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#sont où mes médailles.
meatballerino · 11 months
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skip-chiantos · 6 months
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Enfin en week-end ! Et quel joie d'être en week-end en milieu de semaine, quand perso n'est dispo pour faire une petite soirée... Ça en viendrait presque à me frustrer alors que j'adore mon nouveau taff de vendeuse de whisky...
Même si ma boîte c'est du gros caca, et que ma supérieure fait plus office de plante verte qui essaye de développer son sens de l'organisation, mais qui à chaque fois se fait sauvé le cul par les vendeurs indépendants et autonomes. (dont je fais partie,mais bon trahzillet45/50h semaine, pour un contrat 39h, ça me donne doucement des envies de meurtre, ou plus sagement, de quitter cette entreprise).
Comme j'étais seule cette nuit et que je faisais une méga insomnie (j'en fait plus(pad) quand je travaille, juste quand je suis en repos, histoire de rester bien pénible à vivre, en plus des migraines), j'en ai profité pour réfléchir sur le sujet, et en vrai, je sur kiff vendre de l'alcool, trouvé LE truc qui plaît au client, même les plus difficiles .
Mais d'un autre côté, n'avoir qu'une seule marque à proposer, qui en plus ne propose que deux style de whisky (irlandais fruité et irlandais fumé) et des Liqueurs et eau de vie qui se ressemblent toute(même si Elles sont pas degeu, voir bonne pour certaines) bah c'est super frustrant pour moi qui préfère les écossais Tourbé avec une note atypique en fond (Laphroig Lore si un.e conaisseu. .se connaît), les eau de vie atypique (gentiane, Alisier, thym etc) et les liqueurs pas trop sucrés mais quand même goûtu. Et plus le temps passe dans ce job, plus je suis franche, à dire "non ça c'est degeu, essayé plutôt ça", "non, prenez pas ce produit super cher qui va me rapporter un bonus parce que c'est de la merde malgré l'étiquette médaille d'or, prenez plutôt celui-là qui paye pas de mine mais qui est meilleur". Ok, la plupart, pour pas dire la majorité des clients adorent ma franchise, mais pour la marque que je suis censé représenter, ça le fait moyen...
J'hésite à aller postuler auprès de "caviste" ayant des séléctions de spiritueux, au culot, en expliquant que c'est une passion mais que je suis encore relativement néophyte, sans aucun diplôme dans le domaine, et même dans la vente mais qu'à côté je suis extrêmement curieuse, que j'ai une mémoire vraiment pas degeu, mais que je VEUX poursuivre dans ce domaine et monté en compétence...
Et d'un autre côté, servir de l'alcool ça me fait kiffer et je dirais pas non à un poste de barman, si j'ai pas tout le temps des coupures : non parce que d'un côté, en week-end, avoir une coupure au milieu du rush, je suis ok si c'est dans ma ville : je sors mon chien, je vais dormir et je renquille sans problème. Mais en semaine, quand y'a pas des Masses de clients, une coupure c'est relou parce que j'ai à peine le temps de m'occuper de mon chien et de faire les choses de la vie (courses, linge, ménage, tout ces trucs energivores que tu fait déjà au boulot et que tu dois refaire chez toi, parce que sinon t'a pas de quoi t'habiller "normalement" au taff, et qu'un appart en bordel, ça donne pas envie de vivre dedans on va pas se mentir)
Voilà je vous lâche ce que j'ai sur le cœur parce que ça pèse de plus en plus lourd, et que si par hasard quelqu'un peut me conseiller, où à juste envie de parler je suis dispo, et même je le demande !
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claudehenrion · 2 years
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Vous avez dit ''culture'' ?
   Un des phénomènes qui marquera notre temps --s'il existe encore des hommes dignes de ce nom pour s'en souvenir-- sera le grand effondrement de la culture. Vous allez me dire que à force d'utiliser l'expression ''le grand ceci ou le grand cela'', on dévalue son intérêt... sauf que dans le cas de la Culture (avec ou sans majuscule), c'est une qualification ''en retrait de la main'' : il faudrait oser écrire : l'immense, le gigantesque, le terrifiant effondrement de la Culture ! Le plus souvent, les Hommes ne se rendent pas tout de suite compte des grandes catastrophes qui frappent notre planète ou tel continent, et beaucoup refusent même d'accepter ce qui crève les yeux. Mais la myopie et le déni n’ont jamais freiné un mouvement.
Il est très bien vu, dans certains milieux qui se croient ''tout en haut'' (mais de quoi, grands dieux ?) de mettre un point d'honneur à ignorer --quand ce n'est pas à ''descendre en flammes''--  ce qu'on appelle ''la culture occidentale''... sans bien savoir ce qu'elle est, comme ce gars ‘’qui ne savait pas où trouver la culture française’’. Un gag !  Seul inconvénient, mais il est grave : cette ''lecture du monde'' (le mot exact serait : ''cette non-lecture d'un monde à l'agonie'') s'est imposée dans les Universités de tout l'Occident, ainsi devenu masochiste à en être suicidaire... Le château de sable de leurs pitoyables arrogances les a conduits à n’être jamais solidaires de la vie, comme si on pouvait vivre séparés du vivant ! Ils en mourront !
Mais pour les tenants de cette monstruosité historique (Il faut de tout, pour faire un monde, disait un vieux proverbe !), entre le réel et leur doxa, c'est leur infâme petit livre rouge ou woke qui a raison, et la vie n'a plus qu'à s'adapter à leurs rêves absurdes qui sont un cauchemar pour les hommes normaux : nos constructions intellectuelles actuelles sont toutes viciées à la base, car il y manque... le réel, et le fait de parler des chiffres arabes pour désigner les chiffres indiens résume le genre d'à peu près dans lequel nous errons à l’infini. Ils refusent toute idée d'assimilation pour les ennemis de l'Occident, mais ils veulent bien que nous nous fusionnions dans leur néant absolu. Ravagée par leur folie, la nouvelle re-définition du mot ''l'Occident'', tellement éloignée de l'ancienne, qui était avant tout chrétienne, a accumulé des idées fausses sur tout, au point que parfois, si Poutine n'était pas Poutine, on se dirait que c'est lui qui a raison, lorsqu'il parle de notre décadence !  
Une grosse poignée de mandarins fossilisés dans leur fake culture, croulant sous les honneurs déshonorants et de médailles imméritées, inutiles et pompeux --voire néfastes-- mais promus en Praesidium suprême de ‘’la science selon l’Elysée’’, ont eu tout loisir de trahir la vérité, la science, leur honneur et eux-mêmes, à grands coups d'escroqueries mentales monstrueuses inventées autour de  cette ''épidémie qui en est si peu une’' (puisqu'elle est devenue chronique, comme annoncé, ici-même, il y a 2 ans). Se croyant au dessus de tout et de la vérité, s'offre à nos regards un monde faux, peuplé de leurres, de mensonges officiels et de simulacres, qui a perdu toute autorité morale et a été vidé de tout sens, ce qui remet en cause tout l'édifice de sagesse et de bon sens lentement érigé à travers les âges.
Pour comprendre le tsunami mental, intellectuel et moral qui est en cours autour de nous, il faut retrouver la pièce manquante qui fait office de clé de voûte. Elle se pavane dans la volonté inexplicable et vraiment injustifiable d'une partie de l’Occident (sa partie américaine) de s'attribuer le droit exclusif de définir le Bien (eux) et le Mal (les autres) –à partir de préjugés au premier degré et d'idées toutes faites, mais toutes fausses. Et certains tombent dans le panneau et appellent cette mascarade ''culture''. Et puis quoi, encore !
Pour l’Occident, la disparition de sa culture signe une fin accélérée, ce qui est dramatique car cet épisode effroyable de notre histoire s'accompagne d'une ''idiotisation'' de la société.  L’éducation prétendue nationale, payée par les impôts de tous, perd de sa qualité chaque année et n'est plus ni éducation, ni nationale. La télé, tombée entre les mains plus que douteuses de faux saltimbanques mais vrais gauchistes, rend fous ceux qui la regardent, en répandant des idées qui sont --au mieux-- vides de tout sens. Peu à peu, à la place d'humains réactifs, matures, j'oserais dire ''sages'', au courant des réalités, ayant acquis l’intelligence pratique dont le monde a grand besoin pour faire face aux défis géostratégiques qui le menacent (avant tout une immigration hostile, vengeresse, et le plus souvent volontairement incontrôlée), nous ne rencontrons plus (ou presque) que des consommateurs irresponsables, aveuglés de propagandes insensées et qui ont, malgré leurs efforts, perdu une partie de leurs facultés mentales, de leur esprit critique, de leur capacité à voir clair en plein jour. Des plaintes montent de toute part  Toutes tournent autour du pouvoir d'achat, du prix du gaz et des stations service vides, créant l’impression d’un vide consumériste sidéral, comme si l’homo sapiens se réduisait à n’être plus qu’un homo ‘’ça pionce’, si on me permet.
Le drame, c’est que, à ce jour, on ne voit pas d’issue à ce rétrécissement de la vie collective qu'est le ramassis de mauvaises idées qu'on appelle ''le progressisme'', , qui est un foutoir qui ne peut constituer une société, un pays, une âme commune, et a fortiori, une civilisation de remplacement à la nôtre, la plus riche et la plus ''à taille humaine'' qui ait jamais existé. Les ''puissants aux manettes'' (gouvernants, médias, banquiers, experts sans expertise, intellectuels décérébrés, fausses vedettes d'une caricature de ''star-system'', et anti-élites bien trop riches) se sont séparés de la société, ne vivent qu’en la parasitant et en la pillant. Ils n’ont aucune utilité, et ils n’apportent que problème sur problème, sans même se rendre compte que l'impact insupportable de leurs comportements dérégulés... dérègle tout. A l'inverse de ce ''vivre ensemble'' dont ils se gargarisent à contre-emploi, ils ne peuvent mener le monde qu'à sa destruction. On est bien parti pour tout casser...
