après 6 heures et 3 bus. 1er hostel et lit après 9 jours, pour fêter ça c'est pizza et bière. J'ai des larmes aux yeux. Pourquoi il faut se faire du mal pour apprendre à apprécier le peu ?
19 août :
Visite du musée à ne pas rater de Norvège, le Maihaugen. Édifié par un dentiste de la ville début XXe qui, en allant visiter des patients dans des fermes, s'est rendu compte que le mode de vie et d'habitations risquait de disparaître avec l'industrialisation. Il a décidé donc de déplacer (et non de reproduire) des villages/fermes qui sombraient dans l'abandon dans son musée. Son entreprise se poursuivant jusqu'à aujourd'hui, on trouve dans ce musée des habitations du XVIe jusqu'à des maisons high-tech, toute richement décorées. Le tout en plein air et on visite le parc en se promenant. J'y passerai 4 heures sans voir le temps passer.
Puis train jusqu'à Oslo où je logerai 2 nuits chez un hôte trouvé sur couchsurfing, première expérience pour moi avec ce système.
Je fais donc connaissance de Abu, ingénieur software indien venu à Oslo pour le travail il y à 7 ans et qui s'y ait plu. On s'entend très bien, il nous fera a dîner les 2 soirs des lentilles (excellentes!), j'aurais ma chambre et je peux même faire ma lessive. Du luxe.
20 août :
Visite de Oslo. A part quelques bâtiments comme le palais royale ou la cathédrale, la ville est très moderne avec des quartiers sortis du futur. Ballade agréable mais c'est la première fois que je visite une capitale européenne sans y apercevoir son histoire et son passé via son urbanisme, pas de "vieux quartier" dit autrement. Abu me rejoint en début d'aprèm pour me montrer des coins à visiter et pour une bière.
21 août:
Micha me rejoins à Oslo en voiture et mon périple européen en solo s'achève ici. Ca me fait plaisir car mon ami imaginaire dans ma tête commençait à être inintéressant. Il fait beau et on prend direct la route vers l'ouest, avec une pause à l'église xx pour manger. Je découvre à cette occasion la cargaison de fromage, charcuterie, vin, rhum, etc que Micha a ramené. Je retiens mes larmes.
Arrivés au parking du Kjeragbolten à 18h00 (30 € de vol) on court vers le fameux caillou suspendu en haut d'une faille. On y monte pour les photos, 800m au dessus vide qui finis dans le fjord. Puis on se trouve un coin pour la tente avec vue panoramique sur ce même fjord. Il fait beau et on est sublimés par la beauté du paysage.
22 août:
Réveil dans les nuages qui offrent une autre vue. Retour à la voiture et direction le Preikestolen. 25 € de parking et 1,5h plus tard on arrive à cette plateforme carré qui chute direct avec des parois lisses à 600m dans le fjord. Incroyable cette nature. Par contre c'est Eurodisney niveau affluence. On part donc faire une ballade sur les falaises à coté où, comme par hasard, on y croise personne. Puis le temps de poser la tente, tout le monde est partit de la plateforme et on est enfin seul. C'était en tout cas l'idée. Mais un groupe de 40 jeunes en sorte de "colo" foutait un bordel pas possible. Je n'aurais réussit à en balancer que 3 par dessus le rebord, trop nombreux pour tous les achever. Bref, ils ont finis pas partir et laisser la nature tranquille, et nous avec.
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penseeephemere · 2 years
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Tu sais ce que tu perds, tu ne sais pas ce que tu gagnes
Je ne perds que des illusions. La musique, les yeux fiévreux posés sur moi, l’espoir que quelqu’un voudra rester. C’est pour m’assoiffer près des fontaines. Des amours imaginaires. Des âmes de pierres. Il faudrait arrêter de mettre mon sourire et ma liberté entre leurs mains, ce n’est pas viable. Je regarde mes gouffres droit dans les yeux pour y anticiper ma chute. Ce que j’y gagne ? Des remises en question, des bouquets d’épines – d’autres doutes pour me faire grandir sûrement, mais des mois de solitude. Je n’apprends rien de mes erreurs, j’ai des regards amoureux qui s’égarent dans les allées. Ce n’est pas grave. J’irai dans les musées, j’irai dans les cafés, je ne parlerai pas. Je lirai des livres qui me feront vivre par procuration. Non, je n’irai pas boire un verre ni dormir chez toi. J’irai dans les jardins me noyer dans les fleurs. J’irai dans mes pensées me cacher dans mes songes. Je me raconterai des histoires quand personne ne pourra me tenir. Un jour les orages ne me feront plus aucun effet. J’ai toujours avancé seule – la fièvre, la folie, les pays inconnus, les océans, je les aurai tous vécus en rêve, mais de ton absence, je n’aurai rien perdu.  
