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#roi de france et de navarre
roehenstart · 17 days
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Louis XIV of France. Circle of Pierre Mignard.
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dreamconsumer · 3 months
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King Louis XV by Charles André van Loo.
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whencyclopedfr · 2 years
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Marguerite de Navarre
Marguerite de Navarre (1492-1549) était une écrivaine, philosophe, diplomate et reine de Navarre, sœur du roi François Ier (r. de 1515 à 1547), mère de Jeanne d'Albret (1528-1572) et grand-mère d'Henri IV (1553-1610). Elle fut également une partisane de la Réforme, faisant office de médiatrice entre les protestants et les catholiques en France.
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vincentdelaplage · 2 years
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"PARIS VAUT BIEN UNE MESSE" D'où vient la fameuse expression ? Tout date de la fin du XVIe Henri de Navarre; Henri de Guise et Henri III. Les trois « Enrichi » se rangent respectivement du côté des Huguenots de religion protestante, de la Sainte Ligue qui est catholique et enfin le dernier est le roi de France. Il est clair que l'enjeu de cette dispute était le royaume de France. Une fois la guerre gagnée, Henri de Navarre s'apprête à monter sur le trône de France, mais le souverain est huguenot et protestant. Pour être roi de France, il fallait qu'il renonce à sa foi religieuse, abjure le calvinisme et se convertisse au catholicisme Chanson "Vive Henri IV !" https://youtu.be/6Xtm6zln5lg Ainsi Henri de Navarre se convertit sans hésiter au catholicisme, et avant de monter sur le trône en 1594, il prononça le 25 juillet 1593 - dans la basilique parisienne de Saint-Denis - les paroles "Paris vaut une messe", c'est-à-dire : afin de conquérir le royaume de France, dont le pouvoir réside à Paris et dont cette ville est le symbole, on peut se sacrifier et participer à une messe - signifiant clairement le changement de croyance religieuse. Henri de Navarre est ainsi devenu le premier monarque de la branche Bourbon de la dynastie capétienne sur le trône de France et est entré dans l'histoire comme Henri IV de France et aussi comme Henri le Grand. Ce portrait du souverain - exécuté par Frans Pourbus le Jeune - a été envoyé à Florence en 1613. Il a été inclus dans les inventaires du Palazzo Pitti - où il est encore conservé aujourd'hui, dans la galerie palatine associée - depuis 1687. Dans l'iconographie riche et variée du roi, ce tableau est parmi les plus beaux. #culturejaiflash #leslumièresdeversailles https://www.instagram.com/p/CgbkPvmsdaL/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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lonesomemao · 3 months
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CHAMPS FERTILES
François Bayrou
1993
Ministre de l'Education Nationale
Gouvernement Balladur
Je le vois malgré moi
Fils d'Aldo Morello
Patriarche du cantone Morello
A Roasio Italie
Charles Pasqua frère d'Aldo
Et cousin Germain
De mon grand-père Ciglio Morello
Mais moi dans l'imaginaire
Ronald Reagan
A Paris et à Champigny
Pote du PCF de mon grand-père
Il s''en va aux States
A mon avis
La Fabrik et le dieu écrou
On étudie ça aux Etats-Unis
Où Mickaël Jackson est pris
Il veut faire des écrous
En lien avec Krypton
Arbeit les robots
Moi en sauvage au top
Parti du Travail avec l'Albanie
Mars 1994
Roubaix
Trois starlettes algériennes
A l'italienne
L'Opus Dei quitte l'Italie
Pour l'Espagne
Franquisme état français
Andorre l'évêque se croit fort
François Bayrou
Roi de France et de Navarre
1598 Edit de Nantes
Henri quatre
Sully les mamelles de la France
Emprunt au Général de Gaulle
De l'Ile de Sein
Pour le centre puis le MoDem état Français
Protégé par l'empire Japonais
1972 JO Sapporo
Lui aussi saint-esprit
Contre les Etats-Unis
Lundi 5 février 2024
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yespat49 · 5 months
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Jeanne de Navarre, duchesse de Bretagne & reine d’Angleterre.