Dans ces conditions, ce n’est qu’en écartant ces faux dirigeants et vrais ravageurs que la société a une petite chance de s’en sortir, car l’absence de culture (en Occident) atteint tous les secteurs… A terme, ces faux dirigeants ne ''régneront'' (sic) que sur un petit monde ruiné. A force de censurer sans rime ni raison et de se mêler de tout ce qui n'est pas de leur ressort, les pseudo pouvoirs se privent de toutes les clairvoyances qu'entraînent leurs stupides censures, et ils ne peuvent plus trouver, par et pour eux-mêmes, un chemin vers une sortie : toute censure est un crime en soi, même si on s'imagine être un ''puissant'' --alors que tous les nains qui nous emmènent vers une catastrophe planétaire sont d’abord des impuissants !
Les faux experts dont les médias nous abreuvent ad nauseam savent des bouts de ''trucs'' sur un minuscule savoir (et encore sont-ils plus partiaux que partiels, et politiquement mal orientés !). Mais reniant toute la méthodologie scrupuleuse de leur soi-disant spécialisation, ils se comportent en ignares sourds, en voyous intellectuels et en nuls absolus dans tous les  domaines hors de leur meurtrière étroite, tout en braillant ''Je suis expert, donc j’ai le droit de parler de… tout, à tort et de travers, sans rien savoir…''. Leur prétendue expertise n’est même pas experte dans leur propre savoir, ce qui explique (ou...pas !) leur jargon amphigourique et leur inefficacité encyclopédique . Un exemple ? Sur les centaines de faux ''Experts'' qui nous ont anesthésié à chaque ‘’JT’’ de digressions mensongères sur le covid, pas un seul n'était capable de parler de ''la gestion de crise'', seul sujet intéressant.
Mais ce n'est pas grave, en fin de compte :  dans les rubriques ''culture'', on trouve surtout de la publicité, de la mode, des ''zinfluenceurs'' nuls, ceux qui se disent ''people'', des stars sans talent qui portent les mêmes vêtements et accessoires que tous les autres, et le Goncourt s'il est mal pensant... mais rien de vraiment culturel, nul débat transcendant, nul livre insolent, nulle idée intelligente… rien que nullité, imposture, pauvreté d'esprit, business et mensonges : on récolte ce que l’on sème, hélas ! Le monde semble vouloir vivre sans l’Occident ? Tant pis pour lui. Nous reviendrons vite sur ce dernier point, fondamental pour comprendre demain !
H-Cl.
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alain-keler · 2 years
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Journal d’un photographe / Après une si longue absence / Journal d’Auvergne
Grande commande photographique - BNF - Bibliothèque nationale de France/ Ministère de la Culture.
Mercredi 13 avril.
Pour ma pension j’ai tout faux. Le patron est très sympa. Lui et sa femme viennent du nord. Comme quoi les premières impressions ne sont pas toujours bonnes. « chez tante Soly » se trouve dans ce qui a été une ancienne pension d’enfants qui a accueilli  et protégé des enfants juifs pendant la guerre. L’histoire de cette petite ville est singulière*.
« En plus de la quarantaine de médailles de « Justes parmi les nations » attribuées individuellement aux habitants, en 1990, le gouvernement israélien avec l’Institut Yad Vashem de Jérusalem honore le Chambon-sur-Lignon et les communes avoisinantes. Il décerne un diplôme d’honneur collectivement « aux habitants du Chambon-sur-Lignon et des communes voisines qui se sont portés à l’aide des Juifs durant l’occupation allemande, et les ont sauvés de la déportation et de la mort »
La journée s’annonce longue avec pas grand chose à faire, en dehors de l’invitation à déjeuner du maire, Mr Jean-Michel Eyraud. Je photographie les lieux de mémoire, mais en cette saison ils sont vides d’humains et aujourd’hui la lumière est grise.
Le lieu de mémoire de la fondation de la Shoah montre des photos et films de réfugiés pendant la seconde guerre mondiale, l’exode comme les ukrainiens qui vont en Pologne.
  Déjeuner avec le maire du Chambon et Mme Denise Vallat, son adjointe et en charge de la culture. Ensuite il me fait faire un tour des hameaux qui constituent Le Chambon et qui sont beaucoup plus beaux que le centre ville. Ces hameaux expliquent comment on a pu cacher de tout temps des réfugiés et des juifs pendant l’occupation allemande. Le maire, protestant, sa femme de confession juive rencontrée à l’université, a eu dans sa famille des justes, dont son grand père. J’ai été très touché par ses explications, sa vision humaniste du monde, émouvante, son regard, son humanité.
   Je ne peux m’empêcher de penser à ma famille. Ils n’ont pas eu la chance de rencontrer des justes comme au Chambon.
 Le soir photo du maire de Sainte Sigolène et du conseil municipal, avec Ludovic A. Ludovic est enseignant à Sainte Sigolène et photographe amateur. Avec un collègue professeur d’arts plastiques, il a créé une association pour mettre en avant le travail de leurs élèves en photographie argentique, sérigraphie et gravure. C’est lui qui m’a parlé de la procession des pénitents blancs  qui se déroulera ce vendredi, saint par son appellation ! Il m’a aussi mis en contact avec le maire. Ce soir je l’ai photographié avec son écharpe tricolore, entouré du conseil municipal. J’essaie de faire cette photo partout où je passe, démocratie locale oblige. Je reste un peu au début de la réunion puis Ludovic m’emmène dans un restaurant et bar à vin à Minestrol, le « Kitch’n » tenu par des femmes. Un verre, deux verres et je m’arrête car mes soirées sont plutôt consacrées à développer mon travail de la journée. J’utilise toujours ce terme, même pour le numérique. Développer = découvrir. Afficher, projeter, révéler, étaler, montrer sont des synonymes.
Hôtel à Monistrol sur Loire. Le Corsy est plutôt un bar restaurant avec quelques chambres. La mienne, numéro zéro donne sur la rue principale. La tenancière me garantit qu’elle sera calme. Après 20.00 heures, dire qu’il n’y a pas grand monde dans la rue est un euphémisme, il n’y a personne dehors, ou presque.
BNF / Au final il y aura un rendu de dix photographies. Beaucoup de photos, que j’appellerais « intermédiaires », non choisies mais importantes dans le cadre de mon histoire paraitront dans ce journal. Elles seront le ciment de ce projet personnel qui dépassera la commande.
Les modestes textes de mon journal de bord essayeront de raconter le déroulé et les raisons de ce travail.
Photo : le maire du Chambon sur Lignon, Mr Mr Jean-Michel Eyraud entouré de membres du conseil municipal.
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lespetitspoisons · 2 years
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Harry James Potter J'ai mangé une boite de mon chéri alors que j'aime pas ça, mais je te voulais tellement mon chéri.
Hanni El Khatib - Alive I can't believe I survived, it's all around and upside down but I'm alive ! How can this be true ? Nerlov - MacLeod A vingt ans je pensais que j'étais MacLeod. C'est pas faux mais ca craint, comme une clope, comme un arbre. Et même si j'avais passé l'âge, j'essayerais de trouver le courage, quand tout va s'arrêter, au moment des hommages, est-ce qu'on sera satisfaits, soulagés, où en rage ? Frank Ocean - Provider Yeah my best friend ain't backing out, it's still on sight, fool. I'm the only one out here on the night loops. Sleepin' on my belly in a loop like a serpent, talking heads ripplin' on the surface, eyes low, chin heavy, shoegazer. Blond - Les bonnes manières La moindre bagarre me fout en l'air, je revois les regards de ma mère tout au fond de mon âme. J'aime pas qu'on me dise ce que je dois faire, je préfère être un con à ma manière. Tu crois qu'on mérite encore une chance ? Derrière tes sourires, l'indifférence, ca nous rend fou. La moindre caresse me fout en l'air, à bout de promesses et de prières, j'abandonne. Agar Agar - I'm that guy Well I should've known better but there's a time where I threw up cause I was sick of it all, especially sick of you now. I'm gonna buy myself a dog with a lot of hair, cause I need to pet something, or I'm just gonna throw something in the bathtub now. Alice et moi/Dani Terreur - Le pire de nous deux Je suis la flaque d'essence, t'es l'allumette étincelante, on glisse à deux sur la pente. Tu veux faire aucun effort, tu veux montrer que j'ai tord, mais j'veux gagner chaque bataille, j'veux porter la médaille. Yelle - Peine de mort Avoue que je te manque, tu t'emmerdes sans moi. Tu observes les autres mais tu ne souris pas, sous ta peau j'ai glissé, je suis trop bien au chaud. Kate Nash - Dickhead Thirty five people couldn't count on two hands the amount of times you've made me stop and think: Why're you being a dickhead for ? Stop being a dickhead. Will you stop, no don't show, just have a think before you, will you stop ? Benjamin Francis Leftwich - Last smoke before the snowstorm This is just the start, you've got a cold heart, don't you want to spend more time round here ? Don't you love me, don't you want to be my sky ? If you trust me, we won't ever have to fight. BRÖ - Mystère Mystère, t'es un mystère, j'irais là où tu irais, ce système est risqué mais j'espère te capturer. Mystère, t'est un mystère, le temps de t'apprivoiser je serais grand-père, j'espère te détester pour récupérer mon esprit. Adele - All I ask Let this be our lesson in love, let this be the way we remember us. I don't wanna be cruel or vicious, and I ain't asking for forgiveness. All I ask is if this is my last night with you, hold me like I'm more than just a friend, give me a memory I can use, take me by the hand while we do what lovers do. It matters how this ends, cause what if I never love again ? Feu! Chatterton - Erussel Baled (Les ruines) Un jour je reviendrai à l'endroit où nous vécûmes, quand il n'y restera plus rien de nos vieilles rancunes, plus rien de l'odeur de ta chevelure, et sous la pluie battante tu m'as dit non, attends. Ray La Montagne - Within you War is not the answer, the answer is within you. Love love love love. Chien noir - Lumière bleue C'est juste une seule fois, c'est juste une nuit comme ça, c'est juste ton corps que je soulève, de l'or au coin des lèvres. C'est juste que j'y pense encore un peu, à nos ombres dans la lumière bleue. Lujipeka - Août 2008 C'est pas tout l'temps les autres, parfois, faudrait que j'l'intègre. La nuit est mauve, et tes remarques sont vaines, on est devenu des hommes, mais j'filmais pas, faut la refaire. J'ai pas su transformer l'essai, quand j'suis comme ça faut me laisser, juste un vieux loup solitaire, clope au bec roule sans mis-per. J'mettrais un dernier coup d'épée dans le lac de mes peines.