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delfiris · 2 years
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Jean-Luc Godard a réussi, à travers ces Histoires du cinéma, à aller plus loin qu’André Malraux et son musée imaginaire et à prouver par le biais de ses films que le cinéma est le musée du réel : montrer des images n’a de sens que si l’on peut transformer le monde. Mais le cinéma montre justement qu’il ne peut se passer de l’horreur. Reprenant les textes de Maurice Blanchot, Jean-Luc Godard conclut ses histoires du cinéma en ces termes :
« L’image est bonheur mais près d’elle le néant séjourne. Et la toute puissance de l’image ne peut s’exprimer qu’en lui faisant appel.(…) L’image capable de nier le néant est aussi le regard du néant sur nous. Elle est légère et il est immensément lourd. Elle brille et il est cette épaisseur diffuse où rien ne se montre. »
https://liminaire.fr/entre-les-lignes/article/jean-luc-godard
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jacqwess · 1 month
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Rodin à Mons
Everything you always wanted to know about the French sculptor Auguste Rodin: it's in the pretty Belgian town of Mons. An interesting exhibition with lots of Rodin's sculptures, but also drawings and even some paintings. Definitely worth a visit.
Cap sur le CAP Top Informations pratiques: cliquez ici C’est en 1871, lors de la fin de la guerre franco-prussienne – et de la Commune, lourdement réprimée – qu’Auguste Rodin (1840-1917) s’établit à Bruxelles. Il y visite les musées, comme à Anvers, à Liege,  à Gand, à Malines, à Bruges… Il y découvre Rubens et ses contemporains, et ce musée imaginaire va l’accompagner toute sa vie, tout comme…
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jcmarguerite · 3 months
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L'insécurité. (miroir#7)
Paris, affiche(s), 18 août 2010. Tout photographe élabore son musée imaginaire de la photographie. Certaines de ces œuvres se retrouvent dans le métro, et je suis parfois amené à intégrer ces références dans mes propres images.Willy Ronis faisait des travaux chez lui quand il a aperçu son épouse se laver dans ce contre-jour. Il s’est interrompu, a pris deux ou trois clichés, puis il est retourné…
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darkpalmor · 4 months
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21 FEVRIER
Programme incorruptible
Échauffement en cinq minutes : La file d’attente. Écriture libre et brève.
Mon métier, c’est gardien de musée. Je dois demander les tickets aux visiteurs, faire face aux impatients, « gérer », comme dit mon DRH, la file d’attente. Mais une file, c’est horrible, c’est comme un serpent, on ne sait pas où l’attraper, ni où elle commence, ni où elle finit. On doit surveiller les resquilleurs, repousser les agités, faire ouvrir les sacs, vérifier la validité des billets… À tout prendre, j’aimerais mieux être touriste, pour pouvoir mettre hors de lui un gardien de musée.
1°) Embrayage par citation (10-15 minutes) : Du dictionnaire à la création ! On partira de cette citation trouvée dans le Grand Robert, et on l’intègrera dans un court texte, de forme libre. « Source encore glacée, miroirs gelés, Rois sortant tout raidis d’or des ténèbres… » Colette, Belles saisons, 1955 (posthume).
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La poésie ne craint ni le feu ni le froid, toutes les saisons lui sont motif à description, à évocation. Le froid surtout inspira certains auteurs nordiques, des norvégiens, des islandais. Et la vision des étendues blanches et glaciales, ou l’œil se perd autant que l’esprit, ces lieux hantés par les personnages d’anciennes légendes ou de races perdues, a été à la source du recueil intitulé Les Princes des glaces, de Sigurdur Sigurdarsson, dont les premières strophes sont si puissantes qu’elles nous emmènent à la fois dans un lieu et des temps perdus, mais pas imaginaires. « Avalanche silencieuse et lente débâcle, Source encore glacée, Miroirs gelés, Rois sortant tout raidis d’or des ténèbres, Voici le jour où s’éteint la nuit polaire. Le royaume englouti se dévoile et s’ébroue au soleil clair, Les couronnes sur nos têtes brillent des gouttelettes qui seront les rivières de demain, Du printemps, La Nuit est morte et la chaleur renaît. » Rien d’étonnant à ce que son nom soit régulièrement évoqué pour le prochain Nobel de littérature. Extrait de la Préface à Une Anthologie de la Poésie polaire, éditions du Seuil, 2024.
