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#place des fêtes
walker-diaries · 2 years
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mrestilo · 8 months
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f0531 por Zappacity Por Flickr: A former postmodernwomen.com image
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lenordestparisien · 9 months
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Place des Fêtes - Paris 19ème (2024)
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borddeleau-estrie · 5 months
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corse2b · 29 days
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Bienvenue à Calvi.
Le feu d’artifice du 15 août à Calvi est un événement spectaculaire qui se déroule chaque année pour célébrer la Fête de l’Assomption. Cette année, le feu d’artifice a eu lieu à 23h depuis les Remparts de la Citadelle. C’est un moment magique avec des projections lumineuses qui illuminent le ciel de Calvi
Haute Corse
source : corse2b.
Août 2024.
Welcome to Calvi.
The fireworks on August 15 in Calvi are a spectacular event that takes place every year to celebrate the Feast of the Assumption. This year, the fireworks took place at 11 p.m. from the Ramparts of the Citadel. It is a magical moment with light projections that illuminate the sky of Calvi.
High Corsica
source: corsican2b.
August 2024.
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chic-a-gigot · 10 days
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L'Art et la mode, no. 37, vol. 43, 16 septembre 1922, Paris. Toilette créée pour Madame P… pour la fête Second Empire, à Biarritz, le 20 Septembre. Création de Fanny. 2, Rue volney, Paris. Biarritz, 11, Place de la Liberté. Bibliothèque nationale de France
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fidjiefidjie · 2 months
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Bonjour ☕️ 🥐 🍒, bon Dimanche de Fête Nationale 🇨🇵
Fête du 14 Juillet place de la Bastille 🗼Paris 1960
Photo de Sanford H. Roth
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empiredesimparte · 2 months
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⚜ Le Sacre de Napoléon V | N°17 | Francesim, Paris, 29 Thermidor An 230
After midnight, Louis and Charlotte returned to their flats and celebrated the coronation day in private. However, despite the celebrations, Charlotte could not stop thinking about her husband's departure. She would like him to stay with her for the next few months. To reassure her, Louis promises to consult his advisers once more.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Après minuit, le coupe impérial regagne ses appartements et célèbrent en privé la journée du couronnement. Cependant, Charlotte ne cesse de penser au départ de son époux, malgré ce jour de fête. Elle aimerait qu'il reste auprès d'elle les prochains mois. Pour la rassurer, Louis lui promet de consulter ses conseillers une nouvelle fois.
(ils s’embrassent)
(Charlotte) … Je n’oublierais jamais ce jour extraordinaire (Napoléon) C’était incroyable, n’est-ce pas ?
(Charlotte) … Merci (Napoléon) Pour quoi ?
(Charlotte) Pour tout, tu as tellement fait pour nous (Napoléon) Tu vas bien ?
(Charlotte) Je n’arrive pas à me faire à l’idée que tu partes bientôt (Napoléon) Chérie…
(Charlotte) Non. Promets-moi que nous trouverons toujours du temps pour nous (Napoléon) Charlotte…
(Napoléon) Bien sûr. Je te le promets. Notre famille sera toujours ma priorité
(Napoléon) Rien n'est plus important que toi et notre enfant
(Charlotte) Alors, prouve-le (Napoléon) Je…
(Napoléon) Je dois aller à ma formation, c’est mon rêve depuis toujours. Et cela fait partie de mon devoir, je dois servir à l’armée. Nos enfants le devront aussi
(Napoléon) Ne rends pas le départ plus difficile, chaton (Charlotte) Louis, c’est toi qui compliques tout
(Charlotte) Je devrais avoir mon époux auprès de moi, et à la place, je vais devoir gérer le bébé mais aussi le pays entier. Ton absence sera mal vue, je ne parle pas de moi mais de l’opinion publique
(Napoléon) Mes conseillers m’ont dit le contraire (Charlotte) Ils ne savent pas que l’on attend un enfant
(Napoléon) Tu as réponse à tout (Charlotte) Et toi, tu me fatigues (Napoléon) Attends !
