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#souffler les cieux
yes-bernie-stuff · 7 days
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Sur la mer
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Le port après la tempête 17/09/2024
L’Éternel les conduisit au port désiré. Psaume 107.30
À l’occasion de mon départ en retraite, mon épouse et moi avons fait une croisière avec l’Express Côtier le long des côtes de la Norvège, de Bergen à Kirkenes¹. Le dernier jour, nous avons entrepris de contourner le Cap Nord à bord d’un bateau pneumatique. L’embarcation a affronté vagues et creux de plus de trois mètres, avec régulièrement un mur liquide devant nous. Pendant près de deux heures, nous avons été bien secoués, en devant nous cramponner aux poignées de nos sièges. Au bout d’un temps qui nous a paru bien long, le capitaine nous a débarqués dans un port bien abrité dans sa rade.
Dans la lecture proposée, les passagers d’un autre bateau qui affrontait une tempête ont cru leur dernière heure arrivée. Une fois sauvés, ils ont loué Dieu qui les a conduits au port, où ils étaient en parfaite sécurité.
La vie sur Terre ressemble parfois à la traversée d’une mer : elle nous réserve parfois des tempêtes, durant lesquelles nous nous demandons quelle en sera l’issue. Lorsque nous avons atteint le port, nous sommes invités aussi à remercier Dieu pour les délivrances accordées. Mais quel est le port le plus à désirer ? C’est celui où nous pouvons retrouver le Père. Le Fils nous y a préparé une place 2 si seulement nous avons cru en lui pendant le voyage !
Francis Praline
¹ à proximité immédiate de la frontière avec la Russie 2 Jean 14.2-3
__________________ Lecture proposée : Psaume 107, versets 23-32.
23 Ceux qui étaient descendus sur la mer dans des navires, Et qui travaillaient sur les grandes eaux, 24 Ceux-là virent les œuvres de l’Éternel Et ses merveilles au milieu de l’abîme. 25 Il dit, et il fit souffler la tempête, Qui souleva les flots de la mer. 26 Ils montaient vers les cieux, ils descendaient dans l’abîme ; Leur âme était éperdue en face du danger ; 27 Saisis de vertige, ils chancelaient comme un homme ivre, Et toute leur habileté était anéantie. 28 Dans leur détresse, ils crièrent à l’Éternel, Et il les délivra de leurs angoisses ; 29 Il arrêta la tempête, ramena le calme, Et les ondes se turent. 30 Ils se réjouirent de ce qu’elles s’étaient apaisées, Et l’Éternel les conduisit au port désiré. 31 Qu’ils louent l’Éternel pour sa bonté, Et pour ses merveilles en faveur des fils de l’homme ! 32 Qu’ils l’exaltent dans l’assemblée du peuple, Et qu’ils le célèbrent dans la réunion des anciens !
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christophe76460 · 2 months
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GENÈSE : 2 V 7 : L'ÉTERNEL DIEU FORMA L'HOMME DE LA TERRE, IL SOUFFLA DANS SES NARINES UN SOUFFLE DE VIE ET L'HOMME DEVINT UN ÊTRE VIVANT : Peuple de Dieu ! Avons-nous remercié le Créateur des cieux et de la terre de nous avoir créé afin que nous vivons sur la terre . C'est lui qui da sa propre Autorité a choisit de nous donner la vie selon ses plans conçus d'avances pour que les pratiquons . Pourquoi alors méprisé notre existence et désiré mourir car la vie est trop difficile c'est lui qui nous donne la capacité d'allé de l'avant sinon il nous aurait pas créé Lisons PSAUMES : 139 V 13 . 16 : C'EST TOI QUI MA TISSÉ DANS LE VENTRE DE MA MÈRE , QUAND JE N'ÉTAIS QU'UNE MASSE INFORME , TES YEUX ME VOYAIT ; ET SUR TON LIVRE ÉTAIENT TOUS INSCRITS LES JOURS QUI M'ÉTAIENT DESTINÉS. GLoire a Dieu d'avoir souffler en nous son souffle pour que nous vivions c'est un immense cadeau suivi d'un très grand amour de nous voir auprès de lui ici-bas et dans l'attente d'être avec lui pour l'éternité ..
Amen merci Seigneur ✝️
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elie2027 · 7 months
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Jesus Christ by elie2027
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shalomelohim · 1 year
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Le Dernier Grand Jour ou Yom Hachemini Atseret « solennité de clôture du huitième jour »
Du Jeudi 5 octobre au soir au Vendredi 6 octobre au soir (jour chômé).
“ Le quinzième jour du septième mois, quand vous récolterez les produits du pays, vous célébrerez donc une fête en l’honneur de l’Eternel pendant 7 jours : le premier jour sera un jour de repos et le huitième aussi. “ (Lévitique 23:39)
Les sept jours de la Fête des Tabernacles sont associés aux 1 000 ans du règne de Yahshua sur la Terre (Millénium).
Cette Sainte Convocation du 8ème jour ordonnée par YHWH correspond à la remise des clés du Royaume par Yahshua au Père, à la fin du Millénium, quand tous ses ennemis seront sous ses pieds.
“Ensuite viendra la fin, quand il remettra le royaume à celui qui est Elohim et Père, après avoir détruit toute domination, toute autorité et toute puissance. Car il faut qu'il règne jusqu'à ce qu'il ait mis tous les ennemis sous ses pieds. Le dernier ennemi qui sera détruit, c'est la mort. Elohim, en effet, a tout mis sous ses pieds. Mais lorsqu'il dit que tout lui a été soumis, il est évident que celui qui lui a soumis toutes choses est excepté. Et lorsque toutes choses lui auront été soumises, alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a soumis toutes choses, afin que YHWH soit tout en tous.” (1 Corinthiens 15:24-28)
“Et en la dernière journée, la grande journée de la fête, Yahshua se tint là et cria, disant : “ Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive. Celui qui croit en mois, selon ce qu’a dit l’écriture, des fleuves d’eau vive couleront de son ventre ”. (Jean 7:37-38 - Jésus à la fête des tentes)
Puis la terre disparaîtra, les cieux seront roulés. Une nouvelle terre viendra avec la Nouvelle Jérusalem, toute d’or, de pierres précieuses, de cristal, avec nos maisons préparées par Yahshua ! Il n’y aura plus ni jour ni nuit, Yahshua sera au centre.
Ce rendez-vous fait de nous des prophètes obéissants, annonçant au monde ce qui vient, ce qui arrive, La Bonne Nouvelle.
Bonne Fête du Dernier Grand Jour, que YHWH vous accompagne par Son Fils Yahshua en faisant souffler sur vous son Ruah Ha Kodesh.
Sim'hat Torah (Joie de la Torah) est célébrée par le peuple juif par des chants et des danses, marquant ainsi la fin du cycle annuel de lecture de la Torah.
Sources : diverses
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Notes : Les 7 Fêtes de l’Eternel correspondent au plan de salut de l’humanité.
Cette Fin des Temps nous fera certainement rencontrer des frères et sœurs juifs ou des nations qui ont eu l'enseignement sur les racines hébraïques de la foi qui les pratiquent.
Puissions-nous célébrer les Saintes Convocations de Dieu, Notre Père, ensemble, dans l’unité, par son Fils Yahshua, Notre Roi, avec la compréhension de leur signification prophétique.
L’Olivier franc (Juda - les Juifs) sur lequel se greffe l’Olivier sauvage (Ephraïm - les Nations) pour former le peuple d’Israël spirituel.
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malorielk · 2 years
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Laisse le vent emporter tout
L'hiver s'est retiré, ou plutôt a été poussé de force par le vent. Tout le mois de mars, il m'a semblé souffler, me giflant en pleine figure dans son grand nettoyage quand je m'aventurais dehors en ville, m'enveloppant d'une interminable chanson sifflante quand je me promenais sur la plage. Quand il s'apaisait, j'ai écouté les oiseaux plus nombreux, je suis partie en quête des premières fleurs. Je les ai trouvée abritées dans des écrins d'herbe et de feuilles d'un vert violent aux premiers rayons d'un soleil neuf. Ce vent a repoussé l'obscurité, le froid, le sommeil qui s'est accroché à moi pendant les longues semaines d'hiver. Quelque chose se réveille toujours au printemps, un appétit d'horizon, une joie qui ruisselle comme une source perce la terre gelée et court vers la mer sans se soucier des obstacles. C'est toujours un sentiment enivrant, et quand je regarde le ciel balayé de nuages qui passent sans s'attarder, quand je respire les parfums de la terre qui commence à donner naissance à la végétation assoupie, je ne sais pas pourquoi, tous les ans c'est pareil, je repense à mon adolescence, à mes premières soif de ciels sans limite, de route déroulées sans fin. Tous les ans au printemps j'ai dix-sept ans, les poches et le ventre vides. Il y a comme une fébrilité sans angoisse à ces matins aux cieux chamboulés, à ces soirs éclairés jusqu'au dîner, à ces après-midi hantées de rêves émergés du terreau noir de l'hiver.
