#satisfaite
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mesillusionssousecstasy · 6 months ago
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“Je passe d’un extrême à un autre, jamais satisfaite de rien. »
- Céline Daumas
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uravitygraph · 1 year ago
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justundi · 1 year ago
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zendaya coleman
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hoodwinkme · 1 year ago
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rathmoore · 3 months ago
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༺❀༻ 𝔭𝔞𝔲𝔩 𝔪𝔢𝔰𝔠𝔞𝔩 ▬ (gallery)
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hoarthsoyriz · 4 months ago
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Goat King ✨
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basilinixe · 4 months ago
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Rarepair week vdf - Jour 3: Juste une fois
Raul/Renard
En retournant à son époque d’une pression d’un bouton, Renard ne s’était pas attendu à trouver Raul dans son salon. Un Raul égal à lui-même, avec sa large carrure appuyée sur un mur et ses longs cheveux qui lui tombaient un peu devant les yeux.
Le Visiteur n’avait absolument pas poussé de cri de fillette en voyant cette silhouette inattendue dans le labo, qu’il pensait vide avant d’arriver. Ni fait de bond en arrière sous la surprise non plus. Et Raul n’avait pas du tout eu un léger sourire amusé en voyant sa réaction.
- Désolé de vous avoir surpris, s’excusa-t-il une fois Renard remis de sa frayeur. J’avais sonné, mais il n’y avait personne, et vous m’avez donné le code de la porte dans votre lettre, alors…
Renard balaya ses inquiétudes d’un mouvement de la main, l’autre sur son torse pour essayer de calmer les battements affolés de son cœur. Raul n’avait pas l’air menaçant, et sa voix grave avait l’air sincère. Le Visiteur se racla la gorge, essayant de masquer son embarras d’avoir réagi de la sorte devant un homme qui semblait toujours composé.
- Non, non, c’est rien, vous avez eu raison. Henry est sorti, et moi j’étais en mission. Ç’aurait été con de vous faire choper par un zombie parce que vous poireautiez devant chez nous en nous attendant.
Raul acquiesça, et Renard lui fit signe de s’asseoir à la table-palette, avant de s’y installer à son tour. La table était toujours aussi miteuse, mais il espérait que l’autre homme ne s’en formalise pas.
- Que me vaut l’honneur de votre visite ? reprit le Visiteur une fois qu’ils étaient installés. Vous avez des conseils à me donner ?
Raul secoua la tête.
- Non, pas vraiment. J’ai plutôt une demande.
- Ah oui ?
Le ton de Renard resta neutre, malgré la pointe de méfiance qui émergea en lui aux mots de son invité. Il faisait confiance à Raul, mais il n’avait pas non plus complètement oublié tout ce qu’il s’était passé quelques semaines auparavant, les divers plans pour s’emparer de sa machine et se débarrasser de lui et Henry. Tout avait aussi commencé par une simple demande, celle de Dario.
Cependant, la requête de Raul fut bien plus raisonnable que tout ce qu’il avait imaginé :
- Emmenez-moi voir Sara. Vous savez où et quand elle habite, pas vrai ?
Raul le regarda dans les yeux, et Renard relâcha la respiration qu’il avait retenue, entre soupir de soulagement et pouffement.
- Ah, c’est tout ? Si ce n’est que ça…
C’est ainsi que les deux se retrouvèrent debout dans la pièce, côte à côte. Raul avait l’air de ne pas vraiment savoir mettre la main pour voyager, mais Renard coupa bien vite son h��sitation, en posant une main sur son épaule.
- Prêt ?
Raul acquiesça, et quelques instants plus tard, ils atterrirent sous le soleil étincelant de 2012 dans un nuage de particules.
- Quand est-ce que je viens vous rechercher ? demanda Renard.
- Donnez-moi deux jours. Je vous attendrai ici à la même heure.
- Ça marche. Par contre, faites gaffe, les gens d’ici risquent de ne pas apprécier de vous voir vous balader avec ce type d’arsenal.
Renard désigna du menton le fusil à pompe avec lequel Raul voyageait, rangé à sa hanche et à peine dissimulé par son manteau.
- Hm.