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studiop8-blog · 3 days
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L'esprit olympique au-delà du ring
GIOVANNI ARSENE KUATE TAKAM 22007100
ASSIA KACHKACH 23006268
CATTIER LINDSAY 23002517
Sur la première photo, l'atmosphère est électrique. Je me tiens là, vêtu de mon équipement de boxe, bras tendus et outshocks prêts à parer les coups. Mon regard est celui d'un guerrier, figé dans une concentration extrême. En face de moi, Kachkach, tout de noir vêtue, ses gants blancs frappant l'air avec détermination. Nous sommes dans un entraînement intense, chaque mouvement précis et calculé.
Cette image capture l'essence même de la boxe, un affrontement codifié où chaque geste revêt une importance capitale. Pourtant, au-delà de cette joute sportive, c'est un message plus profond qui se dessine : celui de l'esprit olympique dans toute sa noblesse.
Sur la deuxième photo, je me tiens droit, fier, mes outshocks présentés telle une relique sacrée. Mon rôle n'est pas celui d'un boxeur olympique, mais celui d'un coach, du guide éclairé initiant les novices aux arcanes de ce noble art.
Car l'essentiel n'est pas la victoire, mais bien la participation. Chaque athlète qui foule les rings ou les stades des jeux olympiques est déjà un vainqueur, un ambassadeur de l'effort et du dépassement de soi.
À travers ces clichés, nous célébrons les valeurs fondamentales du sport : le respect, le courage et la fraternité. Peu importe nos origines ou nos différences, nous sommes unis par cette passion commune, cette quête de l'excellence à travers l'entraînement acharné.
La boxe n'est qu'un prétexte, un microcosme reflétant les défis que chacun doit relever dans la vie. Apprendre à se relever après une chute, affronter ses peurs et repousser ses limites, tels sont les véritables combats qui forgent un champion, bien au-delà des médailles et des trophées.
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ditesdonc · 2 months
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Les vacances au Chollard. 1959 1960 1961
Texte de Jean-Claude Long
(Dans le numéro 3, Jean-Claude Long avait partagé ses souvenirs d’enfance à Curtin. En voici la suite.)
Le Chollard est un hameau dans un chemin de terre, entre les routes Vézeronce-Morestel et Morestel-Curtin. La maison est plus petite, on plante un acacia, les toilettes sont au fond du terrain et servent de villégiature aux araignées. Des vacanciers occupent la maison voisine, une brunette, Colette, fait de la balançoire. Au Chollard, ce n’est plus pareil, l’enfant est à l’école primaire. Sept ans, « l’âge de raison », dit-on. Il fait maintenant partie du monde qu’il observait à Curtin, c’est l’action qui compte, moins la féérie contemplative. La grande affaire, au Chollard, c’est l’agriculture ! La ferme d’Alexis Meunier est toute proche : vaches, chevaux, poules, canards, canetons duveteux qui ne se gênent pas pour faire caca dans mes mains, une chèvre irascible liée à un piquet au fond d’un pré, où elle me traine un jour. Charrettes, machines étranges et fascinantes. Monter sur un char, comme un Romain, c’est amusant ! L’enfant a vu au cinéma Ben-Hur et la fameuse course.
Il suit l’agriculteur et sa fille Marie-Thérèse, quinze ans environ, dans les champs de tabac et de maïs.
Quel vacarme, quelle poussière, du saucisson, du vin, des gâteaux, c’est le jour de la batteuse !
Un matin, juché sur une charrette, l’enfant, suivant les instructions du fermier, conduit le cheval, Blond, et passe devant la maison où sa mère sa grand-mère et sa sœur prennent leur petit déjeuner.
J’ai rarement été aussi fier dans ma vie, peut-être le jour de ma « Médaille d’or » au Conservatoire. Des années de travail contre dix minutes de merveille.
Le tabac sèche au grenier, l’odeur est enivrante ; on égrène le maïs à la veillée.
Nous fréquentons les enfants de la famille Desvignes, qui habitent à côté de la ferme Meunier. Chantal, Isabelle, adolescentes, viennent à la maison pour jouer aux petits chevaux, au cinq-mille, ou au bouchon. René grimpe avec moi dans les charrettes du père Meunier et se fout un peu de moi, parce que je ne suis « pas bien leste ». J’aime bien Monique, une fille de mon âge, qui court vite dans ses jupettes, « les jambes à l’aise », comme dans une chanson d’Anne Sylvestre que je découvrirai quinze ans après. Un jour de retour à Lyon, je veux absolument lui dire au revoir en l’embrassant. Elle ne veut pas, et je la poursuis sous ses moqueries gentilles. Comme on rigole ! Je joue à l’amoureux désespéré, elle est pliée !...Monsieur Desvignes a une traction avant Citroën 15 et nous trimballe parfois. Des garçons, Guy Escomel, Christian Riboult, viennent voir ma sœur, ils montrent leur habileté et leur vaillance en moulinant le café le plus vite possible. Drôle de parade nuptiale !
Mémé Louise suit le Tour de France à la radio. Anglade, trahi par l’équipe de France, Bahamontès, Graczyck, Rivière, sont nos chevaliers. La carte et le tableau des vainqueurs d’étapes, ainsi que les maillots jaunes, sont affichés dans la cuisine. Un jour à la sieste, l’enfant découvre dans un tiroir des articles de journaux avec les photos des coureurs suant, grimaçant, poussiéreux, dans des paysages inconcevables de précipices et de neiges éternelles à l’arrière-plan. Fascination absolue ! Je garderai longtemps cette passion, jusqu’aux tristes années Armstrong.
La vie, la mort, avancent. Mémé Louise nous quitte en février 1961, le dernier été au Chollard se passe sans elle. Hassenforder, Cazala, Darrigade, ont perdu une supportrice, André Bourrillon une auditrice. Le Chollard, c’est la fin de la petite enfance, ce sont les années Ecole primaire : vélo sans roulettes dans le chemin, pétanque avec des grosses boules de couleur, en bois, badminton (on dit « volant ») Tonton Maurice n’a plus la quatre chevaux mais une Dauphine. La grande table accueille les repas familiaux, les jeux de société, ce qui rend ma mère si heureuse ! L’enfant devra affronter le CM2, « préparation à la 6ième »sans les encouragements de mémé Louise.
Je voudrais avoir des nouvelles de Marie-Thérèse Meunier, Chantal, Isabelle, Monique Desvignes. Christian Riboult. L’acacia !
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"Le Printemps", Sandro Botticelli, 1478-1482
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justineplanque · 4 months
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Jean-Pierre Felder, gardien à perpétuité
Pendant 32 ans, Jean-Pierre Felder a écumé les maisons d’arrêts de France. Sous sa casquette de surveillant pénitentiaire, il a tissé des liens forts avec détenus et collègues. Après autant d’années derrière les barreaux, le milieu carcéral continue de l’accompagner dans sa vie de tous les jours. Portrait.
Pour parler de ses années en uniforme, Jean-Pierre Felder a préparé une note retraçant tout son parcours. C’est lui qui l’a rédigé avant notre rencontre. Il balaye ses mots du regard et commence son récit. Derrière ses lunettes, ses yeux bleus se plissent d’émotions. D’abord il y a eu la maison d’arrêt de Lons-le-Saunier, dans le Jura. Sa première expérience en tant que surveillant pénitentiaire, à seulement 24 ans.
Sans aucun a priori, il pénètre dans la maison d’arrêt le 15 septembre 1968. À cette époque, l’établissement pénitentiaire vient de connaître deux évasions. Et, la menace de récidive plane au-dessus de la prison. Jean-Pierre Felder ayant travaillé en tant que maçon pendant des années, se retrouve à "crépir le fond des cellules" avec un autre collègue. Le tour, pour éviter que les détenus ne creusent quelques trous à l’aide de cuillères et autres ustensiles. "C’est comme ça que ça marchait à l’époque, nous étions presque totalement autonomes. Les prisons, c’est comme des villages", sourit-il.
