Tumgik
#un gros nounours comme ça là
sloubs · 2 years
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je rêve d'un moment dans les prochains volets de kaamelott où léodagan fout un pain à arthur parce qu'il parle pas à guenièvre comme il faudrait et ça lui remet les idées en place
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♦ CHAPITRE 1 ♦
Les paladins observaient Zarkon ce déplacer sur les côtés du commandement centrale comme si il n'était pas dans l'espace sans casque ni oxygène.
Keith, attendait une réaction de Shiro qui ne vint pas alors par dépit le jeune adulte envoya le lion rouge contre le lion noir le libérant du rayon tracteur.
Lance/Hunk/Pidge/Shiro: KEITH !
Caron/Allura : KEITH !
Le lion rouge disparu dans l'ouverture du vaisseau à l'horreur de ces amis qui observèrent le commandement centrale faire un saut dans l'espace suivit par les vaisseaux des commandants.
A bord du vaisseau Keith encore dans son lion observait à travers les divers écrans affichés les galras qui s'amassaient autour de lui, puis Zarkon apparu accompagné de Haggar.
Zarkon : Sort de là, mon garçon !
Keith : Je ne crois pas !
Zarkon : ....
Un épais rideau bleu scintillant aqueux passa sur le lion mais lorsque Keith voulu ce lever il découvrit que ces poignets et ces chevilles étaient liés dans des anneaux de glaces et un épais brouillard polaire planait autour de lui et il s'endormit en expirant tremblant de froid.
…. : Et hop là !
Une femme vêtue d'une robe aux bord en laine et les cheveux noué en un chignon serré sous un béret rejoignit l'Empereur en s'étirant.
Lyra : Honnêtement, Père Impériale, la prochaine fois si vous voulez qu'ils sortent demander la flamme, il accourra !
Zarkon : Il aurait pu sortir mais je préfère qu'il ne voit pas le chemin jusqu'à sa cellule !
Lyra : Vous êtes désespérant.
Elle laissa là la conversation préférant quitter les galras pour retourner au calme plutôt que commencer un combat inutile et fatiguant.
Sendak : Comment ose tu petite....
Zarkon : Laissez la dire, cette petite à du cran !
Sendak : Mais seigneur, elle vous manque de respect...
Zarkon : C'est pourtant elle qui pourrait tous nous détruire, je préfère la garder comme elle es plutôt qu'elle choisisse Voltron !
Lyra: Père Impériale ? Soyons sérieux deux tics, je préfère encore avaler de la vase bouillie que rejoindre ceux qui tuent sans réelle motivation et détruisent la nature sans raison !! Puis à dernière nouvelle, vous nous avez sauver la vie à mes amis et moi-même et non Voltron, alors...pourquoi nous vous tournerions le dos ?
Puis elle s'éclipsa passant divers couloirs et esquivant les soldat ou druides sur son chemin pour rejoindre l'aile Impériale ou elle avait une chambre avec Ariane ou simplement 'Aria' pour les gens qui la connaisse.
Lyra : Salut...
Aria : Encore des prisonniers ?
Lyra : Le paladin rouge.
Ariane mal grès ces 26 ans était une petite femme au teint halé, aux cheveux châtain claire mécher de blond doré et de magnifique yeux bleu presque violet, sous les lumières du vaisseau galra, elle devait son incroyable beauté de sa mère grecque mais aussi de son père allemand.
Aria : J'en ai assez !
Le livre qu'elle lisait à l'entrée de Lyra vola contre le mur dans un geste de pur colère qui ne passa pas inaperçu aux yeux de son amie qui vint la prendre dans ces bras dans l'intention de la réconfortait.
Lyra : Allons Aria le médecin à déconseillé que tu t'énerve afin d'éviter les crises !
Aria : Je sais mais....C'est injuste !
Lyra : Aria, il a quand même risquer sa vie pour nous récupérer avant l'implosion de notre monde !
Aria : Je sais ça aussi, mais ces gens n'ont pas mériter un tel traitement !
Lyra : Allez viens, allons voir les garçons à leur entraînement, changer d'air te fera du bien !
Aria : Mais je suis en chemise de nuit !
Lyra : Pas grave, je te laisserais mon manteau !
Remarquant que son amie était pied nu elle lui enfila une de ces robes puis la prit dans ses bras pour traverser les couloirs jusqu'à l'arène ou Altaïr et Abner s'affronter aux poings....
Lyra : ...De vrai bourrin.
Aria : Ce sont des hommes !
Lyra : EH LES BOURRINS !
Altaïr : Qui y a t il ma biche ?!
Altaïr était brusque, irrespectueux des ordres et...tête brûler, ce qui ne l'empêche pas de très bien s'entendre avec Lyra tout deux trentenaire.
Il portait le bouc et avait des cheveux long d'un roux vif et des yeux noisettes le tout coupé par son teint pâle et ces tâches de rousseurs partant de son nez et finissant à ces coudes tatoués de ronces en feux.
En gros...un vrai russe du côté de sa mère et anglais du côté de sa mère. Né de mères différentes et par voies scientifiques il s'en tirait plutôt bien possédant la capacité de maîtrisé le feu.
Et ensuite....Abner, le gros nounours de service jurant par de la truie salé et du rennes fumé, deux mètres trente, brun aux yeux chocolat il préférait observait les deux excités plutôt qu'entrer dans leur 'conversation interculturelles' plutôt....bruyantes.
Cette homme Norvégien de naissance, percé et tatoués n'avait pourtant que 25 ans habitué à une vie de trappeur il n'était pas habitué à la guerre et préférait son quotidien : pister, chasser, faire un feu et dormir.
Pourtant sa maîtrise de la Terre et son silence n'augurait jamais rien de bons pour ces rivaux et ennemis....cela ne l'empêcher pas de défendre ces amis ou de dormir avec Altaïr ou 'l'idiot aux pied qui pue' comme il l'appelait quand il parlait avec Lyra, quand elle engageait la conversation.
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dark-side-of-banana · 6 years
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Au bout de la nuit (Klaus/Dave)
La musique leur parvenait étouffée par l'épaisseur des cloisons, parsemée de rires, de discussions, et de bouts de chants lancés au hasard.
Ils étaient seuls. Ben avait disparu. Un autre jour, dans d'autre circonstance, son absence aurait terrifié Klaus : il était, après tout, la seule personne à l'écouter, la seule personne à le soutenir. Il ne paniquait pas, pourtant. Il se sentait bien. Heureux. Plus heureux qu'il ne l'avait jamais été – ce qui ne mettait pas la barre très haut, pour quelqu'un comme lui.
Il était seul avec Dave. Ils étaient allongés côte-à-côte, encore nus, dans une salle à l'arrière du bar, que le patron louait habituellement aux prostitués. Sous le lit, protégés par une couverture, malgré la chaleur ambiante, ils se faisaient face, leurs visages à peine espacés d'un souffle. Ils cherchaient l'un chez l'autre la trace des caresses qu'ils venaient de s'offrir, sans oser briser l'instant par une parole inconsidérée. Ce fut Dave, finalement, qui prit le risque. Cela n'étonna pas Klaus, il s'était toujours considéré comme un lâche.