- Je peux vous le garder le temps que vous revenez, si vous voulez. De toute façon, il n’y a pas de zombies ici.
Raul hésita visiblement pendant quelques secondes, avant de tendre son arme à Renard. Le métal était tiède quand il la prit en main.
Renard lui fit alors un signe de tête, avant de repartir.
Cependant, il n’alla pas immédiatement le rechercher à la date donnée ; il repassa d’abord par 2550 pour une pause-café bien méritée après sa mission. Après tout, il pouvait bien prendre son temps ; c’était ça l’avantage de voyager entre les époques.
Il s’installa alors dans le fauteuil défoncé une fois une tasse bien chaude à la main, et il commença à siroter sa boisson, dans ses pensées.
Le jumpscare de tout à l’heure mis à part, il ne s’était pas attendu à revoir Raul de sitôt. Bien sûr, il lui avait laissé une lettre pour l’inviter à le conseiller dans son sauvetage du monde, mais il n’avait pas pensé que Raul y prête grande attention. À vrai dire, il n’avait même pas été certain qu’il la conserverait. Comme quoi, les gens pouvaient toujours surprendre.
Mais c’était une bonne surprise. Raul était un homme bon et intelligent, et Renard était content de l’avoir de son côté. Et puis, il était d’autant plus beau quand il n’essayait pas de le tuer, ce qui était appréciable. Encore que… Si son petit sourire sincère avait son charme, l’air froid et déterminé en avait un aussi, si ce n’était que d’une façon différente.
Ce fut sur ces pensées que Renard termina son café, avant de déposer sa tasse et de repartir à la date demandée.
Raul était à l’heure au rendez-vous, mais il avait la mine sombre, pour une raison que le Visiteur ignorait.
- Vous avez besoin de plus de temps ? demanda Renard.
- Non, c’est bon. Ça servirait à rien. Allons-y.
Renard fronça les sourcils. C’était très ominous, ça, comme réponse. Cependant, il n’insista pas. Ce n’était pas dans ses habitudes de forcer les choses pour parler d’émotions.
Il tendit simplement son bras à Raul, qui posa une main sur son avant-bras, et ils retournèrent à leur époque d’origine.
Une fois au labo, Raul était silencieux. Trop silencieux. Il ne remercia pas Renard, et il ne dit rien non plus quand son arme lui fut rendue. Il n’avait jamais été très loquace, mais ce silence était différent.
Renard lui proposa un café. Raul accepta, mais sans dire un mot de plus.
Ils s’installèrent côte à côte sur l’unique canapé, boisson chaude à la main. Après plusieurs minutes de silence total, Renard finit par craquer, malgré son désamour pour les conversations émotionnelles. Il n’avait jamais vu Raul ainsi, et bien qu’il ne puisse nier la curiosité qui le traversait, il était aussi inquiet.
- Qu’est-ce qu’il s’est passé ? demanda-t-il d’un ton prudent.
Raul pinça les lèvres. Il détourna les yeux un instant, puis son regard revint vers Renard et il lâcha :
- J’étais parti pour demander à Sara de revenir avec nous en 2550. Elle a dit non.
- Oh.
Renard ne savait pas vraiment quoi dire. Lui-même n’avait jamais été très fan du reste de la fratrie Lombardi, mais il savait que Raul était vraiment très attaché à ses adelphes.
- Je suis désolé ? reprit-il d’un ton hésitant.
Raul soupira.
- Je suppose que c’est pas possible de me donner une machine pour aller la voir plus souvent ?
Renard fit la grimace.
- Désolé, mais vous supposez bien. Vous êtes un type bien, Raul, et j’aimerais bien vous aider, mais ça, ça ne sera pas possible.
À sa réponse, Raul garda le silence un moment. Renard finit même par penser qu’il allait partir, mais il finit par demander :
- Vous avez une famille ?
Renard fut complètement pris au dépourvu par sa question. La Meute, il n’y avait plus pensé depuis des années. Ou du moins, il n’avait plus voulu y penser.
