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#sokourov
dooareyastudy · 2 years
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Faust, Alexander Sokurov, 2011
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capture-s-i · 8 months
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Мать и сын / Mère et fils (Alexandre Sokourov, 1997)
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"L'Arche Russe" d'Alexandre Sokourov (2002) - un seul plan séquence de 96mn accompagnant l'écrivain Astolphe de Custine en 1843), avec le narrateur visitant le Musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg - mars 2019.
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zialinart · 3 years
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Second film of the week : The russian Ark from Alexander Sokourov
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unetealombre · 4 years
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jeanpascalmattei · 5 years
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https://www.youtube.com/watch?v=Rs3qvvfvrXI
http://lemiroirdesfantomes.blogspot.com/2019/05/francofonia-alexandre-le-bienheureux.html?view=magazine
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lescritiqueschelous · 4 years
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Le cinéma dit "adulte" (à savoir, des films un peu sérieux gravitant autour de thèmes suffisamment forts et matures pour convaincre votre papa et votre maman de lever leurs culs du canapé et de délaisser Netflix et ses docu-séries sur des serial-killers blancs et assez sympatoches au fond (les serial-killers, hein. Pas les docu-séries...) pour aller payer un ticket à 12,86 euros de moyenne dans le multiplexe le plus proche) se voit opposer la concurrence toujours plus redoutable des plate-formes de streaming et de ces petits salopiauds de grand-huits numériques, j'ai nommé les blockbusters Marvel. Pour rester relevant dans ce marketplace disrupté, il a fallu procéder à des benchmarks, reseter le mindset et rebrander le turnover (je suis pas très sur du dernier...). La solution : Mais ! Les films d'auteur aussi peuvent constituer des expériences ! Voyons !
J'ai déjà dit par le passé mon aversion, non, le mot est trop fort, attendez... circonspection quant à ces parti-pris parapluies (ici, 1917 se compose uniquement de longs plan-séquences collant le plus possible à l'enfer vécu par deux petits troufions des tranchées), souvent plus paralysant que libérateurs créativement. Mais rassurez-vous, en tant qu'objet filmique, 1917 s'en sort trrrrès bien. Il faut dire qu'il y a que des numéros 10 dans la team. Thomas Newman à la bande-son, au top de sa forme, flirtant délicieusement avec l'abstraction concrète (c'est bien simple, je l'ai mise dans ma playlist pour faire les carreaux). Roger Deakins à la photo, bien sûr, qui désormais cannibalise de sa maestria tous les projets auquel il prend part. Même le monteur, Lee Smith, est un pointure ! Débauché de chez Nolan, on lui a confié la tâche ardue d'assembler 11 raccords et demi. On espère qu'il a fait ses heures, le pauvre chou. Des bisous. Tout ce petit monde, chapeauté par la science du cadrage franchement pas dégueu de Mendes, allie son savoir-faire tel un aréopage de Power Rangers acculés par un énième auxiliaire de l'infâme Rita Repulsa pour un remarquable effort commun qui trouve son apogée dans une sublime séquence nocturne dans un village ch'ti dévasté. Éclairages à la bougie, ombres portées et violence sourde à la clé.
Cependant, en tant que "film" à proprement parler, 1917 peut laisser dubitatif. Dans ses meilleurs moments, le bidule évoque une version coupée à l'eau des errances métaphysiques et cradingues de Sokourov ou Guerman (qu'Aronofsky par exemple, malgré ce qu'on peut penser de lui, émule avec autrement plus de guts) et manufacture bon an mal an le vertige qu'on peut ressentir chez Cuaron et Nolan, les deux maîtres indépassables du film d'auteur d'attraction contemporain. Mais dans ses moments les moins inspirés, comme piégé par son propre hubris, Mendes rame un peu, panotant laborieusement d'un pan de réalité à l'autre, tentant de caser un découpage classique au sein d'un dispositif qui exigerait une refonte totale de son approche. On entend souvent que le film évoque un jeu vidéo. Il ne faut pas l'entendre dans le sens le plus flatteur : on pense à un GTA par exemple, pour ces moments un peu lunaires qui voit votre avatar lentement marcher d'une étape à l'autre de sa mission pendant que, pour combler le vide, son N+1 de la bratva lui fait douloureusement la conversation à coups de small talk ragoteux ("Il est pas un peu sur les nerfs, Dimitri, en ce moment ?").
