#sauvé

[petitenotedemusiquequivole]

I want to start over. I mean, not in the sense of being a baby again and going back to elementary school and having to go trough it all because oh man the time it took me to understand certain things. What I mean is that, the things I've learned, well, they just point to me wanting to be my own freak.

Recently, I've met a notorious photographer from the UK and he told me that he started being depressed when he stopped carrying his camera around his neck. My cameras; they don't have straps. I take them out when I have an idea, a project, when I'm being paid. It's something I want to change. Reverse, 180. I want to be out there. Just capturing, just showing you what I see. Shoot, shoot, shoot, let the pictures I create take over my life and maybe fuck me up real good or maybe make me into the one I always wanted to be. Art and creation in general is just dangerous. If you commit to it you won't be safe.

On the picture : Juliette Gariépy

[david-schmidt-journaliste-blog]

3 lions ont sauvé une petite fillette de ses ravisseurs

ADDIS ABEBA, Ethiopie - Une fillette de 12 ans, enlevée et battue par des hommes qui voulaient la marier de force, a été retrouvée gardée par trois lions qui avaient apparemment chassé ses ravisseurs, a indiqué mardi un policier. La jeune fille, disparue depuis une semaine, avait été enlevée par sept hommes qui voulaient la forcer à épouser l'un d'entre eux, a déclaré le sergent Wondimu Wedajo Au début du mois de juin 2005, un groupe de ravisseurs éthiopiens a enlevé une fillette de 12 ans et l'a gardée en otage pendant une semaine. Il s'agit d'un événement terrifiant et courant dans les régions rurales du sud-ouest de l'Éthiopie, une région marquée par la criminalité, la controverse et les dissimulations gouvernementales. Il s'agit surtout d'une expérience dévastatrice pour les parents qui, souvent, ne reverront jamais leurs enfants.

Le marché noir des enfants est en plein essor.

Certains les appellent les "voleurs de bébés", ces individus opportunistes ou ces réseaux criminels organisés qui enlèvent des enfants et les vendent pour en tirer profit. Ils s'attaquent aux jeunes femmes et aux parents distraits. Les ravisseurs traquent les mères, se lient d'amitié avec elles et jouent même avec les enfants pour gagner leur confiance. Parfois, ils droguent carrément la mère avant de voler l'enfant. Dans un article paru en 2020 dans BBC News, une source proche d'un kidnappeur kenyan a déclaré de manière inquiétante : "Anita a de nombreux moyens d'obtenir des enfants". Après avoir été vendus, les enfants finissent dans l'esclavage sexuel, les "adoptions" illégales, les mariages d'enfants ou les sacrifices rituels. Il n'y a vraiment aucun moyen de savoir. L'histoire vraie de cette jeune Ethiopienne de 12 ans commence un jour terrible, alors qu'elle rentre de l'école. Enlevée dans la rue, le nom de la jeune fille est protégé en raison de son âge. Nous l'appellerons Kia. Alors qu'elle rentrait de l'école, sept hommes se sont approchés d'elle et l'ont enlevée. On ne sait pas grand-chose de sa semaine de captivité. Ce que l'on sait, c'est qu'elle a été régulièrement battue et que l'un de ses ravisseurs adultes avait l'intention de l'épouser. Elle a été battue à plusieurs reprises avant d'être retrouvée le 9 juin par la police et des proches à la périphérie de Bita Genet, a précisé le sergent Wondimu. Elle avait été gardée par les lions pendant environ une demi-journée. Les Nations unies estiment que plus de 70 % des mariages en Éthiopie se font par enlèvement, dans les zones rurales où vivent la plupart des 71 millions d'habitants du pays. Selon l'UNICEF, l'Éthiopie compte 15 millions d'enfants mariés. Cela représente des millions de jeunes filles comme Kia, souvent battues et violées à plusieurs reprises, puis contraintes à des mariages non désirés avec des hommes beaucoup plus âgés. Trois lions ont sauvé une jeune fille de 12 ans kidnappée par des hommes qui voulaient la forcer à se marier. Ils ont chassé ses ravisseurs et l'ont protégée jusqu'à ce qu'elle soit secourue par la police éthiopienne. Les hommes avaient retenu la fillette pendant une semaine dans une région reculée du sud-ouest, la battant à plusieurs reprises, avant que les lions ne les chassent. "Ils ont monté la garde jusqu'à ce que la trouvent, puis ils l'ont laissée comme un cadeau", a déclaré le sergent Wondimu Wendaju dans la province de Kefa. "Tout le monde pense qu'il s'agit d'une sorte de miracle, parce que normalement les lions attaquent les gens", a déclaré M. Wondimu. "Si les lions n'étaient pas venus, cela aurait pu être bien pire. Souvent, ces jeunes filles sont violées et sévèrement battues pour les forcer à accepter le mariage", a-t-il ajouté. Stuart Williams, expert en faune sauvage auprès du ministère du développement rural, a déclaré qu'il était probable que la jeune fille ait été sauvée parce qu'elle pleurait. "Une jeune fille qui gémit peut être confondue avec le miaulement d'un lionceau, ce qui pourrait expliquer pourquoi ne l'ont pas mangée", a-t-il déclaré. La fillette, la plus jeune d'une fratrie de quatre enfants, était "choquée et terrifiée" après son enlèvement et a dû être soignée pour les coupures causées par les coups qu'elle a reçus, a déclaré M. Wondimu.La fillette, la plus jeune d'une fratrie de quatre enfants, était "choquée et terrifiée" après son enlèvement et a dû être soignée pour les coupures causées par les coups qu'elle a reçus, a déclaré M. Wondimu. Il a précisé que la police avait arrêté quatre des hommes, mais qu'elle en recherchait toujours trois autres. Les lions d'Éthiopie, célèbres pour leur grande crinière noire, sont le symbole national du pays et ornent les statues et la monnaie locale. Malgré une récente répression, les chasseurs tuent également les animaux pour leur peau, qui peut atteindre 1 000 dollars. Williams estime qu'il ne reste que 1 000 lions éthiopiens à l'état sauvage. Read the full article

