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#table et chaise enfant
achievementthunter · 8 months
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Kids Room - Industrial Kids Large urban girl example of a light wood floor kids' room with green walls.
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heyoctaneboy · 1 year
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Kids Room - Industrial Kids Large urban girl example of a light wood floor kids' room with green walls.
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lounesdarbois · 9 months
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Bernhard Roetzel
Le luxe s'achète, le goût s'acquiert, l'élégance est innée. Bernhard Roetzel est l'auteur de manuels d'éducation du goût portant sur les détails de la culture occidentale. Ses livres illustrés Der Gentleman (1999) et Traditional Style (2000) sont des reportages photographiques de chaque aspect concret de la  Culture européenne: le vêtement, l'ameublement, les arts de la table, l'éducation des enfants, l'ordonnancement urbain, la classification des loisirs, jusqu'à l’entretien d’une pelouse, au cirage des chaussures ou à la préparation du pique-nique champêtre. Ce sont là des choses connues? Pourtant nous redécouvrons à neuf chacune d'entre elles, ressuscitées, à la lumière de photos et de commentaires dont l'efficacité sont sans concurrence dans ce domaine. M. Roetzel est un réenchanteur de tout ce que nous aimons dans le monde.
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Il y avait davantage de sagesse dans le concret des gestes quotidiens de nos grands-parents que dans la pseudo-philosophie du 20ème siècle. Vivre ainsi aujourd'hui, en Français traditionnel, est une voie ouverte à qui veut la prendre: la Culture Européenne détaillée par Roetzel est intemporelle ; la forme de cette Culture touche à une perfection qui ne souffre ni ajout ni retranchement.
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Nous vivons au milieu des pièces d'un fabuleux héritage et y sommes accoutumés au point de ne plus même le voir. Ce faisant nous perdons l'usage de ce legs, oublions d'où nous venons, qui nous sommes et ce que nous faisons.
Un homme annonce-t-il vouloir diriger une ferme, un village, une ville ou une région? Pour évaluer la confiance à lui accorder vous étiez jusqu'ici habitués à écouter ses discours. Vous examinerez désormais la manière dont cet homme a dirigé son propre domaine: son jardin, sa maison, son studio de 20 mètres carrés, sa toilette du jour. L'homme fidèle en peu de choses est capable de grandes choses dit l’Evangile.
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Notre monde du tertiaire, du débat, de l'abstrait, est rempli de directeurs de cabinet mais vide de chef de protocole. Aux "valeurs" il est bon de joindre les actes. C'est la stature, l'incarnation, l'exemple vivant qui nous donnera sans recours aux mots les clés de la vraie Culture. "Je n'ai point besoin de sermon mais de délivrance légère" disait Céline.
Der Gentleman est à la fois une encyclopédie du vêtement masculin, jalonnée d'encadrés, de bonnes astuces, et une notice d'utilisation, un vrai mode d'emploi de la vie pratique. Si Der Gentleman constitue le catalogue de l'Européen habillé, Traditional Style explore le cadre de vie de ce même homme. Ces deux titres complémentaires ont pour objet ce que les peuples occidentaux ont produit de plus beau, de plus intelligent, de plus pratique, bref d'objectif, au point d'y convertir le monde entier: porter un pantalon, manger avec des couverts dans une assiette, s'asseoir sur une chaise, dormir dans un lit. La fenêtre, le savon, la salle de bains et mille autres objets spécifiquement occidentaux sont eux aussi devenus objets universels.  Roetzel a expliqué, illustré chacun de ces éléments considérés dans leur finition la mieux aboutie.
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Est-ce en raison du fameux "esprit de système" germanique qu'il fallait que Bernhard Roetzel, allemand, fût le pédagogue le plus complet sur la culture anglaise, par exemple? L'Angleterre, l'Italie et la France sont des revendicateurs bruyants d'un certain art de vivre. Il existe en Allemagne une classe d'esthètes ignorée du reste du monde et peu soucieuse de s'en faire connaître. La bourgeoisie patrimoniale et industrieuse de Cologne, Munich, Hanovre, Brême, Hambourg, aux bourgeoisies très Heimat, connaît bien ses codes culturels : habitat, vêtement, sport, éducation, voiture, art et artisanat. Une bourgeoisie probablement plus raffinée, plus enracinée que la parisienne, que la londonienne, plus sérieuse, plus discrète.
M. Roetzel est un sujet qui s'efface pour ne montrer que l'objet, la chose en soi. En cela il rend davantage service à la cause qu'il sert que les "sartorialistes" montreurs de costume issus du youtubage. Seule doit demeurer la Culture, dont le vêtement et l'ameublement sont des catégories "superficielles par profondeur", parmi d'autres.
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La production d’une Culture est la preuve de la Conscience de Soi d’un peuple. Les primitifs ne produisent pas de culture. Plus un peuple a de Conscience de Soi et plus la Culture qu’il produit est codifiée. L'exaltation de l'intelligence individuelle est une marque de basse époque, source de divisions hélas durables. La Culture, elle, est une intelligence collective, un pacifique ensemble d'habitudes forgées par l'expérience concrète de la vie, un tissu de réticences du Je en faveur du Nous, une science de la sous-expression (understatement), un code de reconnaissance communautaire à usage interne pour l'exercice du Bien Commun. La Culture était très understatement jusqu'à la fin des années 1990, avant les années Eden Park, avant la vague tapageuse du faux preppy, du genre gala d'école de commerce, lorsque l'argent était encore une chose un peu honteuse et que les classes sociales d'avant internet vivaient dans un relatif cloisonnement. Charme discret de la petite bourgeoisie locale, où êtes-vous ?
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M. Roetzel écrit non en conseiller en mode mais en technicien de la culture attentif aux faits, aux actes et aux objets qui équipent celle-ci, il rédige un rapport d'enquête renseigné, neutre, qui démontre chaque argument par la photographie appropriée.
Le vrai style ne peut être sujet qu'à un ou deux changements mineurs par génération. Contrairement à la mode le style est stable, sa supériorité n'est pas dans le renouvellement cyclique de nouveautés mais dans le perfectionnement d'une Forme qui vise la plus pure exactitude fonctionnelle. L'ergonomie du vêtement bien pensé, l'importance de connaissances en anatomie pour former de bons modélistes, vastes sujets qui sont la voie royale du bel habillement.
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Deux principales tendances accaparent les hommes: ils sont plutôt exhibitionnistes ou bien plutôt voyeurs c'est ainsi. Les exhibitionnistes sont la majorité de ce monde qui gît au pouvoir du mauvais goût, individus à haute estime de soi et basse conscience de soi. Monsieur Roetzel appartient au tempérament exactement opposé, celui du voyeur, celui des hommes en retrait qui aiment voir et n'être pas vus, qui ont tout compris et que personne n'écoute, c'est pourquoi ils écrivent.
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firebirdxvi · 5 months
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Fils du Feu 09 ~ Flamme retrouvée
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- "Apporte ceux-ci à l'Emissaire, Jote. Je les ai spécialement triés selon les thèmes qu'il préfère !"
La petite fille attrapa la pile de livres que lui tendait l'archiviste et fit en sorte de mettre un pied devant l'autre sans tomber. Heureusement, elle connaissait par coeur le chemin jusqu'aux nouveaux quartiers que Joshua s'était choisis. Se glissant entre les Immortels qui circulaient dans les couloirs, elle parvint enfin à la grande porte autrefois scellée, et qui, grâce au pouvoir de l'Emissaire de Phénix, demeurait toujours ouverte dorénavant.
Elle entendait la voix du jeune homme qui indiquait aux acolytes où poser ses nouveaux meubles. Jote ralentit le pas afin de ne pas gêner les aller et venues. Elle jeta un oeil dans l'alcôve élue par Joshua ; elle se situait un peu plus profondément dans le bâtiment céleste que le reste des pièces de vie, le garçon l'avait repérée durant son périple avec Adalia. Elle était assez spacieuse pour recevoir un grand lit, une table, trois chaises ainsi que le fameux fauteuil en velours rouge - que Joshua semblait tant aimer - et des étagères de livres en nombre. Cette pièce disposait également d'une vasque encastrée, presque semblable à celle du Nid. On était en train d'installer une armoire pour lui permettre de ranger ses vêtements.
La petite fille, essoufflée, posa les volumes sur le sol et s'accorda un moment de répit. Depuis que l'Emissaire avait "éveillé" la cathédrale, les torches n'étaient plus nécessaires. Une lueur bleue suintait de tous les pans de roche grise. Elle ne nécessitait aucune variation car, que ce soit pour la veille ou le repos, elle demeurait d'une intensité parfaite. Les Immortels avaient donc remisé les torches ou les cristaux lumineux, préférant cet éclairage optimal pour toutes les taches de leur quotidien.
Quand Adalia lui avait raconté dans le détail leur voyage souterrain, Jote s'effraya beaucoup ; puis elle regretta de ne pas les avoir accompagnés. Les lieux semblaient receler quelques dangers pour l'heure encore endormis, mais cela avait été rapporté à Cyril, qui avait défendu à quiconque de pénétrer plus avant dans la cathédrale. Joshua aurait aimé explorer les profondeurs encore davantage, mais son humeur était si changeante que ses projets étaient constamment modifiés.
Il avait pris part à la vie du refuge, et déambulait parmi les adeptes avec une certaine aisance, essayant de se rendre utile. Cela rendait les Immortels nerveux ; leur dieu n'était pas censé les aider, même si sa seule présence parmi eux les mettait ordinairement en joie. Joshua était le premier à se précipiter dès que quelqu'un faisait tomber quelque chose, ou se blessait. Il semblait ne plus se souvenir comment guérir les blessures, et il restait alors, interdit et comme muet, tenant la main du fidèle blessé au bord de la syncope, qui n'en revenait pas que le Phénix lui-même lui fasse la grâce d'un simple contact physique.
Jote ne doutait pas qu'il retrouverait cette faculté mais il s'agissait avant tout de canaliser son énergie. Joshua pouvait se montrer d'une folle témérité, puis l'instant d'après se plonger dans un livre et dans le silence pendant des heures. Il prenait des décisions audacieuses par lui-même pour certaines choses, mais se comportait comme un petit enfant timide pour d'autres, quémandant la permission de faire ceci ou d'aller là à chaque Immortel qu'il croisait. Il courait parfois dans les corridors avec une idée fixe en tête, puis s'arrêtait en pleine course, songeur, s'appuyant contre le mur pour réfléchir et faire demi-tour. Ses cinq années de sommeil semblaient avoir quelque peu affecté sa capacité à prioriser les choses et à prévoir les dangers.
Il aimait par-dessus tout revêtir la bure grise des Immortels - il avait réussi à s'en procurer une - et se glisser parmi ses fidèles incognito. Jote l'avait déjà vu faire. Un jour, il s'était assis avec les adeptes durant une de leurs séances de prières, et s'était assoupi, comme mis en transe par les paroles douces et monocordes de Maître Cyril. Mais quand il se déplaçait dans les couloirs, les fidèles finissaient par le reconnaître car il avait une façon bien à lui de marcher, du genre de celle qu'on apprend dans les châteaux. Jote s'en amusait souvent, quand il se faisait démasquer et que l'Immortel qui le houspillait une minute plus tôt comme un vulgaire apprenti se confondait en excuses en s'aplatissant presque par terre.
