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#transporteur
frenchcurious · 7 months
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source Time Travellers.
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certainbirdperson · 3 months
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كان هالفلم ذا بيست اول مرة حضرته اذكر كنت صغيرة يمكن كنت 13سنة
حضرت كل الاجزاء DVD لا يمل منه
جيسون ستاثام 🖤
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federer7 · 2 years
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Transporteur. Guatemala, 1965
Photo: Hans Silvester
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ziraxtransport · 2 years
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dandanjean · 9 months
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Transporteurs d'infini
Nos vies sont toutes de sable, nos vies sont toutes des fables et c’est seulement dans la manière de les conter que se dévoilent leurs lumineuses trames. Nos vies, comme ces toiles d’araignée, invisibles le jour, qui, au petit matin, apparaissent perlées de rosée, purs chefs-d’œuvre de symétrie. Voilà mes élucubrations, dernière élégance de ma solitude de forçat au milieu d’un champ de…
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nudesnoises · 10 days
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Delphine Chanéac in "Le Transporteur"
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sinvulkt · 1 month
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Chap 1 ✯✯✯ ꒰ঌ ⚔ ໒꒱ ✯✯✯ Chap 3
La main d’Edmond serra le manche de son couteau. Le sac mortuaire puant qui le recouvrait battait au rythme des pas des hommes qui le transportait, le ballottant inconfortablement. Il faisait froid. D’après le calendrier que l’abbé avait insisté pour tenir, on était le 27 février. L’air marin passait à travers le sac comme une porte grande ouverte, et Edmond peinait à ne pas grelotter. Des frissons le secouaient malgré tout de temps à autre, à peine suffisamment discrets pour ne pas être repéré par ses transporteurs.
Il se força à détendre ses muscles, faisant sa meilleure impression de mort flasque que l’on emmenait au cimetière. C’était loin d’être chose facile. Il avait mal rentré une de ses ailes, et elle reposait douloureusement tordue, coincée sous son bras pour ne pas que les geôliers la remarque. Des fourmillements avaient parcouru le membre un peu plus tôt, mais ces derniers s’étaient tus, laissant place à une étrange sensation d’engourdissement.
Le sac s’immobilisa. Edmond se gaina, étonné que les geôliers aient déjà atteint le cimetière. Le château d’if était à peine assez grand pour être appelé une île. Peut être attendaient ils une barque pour les mener au dernier lieu de repos des prisonniers ?
Un flash lumineux perça à travers le sac. Peu de temps après, un grondement sourd retentit. Edmond pouvait entendre l’agitation des vagues non loin, annonçant une tempête imminente. 
“L’orage ne va pas tarder à tomber,” un des geôliers commenta.
“Cela fera une belle noce pour l’abbé,” le second ricana.
Il y eut plusieurs bruits de froissement, puis Edmond sentit quelque chose se resserrer autour de ses chevilles. Il raffermit pour la énième fois sa prise sur son couteau de fortune.
“Tu l’as bien accroché?”
“Oui, aucun risque qu’il flotte comme le dernier.”
Flotter ? Les pensées d’Edmond furent distraites par un mouvement du sac. On le prit par la tête et les pieds et on balança le sac de droite à gauche.
“À la une, à la deux,” les geôlier chantèrent.
“À la tr—”
Le craquement du fil trop tendu qui cède retentit.
Les coutures du pauvre sac, recousues à la hâte par les mains fébriles d’Edmond, se déchirèrent d’un coup. Les geôliers, surpris, lâchèrent le sac qui tomba lourdement sur le sol. Edmond hoqueta, la respiration coupée par le choc. La chute avait libéré ses pieds. Il cligna des yeux, aveuglé par la soudaine lueur du jour attisant ses pupilles, même atténué par les sombres nuages qui couvraient le ciel.
“Mais- mais ce n’est pas l’Abbé Faria!” l’un des hommes s’écria.
Edmond surgit du sac comme un diable, couteau à la main. Le plan jouait en boucle dans son esprit. 
Attaquer le geôlier le plus proche. 
Courir. 
S’envoler.
