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#musique expérimentale
unclassable · 1 year
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isnfrk · 11 months
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Répercussion #1 (automne 2023) Répercussion est une nouvelle série de fanzines consacrée à des témoignages autour de la musique et du son.
Le premier numéro porte sur l'hypersensibilité auditive et l'écoute de musiques bruyantes (noise, punk, shoegaze...) Il recense 8 témoignages de personnes possédant un rapport au bruit spécifique — surdité, misophonie, trauma auditif... Ces derniers sont suivis de plusieurs textes autour du bruit sous toutes ses formes.
Disponible via instagram
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lesondesmusicales · 2 years
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Still House Plants @ Roseti, Buenos Aires [Sesiones Quiso Pinto]
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already-14 · 2 years
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radioroquette · 2 years
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RR17—7# Les programmes du vendredi 17 mars au lundi 17 avril
• Les créations sonores de RR * Mark Fell « Multistability 2-A » • La voix du large de Lili Le Gouvello * Marée nostrum • L’interlude musical et pimenté de Thomas * Sénégal / Colombie • Le billet cinéma de Benoît Muller * Journal cinéphile de février • En attendant la plage —écritures contemporaines * Stéphane Nowak Papantoniou « Ça ne tient plus ! » • L’interlude musical et pimenté de Thomas * Japon / Israël • La ville sans salades ni ambages de Sébastien Madau * Réforme des retraites • Les rencontres de RR * La sculpture selon Octave-Rimbert Rivière
Les interludes : Dieuf-Dieul De Thies, Assane Camara « Rumba para Parejas » (Sénégal)  * Canalon de Timbiqui « La Zorra y el Perol » (Colombie) ¬ Minyo Crusaders « Kushimoto Bushi - Cumbia » (Japon) * Sababa 5, Yurika Hanashima « Nasnusa » (Israël)
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philipperivrain · 9 months
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prend soin de toi
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fieriframes · 1 year
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[It's nothing less, nothing less between the worldly and the one self. All this breathing and the truth that's in your last breath. Don't it make you want to cry?]
VII - Daphnis
Paddington a pris une profonde inspiration puis m'a lu la traduction.
"Plongez dans les sept mers." 
J'étais prêt, mais où était la mer ?
Instinctivement, je savais que cette phrase devait faire allusion aux sept chansons. Les sept mers du son. Depuis le tout début, j'avais le sentiment que quelque chose s'y cachait. Je devais juste plonger et le trouver, quoi que ce soit. Le problème était que j'ai déjà connu ces chansons par cœur. Il n'y avait rien d'autre à découvrir. Mais peut-être que j'ai juste besoin de regarder de plus près. Il existe toujours plus de détails. Toujours un autre monde dans le monde. Les réponses étaient là quelque part.
L'enquête qui a suivi a été compliquée et ardue. J'ai passé ces dix-sept minutes au peigne fin, à la recherche du lapin blanc. Chaque son, chaque bruit de fond, chaque grincement du piano devenait une voix. Aucun détail trop petit, aucune intuition trop farfelue. Je suis allé de plus en plus profondément dans une fractale sans fin. J'ai disparu dans la mer et j'ai perdu de vue ce que je cherchais. J'ai pris chaque murmure et l'ai transformé en un mot de passe. Rien n'a fonctionné.
J'ai également perdu le contact avec le monde extérieur et je n'ai pas parlé avec mes amis pendant plusieurs semaines. Un soir, Christina est passée sans me prévenir pour voir comment j'allais. J'ai rangé en hâte et je l'ai laissée entrer. J'avais définitivement une sale tête, mais elle ne l'a pas commenté. On a parlé un moment et quand il y a eu une pause dans la conversation, elle m'a demandé ce que j'écoutais. Ça jouait en boucle depuis si longtemps que je ne remarquais même plus la musique. J'ai répondu que c'était l'album qu'elle m'avait aidé à trouver au café la dernière fois qu'on s'était rencontrés.
On s'est assis et on a écouté l'album entier en silence, puis j'ai finalement arrêté la boucle.
Christina: C'est étrange.
Moi: Je suis d'accord. Ces chansons sont très courtes et sans aucune structure. Pas vraiment bien écrit. Une seule mélodie presque enfantine et puis c'est fini.
Christina: Non, non, je suis habituée aux musiques expérimentales. En fait, c'est comme la bande originale d'un jeu vidéo. Mais, il y a des choix étranges faits ici. Par exemple, cette chanson que l'on a juste écouté…
Moi: Hořčický.
Christina: Quoi ? 
Moi: Ç'est le titre. Ça ne fait rien.
Christina: De plus en plus bizarre. En tout cas, c'est une chanson très calme, mais tout à coup un instrument bruyant joue quatre notes et rien d'autre. Je pense que j'ai entendu ce bruit dans plusieurs chansons. C'est bizarre, non ?
J'ai recommencé à jouer l'album. Je connaissais exactement le son dont elle parlait. Ça apparait une fois dans chaque chanson. Je ne pouvais pas croire que je n'avais pas vu la vue d'ensemble plus tôt, mais j'avais simplement été trop près pour la voir. Christina m'avait donné la clé, maintenant je devais franchir la porte.
Je me suis retrouvé avec ce qui suit écrit dans mon cahier:
Adrogué (−·· = D)
Terra Incognita (·− = A)
Unending Night (·−−· = P)
Hořčický (···· = H)
Who Is The Dreamer? (−· = N)
Adelma (·· = I)
El Barco Velero (··· = S)
En les mettant ensemble, j'ai obtenu DAPHNIS. Un nom si familier. J'ai feuilleté mon carnet et sur la page écrite lors de la visite au Louvre pour voir le tableau Et in Arcadia Ego, j'ai trouvé: "Les bergers sont réunis autour d'une pierre tombale. L'un des bergers pointe le nom gravé sur la pierre tombale : Daphnis."