Destin d’une grande reine méconnue : Jeanne de Navarre, duchesse de Bretagne & reine d’Angleterre. Auteur : Pierre Scordia Jeanne de Navarre (née à Pampelune en juillet 1370 – fille du roi de Navarre Charles le Mauvais et de Jeanne de France) troisième femme de Jean IV, mère de Jean V et d’Arthur de Richemont devient régente de Bretagne à la mort de son mari en 1399, elle se révèle fine…
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christophe76460 · 6 months
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L'ÉVANGÉLISME DE LA RENAISSANCE
L'évangélisme de la Renaissance correspond à un mouvement d'idées ayant traversé le christianisme aux XVe et XVIe siècles, caractérisé par la valorisation de l'exégèse biblique et d'un désir de se détacher des autorités.
Par différence avec l'évangélisme au sens le plus courant du terme, il ne se rapporte pas nécessairement au protestantisme. Au contraire, de nombreux humanistes ne souhaitent pas rompre avec la papauté, sont animés d'un désir de réforme sans schisme, mais se déclarent néanmoins hostiles aux abus ecclésiastiques, comme Érasme et Rabelais. Ce concept historiographique d'Imbart de la Tour, bien que toujours en vogue, fait l'objet de critiques pour sa grande généralité, regroupant des tendances contradictoires, ainsi que le risque de le réduire à un dogme confessionnel ou un précurseur anachronique de la libre-pensée. Néanmoins, il demeure pertinent afin de qualifier une attitude religieuse centrée sur le Christ et dévolue à la méditation personnelle des Evangiles, même si celle-ci se décline selon des modalités très hétérogènes.
Si le mot « évangélisme » est d'origine récente, les adjectifs « évangélique » et « évangéliste » apparaissent au début du xvie siècle et renvoient au chrétien qui « revient à la vérité première de l'Évangile ». En France, les évangéliques connaissent un moment fondateur de leur histoire au diocèse de Meaux, par les sermons qu'ils tiennent entre 1518 et 1526, autour des figures de Lefèvre d'Étaples, de Guillaume Farel ou encore de Michel d'Arande. Dissous à la suite des attaques des théologiens de la Sorbonne, le groupe n'en continue pas moins de bénéficier de la protection royale, et même d'être présent à la cour notamment en la personne de Marguerite de Navarre, sœur du Roi. Erasme, qui affirme « je ne suis ni chef ni membre d'aucune secte », inspire de nombreux évangéliques par sa défiance de la doctrine et des rites.
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'Louis XVI donnant ses instructions a La Perouse,  29 Juin 1785'       A beautiful history painting at Versailles.
via @amislouisxvi
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roehenstart · 7 months
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King Henry IV of France. By Frans Pourbus the Younger.
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dreamconsumer · 2 days
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Louis XV at the age of 13. By Alexis Simon Belle.
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tiny-librarian · 2 years
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A fan from the collection of The Musée Carnavalet, featuring Marie Antoinette and Louis XVI in the middle, flanked by portraits of their daughter, Marie Therese Charlotte, and Louis’ brother, Louis XVIII. 
(The description on the website incorrectly identifies Louis XVIII as “Le Dauphin”, which is an obvious mistake as he’s a) clearly a grown man and neither of Marie Antoinette and Louis XVI’s sons lived to adulthood and B) zooming in literally shows it’s labelled as “Louis XVIII, Roi de France et de Navarre”.)
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whencyclopedfr · 5 months
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Anne d'Autriche
Anne d'Autriche (1601-1666), épouse du roi Louis XIII de France (r. de 1610 à 1643), fut reine consort de France et de Navarre lorsque le royaume de Navarre fut annexé par la couronne de France. Elle assura également la régence de son fils, le roi Louis XIV de France (1638-1715), pendant les premières années de son règne.
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Anonymous asked: Je suis sûr que vous avez apprécié les œuvres de Molière. Qu'est-ce qui compose au fond le génie de Molière ? Un mauvais tragédien, devenu comédien par dépit ? Êtes-vous d'accord ?
Quelle drôle de question à poser à l'occasion du 400e anniversaire de la naissance de Molière ! Le fait que le répertoire moliéresque soit presqu’entièrement composé de farces et de comédies accrédite l’idée selon laquelle Molière aurait adopté la carrière comique par défaut, en raison de piètres talents pour la tragédie, genre noble par excellence dans la hiérarchie dramatique de l’époque classique. Mais je ne peux pas être d'accord avec ce point de vue.