(Napoléon) Il vaut mieux que je parte maintenant plutôt que les premières années du bébé, tu ne crois pas ? Si je repousse éternellement l’occasion, je ne le ferai jamais et tu le sais
(Napoléon) A mon retour, je vous couvrirai de cadeaux et d’histoires palpitantes. Cette expérience nous servira tous les deux toute notre vie
(Charlotte) Je ne peux pas approuver, c’est une mauvaise idée Louis. Je suis honnête avec toi, que ça te plaise ou non
(Napoléon) Ecoute, je vais m’entretenir à nouveau avec mes conseillers et j’écouterai leur avis (Charlotte) C’est le plus sage
(Napoléon) Il faut bien leur annoncer la nouvelle de toute façon (Charlotte) Oui. On a assez attendu
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jamisonwritestf2trash · 3 months
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Fête des Pères (TF2 SpyDad Thing)
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Scout sat on his bed, clutching the card he had made. He had always been an artist by nature. He looked at it with a weird feeling well in his chest. What was he thinking? He hated Spy. He was sure of it. The arrogant bastard. Who cares if he "apologized?" It was fake. It had to be. There was nothing about that man that could be real.
So it didn't matter. The apologies, the attempts to reconcile, even the rare moments where forgiveness felt like a tangible thing. Scout crumpled the card. Swallowing the feelings, the anger, the sadness, all of it. He let out a shaky breath, rising to his feet. He needed to take a walk. He just needed to clear his mind, and throw away this damn card.
But even as he walked the halls of the base, anger bubbling inside him, he found himself in front of the one place he knew Spy would be. He had half a mind to start another screaming match with him. Not that it would be productive, but surely it would quell the resentment. He stared at the door, holding up his hand to pound at the door.
Spy sat in his smoking room as was common for most moments of downtime he had on the base. Cigarette in one hand, a scribbled crayon drawing of a family tightly clutched in the other. As if holding onto it would keep his latch on a distant memory would keep it from fading away. It was fuzzy in his mind, but he could still recall it.
It was early fall. The weather still cooling down from the blistering heat of summer. Spy leaned back in his armchair, watching as the young boy in front of him drawing with a purpose. His entire being focused on making the drawing perfect. Spy chuckled to himself, amused at the antics. The young boy suddenly shot up, triumphantly exclaiming its perfection with a look of unyielding pride. Half the words were spelled wrong, and the drawing was nonsensical. But Spy smiled none the less, ruffling the boys hair as he praised him for his effort.
He leaned back, tucking the drawing away and putting out the cigarette before rubbing his temple. The bittersweet feeling of nostalgia and regret settled inside him. He couldn't sit in here anymore. The room suddenly felt too small. Everything was too much. He stood up quickly and opened the door.
Scout was there. Crouched down, about to just slip something under the door, and just for a split second, Spy saw the little boy he left. Scout stood up quickly, chuckling nervously. He uncrumpled the card a bit more, trying to make it at least look slightly neater. Without looking at the man in front of him, he handed over the card.
"Hey, uh..." he scratched the back of his neck, "I guess it's Father's Day or whatever, so you know, happy that, I guess." He said quietly, not looking him in the eye.
Spy accepted the card with a polite thank you. Before stepping back, opening the door to the room, ignoring his previous attempts to leave. Scout was here, and he was sure that would make the room a little less small. Scout was here, and it was Father's Day, and Spy wasn't going to miss spending it with him.
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Happy Father's Day, Spy!
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walker-diaries · 2 years
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thebusylilbee · 1 month
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"Les JO, c’est super. Mais pour qui et à quel prix ? [...]
Les fan zones sont pleines de gens qui rient et pleurent ensemble devant les transmissions des épreuves ; 5 200 personnes ont été expulsées de squats et de campements de rue en Île-de-France en un an et envoyées en région sans solution de logement.
Les transports publics roulent bien et les agent·es d’accueil sont plebiscité·es pour leur bonne humeur ; les émissions de CO2 des Jeux olympiques de Paris (JOP), 1,58 million de tonnes au minimum, seront l’équivalent de ce que rejettent 150 000 personnes en France en un an.