Je m'en suis voulu de ne pas avoir essayé ce nom plus tôt, mais avec tant de possibilités à parcourir, j'en avais raté quelques-uns évidents. J'essayais de comprendre comment tout était lié. Les cartes de tarot, Nicolas Poussin, le manuscrit de Voynich… tout semblait être un monde à part et impossible à relier. Comment Leonora était-elle connectée à Daphnis? Et qui est la rêveuse? À ce moment, il m'est venu à l'esprit que les réponses à certaines de ces questions pourraient se trouver dans les titres des chansons. Mais d'abord…
J'ai rechargé le site web. Rien n'avait changé. Les pages du manuscrit de Voynich étaient encore légèrement en arrière-plan, tout comme la case pour le mot de passe. J'ai soigneusement tapé Daphnis et cliqué sur la button. La case n'a pas tremblé cette fois-ci. Au lieu de ça, le site a disparu. Après quelques secondes, deux triangles sont apparus; un blanc et un noir. L'image de fond est également passée de Voynich à un dessin d'une mystérieuse créature ressemblant à un cheval avec trois têtes.
Les triangles ont disparu et ont été remplacés par du texte qui s'est estompé ligne par ligne. Je ne pouvais pas le comprendre, encore une fois c'était écrit dans l'alphabet Voynich. Il était tard, mais j'ai écrit un message à Paddington et lui ai demandé s'il pouvait m'envoyer la cartographie qu'il avait utilisé pour le dernier message. Il s'est avéré que Paddington était toujours éveillé. J'ai reçu presque aussitôt cette image:
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Avec cette aide, j'ai traduit les mots à l'écran.
S'est-on réunis au-delà des ruines circulaires ? Quelque chose n'allait pas On s'est vu dans le miroir Mais on n'était pas dans la même pièce Les intruses Les témoins La rêveuse Je réside dans un endroit où le temps n'existe pas Détenant les secrets de Dieu
Il y avait un symbole; un carré avec un cercle au milieu, sous le texte. Je l'ai cliqué. Le symbole a tourné et est devenu un diamant, avant de disparaître. La plupart des lettres du texte se sont estompées, ne laissant que celles qui forment la phrase Trouve moi.
C'est alors que j'ai remarqué que l'image de fond avait encore changé. Cette fois, c'était une carte d'un monde.
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nnjzz · 7 months
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ETERNITIES + earthworm + AUGUSTÉ VICKUNAITÉ + SIMONAS NEKROŠIUS + ALANAS GURINAS
MARDI LE 05.03
ETERNITIES us earthworm  us AUGUSTÉ VICKUNAITÉ lt SIMONAS NEKROŠIUS lt ALANAS GURINAS lt
TREIZE 24 rue Moret 75011 M° Couronnes / Ménilmontant
19:30 PORTES
20:00 ACTION !
P.A.F.6€
ETERNITIES us utah nyc " deep presence, resonant feedback, melodic drone, and overtone magic, in the fluid realm between intention and indeterminacy. We use harmonic tones from wind instruments played within feedback systems to create deep spectral drone. "
Duo composé de Katie Porter ( clarinette basse ) et Bob Bellerue  ( electronics, feedback ).
Musicienne spécialisée surtout dans la musique expérimentale / contemporaine ( interprétant p. ex. les musiques de John Luther Adams, Jason Ajemian, Mike Kelley, Michael Pisaro, Larry Polansky, Stephanie Richards, Morris Rosenzweig, Arthur Russell, James Tenney, Maayan Tsadka, Christian Wolff, entre autres ) mais pas que  ( "   She exists mainly in the experimental realm, but can sometimes be found elsewhere. " ) , Katie Porter est aussi curatrice, passionnée par la création de communautés musicales - elle a cofondé p.ex. Listen/Space (Brooklyn) et est commissaire des Listen/Space Commissions, responsables de 46 nouvelles œuvres pour groupes de chambre mixtes.
Elle co-dirige également le Symposium biennal VU pour la musique expérimentale, improvisée et électronique (Park City, Utah) et travaille sur un projet de longue haleine ( jeu de mots intentionnel ) pour clarinette solo dans l'installation Sun Tunnels ( 1976 ) - en cours de restauration -  de  la land-artiste, Nancy Holt, dans l'Utah.
Plusieurs projets dont le duo RED DESERT ENSEMBLE (   “a finely poised musical partnership”- THE WIRE,  ) avec le percussionniste/compositeur Devin Maxwell, qui a publié un album  sur le label de feu Phil Niblock, XI.
Bob Bellerue est artiste sonore / noisician, ingé-son, technicien et entre autres choses, curateur, entre autres, et notamment LE responsable principal de l'immensissime festival de musiques oufissimo-interlopissimes, ENDE TYMES. 
Sa pratique sonore tourne souvent autour des systèmes de rétroaction résonnante, utilisant des instruments, des objets, des enregistrements et des espaces amplifiés, en combinaison avec des composants électroniques et des logiciels écrits dans le langage de programmation de synthèse audio Supercollider.
Au cours des 30 dernières années, il a été impliqué dans la création et la présentation d'un large éventail d'activités sonores – entre noise, art sonore, musique expérimentale, percussions junk metal, gamelan balinais, bandes son pour la danse/théâtre/vidéo/art de la performance et  installations vidéo / son. 
Il a publié moult enregistrements, notamment chez Elevator Bath Records, iDeal Recordings, Banned Productions, Fabrica, P-Tapes, RRR Records, Love Earth Music, Prison Tatt Records, Los Discos Enfantasmes, Zelphabet, Peyote Tapes, No Rent Records ou sur ses propres labels, Anarchymoon Recordings and Sleepy Hollow Editions. 
earthworm us uk Nouveau duo / projet collaboratif composé de Christi Denton, artiste sonore et compositrice polyvalente originaire des États-Unis et de France, et de Margaret Fiedler McGinnis ( US / UK ), auteur-compositeur et multi-instrumentiste connue pour son travail avec au mitan des années 90s MOONSHAKE et LAIKA ensuite, et plus récemment avec  PJ Harvey & Wire ( excusez de peu).
 Dans une pièce spécialement composée pour Le Non_Jazz aux Nautes, elles s'aventureront dans le domaine de l'improvisation structurée. Conçu pour faire écho aux pousses vertes tendres de la saison, SPRINGS promet une expérience sonore immersive. Denton et Fiedler McGinnis créent une partition graphique unique pour l'électronique réactive, la guitare et d'autres éléments qui n'ont pas encore été révélés. Cette approche innovante s’entremêle avec les battements de cœur des musiciens et d’autres rythmes organiques, créant une interaction dynamique entre les interprètes et l’esprit éveillé de la saison.  https://www.christidenton.com/
AUGUSTÉ VICKUNAITÉ lt   Performeuse / collagiste sonore, avec une formation en sciences physiques ( ! ). Elle utilise principalement des magnétophones à bandes pour jouer, enregistrer et créer des compositions instantanées à base de d'enregistrements de terrain divers, dysfonctionnements de la technologie vintage ou encore des sons d'instruments enregistrés dans des environnements naturels.