-C'était ta première fois avec un homme ? Souffla le soldat en souriant du coin des lèvres.
Klaus s'étrangla d'indignation.
-Pardon ? Si tu penses qu'un amateur peut attendre un tel niveau, tu es encore plus naïf que je ne le pensais ! C'est mignon.
Dave rit. Son compagnon admira la façon dont son visage se plissait de joie, faisant apparaître sur sa joue une petite fossette qu'il mourrait d'envie d'embrasser. Ce qu'il ressentait à présent... Cette exaltation, cette tendre chaleur, au creux de sa poitrine... Il ne l'avait jamais ressentit, avant. Ça lui faisait peur, et, en même temps, ça le fascinait. C'était pour cette chaleur qu'il était resté à cette époque, malgré la guerre, malgré la violence de cet environnement dévastateur. C'était pour ce soldat, qui l'avait regardé avec plus de gentillesse que personne ne l'avait jamais fait. C'était pour lui.
-Et toi ? Répliqua-t-il en laissant trainer distraitement le bout de ses doigts sur le torse délicieusement musclé de Dave. Tu n'arriveras pas à me faire avaler que je suis le premier ! Le petit mouvement final...
-Pas mal, hein ? Plaisanta le soldat en se saisissant de sa main pour la porter à ses lèvres.
La gorge de Klaus s'obstrua brusquement. C'était un geste si... tendre.
-Qu'est-ce qu'il y a ? S'inquiéta Dave.
-Rien, rien, répondit Klaus en essuyant la larme traitresse qui venait d'échapper à son contrôle.
-À l'évidence, pas « rien » ! insista Dave. Ai-je dis quelque chose de mal ? Est-ce que... Je t'ai fait mal ?
Klaus roula sur le dos et laissa échapper un petit rire mêlé de sanglots. L'ironie était trop grosse.
-Toi ? Répondit-il en tentant vainement de cesser de rire et de pleurer, pour ne pas faire peur à son compagnon, pour qu'il le trouve pas trop étrange et s'enfuie en courant, en le laissant là, en l'abandonnant, comme tant d'autre avant lui. Toi ? Répéta-t-il encore. Oh, non, crois-moi, tu ne m'as fait aucun mal...
Tu es peut-être le seul, finit-il in petto, à prétendre m'aimer, ne serait-ce qu'un peu, sans me déchirer derrière. Le seul à m'avoir fait du bien, de toute ma vie.
-Oui, je suis ridicule, soupira-t-il. Désolé. N'y fais pas attention.
-Mais j'aimerais y faire attention, au contraire ! Protesta le soldat en se redressant sur ses coudes pour mieux voir son visage. Que se passe-t-il ? Dis-moi !
Klaus déglutit. Il était splendide, son Dave. Il était merveilleux.
-M'embrasser la main... C'était bizarre. Je veux dire... Personne n'avait eus ce genre de geste avec moi. Même ma mère, qui était pourtant progra... censée me donner un peu d'amour. Et voilà, je ressemble à l'héroïne en mal d'amour d'un feuilleton du dimanche matin ! Oh, Dave, m'emporteras-tu sur ton cheval blanc ? Ajouta-t-il en prenant une voix de fausset, les mains dressées en une parodie de supplication.
-Tu fais souvent ça, remarqua Dave en baissant les mains tendues vers lui. Tu fais de l'humour et tu te ridiculises pour changer de sujet. Pour ne pas s'attarder sur toi.
-Que veux-tu ? soupira tragiquement Klaus en s'approchant pour se blottir contre son torse. Je ne suis pas un sujet réellement passionnant. Si l'on exclut mon talent dramatique, évidemment.
Il avait toujours adoré l'idée de dormir dans l'étreinte d'un autre sans craindre qu'il cherche à en abuser.
-Je comprends ce que c'est, murmura Dave en l'entourant de ses bras, son menton posé sur son épaule, d'avoir une famille difficile.
Dans mon cas, c'est un sacré euphémisme, songea Klaus en se retenant de ricaner.
-Désolé, mon beau soldat, je crains que tu ne puisses pas rivaliser, plaisanta-t-il en songeant à son père psychopathe, sa mère mécanique, ses frangins et frangines doués de pouvoirs comprenant celui qui avait 58 ans dans un corps de 13 et celui qui était mort mais qui continuait à lui taper la discute régulièrement. Sans oublier le majordome-singe, bien entendu.
-Ah oui ? Fit semblant de s'offusquer Dave. Tu vas voir si je ne peux as rivaliser ! Mon père me battait tous les vendredi midi.
-Le mien m'a enfermé de force dans un tombeau, dans le noir, des heures et des heures. Pour me guérir de ma peur des morts.
-Le mien me fouettait avec sa ceinture.
-Le mien m'a forcé à me tatouer à dix ans.
-À te tatouer ?! Ce stupide parapluie, sur ton bras ?
-Lui-même, confirma amèrement Klaus en posant une main sur sa peau, pour cacher le symbole de l'Umbrella Academy. Ce stupide parapluie...
-Bon, tu gagnes le round, admit Dave dans un soupir. Au moins, le mien ne m'a rien laissé de ridicule à assumer tous les jours.
Klaus ne put empêcher un sourire affectueux d'étirer ses lèvres. C'était une des très nombreuses choses qu'il aimait, chez Dave : son manque de dramatisme et son humour admirable.
-Si on part sur la mère, renchérit le médium, j'ai peur que tu n'ai aucune chance ! Elle avait l'esprit si vide qu'elle aurait pu regarder père nous tuer un par un en souriant !
-Ah, tu n'es pas enfant unique ? Attends, attends, je n'ai pas dit mon dernier mot ! Ma mère a dépensé tout l'argent que j'avais gagné à la sueur de mon front, pour me payer des études. Des années de labeur partis en fumée pour quelques sachets de drogue.
-Oh, laissa échapper Klaus, les yeux de nouveau embués de larmes.
Tu dois détester les drogués, songea-t-il, sans oser le formuler à voix haute.
-J'ai un frère, aussi, continua Dave. Un peu plus âgé. Un joli salopard. Il a répandu la rumeur dans tout le voisinage que j'étais pédé et ouvert à toute... transaction.
Un voile de panique se posa sur la conscience de Klaus, brouillant les images que ces mots avaient fait jaillir dans son esprit. Profitant de cette brèche momentané, trois spectres jaillirent dans la minuscule pièce. Klaus reconnu le sergent mort la veille, le bras arraché par un tir de mitraille, l'air hébété. Il y avait une femme typée asiatique, aussi, et un petit enfant à la bouche pleine de sang. Leur image vacilla, grésilla, comme une radio mal branchée, et s'effaça.