L'horizon vacille.
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La végétation s'anime et croît.
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Des fantômes s'accrochent encore aux vestiges de février.
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La mer boit la lumière.
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Et le sable regorge de souvenirs.
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obsidianbunny · 6 years
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Souffler les cieux
Votre poing, après une prise d'élan formidable, vient percuter de plein fouet la poitrine de votre adversaire, et à mesure que vous ressentez l'impact dans vos chairs, dans vos os, dans votre âme, le temps semble ralentir. Vous ne voyez plus que l'expression estomaquée figée sur le visage de l'ennemi, et cela vous conforte dans votre sentiment : ce coup était décisif et vous avez déjà gagné. Vous n'entendez plus rien, ni le vent autour de vous qui souffle par bourrasques, si fort qu'il pourrait déchirer le tissu même du réel ; ni la foudre qui chute régulièrement tout près de là où vous teniez une seconde auparavant, comme si elle tentait de vous ratrapper en vain. Vous ne percevez que le son sourd de cet impact entre deux titans de force brute, et ce vrombissement pénètre vos tympans, fait vibrer la terre, souffle au loin toute impureté pour ne laisser présente sur ce champ de bataille que votre punition pour le Mal. Alors, au bout de ce qui vous semble être de longues secondes, vous entendez un craquement, puis un autre, puis une multitude, une feuille de métal qu'on chiffonne, et vous sentez contre vos phalanges se rompre toutes les côtes, tous les os de votre cible. Autour de votre poing, sa peau devient rouge puis bleue, presque noire. Derrière elle, un souffle puissant, et dans le ciel nocturne les nuages, les étoiles et la Lune s'écartent sous sa force et les petits points blancs de la sombre voute céleste sont remplacés par de vastes tâches rouges. La vie s'écoule hors du corps de votre adversaire et vient se répandre parmi les astres. Elle en crache une gerbe sur votre visage, vous n'en avez que faire : rien ne saurait effacer votre sourire victorieux de votre visage. Alors le temps semble reprendre son cours normal : immédiatement, le corps déjà sans vie que vous venez de frapper est projeté à une vitesse fulgurante vers la ligne d'horizon en un sifflement sinistre avant de s'écraser comme un météore au sol, creusant la terre en un cratère fumant. Vous l'observez, ce corps désarticulé, celui de l'être qui menaçait votre vie et votre Terre. Vous avez gagné.
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claudehenrion · 3 years
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Pourquoi appuyer là où ça fait mal ?
 Notre Président semble trop souvent éprouver une passion pour une relecture mensongère de l'Histoire de France : il en remet une couche dès qu'il peut ! Des plus connus, Michelet, Taine, Duby, Braudel, voire Mallet et Isaac, et quelques autres… pas un seul n'a osé aller aussi loin dans l'imagination et la créativité historiques poussées à l'onirisme ! Entre chagrin, colère et humiliation, c'est le sujet qui fait le plus sortir de leurs gonds les lecteurs de ce blog… Je vais donc tenter une des rares choses que je sache faire : un “retour sur images”, pour ‘’piger’’ le pourquoi de ce besoin de sabordage, malgré sa découverte des pauvres Harkis.
Tout élève en classe Terminale apprend (NB : je devrais écrire ''apprenait'', à cause des errements qui ont abaissé notre enseignement au niveau ''zéro'' des nations), dès la deuxième heure de cours de Philo, que vouloir lire le passé avec des yeux d'aujourd'hui est un péché contre l'esprit, nommé. “anachronisme” (à ceci près que... n'est pas Astérix qui veut : lui, au moins, n'est que esprit et légèreté ''à la française'', contrairement à la réécriture de l'histoire de l'Algérie par Macron). Il va de soi que les horreurs qu'ont pu commettre certains de nos ancêtres (ou qu'ont commis ceux des autres, chez nous : ils n'étaient pas meilleurs, et furent souvent pires !), ont eu lieu dans un contexte, des mentalités, un temps et un cadre qui différaient en tout des nôtres, et dans des circonstances qui ne peuvent que nous être étrangères. Le bon sens recommande l’oubli, surtout lorsqu’il est la seule issue possible : pardonner (en plus lorsque l’insulte remonte à des siècles !) est plus intelligent et plus beau --et tellement plus agréable à vivre-- que haïr sans fin quelque chose qui n’est plus haïssable depuis des temps immémoriaux... En revanche, s'affranchir de tout bon sens est un crime contre l'intelligence.... dont notre époque, régie par des nuls et des idées dites ''à la con'' (sic !), raffole !
  Avant de se faire souffler par quelque mauvais conseiller nettement plus à gauche qu'historien la décision d'aller rendre visite à Madame Audin, notre néo-historien amateur et approximatif aurait dû demander à combien d'autres visites, comparables en temps mais plus légitimes en raison pure, cela allait le contraindre. Il a mis presque tout un quinquennat pour entendre enfin parler des Harkis --et encore, est-ce à l'approche d'une échéance électorale majeure pour lui.  Car au nom de quoi les milliers de disparus, enlevés puis torturés à mort, n'auraient-ils pas droit à un traitement comparable ? Ma génération, qui “s'est tapé” entre 27 et 36 mois de service militaire alors dit ‘’pour le maintien de l'ordre dans les territoires de la République” et qui est donc entrée dans la vie active à 25 ou 26 ans pour les sursitaires, se souvient de ces événements, qui se sont déroulés en d'autres temps, sous d'autres cieux et dans des circonstances que le pauvret ne peut même pas imaginer tant elles sont à l'opposé de son adolescence choyée et amiénoise.  
A l'âge où lui préparait l'Ena, bien au chaud l'hiver et bien au frais, l'été, mes amis, eux, se souviennent d'avoir ''crapahuté'' entre djebels et mechtas rarement accueillants. Plusieurs m'écrivent, régulièrement, pour me demander de le crier haut et fort… dans l'espoir que cela ne soit pas occulté à jamais... ce que je fais aujourd’hui, pour eux aussi ! La jeunesse de France a alors sacrifié ses plus belles années pour partir “se frotter” à des tueurs haineux qui ne reculaient devant rien (par exemple : le massacre au rasoir et au couteau d'une section de 29 jeunes appelés, combattants encore mal dégrossis, sous les ordres d'un agrégatif de philosophie promu sous-lieutenant, Hervé Arthur, à Palestro), pendant qu'une poignée d'autres, déformés par les mensonges communistes, soutenaient l'insoutenable. On les appelait “les porteurs de valises”, et leur responsabilité, directe ou indirecte, dans tous les meurtres, les tortures, les exactions, etc... est incontestable.  L'intelligence avec l'ennemi en cas de guerre, c'est de la “haute trahison”, et on sait ce que cela mérite. Maurice Audin était fier d'être l'un d'eux.
On peut jouer sur les mots, comme eux jouaient avec la vie des victimes des tueurs, leurs infréquentables amis. Exemple : on ne voulait pas parler de “guerre”, puisque “l'Algérie, c'était la France”… Mais du moment qu'il s'est agi, par la suite, d'une puissance étrangère (et tellement hostile, haineuse, dans son comportement, tant d'années plus tard ! Faut-il qu'ils aient des raisons d'avoir honte, pour nous en vouloir à un tel degré !), ce subtil distinguo tombait de lui-même. Alors, si M. Macron veut pardonner ce qui ne lui a causé aucun tort, libre à lui, à titre personnel... et encore ! Mais la France, Monsieur le Président, n'est pas derrière vous, j'en atteste. Et lorsque vous laissez penser que ‘’vous pourriez comprendre nos ennemis’’, ce n'est pas les français d'Algérie ni notre Armée qui doivent se sentir humiliés : c'est la France qui est blessée, dans son honneur, son Histoire et le sacrifice de ses enfants morts pour elle et traités avec autant de désinvolture... et de mépris !
