#impro

[blue0beanie]

Casselmen!!!! I had an improv tournament there we sucked but it was so fun I ate lots of cheese curds!!!

[hufavre]

🗨 005 : L’histoire dont vous êtes l’ornitho 🦦📚

Une semaine de retard ?! Eh oui… j’étais sous l’eau (vous l’avez ? 😏🏊‍♀️)

Dans ce nouvel épisode interactif, vous pouvez enfin vivre la journée type d’un ornithorynque freelance à double casquette (créateur et formateur). Des choix, des doutes, de l’administratif, et une bonne popote pour finir. 🥘

Et toi, c’est quoi ton activité-détente pour couper avec ta journée ? 🍳🎮🧗‍♀️

[occknow]

Tony Conrad : L’enfant du violon mal accordé et de la cuisine absurde.

Dans l’ombre des figures de l’avant-garde new-yorkaise, Tony Conrad s’amuse encore à raconter comment tout a commencé.

Car au départ, il y a ce gamin, réservé, un peu gauche, qui se retrouve inscrit à des cours de violon sans trop savoir pourquoi.

Pas dans l’éclat des projecteurs, ni dans le feu sacré d’une vocation précoce, mais dans le documentaire Tony Conrad: The Dreaminimalist de Marie Losier.

Il revient avec humour et autodérision sur son parcours et son rôle dans l’émergence de nouvelles formes artistiques dans les années 1960.

Peut-être un coup des parents. Peut-être un hasard. Ce qu’il sait, c’est que ce fichu instrument ne sonne jamais juste et qu’il fait de son mieux, sans grande conviction.

À côté, il distribue des journaux, mais rechigne à réclamer l’argent des abonnés. S’il entend un « Je n’ai pas la monnaie », il file sans demander son reste.

Et pourtant, c’est avec ses maigres économies qu’il s’offre un violon.

Un instrument dont il déteste la sonorité, une « pièce de merde » comme il le dira plus tard, mais qui va, sans qu’il ne le sache encore, tracer le chemin de son langage musical.

L’enfance de Tony Conrad, c’est aussi celle des petites joies absurdes et des situations cocasses, comme ce fameux Fanny Farmer Cookbook que sa mère sortait parfois.

Lui et ses frères se moquaient du nom, le trouvant particulièrement drôle : Fanny Farmer, c’était bien plus qu’un simple livre de cuisine.

C’était un univers de recettes improbables et de rires, une petite échappatoire dans une vie où l’imprévu et la déconcertante réalité s’entremêlaient.

Un jour, Tony se retrouve à y découvrir une recette de pickles d'oignons, et soudain, une révélation : il pourrait utiliser les oignons comme métaphore pour le film, en particulier pour le film « positive fine grain print stock », qu’il trouve aussi beau et irisé qu’un oignon.

Mais l’art, chez Conrad, ce n’est pas seulement les violons mal accordés ou les recettes de cuisine. C’est un voyage, une quête vers New York, où il rejoint des figures comme La Monte Young, John Cage, et David Berman. Là, il comprend qu’il doit être là, au cœur de l’effervescence créative.

Son arrivée à New York est marquée par une rencontre improbable avec Jack Smith, un cinéaste excentrique et inclassable. Dans un loft qu’il partage avec Smith, Conrad plonge dans un monde où l’art prend des formes inattendues, parfois dérangeantes.

Il croise même Arthur Lubin, le réalisateur des fameux albums de Miss Montesso, qui n’hésite pas à produire des images décalées, parfois cruelles, d’une absurdité assumée.

Là encore, l’art de Tony Conrad ne se limite pas à des simples cases : il est polymorphe, en constante évolution, en perpétuelle remise en question.

Il se souvient d’une époque où sa mère fabriquait des marionnettes, une tradition familiale étrange et drôle, qui lui permettait de s’évader dans un monde où l’innocence des spectacles pour enfants côtoyait des aventures plus philosophiques.

À l’époque, il incarnait tous les personnages de ces spectacles familiaux, du Prince de l'Inde à Santa Claus, toujours avec un brin d’absurdité.

Tony Conrad, à travers les âges, n’a cessé de fuir le conformisme et les attentes sociales.

Du violon mal accordé à la cuisine farfelue, de la rencontre avec la contre-culture new-yorkaise à l’univers onirique des marionnettes, il a toujours su tirer l’essence de ce qui semblait décalé et en faire un terrain d’expérimentation musicale et artistique.