Des athlètes couronné·es sont d’anciens enfants placés ou ont grandi dans des quartiers pauvres ; le prix des places pour la cérémonie de clôture des Jeux va de 250 à 1 600 euros – plus qu’un mois de salaire minimum.
C’est officiellement la trêve olympique, et la délégation ukrainienne a remporté deux médailles d’or (sabre et saut en hauteur), ainsi qu’une de bronze (lutte gréco-romaine), qui deviennent des symboles de résistance face à l’agression militaire russe ; les bombardements israéliens n’ont pas cessé à Gaza, visant une école transformée en refuge le 10 août, veille de la clôture des Jeux, tuant près de cent personnes selon un premier bilan. [...]
La vasque et sa flamme olympique en LED et vapeur d’eau flottant au-dessus des Tuileries émerveillent le public ; les enfants du quartier Pleyel à Saint-Denis vont subir les pots d’échappement de la voie vers l’autoroute construite collée à leur école pour les JOP.
Imaginaire collectif coupé en deux
Cette liste pourrait s’allonger encore et encore. Dans ces conditions, quelles conclusions en tirer sur la portée de l’événement ? [...]
Une situation peut être à la fois agréable et pourtant néfaste. On peut aimer boire du Coca-Cola ou de la vodka, cela n’empêche pas que ce soit mauvais pour la santé ; adorer voyager vers des pays lointains alors que les trajets en avion contribuent à la destruction du climat [...]. Les émotions, aussi fortes soient-elles, ne suffisent pas à façonner la réalité.
En 2015, les chercheurs Stefan Aykut et Amy Dahan parlaient de « schisme de réalité » pour décrire les négociations climat, car elles voulaient réduire les gaz à effet de serre sans s’attaquer à leurs principales émettrices, les industries fossiles. Elles avaient créé un théâtre de discours sans prise directe avec le problème à résoudre.
À sa manière, Paris 2024 aura été un schisme de réalité : il y a une dissociation entre le spectacle, excitant, prenant, populaire, et les conditions de sa fabrication, brutales, excluantes, coûteuses et injustes. C’est un déchirement sensible. Le sentiment d’une immense réussite s’entend dans les déclarations des organisateurs et des dirigeants politiques. La fierté et la joie s’expriment un peu partout, aux repas familiaux, entre collègues, avec ses voisins, sur les réseaux sociaux, dans les médias. Mais qui écoute la complainte, la colère et les douleurs de celles et ceux qui ont été éjecté·es de la fête ?
Si le prix à payer en « nettoyage social », en élitisme commercial (le prix des billets, du merchandising et d’un séjour à Paris) et en destructions environnementales (climat, arbres coupés au parc Georges-Valbon, jardins ouvriers détruits à Aubervilliers et pollution de l’air à Saint-Denis), est considéré comme acceptable, le risque est d’abaisser les critères d’exigence démocratique, sociale et écologique pour la suite.
Car si un pouvoir peut décider un tel événement sans consulter la population, en cédant aux exigences d’une association croulant sous les accusations de corruption (le CIO), en engageant au moins 10 milliards d’euros sans transparence sur le coût final en argent public, et en multipliant les promesses écologiques intenables, alors pourquoi ne pas continuer ?"
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lenordestparisien · 9 months
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Place des Fêtes - Paris 19ème (2024)
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toutplacid · 5 months
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Place des Fêtes, Paris 19e – gouache format A3, 28 et 29 février 2024
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talking about free time and expressing opinions en français
duolingo section 3 unit 5
.・。.・゜✭・.・✫・゜・。.
jouer à - to play (a sport)
football - soccer
le football américain - football
le basket - basketball
jouer de - to play (an instrument)
le piano - piano
la guitare - guitar
peindre - to paint
la fête - party
occupé - busy
apporter - to bring
le pique-nique - picnic
la bibliothèque - library
la librairie - bookstore
savoir - to know facts, info, or skills
connaître - to know people or places
j’aimerais - i would like
copain - (m) friend
copine - (f) friend
ne … plus - anymore
ne … jamais - never
.・。.・゜✭・.・✫・゜・。.