La compagnie théâtrale de Molière, depuis les débuts de l’Illustre-Théâtre jusqu’à la troupe officielle des comédiens du roi, compte de nombreuses tragédies qui constituent le fond de son répertoire. Molière s’illustre dans les plus grands rôles tragiques, notamment dans le théâtre de Pierre Corneille avec Nicomède, Rodogune, Cinna, Pompée, Attila, ou encore Tite et Bérénice, mais également dans celui du jeune Racine, de Rotrou ou encore de Tristan L’Hermite. Et ce, même si son originalité comme comédien s’exprime davantage dans le genre comique.
Cette vision trompeuse est née de la campagne de diffamation de la troupe concurrente de l’Hôtel de Bourgogne, furieuse que Molière ait pu critiquer le caractère grandiloquent de sa déclamation - inspirée par la rhétorique - au nom d’un jeu « naturel ». Antoine Jacob, dit Montfleury fils, membre de ladite troupe rivale, lui répond par L’Impromptu de l’hôtel de Condé (1663) qui ironise sur son interprétation de César dans La Mort de Pompée de Pierre Corneille.
C’est pourtant dans ce rôle que le peintre Nicolas Mignard a immortalisé le comédien dans son célèbre portrait daté de 1658, tout comme, la même année, sous les traits du dieu Mars dans Mars et Vénus (1658).
Parfois réduite à son inspiration farcesque, l’œuvre de Molière est considérée comme la quintessence du genre comique. C’est oublier que l’auteur s’est essayé à la comédie héroïque avec Dom Garcie de Navarre (1661), à la tragédie-ballet avec Psyché (1671) et à la poésie avec La Gloire du Val de Grâce (1669). Il a également prouvé son talent dans la grande comédie en cinq actes et en vers, en particulier dans la comédie-ballet, nouveau genre lyrique qu’il invente avec Jean-Baptiste Lully et qui préfigure l’opéra français.
En outre, des œuvres telles que Dom Juan ou Le Misanthrope relèvent d’une puissance tragique particulière, tout comme certaines scènes pathétiques de L’Avare ou du Malade imaginaire. Quant au personnage de Dorante, dans La Critique de l’École des femmes (1663), il met sur un pied d’égalité les ambitions de l’auteur comique et de l’auteur tragique.
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Qu'est-ce qui compose au fond le génie de Molière ? Vous êtes sérieux ? Hmmm.
Le génie de Molière s'explique à mon avis par sa trajectoire. À la différence de Corneille ou Racine, il n'a pas commencé par être un poète qui vient tout de suite à l'écriture théâtrale et qui va proposer ses pièces de théâtre. Lui, quand il abandonne les études de droit qu'il avait entreprises, c'est pour se jeter dans l'aventure théâtrale, en tant que comédien. Et c'est le comédien qui va se mettre à écrire des pièces de théâtre. C'est le comédien qui va aborder le théâtre avec un irrespect absolu vis-à-vis de ce qui est le modèle théâtral antique, de ce qui est l'adaptation du modèle théâtral antique en France, qu'on va appeler plus tard le classicisme, mais qui se fonde sur un système de règles.
Molière fait exactement comme les acteurs auteurs italiens qu'il a croisés à de nombreuses reprises lorsque, de 1646 à 1658, il était en province. Il prend un modèle de pièce, il le découpe et prend les morceaux forts qui sont susceptibles de faire des effets comiques sur le public. Il dépouille donc l'original de deux éléments qui lui paraissent le plus intéressant, le plus important et le plus porteur théâtralement. Il vire le reste et il ajoute des éléments de son cru qui vont dans le sens des séquences qu'il a conservées. Et il fabrique ainsi des pièces qui sont fondées exclusivement sur l'effet produit sur le public. C'est cela qui lui permet d'avoir cette puissance comique.
Il va avoir aussi cette idée géniale de rencontrer un public qui partage avec lui un comique de connivence. Parce que chez les galants, dans l'aristocratie mondaine, parmi les jeux de dérision les uns vis-à-vis des autres, on a aussi l'autodérision. De se voir moqué à travers des caricatures, on ne pense jamais que c’est soi qui est moqué. C'est toujours le voisin. C'est cela qui va permettre à Molière d'enfoncer plus avant le clou, de continuer sur cette trajectoire en jouant sur les deux tableaux, sur celui de la moquerie humoristique vis-à-vis des personnages aristocratiques et de la caricature burlesque avec les personnages que l'aristocratie repousse. Et cet ensemble-là, joint à la mise en scène des comportements et des valeurs, fait le génie de Molière. Mais j'insiste sur le fait que ce génie tient d'abord au fait que Molière est un acteur-auteur et non pas un auteur poète venu au théâtre, dans le silence de son cabinet.