Sa performance contiendra des boucles de bandes audio et des collages effectués à partir de de bandes trouvées.
SIMONAS NEKROŠIUS lt Artiste interdisciplinaire de Vilnius, spécialisé dans l'art sonore et la construction d'instruments électro-acoustiques et d'objets sonores faits maison.
Son travail est souvent associé aux notions de « ready-made » et de « DIY ». Il perçoit la créativité et les objets d'art comme un processus, réduisant ainsi l'importance des résultats finalisés dans ses projets. En conséquence, son travail a tendance à être indéterminé et transformateur au fil du temps.
https://www.youtube.com/@SimonasNekrosius 
ALANAS GURINAS lt Jeune artiste interdisciplinaire, adepte des performances sonores et des installations audiovisuelles.
Dans sa démarche, il explore le son en tant que phénomène textural, les thèmes de l'éphémère et les relations entre divers objets et espaces audibles et inaudibles.
A slightly light tone  ( Strained paper sheets, weights, vibro motors, various sound objects ) 
est une performance sonore acoustique live qui utilise le papier comme matériau principal pour produire du son. Différents types de papiers sont placés entre deux pinces en bois et, à l'aide de poids, sont tendus jusqu'à ce qu'ils trouvent leur état de résonance. En conséquence, différents tons, drones et textures générés par du papier en suspension sont produits. (La durée de la représentation est de +- 30 minutes)  
Fly - Jo L'Indien
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est-ce · 10 months
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Extraction\ : Là avant vous
 Donne le créateur à la saine philosophie bienfaits du chroniqueur haineux ta trace le prisonnier du passage joues-toi là où les sons sont originaux ma mère l'était so bobby brown oh god i am the american dream derrière ces murs ----- la projection monstrer le somnambule marchant ces fragments de chaussée ces fragments de chaussée le presqu'elle la fabrique d'images et les poisons le mot et l'image brouillés un labyrinthe vert chaâbi enfin miette à foison dites laissez-moi regarder un peu j'étais là avant vous bédé 2 choix revues 2008 ses problèmes avec les femmes ses problèmes avec les femmes on olé miette sans issue juste one for all la méthode expérimentale musique de navigation.
(idem, 2018)
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joubliemapromesse · 2 years
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> ZAD KOKAR (Strasbourg): Lorsqu'il n'est pas en train de travailler sur ses bandes-dessinées, Zad Kokar développe depuis plusieurs années (en solo ou accompagné par les Combi Beyaz) un univers musical spécifique et extra-terrestre. Sorte de mélange cathartique du minimalisme de Devo, de l'étrangeté des Residents, et de beats hip-hop 80’s. Le tout sous l'influence des dissonances et de la nervosité no-wave. Ses concerts sont définis par une grande énergie dansante, forte, et libératrice qui remonte le moral ! Il a déjà sorti plusieurs vidéos, cassettes et disque vinyles dont le dernier « Mold Grows » a été masterisé par le punk weirdo Geza X. Voici quelques captations live ainsi que des clips : https://www.youtube.com/watch?v=qAJIQsIOYgU https://www.youtube.com/watch?v=gVZ1pjX1fCU https://www.youtube.com/watch?v=SHllqb4E-tM https://www.youtube.com/watch?v=qKl_i8Ej7x4 Vous trouverez ici des liens pour écouter sa musique : https://petite-nature.bandcamp.com/ / HOUSE OF DIAMONDS (Strasbourg): La House of diamonds n'est pas un collectif de joaillerie. C'est un collectif de drag artists de Strasbourg. Et pourtant, des diamants, il y en aura mais ils seront dans vos yeux (attention ça pique). Vous allez en voir des clowns, des fées, des aliens et autres créatures. C'est 100% faux mais c'est plus vrai que nature. Pour vous iels chanteront, danseront, se déshabilleront. Pour vous certes, mais contre le cisteme ! Pour vous oui, mais sans le patriarcat ! Pour vous ok, mais au-delà des normes ! Pour donner une idée du drag qu’on fait, on a par exemple fait deux shows en vidéo pendant le confinement : https://www.youtube.com/watch?v=yDmUJ31FYvE https://www.youtube.com/watch?v=L0OvtnXPLME Ces vidéos sont assez à part de ce que nous faisons en général. En effet, durant les crises sanitaires nous voulions continuer à faire perdurer notre lien avec le public malgré les restrictions gouvernementales, néanmoins nos shows prennent tout leur sens et leur substance dans le lien avec le public. Afin de vous faire une idée de nos performances avec un public, voici des captations faites en live cette fois-ci :https://www.instagram.com/reel/CfI8XOQDBXz/... https://www.instagram.com/tv/CX3R8VahMf3/... / FEARLESS ALFREDO (Strasbourg): Mixs éclectiques de ses morceaux préférés pour danser. De l'électronique plus ou moins expérimentale, des boîtes à rythmes vénères ou mignonnes, des synthés tantôt sombres et tantôt rigolos, des percussions dans tous les sens, de la grosse pop... Tout pourra y passer suivant l'humeur, même du reggaeton queer, attention attention. Pour vous faire une idée des genres qu'elle mixe, en vrac il peut y avoir : electronic, experimental, avant-garde, hip hop, no wave, techno, world, EBM, post-punk, new-wave, dub, synth-pop... Vous pouvez entendre certains de ses sets pour des radios sur son soundcloud (du coup y'a certains sets super calmes ou expérimentaux, mais en live ce sera plutôt dansant ! Parfois weirdo dansant mais dansant pour sûr : https://soundcloud.com/earlesslfredo Et sinon voilà son instagram : https://www.instagram.com/fearless.alfredo PAF 4E Portes 20h30 ACCUEIL FROID NUKE 21 rue Sully, Amiens Événement associatif privé réservé aux adhérents Adhésion possible les soirs de concerts (2E sept/ sept) > http://accueilfroidnuke.blogspot.com/
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miaolivijabindner · 2 years
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ESPACES COMPOSITIONNELS ET MUSIQUE MULTIPLE
MusicROOMS, La Capsula MILANO
La musique combine dans le même temps composition et interprétation. Que ce soit à l’échelle de l’œuvre musicale ou de l’espace scénique, sa réception dépendra directement de cette combinaison. De fait, les éléments constituant l’espace scénique — surface architecturale, mapping, instruments — pourraient-ils permettent, par leur maîtrise et leur association, induire l’expérience musicale ?