aimer - to like
adorer - to love
préféré - favorite
etre d'accord - to be in agreement
penser - to think
mauvais - wrong, bad
connaître pas du tout - to not know at all
connaître bien - to know well
avoir tort - to be wrong
avoir raison - to be right, to have reason
sûr - sure
meilleur - best
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icariebzh · 6 months
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youtube
"Alligators 427 Aux ailes de cachemire safran, Je grille ma dernière cigarette. Je vous attends. Sur cette autoroute hystérique Qui nous conduit chez les mutants, J'ai troqué mon cœur contre une trique. Je vous attends. Je sais que vous avez la beauté destructive Et le sourire vainqueur jusqu'au dernier soupir. Je sais que vos mâchoires distillent l'agonie. Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427 À la queue de zinc et de sang, Je m'tape une petite reniflette. Je vous attends. Dans cet étrange carnaval On a vendu l'homo sapiens Pour racheter du Neandertal. Je vous attends. Et les manufactures ont beau se recycler, Y aura jamais assez de morphine pour tout le monde, Surtout qu'à ce qu'on dit, vous aimez faire durer. Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427 Aux longs regards phosphorescents, Je mouche mon nez, remonte mes chaussettes. Je vous attends. Et je bloque mes lendemains. Je sais que les mouches s'apprêtent, Autour des tables du festin. Je vous attends. Et j'attends que se dressent vos prochains charniers. J'ai raté l'autre guerre pour la photographie. J'espère que vos macchabées seront bien faisandés. Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427 Aux crocs venimeux et gluants, Je donne un coup de brosse à mon squelette. Je vous attends. L'idiot du village fait la queue Et tend sa carte d'adhérent Pour prendre place dans le grand feu. Je vous attends. J'entends siffler le vent au-dessus des calvaires Et je vois les vampires sortir de leurs cercueils Pour venir saluer les anges nucléaires. Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427 Aux griffes d'or et de diamant, Je sais que la ciguë est prête. Je vous attends. Je sais que dans votre alchimie, L'atome ça vaut des travellers chèques Et ça suffit comme alibi. Je vous attends. A l'ombre de vos centrales, je crache mon cancer. Je cherche un nouveau nom pour ma métamorphose. Je sais que mes enfants s'appelleront vers de terre. Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427 Au cerveau de jaspe et d'argent, Il est temps de sonner la fête. Je vous attends. Vous avez le goût du grand art Et sur mon compteur électrique, J'ai le portrait du prince-ringard. Je vous attends. Je sais que, désormais, vivre est un calembour. La mort est devenue un état permanent. Le monde est aux fantômes, aux hyènes et aux vautours. Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Je vous attends. Je vous attends. Je vous attends. Je vous attends."
Hubert-Félix Thiéfaine
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olympic-paris · 1 month
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saga: Soumission & Domination 251
Nouvel an 2013
Le reste de la semaine s'est passé en préparatifs pour notre réception du 31. Comme tous les ans grosse teuf/touze pour le 31. Les amis arrivent de tous les cotés et ne manqueraient pour rien au monde ce grand moment de débauche sexuelle !
Les parisiens forment un bon contingent avec Kev que son boss/mari laisse libre ce soir là, Bo-gosse et Moitié. Alban sera des nôtres cette année, attiré par la présence de Ric ! Les potes de La Palmyre seront là aussi, Jérôme et son Frédéric, Manu et Théo. Bruno et Arnaud nos voisins de la campagne, Igor et ses jumeaux Tic et Tac collés du petit Théo, et donc aussi son frère Ed ne manqueraient cette fête sous aucun prétexte. Second et Julien, nos " manuels " arriveront dès la fermeture de la boutique de Julien. Nos architectes préférés, Olivier et Pierre nous ont répondu positif. Les motards, Eric et son petit Cédric, Phil et Luc, Daniel, Franck et donc Louis ont répondus présent. Nous attendons de Suisse Pablo le grand frère d'Ernesto qui a négocié de travailler à noël pour avoir son 31 et 1er. Absents, Jean coincé avec son client privilégié, nos amis du sud, Alex et Johan (mon sosie) qui sont en vacances au soleil.