-Klaus ? s'inquiéta Dave en s'asseyant pour pouvoir se pencher par-dessus son épaule et voir son visage. Klaus ? Ça va ? Tu trembles... Il ne s'est rien passé, tu sais. Je sais me défendre, et j'avais quelques amis aussi baraqués que moi.
-Tant mieux, répondit Klaus, allongé sur le dos, en lui souriant bravement.
Dave se pencha pour déposer un baiser sur ses lèvres.
-N'aie pas l'air si effrayé, murmura-t-il. Tu parais plus terrifié dans mes bras que sur le champ de bataille.
Klaus laissa échapper un bref éclat de rire, qui pouvait aussi être un sanglot. Comment cet homme, qu'il connaissait depuis un mois, pouvait-il mieux le comprendre que ceux qui l'avaient quasiment vu naître ?
-Ce n'est pas la même peur, finit-il par avouer. Avec toi et sur les champs de bataille... Là-bas, j'ai peur de mourir, et j'ai peur que tu meurs. Avec toi, j'ai peur que... que tu me laisses. Que tu me jettes un regard et te rendes compte que je ne suis qu'un pauvre type paumé, taré, incapable de réussir quoi que ce soit d'important. Tout le monde s'est rendu compte de ça, à un moment ou un autre.
-Tout le monde est complètement con, alors, rétorqua Dave, les sourcils froncés de colère. Moi, quand je te regarde, je vois quelqu'un de bien.
-J'ai toujours dit que tu avais besoin de lunette.
-Pas besoin de lunette pour te trouver beau, rétorqua l'autre avec une intonation explicite.
-Coup bas ! Se plaignit Klaus en se redressant pour se mettre à genoux en face de lui.
Dave sembla se perdre dans les motifs chaotiques de sa chevelure décoiffée, tandis que Klaus admirait la ligne de sa mâchoire et la courbe de ses lèvres.
-Et toi, alors ? Finit par demander Dave en aplatissant du bout des doigts l'épi qui se dressait sur le crâne de son amant. Frères ou sœurs ? Petits ou grands ?
-C'est compliqué, admit Klaus en songeant que, de toute façon, cette affirmation pouvait résumer l'entièreté de son existence. J'ai quatre frères et deux sœurs. Ce ne sont pas tous des trous du cul, comme le tien... Pardon, je ne froisse personne ?
-Non, c'est assez descriptif, continue.
-Je disais... Ah, oui, ce ne sont pas des trous du cul, à priori, du moins, pas volontairement... Mais père à comme qui dirait merdé notre éducation. Vraiment, vraiment merdé. Alors, aujourd'hui, on fait comme on peut, avec ce qu'on est devenu... On n'est pas la famille modèle du quartier, en tout cas.
-Mais... Comment dire... Vous vous aimez bien ?
Klaus ouvrit la bouche pour répondre, mais se rendit compte qu'il n'était sûr de rien.
-Je ne sais pas trop, admit-il finalement. Au fond, moi, je les aime bien. Il y a Luther, celui qui se prend pour l'aîné. Une tête de pioche. Têtu comme pas deux. Toujours focalisé sur l'idée de plaire à papa. Il est un peu violent, mais vraiment pas méchant. Il ne m'écoute jamais, en tout cas. Il se dispute la place de leader avec Diego... Toujours à celui qui aurait la plus grosse, entre ces deux-là. Diego, c'est un peu ce gros nounours, avec plein de griffes extrêmement tranchante, mais tout moelleux dedans. Il ne m'écoute pas non plus, mais il me conduit toujours où je veux aller, et il essaie de m'aider, parfois, même s'il ne comprend strictement rien à ma vie. Après, il y a Cinq...
-Cinq ?!
-Oh, oui, notre père nous appelait par des numéros.
Choqué, Dave ne répondit rien. Il se contenta d'ajouter cette information à tout ce qu'il savait sur Klaus. Son amant était si étrange, parfois... Au fond, Dave se doutait que quelque chose clochait chez lui. Il avait un je-ne-sais-quoi de différent. Souvent, son regard se perdait dans le vide. Il se mettait à trembler sans raison, ou à pleurer, ou à crier dans le noir. Il parlait tout seul, aussi, de temps en temps. Une fois, il était venu le trouver au milieu de la nuit pour lui jurer qu'ils étaient sur le point d'être attaqué. Il avait pris le parti de le croire, même s'il ne le connaissait que depuis deux semaines. Il avait eu raison, bien sûr.
Tous le monde, dans le régiment, savait que Klaus était un peu fou, un peu bizarre, un peu barré. Mais Dave, malgré lui, aimait bien cette fêlure. Elle donnait à son regard une vulnérabilité touchante qui lui donnait envie de le protéger.
-Donc, Cinq... reprit Klaus. Ah, oui, il s'est barré de la maison pendant je ne sais plus combien d'année, et il est revenu comme une fleur, sans rien nous expliquer, ou pas de façon compréhensible, en tout cas. Il est toujours très sérieux, occupé à des choses importantes, dont on a pas le droit de me distraire. Il ne m'écoute jamais non plus, mais parfois, il traine avec moi. Je crois que je l'amuse. Allison aussi me trouve drôle. Elle me laisse porter ses vêtements et ses bijoux, et elle est plutôt gentille avec moi. Jamais méchante, jamais insultante, même si elle ne m'a jamais prise au sérieux de sa vie. Avec Diego et Vanya, c'est un peu ma préférée. Oui, j'ai des préférés. Qui n'en a pas ?
-Vanya ? l'encouragea Dave avec un sourire en coin.
-Vanya... Soupira Klaus. La pauvre... On a été aussi salops que père, avec elle. Ou presque. Personne ne peut vraiment être aussi salop que père. On l'a mise à l'écart. Mais elle est toute gentille. Elle ne croit jamais rien de ce que je dis, mais elle m'écoute toujours quand même, avec cet air de chien battu qui voudrait adoucir tous les malheurs du monde. Parfois, quand elle joue de son violon, les mo... mon esprit me fiche la paix. C'est formidable, tu sais ! Presque aussi bien que d'être shooté.
Il s'arrêta brusquement. Il n'avait pas voulu laisser échapper cette dernière information.
-Oups, lâcha-t-il en portant sa main sur sa bouche dans un geste qui aurait semblé ridiculement exagéré chez n'importe qui d'autre.
-J'avais deviné, le rassura Dave. Je sais à quoi ressemble un type en manque, Klaus...
Klaus se mordit la lèvre, mortifié.
-Ne fais pas cette tête, protesta Dave en plaçant deux doigts sous son menton pour le relever. Je ne te juge pas, tu sais. Ça n'a pas l'air d'avoir toujours été facile, pour toi. Au contraire, tu es vraiment... comment dire ? Courageux. Tu n'y as pas touché une seule fois, depuis que tu es ici. Je le sais, je t'ai observé.
-Courageux ? Répéta Klaus, stupéfait.
Son cerveau enregistra automatiquement, en passant, que Dave l'observait avec attention depuis son arrivée.