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- "Vous devriez traiter tous vos semblables de la même manière que vous me traitez", expliquait alors Joshua avec patience. "Ou alors traitez-moi comme un des vôtres, cela m'est égal."
Cyril savait tout ceci mais il avait décidé de laisser l'Emissaire agir à sa guise.
Une semaine passa ainsi depuis que Joshua s'était installé dans son nouveau décor. La petite fille prévoyait qu'il aurait de nouveau la bougeotte d'ici peu. Elle le vit soupirer, les yeux levés, quand elle lui amena les cristaux pour son bain. Elle les posa sur la table et demanda la permission de s'assoir.
- "Jote, est-ce que vous croyez que je pourrais sortir ?"
L'Immortelle prit quelques secondes avant de comprendre ce que le mot "sortir" signifiait vraiment ici.
- "Vous voulez dire... dehors ?"
- "Oui, hors du refuge."
Elle saisit alors tous les sens que cette question pouvait revêtir. Il était bien évident que Maître Cyril n'empêcherait pas l'Emissaire d'aller où il voulait ; mais quant à savoir si Joshua était "capable" de sortir à l'extérieur, au soleil, sous le ciel, de retrouver ses semblables, des individus qui ne seraient pas des Immortels dévoués, c'était une autre histoire. Il semblait se porter relativement bien sur le plan physique, même s'il manquait encore d'exercice pour retrouver une pleine forme. Ses pouvoirs d'Emissaire semblaient revenus mais il était difficile de juger de leur puissance et de l'aide qu'ils pouvaient lui apporter en cas de besoin. L'usage de la magie était de toute façon très contre-indiquée dans et en dehors du refuge ; cela attirait beaucoup trop l'attention.
Jote avait entrepris de suivre des cours d'escrime avec leur maître d'arme mais elle n'en était encore qu'au commencement. Elle ne serait d'aucune aide pour le jeune garçon s'il était en danger. Pour l'instant... Jote se gifla mentalement ; Joshua exprimait le souhait de retrouver la vie et elle imaginait déjà le pire !
- "Vous devriez en parler avec le Maître", se contenta-t-elle de dire.
- "Bonne idée. J'aimerais voir Dame Adalia, elle me dira si je vais assez bien pour me risquer dehors..."
De nouveau, il avait adopté son attitude de petit garçon indécis, peu sûr de lui, alors que la veille il avait encore évoqué son idée de redescendre explorer les ruines célestes. Pour l'heure, il se dirigeait vers les quartiers du Maître d'une démarche pas aussi assurée qu'il l'aurait voulu.
Jote, de son côté, courut chercher la soigneuse. Elle ne gravitait plus autant autour de l'Emissaire mais se montrait toujours disponible dès qu'il avait besoin d'elle. Adalia se trouvait dans l'infirmerie et rangeait des flacons quand la petite fille vint presque se pendre à sa robe.
- "Ma Dame, Jo... l'Emissaire ! Il veut vous voir ! Il est avec Maître Cyril !"
- "Que se passe-t-il ?"
Jote pensa la rassurer en l'informant que le garçon désirait seulement quitter le refuge mais cela ne fonctionna qu'à moitié... Les deux Immortelles se hâtèrent dans le couloir, éveillant de nouveau l'inquiétude des acolytes qui les regardaient passer. Qu'avaient-elles encore en tête pour mettre le refuge sans dessus dessous ?
Joshua était sagement assis dans la chambre de Cyril et le Maître se tenait à ses côtés, l'air soucieux. Quand le jeune homme vit Adalia, ses traits se radoucirent et il lui sourit.
- "J'espère que vous êtes remise de notre petite aventure..."
Il s'était rendu compte par la suite du danger qu'il avait fait courir à la soigneuse en la laissant venir avec lui mais l'Immortelle ne lui en avait jamais tenu rigueur, même si elle avait eu grand peur.
- "Vous souhaitez sortir, Votre Grâce ?" demanda-t-elle en croisant les mains.
- "Effectivement, le Phénix trouve peut-être cet endroit trop... étroit pour sa grandeur", prononça Cyril sans aucun sous-entendu. "Je suis particulièrement heureux par la perspective de le voir régner de nouveau sur Rosalia, mais c'est encore un peu..."
- "Oh ! je ne compte pas me rendre en ville !" s'empressa de rectifier Joshua. "Juste... marcher sous le soleil, sentir le vent, écouter les sons de la nature... Je crois que tout cela me manque."
- "Si vous ne comptez pas vous éloigner des marais, cela ne devrait pas être trop dangereux. Je peux vous adjoindre une escorte," décida Cyril. "Je vais quérir de ce pas celui qu'il vous faut. En attendant, examinez Sa Grâce afin de vous assurer qu'il est... apte à cette excursion."
Le Maître s'éclipsa, laissant le trio dans son bureau. Adalia se pencha sur Joshua et commença un examen sommaire. Elle lui demanda comment il se sentait, s'il avait du mal à dormir, s'il avait bien mangé ses carottes, ce qui fit sourire de nouveau le jeune homme.
- "Jote m'en a fait manger. Je n'aime toujours pas ça mais j'ai voulu lui faire plaisir..."
- "J'aurais préféré que vous ne me disiez pas la vérité...", se renfrogna la petite fille.
Adalia regarda leur échange avec tendresse puis prononça son diagnostic.
- "Vous avez surtout besoin de vous dépenser. Vous êtes si jeune ! Vous ne pouvez pas rester ici tout le reste de votre vie. Cependant, ne vous épuisez pas trop. Vous êtes encore fragile, même si vous n'en avez pas l'impression... Dans votre état, tout est une question de dosage ; vous devez apprendre où sont vos limites. Vous l'auriez appris naturellement si vous n'étiez pas tombé dans le coma durant la phase la plus importante de votre développement de futur adulte..." Adalia soupira. "Vous allez devoir faire avec et rattraper ce temps perdu, mais à votre rythme. Inutile d'aller trop vite ou de chercher les ennuis. Vous me promettez d'être prudent ?"
Joshua hocha la tête.
- "Je vous donne mon autorisation alors, en tant que médecin. Je me demande qui va vous accompagner..."
Elle n'eut pas longtemps à attendre. Le Maître revint accompagné d'un Immortel d'âge moyen, à la courte barbe brune grisonnante. L'homme portait une petite épée dans les mains, et une autre était ceinte à sa taille.
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- "Votre Grâce, voici votre escorte. Cet homme sera votre fidèle serviteur tant que vous vous déplacerez en dehors de ces murs. Et même davantage si vous le souhaitez."
Joshua jaugea l'homme d'un coup d'oeil, lui sourit et lui demanda :
- "Comment vous appelez-vous ?"
Les quatre Immortels échangèrent un regard un peu gêné, ne parvenant pas à s'habituer aux manières si désinvoltes de l'Emissaire qui brisait toutes leurs règles.
- "Votre Grâce...", commença l'homme, décidé à obéir. "Vous pouvez m'appeler comme vous le désirez..."
- "Donnez-moi un nom, n'importe lequel ! Ce sera plus facile pour moi d'être en votre compagnie si je peux vous appeler par votre nom."
L'homme sembla réfléchir mais Cyril prit les devants.
- "Nommez-le Baden, Votre Grâce."
- "Baden", répéta le jeune garçon en scrutant l'homme silencieux. Celui-ci hocha la tête. "Bien, Sire Baden. Menez-moi donc à l'extérieur par des chemins sûrs."
- "Avant que vous ne partiez, précisa Cyril, veuillez prendre ceci." Il lui remit dans les mains la courte épée que tenait Baden. "Vous n'avez pas de formation particulière même si on vous a enseigné les rudiments des passes d'armes dans votre jeunesse. Mais je me sentirais plus rassuré si vous portiez une arme."
- "Y a-t-il quelques dangers ?" demanda Joshua en passant la ceinture autour de sa taille.
- "Des bandits peuvent rôder dans les marais. Nous avons du nous débarrasser de quelques-uns trop curieux déjà..."
Il se rapprocha du garçon, peut-être un peu trop même pour son rang.
- "Je tiens à ce que personne ne vous voit pour l'instant. Restez à l'écart des foules", murmura Cyril. "N'utilisez pas la magie. Personne ne doit savoir que vous êtes vivant."
- "Comme je vous l'ai dit, je ne tiens pas à me rendre en ville", répondit Joshua en reculant, presque effrayé.
- "Que le Fondateur vous protège."
Le Maître les précéda dans le couloir vers la sortie. Jote et Adalia les suivirent un moment mais furent sommées de retourner à leurs occupations. Face à la porte circulaire qui le séparait encore du véritable monde des vivants, Joshua prit une grande respiration. Il connaissait cette émotion ; il avait eu la même quand son père l'avait officiellement présenté au peuple rassemblé comme l'Emissaire de Phénix. Son coeur avait alors tambouriné dans sa poitrine avec la même force qu'à présent.
Il n'avait pas besoin de clef pour actionner les battants. Plaçant sa main au centre du motif gravé, il attendit que le verrou céleste se débloque sous l'action de sa magie. Un souffle d'air frais faillit le renverser en arrière, tandis qu'il se protégeait les yeux des rayons du soleil, qui lui semblèrent alors d'une violence inouïe. Il plissa les paupières, mais il ne put empêcher ses larmes de couler devant l'assaut de la lumière. En même temps, il sentit une énergie naturelle envahir ses membres à mesure que l'astre du jour le touchait. Il avança en dehors du refuge, les mains toujours tendues devant lui, ne sachant trop où il allait. Il savait juste qu'il sortait pour aller quelque part.
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La main de Baden saisit la sienne pour le guider et petit à petit, sa vue s'accommoda. Le soleil ne brillait pas autant qu'il le pensait ; des nuages gris couraient dans le ciel et le disque lumineux ne faisait que quelques apparitions. Il se souvient confusément d'un chiot dont la fourrure avait la même couleur... Ses oreilles furent assaillies par un son qu'il reconnut comme étant un coassement de grenouilles. Il regarda où il mettait les pieds et vit des herbes hautes ainsi que des joncs se balançant tranquillement au vent. Un grand échassier s'envola en les repérant et le bruit de ses ailes parut extrêmement fort aux sens de Joshua.
Il avait l'impression de renaître réellement au monde, après une longue absence.
Baden lui laissa le temps de vaguer parmi les roseaux à la recherche de grenouilles dissimulées. Joshua remarqua alors que le refuge se trouvait sur une petite falaise au flanc d'une chaîne de montagnes basses. Vues de l'extérieur, les ruines ressemblaient aux pétales écartés d'une rose tranchante. Une petite forme blanche voleta jusqu'à la structure et se posa quelque part hors de vue.
- "Un stolas", annonça Baden. "Pour Maître Cyril, je suppose."