Petit calcul : nous seront 33 sans compter Samir et Ammed. Belle logistique !
Pour être certain que Maxou ne fera pas de connerie ce soir là, je l'ai confié/loué à André le père de Ric avec qui il avait déjà passé les dernières vacances.
Nous ne sommes pas trop de trois pour tout mettre en place (bien secondés par Samir et Ammed). Toutes les chambres sont préparées et équipées, pas seulement de draps et couettes, mais aussi en kpotes, gels divers... Les salles de bain sont remplies de produits pour le corps et de draps éponge.. En ce qui concerne la bouffe, j'ai commandé tout le salé chez Julien et le sucré dans la meilleure pâtisserie de la ville. Contingences matérielles, il a fallu augmenter nos capacités de froid et le 30 nous recevons deux énormes frigos qui trouvent place au ré de chaussée. Juste a temps pour recevoir les livraisons de bouffe. Pour éviter les mélanges d'alcool, nous optons pour du champagne avec deux variantes : brut et rosé. J'en avais fait rentrer 15 caisses toutes maintenues à 10° dans la cave.
Le 31 matin, je prête ma 300SLS à Ernesto pour qu'il aille chercher son frère à l'aéroport. Pendant ce temps là les invités commencent à arriver. Ric arrive avec Alban qu'il a pris à la gare. Contrairement à ses habitudes, il amène avec lui les esquisses et les photos de nos cariatides en cours de création. Ric est aussi pressé que nous de les voir car il en est le modèle. Ça avance bien et même " soviétisé ", nous reconnaissons son visage.
Avant que les autres arrivent, Ric me demande où nous comptions les loger afin qu'ils puissent s'installer. Je les accompagne et leur laisse libre choix, tout en leur disant de prendre leur temps. Nous ne les reverrons qu'une heure et demi plus tard deux sourires béats ornant leurs visages. Pas besoin d'avoir vu ce qu'ils avaient fait pour le savoir !
Nos deux Espagnols de frères sont arrivés. Pablo roule des pelles à tout le monde, content de nous revoir. Je le prends à part quelques minutes pour lui dire que je voulais lui faire une proposition avant qu'il ne reparte. Il me dit qu'on a qu'à en parler tout de suite avant que les autres invités n'arrivent.
Je lui transmets le désir de ma mère de le voir prendre la place de sa cuisinière vieillissante, à ses propres conditions si elles ne sont pas extravagantes. Il me demande s'il peut la rencontrer. Je téléphone direct à Emma et elle nous dit de venir en début d'après midi.
Nous déjeunons tous sur le pouce d'un brunch improvisé par Ammed.
Nous laissons les autres le temps de faire un saut chez ma mère. Elle nous reçoit dans le salon, explique à Pablo sa problématique et lui demande ses conditions. Le salaire expédié (elle s'aligne sans problème sur ses émoluments suisses), elle lui annonce le cadre de travail. Service des petit déjeuners, déjeuners et diners avec l'aide de sa vieille cuisinière dont il sera le chef, à lui de la prendre dans le sens du poil pour s'en faire une alliée, ce qui lui permettra de prendre du temps pour lui quand le service de la maison sera minimum. Logement T3 dans le pavillon d'entrée au dessus du garage avec entrée indépendante, utilisation possible des véhicules de la maison pour son service mais aussi pour ses déplacements personnels, selon leurs disponibilités, avec juste à prévenir le majordome. Il pourra aussi, s'il le désire, exercer à façon chez des amis et connaissances tant que cela n'entre pas en concurrence avec ses propres réceptions. Et bien sur les 5 semaines de vacances légales en France.