-La vache, souffla Klaus, c'est la première fois qu'on me le dit...
Dave s'approcha pour lui donner un baiser furtif. Klaus n'était pas encore habitué à cette manie de l'embrasser par surprise, mais il commençait à considérer la possibilité d'en faire une drogue de substitution.
-Et le ou la septième, il t'écoute ? demanda Dave en retrouvant sa place, souriant légèrement, comme toujours, de l'air béat de Klaus lorsqu'il venait de l'embrasser.
À chaque fois, il avait l'impression que c'était la première marque d'affection que le jeune homme recevait de sa vie, et ça lui fendait le cœur.
-Ben ? Répondit Klaus. Oh, oui, il m'écoute, lui, et il me croit, aussi ! Et il est là pour moi ! Dommage qu'il soit comme qui dirait invisible aux yeux des autres... Presque autant que moi. Je t'assure.
-Tu n'es pas ce que je qualifierais d'invisible, s'amusa Dave en laissant trainer un doigt sur le torse glabre de son compagnon.
Il caressa l'idée de l'embrasser pour reprendre leur échange charnel ou ils l'avaient laissé, mais la repoussa pour plus tard. Il aimait bien écouter Klaus lui parler de lui. Il était si secret, d'habitude...
-Pourtant, je peux disparaître des jours sans qu'ils s'en aperçoivent, répondit Klaus d'un ton qui se voulait léger, mais se teintait d'amertume.
-Sans qu'ils le remarquent ?!
-Oh, ce n'est pas vraiment leur faute... De toute façon, je viens, je vais, je disparais... Je n'ai pas vraiment d'attache, pas de vie cohérente, pas de projet...
Dave songea à la façon dont Klaus était apparut, un mois plutôt, en plein milieu de la nuit.
-J'espère que tu ne comptes pas disparaître, avoua-t-il, tout bas.
-Je ne peux pas, idiot, répondit Klaus en s'approchant encore, jusqu'à s'assoir sur ses genoux, les coudes posés sur ses épaules. C'est toi, mon attache, maintenant.
Dave laissa tomber d'un coup ses prétentions à la discussion, attrapa son amant par la taille, le pressa contre lui, et l'embrassa passionnément. Klaus gémit lorsque leurs langues se lièrent, lorsque les lèvres quittèrent son visage pour se perdre plus bas, dans le creux de son cou, sur son torse, sur son ventre...
Il bascula en arrière, entrainant Dave avec lui.
-Je suis fou de toi, Dave, murmura-t-il au soldat qui l'embrassait frénétiquement. Complètement fou de toi...
Dave le serra plus fort, le cœur battant, le corps brûlant.
-Je t'aime, souffla de nouveau Klaus en s'arquant, les jambes serrées autour de sa taille.
Dave ne répond rien, préférant au plaisir des corps la confession des mots. De toute façon, il avait décidé qu'il ne laisserait plus jamais partir Klaus. Il resterait avec lui, il l'emmènerait chez lui à la fin de la guerre, il vivrait avec lui...
Mais Klaus savait que ni le temps, ni la vie, n'étaient jamais cléments, pour les gens comme lui. Alors il se contenta de se perdre dans la chaleur de Dave. Faire l'amour à en oublier la mort et tout son cortège de revenants. Faire l'amour à en oublier la vie et toute sa procession de souffrance et de déception. Faire l'amour jusqu'à s'ancrer dans le présent, au moins au instant, brûlant, assez puissant pour le garder auprès de lui, jusqu'à la fin de la nuit.
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chaglt · 6 years
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Bonjour! (Bonsoir plutôt, il est 18:33.. même si pour les Espagnols, c’est encore le matin)
Contextualisation: Dans mon fauteuil, habillée (je vous jure), assise tranquille devant mon lingue qui sèche (fancy) et écoutant “Andante Andante” de Mamma mia 2 (et oui).
J’ai envie d’écrire un peu avant d’aller à une movie night avec d’autres auxiliaires :-)
Je pourrais imaginer plein de scénarios et voir si ça matche avec la soirée haha! Le fais-je?
Je vais plutôt vous mettre des photos de ce que j’ai cuisiné hier (Thanks Elsa pour la recette! Un délice!)
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C’est ti pas beau ça? :D J’étais trop fière, une vraie gosse!
Aujourd’hui je me suis offert ça: ah la photo met du temps à arriver sur Google photos. Tant pis pour vous :-)
Au théâtre hier c’était chouette, on a eu 4h avec Andrea (Profe de “baile” et de connaissance de notre cuerpo.. j’ai mal partout! Mais ce fut bien chouette, on a travaillé el contacto de la piel y des tisseux adipeux haha. Je vous laisse imaginer tout ce que vous voulez, c’est plus fun comme ça)
Maintenant c’est “Why did it have to be me” wouhou quelle ambiance!
Samedi on va (oh tiens je vais vous raconter ce que je vais faire en avance pour une fois!) à une cave à vin (so me) avec Elsa (et peut être Pri jaja), dimanche je vais sans doute rencontrer la famille de Jacob (ça yest, les présentations officielles!).. Un chouette petit week-end en perspective :-)
Hier j’ai tenté la méditation avec mes dinosaures (= élèves, confer cette image que j’ai partagée sur Facebook:)
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Je vous jure, je me suis vraiment sentie comme ça lundi et hier haha. Je vous explique le truc de la méditation (que je vais creuser, parce que j’ai senti que ça pouvait marcher!) : d’abord on a mis les chaises en cercle, comme j’ai appris à l’agré en Gelbik (#lesvraiscomprendront).. Ben c’est pas mal du tout en fait :) Ça les a déjà bien emballés. Ensuite, je leur ai fait fermer les yeux (jen avais 12, managable), et on a simplement pris trois grandes inspirations par le nez, et expiré par la bouche. J’ai un peu expédié le truc pcq j’étais un peu stressée #trynewthings, pas j’ai vraiment senti un changement d’énergie. Je le ferai un peu plus longtemps la prochaine fois, surtout que ce groupe là c’est vraiment des dinosaures. Y a même trois ptites nanas qui se foutent bien de ma poire haha, hier deux énormes postillons sont sortis de l’orifice qui me sert de bouche, je vous dis pas la rigolade. Puis elles se foutent de mon (merveilleux) accent haha, les ados je vous jure.. Mais une piste à creuser! Et non des moindres :) #petitbambou
Alooors que mas? Hier c’était vraiment cool au théâtre, je découvre mon corps autrement (allez y, imaginez vous des trucs). J’ai même eu le mal de mer, parce que j’avais mangé un peu de ma fameuse dorade avant d’aller (horaire pourri pour la bouffe, de 18h30 à 22h30), et elle nous a fait faire des roulés boulés sur la longueur de la scène (on travaille toujours sur la scène). J’ai dû m’arrêter un peu héhé. On a fait des impros, Du contact. J’aime tellement ça!!!! J’aime trop la prof, mais on va peut-être changer en janvier :(
On s’est même portés hahaha, vraiment cool :) Elle m’a dit qu’elle avait vu que j’avais bien aimé (disfruté) l’exercice de contact et j’ai été lui raconter qu’à la maison en Gelbik je fais tout le temps des câlins à mon amour de petite soeur et qu’ici ça me manquait, du coup dès que je peux faire des câlins aux gens je me gène pas. J’ai TROP envie de faire “Un abrazo gratis” - free hugs.