Les français d'Algérie, victimes de “serial killers” et d'attentats contre lesquels personne n'organisait de “marches blanches”, ne sont pas près de les oublier, eux non plus ! Car il y a ceux qui ont été tués ou qui ont disparu après mars 1962 sous les yeux de l'Armée française qui avait reçu l'ordre de regarder ailleurs… ceux du 26 mars 1962 à Alger, quand des soldats français ont ouvert le feu sur des civils, français comme eux, rue d'Isly (62 morts  et 150 blessés)… ceux d'Oran, enlevés, torturés à mort après le 5 juillet (la ''Justice’’ n'a pas cherché à savoir si ces pauvres bougres étaient 400 ou 700 !)... et tous ceux dont il fut interdit de se souvenir…
Ça en fait, des visites à faire et des pardons à demander à des veuves et des descendants à qui personne ne tendait la main, dans ces jours de honte où 3000 français ont disparu, enlevés, morts sous la torture, sous les yeux de nos armées, présentes et souvent témoins, à qui il était interdit  de faire un seul geste pour empêcher leur massacre… ou encore ces ''Harkis” que vous venez de découvrir : entre 40 000 et 60 000 (on ne sait pas, à 20 000 près, vous rendez-vous compte !), dans des supplices inimaginables… Et l'ectoplasme Bouteflika, en libérant la Terre de son ombre, a emmené en enfer une vérité qui hésite entre atroce et terrifiante.
 (NDLR : Pour ceux qui pourraient douter, je possède l'original d'un un “livre blanc” (il est vert !) que m'avait remis en mains propres Robert Lacoste, socialiste honnête (il y en avait, en ces temps-là) alors Gouverneur général et Ministre de l’Algérie de 1956 à1958, où des centaines de photos montrent à quelles horreurs les relations de M. Macron ont pu se livrer : le seul fait de l'ouvrir, sur une seule page, garantit plusieurs nuits blanches, je vous l'assure. Au hasard : attaché à un fauteuil de dentiste, toutes les dents meulées à la roulette, maxillaires inclus… Bon. J’arrête).
Monsieur le Président, c'est une faute que de rouvrir cette plaie au moins une fois par an : elle est si loin d'être refermée et elle se remet à saigner si fort à chacune de vos interventions sur ce sujet, toutes malvenues sauf la dernière… Car il y a aussi le sort terrible de ce million de pieds noirs qui eurent comme seul choix “la valise ou le cercueil” et qui, pour toute consolation, n'eurent droit qu'à la phrase de ce salopard de Gaston Deferre, digne de ce qu'il était : “Qu'ils aillent se réadapter où ils veulent, mais qu'ils quittent Marseille au plus vite”. Et si l’enfer existe... 
De grâce, Monsieur le Président, arrêtez d'écouter ceux de vos conseillers qui vous suggèrent de telles fautes contre la bienséance, contre le bien, le bon, le vrai… et l'Histoire. A chaque fois, vous rouvrez des plaies qui n'ont pas besoin de l'être, et vous aggravez la déchirure de la France en deux ensembles que seul le temps et la vérité enfin rétablie pourraient ''recoller'' : ceux qui, comme disait magnifiquement Marc Bloch, “vibrent au souvenir du sacre de Reims et au récit de la fête de la Fédération”, d'un côté et ceux qui trahirent leur patrie, l'honneur et l'intelligence en choisissant l'hydre communiste, de l'autre. Mutatis mutandis, ces derniers, Monsieur le Président, sont les pères et les frères de ces aveugles et de ces sourds qui nient aujourd'hui le danger des sirènes islamistes pour la France… .
‘'Ceux qui pieusement sont morts pour la Patrie                                                      Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie…“                                               écrivait Victor Hugo. Il n'a pas parlé des autres.                                                       Je pensais que vous l'aviez lu. Vous devriez…
H-Cl.
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Kiss Memory (french)
1rt. Meet
PDV : Jin
"Jin. Enchanté de vous rencontrer"
Voici mes premiers mots dans cette nouvelle classe. La classe était calme, une fenêtre ouverte laissait le vent souffler dans les rideaux. Je regardais en face de moi, tentant de ne croiser aucun regard, mais lui, il me regardait fixement. Je ne le connaissais pas, lui non plus. Mais mon cœur me disait tout le contraire. Comme si nous nous connaissions dans une autre vie. Qui sait.
«-Bien. Vas t'asseoir à côté de Nam joon, près de la fenêtre, Jin. »
Les regards haineux des filles ne m'atteignent pas alors que je m’assois à côté de lui. Je lui jette un regard discret qu’il intercepte et me dit doucement :
«-Nam joon. Mais appelle-moi Nam ou RM, me dit-il en souriant.
Son sourire m’est familier. Comme une douce chaleur effleurant ma peau.
-Jin. Ravie d’être ton nouveau voisin, répondis-je en souriant à mon tour.»
Il me tendit sa main,amical, je la lui serre, timide.
«-Nam Joon, explique à ton "nouvel ami” ce que nous étudions en ce moment, même si… Il le sait peut-être même mieux que toi. »
Un léger rire traversa la classe qui reprit son sérieux dès l’instant où le prof se remit à parler. On voit bien qu’on approche les partielles.
Nam Joon ouvrit son livre et commença à m’expliquer brièvement le sujet de la séquence que,effectivement, je connaissais déjà. Je n’osais pas interrompre ses explications qui étaient étonnamment claires. J'écoutais sa voix envoûtante me chuchoter les différentes lois des dérivations et des nombres dérivées sans vraiment l’écouter jusqu’à la sonnerie.
/Ellipse / 1:05 pm
Les élèves sortaient des classes en se dirigeant vers la cafétéria, la cour ou restaient discuter dans la classe. Un groupe s’approcha de Nam joon alors qu’il se levait.
«- RM tu viens ? Ya kimbap de porc à la cafet c’midi, tu viens avec nous ? lança un des adolescents.
-Ouais j’arrive,
Il se dirigent vers la sortie de la classe quand Nami se retourna et me demanda :
 - Tu veux venir avec nous Jin ?
Je pris mes livres en me levant rapidement et lui répondit avec un sourire commercial :
-Nan merci, je… Je préfère aller à la bibliothèque. J’ai une vieille amie qui m’y attend.Sur ce … »
Je me dirigeais vers la bibliothèque en m’orientant avec les panneaux qui l’indiquait quand j’entendis des pas courir en ma direction. Je ne me retournais pas quand tout à coup un Nam joon sauvage est apparu à mes côtés. 
«Tu ne manges pas, Nam Joon ? Lui demandais-je .
 - Je voulais d'abord te montrer où se trouve la bibliothèque, et puis … je voulais aussi  faire connaissance ^^.»
Cette sensation de chaleur me prit une seconde fois alors que j'accélérais le pas.
L’entrée de la bibliothèque était gardée par un chat endormis sur une petite tablette en marbre sur le côté. Ce chat, bien sur c'est- 
«- Tiens, je ne savais pas que l’école avait un chat, lança Nam joon.
- C’est un des chats de ma vieille amie dont j’ai parlé tantôt,soupirais-je en me baissant pour le caresser. 
Sous ses coussinets moelleux se trouvait un petit papier plié, provenant sûrement d’elle. un petit cœur était dessiné dessus. Oui, c’est elle. Je me relève et le lis à voix haute :
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-Salut Jin ^^ Et son ami aussi à ce que je vois UwU. Une urgence m’a obligée à quitter l’établissement au plus vite ! Je ne reviendrais que vers la fin de l'après-midi et le proviseur est déjà au courant. Il m’a laissé partir car je lui ai dit que j’avais un apprenti bibliothécaire pour garder la bibliothèque en mon absence! Bien sur je parlais de toi 😘 
Du coup tu peux sécher les cours sans problèmes yeeeaaahhh ! Enfin bref, les livres dont je t’avais parlé sont dans le tiroire jaune et aussi, la dernière fois tu avais oublié un de tes carnets chez moi, lui je l’ai mis sur le bureau. Si tu pouvais remplir le distributeur de boissons et de snacks tu serais UN ANGE VENU DES CIEUX ! Le carton est juste à côté. Ya aussi des livres à classer parce que je sais que t’adore ça ! 