Un gardien apprécié de tous
Côté intégration, l’homme originaire de Châtillon-sur-Seine fait l’unanimité. Jean-Pierre Felder aime les gens. Profondément. Alors, derrière les murs froids des prisons, il réchauffe les cœurs. "Quand vous êtes correct avec les gens, ils le sont avec vous", appuie-t-il. Les années s’écoulent et les établissements pénitentiaires se multiplient. Après être passé par le Jura, la Côte d’Or, la Nièvre et la Saône-et-Loire, le surveillant pénitentiaire atterrit à Fleury-Mérogis.
Là-bas, il en a gardé des voyous. Des noms connus de tous. Il nous demande de tenir les identités secrètes. Promesse tenue. Puis, il y a eu tous les autres. Ces sans-abri venus de leur plein gré pour passer l’hiver au chaud, ces jeunes, ces vieux, ces criminels, ces prévenus. Mais surtout, ces humains. Au fin fond de sa mémoire réside un détenu en particulier. "C’était pendant mes années à Riom. Il a été libéré après ma retraite. Je le croise souvent dans la rue, il me dit toujours “bonjour”", sourit le retraité, la bienveillance chevillée au corps.
Les années défilent et Jean-Pierre Felder prend du galon. À chaque nouvelle affectation, il se voit grimper l’échelle. Puis, le Graal : il entre à la maison centrale de Riom en 1989 comme chef de détention. Là, il encadre les détenus et l’équipe pénitentiaire. Un rôle qui lui va à merveille. "Les relations humaines, c’est essentiel pour moi", répète le septuagénaire. Il fait tourner l’établissement pendant 11 ans avant de quitter ses fonctions et profiter d’une retraite bien méritée. Mais, si l’homme n’est plus en service, le monde carcéral continue de le suivre comme son ombre. Des courts-métrages par ci, des colloques par là. Dès qu’il le peut, il renfile ses habits de chef de détention.
En parlant d’uniforme, il brandit un portrait de lui lors de ses années de services. Sourire aux lèvres, costume sur le dos, casquette sur la tête, sans oublier "la pucelle de fer et la médaille pénitentiaire" sur la veste. Il en est très fier. "Mes petits-enfants adorent ce portrait", sourit l’homme. Et, lui aussi.
De temps en temps, une visite de la maison d’arrêt de Riom est organisée. L’homme n’y a pas travaillé mais c’est tout comme. Tel un fantôme, il flotte de pièces en pièces. Jamais à court d’anecdotes sur sa vie de surveillant pénitentiaire, il nourrit les visiteurs de ses histoires.
La visite de son ancien bureau à la maison centrale
Parfois il parle des conditions de détention, de ses missions à la maison centrale ou bien des fois où il a pu visiter le nouveau centre pénitentiaire et son gymnase, "le plus beau du Puy-de-Dôme". Jean-Pierre Felder attend désormais l’ouverture des portes de l’ancienne maison centrale. Sa vieille demeure. Des retrouvailles tant attendues pour lui : "J’espère que la Ville retrouvera les clés de mon ancien bureau ! J’aimerais beaucoup qu’on me prenne en photo là-bas…" Pour lui, les portes du pénitencier ne se sont jamais vraiment refermées.
Photo : Jean-Philippe Loubignac
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stephanedugast · 4 months
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📌[EDITO] Fêtes de fin d'année, têtes d'impression gelées chez notre imprimeur, poste imprévisible. Le numéro 11 du journal Embarquements est en fin paru avec une couverture colorée signée du talentueux Vincent Eschmann. Premier aperçu de ce numéro avec mon édito.
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✒️ BOUILLONS DE CULTURE Sommet du col d'Aubisque, altitude : 1 709 mètres. Je domine le monde, ou plutôt la vallée d'Ossau avec une vue imprenable sur la chaîne des Pyrénées.
Je suis fier comme Artaban d'avoir grimpé à la force de mes seuls mollets ce col hors-catégorie : 16,5 kilomètres à 7,1 % de dénivelé en moyenne.
J'ai la pédale joyeuse avec mon beau paletot jaune sur le dos. Je peux foncer vers le col du Soulor (1 474 mètres) et ainsi basculer vers la vallée voisine en direction d'Argelès-Gazost, une station thermale où mes grands-parents venaient jadis séjourner chaque été.
J'aime ces virées vélocipédiques sur les routes de mon enfance et du tour de France. Elles sont mes madeleines de Proust, celles qui à l'orée des « Cinquantièmes hurlants », me comblent et me rassurent. Le vélo a des vertus assurément tout autant tonifiantes qu'apaisantes.
Plus bousculé sera mon automne passé dans un brouillard numérique suite au piratage de mon compte Facebook. « De toute façon, ce réseau social est en perte complète de vitesse », me susurraient les uns. « Facebook, c'est que pour les vieux ! » se moquait ma fille Joséphine, bientôt 15 ans. Une chose est certaine, tous mes interlocuteurs étaient les derniers à renoncer à l'usage de ces réseaux si vilipendés mais si fréquentés au quotidien.
Contraint et forcé à cette cure sans notifications, je m'y suis habitué. Seule contrariété de taille, celle d'être dans l'incapacité d'exercer mes droits pour récupérer l'usage de mon compte piraté et suspendu. Revers heureux de la médaille, celui de pouvoir se concentrer sur l'essentiel : le présent, le réel, le vivant et les gens.
Cela tombait bien car j'étais invité à plusieurs festivals de voyage et d'aventure. Du What A Trip Festival Montpellier à Lorient, via le Festival Les Écrans de l'aventure à Dijon, Nature Nomade à Nantes, le FIFAV à La Rochelle ou encore Toulouse, j'ai ainsi multiplié les conférences et les animations.
J'ai parfois dû faire le grand écart comme lors de cette conférence aux Écrans de l'Aventure à Dijon afin que mes trois invités puissent parler sciences, glaces, algues et course à la voile.
Plus spontané fut mon entretien avec Tendi Sherpa, guide de haute montagne népalais. Nous avons parlé pêle-mêle d'Everest, d'ascensions, de performances, d'éthique et même de spiritualité.
Mêmes bouillons de culture au Festival Int. du Film et du Livre d'Aventure de La Rochelle. Au fil de plus d'une quinzaine de débats littéraires, j'ai interrogé ceux qui nous racontent avec des mots ou des dessins l'aventure. Les débats ont été passionnants et nourrissants. Dommage néanmoins que les festivaliers préfèrent encore le cinéma d'aventure (avec une salle de 800 places à guichets fermés) aux rencontres littéraires (80 spectateurs au mieux).
Un déséquilibre encore plus frappant aux Rencontres Ciné Montagne à Grenoble. Dans le palais des sports se pressaient en effet chaque soir 1 500 spectateurs pour assister à des projections de films de montagne, mais ils n'étaient qu'une vingtaine à tout casser pour assister à une table-ronde autour de l'exploration. Les mots (sans images) sont pourtant puissants. La preuve dans la cité des ducs de Bretagne…
Je ne suis ni juge, ni flic, ni avocat, ni curé, ni psychiatre, et encore moins « coach » de vie mais j'ai pris une GROSSE claque ! Ce jeudi pluvieux de novembre, je suis sorti de ma zone de confort en donnant deux conférences à destination de publics dits « empêchés ».
Le matin, j'étais à 8h30 pétantes à la maison d'arrêt de Nantes et en fin d'après-midi au centre pénitentiaire. Deux événements « hors les murs » du festival Nature Nomade organisés avec la complicité de la ligue de l'enseignement des Pays de la Loire. J'ai parlé au total à une cinquantaine de détenus de mon livre L'Échappée. Un titre un brin ironique, non ? Pas tant que cela finalement.
Je me suis livré sans apriori, sans retenue ni arrière-pensée, mais avec détermination, clairvoyance et même fougue. L'univers carcéral est un monde résolument à part. Le matin, dans la maison d'arrêt surpeuplée (815 détenus en attente de jugement, un taux d'occupation de 153 %), la violence est d'abord verbale. Elle s'entend partout, elle se décèle également dans les regards.
« Taisez-vous, c'est bien ce que dit le cousin ! ». Le caïd a parlé, les autres m'ont écouté. La partie était gagnée. L'après-midi, le climat était plus apaisé au centre de détention devant cette fois 25 hommes, condamnés à de lourdes peines, de retour de leur journée de travail.
L'assistance m'écoutait sans broncher jusqu'à l'interrogation d'un détenu assis au premier rang : « Monsieur, je n'aurais qu'une seule question à vous poser : à quoi sert l'exploration aujourd'hui ? Est-elle toujours utile ? Merci de nous répondre en argumentant. Nous avons tout notre temps… ».
Trop heureux devant tant de malice, j'ai répondu avec faconde en insistant sur mon vécu tout-terrain. J'ai aimé à mettre en lumière cette maxime qui m'est chère : « Seul celui qui a emprunté la route connaît la profondeur des trous ».
Puissent ces prochains mois nous donner à voir autrement le monde, à écouter plus attentivement le vivant et à dialoguer (avec davantage de nuances) avec autrui, tout en continuant d'arpenter les ici et les ailleurs.
Car, pour paraphraser un auteur-compositeur des plus prolifiques de la scène française : « Y'a que les routes qui sont belles, et peu importe où elles nous mènent, oh belle… ».
Oh oui, belle et heureuse année 2024, donc !
Stéphane Dugast
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sexybutyoucantseeit · 6 months
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"Si je pouvais me rajeunir pour passer le plus de temps possible avec toi je le ferais"
Cette phrase résonne encore et encore dans ma tête.
"quand t'auras 30 ans j'en aurai 48, quand t'en aura 50 j'en aurai 68, si ça se trouve je serai même déjà mort, pense à ça"
J'y pense, t'inquiète pas, j'arrête pas d'y penser.