[padrebaldo]

🇫🇷 #FIREPODCAST N.17 Écoutez notre VidéoPodcast et c'est toujours #120joursencénacle avec P. Baldo Alagna @padrebaldo.dj : ROMAINS 10,9 Croire que Jésus est Seigneur et qu'il est ressuscité nous sauve ! 🔥

[christophe76460]

C'est par la foi que nous sommes sauvés. Bonne journée en Jésus Christ #BonneNouvelleDuChrist #Vendredi #sauvé #âmes #Novembre2022 #Foi #Confiance #Doute https://www.instagram.com/p/ClGcXItsAlS/?igshid=NGJjMDIxMWI=

[nenan]

Lise Sauvé photographed by William Arcand, CGI by Mathieubdt

[newestcool]

Sora Choi for Rabanne s/s 2024 rtw Creative Director Julien Dosenna Fashion Editor/Stylist Marie-Amélie Sauvé Makeup Artist Pat McGrath Hair Stylist Duffy Casting Directors Giulia Massullo & Piergiorgio del Moro Photographers Gianluca Carraro & Jaime Canó Newest Cool

[7pleiades7]

L'amour sauvé des eaux (1904) by Paul Artôt (Belgian, 1875–1958), oil on canvas, 51 1/8 × 34 1/4 in., Private Collection

[lovefrenchisbetter]

L’ami qui ne m’a pas sauvé la vie

[northwest-by-a-train]

Franchement LFI qui se désiste pour Borne et Darmanin Franchement c'est la bonne décision devant l'histoire pas d'exception pas de "oui, mais" pas d'excuses et d'atermoiements pas de compromission sur les valeurs républicaines. Franchement. Mental d'acier. Perso j'en serais incapable physiquement. Faudrait a minima me filer les pilules qui ont collé ce sourire bizarre sur la tête à Glucksmann. Mais on est quand même un pays de gros clochards pour en arriver là.

[grantmentis]

Also, a fun update on some former Buffalo Beauts; Lovisa Berndtsson and Kassidy Sauvé are going to be teammates again! They will be playing for SDE HF in the SDHL

Lovisa Berndtsson, who signed in Sweden’s tier II league late last year as a result of the fallout of the PHF buyout, was phenomenal and maintained a sub-1 GAA. Sauvé was able to work her way back from the injuries she sustained in 2022-2023 and join Naisten Liiga for a few starts in the 2023-2024 season. Both have worked hard to get here, congratulations to them!

[imperfectfragilediary]

Vogue US September 2000

Charlotte Gainsbourg, Marie-Amélie Sauvé & Nicolas Ghesquière by Annie Leibovitz

Styled by Camilla Nickerson

[rotting-guy]

AAH J'AVAIS OUBLIE QUE Y A UN NOUVEAU SUR QSMP AJD MERDE

[arsonandhockey]

Now that this is officially not going to happen here are the pads I designed for Kassidy Sauvé

[nununiverse]

Sebastian Gabriel Sauvé by Steven Klein

[newestcool]

Julia Nobis for W Magazine March 2014 ''Lost in Cyberspace'' Photographer Steven Meisel Fashion Editor/Stylist Marie-Amélie Sauvé  Newest Cool on Instagram

[luma-az]

En mer

Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 18 août 

Thème : sieste/oui mon capitaine

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Partout, une mer d’azur s’étale à perte de vue. Le bateau est le seul point dépassant sur l’horizon. En dehors d’une petite brise, à peine suffisante pour avancer, c’est ce qu’on pourrait appeler le calme plat.

Perché dans le nid-de-pie, je succombe à la tentation d’une petite sieste. Après tout, qu’est-ce qui pourrait arriver ?

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Le bateau est désert.

Je ne comprends pas. Je me suis réveillé à peine une heure après avoir fermé les yeux, deux peut-être, trois grand maximum ! Ils ne peuvent pas avoir tous disparus aussi vite ! Et où est-ce qu’ils seraient passés ?

J’arpente le pont comme une âme en peine, en appelant mes camarades. En vain. L’angoisse me tord les tripes. Il n’y a aucune trace de lutte. Toutes leurs affaires sont encore là. Le café est froid dans la tasse du capitaine. Les dés des gars qui n’étaient pas de quart sont encore posés par terre, à coté des piécettes. Ça n’a aucun putain de sens !