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En contrebas, Joshua vit la zone des marais rosaliens, qui se situaient au nord du pays. Ses notions de géographies étant rafraîchies par ses lectures, il savait qu'ils se trouvaient éloignés du village de Lestange ainsi que de Fort Phénix de seulement quelques kilomètres. De là où il était, il apercevait l'auberge du croisement, situé sur une éminence rocheuse, bien pratique pour prévenir les attaques.
Mais aucune position stratégique ne pouvait résister à l'armée impériale. Que restait-il de ce charmant petit bourg, dont il se souvenait à peine pour ne l'avoir traversé qu'une seule fois, pressé par le danger ?
Il se déplaça un peu plus en avant et la tour en ruines qui lui cachait la vue lui offrit un paysage plus dégagé. Il porta la main à sa poitrine de stupeur. Ce qui aurait du être un des projets les plus novateurs de son père exposait ses entrailles aux oiseaux et aux intempéries, comme un monstre abattu qu'on aurait dépecé. Le gigantesque aqueduc qui aurait du traverser le pays de part en part avait été abandonné. S'il avait été achevé, il aurait permit à nombre de Rosaliens de se passer des cristaux et des Pourvoyeurs pour leur approvisionnement en eau. Le coeur de Joshua se serra ; son père était mort avant de concrétiser ce rêve...
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- "Tout va bien, Votre Grâce ?" Joshua hocha la tête, comme absent. "Rosalia est toujours vivante malgré tout. Le souvenir des Rosfield ne s'effacera jamais. Les Sanbréquois ont bien tenté de le démonter, mais... ses pierres sont bien trop puissantes pour eux."
Il marcha en direction du rebord du plateau.
- "Voulez-vous descendre ? Faites attention, les marches sont traitres."
L'Immortel disparu alors de sa vue et le garçon se précipita en avant. Il vit Baden suspendu à la muraille, les mains accrochées à des entailles profondes creusées dans la roche le long de la paroi. Prenant son courage à deux mains, Joshua suivit son exemple et du beaucoup se concentrer pour coordonner ses mouvements. Arrivé en bas de la descente, il rata une marche et l'acolyte le rattrapa de justesse avant qu'il n'aille s'étaler piteusement dans une mare stagnante.
Il ne se formalisa pas de si peu, déjà accaparé par tout ce qui l'entourait. Il aspira une longue goulée d'air et expira lentement, ravi par les odeurs et les sons. Enfin, de vieilles sensations lui revinrent. La pleine conscience de la vie qui fourmillait tout autour de lui, même la plus infime, la plus invisible, celle qu'il avait toujours été le seul à percevoir, le renversa presque en arrière. Il tourna sur lui-même, laissant ses bottes neuves s'enfoncer dans le sol mou, comme saoulé par ce trop-plein d'émotions.
Il plongea ses mains dans une mare d'eau croupie avant que Baden ait pu l'en empêcher et regarda les lentilles d'eau se coller à ses doigts. Un crapaud sauta près de lui et Joshua se mit à rire en passant sa main mouillée dans ses cheveux blonds.
- "Attention, les crabes de vase sont particulièrement agressifs... et venimeux", s'inquiéta l'Immortel.
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Mais Joshua s'en moquait pour l'heure. Il écarquillait des yeux émerveillés sur chaque brins d'herbes, chaque petite créature, et écoutait attentivement tous les bruits de la vie sauvage comme si c'était la première fois. Comme repu, il indiqua du doigt l'aqueduc inachevé.
- "Je voudrais m'approcher des fondations. Est-ce possible ?"
- "Nous devons traverser la route et atteindre l'autre côté des Jonchères. Ce n'est peut-être pas très prudent..."
- "Nous ferons attention alors."
Laissant l'homme le guider parmi les mares, Joshua ne put s'empêcher de traîner en route, demandant le nom des oiseaux qui s'envolaient à leur passage. Baden lui répondait de son mieux avec une infinie patience, puis ils finirent par atteindre la route. Celle-ci montait jusqu'à l'auberge du croisement mais les deux explorateurs ne se rendaient pas là-bas. Ils se cachèrent dans des buissons afin de guetter une opportunité de traverser sans être vus.
Joshua vit passer des hommes, des femmes et des enfants, à pied ou à dos de chocobo ; des soldats aussi, à la livrée étrangère. Probablement des Sanbréquois. Ils n'hésitaient pas à rudoyer les voyageurs ; un Pourvoyeur isolé s'attira même leurs foudres en ne répondant pas assez vite à leurs questions. Le garçon serra les poings. La colère ne lui était pas familière mais une émotion nouvelle se fit jour en lui.
Ces gens étaient des Rosaliens, ses semblables, son peuple. Cette évidence lui fit perdre ses moyens. Pourquoi se sentait-il soudainement si lié à eux ? La vision de ces êtres simples, essayant de vivre leur vie quotidienne sous le joug d'un envahisseur qui ne faisait rien pour améliorer leur existence, le mit hors de lui. Mais il se contint en sentant la main de Baden étreindre son épaule.
- "Gardez votre calme, Votre Grâce. Un jour, nous leur ferons payer..."
Ils laissèrent passer la dernière cohorte et attendit qu'elle soit assez éloignée pour tenter la traversée. Les assises de l'aqueduc se rapprochaient et ils purent davantage apprécier l'audace de l'ouvrage.
De retour dans le marais, Joshua escalada de petits monticules immergés afin de toucher les vieilles pierres glorieuses. Son père lui avait si souvent parlé de cet édifice, mais il n'avait jamais eu l'occasion de le voir de près. Il lui disait toujours que ce serait sous son règne, à lui, que ce formidable outil serait achevé. Elwin Rosfield était un visionnaire, comme tous ceux de sa lignée ; peu lui importait de voir par lui-même les résultats de ses réformes ou de ses travaux monumentaux, tant que ses fils seraient là pour perpétuer ses idéaux.
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Un monument destiné à relier tout le monde... Oui, c'était tout à fait Elwin. Son père était un homme bon, épris de justice, et sa mort ignominieuse continuait de hanter Joshua. Cette image le poursuivrait jusqu'à sa propre fin.
Le garçon continua de marcher le long des arcades gigantesques, insoucieux de l'état de ses bottes. Un troupeau d'antilopes rayées se dispersa à son approche, s'égayant dans les hautes herbes et les mares. L'une d'entre elles, cependant, ne sembla pas pressée de s'enfuir. Elle se dirigea péniblement vers les deux hommes - car elle boitait - et s'immobilisa à un mètre de distance, la tête basse.
Joshua sentit comme un puissant appel. Se déplaçant vers l'animal, il perçut immédiatement sa souffrance. Sa source n'était pas difficile à deviner, car son sabot arrière refusait de se poser dans l'eau croupie et restait en l'air, forçant l'animal à rétablir son équilibre précaire à chaque instant.
- "Votre Grâce, cette bête est peut-être dangereuse. Quand ils sont blessés, ils peuvent..."
- "Non, elle veut de l'aide..."
Il tendit la main vers l'antilope et la laisser flairer ses doigts. Ses grands yeux noirs et doux, ourlés de longs cils, exprimaient une sensation que Joshua comprit parfaitement. Elle était épuisée et ne tarderait pas à se coucher pour mourir. La main de l'Emissaire glissa le long de son flanc, puis sur sa cuisse, enfin il se pencha pour examiner la blessure. Là, juste au-dessus du paturon, une plaie ouverte suintante répandant une mauvaise odeur. Pas bon signe... La chair avait commencé à se nécroser, l'infection était en marche. Si la blessure avait été causée plus haut sur le corps, la bête aurait pu s'en sortir, mais l'habitude des antilopes de marcher dans l'eau des marais ne lui en laissait aucune chance.
Il remonta sur le flanc et sentit la fièvre qui le faisait trembler. Il savait ce qu'il devait faire mais n'était pas certain d'y arriver... Il devait d'abord débarrasser la plaie des saletés qui s'y étaient accumulées afin de sauver les tissus. Il guida la petite femelle antilope vers un endroit sec - elle se laissa faire - puis commença à se concentrer. Il ferma les yeux et tenta de visualiser toutes les impuretés qui s'étaient insinuées dans la plaie. Cela lui demanda de faire appel au pouvoir du Phénix ; lui seul pouvait lui permettre de déceler ce qui était invisible à l'oeil nu. Laissant l'oeil du Primordial le guider, le feu guérisseur se mit alors au travail.
Baden n'osait pas prononcer un seul mot, captivé par le processus. Il se mit même à genoux et commença à psalmodier des prières au Phénix, comme pour aider Joshua. Celui-ci n'entendait rien d'autre que le bouillonnement du sang, les battements de coeur entêtés de la bête. Quand il rouvrit les yeux, la plaie saignait de nouveau ; mais le sang était clair et sain, il avait vaincu l'infection.
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Il devait maintenant reconstituer les tissus détruits. C'était le plus délicat. Il devait entrer lui-même dans l'organisme malade pour "copier" en quelque sorte le membre sain. Il s'assit par terre et se colla tout contre le flanc chaud de l'antilope. Celle-ci, en retour, s'appuya contre lui, comprenant parfaitement ce qu'il tentait de faire. De ses longs doigts fins, il caressa la jambe blessée de haut en bas, comme pour en modeler une nouvelle, et il sentit que cela revenait. Cette sensation familière de restauration, de reconstruction de ce qui avait été défait, démonté... Il en soupira de satisfaction. Il avait retrouvé la voie de la guérison, il se souvenait comment faire. Cela lui était si facile, jadis... Il passait alors par toutes ses étapes sans y penser, en quelques secondes...
Il ne fit qu'un avec la douleur de la bête en lui murmurant des "ccchhh" lents et doux. La blessure se refermait et les chairs se reconstituaient sous ses doigts habiles. Tous les gestes les plus infimes lui revinrent en un instant et il en aurait pleuré de joie. Il ne supportait pas la souffrance de l'innocent.
Perdu dans sa transe, il serait bien resté ainsi pendant encore un bon moment, la joue pressée contre le ventre de la bête. Celle-ci, reconnaissante, lui fourragea gentiment les cheveux de ses lèvres mobiles, le ramenant au temps présent. Il se leva et plongea dans le regard noir et velouté de l'antilope. "Merci", crut-il entendre. Elle ne lui avait pas parlé bien sûr, mais il comprit que c'était son sentiment.
- "Merci à toi...", lui répondit-il, les yeux dans le vague.
L'animal s'éloigna alors en sautillant vers son troupeau qui attendait à quelques mètres. Elle ne boitait plus du tout. Joshua leva les yeux vers l'aqueduc inachevé et soupira :
- "On peut toujours reconstruire les choses tant qu'il reste quelqu'un pour y croire, n'est-ce pas ?"
Baden avait fini sa prière et se relevait avec lenteur.
- "A vos côtés, je pense que rien n'est impossible, Votre Grâce."
L'Emissaire de Phénix se pencha en avant et toussa fortement. Un froid mordant le saisit alors ; une partie de sa force vitale l'avait quitté pour passer dans un autre être, et jamais plus ne lui reviendrait.