Bref ! Moi je file, mais dis à ton ami que lui il n’a pas le droit de sécher les cours ! Prends bien soin de Baker , Thelonious et Armstrong ne devrait pas être très loin.
Kiss Kiss Jin chou 
Caporal 
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Un vrai électron libre celle là. Je me demande bien comment elle a fait pour savoir que Nam joon serait là. D’ailleur, il regarde le papier comme si c’était un oracle ou un équipement magique ultra rare ,en gros avec des yeux ahuris. 
Je me retins de rire quand il regarda furtivement autour de nous et me susurra à l’oreille :
«-Tu crois qu’elle nous observe ? Là ? Maintenant ? »
Mes yeux rieurs le regardaient stresser alors que j’ouvrais silencieusement les deux immenses portes de la bibliothèque. 
L’endroit était silencieux. Quelques brins de lumière parsemaient l’immense salle sur deux étages, révélant les microscopiques poussières qui virevoltent tout autour de nous. Une immense allée menait à la deuxième partie de la salle où se trouvaient des bureaux en chênes foncée alignés avec des lampes de bureaux vertes comme dans les films. Les étalages étaient immenses. Tous les murs étaient recouverts de livres anciens et poussiéreux et d’encyclopédies sur tout et n’importe quoi. La mezzanine vue d’en bas était beaucoup plus moderne, la salle de lecture devait se trouver là haut. Un ascenseur discret y menait ainsi que deux escaliers latéraux. Le plafond était une immense verrière ou des plantes tropicales et du lierre poussaient. Un baie vitrée immense composait le mur du fond, donnant la vue sur une petite terrasse. Même si le printemps venait de commencer le soleil baignait cette place d’un atmosphère bénie.
Le lieux était incroyable.
Le bureau dont elle parlait se trouvait juste en face de nous. Il est aussi en chêne noire mais décoré de plusieurs stickers, babioles , plantes, stylos et livres. Je m'approche du tiroire jaune et pris les livres en questions. Une immense pile s’offrait à moi. Je me retourne vers Nam  qui était lui aussi ébahie et lui demanda :
«-Hyung, elle te plait ? La bibliothèque ?»
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×CLOSE×
Find me on Wattpad : Corona Caporal
I’ll maybe release a traduction, maybe.
kisskiss
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marumo · 4 years
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À peine 03 heures du soir...
Précisément trois heures moins quart, même...
De mon sommeil collant émerge un cauchemar:  il est moiteur moins quart.
L'heure pire d'une nuit.
La chaleur me traverse, m'empêche de rêver.
L'atmosphère cotonneuse et l'air épais m'étouffent. J'agite mes mains, mes bras, je veux de l'air, c'est l'asphyxie dans ce combat.
La nuit me renverse, la chaleur me hérisse le lit, il est à peine trop tôt, mais bien trop tard pour savoir que dormir maintenant, c'est aller nulle part : suer ne mène à rien.
Se tourner, se retourner, c'est sans effet : encore moins quart.
Ce n'est plus du temps qui s'écoule, mais une huile qui suinte de chacun de mes pores fatigués. Les minutes se figent et m'etourdissent l'esprit.
Je m'essuie, je me tourne encore pour savoir où souffler, je me tourne toujours pour chercher à rêver et m'échapper, en vain.
L'heure est venue de me changer les idées, d'essorer mes pensées. Essayer de dormir pour passer à demain et respirer enfin.
J'aspire l'air poisseux de cette nuit qui a tant d'heures à me voler encore, c'est juré.
Ivre de chaleur, mon corps enflé m'implore de bouger dans une transe perdue d'avance.
Enveloppé dans cette housse de cire tiède, l'insomnie de chaleur me lèche, je délire, je soupire et ferme mes yeux vitreux.
Je me cogne la tête dans un angle d'ouvre-boîte laissé là par un Cardinal. C'est le début du journal télévisé juste avant la kermesse déguisée de fin juillet. Les fleurs du jardin ne poussent pas, c'est une chance pour les mouches et les chats, m'indique le docteur.
Enfin un rêve cohérent, content d'avoir gagné du temps sur cette nuit... C'est enfin demain... Revanchard !
Pas de chance dans cette course à la sueur, car il n'est pas encore trois heures.
L'heure, l'heure, l'heure est trop longue, la chaleur trop épaisse, je me rends, j'abandonne, rien ne peut m'apaiser, m'aérer, me bercer.
Le sommeil usé, les yeux enflés par la lutte je préfère abdiquer, me lever.
J'arrache du sol mes vêtements presque humides, je sors de la chambre, je titube jusqu'à la cuisine pour m'habiller dans le noir. Je veux sortir, voir de l'air, toucher du vent....respirer, c'est urgent, dormir, c'est illusoire.
La lumière chaude orange du four m'agresse sans répit et s'agite pour me retenir...Cinquante-huit....Cinquante-huit...Cinquante-huit.
Je me débats pour en finir, je veux couper le thermostat, pour cette fois en rester las.
D'un pas lourd et maladroit, je m'extirpe de la pièce en laissant derrière moi des volutes d'air chargé de sueur âcre. Je me consume en avançant vers la porte. Je veux respirer de l'air frais, s'il vous plaît, par pitié.
Encore trois mètres et j'y serai, deux mètres et j'y serai, un mètre et j'y serai, je tire la porte gauchement et je sors engourdi jusqu'aux os.
Je respire enfin, un air frais, doux et marin.
Je respire, mais doucement, j'économise ce trésor d'air en or.
Je savoure ce qu'il y a de meilleur à cette heure.
Pétri de sommeil, engourdi par la lutte à peine achevée, les pâles lumières jaunes de la rue m'assènent encore quelques coups, les yeux me piquent mais je respire et je sens sur mon corps une délicieuse caresse marine. J'avance tout droit sans réfléchir pour rejoindre la plage dans cette délivrance et reposer mes yeux. Je veux jouir sans retenue de cette brise sur mes joues. J'y suis enfin, je suis libéré, revigoré.
Le bruit des vagues dans le noir me surprend et je sursaute, hébété par cet état nocturne. Je reprends désormais à mon tour chaque seconde à la nuit pour respirer ce bonheur d'une revanche aérée.
Enfin bien, je respire, inspire, expire, je me noie goulûment.
J'ouvre grands mes yeux tuméfiés pour les soigner de ces courants frais, la tête en l'air.
Là je la vois dans un élan vif d'une couleur unique, traçante étoile filante qui laisse un immense sillon dans cette nuit lourde, un cadeau des cieux, le signe que c'est la fin.
J'ai sommeil, mais je vais bien. J'ai de l'air, du bon vent et beaucoup de temps, l'étoile s'est effacée, il est encore trois heures du matin.