Il voulut changer de sujet, faire une blague pourrie, tout sauf en parler. Mais les yeux sérieux de Raul posés sur le coupèrent dans son élan. Il inspira, et il finit par dire :
- J’en ai eu une, oui. Une grande. Mais je ne suis pas comme vous, Raul. Moi je l'ai abandonnée.
C’était le plus proche de la vérité qu’il pouvait lui confier.
Raul eut l’air surpris de sa réponse, et Renard eut un petit rire qui ne moquait que lui-même.
- Eh oui, poursuivit-il, désolé de briser l’image que vous aviez de moi.
Il tourna ensuite la tête, cherchant du regard quelque chose pour s’occuper les mains. Il ne voulait pas voir l’inévitable déception s’afficher sur le visage de son invité.
Cependant, ce que Raul répondit était à mille lieues de ce à quoi il s’attendait :
- C’est pas facile la famille, hein ?
Il parlait de sa situation, bien sûr, mais aussi de celle de Renard, c’était évident. Et si son ton avait été triste, la douceur et la compréhension qui s’y étaient glissées désarçonnèrent complètement le Visiteur.
Il ouvrit la bouche, puis la referma, ne sachant que dire. Ensuite, il finit par se retourner vers Raul et lui dire :
- Vous êtes un mec bien, vous savez ? Je suis sûr que Sara va finir par changer d’avis.
Raul lui sourit, pas sûr d’y croire, mais touché par l’intention derrière ses paroles. Renard choisit alors ce moment pour effleurer sa main de la sienne. Puis, sentant qu’il ne s’écartait pas, il posa directement sa paume contre sa peau. Le faisait-il pour réconforter Raul, ou pour se réconforter lui-même ? Il n’en était pas certain lui-même. Simplement, il savait qu’ils avaient besoin d’un contact humain.
Raul regarda leurs mains, avant de relever les yeux vers Renard d’un air interrogatif. Du coin de l’œil, Renard vit son regard s’attarder sur ses lèvres un moment.
Il n’avait pas pensé à ça, en prenant la main. Son action ne restait d’ailleurs que très peu préméditée. Mais Renard n’était pas contre. Au contraire. Alors, il se tourna vers son voisin et, en faisant attention à ne pas renverser leurs tasses de café respectives, il l’embrassa.
Raul ne fut pas surpris par son initiative. Il ne fit que fermer les yeux en émettant un petit soupir par le nez, avant de répondre à son baiser.
Leurs gestes étaient lents et délibérés. C’était un moment pour savourer le présent, les sensations du corps, et oublier de penser. Bien vite, Raul s’occupa de poser leurs tasses sur la table basse, et Renard profita de l’occasion pour s’installer sur ses genoux dès que la place fut libre.
C’était agréable d’embrasser Raul. Sa barbe lui grattait les joues, tandis que ses longs cheveux lui chatouillaient le visage. Ses mains quant à elles, grandes et chaudes, étaient passées sous son manteau, mais restaient sagement au-dessus de son t-shirt. C’était aussi quelque chose que Renard appréciait chez lui : bien qu’il était capable de le brusquer, de le casser en deux presque d’un geste, il faisait preuve d’une grande douceur.
Les mains de Renard aussi se firent un peu baladeuses. Elles se glissèrent d’abord dans les cheveux en face pour rapprocher leurs baisers, qui se faisaient plus intenses, puis elles caressèrent le torse musclé qui s’offrait à lui sous toutes ses couches de vêtements. La cartouchière qui y était attachée clinqua sous ses mouvements.
Ils étaient en bonne voie pour complètement oublier leur réalité l’espace d’un instant, sur ce canapé, quand la sonnette retentit dans le laboratoire, suivie d’une voix bien connue :
- Raul, t’es toujours là ? demanda Dario. Ça va faire une heure que je t’attends !
Renard voulut l’ignorer et continuer sur leur lancée, mais Raul l’écarta doucement. Ses lèvres étaient rouges et brillaient de salive.
- Désolé, Dario m’attend. La famille, vous comprenez ?
Puis, il souleva Renard et le redéposa sur la place à côté de lui comme s’il ne pesait rien, avant de se lever et de remettre ses vêtements bien en place.
Renard, pas encore tout à fait sorti des méandres dans lesquels il s’était enfoncé, ne fit que le regarder faire, puis dire :
- À une prochaine fois, peut-être.