Ernesto demande un moment de réflexion. Emma le pousse dans son bureau et lui dit que s'il veut parler à Ernesto il n'a qu'à utiliser le téléphone. Avant que nous nous retirions, il me demande de rester. On discute un peu sur la charge de travail. Je lui dis qu'il aura le plus souvent une personne à servir, Emma, environ 1 fois par semaine un diner en petit comité et 6 à 7 fois par an une grande réception. Il me dit que les 5 semaines de vacances c'est génial par rapport à ses 3 semaines péniblement arrachées à ses suisses. Il me questionne sur ses possibilités de taf extérieur. Je lui parle des amis de ma mère qui, sans avoir de cuisinier à demeure seront très intéressés pas ses capacité dès qu'ils auront été conquis par sa cuisine chez Emma et je lui parle de mes " beaux parents ", qui ont parfois besoin de plus que leur cuisinière maison. Je le laisse pour qu'il téléphone à Ernesto. Quand il nous rejoint, il demande quelques précisions puis accepte mais avec un délai d'un mois pour se défaire de ses employeurs actuels.
Pendant le trajet de retour, il me dit qu'il n'aura peut être pas autant de repas de gala à faire qu'avec ses suisses mais qu'il disposera d'une totale liberté de création en plus de conditions de travail plus généreuses. Je lui propose alors que s'il a besoin d'un cadre légal pour vendre ses services culinaires, il pourra utiliser les structures de ma société. J'aurais même peut être des clients " sexe " intéressés par ses facultés.
Je lui demande ce qu'en a pensé Ernesto. Il me dit qu'il était super content car ils se verraient plus mais qu'il ne comptait pas pour le moment émigrer lui aussi. Il avait trouvé un bon équilibre entre leur appart (à Hervé et lui), leur vie semi-commune et ses clients Barcelonais.
Quand nous rejoignons le Blockhaus, nous y trouvons tous nos invités arrivés (sauf Second et Julien). Le champagne est déjà débouché et tous se joignent à moi pour souhaiter à Pablo, une bonne venue en France. La fin d'après midi / début de soirée se passe en discussions diverses, prise ou reprise de contact pour certains. Pas encore de divergences vers le coté sexuel de nos retrouvailles, ils sont tous là jusqu'à demain soir ! Samir et Ammed ont toujours autant de succès dans leurs shortys en cuir noir que l'usure a moulés au plus près de leurs anatomies.  Quand second et Julien débarquent ça commence a devenir chaud. Faut dire qu'ils sont arrivés très " sex ", jeans slims moulant leurs cuisses musclées et leurs culs ronds et t-shirts exhibant leur travail en salle de muscu. Ils n'avaient pas fini de dire bonjour à tous que leurs t-shirt avaient quitté leurs torses ! Je crois bien que c'est Moitié qui a lancé les hostilités en renversant sa flute de champagne sur les pecs épilés de frais de Second et en se précipitant dessus pour récupérer le vin avec sa langue.
A partir de ce moment là, j'ai perdu le déroulé de la fête. Attrapé par Pablo qui voulait être le premier à me remercier pour l'invitation et ses conséquences. Et surtout être le premier à m'enculer. Je me laisse faire non sans lui avoir prodigué une pipe en mode gorge profonde comme je sais bien le faire. Je retrouve la même bite que celle d'Ernesto mais avec une façon d'opérer totalement différente. Il est plus viril dans sa possession de mon cul, et ce n'est pas désagréable (mon coté salope qui se réveille...comme s'il s'était jamais endormi !). Autour de nous les mecs se mélangent, se sucent, s'enculent, les " couples " se sont dissouts et les moitiés testent les autres mâles. Louis, pour qui c'est la première touze de ce genre, s'est vite mis au diapason après quelques instants de timidité, vite dissipés par les avances des mâles en mal de chairs fraiches et encore inconnues. Après mon intermède Hispano-suisse, je le trouve embroché par Bo-gosse et Igor. A l'occasion d'une prise d'air, il me dit que c'est trop fun cette touze. Franck, son " mari " est en train de se faire le cul de Théo. Les fauteuils sont partagés, les canapés servent de supports aux baises de groupe et la table basse (heureusement très solide) permet de mettre 4 culs à la bonne hauteur pour les faire défoncer par 4 mâles debout.