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Nous n’irons plus à la source Nous n’irons plus au milieu Au milieu de la grande ourse Juste au-dessus des cieux Seulement Nous n’aurons plus nos deux âmes Cousues par un fil d’acier Cousues jusqu’au fond des flammes Jusqu’au-dessous des glaciers Seulement Nous n’avions envie de naître Que pour chercher nos regards Chercher la nuit qui s’arrête Chercher la nuit qui repart Seulement, seulement Mais nous tenions à nos chaînes Comme la prunelle de nos yeux Tout pour éviter la peine De se voir devenir vieux Seulement, seulement Seulement, seulement toi Seulement, seulement Seulement Mais c’est la mer qui nous berce C’est l’aurore qui nous sourit Chaque lendemain d’ivresse Nous ne vivions qu’à demi Et quand le sommeil du monde Viendra souffler nos maisons Nous ne serons plus que l’onde  De nos peurs et nos raisons Seulement, seulement Seulement, seulement toi Seulement, seulement Seulement, seulement toi
Artiste : Louise Thiolon Titre : Seulement Album : N’obéir qu’à la terre [2019]
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janelher · 3 years
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Jeudi 28 décembre 2017, 0h07
Déjà l'hiver, Noël et ses guerres
Le froid m'exaspère, mais Paris c'est fait pour ça
Déjà la nuit s'était mise à tomber plus tôt
Déjà dans mon cerveau, ça fuse et ça vocifère
Déjà: cols roulés, traîneaux 

Traînés des cieux, là-haut, par des rêves infidèles 
Mais dans mon cœur, tout se meurt
Déjà: des flocons de larmes 

Ont parsemé les pare-brises, les phares

Et puis mes cris, le soir 

S'entendent jusque dans mes gammes
Déjà l'hiver, et encore personne
Ne sait qu'un homme, se doit d'être un homme ordinaire
Des mois qu'on espère, des bons points, des images
Qu'on attend qu'une cage, se referme sur nous quand on dort
Déjà les promesses, fausses caresses
Un poil placebo, prétextent les échecs
Déjà: des mensonges francs qui font croire à la magie
D'une page qui se tourne, comme si souffler la bougie
Ne laissait pas d'odeur infecte
Pourtant c'est beau, de sentir sur son dos
S'alléger le poids du monde, et peut-être
S'accrocher à d'autres comètes
C'est bon, quand on s'arrête
Un peu pour rêver, même si demain
La vie est con, c'est bon d'oublier tout, le temps d'une chanson
Déjà s'arrête la danse
Déjà de l'or sur ma cage, quelle horreur
Déjà, le calendrier
Noirci par des croix sur toutes ses rangées
N'est plus qu'un agenda vierge
Déjà, des consultations
Des pense-bêtes, par légions
Mais dans aucune case
On ne voit cette phrase
« Aujourd'hui, le malheur se meurt. »
Qu'est-ce que c'est beau, de sentir sur son dos
S'alléger le poids du monde, et peut-être
S'accrocher à d'autres comètes
C'est bon, quand on s'arrête
Un peu pour rêver, même si demain
La vie est con, c'est bon d'oublier tout, le temps d'une chanson
Déjà s'arrête la danse
Déjà le sapin décline, des épines
Déjà l'hiver, décembre déferle
Dites-moi quelle saison, laquelle, peut me remettre à l'endroit
Déjà se noie, tous les soirs ma raison
Et mes cris continuent, pourvu qu'ils me tuent, pourvu...
Déjà, bientôt...
Noël pour toujours !
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yes-bernie-stuff · 2 months
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« Arrière de moi, Satan ! Tu m’es en scandale ; car, tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu » (Matthieu 16 :23).
Lorsque nous lisons l’évangile de Matthieu, nous sommes surpris de trouver dans un intervalle de quelques versets deux appréciations contradictoires de Jésus sur son disciple Pierre. Dans Matthieu 16 :17, Jésus dit à Pierre : « Tu es heureux, Simon…car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est mon Père qui est dans les cieux ». Ensuite nous trouvons la déclaration mentionnée au début du partage de ce jour. 
Nous découvrons un homme ayant tour à tour de bonnes pensées, et puis, de mauvaises pensées. Une pensée de Dieu suivie d’une pensée humaine, et même, au dire de Jésus, une pensée diabolique. 
Ce récit nous rappelle que nous ne sommes pas infaillibles quant à nos pensées. Nous pouvons en avoir de bonnes suivies ensuite de mauvaises. Ce récit nous apprend qu’un bon disciple n’est pas exempt de mauvaises pensées, de pensées hors du plan de Dieu. Parfois, Jésus peut venir souffler à notre oreille : « C’est bien, tu as reçu la pensée de Dieu », et ensuite nous dire : « Tes pensées ne sont pas celles de Dieu » ! Le désir de bien faire ne suffit pas. Pierre voulait bien faire, mais cette pensée était diabolique car Jésus était venu pour donner sa vie. 
Combien il nous est difficile de savoir en toutes circonstances quelle est la pensée de Dieu ! Cet abîme, entre les pensées de Dieu et les nôtres, nous oblige à une grande modestie, à sortir de nos absolus irréversibles. 
Bien des années plus tard, le même Pierre se trouve confronté à une vision étrange dans Actes 10, et il est écrit : « Tandis que Pierre ne savait que penser du sens de la vision qu’il avait eue… » (Actes 10 :17). Voilà que les années de marche avec Christ lui ont appris à rester humble, à ne pas se lancer dans des pensées humaines, à s’interroger plutôt qu’à répondre. Le bon disciple n’est pas celui qui a des pensées sur tout et à tout moment mais celui qui sait aussi admettre qu’il ne sait que penser face à certaines situations.
« Seigneur, face aux situations complexes que je traverse, je ne veux pas me précipiter à vouloir tout expliquer. Que mes sentiments ne m’égarent pas ! Merci pour ta patience à mon égard, comme tu en as eue pour Pierre. Que mes pensées soient éclairées par le Saint-Esprit ! Au nom de Jésus ! Amen ! »Avec amour, Paul
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christophe76460 · 3 months
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La Parole de Dieu est créatrice !
" Il envoie ses ordres sur la terre : Sa parole court avec vitesse, Il donne la neige comme de la laine, Il répand la gelée blanche comme de la cendre ; Il lance sa glace par morceaux ; Qui peut résister devant son froid ? Il envoie sa parole, et il les fond ; Il fait souffler son vent, et les eaux coulent. " Psaumes 147:15-18
Le psalmiste définit dans ce passage la Parole de Dieu telles des directives. Il est vrai que le terme utilisé en hébreu, imrah ( im-raw’ ) - אמרה peut être traduit par : « parole, ordre » mais également par « promesse »
Si ce texte appuie la puissance de la Parole de Dieu capable d’agir sur la nature, il est surtout important de comprendre que Dieu donne des ordres à Sa créature afin que si elle s’y conforme, Il puisse accomplir les promesses qu’Il a faites pour chaque être.
Dieu par Sa Parole, nous donne des ordres afin qu’Il puisse être créateur dans nos vies !
Il est Le Seul capable de mettre la Vie dans nos vies, Il est L’Unique qui puisse nous inspirer ces idées faisant de nous des hommes et des femmes plus que vainqueurs dans notre société où règnent toutes ces œuvres charnelles conduisant l’humanité à sa perte, à la mort.
Ce matin, le Seigneur nous rappelle que Sa Parole est remplie de promesses créatrices pour tous ceux qui seront obéissants à Ses ordres !
« Si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies, — je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays. » 2 Chroniques 7:14
Une prière pour aujourd’hui
Seigneur Jésus, par Ton Esprit Saint rappelle-moi ce matin combien Ta Parole est bénéfique pour ma vie. Donne-moi ce désir et cette force d’obéir à Tes ordres afin que je puisse vivre Tes promesses créatrices pour ma vie ! Amen
( Toutes les pensées quotidiennes sur : *viechretienne. net/pensee-du-jour* ). ☀️réduire l'espace entre le "point" et le "net"☀️ dans votre barre d’adresse.
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instantspasses · 6 years
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L'espace sait, regarde, écoute. Il est rempli D'oreilles sous la tombe, et d'yeux dans les ténèbres. Les morts ne marchant plus, dressent leurs pieds funèbres ; Les feuilles sèches vont et roulent sous les cieux. Ne sens-tu pas souffler le vent mystérieux ?
Victor Hugo
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shalomelohim · 1 year
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Hadar Ozeri - Psalm 121 in hebrew
♥ ♥ ♥
Je lève mes yeux vers les montagnes : D'où me viendra le secours. Le secours me vient de l'Eternel, Qui a fait le ciel et la terre. Qu'il ne permette pas à ton pied de trébucher, Qu'il ne somnole pas, Celui qui te garde ! Non, il ne somnole pas, Il ne dort pas, Celui qui garde Israël. L'Eternel est celui qui te garde. L'Eternel est ton ombre protectrice, Il se tient à ta droite. Pendant le jour le soleil ne te fera pas de mal, Ni la lune pendant la nuit. L'Eternel te gardera de tout mal, Il gardera ta vie. L'Eternel gardera ton départ et ton arrivée, Dès maintenant et pour toujours. (Psaume 121 - Secours et protection de Dieu).