Mais il savait que cela était juste. Il était le Phénix, il ferait ce qu'il devait faire.
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alexar60 · 10 months
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Après la fin du monde
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Lorsqu’elle se réveilla, elle ne se souvint pas s’être endormie dans un sarcophage de verre. Sa longue chevelure, ses ongles longs ainsi que son pubis touffu montraient qu’elle était ici depuis pas mal de temps. Toutefois, elle ne ressentit pas le besoin de manger.
Au milieu de cette immense salle éclairée artificiellement, elle se sentait comme la Belle au bois-dormant mais sans prince-charmant ni château. Elle respira à pleins poumons une atmosphère absolument seine.  Elle se leva et traversa avec maladresse la pièce contemplant les milliers de sarcophages, tombes ou lits ? Elle se sentait vivante.
Elle observa les autres passagers, hommes et femmes inconnus encore endormis. Elle ne savait pas combien ils étaient, tellement les couchettes étaient nombreuses. Elle remarqua quelques enfants. Leurs visages aux traits doux indiquaient qu’ils étaient heureux de dormir. En fait, chaque passager ne montrait aucun signe de stress. Ils dormaient juste…peut-être rêvaient-ils ?
Sa première réflexion fut sur son prénom, elle s’en souvenait. Elle quitta la salle en passant par deux portes qui s’écartèrent devant elle. Un long couloir aux murs blancs et lisses, se présenta. Dès lors, elle marcha ressentant une certaine chaleur imprégner la plante de ses pieds. Elle atteignit une seconde salle. Seules quelques tables et chaises blanches décoraient l’endroit. Elle s’assit et chercha à retrouver ses esprits. Elle ne se sentait pas vaseuse pour autant. Cependant, la perte de mémoire n’aidait en rien à trouver ses repères.
Après une courte pause, elle sortit par une autre porte automatique pourtant difficile à voir, à cause de sa blancheur. Elle marcha dans un nouveau corridor éclairé par des lampes invisibles. Elle atteignit enfin une nouvelle salle, occupée…cette fois-ci.
Certains faisaient du sport en courant sur des tapis roulants, d’autres se contentaient d’activité cérébrale et jouaient aux échecs ou lisaient tranquillement. Personne ne se soucia de la présence d’une nouvelle entièrement nue, en dehors d’un homme aux cheveux poivres et sels. Il posa une tablette sur la table, se leva et approcha de la jeune femme.
C’est déjà la relève ? interrogea-t-il.
Elle salua les sourires de bienvenue. Sa nudité ne dérangeait personne. Tout le monde continuait leur occupation. Néanmoins, une jeune femme aux cheveux courts l’invita à la rejoindre dans une sorte de vestibule où elle trouverait des vêtements adéquats.
La chambre blanche cachait en ses murs de nombreux placards et tiroirs rangeant une multitude de fringues. La fille aux cheveux courts proposa de l’aider. Elle accepta mais demanda avant quelques explications. Dès lors, sa future collègue se lança dans une tirade qui raviva sa mémoire.
Et la terre a finalement disparu ?
Oui, mais on peut encore la voir.
Elle observa le mur à tiroir qui se transforma en hublot ; procédé lié aux caméras filmant l’extérieur du vaisseau-station. Ses yeux obnubilés admirèrent les profondeurs de l’univers. Des milliers d’étoiles brillaient dans un noir absolu, comme des poussières sur une toile noire. Elle approcha, caressa du bout des doigts la fenêtre. L’autre fille indiqua un petit point à faible luminosité.
C’est notre soleil. Et bientôt, il va grossir comme celle-ci. Dit-elle en montrant un gros point brillant. Puis, il va s’éteindre et il ne sera plus visible d’ici une centaine d’année.
Et nous ? Où allons-nous ? demanda la réveillée.
La femme aux cheveux courts se pinça les lèvres tout en haussant les épaules. Elle poussa la vision du hublot pour ouvrir un tiroir et sortit une tenue identique à la sienne. Puis, elle l’invita à utiliser une douche dans la salle d’entretien.
Créer un nouveau monde, répondit-elle.
Alex@r60 – août 2023 – 30 jours pour écrire.
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sofya-fanfics · 6 months
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La recette de chocolat chaud
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Fandom : Spy x Family
Relationship : Anya & Loid & Yor
Je me suis inspirée d’un prompt de @youneedsomeprompts : Inventer une nouvelle recette de chocolat chaud.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Yor avait décidé de faire une surprise à Loid et Anya. Lorsqu’ils rentreront, ils seront accueillis par une tasse de chocolat chaud qu’elle aura préparé. C’était leur premier Noël en tant que famille, elle espérait leur faire plaisir et donner à leur foyer une atmosphère chaleureuse pour les fêtes.
Disclaimer : Spy x Family appartient à Tatsuya Endo.
AO3 / FF.NET
Yor déposa les différents ingrédients et la recette de Camilla sur la table de la cuisine. Elle regarda l’heure. Loid était à l’hôpital et Anya à l’école. Elle avait pris son après-midi pour pouvoir tout préparer.
Yor avait décidé de faire une surprise à Loid et Anya. Lorsqu’ils rentreront, ils seront accueillis par une tasse de chocolat chaud qu’elle aura préparé. C’était leur premier Noël en tant que famille, elle espérait leur faire plaisir et donner à leur foyer une atmosphère chaleureuse pour les fêtes.
Elle avait eu cette idée lorsqu’elle avait entendu Camilla parler de cette nouvelle recette de chocolat chaud qu’elle avait préparé pour son petit-ami. Yor lui avait demandé quelle était cette recette et après l’avoir supplié pour qu’elle la lui apprendre, yor se sentait enfin prête pour préparer ce chocolat chaud seule.
Elle prit les ingrédients, les mélangea et les fit cuire. Mais pourtant, elle avait l’impression que quelque chose manquait. La recette de Camilla était délicieuse, mais Yor voulait qu’elle soit exceptionnelle pour Loid et Anya. Elle regarda ce qu’il lui restait. Peut-être qu’elle pourrait improviser quelque chose. Elle hésitait. Elle avait réussi à maîtriser la recette et c’était risqué d’improviser quelque chose. Surtout pour Loid et Anya. Elle ne voulait pas les rendre malade.
Pourtant, elle avait cette idée de recette en tête et elle était sûre de pouvoir y arriver. Il lui restait suffisamment d’ingrédients pour essayer. Elle releva ses manches et se mit à l’ouvrage. De la crème, du lait, de la vanille, du chocolat, elle se sentait inspirée et la recette était claire dans sa tête. Ce n’était pas la première fois qu’elle improvisait en cuisine. Elle le faisait souvent quand Yuri et elle étaient enfants. Yuri avait toujours aimé ses inventions culinaires et elle espérait que Loid et Anya aimeraient cela aussi.
Elle entendit la bruit de la serrure. Elle regarda la pendule qui était accrochée au mur de la cuisine et sourit. Ils étaient pile à l’heure. La porte s’ouvrit et Anya entra en courant.
« Haha ! On est rentré ! S’exclama-t-elle joyeusement. »
Elle jeta son cartable par terre et courut vers Bond pour le prendre dans ses bras. L’animal lui lécha le visage et Anya éclata de rire. Loid entra à son tour et ferma la porte derrière lui. Il ramassa le cartable d’Anya et le posa sur une des chaises de la salle à manger. Yor sortit de la cuisine et les accueillit avec un immense sourire.
« Loid, Anya, j’ai une surprise pour vous. »
Loid écarquilla les yeux et Anya la regarda avec excitation.
« Une surprise ! Dit-elle. Qu’est-ce que c’est ?
-Allez vous installer dans le salon et je vous l’apporte. »
Tous deux s’assirent dans le canapé. Anya balançait ses jambes et fredonna :
« Une surprise, une surprise. »
Yor retourna dans la cuisine. Elle versa le chocolat dans trois tasses et ajouta les marshmallows. Elle sourit, fière du résultat. Elle posa les tasses sur un plateau et se dirigea vers le salon. Elle posa le plateau sur la table et donnèrent les tasses à Loid et Anya. Tous deux les regardèrent avec suspicion.
« Est-ce que c’est toi qui a préparé ce chocolat ? Demanda Loid. »
Yor acquiesça, gênée. Elle ne leur en voulait pas de réagir ainsi. Après tout, ce n’était pas la première fois qu’ils étaient malades à cause de sa cuisine malgré tous les efforts qu’elle faisait. Même Bond se méfiait de ce qu’elle lui préparait.
« C’est une recette que j’ai inventé.
-J’ai des devoirs à faire, dit Anya. »
Elle se leva pour aller dans sa chambre, mais Loid la retint en lui attrapant le bras et la fit se rasseoir. Il sourit à Yor pour la rassurer.
« Je suis sûr que c’est très bon. »
Anya renifla sa tasse et elle et Loid burent une gorgé. Ils écarquillèrent les yeux, surpris.
« C’est trop bon ! S’exclama Anya.
-C’est délicieux Yor, dit Loid. »
Anya avala sa tasse d’une traite, tandis que Loid dégusta la sienne. Yor sourit tendrement et se retint de pleurer de joie. Elle avait réussi, pensa-t-elle. En inventant ce chocolat chaud, c’était ce qu’elle voulait. Faire plaisir à sa famille et les rendre heureux.
Fin
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aisakalegacy · 25 days
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Hiver 1919, Hylewood, Canada (19/21)
Je n’ai pas su expliquer à mes enfants qui étaient Layla pour eux. Lucien le sait, car c’est l’aîné, et il a réagi comme je l’attendais de lui, en condamnant son père et sans faire honte à ma volonté chrétienne de pardonner à celle qui a fauté. Mais je n’ai pas trouvé en moi le courage de l’admettre à mes cadets. J’attends le retour de Jules pour cela. Je ne pense pas qu’ils se doutent de quoi que ce soit. Ils sont trop jeunes pour imaginer de telles choses. Je crois que tout le monde aime la petite Layla, car même Marie et Agathon passent du temps dans la nurserie pour voir les deux petites. Lola est ravie d’avoir une nouvelle camarade de jeu.
[Transcription] Marie LeBris : Je n’aime pas que Layla doive rester avec nous. Il y a huit chaises dans la salle à manger. Papa, Maman, Louise et son fiancé quand elle reviendra, Lucien, moi, Agathon, Lola et elle. Ça fait huit. Marie LeBris : Ça veut dire qu’on ne pourra plus inviter qui que ce soit quand elle sera assez grande pour manger avec nous. À cause d’elle je ne pourrai jamais me marier. Maria Mayordomo : Podemos añadir más sillas. (On peut ajouter des chaises.) Marie LeBris : C’est une table pour huit chaises, pas neuf ! Ensuite ce sera asymétrique, et ce sera moche. Maria Mayordomo : Sí, tiene lógica. Entonces podemos comprar una mesa más grande. (Oui, c’est logique. Alors on peut acheter une table plus grande.) Marie LeBris : C’est la table de Grand-Père, et les chaises sont trop vieilles, on n’en trouvera plus jamais de pareilles. Je ne veux pas qu’on change tout pour une étrangère.