Je cours partout, je cherche. Je regarde dans la mer, mais je ne vois aucune trace. Comme il n’y a plus personne à la barre, le bateau s’est mit vent debout et il est resté dans la même zone depuis, je pourrais voir quelque chose – un foulard, un chapeau, n’importe quoi qui flotterait sur les vagues et me dirait une bonne fois pour toute qu’ils sont tombés à l’eau. Mais non, je ne vois rien.

Ne pas paniquer ne pas paniquer ne pas…

Je cours jusqu’à la cuisine. Les réserves d’eau et de nourriture sont intactes. En étant seul, je devrais pouvoir tenir des m…

Mais je ne vais pas rester seul aussi longtemps, bien sûr. Comment je pourrais être seul aussi longtemps ? Quelqu’un va forcément me trouver avant ! On est sur une route commerciale, quelqu’un va voir le navire, et…

Je fouille dans la malle à pavillon et en sort ceux qui indiquent une urgence vitale, et que le bateau se rend sans résister. Peut importe qui me trouvera, ils viendront !

Maintenant, il faut que… il faut que je m’organise. Le bateau est bien gréé, si je reprends la barre je peux avancer. Même si je ne suis pas sûr de la direction. Je ne suis pas capitaine ni officier, moi, je n’ai jamais eut à faire tous ces calculs compliqués, mais je saurais à peu près me repérer au soleil ! Et je ne veux rien de bien extraordinaire, juste me rapprocher de la côte. Oui, oui, plus je serais proche des terres, plus il y a des chances qu’on me voit et qu’on vienne  me sauver. Oui. Ce n’est qu’une question de jours. De semaines, tout au plus. Tant que je ne croise pas de tempête, je peux m’en sortir. J’en ai pour des mois de provisions, après tout.

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Je ne sais pas depuis combien de temps nous errons en mer.

Au moins je ne suis plus seul. J’ai fabriqué le coq Brisepâte, pour me tenir compagnie quand je fais l’inventaire des vivres. Le mousse Filedroit, pour les moments  où j’ai envie de me lancer dans de grandes explications sur le métier de marin ou de lui raconter mes aventures excitantes. Les matelots Bonnepinte, Grandepinte et Bellechopine, pour les soirs où j’ai envie de boire un petit coup. Bizarrement, j’ai fini le rhum bien avant de finir la farine à biscuits.

Ah, et j’ai aussi fait le capitaine Briselame – aucun lien de parenté avec le coq. Ma fierté, honnêtement. Il est habillé avec les vrais vêtements du capitaine, il a même son monocle, et il a une paire de moustaches en étoupe qui ferait peur à n’importe quel abordeur. Il me rassure quand je me sens perdu. Je lui parle beaucoup. Il me répond parfois. Sans lui, je ne sais pas comment je m’en serais sorti vivant quand j’ai affronté la première tempête. Bon, le bateau est dans un piètre état, c’est plutôt une épave à la dérive maintenant qu’un vrai navire, et mes espoirs d’atteindre une côte fondent comme neige au soleil. Mais je suis vivant. Merci mon capitaine.

J’ai faim. J’ai mangé la viande séchée. J’ai mangé les fruits secs. J’ai mangé les biscuits. J’ai mangé la farine. J’ai mangé les vers qui mangeaient la farine. J’ai mangé les pommes, aussi. Enfin, celles qui n’ont pas fini  dans ma tentative de faire de l’alcool maison. C’était atroce, mais ça m’a occupé un moment.

Maintenant, je n’ai plus grand-chose à faire à part regarder l’horizon. Le capitaine tient la barre, aidé de quelques cordages. C’est important de maintenir le cap, même si c’est dur vu le peu de gouvernail qu’il reste.

Je regarde l’eau en rêvassant quand j’entends le chant.

Jamais encore je n’avais entendu un chant aussi beau. Comme si les portes du paradis s’étaient ouvertes pour moi. Je me penche et là, sous les vagues, dans l’eau cristalline, je les vois tous ! Tout l’équipage est là, qui me sourit et me fait des grands gestes pour que je les rejoigne. Des sirènes sont avec eux. Mais c’est bien sûr ! Ce sont elles qui les ont sauvés, il y a si longtemps !  Je n’ai plus qu’à les rejoindre !

Je commence à enjamber le bastingage quand j’entends le capitaine Briselame qui crie, de sa voix de tonnerre :

« Dégage-moi tout ça et remonte sur le pont !

— Mais… ce sont des sirènes !

— Justement, espèce d’imbécile ! Elles viennent pour te noyer et te dévorer, comme tous les autres ! Remonte tout de suite et va te mettre de la cire dans les oreilles jusqu’à ce qu’elles se lassent !

Je suis déchiré. Je n’en peux plus de vivre comme ça. Je ne veux plus !

Mais dans ce monde de folie, j’ai reçu un ordre, et c’est la seule chose qui a encore du sens, alors qu’est-ce que je pourrais répondre d’autre que :

— Oui mon capitaine ! »

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