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Hadar Ozeri - Psalm 147 in Hebrew
♥ ♥ ♥
Louez l'Eternel ! Car il est beau de célébrer notre Dieu, Car il est doux, il est bienséant de le louer. L'Eternel rebâtit Jérusalem, Il rassemble les exilés d'Israël ; Il guérit ceux qui ont le coeur brisé, Et il panse leurs blessures. Il compte le nombre des étoiles, Il leur donne à toutes des noms. Notre Seigneur est grand, puissant par sa force, Son intelligence n'a point de limite. L'Eternel soutient les malheureux, Il abaisse les méchants jusqu'à terre. Chantez à l'Eternel avec actions de grâces, Célébrez notre Dieu avec la harpe ! Il couvre les cieux de nuages, Il prépare la pluie pour la terre ; Il fait germer l'herbe sur les montagnes. Il donne la nourriture au bétail, Aux petits du corbeau quand ils crient, Ce n'est pas dans la vigueur du cheval qu'il se complaît, Ce n'est pas dans les jambes de l'homme qu'il met son plaisir ; L'Eternel aime ceux qui le craignent, Ceux qui espèrent en sa bonté. Jérusalem, célèbre l'Eternel ! Sion, loue ton Dieu ! Car il affermit les barres de tes portes, Il bénit tes fils au milieu de toi ; Il rend la paix à ton territoire, Il te rassasie du meilleur froment. Il envoie ses ordres sur la terre : Sa parole court avec vitesse Il donne la neige comme de la laine, Il répand la gelée blanche comme de la cendre ; Il lance sa glace par morceaux ; Qui peut résister devant son froid ? Il envoie sa parole, et il les fond ; Il fait souffler son vent, et les eaux coulent. Il révèle sa parole à Jacob, Ses lois et ses ordonnances à Israël ; Il n'a pas agi de même pour toutes les nations, Et elles ne connaissent point ses ordonnances. Louez l'Eternel ! (Psaume 147 - La puissance de Dieu en faveur d'Israël)
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vasilzelenak · 4 years
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MARIE 7 janvier 2012 Je suis Marie, Reine des Cieux et de la Terre. Enfants bien aimés, Frères et Sœurs de Lumière, nous voici à nouveau réunis, pour la quatrième fois. À l'heure où beaucoup d'entre vous expérimentez des choses inhabituelles, quelle qu'en soit la teneur : que cela soit la Joie, que cela soit encore des doutes, que cela soit les premières expériences de vos délocalisations. Quel que soit ce que vous êtes amenés à vivre, tout cela ne résulte que de l'action de la Lumière, en vous et sur ce monde. Tout d'abord, je m'adresse à vous, en rendant grâce pour votre constance, votre Présence, et votre aptitude à Communier avec la Lumière, entre vous, avec nous. Car tout ce que vous réalisez, au sein de l'Être et de votre Présence, est un travail d'appui et de Grâce, pour la Terre. Car, dans l'Accomplissement de la Lumière en vous, dans cet Accomplissement individuel, vous favorisez l'Accomplissement collectif de la Terre. La préparation que vous avez conduite, les uns et les autres, avec nous, que nous avons menée, tous ensemble, à différents degrés, dans différents états, dans différentes Dimensions, rend possible (comme vous le savez déjà) le moment collectif de la Terre. Ce moment-là a été préparé, anticipé. Il vous reste à cueillir les fruits de la Grâce. Il vous reste à accueillir la Lumière Blanche, en totalité. Chose que vous réalisez dans les processus que chacun d'entre vous vit, aujourd'hui. Car vous ne pouvez être ailleurs qu'à la très bonne place, pour vous, dans ce que vous avez à vivre. Car tout ce que vous vivez, dans cet Accomplissement de Lumière, est une préparation pour l'ensemble de la Terre, pour l'ensemble de vos Frères et Sœurs, de nos Frères et Sœurs, dans cet Accomplissement. Aujourd'hui, je n'ai pas grand élément à vous communiquer car beaucoup de choses seront dites lors de ma dernière venue, dans cet espace des cinq Rencontres, où je dévoilerai des éléments qu'il est difficile de qualifier avec des mots. Mais concernant, si l'on peut dire, l'établissement, en vous, de la Grâce totale, de la polarité féminine de la Lumière, dans son action. Représentée par les Étoiles de l'Unité, et les Étoiles AL, ainsi que ma Présence, formant, en quelque sorte, une tri-Unité, telle qu'elle avait été annoncée, voilà plus d'un an et quelques mois, par l'Archange Mikaël, mais dans sa polarité féminine, qui représente l'accueil de la Lumière dans une autre strate, dans votre Conscience, vous permettant, au-delà de la délocalisation, de vivre, ici-même, dans ce corps, dans cette chair, l'accès à votre Éternité, vous faisant conscientiser (encore plus, si cela est possible) ou découvrir (pour ceux qui ne le vivent pas encore) que vous n'Êtes pas ce que vous croyez être. Que vous n'êtes pas le résultat d'autre chose que de la Lumière. Rappelez-vous : ce qui vient est la Lumière. Il n'y a nul jugement, nul châtiment, sauf dans la tête de ceux qui l'ont imaginé car comment le Cœur pourrait-il châtier ? Alors, bien sûr, ceux d'entre vos Frères et vos Sœurs qui sont dans la peur, dans le doute, ceux qui, pour l'instant, refusent ou refuseraient encore la Lumière, ont échafaudé, pour cette période, nombre de scénarii extrêmement pénibles, par peur, par incompréhension. Aujourd'hui, plus que jamais, vous qui vivez ces processus inhabituels de votre Conscience, quelle qu'en soit la teneur et quelles qu'en soient les manifestations, rappelez-vous ce que vous Êtes. La mémoire de votre Éternité revient, venant, en quelque sorte, chasser les mémoires de l'éphémère de vos vies, les mémoires de vos passés, les mémoires où la Lumière n'était pas présente. Tout cela est Vérité, comme je vous l'ai dit, car vous allez vous renforcer dans votre Lumière, dans la Conscience de l'Être, dans l'Unité, et dans la Vérité. Le Feu de l'Esprit consume, en vous, ce qui doit l'être. Ce Feu de l'Esprit (qui a été attisé par nos Rencontres) va souffler dorénavant sur la Terre, de manière plus ample. Bien sûr le résultat n'est pas le même pour ceux qui sont dans la peur et pour ceux d'entre vous qui sont dans la Joie et dans l'Espérance. Mais rappelez-vous que la Lumière ne sera jamais un châtiment de quoi que ce soit. Elle n'est qu'un déploiement de la Grâce, de la Vérité, de la Beauté, venant vous restituer à vous-même. Et seulement cela. Tout le reste ne sont que des échafaudages construits par la peur qui se situe, toujours, en dehors du Cœur, et toujours dans la tête. Oubliez tout cela. Renforcez ce que vous Êtes. Renforcez la Vérité et la Beauté de la Lumière que vous Êtes. Tous les processus que vous vivez et le processus de la nouvelle, entre guillemets, tri-Unité, qui s'installera en vous dans très peu de temps, vous fera découvrir encore plus de Grâce, encore plus de Beauté, encore plus de Douceur, encore plus de Vérité, encore plus de Beauté et de Bonté. Tout cela, vous ne le rêvez pas et vous ne le rêverez pas. C'est justement ces éléments qui vous permettent de vous extraire du rêve, de l'Illusion. De vous Réveiller à ce que vous Êtes, bien au-delà de l'éphémère de ce corps, de l'éphémère de cette vie, à votre Éternité. Vous êtes Parfait, car tout est Parfait dans les mondes Unifiés, car la Joie est omniprésente. Tout cela, si vous ne l'avez pas encore Réalisé, vous allez le conscientiser et le Réaliser de manière de plus en plus large, de plus en plus lucide. Ces Noces de Lumière, ce déploiement de la Lumière Blanche au sein de votre Conscience, et non plus seulement dans votre corps, vous délocalisant, vous ouvrant à l'Êtreté et à la Joie de l'extase, ne sont pas des illusions car vous savez vraiment ce que vous vivez dans ces moments-là. Et vous savez que ces moments-là, quelle qu'en soit la profondeur, vous amènent à toujours plus d'intensité, à toujours plus d'Amour, à toujours plus d'Unité, à toujours plus de Service. Vous appelant à transcender le regard séparé et divisé. Vous appelant à devenir ce que vous Êtes, c'est-à-dire la Joie et l'Éternité. Je vous avais dit qu'aujourd'hui, aussi, je répondrais à vos