Je suis pas amoureuse. Je suis pas capable de ressentir ça. Mais je me sens tellement bien dans tes bras. Et j'ai l'impression d'être la plus magnifique des princesses. J'ai jamais ressenti ça.
Ça fais mal un peu. Mais ça fait tellement plus de bien.
Tu me réveilles le matin, tu me tends mon café, tu éteints la télévision parce que tu sais que j'aime le silence. Tu discutes avec moi, on va travailler, tu t'arrêtes pour m'acheter mes clopes et mon RedBull, je te dis de prendre le sans marque, celui qui coûte 90 centimes, tu dis rien, t'avance a la caisse et tu paies. Comme si celui qui coûtait moins cher n'était pas à ma hauteur.
Tu m'emmènes au restaurant, tu m'offres des fleurs.
"je pensais pas que t'aimais les fleurs, les filles d'aujourd'hui sont pas trop fan"
Si, j'adore les fleurs, je suis un peu a l'ancienne, j'aime la galanterie.
"maintenant que je sais ça, t'auras ta chambre remplie de fleurs"
Je souris, le genre de sourire triste qui veut dire merci, merci, mais non, s'il te plaît fait pas ça. Je veux pas que tu fasses ça pour moi.
Donne-moi des coups de reins, c'est tout ce que je veux. Je veux juste que tu me baises. Je veux juste sentir ta bite me transpercer et me propulser dans un autre univers. Un univers où il n'existerait que toi, moi, mes cris, l'extase.
Et tout ça en même pas une semaine. C'est quoi le revers de la médaille? Tu vas tout arrêter une fois que j'aurai accepté d'être ta copine? Tu vas me lâcher quand y en aura une plus belle que moi? Tu vas me frapper? Tu vas me menacer de mort?
C'est quoi le putain de revers de la médaille?
Je comprends pas.
Je comprends pas !
J'arrive pas à savoir ce que tu veux. Tu peux pas être amoureux de moi. C'est pas possible. On se connait même pas assez. Je comprends pas putain.
C'est insupportable.
Mais voilà. Ce soir tu vas venir me chercher. Et pour la 5e nuit de suite, je vais dormir dans tes bras.
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miroir-de-sports · 9 months
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Récompensé pour 30 participations
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Avec Gustav Vasa, à droite, maître de cérémonie
Un dossard à vie reçu comme un prix Nobel
A environ 300 km au nord-ouest de Stockholm, samedi 2 septembre, Jean-Philippe a accueilli sa récompense comme un prix Nobel. Mora est connue pour être, depuis 1922, la ville d’arrivée de la Vasaloppet, la course de ski de fond la plus ancienne du genre au monde. Pour s’être rendu 30 fois chaque premier dimanche de mars au départ de Sälen et rejoindre Mora, distante de 90 kilomètres, l'ancien dijonnais a ét�� invité en 2023 par le comité d’organisation de la course à l’événement annuel qui honore les plus fidèles fondeurs à partir de 30 participations. C’est en 1986, que Jean Philippe coche sa première Vasa. « L’amour de la neige me vient de loin » dit le sexagénaire : Il découvre les sports d’hiver à 10 ans, au Tyrol en 1965. Arrivé en Bourgogne en 1982, il s’aligne sur la Transjurassienne et en cumulera 16 ; à Prénovel dans le Jura, il fait la connaissance de Gérard Perrier, bûcheron, qui après avoir fait les JO de St Moritz 1948 et Oslo 52, termina au pied du podium en relais avec l’équipe de France aux Jeux de Cortina derrière les nations scandinaves. Jean-Philippe retrace l’histoire du Duchet à Prénovel  : « avant d’être un hôtel c’était un centre d’initiation du ski de fond et le siège du marathon des neiges, créés par Gérard et son épouse Simone. Gérard, qui a eu 4 filles, me considérait comme son fils ». Fondeur, il a naturellement croisé Pierre Dion, ancien directeur de l’équipe cycliste professionnelle Terrot qui, plus tard journaliste, couvrait pour le Bien Public plusieurs épreuves de ski dans le Jura et offrit une visite de sa cave à Jean Philippe où était rangé un vélo Tour de France de Charly Gaul. Membre du Club Alpin Français et pratiquant l’alpinisme Jean Philippe a aussi côtoyé Jean Marc Boivin sans goûter aux sports extrêmes : en plus du ski de fond, il a une nette préférence pour les sports où il engrange du volume d’endurance comme la natation. À Mora, parmi la cinquantaine de personnes promues cette année, il est le seul français. Avec son ami francilien Boris (35 Vasas), dossard 999, ils sont les deux seuls tricolores à avoir été honorés à ce niveau en tant que vétérans. Ce 2 septembre, l'ex-bourguignon a obtenu une médaille, un diplôme et un n° de dossard à vie, le 1185 qui lui ouvre la porte d’un prochain objectif de 40 participations, à 75 ans. Avec son beau dossard de vétéran, il va se préparer pour l’édition 2024, la 100e, sa 31e.
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"Après la cérémonie, je me suis assis sous l’arche d’arrivée. J’ai repensé à toutes ces années, aux larmes dans cette ligne droite quand on a tout donné, aux amis disparus trop tôt."
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blastdamage · 9 months
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gros rant sur la charge mentale ce matin lol
je peux jamais passer plus que 5 minutes à lire des affaires sur la charge mentale parce que ça me met legit trop en tabarnak. c'est extrêmement enrageant de lire les témoignages de femmes qui sont pognées à être en couple avec des osti de bébés adultes. y'en a tellement que je me mets à me demander si c'est pas tous les couples hétéros qui sont pris avec cette dynamique-là. comment ça se fait que ce soit aussi fréquent?? je veux bin comprendre le lavage de cerveau patriarcal mais calisse, y'a des limites à pas savoir comment faire ton criss de lavage à 35 ans. ça m'écoeure les osti de Jean-Guy qui débarquent sur les posts qui parlent de la charge mentale à grand coup de "moi avant j'étais un criss d'incompétent mais à un moment donné y'a eu un lapsus de 0.5 secondes de temps où je devais m'occuper de mes propres responsabilités au lieu que ce soit ma blonde qui me torche comme un gamin qui vie chez sa maman pis c'était fulllll agonisant pis j'ai compris que finalement c'est pas facile être une femme faitque j'essaie de faire mieux i'm listening and learning uwu" ok, tu veux une médaille? tu veux jte suce pis que j'avale itou? scuse moi mais ça mérite pas d'être félicité pour leurs "efforts" de "désapprendre le patriarcat" ça mérite d'avoir honte d'avoir été autant des osti de losers pendant autant d'années. quand c'est rendu que t'as 47 ans avec des enfants au secondaire pis c'est LÀ que tu catch qu'ils ont besoin d'être nourri, qu'avoir un logement ça veut aussi dire avoir l'initiative de faire le ménage dedans, qu'être un adulte ça veut dire être capable de faire l'épicerie sans que ta mère- euhh ta conjointe te dise toute comment faire, quand c'est rendu que ça te prend un régurgit de théorie féministe que t'as trouvé sur facebook pour comprendre tout ça, c'est que straight up t'es juste un gros imbécile immature avec des vers de terre au lieu d'un cerveau. je pense que si la charge mentale est l'enjeu féministe qui me mets le plus en colère, c'est parce que c'est celui pour lequel l'excuse du brainwashing du patriarcat a le moins de crédibilité, et c'est celui qui met vraiment en relief à quel point on est calissement pas à veille d'abolir le patriarcat. tu devrais pas avoir à lire des textes féministes pour comprendre que ton linge sale a besoin d'être lavé, que ta vaisselle sale a besoin d'être nettoyée, qu'avoir des enfants signifie s'en occuper, c'est juste la fucking base d'être un adulte, c'est juste le gros bon sens. le fait qu'on est pogné à écrire de la grosse théorie féministe sur le fait que les hommes adultes savent même pas où mettre les assiettes dans leur propre maison qu'ils habitent dedans depuis des années. ayoye. criss qu'on est pas sortis du bois.
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ousontlesfemmes · 9 months
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Allyson Felix (1985 - )
Dimanche dernier se sont terminés les championnats du monde d'athlétisme à Budapest. L'occasion de revenir sur l'athlète le plus titré de cet événement. Et cet athlète est en réalité... unE athlète ! Portrait de la grande Allyson Felix.
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Allyson Felix est née le 18 novembre 1985 à Los Angeles (Etats-Unis). Ayant grandi dans une famille religieuse – son père est pasteur – elle n'était pas destinée à l'athlétisme. Elle ne découvre cette discipline qu'en rentrant au lycée. Elle s'inscrit au championnat annuel inter-Lycées de Californie où elle termine septième de la finale du 200 mètres tout en étant la plus jeune des finalistes. Un an plus tard, lors de la même compétition, elle termine deuxième du 200 mètres et première du 100 mètres. Une progression impressionnante qui lui permet d'être remarquée : elle poursuit sur cette lancée puisqu'elle devient en juillet 2001 la Championne du monde de la jeunesse en 100 mètres à Debrecen (Hongrie). Elle signe un temps de 11s57.
Un an après, en 2002, elle participe aux championnats de Californie et signe son premier doublé en remportant à la fois le 100 mètres et le 200 mètres. Elle continuera de courir les deux distances tout le reste de sa carrière.