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it-is-i-a-retard · 2 years
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Fluent Forever 625: French
For those of you who can’t be assed to get all the 625 words in French I’ve done it for you (I might do other languages as well)
-Repost from my old account
Animals: chien, chat, poisson, oiseau, vache, cochon, souris, cheval, aile, animal
Transport: train, avion, voiture, camion, vélo, bus, bateau, navire, pneu, essence, moteur, billet, transport
Lieux: Ville, maison, appartement, rue/route, aéroport, gare, pont, hôtel, restaurant, ferme, cour, école, bureau, chambre, commune, université, club, bar, parc, camp, boutique/magasin, théâtre, bibliothèque, hôpital, église, marché, pays, bâtiment, terre, espace, banque, lieu
Vêtements: chapeau, robe, combinaison, jupe, t-shirt, pantalon, chaussures, poche, manteau, tache, vêtements
Couleur: rouge, vert, bleu (clair, foncé), jaune, marron, rose, orange, noir, blanc, gris, couleur
Personnes: fils, fille, mère, père, parent, bébé, homme, femme, frère, sœur, famille, grand-père, grand-mère, mari, femme, roi, reine, président, voisin, garçon, fille, enfant, adulte, humain, ami, victime, joueur, amateur, foule, personne
Travails: professeur, étudiant, avocat, docteur, patient, serveur, secrétaire, prêtre, police, armée, soldat, artiste, auteur, directeur, journaliste, acteur, travail
Société: religion, paradis, enfer, décès, médicament, argent, dollar, facture, mariage, mariage, équipe, race, rapports sexuels, sexe, meurtre, prison, technologie, énergie, guerre, pais, attaque, élection, magazine, journal, poison, arme à feu, course, exercice, balle, jeu, prix, contrat, drogue, marque, sciences, dieu
Art: bande, chanson, instrument de musique, musique, film, art
Boissons: café, thé, vin, bière, jus, eau, lait, boisson
Nourriture: œuf, fromage, pain, soupe, gâteau, poule, porc, bœuf, pomme, banane, orange, citron, maïs, riz, huile, graine, couteau, cuillère, fourchette, assiette, tasse, petit déjeuner, déjeuner, dîner, sucre, sel, bouteille, nourriture
Maison: table, chaise, lit, rêver, fenêtre, porte, chambre à coucher, cuisine, salle de bains, crayon, stylo, photo, savon, livre, page, clé, peinture, lettre, note, mur, papier, plancher, plafond, piscine, verrou, téléphone, jardin, jardin, aiguille, sac, boîte, cadeau, carte, bague, outil
Électronique: horloge, lampe, ventilateur, téléphone portable, réseau Wi-Fi, ordinateur, programme d’ordinateur, laptop, écran, appareil photo, télévision, radio
Corps: tête, cou, visage, barbe, chevaux, œil, bouche, lèvre, nez, dent, oreille, larme, langue, dos, orteil, doigt, pied, main, jambe, bras, épaule, cœur, sang, cerveau, genou, sueur, maladie, os, voix, peau, corps
Nature: mer, océan, rivière, montagne, pluie, neige, arbre, soleil, lune, monde, terre, forêt, ciel, plant, vent, sol, fleur, vallée, racine, lac, étoile, gazon, feuille, air, sable, plage, vague, feu, glace, île, colline, chauffer, nature
Matériels: verre, métal, plastique, bois, pierre, diamant, argile, poussière, or, cuivre, matériel
Mathématiques/dimensions: mètre, centimètre, kilogramme, pouce, pied du roi, demi, cercle, carré, température, date, poids, bord, coin
Noms divers: carte, point, consonne, voyelle, lumière, son, oui, non, pièce, douleur, blessure, trou, image, modèle, nom, verbe, adjectif
Directions: haut, bas, côté, devant, derrière, à l’extérieur, à l’intérieur, en haut, vers le bas, gauche, droit, nord, sud, est, ouest, direction
Saisons: été, printemps, hiver, automne, saison
Nombres: zéro, un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt, vingt et un, vingt deux, trente, trente et un, trente deux, quarante, quarante et un, quarante deux, cinquante, cinquante et un, cinquante deux, soixante, soixante et un, soixante deux, soixante-dix, soixante-onze, soixante-douze, quatre-vingt quatre-vingt-un, quatre-vingt-deux, quatre-vingt-dix, quatre-vingt-onze, quatre-vingt-douze, cent, cent un, cent deux, cent dix, cent onze, mille, mille un, dix mille, cent mille, million, milliard, première, deuxième, troisième, quatrième, cinquième, nombre
Moie: janvier, février, mars, avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre, novembre, décembre
Jours de la semaine: lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche
Temps: année, mois, semaine, jour, heure, minute, second, matin, après-midi, soir, nuit, temps
Verbes: travailler, jouer, marcher, courir, conduire, voler, nager, aller, arrêter, suivre, penser, parler/dire, manger, boire, tuer, mourir, sourire, rire, pleurer, acheter, payer, vendre, tirer, apprendre, sauter, sentir, écouter, écouter, goûter, toucher, voir, regarder, donner un bisou, brûler, fondre, creuser, exploser, asseoir, supporter, adorer, passer à côté, couper, se battre, s’allonger, danser, dormir, se réveiller, chanter, compter, marier, prier, gagner, se perdre, mélanger, plier, laver, trouver, tomber, pousser, tirer, porter, casser, porter, pendre, secouer, signer, battre, soulever
Adjectives: long, court, grand, petit, large, étroit, grand, petit, lent, vite, chaud, froid, chaleureux, frais, nouveau, ancien, jeune, vieux, bon, mal, mouillé, sec, malade, sain, bruyant, tranquille, heureux, triste, belle, moche, sourd, aveugle, gentil, méchant, riche, pauvre, épais, mince, cher, pas cher, plat, courbé, mâle, femelle, serré, ample, haut, bas, doux, dur, plongé, peu profond, propre, sale, fort, faible, mort, vivant, lourd, léger, foncé, clair, nucléaire, célèbre
Pronoms: je, tu, il, elle, ce, nous, vous, ils/elles
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completementalest · 1 year
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Happy en Géorgie 2/2
On décide de profiter d’être en Géorgie pour se sédentariser quelques jours le temps d’un bénévolat car on sait que ce ne sera plus possible avant plusieurs mois une fois de l’autre côté de la Caspienne. C’est comme ça qu’on se retrouve à Mlashe, petit village situé au nord de Tbilissi, près d’un joli lac et en face du Mont Kazbek, qu’on aperçoit quand les nuages le veulent bien. On atterrit donc chez Linda, Giorgi et Noah, famille germano-géorgienne installée depuis peu dans cette maison de famille au milieu des noisetiers. On arrive dans l’après-midi et on passe rapidement du thé d’accueil à la bière car des ami.e.s sont de passage (on se rendra vite compte que la maison ne désemplit que rarement). On se retire sagement dans la soirée et on les retrouve encore debout le matin suivant alors qu’on attaque les premiers travaux de jardinage avec Linda. Ces premières heures sont assez représentatives du temps qu’on passera sur place, soit un mélange de permaculture / cuisine vegan / yoga et soirées / alcool / musique.
C’est la saison de préparer la terre pour semer et planter les haricots, tomates, aromates, etc. On désherbe et aménage des lits de culture qu’on entoure de branches de noisetiers qu’on va chercher dans la forêt voisine. Le rythme est détendu et on discute longuement avec la solaire Linda avec qui on a de  nombreux points communs. Stella, une de ses amies venue de Berlin, nous rejoint le jour suivant et on s’entend immédiatement à merveille. Le week-end venu, on décide au pied levé d’aller voir un concert du groupe géorgien Bedford Falls à Tbilissi. C’est très jouissif pour nous d’être plongés dans une ambiance festive et citadine, de se retrouver au milieu d’une foule qui danse et scande tous les refrains avec le groupe. Après le concert, on débarque à 3h du matin dans un restaurant qui est animé comme s’il était 20h pour (trop) manger avant d’aller s’effondrer de fatigue au petit matin dans l’appartement des parents de Giorgi. Pas le temps de chômer car on est justement invités chez les parents le lendemain pour festoyer à la mode géorgienne, comprenez manger et boire abondamment, au rythme des toasts proposés par le Tamada (hôte de table), rôle pris en charge ce soir-là par Paata. Les raisons de trinquer sont inépuisables : l’amour, les rencontres, la Géorgie, l’amitié, les mères, les enfants, les voyages, la liberté, la paix, les raisons pour lesquelles on est là (oui, c’est vaste), etc. Autant vous dire que ça peut durer un moment. Simon découvre à ses dépends qu’il doit prouver sa virilité en buvant successivement dans un bol, une corne de chèvre, une seringue géante puis une tuile (!). C’est pas bien malin mais c’est amusant. Heureusement, il y a de l’eau et de la nourriture à volonté, ce qui lui permet de rentrer à la maison sans encombres. On ne peut pas en dire de même pour son voisin de table qui s’étale par terre puis rend son repas complet à la pachamama après avoir tenté l’ascension d’une chaise (quelle vie dangereuse). On comprend que tout est prétexte à s’inviter pour boire des coups, y compris les anniversaires des enfants… On est justement invités pour célébrer les 6 ans de la petite Elena quelques jours plus tard et les parents se sont bien assurés qu’il ne manquerait pas de vin pour abreuver les nombreux adultes invités.
En fin de séjour, on est invités par Maco (prononcez Matso, un bon copain de Giorgi et Linda, dont le véritable prénom est aussi Giorgi comme 80 % de la population masculine du pays) à venir passer un week-end dans sa maison située dans les montagnes de Racha, vers le nord-ouest du pays. On embarque donc à cinq dans sa mini-voiture pour cinq heures de route. On arrive en pleine nuit après avoir emprunté une route bien cahoteuse. On se demande comment la voiture ne se désintègre pas à force de racler le sol bosselé et subir des accélérations brutales façon rallye de campagne. La maison, qui a été construite par le grand-père, est en bois, un peu dans son jus mais très charmante ! On passe deux jours dans le coin à se promener dans la forêt, les grottes et les prairies, tremper nos pieds (ou plus) dans les rivières glaciales et à rencontrer les amis de notre hôte qui vivent dans le coin. L’un d’eux nous initie aux polyphonies géorgiennes en chantant par dessus des vidéos youtube dont il pousse le volume à fond. On est impressionnés encore une fois par la générosité des personnes qu’on rencontre, la spontanéité avec laquelle ils proposent leur aide et la facilité des échanges, même quand on n’a pas de langue en commun pour parler (l’accolade n’est jamais bien loin).
À la fin du week-end, on laisse Stella dans les montagnes avant de rentrer à Mlashe pour une dernière nuit. On a déjà prolongé notre séjour au maximum tellement on se sentait bien mais l’heure de notre vol pour le Kazakhstan approche... Le lendemain, on pédale jusqu’à Tbilissi où on reste quelques jours avant de quitter la Géorgie (qu’on a déjà hâte de revisiter !).