Il s'agit d'une approche au final très américaine : penser qu'il y a UNE meilleure façon de raconter une histoire donnée. Mais on est pas obligés de verser dans le temps réel pour espérer communiquer l'expérience des tranchées. Le génie de Nolan avec Dunkerque l'a fait partir d'une pure construction temporelle et intellectuelle (la définition d'un film, quoi) pour toucher à une vérité qu'aucun autre médium n'aurait pu retransmettre. Avec un zèle presque contre-productif, Mendes, s'imaginant probablement s'inspirer de son prédécesseur, achève l'exact inverse, rabaissé à prospecter benoîtement quelques (beaux) instants de grâce au sein d'un réel artificiel et toc.
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duxvonzazer · 5 years
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Quels sont les cinéastes contemporains que vous jugez novateurs ?
Il faudrait savoir ce qu’on entend par « novateur ». Pour ma part, le cinéaste novateur associe proposition formelle et contenu problématique, c’est-à-dire qui pose des questions plutôt qu’il ne donne La réponse. Je cite encore une fois le Danois Lars Von Trier mais aussi Nicolas Winding Refn, les Français Philippe Grandrieux, Bruno Dumont et Bertrand Mandico, le Russe Alexandre Sokourov, le Catalan Albert Serra, les Mexicains Carlos Reygadas, Amat Escalante et Michel Franco. Ce qui se fait du côté de la Corée du Sud (avec les Bong-Joon Ho, Kim Ki-duk, Kim Jee-woon) est également très stimulant. Concernant une « nouvelle vague » du cinéma d’épouvante américain, trois cinéastes retiennent particulièrement mon attention dans leur volonté de déconstruire les codes du genre en proposant de nouvelles explorations thématiques : Jordan Peele (Get Out, 2017 ; Us, 2019), Ari Aster (Hérédité, 2018, et le futur Midsommar, 2019) et Robert Eggers (The Witch, 2015, et le prochain The Lighthouse, 2019). Du côté de l’Afrique, des cinéastes issus de la diaspora africaine comme les franco-sénégalais Alain Gomis (Aujourd’hui, 2013 ; Félicité, 2017) et Mati Diop (nièce du cinéaste sénégalais Djibril Diop Mambéty, à qui l’on doit Touki Bouki : le voyage de la hyène, 1973) me paraissent également très intéressants.
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leecouchette · 2 years
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Toute l'humanité s'est lancée tête première dans le progrès. Nous le promouvons depuis quatre siècles, depuis les Lumières. Or, de facto, à l'échelle de l'humanité, nous récoltons le vide spirituel. Et le développement technologique ? Le seul qu'ait connu la civilisation, les biens de consommation, à présent, Internet. Un torrent d'informations vous submerge, vous étouffe. Et l'âme se vide. L'âme se vide, la mort effraye, l'homme ne se trouve plus de place. La moralité ne s'acquiert pas par le savoir mais par l'éducation, celle reçue en tant qu'enfant d'abord, puis par auto-éducation. Elle s'acquiert par l'expérience de la vie. Partout et toujours, tout est affaire de conscience et de morale. Mais il faut l'éduquer en soi et en autrui.
Alexandre Soljenitsyne, 1998, documentaire d’Alexandre Sokourov
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dooareyastudy · 2 years
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Movies I watched in August 2022 & my opinion on them !
The best
Les Contes de la lune vague après la pluie, Kenji Mizoguchi, 1959
Faust, Alexandre Sokourov, 2012
Good
 L’Ange exterminateur, Luis Buñuel, 1963
Mid
Domicile conjugal, François Truffaut, 1970
Twin Peaks: Fire walk with me, David Lynch, 1992 (it was good but I was slightly disappointed tbh)
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capture-s-i · 4 months
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Солдатский сон / Rêve d'un soldat (Alexandre Sokourov, 1995)
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xtruss · 4 years
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Moscow Metro to Equip 1,500 Train Cars With Facial Recognition By 2021
The Moscow metro will spend 1.4 billion rubles ($20 million) on the controversial cameras and software.
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The Moscow metro will spend 1.4 billion rubles ($20 million) on the controversial cameras and software. Sergei Savostyanov / TASS
The Moscow metro plans to equip around 1,500 subway cars with facial recognition technology by the end of 2020, BBC Russia reported Tuesday.
A public contract posted earlier in July states that the metro system will spend 1.4 billion rubles ($20 million) on the controversial cameras and software. The Moscow metro announced trials of facial recognition cameras on trains and in stations in 2018.