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Mon expérience à LA CAPSULA vaut la peine de vous être raconté. J’étais face à un bâtiment sur plusieurs étages, peut-être quatre, dans lesquels le public circulait par un escalier extérieur en colimaçon. L’événement se situé au rez-de-chaussée, c’était un lieu complètement ouvert, très haut de plafond et divisé par un mur blanc : l’espace de droite était dédié à la scène où les artistes étaient présents ; à gauche l’espace était dédié à l’échange et à la rencontre. Plusieurs musiciens étaient invités à performer ce soir là. Feldermelder, musicien expérimental Suisse, au sein du label encor_studio et ous.ooo, était programmé après Noémi Büchi et IOKOI. Après le passage de ces deux musiciennes, un entracte permettait l’installation de Manuel Oberholzer. Feldermelder, je le connaissais déjà. Ma première rencontre avec l’artiste avait eu lieu dans le cadre du festival SONICA à Ljubljana en septembre dernier.
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Ce type de festival est généralement un moment d’écoute où nous sommes assis sur le sol. Comme étant invité à contempler. Dès lors, nous recevons la musique d’une manière qui diffère de celle d'un concert usuel. En tout cas, nous retransmettons la musique d’une autre manière. Cela car nous sommes davantage invité à intérioriser la musique plutôt qu’à l’extérioriser par le mouvement et la danse. Pour l’exprimer avec des termes ennuyeux et peu sensé, c’est une musique de réflexion.
Cette fois-ci, à Milan, la performance de Feldermelder était bien différente.
Je pense que cela venait du lieu, car il était lui aussi bien différent. Il était même opposé à celui dans lequel je me trouvais en Slovénie ; intimiste et clos, cette fois-ci, La Capsula était un large espace ouvert. Manuel Oberholzer jouait une musique délicate et cherchait à accompagner le spectateur dans son écoute. Je dirais avec certitude que cela était dû à l’espace. Tellement immense que le musicien tentait de nous rassembler. Pour nous guider, il avait besoin de nous chuchoter sa musique. À l’inverse lorsqu’il performait dans un lieu clos, à Ljubljana, sa musique était agressive ; il cherchait à la faire sortir des murs de ce petit espace.
Deux configurations différentes, le même artiste, les mêmes instruments, mais pourtant une musique différente. Dès lors, comment la configuration de l’espace scénique participe à la réception de l’œuvre musicale ? Bien que la musique soit le sujet principal de l’œuvre, l’attitude de l’artiste, l’espace, les instruments sont autant d’éléments qui participent à la performance et à sa réception. L’œuvre est finalement en ensemble pluriel. Par ailleurs, certains artistes abandonnent l’idée de composer l’espace réel et font appel à l’utopie. Il ne s’agit donc plus de combiner l’espace scénique et la musique, mais de créer un nouvel espace fictif par le biais du médium. C’est ce que le musicien Nicolás Jaar a cherché à évoquer dans son album Space is only Noise. Le compositeur est également à l’origine de la création du festival Urvakan situé à Dilijan en Arménie.
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Cet événement combine le programme du Sound Lab — pratiques électroniques expérimentales permettant l’interaction entre les musiciens, les interprètes et les artistes sonores — et celui du Laboratoire d’architecture — redonner de l’intérêt à des lieux historiques et construire de nouveaux modes d’interaction avec eux — et marque le lien étroit qu’entretiennent espace compositionnel et musique multiple en terme d’expérience.
Mia Olivija Bindner
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axeltixier · 2 years
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Affiche pour la sortie du vinyle Umkhosi Wokweshwama du collectif Big Brothers Musique électronique et expérimentale
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jpbjazz · 24 days
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LÉGENDES DU JAZZ
ED BLACKWELL, LE BATTEUR QUI FAISAIT DANSER
"Ed Blackwell, the drummer, has to my ears one of the most musical ears of playing rhythm of anyone I have heard. This man can play rhythm so close to the tempered notes that one seems to hear them take each other's places."
- Ornette Coleman
Né le 10 octobre 1929 à La Nouvelle-Orléans, en Louisiane, Edward Joseph Blackwell a grandi dans le district de Garden. Très influencé durant sa jeunesse par les groupes de cors et clairons, par le rhythm & blues et par les rythmes afro-cubains, Blackwell avait également été très marqué par Charlie Parker et Max Roach. Blackwell avait d’ailleurs étudié brièvement avec Roach lorsqu’il était arrivé à New York au début de sa carrière.
Blackwell avait commencé à s’intéresser à la batterie dès son plus jeune âge. Deux de ses frères étaient aussi danseurs de claquettes. Pour gagner un peu d’argent, Blackwell avait d’ailleurs dansé des claquettes dans les rues de La Nouvelle-Orléans durant son enfance.
N’ayant pas encore de batterie, Blackwell avait d’abord commencé à taper sur des contenants de métal et des boîtes de conserve.
Après avoir joué du ‘’snare drum’’ avec le groupe du Washington High School, Blackwell avait commencé à se produire avec des formations de R & B. Particulièrement influencé par le batteur Paul Barbarin, Blackwell allait souvent le voir jouer dans des clubs, même si la ségrégation lui interdisait d’avoir des contacts avec les Blancs. Comme Blackwell l’avait expliqué en 1968 au cours d’une entrevue accordée au magazine Down Beat: "Whenever I had the time to go down to where he was working, he'd always let me sit in. Naturally, they had this segregation thing going, so I always had to go 'round behind the bandstand, but this didn't bother me because it was just such a gas just being there listening. He's beautiful."