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Merci pour votre question.
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rizwans · 3 years
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Juifs, juif, judéïté et judaïsme dans le monde rpgique francophone.
tw: nazisme, racisme, antisémitisme, islamophobie Coucou ! Aujourd’hui, parlons d’un sujet qui peut paraître épineux : incarner un personnage J/juif (eh oui, ça commence déjà avec les majuscules et les minuscules mais vous inquiétez pas, c’est assez simple) sur les forums rpg francophones. Voici quelques petites clés de compréhension pour vous aider à y voir plus clair, straight from a Jewish person. Disclaimer : être J/juif, c’est un sujet complexe, aujourd’hui plus que jamais. Je le dis ici, et je le redirai certainement : le bingo du parfait personnage J/juif, ça n’existe pas, tout simplement parce que dans la vraie vie, ça n’existe pas non plus. 
J/juif, kézako?
Merci de poser la question, Jean-Michel, je te sens confus et je te pardonne, parce que ça l’est ! Pour comprendre l’identité juive, il faut d’abord faire la distinction entre Juif (avec une majuscule) et juif (avec une minuscule).  Juif - s’applique d’une part à l’appartenance ethnique et culturelle. Ex: La famille Cohen sont des Juifs ashkénazes. Ils viennent de Pologne et me forcent à manger des pierogi toute la journée ! juif - s’applique à la pratique religieuse du judaïsme. Ex: Simon est juif pratiquant. Il a célébré sa bar-mitzvah et reste traumatisé par sa tante qui a roulé une pelle au DJ.  (Note : à bas les pierogi et vive les tantes pompettes aux bar-mitzvah) Cette distinction est très importante, car elle représente la réalité de millions de personnes aujourd’hui. On peut être Juif sans être juif, c’est-à-dire être ethniquement et culturellement Juif sans mettre le pied dans une synagogue et sans faire sa bar-mitzvah. Certaines personnes qui se convertissent au judaïsme (un sujet sensible et complexe), souvent pour pouvoir se marier et garantir à leurs enfants une reconnaissance, sont donc juives sans être Juives. Mais dis-moi Jamy... Juif ? Ethniquement ? Culturellement ? J’ai peur de faire une boulette (de pierogi). L’identité juive est très complexe et est indissociable des persécutions subies au cours des siècles et des mouvements de migration. J’adorerai pouvoir décortiquer tout ça, mais on n’aurait pas assez d’une vie, alors voici quelques points qui éclairciront les zones d’ombre. Être Juif ethniquement, c’est descendre de Juifs. Dans la tradition, la judéïté (le fait d’être Juif) se transmet par la mère. Si ta mère est Juive, tu es Juif ; les origines de ton père n’ont pas d’importance. Bien sûr, aujourd’hui, il y a de nombreuses discussions philosophiques à ce sujet. Certaines communautés conservatrices ne reconnaissent encore aujourd’hui que l’ascendance matrilinéale et les enfants de femmes converties ne seront pas reconnus comme Juifs, même si élevés dans la culture et religion juives. À l’origine, les Juifs vivaient dans une zone, la Terre d’Isräel, qui correspond aujourd’hui plus ou moins à la Palestine (attention: Terre d’Israël =/= état d’Isra*l). Cette zone a eu de nombreux noms au cours des siècles et est considérée comme sacrée par les trois grandes religions monothéistes : judaïsme, Islam et christianisme. Après les destructions successives du Temple de Jérusalem et de nombreuses guerres, menés notamment par l’empereur romain Titus (eh oui, ça remonte !), les Juifs se sont dispersés aux quatre coins du monde, ce qui a également contribué au mythe des Juifs errants, condamnés à vivre loin de la Terre Promise. Cette dispersion a contribué à la création de nombreuses cultures juives.
Il y a énormément de cultures juives différentes. Les deux groupes les plus connus sont : - les Juifs ashkénazes (coucou, c’est moi !) : les Juifs ashkénazes sont les Juifs d’Europe centrale et de l’Est. Par exemple, la majeure partie de ma famille vient d’Ukraine mais j’ai également des ancêtres polonais. Beaucoup de Juifs ashkénazes ont fui les pogroms et ont émigré soit vers les États-Unis (où leur “ashkénazité” a mué, car oui, l’identité ne reste pas gravée dans la pierre !) soit vers l’Europe occidentale. Gardons en tête que selon les pays où ils se trouvaient, les Juifs ashkénazes ont adopté certains comportements, certaines cultures, etc. Ce n’est pas un “one size fits all”, même s’il existe des éléments communs comme le yiddish par exemple. Enfin, l’histoire des Juifs ashkénazes est malheureusement indissociable de la WW2. Chaque Juif ashkénaze ou presque a une histoire à raconter. Ce n’est pas de l’histoire ancienne et ça a un impact très réel sur des millions de vies. 