Renard le salua alors bêtement, puis le regarda partir.
Le bruit de la lourde porte qui se résonna dans le labo, et le Visiteur se passa une main sur le visage pour reprendre ses esprits et se redressa. Raul ne perdait pas le nord, lui. Et sa loyauté était sans faille. C’était peut-être ça aussi, qui lui plaisait chez lui.
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pigeonneaux · 8 months ago
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@basiltheratatouille qui me suggère Alexandre astier en présentateur pour un cast hypothétique de Taskmaster France et maintenant i am yearning for something impossible 😔
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jananabananawithnopeel · 2 years ago
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majora-is-lurking · 2 years ago
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Small Pomme animation I did recently! 🍎✨
I haven’t animated anything since last year, so it was a nice warm up~ She is sulking like a true French 😤
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minivirgo · 1 year ago
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god there's this colleague of mine who is just one of the prettiest people i've ever seen and she always dresses so nicely. filled with jealousy and self-consciousness (elle est aussi socialement skilled ughhh)
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jamieandgeorgedashigz · 9 months ago
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I borrowed Fox's work clothes to recreate this meme from that two decade-old animated film from Pixar. It's aggressive, but it's necessary.
Version française disponible ici: https://ibb.co/8Bhc0HQ
-Jamie
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luma-az · 2 years ago
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La Zone
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 21 août 
Thème : Camille/quand le chat n’est pas là
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Il s’appelle Camille. Elle aussi. Et les deux autres aussi, qui les suivent en essayant de ne pas se faire distancer. Tout comme celle qui attend au volant de la camionnette. C’est presque une comptine. Cinq Camilles qui vont au marché. Un marché pas cher du tout.
Que voulez-vous, quand le chat n’est pas là, les souris dansent. Et c’est un gros matou qui est de sorti ce soir.
Les Camilles aiment beaucoup cet endroit. La Zone est une terre sauvage, un lieu de vie et de nature, un endroit précieux que l’avidité humaine n’a pas encore salopé. Les Camilles n’apprécient pas du tout le projet de construction en cours. Pas du tout du tout.
Alors ce soir, tandis que le promoteur du projet est en train de vendre sa version en pleurant sur un plateau télé quelconque – le pauvre chou, victime de toutes les vilaines Camilles du pays – les Camilles sont de sortie sur le chantier. Et font leur petit marché.
Ils passent par derrière, loin des gardes, et sautent les palissades assemblées à la va-vite. Ils agissent vite et bien. Ils attrapent les chaines, les pinces, tous les outils qui leur tombe sous la main…
Mais les Camilles ne sont pas des voleurs. Ils rendent très, très vite ce qu’ils ont pris. En choisissant soigneusement quoi en faire.
Et lorsque les Camilles repartent, ils laissent derrière eux un chantier nettement plus en chantier – outils enchainés, moteurs sabotés, le tout décoré d’un message soigneusement graffé : « Ne Touchez Pas A Notre Zone »
Il faut bien ça pour que le message arrive à destination.
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primepaginequotidiani · 2 months ago
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PRIMA PAGINA Equipe di Oggi mercoledì, 23 aprile 2025
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maitre-gotta · 3 months ago
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Témoignage : Comment j’ai récupéré ma femme grâce à un rituel puissant
Rituels de retour affectif puissant, J’étais au bord du désespoir… Ma femme, l’amour de ma vie, m’avait quitté sans explication claire. Un autre homme était entré dans sa vie, et elle semblait totalement sous son emprise. J’ai tout essayé pour la faire revenir, mais rien ne fonctionnait. C’est alors que j’ai découvert le Grand Marabout Gotta, un spécialiste des rituels de retour affectif…
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lolochaponnay · 5 months ago
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Un grand patron demande à un autre : - Tu es satisfait de ta secrétaire de direction ? - Oh que oui! Et doublement même! - Pourquoi doublement ? - C'est une magnifique jeune femme blonde, et elle est superstitieuse, en plus! - Ça t'apporte quoi qu'elle soit superstitieuse ? - Elle refuse que je lui paie son treizième mois!
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