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Vers 1949, Blackwell s’était joint au groupe de R & B des frères Plas et Charles Johnson, qui étaient respectivement pianiste et saxophoniste. C’est à la même époque que Blackwell avait rencontré pour la première fois Ornette Coleman, qui s’était installé à Los Angeles en 1951. Deux ans plus tard, Blackwell avait revu Coleman en se produisant dans la maison d’un ami. Les deux hommes avaient éventuellement commencé à travailler ensemble et étaient même devenus compagnons de chambre, même si les spectateurs n’avaient pas toujours été très réceptifs à leur musique plutôt expérimentale. Dans une autre entrevue accordée en 1977, Blackwell avait précisé: "Of course, when we walked into a joint, everybody would walk off the stage, so we had to go up there and perform, just Ornette and me. We got used to doing it together, because the only time we could get a bass player to even rehearse with us was if we could guarantee him a gig."
Après être retourné à La Nouvelle-Orléans en 1955, Blackwell avait formé un groupe de bebop appelé le American Jazz Quartet. Outre Blackwell, le groupe était composé du clarinettiste Alvin Batiste, du saxophoniste Nat Perrilliat, du pianiste Ellis Marsalis et du contrebassiste Chuck Badie. Le groupe avait publié l’album Boogie Live en 1958. Un été, Marsalis avait d’ailleurs accompagné Blackwell à Los Angeles pour jouer avec Coleman.
En 1957, Blackwell avait également fait une tournée avec Ray Charles. Après être allé retrouver Coleman à New York en 1960, Blackwell avait d’abord envisagé de se joindre au nouveau groupe de John Coltrane, mais à l’époque, Billy Higgins venait de quitter le groupe de Coleman, et Blackwell avait pris la relève dans le cadre d’un contrat de longue durée au club Five Spot. Éventuellement, Blackwell avait participé à l’enregistrement de plusieurs albums de Coleman comme This Is Our Music (1960) Free Jazz (1961) et The Art of the Improvisers (1970). Rendant hommage à Blackwell dans les notes de pochette de l’album This Is Our Music, Coleman écrivait: "Ed Blackwell, the drummer, has to my ears one of the most musical ears of playing rhythm of anyone I have heard. This man can play rhythm so close to the tempered notes that one seems to hear them take each other's places." 
Après une tournée avec Coleman, Blackwell était retourné au Five Spot pour se joindre au pianiste Mal Waldron et au contrebassiste Richard Davis dans le cadre d’un groupe dirigé par le trompettiste Booker Little et le multi-instrumentiste Eric Dolphy. Un des concerts a été enregistré, et est considéré comme un des plus importants albums de l’époque, d’autant plus que Little étant décédé trois mois plus tard. Durant les deux années suivantes, Blackwell avait joué avec un autre collaborateur de Coleman, le trompettiste Don Cherry, avec qui il avait enregistré deux albums pour Blue Note, Complete Communion, Symphony for Improvisers, et Where Is Brooklyn?. Le duo avait également participé à l’enregistrement de l’album The Avant-Garde de John Coltrane en 1967. Blackwell avait aussi enregistré avec Archie Shepp au cours de cette période.
Toujours en 1967, Blackwell avait fait une tournée en Afrique et au Moyen-Orient avec le pianiste Randy Weston, avec qui il collaborait depuis 1965. La tournée était organisée par le département d’État. Blackwell et Weston étaient retournés en Afrique un peu plus tard, dans le cadre d’un séjour au Maroc. Blackwell avait même habité durant un certain temps au Maroc avec sa famille. Les deux voyages avaient profondément tranformé la façon de penser et le style de Blackwell. Se rappelant de son séjour au Maroc avec Blackwell, Weston avait précisé: ‘’When we played in Rabat, Morocco at the Cinema Agdal – the last concert of the whole tour – Ed’s New Orleans beat took the audience out. He shook up the audience; that concert and his drumming is the reason they wanted us to come back!’’
Comme Blackwell l’avait expliqué au cours d’une entrevue accordée au magazine Down Beat en 1968: "The freedom I've always felt for drumming I really could hear in the drummers in Africa. I feel more uninhibited now as far as the right and the wrong things to play are concerned. I began to realize that there's really never any wrong way to play if you play the drums." Décrivant sa première rencontre avec Blackwell, Weston avait commenté:
‘’We were the first ones to play opposite Ornette [in quartet w/Cecil Payne on saxophone] at the Five Spot when he first came to NYC; Leonard Bernstein was there that [opening] night and I wanted to punch him out when he said loudly that Ornette was better than Bird! The first time I heard Blackwell was with Ornette. Blackwell had that special thing New Orleans drummers have – that dance beat; it’s a spiritual thing – and Ed had that – he would do all that polyrhythmic, complex thing but he always had that dance beat.’’
Après avoir de nouveau joué avec Coleman en 1969, Blackwell s’était joint en 1975 à l’Université Wesleyan de Middletown, au Connecticut, comme artiste-en-résidence, poste qu’il avait continué d’occuper jusqu’à sa mort en 1992. Même si on lui avait diagnostiqué une urémie en 1973, la même maladie des reins qui avait emporté Little, Blackwell était resté un incontournable du milieu du jazz new-yorkais même s’il devait se soumettre à de fréquents traitements de dialyse. En 1976, Blackwell avait co-fondé le groupe Old and New Dreams avec d’anciens collaborateurs d’Ornette Coleman comme Don Cherry, Charlie Haden et Dewey Redman. Le groupe avait publié un premier album éponyme la même année, qui avait été suivi d’un second opus en 1979. Le groupe avait également participé à de nombreuses tournées. Même s’il jouait plusieurs compositions de Coleman, le groupe interprétait également ses propres créations.
DERNIÈRES ANNÉES
Dans les années 1980, Blackwell s’était produit avec plusieurs musiciens d’avant-garde dont les saxophonistes Anthony Braxton, Jane Ira Bloom et David Murray. En 1981, Blackwell avait également fait une apparition au Woodstock Jazz Festival à l’occasion du 10e anniversaire du Creative Music Studio.
Durant la même période, Blackwell avait également renoué avec son vieil ami, le pianiste Mal Waldron. En 1987, le groupe Old and New Dreams avait rendu hommage à Blackwell dans le cadre d’un concert présenté au festival de jazz d’Atlanta. Le concert avait été enregistré et avait donné lieu à la publication de l’album One for Blackwell, sur étiquette Black Saint.