J'ai faim. Le comptoir de la cuisine sert de buffet avec la grande table à manger. Je grignote, je ne tiens pas à gerber au prochain gland qui passera de l'autre coté de ma luette ! Après m'être penché sur la queue bandée d'Hervé pour m'assurer qu'elle est bien dure et prête à défoncer le cul de Tac dont il vient de faire la connaissance, je m'aperçois qu'il manque une partie des invités. Le temps de voir des jambes s'agiter dans l'eau au dessus de la cuisine et de m'apercevoir qu'une partie à du émigrer sur la terrasse, je les rejoins. Ils sont bien partis et je vois Jérôme et Manu commencer un concours de pipes en apnée sur Olivier et Kev. Je rappel juste qu'il ne faut pas juter dans l'eau sous peine de voir le bassin fermer. De l'autre coté de la rambarde monte jusqu'à nous des halètements caractéristiques d'une sodomie bien menée. Je me penche et entre les feuillages tropicaux, je devine Eric en train d'enculer un cul plutôt étroit pour son gros calibre (26 x 7). A l'occasion d'un changement de position je vois qu'il s'agit de p'tit Théo (celui de Tic, frère d'Ed). le plus petit format de la touze se fait sodomiser par la plus grosse queue présente. Je descends voir ça.
Quand j'arrive, Eric lime toujours la rondelle de p'tit Théo. Je m'approche. Il est en train de l'enculer en levrette. Pour me montrer la rondelle éclatée, il écarte les fesses de Théo avec ses pouces. La vue est superbe ! Sa grosse et longue bite noire pistonne le trou un peu rougi séparant deux fesses d'une blancheur et douceur juvénile. P'tit Théo m'aperçoit. Il me fait un grand sourire et me dit que c'est trop bon ! Je lui avoue tout bas que je l'ai testé avant lui et que je sais tout le bien que sa queue peut provoquer.  Des soupirs vers le fond du " jardin " m'attirent. Derrière les bacs de palmiers et de rhododendrons je découvre un quatuor qui ne manque pas d'imagination. Cédric et Arnaud sont en train de se faire défoncer par Second et Julien. Les deux minets se roulent des pelles alors que nos deux " Musclors " les enculent tout en les portant. Je passe ma langue dans les bouches de mes deux sportifs et me place derrière second et kpoté m'enfonce dans la moiteur de son cul. Et dire que la première fois où je me le suis fait, il venait d'être mis à la bite par son Maçon de patron et que j'avais du lui apprendre à sucer correctement enfin profondément ! Il s'est méchamment développé question muscles et diversifié coté sexe. Mais sa rondelle est toujours aussi bonne à limer. Julien me voit faire et me demande comment je la retrouve (la rondelle de Second). Je lui dis que l'utilisation qu'il en fait la garde bien nerveuse et voluptueuse à souhait. Nous changeons de position, fatigue musculaire et équilibre précaire ! Arnaud dos sur un des bancs de notre jardin tropical supporte Cédric en 69 Julien et Second réinvestissent leurs rondelles en manque. Quand à moi, je passe du cul de Second à celui de Julien (qui est moins rodé à cette pratique) sans changer de kpote puisqu'entre eux, ils baisent sans (statuts sérologiques réalisés et similairement négatifs). L'anneau de Julien est un peu serré et ce n'est que meilleur ! J'ai du lubrifier un max avant de réussir à le pénétrer. Second me dit qu'il n'y va pas assez souvent car il préfère recevoir son mec dans le cul. Entre eux, nos deux jeunes se défoncent leurs bouches respectives. Ils jutent les premiers, se couvrant mutuellement de sperme. Je suis dans le cul de Julien au moment ou ce dernier jouit. Son sphincter me serre la queue délicieusement et je rempli ma kpote en trois coups de rein qui m'enfoncent au plus profond de son cul.