C’est magique les câlins! On en a fait de plus de 20 secondes la dernière fois au yoga du rire (ça doit au moins durer 20 secondes pour créer des endorphines) et il s’est encore passé des trucs :) Et NON je ne suis pas folle haha, je veux juste des câlins <3 Par chance Pri et Jacob aiment  bien aussi haha, c’est mes nounours madrilènes (oui j’ai dit ça).
Aloors que mas?
J’ai plus fait de photo. Wait je check. En même temps j’ai écrit il y a deux jours... Ah oui je me suis rendue compte que j’avais pas bien téléchargé les photos de la soirée chez Pri de vendredi passée (les photos c’est quand on a bougé dans un bar après - j’ai demandé leur permission, je peux les mettre! yiha!)
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Pri et Nicky (son ami de Belgique magique)
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Brad Pitt et Angelina Jolie
Ah oui et je vous expliique vite fait cette histoire de Movie night entre auxiliaires (que je n’ai jamais vus), il y a eu un post sur “Auxiliares de madrid the original” - un groupe facebook - d’une nana qui veut organiser des soirées films chez elle avec ses deux collocs, je pense qu’on a été 115 à aimer (à peine!) et elle a bien organisé ça, là je vais à la première édition :) On va être 12-13 je pense, ça va être sympa :-) On va voir V pour Vendetta, y “mingle” - mot que j’ai appris sur la conv. D’ailleurs quand la nana a parlé de ça, un des “invités” a répondu “I didn’t sign to mingle..” wow la violence. Halala qu’est-ce que je blablate!
Demain je ferais bien le MOOC tiens. Pour le fun. Et parce que je dois le faire si je veux renouveler mon contrat un an (je ne sais toujours pas si je veux, mais j’ai jusqu’en février pour décider.. je suis vraiment en train de me poser la question, voir si c’est épanouissant tout ça tout ça).
J’y go dans 7 minutes. J’ai encore le temps d’écrire deux pages.
Bon allez je vous laisse les petits lous, gros poutoux! Je vais amener une empanada des familles à la Movie night :-) (comme vous vous posiez la question)
Bisous sur la bouche (ou sur la fesse, à votre préférence - même si ça ne se dit pas, et non!)
Charlotte
OH MY! Wait a bit! J’écoutais un podcast de duolingo (celui là : https://www.youtube.com/watch?v=G7-5DCXbPx4&t=3s ), ce sont des podcasts anglais - espagnol, c’est pas mal pour entraîner mon audition. Et un nom est sorti, le général Galtieri. Sans u mais quand même! Incroyable!
C’est touut! :) (ce que disent les élèves à la fin de leurs présentations en français, trop marrant/ mignon!)
Oh une dernière chose! Les petits demandent où je suis à Mercedes quand je ne suis pas là, trop CUTE! C’est les deuxièmes qui sont les dinosaures (quand même gentils je crois), mais les premières sont adorables et les autres groupes sont tops aussi. Faut vraimetn que je m’arrête d’écrire, je vais être en retard (départ dans 3 minutes!).. Je suis curieuse de voir ce que cette soirée va donner, je pense que ça va être bien cool :) Je vous raconterai ça (non sans blague, la meuf même quand elle a rien à dire elle arrive à t’écrire un article ultra long).
J’ARRETE.
Bisous!
dernier PS (promis), ce que je me suis offert:
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Je vous laisse deviner ce que c’est, soyez créatifs! De toute façon personne ne me lit donc je ne risque rien à mettre ça haha! La bise <3
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marie-bradshaw · 3 years
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L’Homme est un animal social
Une étude récente montre que le lien social prévient 32% des AVC et 20% des crises cardiaques. 
Assise dans ce hall de l’un des lieux les plus passants de Paris, la Gare Montparnasse, après avoir lu ce fait dans une revue culturelle, je m’interroge. 
Il est clair que l’Homme n’est pas fait pour vivre seul. 
Les différents liens qu’il tisse au cours de sa vie à travers son éducation, sa famille, son travail, ses amis, ses loisirs ou sorties, assurent l’équilibre de son éco-système. 
Alors pourquoi ces liens?
Dans le milieu pro comme dans celui des loisirs, de l’éducation, il assure en premier lieu un rôle d’apprentissage via la communication et l’échange. 
On se balance des idées, des questions, on se répond, et ainsi va l’évolution de la conversation et des chemins de pensée. 
Car tout être humain est conditionné par ce que j’appelle son prisme: visualisez le prisme des Sims au dessus de la tête de chacun, chaque facette contient un facteur de conditionnement. 
On y retrouve notamment la personnalité, l’expérience, l’éducation, les valeurs et les besoins pro/perso. 
L’addition de chaque facette nous donne un filtre qui vous fait voir une situation A d’une façon quelque peu différente d’un autre individu. 
Quant au lien plus émotionnel que social, via notre cercle d’amis principalement, il nous organise à la façon d’une ruche d’abeilles. 
Chacun a sa place, sa personnalité bien distincte, des atomes communs lie le groupe, mais globalement on se complète tous et chaque relation s’établit et se renforce en duo. Ainsi on retrouve souvent des paires où la proximité est accrue renforcée dans une même “tribu”. 
Et chaque individu ressort à sa manière, un peu comme les drôles de dames!
Si je prends l’exemple de la mienne, elle se distingue en plusieurs groupes bien distincts, de l’univers des sports mécaniques aux parisiens pure souche, mais dont chacun partage mes valeurs de bienveillance, de loyauté, de soutien, et d’amour indéfectible. 
Ma “bande” principale étant mes copines parisiennes. 
Aurore, tout d’abord, véritable maitre Bouddha, mon phare dans la nuit. 
Elle est le yin de mon yang. D’un calme imperturbable, je crois bien que je ne l’ai jamais vue en colère en quatre ans. 
Coup de froudre amical dans mon ancienne boite, mon énergie rayonnante l’a séduite, et moi son humilité et sa bienveillance. 
Que ce soit pour retourner un bar, pour jauger d’un éventuel prétendant, ou pour arracher de la tapisserie toute la journée, elle est toujours là bien que moins présente physiquement en ce moment. 
On a fait les quatre-cent coups ensemble, et je lui confierais ma vie. 
C’est vous dire à quel point je lui fais confiance. 
Biensûr nous ne sommes pas toujours d’accord, d’un caractère plus passionnel, plus impulsif, j’ai souvent tendance à l’entrainer dans ma folie, et elle à me calmer. C’est ce qui fait la beauté de notre équilibre. 