- les Juifs séfarades (coucou c’est encore moi !) : ce sont des Juifs originaires d’Espagne qui ont ensuite été chassés par les Rois Catholiques Isabelle et Ferdinand, au XVème siècle. À la suite de cet exil, les Juifs séfarades se sont établis en Afrique du Nord, dans l’Empire Ottoman (fun fact, une légende raconte que le sultan Bayezide II se serait ouvertement moqué de Ferdinand et Isabelle d’avoir ainsi chassé les Juifs, car ils constituaient selon lui “un trésor”). Par exemple, j’ai également des ancêtres grecs, plus précisément de la ville de Thessalonique. Mon oncle a épousé une Juive marocaine : mes cousins sont donc sont mi-ashkénazes, mi-séfarades, mais la famille de ma tante est entièrement séfarade (on s’y perd, je vous jure...) ! Les Juifs séfarades présentent donc, au même titre que les Ashkénazes, une grande variété de cultures au sein de leur groupe. Certains parlent arabe (comme l’une de mes tantes), d’autres ladino (un mélange d’hébreu, d’arabe et d’espagnol), d’autres grec, etc. Évidemment, les Juifs séfarades ont également été touchés par la WW2.
Il existe des diasporas juives partout dans le monde: en Iran, en Inde, en Chine... Chaque diaspora a sa propre culture, sa propre liturgie, ses liens avec les non-Juifs, etc.  Ce que j’explique ici, ce n’est qu’une base simplifiée ! N’hésitez pas à vous perdre dans les recherches : Wikipédia est un bon début, mais il y a aussi ResearchGate, JSTOR, Persée.fr, etc... 
L’antisémitisme (tw: insultes)
“Alors, ton nez est crochu pour mieux sentir l’argent ?” mdr merci Eudes-Jacques, quelle blague fabuleuse. Non, mon nez est cassé parce que je passe mon temps à mettre des coups de tête aux débiles dans ton genre. L’antisémitisme, c’est le racisme spécial anti-J/juif. Ses racines sont toutes aussi pourries et haineuses les unes que les autres et je ne ferai pas le plaisir à ses utilisateurs de les détailler. Les obsessions antisémites sont multiples : on serait tous riches à millions (ah), oeuvrant dans les banques et dans le show-business pour étendre notre domination sur le monde (c’est cela, oui), incapables de loyauté et de patriotisme (affaire Dreyfus, le fameux “séparatisme” qui obsède tant nos gouvernants ne date donc pas d’hier... ), avec des nez crochus et des mains difformes pour mieux voler l’argent des bons chrétiens. Nous serions également tous islamophobes et anti-arabes, et l’extrême-droite, tous comme certains gouvernements (Isra*l, Ar*bie Sao*dite, Ir*n, pour ne pas les nommer) à qui cela profite sont trop heureux d’exploiter cette rhétorique puante. Il est tout aussi raciste et islamophobe de supposer que les musulmans (Arabes ou pas) détestent les J/juifs. 