Ses ailes s’arquèrent d’un air menaçant, plumes battant dans le vent qui hurlait. Avant qu’il ne réalise vraiment ce qu’il faisait, Edmond plongea son poignard dans la poitrine de l’homme qui avait crié. La lame s’enfonça avec un bruit répugnant dans la chair. 
Choqué, il lâcha l’arme et recula d’un pas. Sa promesse a l’abbé de n’attaquer les sentinelles qu’en dernier recours tournait sans fin dans sa tête.
Déjà, le second geôlier sonnait l’alarme à grands cris. Tout en hurlant, le géolier porta sa main à la baïonnette sanglée dans son dos et s’avança vers son compagnon blessé et le prisonnier. 
Edmond sonda ses portes de sortie. Ils se trouvaient sur un des chemins de ronde du château d’If, juste au bord de la falaise. Le geôlier bloquait la voie d’accès à la cour, et aucune barque n’était en vue. Il jeta un regard derrière lui. S’il prenait le tournant du chemin de ronde, il aurait peut-être assez d’élan pour décoller. 
Sans perdre une seconde de plus, Edmond détala à toute jambe. Ses ailes suivirent par instinct, se déployant de toute leur envergure d’une façon dont elles avaient été incapable entre les étroits murs du cachot. Le vent se pris dans les plumes tout comme il gonfle une voile. Edmond, surpris, failli tomber à la renverse et ne redressa sa course qu’en repliant ses ailes.
Derrière lui, le geôlier lui aboyait des ordres.
“Au nom de la loi, arrêtez-vous !”
Edmond s'arrêta. Il fit quelques pas en arrière pour regagner un peu de distance, vérifia que les gardes étaient encore assez loin, et reprit sa course. Cette fois, il ne garda ses ailes qu'à moitié entrouverte, comme on baisse le grand mât pour prendre un vent trop fort.
“Avec la tempête, vous ne vous en sortirez jamais !”
Ignorant les cris du geôlier qui se rapprochait, Edmond prit le tournant qui le menait à une belle ligne droite, puis soit à une chute vertigineusement létale, soit à un envol libérateur. Chaque pas n’était plus qu’un battement de cœur qui s’accélère, un muscle qui se prépare. Chaque pas était un espoir qui s'ajoutait au dernier. 
“C’est du suicide !”
Le bout du chemin vint en vue. Les vagues rugissaient sur des rochers pointus en contrebas. De temps en temps, un éclair venait aveugler la vue encore sensible d’Edmond, illuminant les crocs du relief l’espace d’un instant comme une vision d’horreur. L’idée de sauter du rempart, un instant plus tôt parfaitement réaliste, semblait désormais effectivement un suicide.
Mais rester menait à une mort certaine, et si elle n’était pas physique, alors elle serait mentale.
Le pied d’Edmond atteint le bout du rempart. Fermant fort les yeux comme un enfant qui prie une étoile filante d'apparaître, il ouvrit grand ses ailes et s’élança.
Après quelques battements d’ailes, il ouvrit les yeux.
Edmond volait.
Le vent, qui avait semblé si furieux au sol, le portait sans effort vers l’immensité du ciel. Dès qu’une bourrasque le menaçait, ses membres ajustaient son équilibre par un étrange instinct qu’Edmond n’avait jamais remarqué jusqu’alors. Il pouvait sentir chaque tendons crispé par l’effort, chaque plumes tendues pour maintenir son cap, le tout formant une machine magique lui permettant de naviguer les airs.
Edmond leva les doigts pour sentir l’air courir contre lui. L’atmosphère lourde et cinglante de l’orage qui n'attendait qu’un signe pour éclater faisait fleurir de la chair de poule sur sa peau. Il s’en délecta. Le goût salé de la liberté flottant sur sa langue l’enivrait. 
Edmond ne vit pas la baïonnette du garde pointé sur la cible facile qu’il formait, balancé par les courants aériens. Il n’entendit pas le cliquetis de la gâchette que l’on actionne. Il entendit la détonation, mais c’était déja trop tard.
Le coup parti. 