Au début des années 1990, Blackwell avait également formé un trio avec le saxophoniste Dewey Redman et le contrebassiste Cameron Brown, avec qui il avait enregistré l’album Walls-Bridges publié par les disques Black Lion. Par la suite, Blackwell avait formé le Ed Blackwell Project avec le cornettiste Graham Haynes (le fils du légendaire batteur Roy Haynes), le saxophoniste et flûtiste Carlos Ward, et le contrebassiste Mark Helias. Après avoir publié un album éponyme en 1992, le groupe avait enchaîné avec What It Is? Et What It Be Like?, un album en deux volumes documentant la dernière performance de Blackwell au club Yoshi d’Oakland, en Californie.
Ed Blackwell est décédé peu avant son 63e anniversaire de naissance dans un hôpital de Hartford, au Connecticut, à la suite de complications liées à une insuffisance rénale le 7 octobre 1992. Il était âgé de soixante-trois ans. Blackwell, qui résidait à Hartford depuis plusieurs années, laissait dans le deuil son épouse Frances qu’il avait épousée en 1958 et qui lui avait donné deux fils et une fille. Un an après sa mort, Blackwell avait été admis au  Down Beat Jazz Hall of Fame. Blackwell projetait de faire une tournée en Europe avec son groupe lorsqu’il était tombé dans le coma.
Blackwell n’avait jamais regretté avoir attendu si longtemps pour lancer ses propres groupes. Il expliquait: "I don't really have a leader feeling. I try to play along with whomever I'm playing with, not so much as an accompanist but an equal."  Un an avant sa mort, Blakwell adorait toujours autant son métier. Il précisait: "Once you get obsessed with doing something that's fun, there's no problem about doing it. I used to carry sticks in my back pocket with little rubber balls on the end so I could sit down and play on any surface, on cement, or whatever. Anywhere I'd sit down, I'd take out my sticks and practice. I'm still obsessed today---24 hours a day." Une des citations préférées de Blackwell était l’adage chinois ‘’Neglect your art for a day, and it will neglect you for two.’’
Considéré comme un des batteurs les plus originaux de l’histoire du jazz, Blackwell s’était produit avec de grands noms du jazz comme Alvin Battiste, Ellis Marsalis,  Anthony Braxton, Dewey Redman, Charlie Haden, Marion Brown, Jane Ira Bloom, Archie Shepp, Don Cherry, Joe Lovano, Booker Little, Carlos Ward, Cameron Brown, Eric Dolphy, Ornette Coleman, Sonny Rollins, Nat Perrilliat, John Coltrane, David Murray, Randy Weston et Mal Waldron. Il avait aussi joué avec Yoko Ono. Saluant la contribution de Blackwell au monde du jazz, le batteur Billy Hart lui avait rendu hommage en déclarant: “Ed Blackwell is one of the major drum influences of the twentieth-century. Through his connection to the African diaspora, his so-called avant garde drumming implied all world music, ancient to the future.”
L’actrice Allison Miller raconte ce qu’elle avait ressenti en écoutant jouer Blackwell pour la première fois:
‘’I first heard Ed Blackwell with Ornette Coleman on This Is Our Music. I immediately connected to this music. It felt so good! It feels so good. I love the way Ornette, Don Cherry, Charlie Haden, and Ed Blackwell sound together. They sound like a true band, a group of exploratory musicians pushing boundaries together, improvising together, trusting each other, and sharing similar values on and off stage. Another element of connection to this music came from a certain Southern affiliation. I am from Texarkana. Coleman is from Fort Worth, Cherry from Oklahoma City, Blackwell from New Orleans, and Haden is from Iowa City but grew up playing country music. We Southerners feel the beat in a unique way. When my southern “green” ears of 18 years first heard This Is Our Music, I heard and described it as Free Country BeBop! It just blew me away and immediately stamped a smile on my face.
Ed Blackwell’s drumming makes me dance. I can feel his News Orleans roots in his entire approach to improvisational music. He has such a propulsive, buoyant, and joyful feel. His ride cymbal melody is wonderfully loose and I love the way he supports Coleman, Cherry, and Haden, while still participating with the melodic and rhythmic interplay being passed around the bandstand.’’
Pour sa part, le saxophoniste Lewis Nash avait déclaré au sujet de Blackwell:
‘’He also talked at length about Max Roach and what a master he was, and how Max was a major influence on his approach to the drums. Billy Higgins said that Blackwell was like a scientist at the drums (Higgins , and I have to agree completely. The way Blackwell combined and executed rhythms was masterful and required a high level of skill, technique and focus. For me he was a perfect balance of scientist and artist, as he not only had the technical skill necessary, but also the artistic sensibility to make the rhythms dance and feel good. Blackwell was one of the most swinging, grooving musicians to ever sit behind the drums!’’
©2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
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marothro · 25 days
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Quelles sont les langues créées comme l'espéranto ?
L'espéranto est la langue construite la plus connue, mais il existe plusieurs autres langues artificielles (ou construites) qui ont été créées avec des objectifs similaires. Voici quelques exemples de langues construites comme l'espéranto :
1. Volapük
Créateur : Johann Martin Schleyer
Année de création : 1879
Objectif : Volapük a été l'une des premières langues internationales construites, créée pour faciliter la communication internationale. Elle a eu un certain succès avant d'être éclipsée par l'espéranto.
2. Ido
Créateur : Une commission d'espérantistes réformateurs, dirigée par Louis Couturat
Année de création : 1907
Objectif : Ido est une réforme de l'espéranto visant à améliorer certaines de ses structures et à le rendre plus régulier. Il a été conçu pour être plus facile à apprendre et à utiliser.
3. Interlingua
Créateur : International Auxiliary Language Association (IALA), dirigée par Alexander Gode
Année de création : 1951
Objectif : Interlingua a été conçue pour être une langue internationale facile à apprendre, basée sur les langues romanes et une grammaire simplifiée. Elle est destinée à être compréhensible pour ceux qui parlent des langues européennes.