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Vue de qualité sur le Caucase.
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Jardinage intense.
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Noah aime les frites.
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Désherbage attentif.
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Gentil petit chien.
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Concert de Bedford Falls à Tbilissi.
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Repas copieux et nocturne post-concert (il est environ 3h10 du matin).
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Lendemain de soirée à Tbilissi.
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Et c’est reparti pour un tour.
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Paata, un bon copain de boisson, mais pas que.
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Retour au jardinage.
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Plantage de piquet.
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La bonne cuisine.
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Oiseau préféré de Simon.
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Vélo de mauvaise qualité.
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La petite Lile qui zone sur son tel.
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Noah et le chat.
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Consommation de vin de qualité à l’anniversaire de la petite Elena.
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Toujours du vin. Honnêtement c’est fatigant !
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Ballade avec le cheval d’Elena, toujours à son anniversaire.
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Les enfants en conf-call.
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Empaquetés dans la voiture, direction la montagne.
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Conduite de tous les dangers.
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Maco et sa modeste demeure.
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Pause à la fenêtre.
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Namaste à toustes.
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Sortie multisports.
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La belle cabane.
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Hamac de qualité.
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Comportement à risque.
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La réserve d’eau.
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Passion forêt.
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Photo d’équipe.
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Senteur feu de bois.
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Aller, bonne nuit !
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De retour à Tbilissi.
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Tiens toi le pour dit 2.
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Au bar avec Kerem (fils de Berin, cf. article “Hi-Berin-ation”).
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Veille de fête nationale à Tbilissi.
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Déjà l’heure de prendre l’avion.
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lagendageek · 1 year
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Mang'Agen & Fiction festival 2023 aura lieu du 11 au 12 mars 2023 à Agen (47). Mang'Agen & Fiction festival 2023 : 3ème édition Festival les 11 & 12 mars - Parc des Expositions d'Agen. Festival Thématiques : Manga-Japon / Pop Culture, Cosplay, Kpop, Jeux vidéos, Dessin, Ateliers, Illustrateurs, Créateurs. Au Menu des animations, montez à bord de la célèbre Anglia à l'espace de Harry Potter et dans la chevrolet de Transformers et repartez avec votre photo gratuitement ! Une Exposition Harry Potter et une exposition sur l'Histoire des Ghibli/Miyazaki. Des boutiques, avec des mangas et romans, des créateurs, des illustrateurs comme l'auteur Bd et manga des mystérieuses cités d'or, des figurines, katanas, peluches et goodies. Au menu également de la Kpop, les Concours de dessin et les défilés de cosplay sur scène, le planning complet disponible une semaine avant le festival. Le chanteur officiel de Pokémon sur scène et en dédicace, Kabeya ça vous dit ? Il y aura aussi des tournois de jeux vidéos et du rétrogaming et des bornes d'arcades japonaises et accès libre. Du Just Dance sur les 2jours avec la célèbre DINA pour danser avec vous les familles mais aussi des tournois de jeux vidéos sur Twitch, un espace Japon et des dédicaces de youtubers et comédiens de doublage, Bruno Meyere, Arnaud Laurent, Karal, Siphano, Pierr Cika. Le retour de Bernard MINET sera en concert au MANG'AGEN le dimanche à 15 h sur la grande scène et en dédicace les 2 jours !! avec une exposition avec des tableau d'illustration originaux Club Dorothée avec Bernard MINET sur le stand en dédicaces. Et d'autres invités à consulter dans le programme définitif publié prochainement... Retrouvez donc des animations mais aussi de très nombreux ateliers gratuits : Confection des gâteaux japonais, de la calligraphie japonaises, des ateliers créations (Pokéball), apprendre à dessiner le manga ou perfectionner son talent avec Thomas Bouveret, Atelier Shiatsu(massage japonais) , des ateliers de maquillage pour enfants et adultes, des ateliers kokedamas (plante japonaise)(Inscriptions sur place). Un espace restauration japonaise et cuisine traditionnelle sur place avec un espace couvert cette année en nouveauté! Un espace avec tables et chaises sera à votre disposition pour faire une pause repas ^^ Informez vos amis Tarifs Entrées : * 15 € la journée avec sorties et rentrées possibles. * 10 € pour les enfants des 8 à 12 ans * 25 € le Pass week-end (Valable 2 jours) * PASS FAMILLE un jour : 40€ (2 entrées + de 13 ans + 2 entrées 8 à 12ans) Gratuit pour les moins de 8ans. 10€ : A partir de 16h. Horaires : Samedi 9h / 19h Dimanche : 9h / 18h Ouverture à partir de 10h pour achats de tickets sur place. Billets en vente : - sur le site internet sécurisé festivalmangagen.fr - Sur place le jour de l'événement à partir de 10h.
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mysadecstasy · 1 year
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Le vent se lève à l’aube
Délavé desséché Mon cœur comme la pulpe d’un fruit laissé à l’air Ce n’est pas tant les vagues qui charrient l’amertume Ce n’est pas tant les vagues qui glacent la peau C’est plutôt le vent qui se lève à l’aube Et dans une hésitation sublime vient pénétrer la chair Au pied du phare À la proue du monde Les ailes de la vertu déployées Grandes comme des étendards de soie Face à la mer Impénétrable de détachement Humide comme le dernier espoir Soyeuse et arrachée Déchirée telle un rêve perdu Perdu dans les abîmes des fantasmes Je regarde vers l’infini figé comme une enclume Tu m’as offert l’impossible Façonné l’extase sur mon visage Sculpté le Grand Pardon Aujourd’hui je bois le calice des possibles Ta barque est un point noir à l’horizon Et notre amour une épave au fond de l’océan Il y en a tant qu’elles s’empilent Des épaves au fond de l’océan Débordant de souvenirs de beautés et de regrets sourds C’est une horde de chevaux sans tête qui surgissent dans la noirceur du ciel Les falaises de craie s’effondrent Dans les marécages de mes pensées une Apocalypse se dessine À grands traits Nette et auguste comme la Venus de Botticelli Je suis le dernier homme Dans le froid et le noir j’attends l’exécution de la sentence Je suis le dernier homme Longtemps tu caressais ma peau le soir dans l’obscurité Mon dos tremblant de bonheur et mon cou ébahi Des années durant je sentais ton étreinte contre ma poitrine tambourinant Une boule de félicité me remuant les tripes Nous allions à la foire tourner sur le carrousel comme deux enfants Dansions aux bals des fêtes fautives provençales sur de la musique profane Sur les sentiers de montagnes entre les fleurs et les aigles tu soufflais ta peine Mais arrivés au sommet c’était la béatitude Se baigner nus dans le lac vert Quelques brassées dans l’eau d’huile sous un soleil frappant Tu criais quand on faisait l’amour À la lumière vacillante du candélabre en cuivre Ma main sur ta bouche tes yeux se fardaient de plaisir Douceur Ô douceur où es-tu partie Dans les chemins de traverse de l’amour s’égrènent les souvenirs Magnifiés Idéalisés Je déguste à travers un filtre de bonté les plaisirs dévastés J’admire la transcendance des moments égarés Des secondes jetées aux requins comme des poissons morts Une à une avec la lenteur grave d’un soleil levant Ce n’est pas tant les vagues qui charrient la douleur Ce n’est pas tant les vagues qui glacent le sang C’est plutôt le vent qui se lève à l’aube Et dans une hésitation sublime vient pénétrer la chair Tu cavalais tu marchais tu criais Libérée et belle dans les champs de blé Seule au monde Entre mes bras chaud ta tête sur mon épaule Mon corps écharpé ta peau de velours Puis le soir Tes seins de joie à travers ton chemisier Dans ma bouche Sous le soleil hurlant de juillet Sur la terrasse carrelée Les clapotis de la piscine Un verre à la main à demie nue sur la chaise longue La virtuosité de Verdi à nos oreilles Ton air diaphane de plénitude La table jonchée de mets à la manière des rois Vivre comme des rois pour nous-mêmes Monarques de notre royaume indéfectible Monarques de notre amour déchaîné comme le Chaos Incontrôlable Concupiscence et douces caresses Va et vient de la couche aux verres de gin Dans l’intemporalité de la nuit Regarder des films jusque quatre heure du matin Et pavaner d’oisiveté sur le lit défait le lendemain Manger avec les mains Aimer avec les mains Les mains dans les corps brûlants Les mains dans la glaise molle et collante de l’instant Prière à l’instant Gloire à lui qui nous étreint avec mansuétude et générosité Gloire à ton corps de nymphe drapée comme une impératrice Et tes yeux gris foudroyant Ta peau Ton regard encore Tes mains dans ma nuque Mon extase Et notre amour Une épave au fond de l’océan Notre amour perdu à jamais
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selidren · 2 years
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Eté 1894 - Champs-les-Sims
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Il ne s’agit pourtant pas de l’enfance qu’elle et moi aurions aimé leur donner, et de loin. Je pense que vous vous doutez que les rumeurs vont bon train au village depuis deux ans, et malgré les précautions de Grand-Mère, elles sont venues aux oreilles des petites à plusieurs reprises. Et face à cela, Rose et Juliette ont des façons d’y réagir qui trahit leur différence d’âge.
Rose défend farouchement tout ce qui a trait à la mémoire de sa mère et de son père avec les quelques souvenirs qu’elle a encore, et a fait accrocher une photo de Tante Clémence par Mademoiselle Horideau au dessus de son lit après s’être aplatit le pouce contre le mur à coups de marteau. Juliette fait la sourde oreille et répliquant avec une indifférente arrogance qu’elle n’a pas connu sa mère et que cela ne l’intéresse donc pas. Mais c’est sans compter notre cousin Constant, qui en est encore à l’âge bête du haut de ses onze ans, et croit encore que cela le rend plus viril de tourmenter des filles plus jeunes que lui. Le dernier goûter au Domaine de Chastel s’est soldé par une véritable catastrophe à la table des enfants : Constant a dit je ne sais quelle méchanceté à propos de Tante Clémence, ce qui a fait fondre en larmes Juliette. En réponse, Rose a aspergé son cousin de chocolat encore brûlant tandis que Zéphir, le petite frère de Constant, tentait de faire tomber son aîné vagissant de sa chaise et que la bambine Blandine se mettait à son tour à pleurer. 
Nous étions tous consternés, mais pas autant qu’Oncle Louis-Michel, qui a saisi son fils par l’oreille en entendant le récit de Rose, et l’a entrainé dans une autre pièce dont sont parvenus des hurlements. Si Grand-Mère a parut satisfaite, je n’aime pas vraiment ces méthodes éducatives : jamais je ne compte lever la main sur mes futurs enfants. Le petit Constant est sorti plus tard à la suite de son père, les yeux rouges de larmes contenues et la veste couverte de lait au chocolat, et a fait ses excuses à Juliette, clôturant ainsi l’histoire.