Au début, Edmond n’entendit que le bruit du fusil. Se pensant hors d'affaires, il se força à lutter contre le vent à large coup de battements d’ailes avant qu’un second fusiller ne visa mieux. Des plumes blanches tachées d’écarlates tourbillonnèrent dans le vent. Puis, une explosion de douleur retenti comme un fouet brulant le long de ses cotes et de son aile droite. Quand il porta la main à son torse, elle revint trempée de sang. La vue vacillante, incapable de lutter contre la tempête avec son aile touchée se repliant à la première bourrasque, Edmond chuta.
L’eau était glaciale.
Il accusa le choc d’un coup de brasse vigoureux. Sa blessure le lançait, mais pas autant qu’il ne l’avait craint. Edmond devait sa chute à la surprise et à son manque de pratique quant à l'utilisation de ses ailes, plus qu'à la traînée sanglante laissée par la baïonnette. Le sel attisait sa brûlure d’une manière qui était familière à tout marin, mais la douleur restait tolérable. Dans la mer enragée, à des kilomètres de la côte, les conséquences d’un coup de feu étaient le cadet de ses soucis.  
Les ailes qui le portaient jusqu’alors le condamnaient désormais. Leurs mouvements brusques et agités conflictaient avec la brasse qu’il avait appris auprès des autres marins. Gorgées d’eau, elles le traînaient lourdement vers le fond. Edmond se débattit de toutes ses forces pour retrouver la surface. Se souvenant des leçons prodiguées quatorze ans plus tôt, il vida son esprit et fit de son mieux pour ralentir son cœur. Plus calme, il réussit à replier ses ailes sur son dos, plaquée de telle sorte qu’elles ne le génèrent plus lors de la nage. 
Edmond était toutefois loin d’être sorti d’affaire pour autant. Les longues secondes qu’il avait pris pour retrouver ses esprits l'avaient emmené vers les bas-fonds. La mer, noire et profonde, le pressait de toute part de telle sorte qu’il avait perdu le ciel de vue. Ses poumons le brûlaient, réclament un air absent qu’Edmond ne pouvait pas leur procurer.
Un éclair lumineux attira son attention. Désespéré, Edmond donna de vigoureux coup de pieds dans sa direction. Son cœur battait à tout rompre, renforçant la douleur montante de sa poitrine. Quelques instants plus tard, il perça les flots, victorieux, et aspira goulûment l’air qui lui avait tant manqué.
Comme pour le moquer, l’orage grondant choisit ce moment pour déverser sur lui tout son malheur. Un flot de gouttes se précipita sur lui, martelant son visage et tout ce qui avait le malheur de dépasser de l’eau. Pis, le vent avait impossiblement forci, et des vagues effrénées menaçaient de noyer sa bouche grande ouverte, manquant de l’étrangler. Peu importe la façon dont Edmond battait des paupières, ses yeux, pourtant habitués à la pénombre des cachots, ne pouvaient distinguer qu’eau et noirceur.
Edmond nagea.
Il nagea à l’aveugle, luttant contre le courant de peur que les flots déchaînés ne le précipitent contre une falaise. Ses dents claquaient sous le froid glacial de février. L’effilade que la balle avait laissé le long de son torse et de son aile droite s’enflammait douloureusement à chaque mouvement. De temps à autre, une vague plus imposantes que les autres le renversait, et Edmond devait redoubler d'effort pour retrouver la surface. 
Il nagea.
Ses forces s’amenuisaient. Les frissons qui le secouaient jusqu’alors s’étaient tuent. La piqûre du sel était omniprésente dans sa bouche, dans sa gorge, dans ses poumons. Ses pensées avaient laissé son passé, la prison, ses gardes et le corps de l’abbé loin derrière, et se réduisaient désormais à un fin fil d’espoir désespéré, érodé par la houle qui le frappait interminablement. Il ne voyait que la prochaine vague, et les coups qu’il faudrait donner pour la franchir.
Il nagea encore.