4. Lingua Franca Nova
Créateur : C. George Boeree
Année de création : 1998
Objectif : Inspirée par l'interlingua et le pidgin méditerranéen, Lingua Franca Nova a été conçue pour être simple et régulière, avec une grammaire facile à apprendre et un vocabulaire tiré des langues romanes.
5. Loglan et Lojban
Créateur : James Cooke Brown (Loglan) et Logical Language Group (Lojban)
Année de création : Loglan en 1955, Lojban en 1987
Objectif : Loglan a été créé comme une langue expérimentale pour tester l'hypothèse Sapir-Whorf, qui propose que la langue influence la pensée. Lojban est une version modernisée et développée de Loglan, avec une grammaire et un vocabulaire conçus pour la logique et la précision.
6. Klingon
Créateur : Marc Okrand
Année de création : 1984
Objectif : Le klingon est une langue construite pour l'univers fictif de Star Trek. Bien qu'il soit principalement destiné à la fiction, il a une grammaire complète et un vocabulaire en expansion, avec une communauté active d'apprenants.
7. Toki Pona
Créateur : Sonja Lang
Année de création : 2001
Objectif : Toki Pona est une langue minimaliste construite avec un vocabulaire de seulement 120 à 137 mots, conçue pour exprimer des idées complexes de manière simple. Elle se concentre sur la simplicité et l'essence des concepts.
8. Glosa
Créateur : Ronald Clark et Wendy Ashby
Année de création : Années 1970
Objectif : Glosa est une langue internationale simplifiée, inspirée de l'interlingua, conçue pour être utilisée comme une langue auxiliaire mondiale.
9. Novial
Créateur : Otto Jespersen
Année de création : 1928
Objectif : Novial a été conçu comme une langue internationale simplifiée, tirant son vocabulaire des langues européennes et avec une grammaire facile à apprendre.
10. Solresol
Créateur : François Sudre
Année de création : 1827
Objectif : Solresol est une langue construite basée sur les notes musicales, avec l'idée que la musique, étant universelle, pourrait servir de base à une langue internationale.
Ces langues construites partagent souvent un objectif commun : faciliter la communication internationale, promouvoir la paix mondiale, ou expérimenter des concepts linguistiques. Cependant, chacune a ses propres caractéristiques et nuances, reflétant les visions et les intentions de leurs créateurs.
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sonmelier · 28 days
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Avant-cuvée 2024 : 4/8
Oyez, oh yeah, c'est le retour des avant-cuvées ! On reprend les choses là où on les avait laissées à la fin du mois de mai. Ce quatrième article de la série a lui aussi pour objet de mettre en lumière quelques unes des œuvres les plus marquantes de l'année en cours. Une sélection de rentrée un peu plus généreuse cette fois-ci, avec non pas 6 mais 8 disques (un peu de rab pour affronter la reprise !).
Comme d'habitude, les horizons sont divers (tant dans le style que dans la géographie), mais ils convergent tous vers une même évidence : la capacité universelle de la musique à dialoguer avec l'âme humaine et à y laisser une empreinte durable.
Actress | Statik
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🏴󠁧󠁢󠁥󠁮󠁧󠁿 Angleterre | Smalltown Supersound | 48 minutes | 11 morceaux
Changement de label pour Darren Cunningham, dont le dixième album débarque chez les osloïtes de Smalltown Supersound. Un mariage auquel nous n’avions pas pensé, mais qui tombe pourtant sous le sens. Cette maison norvégienne est un acteur de tout premier plan dans les nouvelles formes de jazz et de musique électronique et on a justement affaire ici à un des projets electro les plus captivants et novateurs des quinze dernières années. Les influences jazz qui étaient à l’œuvre dans le fantastique LXXXVIII sont paradoxalement un peu moins à l’œuvre, mais la profondeur onirique de la musique d’Actress s’abreuve subtilement à d’autres sources tout aussi fertiles (on pense à l’univers sonore de Drexciya ou encore aux mélodies obliques de l’expérimentateur portugais Nuno Canavarro).
🎧 Cafe del Mars
Arooj Aftab | Night Reign
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🇵🇰 Pakistan | Verve Records | 49 minutes | 9 morceaux
Night Reign est une toile sonore nocturne absolument somptueuse, tissée des plus beaux fils issus du jazz, du ghazal, du folk et du qawwalî. Le chant en ourdu d’Arooj Aftab est loin d’avoir épuisé son pouvoir d’envoûtement, malgré les nombreuses heures passées à écouter les magnifiques Vulture Prince et Love in Exile. Plus expérimentale et en même temps plus dynamique que jamais, sa musique explore ici des territoires imprégnés d’un romantisme mélancolique enivrant.
🎧 Aey Nehin
Bab L' Bluz | Swaken
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🇲🇦 Maroc | Real World Records | 45 minutes | 11 morceaux
Fondé en 2018 à Marrakech et signé par le prestigieux label Real World, ce power quartet propose une potion musicale très personnelle, survoltée et spirituelle, mêlant traditions gnawa, rock, expérimentations psychédéliques et chaâbi. Swaken (qui signifie « possession et transcendance » en darija, dialecte marocain) est son deuxième album. Le premier (Nayda !, sorti en 2020) lui avait valu une belle reconnaissance critique, et lui avait ouvert les portes d’une longue tournée mondiale riche en enseignements. Mené par la chanteuse et joueuse de guembri Yousra Mansour, il aborde de manière intense et conquérante de nombreux thèmes politiques et sociétaux avec la volonté de faire bouger les lignes, particulièrement pour l'émancipation des femmes. De la révolte, de la transe mais aussi de la magie irriguent ce disque, à l’image des prestations live du groupe.
🎧 AmmA
Camera Obscura | Look to the East, Look to the West
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🏴󠁧󠁢󠁳󠁣󠁴󠁿 Ecosse | Merge Records | 45 minutes | 11 morceaux
On ne l’attendait plus, ce sixième album du si délectable groupe indie pop de Glasgow. En pause depuis 2015, après un Desire Lines (2013) assez décevant et suite au décès de la claviériste Carey Lander, Camera Obscura a repris son parcours discographique sur les meilleures bases. On retrouve ici tous les ingrédients qui font la magie de sa musique (mélodies délicates et entêtantes, textes qui touchent et qui font mouche, sans parler du chant magnétique de Tracyanne Campbell, le tout dans un subtil mélange de chaleur et de nostalgie, de spleen et d’énergie) mais on découvre aussi quelques pistes nouvelles (textures électroniques par ci, influences country plus marquées par là). Sans prétendre égaler les deux albums phares que sont  Let's Get Out of This Country et My Maudlin Career (mais on parle ici de deux des tous meilleurs disques d’indie pop des vingt dernières années), Look to the East, Look to the West nous offrent des retrouvailles réjouissantes avec un groupe irremplaçable dans son genre.