Enfin, l’antisémitisme tue et fait taire : c’est la peur de porter une étoile de David dans la rue ou en soirée, découvrir que nos cimetières ont été vandalisés, tout simplement passer sous silence son identité pendant des années. C’est se faire agresser dans la rue parce qu’un homme porte une kippa et une femme une perruque. C’est voir des soldats postés devant toutes les synagogues de France et de Navarre, se voir accuser par tous les conspirationnistes du dimanche de comploter sur tout et n’importe quoi. Et enfin, l’antisémitisme, c’est avoir un peu peur de poster ce post parce que... j’ai aucune idée de comment la communauté va réagir. Incarner un personnage J/juif, je fais comment ?  Les différentes conversations qui ont eu lieu ces derniers temps dans le monde du rpg francophone nous permettent de répondre facilement à cette question : pour incarner un personnage Juif, mieux vaut choisir un fc d’origine juive. Mais peut-être que ce n’est pas votre intention et qu’en fait, votre FC a simplement des origines juives et que vous vous demandez comment faire. Dans ce cas, à vous de vous interroger ! Est-ce que la culture juive a une grande importance dans la vie de votre personnage ? Est-ce qu’il mange kasher et fête le shabbat ou pas du tout ? Est-ce que ses parents sont juifs dans le sens religieux du terme ? Ou pas du tout ? Enfin, un Juif peut pratiquer une autre religion que le judaïsme (autre question épineuse). Si votre personnage n’est pas Juif, mais pratique la religion juive pour X raison, il peut être de n’importe quelle origine. À vous d’expliquer son cheminement intérieur qui l’a conduit à se convertir ! Enfin, il est ok d’écrire des personnages qui se questionnent par rapport à leur identité. Je pense que c’est quelque chose d’universel de se questionner sur sa culture, sa religion, son degré de croyance envers cette religion, etc. Nous sommes des humains, pas des saints, et les personnages les plus intéressants sont ceux qui admettent leurs faiblesses, leurs imperfections et leur humanité en général. Mais faisons-le avec respect et ne nous servons pas de ces questionnements pour critiquer une culture ou une religion qui n’est pas la nôtre.  Voilà, c’est tout pour aujourd’hui. Encore une fois, il ne s’agit qu’un mélange de connaissances factuelles et d’expérience personnelle. Je ne suis qu’une voix parmi d’autres et je vous encourage donc à vous renseigner par d’autres biais. Ce n’est qu’une base de départ. Shalom!
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helshades · 3 years
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J'ai comme un problème.
« L'an mil six cen onze, et le treizième jor du moys de julher adevan midy, regnam [au secours.] prince Louys par la grace de Dieu roy de France et de Navarre, et pardevans... »
Hein quoi pardon plaît-il
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pos(g) pi... er... prince ?!!
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alexar60 · 4 years
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La Jacquerie
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En ces temps troublés par des crises économiques, il est bon de rappeler que les revendications ne sont pas nées au siècle dernier et si elles ne sont pas entendues, elles finissent souvent en révolte.
La Jacquerie de 1358 tient son nom de « Jacques Bonhomme », ce sobriquet était donné aux paysans et vilains. 10 ans après la peste noire, 2 ans après la défaite de Poitiers, le royaume de France était assez mal en point. Des bandes de mercenaires sévissaient un peu partout en pillant les villages. Famines, disettes régnaient dans les campagnes. Et les seigneurs ne faisaient plus leur part de travail, c’est-à-dire, protéger les gens sur leurs terres, pire ! Ils étaient accusés d’avoir fui et abandonné les paysans après la capture du roi Jean II par les anglais.
Au bout d’un moment, payer des fainéants pour rien, ça ne le fait plus. Alors Révolte ! Les paysans autours de Creil se réunirent pour attaquer le château de Saint Leu d’Esserent et fumer la gueule à son propriétaire. Ayant appris qu’une insurrection a éclaté, de nombreux pauvres et personnes désœuvrés décidèrent d’agrandir les rangs des émeutiers. Et c’est finalement une véritable armée dont le chef était un certain Guillaume Cale qui se trouva à attaquer les quelques châteaux ou les petites garnisons sur leur route.
Le roi de Navarre, Charles le Mauvais décida d’intervenir pour réprimer cette révolte. Une fois dans le Clermontois, les deux armées furent prêtent à la bataille, mais Charles proposa une trêve à Guillaume Cale pour discuter d’un accord à l’amiable. Seulement, quand le roi des Jacques entra dans le camp ennemi, il fut immédiatement arrêté. L’armée de Charles en profita pour attaquer l’autre armée à Catenoy qui se dispersa en un instant (normal, c’étaient des nu-pieds et bouseux contre des soldats armés jusqu’aux dents).
Le pauvre Guillaume fut exécuté à Clermont. La révolte dura à peine 1 mois, mais la répression continua pendant plusieurs décennies. Charles Le Mauvais massacra le village de Mello, La ville de Meaux favorable à la Jacquerie fut assiégée et incendiée. En 1370, un écuyer tua même un ancien jacques au cours d’une partie de choule à Songeons. Jean II de Clermont pour venger la mort de son frère et l’incendie de son château, s’amusait à trancher les jarrets des anciens jacques une fois capturés après une petite chasse à l’homme, histoire de montrer qui est le maitre.
Bref, si on veut faire la révolution, faut pas se louper…
Alex@r60
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