Et ainsi, du Fanny Farmer Cookbook, de l’enfant timide à l’artiste audacieux, Tony Conrad nous invite à reconsidérer la beauté des imperfections, des détours et des accidents.

Et si, finalement, le véritable art ne naissait pas des réussites, mais de ces détours imprévus, de ces instruments mal accordés et de ces recettes absurdes qui transforment notre regard sur le monde ?

| Par @occknow

[unboundtheatre]

Unbound Tales blog

Here's our next delve into the archives. Our creative producer Dario Knight continues our Unbound Tales blog charting the history of the company. This week's post looks back at our first full production year - 2015.

[a-alban-works]

[uneessencesensible]

N°1361 – Lundi 06 février 2017

Je sais que les relations du passé ont laissés des traces chez elle, autant que chez moi. Indirectement, certes, et sans que je ne le veuille. Ce n'est que depuis quelque temps que je remarque l'impact réel que cela a pu avoir sur elle. Or, cette fois-ci, ça ne sera pas pareille. Je dois lui montrer qu'il s'agit d'une bonne personne, que ça ne sera pas comme avant. Que je vais prendre mon temps et qu'il n'aura une mauvaise influence sur moi. Je ne veux pas quelle se fasse de films, qui pourront être des fausses idées. Si je ne tente pas, je ne saurai pas s'il est le bon, si nous pouvons aller loin ou non. Si mon coup de cœur du lycée peut devenir mon premier amour, alors je n'hésiterais pas une seule seconde. Je veux tenter, je veux voir ce que me réserve l'avenir. Je veux voir ce qu'il peut me donner, m'apporter dans ma vie. Je ferai en sorte qu'elle n'ait pas peur. Je sais qu'elle s'inquiète très facilement, qu'elle veuille que je tombe sur quelqu'un de bien. Je sais qu'elle ne veut que le meilleur pour moi. Mais en premier lieu, c'est à moi de choisir. De faire mes bases, mes expériences. Les décisions doivent venir de moi, de mon cœur. Personne ne pourra me dire quoique ce soit, car je suis la seule à pouvoir décider de mon futur. Nous verrons bien. Je prendrais le temps qu'il me faut pour avancer dans notre relation. Je veux, dans un premier temps, profiter de cet instant magique. De partager des moments de bonheur et d'amour. Savourer ses émotions délicieuses qui s'emparent de moi quand il est là.

Édit : Ce texte me rappelle plusieurs choses. Dans un premier temps, non, il n'a pas été mon premier amour, mais simplement une relation que j'ai tenté de réanimer et qui n'en valait pas la peine. C'est pas une légende, ne retournez JAMAIS avec quelqu'un du passé, ça ne fonctionne jamais. Mon premier amour, je le vis en ce moment même. Le seul et -j'espère- l'unique. Celui qui m'apporte tout ce dont j'ai besoin et qui m'aime telle que je suis, qui respecte ce que je suis. Dans un second temps, ça me fait penser que... je pourrais faire tout et n'importe quoi, ça ne sera JAMAIS à la hauteur de leurs espérances. Ca ne sera jamais le bon, jamais comme il faut. Jamais. Quel que soit le domaine qui me concerne. Rien n'ira. Alors, autant vivre ma vie comme je le sens.

Pensées du soir - 23.01.2024

[arton1311]

Да, я. И что?

[luukka]

Let me present to you an exclusive ✨️Max Goof and Ciss Bunny performance✨️

Not my first time on trying animation but I wanted something quick and dynamic so I didn't make much pictures (just 16 and to make at least a real fluid animation, I should made like 16-24 for 1sec.) and made one or two loops instead

It was fun tho I want to do moooore

[valentinobaos]

Hay un concurso en audiomusica para ganar un Casio Privia... Hágale como este clip... 🎹

[xyerverk2]

Пока такое настроение

[cestmoiquand]

Je fais ma première scène d'impro ce soir... Je sais que je suis prête, je sais que ça va aller, mais j'ai quand même été réveillée à 5:30 du matin...

Du coup, je suis coach et je remplace si en est malade/absent , et du coup, avec un absent, je suis sur scène. Tout le monde me pose la question : alors tu es sur scène. Et je suis genre "non non je suis coach ".