Il n’y a jamais de jugement entre nous, rien que du love et une écoute ouverte.
Ensuite arrive Stephanie, ma meilleure amie non avouée (selon elle c’est trop de responsabilités...), rencontrée via une amie commune sur Toulouse, et l’élément central de notre joyeuse troupe. Toutes les soirées se passent chez elles globalement, son appart est le plus cool et le plus central!
A bien des niveaux on se ressemble, la même force de caractère, le même sens du leadership et de la détermination, la même douleur dans le coeur de nos parents respectifs, comme Aurore, Sarah, Céline et Luisa d’ailleurs. 
Nous sommes la team Phoenix, celles qui ne meurent jamais, se relèvent toujours plus fortes de leurs cendres. 
On se distingue principalement par nos looks, le sien plus sage, le mien plus extraverti, et notre conception de l’Amour. 
Elle est plus dure, plus terre à terre que moi. 
Je reste la grande romantique du groupe, à tous les niveaux. 
Depuis quelques mois on est inséparables, Tic et Tac. Elle a été là quand je me suis fait réopéré de l’épaule, et on passé Noël ensemble. 
On s’appelle tous les soirs, c’est notre rituel quotidien. 
Et ça part très souvent en fous rires.
Elle voit ce que je ne vois pas et inversement, ce qui fait que nous sommes de très bon conseil l’une pour l’autre. 
Pointilleuse, grande gueule, les gens la prennent souvent à tort pour une Bobo parisienne coincée, et bien qu’elle refuse toujours de franchir le périphérique pour aller où que ce soit, ou de boire de l’eau du robinet, il n’y a pas plus rentre dedans que cette nana. 
Sarah maintenant, plus timide, introvertie, elle a un coeur aussi gros que le Brésil. Et j’ai appris aux dépends de notre relation qu’on ne pouvait pas rire de tout, parce que nous ne fonctionnons pas de la même manière, tout simplement. Chacun a ses codes, ses règles, qu’il faut intégrer.
Après un verre ou deux en revanche, elle n’a plus sa langue dans sa poche, et on l’adore aussi pour cette double personnalité. 
Céline, que je connais moins, est sans doutes la nana la plus généreuse que je connaisse. Madame de Pompadour pour les intimes, elle fait toujours les choses en grand. Drôle, attentionnée, son énergie est positive et on a envie de l’avoir autour de soi. J’aimerais la connaitre d’avantage.
Luisa, copine formidable en dehors de la bande. 
Elle et moi on est pareil côté glamour et sens de l’esthétique. D’ailleurs je l’ai rencontré sur ce domaine, elle a commencé par me poser mes extensions de cils et on a tout de suite accroché, parlant astrologie et garçons. 
Puis elle a traversé une période sombre, se séparant d’un ex violent, et j’ai tout de suite voulu être là pour elle (ayant traversé la même chose). 
Depuis c’est ma deuxième super copine parisienne. Elle était là pour me récupérer à chaque sortie d’hôpital, et dieu sait qu’il y’en a eu un paquet l’année dernière, et quand je suis triste elle m’offre des roses dans la rue pour me faire sourire. 
C’est le genre d’amie en or qui va tout faire pour te protéger, quitte à brûler la baraque de ton ex. 
“La plus bonne de mes copines” comme je l’appelle, petite bombe latine à forte poitrine.  
Elle a un coeur énorme, est d’un naturel généreux avec ceux qu’elle aime, mais des barrières de fer contre la gente masculine. On était pareilles là-dessus, de très lourds mécanismes de défense, et une passion pour tout donner dès qu’elles sont franchies. 
J’ai évolué. Sur la partie défenses en tout cas, et ça m’a pris du temps et le sacrifice de ma dernière relation.
Elle s’habille toujours en noir, se maquille simplement, quand en elle c’est un feu d’artifice de couleurs. 
Quand elle rencontre quelqu’un elle commence toujours par demander son signe astrologique et ça me fait mourir de rire. 
Un jour, après une rupture, je me souviens qu’elle m’ait regardé dans les yeux et déclaré “Faut qu’on arrête de tout donner comme ça”.
Je lui ai répondu “Toi et moi on donne peut-être tout, et on peut souffrir d’être abusées, mais pour rien au Monde je ne changerais qui nous sommes pour des êtres aux coeurs fermés et limités, nos grands coeurs, c’est aussi ce qui fait notre beauté”.
Elle acquiesça, et je lui souris. 
Je l’aime d’amour.
D’ailleurs on part bientôt pour de longues vacances d’été ensemble, et j’ai vraiment hâte. 
Passons maintenant aux plus éloignés géographiquement...
Florian, alias Bugs, mon meilleur ami depuis presque dix ans maintenant et un rider moto (Stunt) incroyablement doué.
On s’est connus via un ex qui m’avait amené à sa soirée d’anniversaire, et lors d’un event de sports extrêmes où je l’ai hébergé et où il m’a sauvé la vie, on s’est rapprochés. 
Ce mec a la même folie et la même loyauté que moi. 
A bien des niveaux c’est mon alter égo masculin. 
Combien de soirées, combien de fous rires, de nouvels ans à drifter sur des ronds-points encore alcoolisés, combien de weekends de ride moto a-t-on passé ensemble? 
Il a toujours été là pour moi, comme je l’ai toujours été pour lui. 
Lui et moi c’est à la vie, à la mort. 
Si demain l’un de nous deux commet un meurtre, l’autre sera là avec un sac poubelle et de l’acide. 
Quand mon ex violent m’a frappée pour la première fois, il était là, dans la pièce à côté. 
Je ne l’ai jamais vu dans un état pareil. 
En comprenant ce qui s’était passé, en me voyant sous le choc en sanglots, il avait dévalé comme un jaguar et l’avait saisi au cou pour le plaquer violemment au sol. 
J’ai vraiment cru qu’il allait le tuer. 
Aujourd’hui je rêve d’un avenir où je tomberais amoureuse d’un homme qu’il approuve, je cite “qui soit assez bien pour toi” et où nous partirions tous ensemble à l’aventure avec sa chère et tendre et son nouveau né. 
Ici loin des yeux, mais jamais du coeur. 
Et si j’ai décidé de redescendre dans le Sud c’est en grande partie pour pouvoir le voir plus souvent qu’à Paris. 
C’est ma famille. Et je donnerais ma vie pour lui. 
Sa mère a longtemps cru qu’on finirait ensemble, et pourtant, comme je le disais souvent à son ex, la base de notre amitié c’est qu’il n’y a aucune attirance entre nous. Un amour purement platonique. 
Et oui, je fais partie de ceux qui croient à l’amitié homme-femme. 
Tant qu’il n’y a pas d’attirance d’un côté ou de l’autre. 
Drew, mon “bro”, de mon époque lyonnaise, ou mon petit frère caché. 