Arrive alors 2004 et les Jeux Olympiques d'Athènes (Grèce). Elle y décroche sa première médaille olympique : l'argent, sur le 200 mètres, derrière la Jamaïcaine Veronica Campbell. Cette deuxième place attire l'attention sur elle : Allyson Felix n'a en effet à cette époque que 18 ans et est encore considérée comme une junior. Interrogée sur ses capacités, l'athlète attribue son don au Créateur : « Ma foi est la raison pour laquelle je cours. J'ai vraiment l'impression d'avoir ce don incroyable que Dieu m'a accordé, et il s'agit de l'utiliser au mieux de mes capacités. ». Créateur ou capacités physiques, le résultat est sans appel puisque les médailles s'enchaînent. Elle participe à tous les jeux depuis Athènes à ceux de Tokyo (Japon) en 2020. Elle y remporte pas moins de onze médailles dont sept en or, faisant d'elle la seule athlète féminine à avoir un tel palmarès.
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((102) Allyson Felix Wins 200m Gold - London 2012 Olympics - YouTube : Jeux Olympiques de Londres, 2012 : Allyson Felix, en rouge, est au couloir n°7)
Allyson Felix s'illustre aussi dans les Championnats du monde d'athlétisme, dans lesquels elle remporte pas moins de 20 médailles (14 en or, 3 en argent, 3 en bronze). Elle est ainsi l'athlète la plus titrée de l'histoire des cet événements, dépassant de six médailles le célèbre Usain Bolt (qui en a remporté 11 en or, 2 en argent, 1 en bronze).
Si la coureuse s'assure un tel palmarès, c'est en raison de ses facultés, mais aussi parce qu'elle réussit à s'illustrer sur les trois disciplines du sprint : 100 mètres, 200 mètres et 400 mètres. Ces trois courses demandent des capacités différentes : le 100 mètres un démarrage beaucoup plus explosif, tandis que le 400 mètres exige de tenir dans la durée par exemple. Le fait de répondre présente à ces trois stratégies différentes, tant en relais qu'en individuel, fait d'Allyson Felix une athlète exceptionnelle.
Au fil des championnats et Jeux, Allyson Felix est ainsi devenue une voix qui compte. Elle utilise sa notoriété pour attirer la lumière sur des sujets qui lui tiennent à cœur, notamment l'égalité entre les athlètes hommes et femmes. Lors de sa grossesse en 2018, elle voit en effet ses émoluments être réduit de 70% par son sponsor Nike. Elle écrit alors dans le New York Times une lettre ouverte où elle explique : « Lorsque nous [les athlètes femmes] avons des enfants, nous risquons des baisses de rémunération de la part de nos sponsors pendant et après la grossesse. C'est l'un des exemples qui prouve que l'industrie du sport est toujours dirigée par et pour les hommes ». La lettre fait grand bruit, poussant Nike a faire marche arrière. Allyson Felix quitte toutefois l'entreprise pour rejoindre un autre sponsor.
Cette grossesse fait naître aussi chez elle une autre interrogation : les égalités entre noirs et blancs. Son accouchement se révèle en effet très compliqué : le bébé est prématuré et Allyson développe une pré-éclampsie. Heureusement, après une césarienne d'urgence et un mois d'hôpital, les deux peuvent rentrer chez elles, en bonne santé. Son cas n'est pas isolé : chaque année, 700 Américaines meurent de complications liées à une grossesse, mais les femmes noires sont trois à quatre fois plus à risque que les femmes blanches. Les discriminations jouent un rôle clé dans ces complications, répètent les experts, études à l'appui1. Allyson Felix prend ainsi la parole : « Je me suis rendu compte que mon histoire n'était pas rare, d'autres femmes étaient comme moi, noires, en bonne santé, et faisaient de leur mieux. Et pourtant, elles ont fait face à la mort, comme moi. Je voudrais vraiment encourager les mères afro-américaines à avoir une voix, et à l'utiliser ».
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Après son accouchement, Allyson Felix reprend les basket pour ses derniers Jeux Olympiques à Tokyo. Elle prend finalement sa retraite en 2022, après les Championnats du monde à Eugene (Etat-Unis). Elle poste alors sur les réseaux sociaux une photographie d'elle, médailles autour du coup et césarienne visible, rappelant à tous l'athlète et la femme qu'elle a réussi à être.
Désormais, la prochaine fois que vous taperez « athlète plus médaillé athlétisme » sur Google, vous saurez que celui-ci devrait vous répondre « Allyson Felix » et non « Usain Bolt » (même si on t'aime et on t'admire pour ce que tu as apporté à l'athlé, Usain).
Pour aller plus loin : 
Tokyo 2021 : Allyson Felix, légende de l'athlétisme et défenseuse des Afro-américaines (france24.com)
About Us – Saysh
Allyson Felix: Biographie, Médailles Olympiques, Records & Âge (olympics.com)
1Tokyo 2021 : Allyson Felix, légende de l'athlétisme et défenseuse des Afro-américaines (france24.com)
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yes-bernie-stuff · 11 months
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Ce Que Dieu N’oublie Pas 18/07/2023
Dieu n’est pas injuste pour oublier votre travail et l’amour que vous avez montré pour son nom… Hébreux 6.10
Avec l’accumulation des années vient le désir d’établir des bilans. Quand je m’endormirai du dernier sommeil, qu’aura été ma vie ? Que restera-t-il du travail accompli durant trois quarts de siècle ?
Bien sûr me viennent à l’esprit les journées perdues pour n’avoir pas fait le meilleur choix, celles gâchées par un manque de discipline intérieure. Mais ce qui me trouble, c’est l’impression de m’être donné sans compter en mille activités pour une bien piètre récolte.
Heureusement, on peut s’appuyer sur deux promesses¹ qui m’ont si souvent été rappelées par une plume longtemps anonyme.
Ce que Dieu n’oublie pas, ce n’est pas le succès ou le nombre de conversions auxquelles correspondraient des médailles à épingler je ne sais où ; c’est l’authenticité de l’amour qui aura été le moteur de mon travail. Non pas l’amour du travail pour lui-même mais l’amour de Celui pour qui il aura été accompli. Hélas, comment ne pas être conscient de sa piètre qualité ?
Ce dont il est juste de prendre la température, ce sont nos mobiles et nos moteurs. Le reste est son affaire et ne doit faire l’objet d’aucun inventaire.
Il n’y a pas d’injustice en Dieu. Ce qui compte, béni soit-il, c’est d’abord l’authenticité de notre foi en lui, et la fidélité de nos engagements, indépendamment des succès ou des insuccès qu’ils rencontrent.
Richard Doulière
¹ Hébreux 6.10 et 1 Corinthiens 15.58
__________________ Lecture proposée : 1ère lettre aux Corinthiens, chapitre 15, versets 54 à 58.
54 Et quand ce corps corruptible aura été revêtu de l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura été revêtu de l’immortalité, alors sera accomplie cette parole qui est écrite : La mort est engloutie pour la victoire. 55 mort ! Où est ton aiguillon ? Mort ! Où est ta victoire ? 56 Or, l’aiguillon de la mort, c’est le péché ; et la puissance du péché, c’est la loi ; 57 mais grâces à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ. 58 C’est pourquoi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, abondant toujours dans l’œuvre du Seigneur, sachant que votre travail n’est pas vain dans le Seigneur.