Une autre vague le renversa. L’eau salée s’infiltra dans ses poumons, pressée d’investiguer ce nouvel orifice. Edmond se crispa et attendit, guettant un des flashs aveuglants de la foudre qui déverse sa fureur sur le monde pour retrouver son chemin. Ce n’est qu’une fois la surface retrouvée que, toussant, il réalisa la position vainement déployée de ses ailes. Comme ce qui lui semblait être une éternité plus tôt, le réflexe, loin de l’aider à flotter, lui compliquait la tâche. Il dépensa un peu de l’énergie raréfiante qui lui restait pour lutter contre le courant et replier les excroissances gorgées d’eau. 
Il nagea, encore et toujours.
C’était tout ce qui comptait désormais. Perdu dans l’immensité de l’océan, luttant pour chaque gorgée d’air atteignant ses poumons, Edmond n’avait plus que cet objectif en tête. Nager .
Son genou racla soudainement contre une surface dure. Sans même y penser, Edmond se retourna et s'accrocha à l’objet qui se présentait. La pierre, froide et glissante sous ses doigts, ne bougea pas. Des bouts s’effritèrent, peut-être, mais trop peu pour stopper son avance frénétique comme il se hissait, désespéré, à cette bouée inespérée de l'océan.  
Une fois arrivé en haut, il s’écroula, la respiration sifflante. Le rocher qu’il avait frappé était en réalité un îlot de quelques mètres de large, sur lequel poussait de rares broussailles. Un peu plus loin, Edmond pensait apercevoir la bordure d’une île, mais le rideau de pluie rendait le paysage difficile à distinguer. Il pouvait encore entendre les vagues rugir à ses oreilles. Elles battaient rageusement autour de son refuge, comme endiablé par la perte de leur proie. 
Edmond rassembla ses forces pour se traîner un peu plus loin de leur portée, juste par précaution. Il atteint une des broussailles, et trouva son pied confortable. L’amas de branche protégeait quelque peu du fouet de la tempête, et le lit de feuilles mortes était aussi confortable que la paille du cachot qu’Edmond venait de quitter. Ses plumes, qui s'étaient gonflées sous l'effet du froid maintenant qu'elles n'étaient plus immergées, feraient une parfaite; si légèrement humide; couverture.
Exténué, tremblotant, il se roula en boule et s’endormit.
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yanncavell · 8 months
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Dans le long-métrage "Le Transporteur" (2002), un conducteur de voiture chargé de convoyer à bord de son véhicule un sac contenant le corps d’une jeune femme, entravée et réduite au silence par un morceau de ruban adhésif, la prend en pitié et perce son bâillon du bout d’un coutelas pour y glisser une paille et lui permettre ainsi de se rafraîchir en buvant quelques gorgées de soda.
Peu de temps après, ce même conducteur assomme deux gendarmes, les ligote puis les enferme dans le coffre de sa voiture, avant d’acheter deux canettes de sodas et de se munir de deux pailles, dans l’intention d’hydrater ces agents des forces de l’ordre, comme il l’a fait précédemment avec la jeune femme.
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birilio · 1 year
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What goes around…
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frenchcurious · 1 year
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Citroën DS Transporteur Tissier & DS19 Cabriolet Chapron. - source Phil Le Versaillais via source Citroën DS And ID.
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sushis4kalyo · 1 year
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Après, j'ai couru ! 🏃‍♀️
Moi : Tiens t'as vu, y'aura pas mal de transporteurs au TAF.
P : Ah ouais c'est intéressant ça ! J'peux venir au salon aussi ou c'est que pour les jeunes ?
Moi : Non t'inquiètes tu peux y aller, y'aura aussi des EPHAD parmi les exposants !
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La Touille et le mystère des grottes de marbre
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Notre persil préféré ouïe il y a de cela 5 semaines de la présence d'un supposé trésor caché au milieu de certaines grottes de marbre. Ce trésor se révèlerait sous la forme la plus chérie aux yeux de celui qui le découvrirait. La question était donc ouverte, s'offrirait'il en tant que pizza ou bien en tant que dragibus lorsqu'Aneth mettrait la main dessus ?