Around one-quarter of all Moscow metro cars will each be equipped with eight facial recognition cameras by year-end, according to BBC Russia.
Each of the 12,300 cameras linked to 398 servers will be able to identify 15 faces per second, according to the Kommersant business daily.
Cameras with neural network image processing capacities are currently installed at entrance turnstiles at metro stations, but not inside the subway cars themselves.
Authorities in Moscow have already deployed facial recognition technology across a network of almost 200,000 surveillance cameras to identify criminal suspects.
The Russian capital deployed its “Safe City” facial recognition surveillance program earlier this year to track and order into self-isolation potential carriers of the coronavirus.
Critics have accused the authorities of violating citizens' privacy with the technology and have staged protests by painting their faces to throw off the cameras.
Research published by human rights activists last week suggested that Russia’s massive surveillance campaign rolled out during the pandemic could remain in use long after the outbreak ends.
— The Moscow Times | July 22, 2020
Yuri Dmitriev: Gulag Historian Handed Three-and-a-Half Year Jail Term
His supporters say the case is an attempt to silence Dmitriev, who has spent nearly 30 years compiling a list of the 40,000 people deported or executed under Joseph Stalin in Karelia, a Russian region bordering Finland.
— By Chris Harris & AFP • 07/22/2020
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Yuri Dmitriev - Copyright Victoria Ivleva/International Memorial
Gulag historian Yuri Dmitriev has today been handed a three-and-a-half-year jail term, his lawyer confirmed.
The sentence was for "violence of a sexual nature" against his adopted daughter.
But his supporters say the case is an attempt to silence Dmitriev, who has spent nearly 30 years compiling a list of the 40,000 people deported or executed under Joseph Stalin in Karelia, a Russian region bordering Finland.
Dmitriev, 64, was first arrested in 2016 on accusations he had produced "pornographic" images of his adopted daughter.
He was acquitted in 2018 but the Supreme Court of Karelia overturned this decision two months later and ordered a second trial, this time for "sexual violence against a minor".
"Dmitriev himself does not admit any of the accusations," said the human rights NGO Memorial before the verdict. "Memorial is sure of his complete innocence.
"The obvious reason for the historian's persecution is his many years of work to find the burial places of people killed during the Great Terror, to establish lists of victims, to preserve memory in places of Stalin's executions."
In recent years, Dmitriev has also been behind the discovery of one of the largest mass graves in Karelia, at Sandarmokh, where the remains of 7,000 to 9,000 people executed during the Stalinist era have been found.
Numerous Russian and international figures have denounced unjustified prosecutions against Yuri Dmitriev. At a press conference in early July, director Alexandre Sokourov said the historian's conviction would constitute "a turning point" in Russia.
Meanwhile, Nobel Prize winners, Belarusian writers Svetlana Alexievitch and German Herta Müller have asked the Council of Europe, a pan-European organization of 47 states, to react. They believe that Dmitriev's findings in Sandarmokh were a "bone in the throat of the authorities" who, according to the two authors, seek to "rewrite history".
— EuroNews
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marlene-c-kim · 7 years
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nktober & cinéma !
17 // GRACEFUL // w. The Russian Ark (Alexander Sokourov, 2002) 
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Inktober (& .... not cinema for today!)
18 // FILTHY // w. Félipe
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actu69003 · 5 years
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Faust : L&#39;oeuvre de <b>Dieu</b>, <b>la part</b> de l&#39;Homme
Pour parachever notre rétrospective consacrée aux années 2010, intéressons-nous aujourd'hui au remarquable Faust d'Alexandre Sokourov. from Google Alert - la Part Dieu https://ift.tt/35AkXI8
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elenaemeraud · 4 years
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Et rien de plus - И больше ничего
Et rien de plus – И больше ничего
Un film de Alexandre Sokourov
1982
Le titre de travail de ce film a été “Les Alliés”. C’est un film sur la coalition anti-hitlérienne de l’URSS, de la Grande-Bretagne et des États-Unis qui s’était constituée comme antidote à la politique envahissante de l’Allemagne nazie lors des années de la guerre 1939-45. Les images…
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killer-klowns · 7 years
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L’Arche russe / Lors d’une visite au Musée de l’Ermitage, une amatrice d’art aveugle décrit parfaitement à un marquis vêtu de noir une toile de Van Dyck ainsi que sa symbolique.
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