Nous nous désagrégeons. Les deux jeunes courent au monte-charge pour rejoindre les autres au 4ème, à la recherche de nouvelles bites à honorer. Avec Second et Julien, nous prenons un moment. Je félicite de dernier pour la finesse du buffet qu'il nous a réalisé.  Je demande à Samir au 4ème de nous envoyer une bouteille de champ. Elle nous arrive par le monte-plat. Je fais sauter le bouchon et nous buvons à la bouteille vu que j'avais oublié de demander des coupes ! le champagne coule sur nos bustes et tous les trois, nous nous léchons pour ne pas perdre. Ils sont vraiment bien musclés eux aussi. Quand je leur demande, ils me disent avoir investis dans du matériel car l'un comme l'autre n'a le temps d'aller dans une salle de sport. Ils s'entrainent et s'entraident tous les deux. Nous prenons des poses faisant ressortir nos muscles. J'avais déjà vu la fermeté de leurs fessiers, le reste est à l'avenant. Quand nous remontons, les autres sont en " pause " sauf nos deux voraces qui se sont trouvé les queues de Marc et Hervé à faire dégorger.
Je m'aperçois que la soirée est bien entamée et qu'il ne manque que quelques minutes pour terminer l'année. Bien que nous soyons tous à poil, les discutions reprennent. Alban est félicité par ceux qui ne le connaissaient pas pour la sculpture qui occupe le centre de la terrasse. Quand Ric dit qu'il lui sert de modèle pour la réalisation de deux cariatides, il se fait huer et arroser de champagne. Minuit est là. Embrassade générale, qui dure ! Je crois bien que le roulage de pelle général nous a pris une bonne demi-heure. Les deux heures qui ont suivies ont permis les dernières permutations possibles. A la suite de quoi, bien fatigués nous avons rejoints les étages de nuits (3ème et premier). Avant de tomber dans les bras de Morphée, j'ai lancé les enregistrements des vidéosurveillances des chambres. Je me joins à mes espagnols trop heureux de se retrouver. Je me coule entre eux et m'endors dans les bras de Pablo serrant Ernesto dans les miens. Avant de tomber de sommeil, je m'aperçois que PH s'est enroulé dans ceux d'Ernesto.
Au réveil le premier janvier, j'entends gémir. C'est PH qui se prend Ernesto alors qu'il est encore dans mes bras. Je sens contre ma rondelle le gland enkpoté de son frère tenter de me pénétrer. Je me suis détendu et lentement je l'ai senti progresser en moi. Mes gémissements se sont joints à ceux de mon PH. Et c'est ensemble que nous avons jouis sous les coups des deux bites espagnoles.
Au petit déjeuner / brunch vu l'heure avancée de la matinée, certains sont déjà en train de pomper. Quand ils ne se font pas enculer, comme Cédric empalé sur sa bite préférée, les 26cm de chair noire d'Eric. Cela ne l'empêche pas de savourer son café entre deux périodes de limage.
Ayant eu notre dose pour quelques 10aines de minutes au moins, PH et moi nous nous restaurons en compagnie de Pablo et Ernesto. Marc nous rejoint et nous demande comment s'est passée la nuit. Je lui réponds que la nuit fut calme contrairement au réveil. Il éclate de rire et nous dit qu'il en a été de même pour lui avec le cul de Louis comme réceptacle de sa bandaison matinale. Les exemples sous nos yeux réveillent les libidos encore somnolentes et les croissants ne sont pas finis que le séjour ressemble au bordel de la veille. Ça nique dans tous les coins. Après Cédric, c'est le cul de Kev qui s'embroche sur le barreau noir. Le gel coule à flot et les vapeurs de poppers envahissent l'air ambiant.  J'encule Franck devant les yeux de son Louis lui-même sodomisé par Igor. Les couilles sont sèches et les montées en jouissances longues. Mais à l'heure du café, toutes sont de nouveau vides !
Le reste de l'après midi se passe en douches et barbotages dans les piscines. Ernesto me redemande la 300SLS pour reconduire Pablo à l'aéroport.
Quand il revient, il me saute au cou pour me remercier du taf que j'ai trouvé à Pablo. Ne le voir que trois fois par an, l'avait peiné plus qu'il ne l'avait pensé au premier abord.
Jardinier
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perfekt bar
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