Je voulais pas me mettre en joueuse directement pour éviter de me mettre la pression pendant 3 semaines et que tout le monde me pose la question : alors pas trop stressée ??? Ta question me stresse

Du coup, ce soir je m'imagine comme ça :

[dj-bouto]

00:00:00 - "Pearls And Transformation"- Arcana 00:15:57 - "Night Lights-Density" - Otomo Yoshihide New Jazz Quintet 00:34:41 - "Love Chant" - Charles Mingus 00:49:28 - "Dastgah-E Shur" - Daryoush Tala'i 01:15:11 - "1 May 24, 1972, Paris, Part.1" - Terry Riley 01:40:02 - "D'ore et d'espace #8" - Denys Vinzant 01:49:48 - "Claviers" - Les Percussions De Strasbourg / Xenakis 02:00:05 - "Polypoly" - Arne Nordheim 02:21:43 - "Elektrostatik" - Plastikman 02:31:24 - "Électro chocs" - Jean Genet 02:31:37 - "Piano, Bass, Drums" - The Necks 03:24:58 - "All" - TV Victor 04:20:16 / END Mixed by Dj Bouto  # :  indie, jazz, impro, rock, experimental, ambient, electronica, dUb, transe, psychedelic

[postilionstruckbylightning]

I’ll add the lesson I learned from improvisation: fall in love with failing. The process of trying something, falling short of what you’d hoped for, and examining how that happened is so important, and so beautiful. Each failure opens up an infinite range of new opportunities, like a kaleidoscope.

[clang-row]

Impressionen von c!ang #50/

30 Minuten Gespräch

mit

Frauke Berg (Moderation), Shunsuke Oshio, Claas Morgenroth, Tom Blankenberg, Sven Hansen und Swen Buckner über zehn Jahre c!ang

2 x 45 Minuten Rundlauf-Improvisation zu einem Experimentalfilm (1967) von Michael Snow

mit

Daniel Werner (K), Stefan Jürke, Angela Fette, Hauke Schmidt, Frauke Berg, Jovan Stojšin, Axel Ganz, Christian Jendreiko, Stefan Ettlinger, Sven Hansen, Tom Blankenberg, Claas Morgenroth, Shunsuke Oshio, Swen Buckner

gefolgt von einem DJ-Set von Mareike Frisch zum feierlichen Ausklang und gemeinsamen Abzappeln

Samstag, 15. März 2025, Einlass 20 Uhr, Beginn 20:30 Uhr

[a-alban-works]

[uneessencesensible]

N°1352– Mercredi 04 janvier 2017

Lorsque nous avons un ami en mal-être, qui souffre de quelque chose, nous avons tellement envie de l'aider que, quand cela n'est pas possible, un sentiment d'impuissance se réveille. Nous nous posons de multiples questions, des « pourquoi il ne veut pas ? » ou « pourquoi je ne pourrais pas ? ». Nous commençons, pendant quelques secondes, à délirer. Pourtant, c'est normal. C'est normal que nous ne pussions pas faire plus pour cette personne. Parce que nous ne pouvons pas se battre à sa place. Nous ne pouvons pas prendre cette putain de douleur qui la ronge. Nous pouvons simplement lui parler, l'écouter, lui donner des conseils ou la rassurer. Des fois, nous pouvons juste être présent, être à ses côtés. Lui offrir son épaule pour pleurer. Ses bras pour la réconforter.

Alors, voilà les péripéties de la vie. Des hauts, des bas, au fil de la journée, de la semaine ou de l'année. Ce n'est que ça. Parfois, c'est supportable. Des fois, nous ne ressentons rien. Puis, il y a ces fois où c'est dur de tenir, d'encaisser. De continuer à vivre comme si nous n'avons rien vécu.

« J'ai eu mal au cœur quand je t'ai vu pleuré dans mes bras. J'ai pensé qu'à ça tout le long du cours. Pourtant, je sais faire abstraction des choses quand il le faut. Mais là, je n'ai pas su. Cela me fait chier que ce soit ainsi et excuse-moi de ma vulgarité, mais c'est le cas. Toi qui es sensible, tu paies encore les frais de la vie. Pourtant, c'est ainsi. Pourtant, nous allons tous y passer, mais c'est vrai que, quand il s'agit d'une personne chère à notre vie, nous n'avons pas envie qu'elle vive ça. Nous pensons pouvoir la protéger, alors que personne n'est à l'abri. »

Édit du 27.09.2023 :

5 ans après, je relis ces mots. 5 ans après, nous ne sommes plus amis. 5 ans après, je ne regrette rien. J'ai fait les choses avec le coeur. Puis, les relations, ça va, ça vient. Non ?