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omagazineparis · 21 days
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Alexandra Recchia – Le karaté? École de la vie
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Alexandra Recchia : lyonnaise, classe 1988 et quintuple championne du monde de karaté, nous raconte sa passion pour ce sport. Entre sacrifices, entraînements et concentration, il y a toujours une certitude : l’amour pour un sport qui est une véritable « école de la vie ». Une grande athlète qui nous a fait don d’une interview vibrante autour de thèmes comme les bonnes valeurs, la violence contre les femmes et l’importance de suivre ses propres rêves. Prochaine étape ? L’Open Paris Karaté 2020 ! La force et l’enthousiasme pour la vie étincellent dans les yeux clairs d’une jeune avocate lyonnaise, devenue désormais une étoile du karaté. On parle d'Alexandra Recchia, athlète de l’Amicale sportive d’Evry avec un Master 2 en droit du travail et quintuple championne du monde de karaté ! Les chiffres de Alexandra sont remarquables : huit médailles d’Or entre les championnats du monde, les jeux mondiaux et les championnats d’Europe ; cinq en Argent et encore, cinq Bronzes. Est-ce que vous commencez à avoir peur ? Vous n’avez pas vu les coups redoutables d'Alexandra ! Vitesse et concentration sont à la base de son succès, d’ailleurs. On dirait que c’était hier que cette grande athlète gagnait, pour la première fois, l’Or en individuel aux Championnats du monde de 2012, à Paris. À la suite de cet exploit mémorable, Alexandra Recchia a collectionné de nombreux succès. En attendant le prochain Open Paris Karaté 2020 du 24 au 26 janvier, notre ambassadrice sportive se prête à une interview. Bonjour Alexandra Recchia et mille mercis d’être là avec nous de Ô magazine ! Votre passion pour le karaté est connue, mais c’est quoi, exactement, l’élément de la philosophie orientale le plus inspirant pour vous ? « Bonjour, merci à vous, c’est un plaisir. Oui, ma passion pour le karaté est ancienne, en fait. Mes parents ont décidé de me faire commencer le karaté quand j’avais cinq ans et demi. Et je peux dire qu’à partir de ce moment, j’ai adoré ce sport ! Ce qui est très intéressant dans cette philosophie orientale, c’est le côté de la discipline.  Il y a une grande discipline dans le karaté car on apprend les bonnes valeurs comme le respect des autres, le partage de valeurs positives, vous voyez ? Il ne s’agit pas seulement de sport et de bien-être physique, mais on parle vraiment d’une communauté. Le karaté est une communauté de gens qui aiment la vision positive de cet art martial. Dans mon expérience, je peux dire que j’ai vécu le karaté comme une véritable école de la vie, d’ailleurs ». Pour ce qui concerne la violence contre les femmes, plusieurs entre elles choisissent le karaté pour se protéger. Mais à votre avis, le karaté peut-il aider les hommes aussi, en appréhendant le respect pour les autres et donc pour les femmes? « Franchement, je pense que ceux qui pratiquent notre sport sont déjà des personnes qui connaissent le respect pour les autres. Je dis ça par rapport à ce que j’avais dit avant : le karaté est une communauté où les gens partagent les mêmes valeurs positives. Il n’existe pas de violence dans le monde du karaté, en dépit de la connotation du combat qui est une lutte par antonomase. Ce qui est très intéressant, par contre, c’est que dans ce sport on a vraiment dépassé les frontières : finalement, il n’y a plus de distinction de sexe, d’origine. On est un tout dans le partage d’un bon moment de sport ». Dans votre sport, il faut être toujours au régime, mener une vie saine. De plus, les heures d’entrainement prennent beaucoup de temps. Des fois, ça peut être stressant. Comment arrivez-vous Alexandra Recchia, à rester toujours motivée ? « Bien sûr, comme dans la vie, on connaît des hauts et des bas dans le karaté, mais la chose la plus importante est sûrement celle de s’entourer des bonnes personnes. Il faut avoir des personnes positives auprès de soi-même, des bons entraîneurs qui te rappellent toujours que tu es là pour une raison. Pourquoi tu as choisi ce sport ? La réponse est la passion initiale qui est toujours dans mon cœur, la chance que j’ai en partageant les mêmes valeurs dont le karaté est porte-parole. Grace aux bonnes personnes, tu peux toujours retrouver la force et la motivation, malgré les difficultés quotidiennes ». Vous avez gagné plusieurs Ors et la liste de vos succès est longue. Mais c’est quoi la dernière pensée d'Alexandra Recchia, avant de commencer un nouveau combat ? « Je pense exclusivement à mon combat. La concentration dans le karaté est fondamentale, parce que le manque de concentration peut être fatal pour la réussite. Donc oui, je reste très concentrée et j’essaie de me focaliser sur l’instant T du combat ». C’est quoi le rapport avec son corps et donc avec sa féminité, pour une femme comme vous qui pratiquez du karaté ? « Je ne pense pas qu’il existe un rapport entre féminité et sport pratiqué. Ce n’est pas vrai qu'en pratiquant un sport comme le karaté à la connotation masculine, nous les athlètes, n’avons pas de féminité. Je pense plutôt que la féminité, c’est une question d’attitude. C’est une chose qui est dans notre âme, très personnelle, et qui n’a rien à voir avec le sport qu’on pratique ou avec la façon de s’habiller ». Vous êtes en train de préparer quelle compétition, Alexandra ? « Cette semaine il y aura l’Open Paris Karaté 2020 ! Du vendredi 24 au dimanche 26 janvier, au stade Pierre de Coubertin à Paris ». On sera sûrement là pour vous acclamer ! Merci beaucoup Alexandra pour votre temps. Toute l’équipe de Ô magazine vous souhaite la pleine réussite pour cette nouvelle quête et pour tous vos projets futurs ! Et vous les filles ? Êtes-vous inspirées par cette héroïne du karaté ? Gardez les ondes positives de Alexandra Recchia et son message, parce que comme il disait Gichin Funakoshi, maître de karaté japonais, né en 1868 et créateur du style Shotokan : « Le but ultime du karaté ne réside pas dans la victoire ou la défaite, mais dans la perfection du caractère de celui qui le pratique ». Read the full article
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lignes2frappe · 2 years
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40 ANECDOTES SUR « ROCKY IV », LE MEILLEUR FILM DE TOUS LES TEMPS
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1. À la sortie de Rocky III, Stallone jurait à qui voulait l’entendre qu’il n’y aurait jamais de Rocky IV.
D’une part, parce qu’il était satisfait de la trilogie en l’état, et de l’autre, parce qu’il ne savait pas où désormais amener le personnage.
2. Le scénario de Rocky IV s’inspire de la rivalité entre l’Américain Joe Louis et l’Allemand Max Schmeling, deux poids lourds qui se sont affrontés en 1936 et 1938 en pleine montée du nazisme.
Athlète afro-américain le plus en vue de sa génération, Louis est tout d’abord défait par Schmeling qui lui inflige un KO dans la 12ème reprise. Il prend ensuite sa revanche de façon éclatante deux ans plus tard en l’envoyant au tapis dès le premier round.
Bien que, ni Louis n’ait été un fervent militant des droits civiques, ni Schmeling n’ait été un ardent sympathisant nazi, leurs combats ont pris un tour éminemment symbolique, notamment sous le feu de la propagande allemande.
Les deux hommes sont ensuite devenus amis.
3. Guerre froide oblige, pas une seule scène de Rocky IV n’a été tournée en URSS.
Les montagnes sur lesquelles Stallone grimpe sont celles du Wyoming, le combat entre Drago et Rocky a été filmé à Vancouver au Canada.
4. Aucun des acteurs interprétant un personnage russe n’est russe.
Dolph Lundgren est suédois, Brigitte Nielsen est danoise, et tous les membres du parti communiste sont américains, y compris Nikoli Koloff, le manager de Drago (Michael Pataki).
5. Pour annoncer Rocky IV, un teaser composé d’images inédites a été diffusé exclusivement en salles.
Filmé comme une statue grecque, Drago est entendu se présenter avant de défier Rocky. Le thème Gonna Fly Now est ensuite joué (alors même qu’il n’est pas entendu dans le film). Rocky est vu s’entraîner, puis les deux hommes se font face sur le ring.
Un gant de boxe américain et gant de boxe soviétique rentrent en collision, mais à la différence du générique d’introduction, le gant soviétique n’explose pas au contact du gant américain.
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6. Ivan Drago devait à la base plus ressembler à Zangief de Street Fighter qu’à un grand blond aux yeux bleus dixit Stallone.
« Je recherchais un vrai monstre. Un type très poilu qui ressemblerait à une bête. Quelqu’un qui vienne de l’autre bout du monde. Et puis en voyant Dolph, je me suis dit pourquoi ne pas suivre l’exacte direction inverse et affronter l’homme du futur. »
7. Drago n’est pas un nom d’origine russe mais slave méridional (Serbie, Slovénie, Bulgarie...).
8. Drago est loin d’être un militaire lambda.
Au cours de la conférence de presse, il arbore sur son uniforme de capitaine la médaille de Héros de l'Union soviétique, la plus haute récompense délivrée du temps de l’URSS.
9. Là où dans les précédents Rocky, Apollo Creed et Clubber Lang ne pouvaient s’empêcher de l’ouvrir, Drago ne prononce au total que neuf petites lignes de dialogues de tout le film, soient 46 mots en 91 minutes (« You will lose », « I defeat all men », « I must break you », « If he dies, he dies »…).
Plus de 40% de son texte est entendu dans l’avant-dernier round du combat contre Rocky.
10. La scène dans laquelle Ivan Drago est présenté au public sur un ring monté par un ascenseur capture un moment bien particulier.
« Quand nous avons tourné cette scène au MGM Grand de Las Vegas, j’étais abasourdi. La personne que vous voyez à l’écran ce n’est pas Drago, c’est Dolph Lundgren qui à 27 ans n’en revient pas de ce qui lui arrive. Quand je la revois, c’est toujours avec émotion. C’est l’ancien moi que je revois. »
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11. Dans la vraie vie, le combat d’exhibition contre Appolo Creed aurait a minima valu à Drago d’être radié à vie de toutes les fédérations de boxe, voire d’être inculpé pour meurtre, lui qui a tué son adversaire après avoir balancé l’arbitre qui tentait de stopper le combat.
12. Ivan Drago est le plus gros puncheur de l’histoire de la boxe.
S’il est difficile de mesure avec exactitude la puissance d’un coup de poing (car il s’agit d’un mélange de force, de rapidité, de précision), et si rares sont les boxeurs à avoir passé un test similaire à celui qu’est vu passer Drago dans le film, il n’empêche qu’avec 151 kg/cm2 de pression par praline notre colosse venu du froid fait baisser les yeux à n’importe quel être humain. Et de loin.
À titre de comparaison, en 1985, le très solide poids lourd Franck Bruno (couronné champion du monde WBC et longtemps réputé adversaire le plus coriace de Mike Tyson) a été mesuré à 99,54/cm2 de pression.
13. Mais qu’est devenu Drago après Rocky IV ?
Après avoir disputé 100 combats amateurs (et remporté les 100 victoires qui vont avec), rappelons que face à Rocky, il effectuait ses débuts chez les professionnels.
Plus que légitime à poursuivre sa carrière, une première version a longtemps voulu qu’après la chute du Mur de Berlin, il ait décroché une ceinture mondiale à coup de KO ravageurs.
En 2018, Creed II, qui d’une certaine façon fait office de sequel à Rocky IV, nous a toutefois appris qu’il est en réalité tombé en disgrâce suite à sa défaite. Divorcé de Ludmilla, il s’est alors relocalisé en Ukraine pour élever son fils.
14. Sylvester Stallone considère l’affrontement final entre Rocky et Drago comme « le meilleur combat de boxe de l’histoire du cinéma ».
Sous un post Instagram de 2020 le montrant en train de soulever de la fonte avec Dolph Lundgren, il écrit noir sur blanc en légende que selon lui il s’agit du « BEST Boxing Fight In the history of cinema ».
15. Living In America que James Brown interprète in extenso lorsqu’Apollo Creed fait son entrée sur le ring a permis au Godfather of Soul de retrouver le top 40 US, ce qui ne lui était pas arrivé depuis onze ans.