Transcription :
Rose : C’était le jeu favori de Maman. Adelphe dit qu’elle y passait des heures avec Tante Lucrèce. Cela me plait d’y jouer.
Juliette : Je ne vois pas pourquoi tu devrai te préoccuper de ce qu’elle aimait ou pas. Elle est partie en nous laissant là. Elle ne nous aime pas.
Rose : Arrête d’écouter ce que raconte cet idiot de Constant ! Il veut juste te faire pleurer, tu le sais bien. Adelphe nous a dit et répété que Maman nous aimait et qu’elle ne serait jamais partie ainsi. Et d’ailleurs, Oncle Louis-Michel a donné une bonne correction à notre crétin de cousin.
Juliette : Je ne pleurais pas ! Qu’est-ce que cela pourrait me faire de toute façon ? Je ne me souviens même pas d’elle.
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alain-keler · 2 years
Photo
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Journal d’un photographe / Après une si longue absence / Journal d’Auvergne
Grande commande photographique - BNF - Bibliothèque nationale de France/ Ministère de la Culture.
Lundi 11 avril.
  Election présidentielle. La finale sera entre le Président sortant Emmanuel Macron et Marine Le pen. Je ne vous dit pas pour qui je vais voter, vous avez déjà trouvé. Pour revenir à Hitler mentionné par des gros connards sur un panneau électoral, je voudrais rappeler qu’il a été élu démocratiquement. Et lorsque l’on a le pouvoir, il est facile de changer les lois pour se maintenir au sommet de l’état.
À Monteignet l’Andelot, c’est Le Pen qui a viré en tête avec 39 voix contre 25 pour Macron. Zemmour et Mélenchon sont ex æquo avec 18 voix
   Matin, réparation du pneu crevé dans mon parking à Paris.
Je slalome ensuite entre l’Allier et le Puy-de-Dôme, sur ces petites routes qui ont tant imprégné ma jeunesse clermontoise. Un panneau indique la direction du viaduc de Rouzat, construit par Eiffel en 1869, et qui franchit la Sioule, puis la D37 me refais passer à Lalizolle, où trois beaux chevaux semblent se  reposer en  regardant distraitement le photographe que je suis. En fait ils n’en avaient rien à faire de ma pomme !
Mon cheminement me fait passer par Lapeyrouse où un panneau indique la direction de la gare, à l’écart du village. Devant la gare, un hôtel fermé avec des fenêtres recouvertes de parpaings. À une autre époque il devait y avoir beaucoup d’activités dans ce coin. Des techniciens de la SNCF s’affairent à prendre des mesures dans la gare. Le trafic est essentiellement local. Un train de marchandises manœuvre.
La route continue sur Commentry. J’ai faim et je m’arrête à une boulangerie dans le centre. Je commande un plat de curry de  crevettes aux pleurotes, m’installe dehors sur un banc, quand la boulangère me sort une petite table avec une chaise pour que je puisse savourer son excellent plat. Elle m’apporte aussi une bouteille d’eau qu’elle ne veut pas me faire payer.
Ars les favets de nouveau. Ars, c’est l’étang de Montmazot, Mme Conchon. Il y a aussi Mr et Mme V. que j’avais rencontrés lors du séjour précédant, pendant la séance photo à la mairie.
Les V. élèvent des brebis. Ils en ont 200, mais cela ne suffit pas pour vivre correctement, alors Mr V. travaille à l’usine depuis 35 ans. C’est une usine danoise, Roockwool, qui fait de la laine de roche pour isolation. Il fait des postes, c’est à dire il travaille deux matins, deux après-midi et deux nuits, le tout suivi de quatre jours de repos. Leurs agneaux sont vendus à des groupements-sociétés-pour la boucherie, ou d’autres éleveurs pour renouveler leurs cheptels.
Après quelques photos, je prends la route de Clermont. J’ai trouvé sur un site un de ces hôtels qui essaie de ressembler aux motels américains, genre route 66. Mais ici c’est l’Auvergne, pas le far-west.
  Je vais dîner avec Colette qui vient me chercher. Colette je l’ai connu il y a tellement longtemps. Elle passait ses vacances à Saint-Genes la Tourette. Elle était l’un des petits enfants de Madame Roussel. Elle devait avoir 4-5 ans. J’en avais 2-3 de plus et ça se voyait sur une  photo de l’époque retrouvée récemment. Son père était professeur d’anglais. Colette a été professeure d’anglais.
 C’est à la fois comme si je la découvrais et comme si je la connaissais bien. Étrange situation, comme un flash back dans un film, mais sans autre souvenir que cette photo et les récits par Henri, aussi présent sur cette image.
Les parents d’Henri et les miens étaient amis et se voyaient souvent. Nous partions tous en vacances à Meschers, près de la mer, à l’embouchure de la Gironde.
 Colette est très douce, discrète sur sa vie, mais je ne l’interrogerais pas plus que ça. Mariée, divorcée depuis vingt ans je crois, deux filles dont une qui habite aussi Clermont. Son ex-mari est décédé après le divorce. Je l’ai senti seule. À la retraite, elle donne des cours d’alphabétisation. Sur les vacances à Saint-Genès, elle me dit qu’elle était dans le groupe des petits. Les grands, c’était Henri et Annie, sa cousine. Moi je pense que j’étais le petit parmi les grands qui voulait sans doute se faire passer pour un grand que je n’étais pas. Annie, sa cousine germaine, a passé trente ans de sa vie à l’étranger avec son mari, ingénieur. Je lui ai téléphoné l’autre jour  car je voulais, sur la suggestion d’Henri, faire une photo de nous cinq, presque un siècle plus tard (j’exagère) et au même endroit. Elle n’a pas trop adhéré à l’idée. J’ai trouvé quelqu’un qui n’avait pas trop atterri de sa vie d’expat.
Colette, elle, est très humaine et m’a ému.
BNF / Au final il y aura un rendu de dix photographies. Beaucoup de photos, que j’appellerais « intermédiaires », non choisies mais importantes dans le cadre de mon histoire paraitront dans ce journal. Elles seront le ciment de ce projet personnel qui dépassera la commande.
Les modestes textes de mon journal de bord essayeront de raconter le déroulé et les raisons de ce travail.
Photo d’aujourd’hui Commentry.
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pas-de-la-kaamelott · 2 years
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bon bah allez en enchaîne sur l’épisode 5 du livre v
- les plans de début sur la table ronde et excalibur. aa je veux juste discuter
- leodagan au réveil c’est vraiment moi en fait. me gueulez pas dessus sinon je vous réponds pareil
- michel parle très vite quand il est soûlé
- « ce serait pas la femme du chevalier sifrelot » le plus drôle c’est quand on connaît les bêtisiers et donc qu’on sait qu’ils ont dû faire quinze prises parce jr lombart arrêtait pas de se marrer et tony saba de se tromper dans sa réplique
- leodagan il a un pied sur la chaise d’un autre à la table ronde tel un gosse de 14 ans qui veut être dark
- le manque de respect de bohort pour son frère c’est hilarant
- en soit arthur il a pas tort….les mecs peuvent carrément faire une assemblée de rois pour gouverner le pays
- michel il aurait besoin d’une augmentation de salaire
- arthur : faire entendre vos idées à mon beau-père c’est moins dur que de trouver le graal
bohort : are you sure about that one
- la table ronde de leodagan d’un côté j’aime bien d’un côté ça me fait peur
- « je rendrais ses yeux à kaamelott » leodagan had no business going that hard
- bohort qui cite cette phrase et nicolas gabion qui sourit pas, qui utilise de plus en plus sa véritable voix quand il parle à lionel
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- mais comment il lui parle bon dieu. d’un côté c’est extrêmement sexy de sa part d’un autre c’est absolument terrifiant
- omg il le manhandle seigneur jesus pardonnez moi mes pensées
- « quoi ?! vous n’avez pas fait vos classes ? » bah et toi connard
- « MÉCRÉANT » ça à l’air d’être l’insulte privilégiée à gaunes
- ah bah oui lancelot t’avais qu’à pas sous-estimer les petits copains
- eh allez c’est parti pour la quête des enfants cachés
- FALERIUS ❤️🥰❤️🌸🥰🌸❤️🌸❤️🌸 IL EST LA MON BÉBOU
- « ce sont des gardes ça ? » « oui bon là ils ont pas eu le temps de s’habiller » pour mon plus grand plaisir falerius n’a qu’une chemise sur lui
- je veux un épisode spin-off sur comment falerius a déserté l’armée romaine et s’est retrouvé au service de séli
- chemise de falerius qui, je précise, ne tient littéralement qu’à un fil
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slut
- ahhah aidez-moi je sais comment se finit ce livre et je veux pas je veux pas je veux pas
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partenaires-mav · 2 years
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Emission du 22 juin 2022
Sophie Ferjani
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Un canapé, un buffet ou un fauteuil ? Un luminaire ou un joli tapis ? Atmosphera, offre des lignes de produits et des collections harmonieuses que l'on imagine déjà recréer chez soi. De la chambre au salon, de la cuisine à la salle de bains, meubles et jolis objets du quotidien sont disponibles : meubles, linge de maison, luminaires, déco murale, rangement, bougies, vases et jardin ainsi qu’un univers dédié aux enfants.
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Fauteuil Tamara : https://www.atmosphera.com/fr/fauteuils-canapes/fauteuils-poufs/fauteuils/fauteuil--tamara--en-rotin-naturel/12038/n16/d0/s/p/c3/b/e.html?cmpid=c_algolia&queryID=cde44c4b59c675d7f158882fe81d2932
Fauteuil Timor : https://www.atmosphera.com/fr/fauteuils-canapes/fauteuils-poufs/fauteuils/fauteuil--timor--teck-rotin/44257/n16/d0/s/p/c3/b/e.html?cmpid=c_algolia&queryID=8fdb1c9489ebf604deb9e65d5774881b
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Tapis Carmen : https://www.atmosphera.com/fr/decoration/tapis/tapis-ronds/tapis--carmen--jute-110x70-cm/15448/n16/d0/s/p/c3/b/e.html?cmpid=c_algolia&queryID=eadef12425a6ba4c378f57e25c5cb669
Tapis en jute : https://www.atmosphera.com/fr/decoration/tapis/tapis-rectangulaires/tapis-en-jute-d120-cm/14304/n16/d0/s/p/c3/b/e.html?cmpid=c_algolia&queryID=3ad868b89e12979e327e66770e1d5a3c
Tapis jute bord blanc : https://www.atmosphera.com/fr/decoration/tapis/tapis-ronds/tapis-en-jute-bord-blanc-d120-cm/8101/n16/d0/s/p/c1/b/e.html?cmpid=c_algolia&queryID=907446a5fb2881b22c798b884d25218b
Cabane enfant : https://www.atmosphera.com/fr/enfant/decoration-enfant/tipis-cabanes/cabane-enfant-structure-pin-toile-coton-h116-cm/14089/n16/d0/s/p/c3/b/e.html?cmpid=c_algolia&queryID=17a5e529e961fa7aca46e97d1cc58638
Bureau enfant rotin : https://www.atmosphera.com/fr/enfant/meubles-enfant/tables-bureaux/bureau-enfant-rotin/13981/n16/d0/s/p/c3/b/e.html?cmpid=c_algolia&queryID=68a40afa2908be171960e10372c06259
Ardoise maison : https://www.atmosphera.com/fr/enfant/decoration-enfant/deco-murale/ardoise--maison-/7591/n16/d0/s/p/c2/b/e.html?cmpid=c_algolia&queryID=fff9fae727dcb85bdabd0ba7a7e41b58
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Alinea est une marque et entreprise française de mobilier et décoration fondée à Avignon en 1989. Engagée sur le chemin d’une décoration plus durable et plus responsable, elle puise son inspiration dans les paysages de son berceau méridional.