De nos rendez-vous post cuite au Starbuck pour débriefer aux longues heures passées au téléphone aujourd'hui,  il est toujours de très bon conseil. 
Saltimbanque à ses heures perdues, c’est un grand nounours qui a toujours un sourire fixé aux lèvres. Le genre de Vibe dont on redemande. 
Il me connait par coeur et je lui voue, comme aux autres, une tendresse et un amour inconditionnels. 
Il passe sa vie à m’inviter à venir le voir en station alpine, et cette année c’est décidé j’irai! 
Elisa, l’une de mes plus vieilles amies, et meilleure amie bis. 
Sa grand-mère nous a élevés et je la connais donc depuis mon plus jeune âge. 
Quand j’étais petite, je n’étais pas très populaire, l’intello de la classe à la coupe de cheveux bizarre (ne laissez jamais votre mère s’approcher de vous avec des ciseaux!), et je me rappelle avoir toujours été d’un naturel possessif pour qu’on ne me pique pas “MON” amie. 
Calme, les cheveux châtains clair, lisses, j’étais son opposée, turbulente, brune, des bouclettes plein la tête. 
Elle a appris à parler en premier, quand moi je courais déjà. 
On se complète. 
Et j’ai l’honneur d’être la marraine de son premier né. 
D’origine italienne, toute sa “familial” est à proximité, toujours là les uns pour les autres, et je me sens toujours chez moi avec eux. Elle continue à partager ses traditions, en matrone de son propre clan à présent. 
Athlète aguerrie, elle m’a fait découvrir les joies de la pole dance, et vous n’aimeriez pas la prendre au bras de fer.
Féroce pour défendre ses êtres chers, je me souviens notamment d’un épisode où j’avais séduit deux meilleurs amis pompiers du côté de son homme, (l’un après l’autre hein), lors du baptême de mon filleul, Rafael, et forcément ça s’est terminé en carnage. Que voulez-vous, j’étais jeune et incertaine, et la bonté du deuxième avec les enfants m’a fait chaviré.
Le premier des deux jeunes hommes en questions s’est donc emporté et m’a manqué de respect devant elle, me traitant de tous les noms, furieux que je l’ai “lâché” pour son ami. 
Je n’ai jamais vu Elisa s’emporter comme ça. 
Imaginez-vous un ouragan croisé avec un tsunami et la fameuse “gueulante” d’Harry Potter. 
Croyez-moi, personne n’aurait aimé se faire déchainé de la sorte.
Elle l’a littéralement détruit sur place, en véritable louve qui défend sa meute, et interdit de visite au domicile conjugal.
Je savais déjà qu’entre nous ce serait toujours la famille, même si c’est quasi impossible de la faire quitter sa province pour s’aventurer sur Paris, mais à ce moment là j’ai su qu’elle serait toujours là pour me défendre. Et je lui en serai toujours reconnaissante. 
Comme quoi, méfiez-vous de l’eau qui dort!
Lulu, zoophile de mon coeur (comprenez hétérosexuelle) 
On s’est rencontrées au Poney Club, quand je venais de quitter la province parisienne pour la bordelaise, bien plus verte. 
Je suis tombée amoureuse des collines pleines de vignes, de sa région chaleureuse, et si je retiens bien une personne de mon adolescence c’est elle. 
Ici encore, nous sommes de deux natures totalement différentes. 
Posée, calme, quand moi j’ai longtemps été plus explosive que calme, elle est la beauté au naturel. 
Et son amour du cheval et de la voile la rapprochent encore plus de mère Nature.
On s’est aimées, on a ri à en pleurer, on s’est soutenues dans quelques unes des épreuves les plus difficiles de nos vies, et je me souviendrai toujours de nos premières aventures à scooter, tentant de pousser notre monture dans les descentes en criant “Petit oiseau si tu n’as pas d’ailes, eh bien tu ne peux pas voleeeeeer”. 
Ça fait bizarre aujourd’hui de se remémorer toutes nos aventures. Des premières soirées à dormir l’une chez l’autre en parlant toute la nuit, et dévorant les bons petits plats de sa mère, ou rire avec son père, à notre colocation bordelaise des années plus tard.
Aujourd’hui jeune maman, elle a trouvé sa moitié en Sebastien, et honnêtement je ne vois comment ils auraient pu mieux se trouver tous les deux. 
Ça fait plaisir à voir. 
Margaux, ma soeur de coeur toulousaine (d’ailleurs sa mère et sa soeur m’ont adoptée, c’est officiel).
Rencontrée en soirée dans la ville rose lorsque je bossais pour Corona, on ne n’est plus lâchés. Impulsive, parfois un peu extrême, un manque d’amour caractérisé qu’elle comblait en séduisant la gente masculine, elle fait partie de ceux qui ont su le plus évoluer ces dernières années. 
Son grand Amour, Julien, l’y a fortement aidé, je ne pourrais pas être plus heureuse pour elle. 
Généreuse, le coeur sur la main, elle sait aussi dire non et si elle n’a pas envie rien n’y fera. Son côté princesse. 
A côté de ça, elle peut te pousser un rot à t’en réveiller les morts, et c’est cette dualité girly/camionneur du dimanche qui nous fait rêver chez elle. 
Récemment éloignées par un conflit mineur - une dissonance cognitive entre ma perception de la loyauté et la sienne, et je suis triste de la distance qui s’est installée entre nous suite à ça. 
Mais on se retrouvera, (elle et moi), j’ai confiance. 
Nini, ma witch lyonnaise. 
Féroce, impitoyable, et en même temps adorable. Je sais qu’à première vue, ça ne va pas forcément ensemble, mais pourtant si. 
Très proche de sa mère, elle fait son bout de chemin dans le tattoo et je sais que peu importent les années qui nous séparent, nous pourrons toujours compter l’une sur l’autre. 
Quand je suis tombée enceinte de mon ex-copain violent sur Lyon, c’est la première personne que je suis allée voir. Et c’est elle qui m’a accompagnée dans cette épreuve, avec Aline, à l’époque notre trio du diable. 
Je les aime tous d’un amour incompressible par le temps. 
Ils sont mes vrais “amis”, ceux à qui je donnerais un rein sans réfléchir. 
Et si le lien social évite pres d’un tiers des AVC, c’est peut-être parce que l’amitié renforce le coeur. 
Nos points communs mais surtout nos différences et leur acceptation, nous élève et nous unie. 
Regardez autour de vous, et prenez le temps d’apprécier chaque personne qui constitue votre “famille de coeur”.  
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nonojourney · 6 years
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Une journée au Zoo de Séoul
Le beau temps est là, il commence à faire une température douce et agréable, c’est le moment de sortir de nouveau et d’explorer ou juste de se divertir ! C’est pourquoi je suis allée au Zoo de Séoul histoire de me changer les idées et de rêver devant les animaux !