Ce fut le dernier hit de sa carrière.
Malgré cette exposition, Living In America n’est pas le morceau de la bande originale qui a rencontré le plus gros succès. Cet honneur revient à Burning Heart des Survivor (le groupe déjà responsable du tubesque Eye of the Tiger de Rocky III) qui s’est classé numéro 2 des charts.
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16. La réplique « J'en vois trois comme lui » que Rocky lance à Paulie s’inspire d’une vraie réplique lancée dans un vrai combat de boxe.
En 1933, Max Baer passe à deux doigts d’être mis KO par une droite de Max Schmeling. À la fin du round, il fait part de son désarroi à son coin. Présent ce soir-là à ses côtés, le champion du monde Jack Dempsey lui rétorque ; comme dans le film, de « cogner celui au milieu »/« hit the one in the middle ».
Notez que dans la version française, la traduction diffère légèrement, Paulie est entendu dire « Vises-en un et bute-le ! ».
17. Dolph Lundgren a envoyé Sylvester Stallone à l’hôpital.
Lors des répétitions du combat, Lundgren a en effet pris au pied de la lettre l’ordre de Stallone de le frapper sans retenue pour accentuer le réalisme de la séquence.
Résultat, l’acteur/réalisateur a dû être transféré en soins intensifs pendant cinq jours.
« Il m’a frappé tellement fort que mon cœur a tapé dans mes côtes et s’est mis à gonfler. C’est d’habitude le genre de truc que l’on voit dans les accidents de voiture. C’est comme si j’avais pris un camion en pleine poitrine. »
18. Carl Weathers est passé près démissionner à cause de Dolph Lundgren.
Lors de la répétition de leur combat, Lundgren a un peu trop forcé et a envoyé Weathers valdinguer entre les cordes. Furieux, ce dernier s’est mis à l’insulter de tous les noms, puis a quitté le plateau en prévenant qu’il allait demander à son agent de rompre son contrat.
Il a fallu quatre jours de pourparlers pour que Weathers reprenne ses esprits et revienne sur sa décision.
19. Selon Stallone, Dolph Lundgren est le meilleur boxeur de la série, loin devant Carl Weathers.
« Quand mon frère Frank mettait les gants avec Carl, il jouait avec lui comme un renard avec sa proie. Un jour sur le tournage, j’ai vu Dolph projeter Carl d’un mètre après un coup de poing. Plutôt que riposter, Carl est alors descendu du ring hors de lui en menaçant d’appeler son agent pour quitter le film… En termes de boxe, je classerais donc Dolph premier, moi second, Mister T troisième, Paulie quatrième et Carl Weathers dernier. »
20. Étonnamment, Dolph Lundgren a rencontré toutes les peines du monde à se maintenir en forme... à cause de son activité sexuelle débordante.
Fraîchement en couple avec l’actrice/mannequin/chanteuse Grace Jones, les deux tourtereaux enchaînaient les orgies.
« En théorie, il n’y a rien de mieux. Mais quand vous devez vous lever le matin pour aller vous battre contre Sylvester Stallone, c’est une autre affaire. »
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21. Selon Carl Weathers, la mort d’Apollo Creed a plombé sa carrière.
Charismatique en diable dans le rôle de l’autoproclamé Master of Disaster, l’acteur n’a pourtant pas pu tirer profit de ce succès (une poignée de main culte dans Predator en 1987, le giga bide Action Jackson en 1988...).
« Quand vous disparaissez à l’écran, les gens croient que vous disparaissez aussi dans la vie. »
22. Sylvester a plusieurs fois exprimé ses regrets d’avoir tué Apollo.
Il a notamment déclaré que s’il pouvait refaire le film, il aurait été paralysé par les blessures infligées par Drago, et aurait ainsi pu apparaître dans les opus suivants.
23. Après avoir remplacé Lavelle Roby dans le rôle de la veuve d’Apollo dans Rocky II, Sylvia Meals incarne pour la seconde et dernière fois Mary Anne Creed.
Décédé en 2011, elle a depuis été remplacée par Phylicia Rashād dans la série Creed.
24. Brigitte Nielsen a décroché le rôle de Ludmilla Vobet Drago, la femme d’Ivan Drago, en allant glisser sous la porte de la chambre d’hôtel de Sylvester Stallone une photo de son book signée du petit mot : « Je m'appelle Brigitte Nielsen. J'aimerais beaucoup vous rencontrer. Voici mon numéro… ».
25. Sylvester Stallone, 39 ans, et Brigitte Nielsen, 22 ans, sont devenus intimes lors du tournage de Rocky IV.
Ils se sont ensuite sont mariés un mois après la sortie du film le 15 décembre 1985, ont tourné ensemble dans Cobra en 1986, avant de divorcer deux petites années plus tard à l’été 1987.
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26. Brigitte Nielsen a plus tard retrouvé Carl Weathers sur les plateaux de tournage à l’occasion du clip Liberian Girl de Michael Jackson, le neuvième single de son album Bad.
Michael avait alors convié toutes les célébrités d’Hollywood du moment à venir faire une apparition (Paula Abdul, Whoopi Goldberg, Steven Spielberg, Don King…).
27. Détesté de tous, SICO le robot qui parle apparaît à l’écran pour une raison des plus nobles.
Mis au point pour communiquer avec les enfants autistes, Sylvester Stallone, lui-même père d’un fils autiste (Seargeoh Stallone, le nourrisson aperçu dans Rocky II), l’a placé dans le film pour en faire la promotion et renforcer le lien qui l’unissait à son fils.
28. La Lamborghini de Rocky est immatriculée SOTHPAW.
« Southpaw » est une expression qui désigne les boxeurs gauchers comme l’explique Rocky à Adrian mors de leur rencard à la patinoire.
29. Rocky IV est le seul film de la franchise dont Bill Conti ne compose pas la bande originale.
Engagé au même moment sur Karaté Kid II, il a été remplacé par Vince DiCola avec qui Stallone avait précédemment travaillé sur Staying Alive.
Ironiquement, la chanson phare de Karate Kid II, le numéro 1 des charts Glory of Love de Peter Cetera, avait été initialement proposée pour conclure Rocky IV. Le studio lui a cependant préféré Heart's on Fire de John Cafferty.
30. Rocky IV est également le seul Rocky où Mickey (l’entraîneur joué par Burgess Meredith) n’apparaît pas, et où Rocky n’est pas vu grimper les marches du Musée d’Art de Philadelphie.
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31. La toute première version de Rocky IV que Sylvester Stallone a présenté à United Artists/MGM durait deux heures et demie !
Le studio l’a forcé à couper une heure afin de rendre le tout plus dynamique. Rocky IV est ainsi le film le plus court de tous les Rocky.
32. Sur les 91 minutes que durent Rocky IV, il y a 29 minutes de montages, soit près d’un tiers du film (séquence d’ouverture, séquences d’entraînement, séquence nostalgie, James Brown qui chante...) !
33. Tandis que dans le premier Rocky le plan moyen durait 8,25 secondes, dans Rocky IV, le plan moyen dure 2,16 secondes.
34. Quand lors de son fameux speech d’après combat, Rocky lance à la foule « sur le ring, y avait deux gars qui s’entretuaient, mais quand même, c'est mieux que 20 millions », le traducteur russe présent sur le ring se mélange les pinceaux et parle de « 20 millions de dollars » (« Ehta luch’e chem dvadtsat millionov dollarov »).
35. L’acteur qui joue Mikhaïl Gorbatchev est un sosie professionnel.
Sur la même période, David Lloyd Austin a ainsi endossé à trois autres reprises le rôle du premier secrétaire de l’URSS : dans The Naked Gun: From the Files of Police Squad! en 1988, dans le téléfilm Billy Crystal: Midnight Train to Moscow en 1989, et dans un des épisodes de la série Counterstrike en 1991.
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36. Étrillé par la critique, Rocky IV a remporté cinq Razzie Awards, les Oscars du pire.
Nommé dans huit catégories sur dix, il est reparti avec les trophées du pire acteur et du pire réalisateur pour Stallone, de la pire actrice et de la pire révélation pour Brigitte Nielsen, et de la pire bande originale.
37. Le président des États-Unis Ronald Reagan a en revanche particulièrement apprécié Rocky IV.
« Ça se finit très bien, il bat le Russe (...) C’est le meilleur combat de boxe que j’ai jamais vu au cinéma. C’est tellement réaliste. »
Le film lui avait alors été projet�� spécialement à la Maison Blanche.
38. Avec plus de 300 millions de dollars de recettes au box-office mondial, Rocky IV est le film de la série qui a le mieux marché en salle. Il est également les plus gros succès de toute la carrière de Sylvester Stallone.
Mieux, il est resté pendant près de quinze ans le film de sport le plus profitable de l’histoire du cinéma, avant d’être détrôné en 1998 (en grande partie à cause de l’inflation) par Waterboy avec Adam Sandler.
39. Après Rocky IV, Sylvester Stallone n’a plus réalisé un seul film jusqu’à Rocky Balboa en 2006.
40. Sans Rocky IV, il n’y aurait pas eu Predator avec Arnold Schwarzenegger.
La rumeur veut que le film de John McTiernan soit né d’une plaisanterie au sujet de Rocky IV : après avoir défait l’invincible Drago, si Sylvester Stallone envisageait de tourner un cinquième volet, il serait à court de rival sur la planète Terre.
Les scénaristes Jim et John Thomas l’auraient alors pris au mot pour échafauder une intrigue autour d’un grand méchant d’origine extraterrestre.
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Publié sur Booska-p.com le 20 janvier 2023.
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