Saison après saison, nous posons les jalons d’une nouvelle décoration, plus juste, plus durable. Nous privilégions depuis longtemps la matière naturelle, certifiée, et avons pris le chemin d’une relocalisation progressive et systématique de nos productions. Plus de la moitié de nos produits sont désormais issus d’une production française ou européenne.
- Table de jardin CERVIONE pliante D60cm - marron rustrel réf : 27224502
- Fauteuil de jardin LIGURIE intérieur et extérieur en tissu - marron rustrel réf : 2727630
- Coussin en toile de jute RUSH - naturel 30x50cm réf : 26360287
- Lanterne ovale en rotin OMBELINE- naturel D28xH42,5cm réf : 26975320
- Feuille tressée en jonc de mer et bambou HUESCA - naturel 35x143cm réf : 27301203
- Toile imprimée motif jarre HIERRO - beige 71x101cm réf : 27319833
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- Décoration murale en jute SILL- naturel D55cm réf : 27140109
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Fabricant indépendant français de peintures bâtiment depuis 1936. Gammes de peintures intérieures, extérieures, biosourcées et dépolluantes.
Nos magasins : http://www.unikalo.com/contact.php?lang=fr
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Dans l’émission :
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FORMES NUAGES DÉSSINÉES A MAIN LEVÉE SUR LE MUR DE DROITE HINA HINA NAÉ MATE D-218
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Sema design, la marque Française de décoration tendance, graphique et colorée. Instragram : @semadesignofficiel Site : www.semadesign.fr/
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La marque incontournable de la décoration d’intérieur alliant élégance et modernité Instagram : @cotetableofficiel Site : www.cote-table.com
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- CANCUN - 655694 - Lampe/baladeuse nomade en métal filaire peint et jacinthe d'eau tressée petit modèle. Equipée d'une cordelière de 5m. Diffuseur opale. Coloris : naturel. IP44. D20cm - H30cm. Classe 2. E27- 14W . Design by Corep. Prix Public : 47,02€ environ
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alexar60 · 1 year
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L’enfant des fées (1)
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C’était la première fois qu’il monta dans une automobile. La voiture roula sur des routes de terre au milieu de la campagne du Morbihan. Il ne vit que champs cerclés de buissons et d’arbres. La poussière dégagée par leur passage formait un nuage opaque qui redescendait lentement. Elle fit tousser les paysans rencontrés et qui s’écartèrent face à un engin du diable. L’un d’eux cracha au sol maudissant en même temps les nouvelles inventions de la ville.
Une longue allée séparait le portique du château. Ce n’était qu’un gros manoir fait de granit et dont les fenêtres n’étaient pas assez grandes pour laisser entrer la lumière. Louis observa cette bâtisse pendant que le chauffeur arrêtait la voiture. Puis, Il descendit ; il oublia immédiatement cette sensation de vitesse parce que sa présence en ce lieu n’avait rien d’amusant.
Un domestique ouvrit la porte et demanda la raison de sa visite. En lisant une carte présentée par le policier, il resta coi avant d’obliger Louis à attendre dans le hall. Le jeune homme fut suivi par deux des quatre gendarmes venus en renfort et qui l’attendaient dans le parc du château. La présence de ces cavaliers était-elle indispensable ? Il n’en voyait pas l’intérêt.
Peu après, le valet revint et invita ce monde à le suivre. Ils pénétrèrent dans un salon où une dame d’une trentaine d’année, habillée d’une élégante robe blanche, lisait tranquillement, assise dans un fauteuil Louis XV. Deux enfants jouaient dans la pièce voisine dont la porte demeurait ouverte. Ses yeux fusillèrent les visiteurs des pieds à la tête avant de revenir sur le livre. C’était un livre récent dont Louis avait lu une critique encensée : « Le grand Maulne » d’Alain Fournier.
-          Madame, dit-il. Je ne vais pas aller par quatre chemins. Et si je suis ici, c’est pour…
-          Vous êtes venus pour la chose !
Aussitôt, il fut saisi d’effroi en entendant ce mot : «chose ». Un silence pesant glaça l’atmosphère. Elle tourna une page. Puis elle referma le livre brutalement.
-          Ce roman est d’une niaiserie ! S’exclama-t-elle avant de le dévisager à nouveau.
Dès lors, il se sentit nu. Les militaires reculèrent d’un pas, amplifiant son abandon. Elle demeura muette à l’observer comme un animal perdu. Il fut intimidé par la beauté de son visage, son corps svelte et la grâce de sa démarche. Il imagina la voir sans ce chignon qui cachait la longueur de ses cheveux bruns. Elle se leva pour s’approcher d’une table. Elle attrapa une carafe d’eau avant d’en remplir un verre à pied.
-          C’est au sous-sol. Mais je devine que cette garce de Michelle vous l’a aussi écrit? J’ai bien fait de la congédier.
La servante était bien à l’origine de la lettre alarmant la situation dans le château. C’était une lettre lue et relue, Louis avait même corrigé les fautes d’orthographe. D’un simple geste de la main, elle ordonna au domestique de guider ces intrus. Béatrice Grayo de Kersilly parut plus qu’hautaine, elle était méprisable malgré sa beauté. Aussi, un soulagement s’engouffra dans l’esprit du jeune commissaire lorsqu’ il quitta le salon.
Comme par magie, le couloir s’alluma immédiatement. Louis resta sur ses gardes. Sans fenêtre, tout parut sombre, hostile. Il marchait, hésitant à ouvrir les quelques portes rencontrées…Juste par curiosité. Cependant, il se contenta de suivre l’employé dont la posture droite rappelait un de ses anciens professeurs de collège. A cause de cela, le domestique sembla antipathique aux yeux du policier.
A sa grande surprise, ils descendirent un escalier. Ils s’engouffrèrent ensuite dans une cave. L’air était vicié, presque irrespirable ; Un gendarme qui accompagnait Louis ressentit une pression aux poumons. Toutefois, ils continuèrent d’avancer approchant d’une lumière lointaine. Le valet poussa une porte et entra ensuite dans une pièce meublée.
Il y avait un lit aux pieds et aux bords rongés. Des couvertures mitées recouvraient un matelas dans le même état. Une chaise reposait sous une fenêtre. Sa présence surprit le commissaire parce qu’il pensait être dans un sous-sol. Il réalisa que la maison était à flanc de colline. Louis zyeuta rapidement afin de trouver la raison de sa venue. Effectivement, elle était bien là !
La gamine, assise à même le carrelage, jouait avec une peluche, vulgaire poupée de chiffon à l’effigie d’un animal méconnaissable. Elle observa les hommes qui venaient d’entrer. Elle serra encore plus fort son jouet contre sa poitrine. Et après un court silence, elle regarda le domestique, le seul qu’elle reconnut.
-          Bonjour, dit-Louis. Tu t’appelles bien Jeanne ?
Elle hocha la tête sans  prononcer un mot. La blondinette ne ressemblait pas à sa mère. Ses grands yeux ronds, son nez retroussé, sa grosse tête lui donnèrent un aspect de poupée en porcelaine. Son corps extrêmement maigre présenta les symptômes d’un enfant maltraité. Elle avait sept ans, pourtant, elle paraissait en avoir trois.
-          Ne t’inquiète pas, je suis venu pour t’aider, ajouta-Louis.
Jeanne regarda la main tendue du policier. Elle hésita un moment, puis après avoir croisé le regard assuré du domestique, elle se leva et posa ses doigts sur la paume. Louis voulait sortir au plus vite de cet endroit sordide. Ce n’était pas une chambre pour une petite fille. Il marcha lentement, regarda de temps en temps la fillette qui, continuait de presser la peluche en chiffon contre elle. Le gendarme suivait toujours son supérieur.
-          Ce n’est pas une robe de bourgeoise, lança-t-il à voix basse.
En effet, Jeanne portait une simple tunique grise comme on pouvait trouver dans certains quartiers populaires. Elle marchait pieds nus qui étaient aussi sales que son visage.
-          C’est un cadeau de Michelle avant d’être congédiée, sinon, elle n’aurait pas… murmura honteusement le domestique.
Une fois de retour dans le salon, Louis Macé salua la propriétaire du château. Elle s’était rassise dans son fauteuil, mais en découvrant la petite fille, elle se leva et hurla :
-          Dégagez-ça de ma vue ! Ce n’est pas mon enfant. Qu’elle me rende ma fille ! Je veux qu’elle me rende ma fille !
Soudain, deux autres enfants accoururent. Contrairement à leur sœur, ils étaient très bien habillés. Ils observèrent la scène, leur mère devenue hystérique et leur sœur, les yeux écarquillés, qui ne comprenait rien à ce qu’il se passait.
-          Je vous serai gré si vous faites préparer ses affaires, demanda Louis.
Le visage déjà rouge de Béatrice Grayo de Kersilly sembla éclater. Elle hurla encore plus fort, réclamant qu’on éloigne Jeanne d’elle. La fillette ne comprit rien. Sur le coup, elle accepta de suivre le commissaire. Mais une fois le seuil de la porte franchie, elle lâcha la main de Louis et retourna en courant dans le manoir.
Louis retrouva la gamine enlaçant les jambes de sa mère. Cette dernière devint tétanisée par ce geste affectueux. Son visage était devenu blême, son regard se remplit d’effroi. Elle leva les bras ne sachant que faire comme si on venait de souiller sa robe.
-          Retirez-moi ça ! cria-t-elle en regardant les gendarmes.
L’un d’eux attrapa Jeanne qui pleurait. Elle avait du mal à parler des phrases entières, prononçant correctement un mot sur deux. Ses frères restèrent muets, ne sachant quoi faire. Ils regardèrent leur sœur s’en aller. L’un d’eux posa la main sur l’épaule de l’autre, en signe de réconfort. De leur sœur, il ne restait plus que la poupée de chiffon abandonnée sur le carrelage. Jeanne continuait de sangloter, le gendarme l’installa sur la place arrière de la voiture. Louis monta à côté d’elle. Et après un vif signal, le chauffeur qui attendait sagement, fit un tour de manivelle pour démarrer l’automobile.
Jeanne pleurait toujours, se demandant pourquoi on la séparait de sa mère. En constatant les traces de brûlures sur son bras, Louis connaissait la raison de cette séparation.
Alex@r60 – février 2023
Photo: Hold tight by phatpuppy
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