Profitant d'une accalmie dans la pluie battante de cette charmante contrée, nous soudoyâmes des petits pêcheurs locaux, et sautâmes dans leur frêle barque. Par un heureux hasard, ceux-ci étaient spécialisés dans la visite de ces fameuses grottes, et nous avions donc comme compagnons de voyage une dizaine de touristes, ignorants de la présence du trésor.
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Après un trajet battu par le vent et par les gerbes du lac Général Carrera, deuxième plus grand lac d'Amérique du Sud, nous approchâmes de l'épave d'anciens pirates, dont la quête du trésor fut infructueuse. Ceux-ci, sévissant sur les eaux du lac jusqu'en 1997, se faisaient passer pour de simples transporteurs de minerais de cuivre et de plomb.
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Notre seconde et ultime étape fut les falaises de marbres, où nous nous enfonçâmes de plusieurs centimètres dans les cavités rocheuses creusées par l'eau et le temps.
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Nous vîment des bébés pigeons locaux, des parents pigeons locaux, des moutons tout aussi locaux. Par ailleurs, la roche gardait la trace d'êtres pétrifiés par Méduse en des temps immémoriaux : un chien, un éléphant, un tortue, et même une vielle dame ! Mais hélas, nulle trace du trésor tant espéré.
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Nous revînmes ainsi penauds de notre traversée, et c'est en posant le pied sur la terre ferme que nous comprîmes. Le véritable trésor, c'était toutes ces belles amitiés nouées durant le voyage.
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guyboulianne · 1 year
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Dmitri Medvedev a déclaré sur Telegram concernant le mandat d’arrêt contre Poutine : «Il est tout à fait possible d'imaginer l'utilisation ciblée d'un transporteur hypersonique de la mer du Nord à partir d'un navire russe au palais de justice de La Haye» https://bit.ly/3ncDyI6
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ziraxtransport · 2 years
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m-a-r-i-e-d-e-n-i-s · 2 years
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Amitié Soleil Couscous !
Après H2M, dans un arc à double détente, voilà Campagne Première : une aventure de projet initié par Fanny Robin. Avec les artistes Vincent Broquaire, Nicolas Daubanes, Marie Denis, Véronique Ellena, Raphaëlle Peria, Morgane Porcheron, François Réau et Géraud Soulhiol. Bienvenue chez Marie-Paule & Antoine, Olympe et Orphée. Calme luxe et volupté Amitié Soleil Couscous ! Le banquet se fait alvéolaire. Le dénominateur commun des caisses noires sculpturales, pourtant à hauteur de quotidien. Car sûr les étales de marché, on ne voit qu’elles, sans les voir. Elles se prolongent ici, toujours plus complètes. L’émotion palpable de la bande son de Paul, le Papa de Marie-Paule, qui nous transporte. Marie-Paule qui accueille le public main dans la mienne, et danse comme une fée. Où l’art s’offre à tous.
“L’art est ce qui rend la vie plus intéressante que l'art”, mantra de Robert Filliou. D’où vient l’énergie ? Du regard en partage. Merci FannyFanny pour cette grande valse, vraiment. Merci Marie-Paule et Antoine pour votre maison grande ouverte, et bien plus, à notre projet. Aux artistes pour la couleur des jours, le swing et le swag. & aux licornes de l’association.
A Han pour sa précieuse et sage présence, Yanxin avec nous et Lupeng pour leurs images. A MauriziO ami transporteur ailé Crédit photos Han, Yanxin, Lupeng et m.
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nataventures · 2 years
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[ SULAWESI - direction Rantepao]
Samedi 24 septembre : en route vers le Pays Toraja.
Nous reprenons la route, accompagnées de Nina et Flo, deux allemands que nous avons rencontré au Victory (nous ne pouvions pas les louper, il n'y avait qu'eux et nous!).
C'est parti pour 11h de bus ! On fait des pauses toutes les 2h pour manger, faire des pauses pipi et faire des livraisons : ici les bus sont aussi transporteurs de scooters, durian, riz... Le bus fait des stops régulièrement pour livrer dans les villages ! Et la musique toujours à fond!
Nous arrivons à Palopo puis un taxi nous attend pour rejoindre Rantepao, c'est reparti pour 2h de virage!
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