🎧 Liberty Print
Charli XCX | brat
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🏴󠁧󠁢󠁥󠁮󠁧󠁿 Angleterre | Atlantic | 41 minutes | 15 morceaux
Un ou une « brat », c’est littéralement un ou une sale gosse. Une jeune personne dont le manque d’éducation peut susciter chez autrui un certain degré d’hostilité. Dans une des chansons de leur premier album (en 1976), les pionniers du punk Ramones suggéraient d’ailleurs de réserver à ce type d'individu un traitement bien peu amène. Mais ça, c’était avant. Avant que ne déboule dans un tourbillon festif, déluré et touchant de sincérité, un été 2024 marqué au fer vert fluo de Charli XCX. L’artiste britannique, plus confiante et conquérante que jamais (sans pour autant avoir dissimulé ses vulnérabilités), a semble-t-il arraché des mains toutes les battes de baseball qui cherchaient à la tenir en respect. Pas tant pour les retourner contre leurs porteurs (même si elle ne se prive pas toujours de rendre quelques coups bien sentis) que pour inviter tout ce petit monde à une célébration jubilatoire. La fête est toujours plus belle quand on est désarmé. Plus de dix ans après ses débuts, et tout en conservant une esthétique audacieuse faisant penser au label hyperpop PC Music (sur lequel elle n’a jamais rien publié malgré sa collaboration artistique au long cours avec A.G. Cook), Charli XCX tient avec « BRAT » l’album frontal et extatique qui la propulse au rang de phénomène de société.
🎧 Von Dutch
Cindy Lee | Diamond Jubilee
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🇨🇦 Canada | Realistik Studios | 122 minutes | 32 morceaux
Ses 32 morceaux et ses 122 minutes pourraient conférer à Diamond Jubilee une image de mastodonte tentaculaire et écrasant. Mais il suffit de lever le nez de la tracklist et d’entamer l’exploration de l’œuvre avec les oreilles pour ne ressentir que douceur et légèreté, comme en lévitation entre plusieurs époques étrangement familières qui s’entremêlent et se répondent. Profondément habité par la pop music des girls bands sixties, Patrick Flegel campe à travers son personnage drag queen Cindy Lee un groupe féminin réduit à une seule fille, rescapée mystérieuse et nostalgique plongée dans une brume d’échos lointains. Les expérimentations vénéneuses et autres assauts bruitistes entendus dans le génialissime What's Tonight to Eternity ? ne sont plus de la partie, mais il résulte de ce flot ininterrompu de chansons immédiates et accueillantes, presque dépourvues d'aspérité, un doux et troublant sentiment de vertige.
🎧 Kingdom Come
Meridian Brothers | Mi Latinoamérica sufre
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🇨🇴 Colombie | Ansonia | 48 minutes | 11 morceaux
Chaque nouvel album du projet Meridian Brothers d’Eblis Álvarez s’accompagne d’une certitude absolue : l’auditeur va être plongé de manière irrésistible dans une joie bizarre et endiablée, emporté par des flots musicaux tropicalement décalés. Pour le reste, rien n’est absolument prévisible avec notre énergumène colombien, à commencer par les histoires abracadabrantesques racontées dans ses chansons. Un univers sonore unique en son genre, qui relève d’une alchimie miraculeuse entre avant-garde psychédélique et sons afro / latino-américains traditionnels (ceux de la salsa, comme sur son brillant disque précédent, ceux de la champeta et de la rumba sur le présent opus et bien sûr ceux de la cumbia, qui ont toujours irrigué l’ensemble).
🎧 Mandala
Pomme | Saisons
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🇫🇷 France | Virgin | 36 minutes | 12 morceaux
Le quatrième album de Claire Pommet est un accomplissement esthétique et conceptuel captivant. Epaulée par l’artiste pluridisciplinaire Malvina (qui habille les douze chansons du disque d’orchestrations et d’arrangements absolument sublimes) ou encore par Aaron Dessner (The National) et Flavien Berger, cette lyonnaise de naissance brille de mille feux dans ce monde sonore envoûtant qu’elle a composé puis magnifiquement façonné de sa voix et par ses textes. Une ode d’une douceur infinie à la nature, au vivant qui nous entoure et aux sentiments humains.
🎧 _jun perseides
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radioroquette · 2 years
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RR17—3# Les programmes du jeudi 17 novembre au samedi 17 décembre
• Les créations sonores de RR * Beatriz Ferreyra « Echoes » (8′30) • La voix du large de Lili Le Gouvello * La révolution des genres ¬ Rencontre avec Marie-Pierre (20′46) • Les rencontres de RR * I C I l’atelier - céramique (32′03) • L’interlude musical et pimenté de Thomas * Colombie & Brésil (10′) • En attendant la plage —écritures contemporaines * Lucien Suel « Propager le Poème » • Le billet cinéma de Benoît Muller * Journal cinéphile d’octobre (27′) • Les rencontres de RR * L’éditeur Fabrice Caravaca et le poète Marc Guillerot (20′26) • La ville sans salades ni ambages de Sébastien Madau * 4 étoiles (2′56) • L’interlude musical et pimenté de Thomas * Afrique du Sud, France & Argentine (10′) • Quartiers de culture —Conférence * Albert-Jean Morazzani « Le Che avant le Che » (65′24) • Les découvertes musicales de RR au Club * La « rengaine-roule » Façon JuTu (36′57)
Les interludes : Los Miticos Del Ritmo « Fabiola » (Colombie) * Noriel Vilela « 16 Toneladas » (Brésil) * Mart'nalia « A Tonga da mironga do kabuleté » (Brésil) ¬ Muzi « People » (Afrique du Sud) * Jain « Makeba » (France) * La yegros « Iluminada » (Argentine)
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