questionnements concernant ce que vous vivez. Alors, mes mots s'arrêteront là, en ce que j'avais à vous dire, ce soir. Mais je vous écoute maintenant et apporterai le mot nécessaire à ce que vous me demanderez. Question : comment vivre, au mieux, les brûlures et les gênes qui augmentent dans les yeux ? Bien aimé, se recentrer, toujours plus, au plus ultime de l'Ệtre, au centre infini de l'Ệtre, là où n'existe plus rien d'autre que le Silence de l'Éternité de ta propre Présence, t'appelant à voir l'Essence de ton Ệtre, et non plus les manifestations de la vie ou les manifestations de la Lumière. C'est une invitation, pour toi comme pour ceux qui vivent cela, à délaisser ce qui peut être vu, avec les yeux, même si la Vision Éthérique fait partie d'une certaine forme de développement de qui vous Ệtes. Aller au-delà, c'est passer au-delà de la vision (même celle du Cœur). C'est s'établir dans le Silence de l'Instant et de l'Éternité. Alors, à ce moment là, au sein de cet espace, tout s'arrête : tout ce qui appartient au corps, tout ce qui appartient à quoi que ce soit qui n'est pas l'Essence même de ton Ệtre. Alors, dans ces instants là (privilégiés), toute manifestation agréable (comme désagréable) n'a plus à se manifester car plus rien ne se manifeste dès l'instant où tu touches l'Essence centrale de ta propre Unité. L'ensemble du Déploiement de la Lumière a réalisé, en vous, divers symptômes qui vous ont été fort bien énoncés (et annoncés) par les Anciens, par d'autres Étoiles. Aujourd'hui, il vous faut dépasser et transcender tout cela. Vous établir au-delà des espaces Vibratoires qui arrivent vers vous, dans l'Espace du Silence de l'Unité dont vous parlait déjà (voilà quelques années), comme aboutissement, l'Archange MIKAËL, à la fin des Noces Célestes. Aujourd'hui, il est, pour certains d'entre vous, un moment où tout doit cesser, c'est-à-dire toute activité, toute action. S'établir dans l'Ệtre, c'est faire le Silence. C'est accepter que le Déploiement de la Lumière ait manifesté des signes, des symptômes. Mais, il vous faut, maintenant, aller au-delà de toute manifestation, pénétrer au Cœur de l'Ệtre, là où tout n'est que Joie et Paix, là où n'existe plus aucune trace de la personnalité, ni aucune trace de la vie éphémère. Alors, à ce moment là, tu constateras, par toi-même, qu'il n'y a plus de manifestations du corps, qu'il n'y a plus de manifestations de symptômes, qu'il y a, simplement, l'Ệtre, dans sa Lumière. Et, à ce moment là, tu vivras l'Éternité. Et, quoi qui soit concerné et vécu par le corps (dans certaines manifestations), quoi qui soit concerné et vécu par ta propre vie, cela ne t'appartiendra plus. Alors, à ce moment là, tu sauras (car tu le vivras) que tu es arrivé et qu'en fait, il n'y a jamais eu de point de départ et jamais de point d'arrivée mais, simplement, un état d'Ệtre à vivre et à rendre totalement conscient. Le temps des symptômes et des signes (ceux de vos Vibrations) et de l'accès à des états non ordinaires (même de délocalisation), sont des expériences à mener, parce qu'ils vous donnent, en quelque sorte, la preuve de qui vous Êtes. Mais, il vous faut, maintenant, vivre qui vous Êtes et non plus les manifestations, quelles qu'elles soient. Alors, bien sûr, vous n'en êtes pas, tous, au même stade ni aux mêmes strates mais, pour toi (et pour ceux qui vivent ces manifestations), il vous faut dépasser la manifestation. Car, dans l'Ệtre, il n'y a plus rien à manifester, si ce n'est la Présence ultime de l'Ệtre et l'Accomplissement de la Lumière que tu Es. À ce moment là, tu seras, totalement, dans (comme dit l'Archange ANAËL) HIC et NUNC, ICI et MAINTENANT. Tu ne seras plus dans une manifestation. Tu ne seras plus la personne que tu es. Tu seras Un. Et tu ne seras plus affecté par une manifestation car tu saisiras, à ce moment là, que tu n'es même plus la moindre de tes manifestations. Il y a, donc, une nouvelle étape : cette étape, finale et ultime, qui est à conscientiser, à vivre, à Révéler. Qui est bien au-delà du Déploiement de la Lumière mais qui est, en quelque sorte, ce que je nommerais, l'installation dans la Lumière. Et cela va être rendu possible par l'action de la Tri-Unité dans sa Polarité féminine (à défaut d'autre mot). Question : pourriez-vous développer sur l'Amour Véritable ? L'amour humain, tel que nous l'avons tous vécu (quand nous étions incarnés), est un amour qui fonctionne par le lien. C'est un amour qui est, comme vous le savez peut-être, conditionné et conditionnel parce qu'il tient compte de relations (affectives, sensuelles, familiales ou autres). Cet amour là est toujours conditionnel à une certaine forme de réciprocité, à une certaine forme de convenance, à une certaine forme d'accord tacite, rempli de joies et de peines, d'obligations, de sens moral et d'humanité. L'Amour Véritable est au-delà de l'humanité. L'Amour Véritable est le don de soi, à Soi. C'est vivre l'Unité. C'est vivre l'Amour de la Création. C'est devenir, au-delà de la créature, le Créateur. C'est devenir le Tout, le Un. Et, dans cet Amour là, il n'y a pas de place pour la succession de joies et de peines. Dans cet Amour là, il n'y a que Félicité absolue parce que cet Amour là est libre, en totalité, de toute dépendance et de toute condition (de toute condition humaine). Mais, il n'est pas au-dessus de l'humanité car il faut descendre, justement, dans l'Humilité et la Simplicité, la plus totale, pour découvrir cet Amour Véritable. C'est l'Amour qui libère. C'est l'Amour qui met en Joie. C'est l'Amour qui, surtout, ne dépend d'aucun lien existant au sein de ce monde. C'est l'Amour qui restitue, par abandon de soi au Soi. C'est à cela que vous êtes appelés. C'est cela, si telle est votre aspiration, que vous devez (si vous le souhaitez) vivre et établir en vous. Bien sûr, cela ne va pas, pour autant, détruire, en totalité, les liens conditionnels. Parce que l'humanité est conditionnelle. Et l'humain est conditionnel, par son Essence qui a été privée, justement, de sa Vérité. Simplement, vivre l'Amour Véritable vous rend capables de vivre tous les autres amours, avec une autre conscience, un autre regard, qui n'est plus celui des liens, qui n'est plus celui des limitations, qui n'est plus celui de la succession permanente des joies et des peines. Parce que cet Amour là est Libre et il est indépendant de toute réciprocité. Il n'a pas besoin de cette notion de réciprocité. Voilà ce que l'on peut dire, avec des mots, dans l'Amour Véritable. Mais, bien sûr, l'amour humain est un moyen, et un frein, pour arriver à cet Amour Véritable. Un moyen parce qu'il appelle à une transcendance de la limite mais, aussi, parce qu'il est un frein dans beaucoup de relations, de par les conditions morales, sociales et de la chair, qui vous empêchent de vivre l'Amour Véritable. Alors que l'Amour Véritable, lui, ne vous empêche pas de vivre l'amour humain limité : un autre éclairage, un autre regard, une autre façon de vivre l'Amour et d'être l'Amour, surtout. Beaucoup d'humains, beaucoup de Frères et de Sœurs, en incarnation (et je fus, certainement, aussi, dans cette façon de voir, quand je fus mère), nous considérons, toutes, que la chair de notre chair est notre chair et qu'il y a lieu d'établir, dans cette filiation, une relation privilégiée. Mais, rappelez-vous ce que m'a dit mon Fils, sur sa croix : il m'a dit que je n'étais pas sa mère. Et il avait tout à fait raison. Mais, cela, à ce moment là, je ne pus pas le comprendre sur l'instant mais seulement au moment de mon Assomption. Parce qu'à ce moment là, je réalisais la plénitude de la Pureté, la plénitude de l'Unité. Ce que vous êtes appelés à vivre, aujourd'hui, est, bien sûr, l'accès à cet Illimité. Mais, pour cela, il faut vous défaire de tout ce qui est limité, non pas en rejetant, non pas en éloignant de vous mais en transcendant ce que vous êtes. Sortir de l'avoir. Rentrer dans l'Ệtre. Ne plus adhérer