2°) Crise de vérité (10 minutes) : Un dialogue à poursuivre ? « Qu’est-ce que tu n’aimais pas chez moi ? » On continuera cette discussion librement pendant une dizaine de répliques.
A – Qu’est-ce que tu n’aimais pas chez moi ? B – J’aimais tout, mon cher, mais la situation a changé. A – C’est toi qui as changé, puisque tu ne veux pas me garder et que tu me dis d’aller chercher ailleurs ! B – Qui t’a dit ça ? Qu’est-ce qui t’autorise à le penser ? A – Ta manière d’évoquer le bon vieux temps, le début de notre association, quand nous avons ouvert ce garage. On dirait que tu le regrettes. B – Pas du tout. Au début de toute nouvelle entreprise, chacun sait qu’on peut commettre des erreurs. A – Mais on a tout de même à construire et maintenir quelque chose à nous deux, non ? Et ça marche bien ? B – Oui, mais c’est fini. J’arrête. Je n’ai plus envie de faire des vidanges ou de changer des pneus. A – Mais alors, c’est quoi ? Je suis viré ? Je dois te signer une démission avec une demande de rupture conventionnelle ? B – Non, rien de tout ça. C’est le dépôt de bilan. Le métier a changé : les voitures électriques, ce n’est pas mon truc. Mais si tu veux reprendre l’entreprise, je veux bien. Je t’arrangerai l’affaire auprès des banques et je te trouverai même un associé, si tu en as besoin.
3°) Amorces pour une histoire en 6 lignes et 6 minutes. « Elle lui montra le chien à travers la vitre. »
Elle lui montra le chien à travers la vitre. Il ne tourna pas la tête, mais grogna : « Quel chien ? Tu crois que j’ai le temps de regarder ? » « Mais il a l’air tout perdu et malade ! On aurait pu s’arrêter ! » « S’arrêter ? Fiche-moi la paix ! Avec cette pluie et l’heure de retard qu’on a déjà pour aller chez ta mère, je continue. Et puis ce chien, il n’était pas au milieu de la route, non ? Alors on roule. Et on n’a pas de place pour un cabot à la maison. » Elle se rencogna contre la portière, triste et fâchée, et bouda tout le reste du trajet.
4°) Gonflette (10 minutes) : Une phrase à allonger. Voici une phrase tirée de la fable de La Fontaine, La Cigale et la Fourmi : « La Fourmi n’est pas prêteuse ; C’est là son moindre défaut. » On la grossira de l’intérieur, en ajoutant tout ce qu’on voudra, de manière à obtenir un texte d’au moins 5 ou 6 lignes, qui commencera par « La » et se terminera par « défaut ». On a le droit d’insérer des mots ou groupes de mots où l’on veut, même après une apostrophe, on a le droit de modifier la ponctuation, mais on ne change pas l’orthographe des mots originaux.
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La vie des animaux ressemble parfois beaucoup à celle des humains. Une file d’attente, par exemple, pour une fourmi, est une situation absolument banale, elle n’a pas d’impatience, l’obéissance aux règles sociales est si forte que n’importe lequel de ces insectes sait qu’il ne doit pas interrompre le carrousel du transport de la nourriture, ou la chaîne de déplacement des œufs, et que cela ne sert à rien de vouloir l’accélérer. La fourmi, quoi qu’en ait dit La Fontaine, est prêteuse. C’est un animal social, et la réussite d’une fourmilière réside justement là, dans cette capacité à faire don de sa personne à la collectivité, à s’insérer dans une file, et d’attendre son tour s’il y a un encombrement aux portes du sous-sol. Il n’y jamais la moindre dispute entre deux individus d’une colonie. L’entraide est la règle, et si une fourmi se trouve en difficulté, aucune autre ne lui fera jamais défaut.
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maikagervais · 6 months
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Critique de l'exposition Réenchantement de Carol Wainio à La Poste
Dans le cadre de mon cours d'atelier de création, j'ai eu à choisir entre trois expositions. Une dont le délais était passé, l'autre très politisé et celle pour laquelle j'ai finalement opté, Carol Wainio au musée La poste.