à ce qui est faux, à ce qui est illusoire et éphémère. Certains poètes ont dit que vos enfants n'étaient pas vos enfants. Il existe, au sein des Mondes Unifiés, la Liberté la plus totale. Même s'il existe des filiations dites spirituelles ou Dimensionnelles, vous êtes Libres. Il n'y a aucune relation qui puisse vous enfermer. Il n'y a aucune relation qui puisse vous freiner puisqu'au sein des Mondes Unifiés, tout est Communion, tout est Liberté et tout est Joie, tout est Transparence. Qui peut dire qu'une relation humaine est transparente ? Parce qu'elle est bâtie, de toute éternité, par des sous-entendus, liés à vos émotions, à vos séductions, à vos pensées. Tout cela est profondément limité, limitant et est, profondément, débilitant pour l'Ệtre. L'Amour Véritable n'a que faire de tout cela. Question : pourriez-vous développer sur la notion de Pureté ? La Pureté rejoint la notion de Transparence. Mais, attention à ce que la Pureté ne devienne pas un objectif de la personnalité. À ce moment là, la Pureté doit être considérée comme le besoin de se purifier, le besoin d'éloigner de soi ce qui est sale, ce qui n'est pas la Lumière. Cela est faux car cela ne révèle qu'un attrait de la personnalité, dans les jeux de l'Ombre et de la Lumière. La Lumière est pure, par Essence. Elle est Transparente. Elle vous engage à être cela. Et, dans la Transparence, il ne peut exister aucune Ombre qui puisse interférer avec la Pureté. Ce n'est pas la même chose que de vouloir la pureté, au sein de la personnalité. Car cela ne fait que traduire, en définitive, qu'un manque profond de Pureté, en soi, et dans la conception que l'on a de soi. Car, à ce moment là, l'être humain qui va rechercher la pureté, va rechercher, au travers de ses insuffisances, quelque chose qui correspond à un manque, à une souillure profonde. Et il va rechercher cette pureté, de manière active et effective, dans sa vie alors, qu'en définitive, il n'y a rien à rechercher par rapport à la Pureté. Cherchez le Royaume ces Cieux et tout le reste découlera de là. La Pureté ne fait pas partie des Étoiles : ce n'est pas par hasard. Question : vous avez indiqué qu'un palier avait été franchi. Pourriez-vous développer ? Bien aimé, il suffit, simplement, de regarder (et je m'adresse, là, à chacun de vous qui lirez ou qui m'écouterez). Regardez votre vie, il y a encore un an, il y a encore deux ans. Regardez, objectivement, ce que vous étiez : vos comportements, vos actions dans la vie. Qu'est-ce qui dirigeait votre vie ? Et regardez, simplement, aujourd'hui, ce qui dirige votre vie. Est-ce que l'Ệtre a pris la place de l'avoir ? Est-ce que la Transparence a pris la place, progressivement, de l'opacité ? Quels sont vos objectifs ? Tout cela se voit à travers le chemin parcouru. Le palier (dont nous vous parlons, depuis quelques semaines) correspond à cette capacité, nouvelle, de votre Conscience, à ne plus être tributaire d'un corps, d'une histoire, d'une fonction (fût-elle la plus spirituelle). Elle permet de vous établir dans l'Ệtre Essentiel, appelé l'Ệtreté, l'Unité. Il y a des noms multiples pour cela. La meilleure façon de définir les paliers, c'est de regarder ce que vous êtes, aujourd'hui, et ce que vous étiez, simplement, il y a un an. Quel que soit où vous étiez, regardez là où vous êtes, aujourd'hui. De là où vous êtes partis, vous êtes arrivés à cela. Que s'est-il passé ? Posez-vous la question. Question : Que sont les Présences et des couleurs non définissables qui sont ressenties lorsqu'on pratique les mouvements de la tête qui ont été donnés dernièrement ? Mon Enfant, cela représente l'un des multiples aspects de la délocalisation de la Conscience. En répondant de manière beaucoup plus simple, parce que cela correspond effectivement à la vérité essentielle de ce que vous êtes en train de vivre. Vous étiez insérés dans une réalité tridimensionnelle altérée, vous privant de multiples aspects de l'Être que vous êtes en Vérité et en Éternité, ce que vous vivez au travers des délocalisations, au travers des visions Éthériques, au travers de la perception de diverses Présences et couleurs, ne fait, en fait, que traduire votre réveil. Vous sortez du sommeil de l'illusion et vous rentrez dans l'éveil à la Vérité.L'analogie que l'on peut trouver la plus simple, est simplement, le moment où vous endormez le soir et le moment où vous vous réveillez le matin. Ce qui arrive le matin, au moment du réveil, c'est très exactement ce qui est en train de vous arriver. Vous êtes à l'aube d'un jour nouveau qui est simplement le jour où vous émergez d'un sommeil profond, d'un sommeil où tout était illusion et pourtant où votre conscience limitée considérait tout cela comme la seule vérité possible, (inscrite entre la naissance et la mort, ou en une succession de morts et de renaissances) vous amenant justement à vous purifier sur des plans nommés action/réaction pour aboutir à une certaine forme de libération. Mais jamais, ceci ne pourra être une libération. C'est une Illusion. Aujourd'hui ce que vous vivez par les différents processus de délocalisation, comme de doutes, comme de transformation de votre conscience, n'ont qu'un seul but, vous l'avez compris, celui de vous réveiller de votre sommeil. Et vous êtes maintenant à votre matin, à votre réveil. Alors, vous découvrez d'innombrables choses qui vous étaient inconnues, non par le filtre de la connaissance, non par le filtre de la tête, mais directement par la Conscience elle-même, bien au-delà même de mécanismes vibratoires que vous avez vécus jusqu'à présent. Tout cela, fait partie incontestablement, de votre réveil matinal, de l'aube d'un jour nouveau, celui de votre réveil final dans l'instant collectif de la terre. Vous sortez d'un rêve. Cela est la stricte Vérité. Question : Lors de votre dernière intervention vous avez parlé d'aller davantage vers les autres. Pourriez-vous développer ? Aller vers les autres, il y a plusieurs façons d'aller vers les autres, mon Enfant. Aller vers l'autre, c'est aller vers soi, car les autres ne sont que soi. Prendre conscience de cela, c'est mettre fin à toute distance et à toute séparation. Tant qu'il existe, au niveau de la personnalité et de la tête, quelque chose qui va juger en toi, l'autre, qui va voir en l'autre quelque chose qui n'est pas agréable, c'est que tu ne vis pas l'Unité, car l'autre ne sera toujours que le reflet de toi-même, car, il n'est rien d'autre que toi-même. La Conscience est Une et seulement Une, il ne peut en être autrement. Ainsi, aller vers les autres, c'est aller vers Soi. C'est aller bien au-delà du sens du service et du dévouement habitue, même si, celui-ci est indispensable pour découvrir l'Humilité. C'est Communier à l'autre. C'est fusionner à l'autre. C'est se dissoudre dans l'autre qui n'est rien d'autre que soi, à un autre moment. Cela, pour l'instant, peut vous sembler simplement des mots, mais quand je dis que l'autre n'est que vous à un autre instant, quand vous serez totalement réveillés, vous comprendrez cela, car c'est la stricte vérité. Et vous le comprendrez en le vivant non pas intellectuellement. Bien sûr, vous le savez, sur cette Terre, il y a beaucoup de nos Frères et Sœurs qui ne veulent pas sortir du rêve, mais qu'y pouvons-nous ? Nous n'avons plus de questionnement, nous vous remercions. Mes Enfants bien aimés, je vous dis donc : « À dans une semaine, à la même heure ». Nous allons, si vous le voulez bien, par anticipation, vivre un espace de Communion aidés par mes Sœurs, GEMMA GALGANI et MA ANANDA MOYI, dans l'espace de la Tri-Unité dans sa Polarité Féminine. Je vous dis : « À très bientôt ». Je suis avec Vous, car vous êtes avec Moi. Je suis Vous car vous êtes Moi. Ensemble, vivons maintenant cela. ... Effusion Vibratoire / Communion... Mes enfants Bien aimés, que la Grâce vous comble et, je vous dis à dans une semaine.
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