Dès mon entrée dans le bâtiment d'exposition, j'ai été bouche-bée. Déjà de loin, les teintes et formats des œuvres créait une première impression grandiose. L'agencement des œuvres nous transportent immédiatement dans l'univers quelle créé à travers ses toiles. Les thèmes et le style de l'artiste m'ont plus au premier regard. Ses toiles, un mélange de précision et d'abstrait, créent un univers bien particulier facile d'accès même pour un observateur novice. Les thèmes sont faciles à reconnaître tel les fables de la Fontaines, le petit Poucet et les contes de Disney. Les teintes pastels tout en douceur nous entraînent dans le rêve et la nostalgie.
Quatre des œuvres m'ont particulièrement touchées. Pour la première, il s'agit de "The Fall" qui est une acrylique sur toile créé en 2015. Elle fait référence au conte du petit Poucet. La précision des personnages dans un univers plutôt abstrait créé un beau contraste. La superposition des couches de peinture permet une belle profondeur intéressante. La deuxième est "Grimper" aussi une acrylique sur toile qui a été créé en 2022 et fait partie de la collection Le petit Poucet. Dans celle-ci, nous avons l'impression d'une toile dans une toile. Le fond est plutôt abstrait, donnant l'impression d'être dans un endroit imaginaire. En avant plan, il y a un encadré semi défini dans lequel on y voit des enfants perdus dans les bois comme s'ils étaient prisonniers de la toile dans la toile. La troisième toile est "The dog and the wolf 2" où on y voit une oeuvre inspirée des fables de La Fontaine. C'est une acrylique sur toile créé en 2021. On y voit un chien à l'air triste et à la mine base devant un loup à l'allure agressive dans une forêt où se trouve une porte de pierre. Le chien est dans le coin inférieur droit dans un genre de rectangle aux couleurs différentes du reste de la toile. On voit aussi, sur le canevas, une image originale de cette fable avec un chien en tuxedo face au loup agressif. La quatrième toile est aussi une acrylique sur toile de 2005-2006 nommée "Puss in boots 7". On y voit un mur de briques percé de deux fenêtres par lesquelles on voit des pieds chaussés. En superposition, il y, a en transparence, le contour d'un chat tacheté noir et caramel.
La démarche de l'artiste s'inspire, tel que mentionné précédemment, des classiques des œuvres de sa jeunesse. Son inspiration créative vient de la découverte d'anciennes cartes postales de vieux contes qu'elle a décidé d'intégré dans ses œuvres. Ses peintures évoquent une trame narrative et sont influencées par l'expressionnisme figuratif et le mouvement naturaliste. Carol Wainio intègre des sujets d'actualité en lien avec des histoire d'autrefois.
L'installation de son oeuvre au musée est très fluide et cohérente. Nous pouvons aisément passer d'une oeuvre à l'autre dans l'ordre ou le désordre sans avoir l'impression d'en avoir manqué quelque chose tout en ayant la perception que tout est relié. La majorité des toiles sont de très grand format, ce qui permet à l'artiste d'y intégrer des messages plus subtils qui ne paraissent pas au premier regard mais qui nécessite une exploration en profondeur de son art pour y saisir un deuxième degré qui nous fait davantage réfléchir. Il se dégage une impression de précision mais qui n'est, en y prêtant davantage d'attention, qu'une perception puisque certains items sont finalement très abstraits.
En conclusion, j'ai adoré mon choix d'exposition puisque les œuvres de Mme Wainio viennent titiller mon besoin de perfectionnisme. La douceur de ses œuvres m'ont apaisé au premier regard et mon permis de me plonger dans son oeuvre onirique qui me rappelle les histoire de mon enfance. J'y ai vu une possibilité de faire une oeuvre précise sans l'être tout à fait.
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J'ai repris récemment la sculpture en matériaux de récupération. J'avais fait 1 pause de 30 ans je pense mais j'avais toujours cette idée derrière la tête. Quand j'étais gosse ma mère nous avait amené voir 1 expo au Prado (pas le musée mais la plage à Marseille) qui s'appelait Tresors d'étoiles c'était immense et magique à la croisée des univers de Sciences Fictions, Dune et Jodorowsky. Avec des bouts de métal, des moteurs etc. Très futuriste, galactique et Mad Maxien.
Je pense il y avait une vague hobopunk dans tous les milieux Rock et Cirque ( la Fura del Baus. Archaos. Generik Vapeur...) et l'art et la sculpture idem. Ca m'a marqué ado à tel point que je passais mes après-midi dans le garage de mon père délaissant la console et les amies imaginaires à coup de rouille et de marteau. Biensur j'étais encouragé mais incompris et oui jai abandonné ça.
Je reprends un peu voici la première base de ce qui sera pour moi géant.
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