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Ce n'est que la deuxième fois de ma vie que je vais dans un Zoo, la première fois étant en France, aller pour la deuxième fois dans un Zoo à l'autre bout du monde, il faut avouyer que c'est une idée plutôt sympathique. Pour information, l'entrée du Zoo n'est pas très cher environ 5 ou 6 000 won l'entrée, ce qui doit faire même pas 5€. Le parc est vraiment grand en plus de ça, arrivé vers 11h00 avec mon amie Nana, nous ne sommes repartie que vers 17h30 après avoir fait le tour tout en prenant notre temps.
Après avoir trouvée une carte du zoo, celui-ci propose 4 itinéraires différents pour visiter le parc. Je joue donc le rôle de guide en gardant la précieuse carte. Et hop, on commence en passant du côté de la première zone des animaux d'Afrique. Au programme les magnifiques girafes et des zèbres. 
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On trouve même des chiens de prairie (je présume que c’est ça), je ne suis pas certaine et ne comptait pas sur un écriteau en français pour vous le dire, il vous faudra soit lire le coréen ou de l’anglais quand il y en a. 
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Sans oublier des fennec, tellement mignon ! 
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Ensuite, direction le monde des insectes ! C'était intéressant même si je ne suis pas une fan de ces petites bêtes. Il y avait une grande collection d'insecte sous vitrine et c'est totalement fou ce qu'on peut trouver dans la nature. Plutôt que de prendre des insectes morts en photo, j'ai préféré vous prendre les "arachnide", car je sais qu'ici certaines personnes vont détester ! (petit rire sadique à inclure ici).
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On trouve aussi une tortue bizarre au long cou ! La tortue serpent ou un truc dans le genre.C’est très étrange comme tortue ! 
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Et on trouve aussi de très belles grenouilles !
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Retour du côté du pavillon d’Afrique pour apercevoir les Rhino et autres sorte de gazelle en tout genre. C’est loin d’être une épreuve facile de prendre en photo les animaux, je n’ai pas trouvé le parc toujours très adapté pour bien profiter et observer les animaux. Certains endroit était aussi fermé comme la zone des oiseaux (bon sang je suis déçue ! On a pu apercevoir les vautours et les aigles, j’aurais adoré pouvoir les voir de plus près.
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Sans oublier les animaux d’Amérique du Sud, comme les lama...
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Vous aimez les crocodiles ? Moi, je les trouves impressionnants ! Appréciez les crocos (dédicace pour toi Ikay !).
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Ce qui est parfois frustrant dans ce zoo (c'est peut-être pareille pour les autres, mais n'en n'ayant fait que deux, je n'ai pas beaucoup de points de comparaisons), ce que rien ne facilite la vision des animaux ou la prise de photos. Oui, je sais, ce n'est pas forcément fait pour ça. Mais avouons que les gros barreaux, c'est pas ce qu'il y a de mieux. Du coup, adieu mes magnifiques photos de Toucan et autre...
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Et les bisons qu’est-ce qu’ils sont beaux !
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En cette belle journée, on peut même constater l’arriver du printemps (et le sentir via la bonne odeur des fleurs !).
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Et l’enclos des biches en tout genre !
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La suite ce passe du côté des animaux aquatiques, essentiellement des otaries ou phoques ? Désolé, j’ai toujours du mal à les différencier. Et là, on a eu le droit à un petit spectacle, un phoque (?) se rapprochant à même pas d’un mètre de nous au bord de son bassin et l’un d’eux poussant un cri vachement étrange et grave. Un moment magique à les voir nager avec cette élégance dans l’eau et les voir se déplacer d’un air pataud en rebondissant sur leur énorme ventre hors de l’eau !!!
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Sans oublier les gros nounours !
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La suite ce sont les gros félins ! Sachant que la corée du sud a pour emblème le tigre, il était normal qu'une bonne petite partie du parc leur soi consacré. C'est certainement les plus durs à prendre à photo. Souvent loin de la vitre, des vitres sales et griffées, beaucoup de monde, bref, j'ai fait ce que j'ai pu !
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Des crocodiles encore ! Et compagnie...
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Et on change de nouveau de pavillon !
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Et bien sur, une serre botanique, tellement génial, avec des cactus et tout un tas d’espèce de plantes différentes. 
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Après les plantes carnivores, un pauvre hippopotame qui visiblement c’est battu. 
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Des fesses de babouin en veux-tu en voilà !
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Et voilà pour cette journée ! 
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Après le rite de la première mort de Matthew McKenzie, comme annoncé, Selene fut présentée à ses parents et cette fois, leur fils ne s’était pas trompé, puisque Freya McKenzie, sa chère maman, approuva la banshee ! Il n’en fallait pas plus pour que les deux écossais officialisent leur union -et aussi parce que Matt voulait vraiment se marier AVANT Oswald-. Et le couple n’eut pas le problème de choisir selon quelles traditions ils allaient se marier, c’était tout naturel : Les bonnes vieilles traditions écossaises ! Ainsi, la cérémonie se fit en partie en gaélique, faisant que seule un quart de la salle comprenait cette partie et avec un Matthew McKenzie… en kilt. Selene, elle, portait une robe blanche assez simple, qui marquait sa taille et dont les bretelles lui tombaient sur les épaules. Claudia et Myrrha lui avaient coiffés les cheveux avec une petite couronne de fleurs. Contrairement aux autres couples, parce qu’ils n’étaient pas comme les autres, ils n’allaient pas se contenter d’un petit baiser pudique, non ! La banshee se jeta littéralement aux bras de son écossais en kilt quand cela lui fut permis.
Pas besoin de décrire la fête d’un mariage d’écossais : Du whisky, beaucoup, de la chanson, des gens qui dansent et s’il y avait bien quelque chose sur lequel Matthew et Selene s’entendaient, c’était bien sur la façon dont ils devaient faire la fête ! Après deux bonnes heures de danse, les deux jeunes gens se sont retirés à l’étage. Vieille tradition écossaise qui remontait à Mary Stuart et même certainement avant : le mariage était consommé alors que les invités festoyaient encore. Mais Selene était nerveuse, même Matthew qui n’était pas des plus fins, l’avait remarqué ! Elle s’assit sur le lit et retirait une à une, les fleurs qui trônaient dans ses cheveux blonds. Il vint s’asseoir à côté d’elle et caressa doucement son dos.
« Something’s wrong ? demanda-t-il d’une voix posée et rassurante.
- Mh ? No, no, rassura la jeune mariée en levant le regard vers Matthew. Now I proudly wear the name of McKenzie and I couldn’t expect a better man than you as my husband, dit-elle en souriant.
- Can I tell you a secret, lassy ? reprit l’écossais en venant embrasser la tempe de Selene.
- Yes, of course.
- My mother told me that you are everything I needed in a woman. »
Matthew réussit son coup. Il y arrivait toujours, puisque le visage de sa jeune épouse s’illumina d’un sourire. Selene s’approcha un peu et vint déposer un baiser sur les lèvres de son mari. Il impressionnait les gens, faisait peur à ceux qui se trouvaient en face de lui, surtout ceux qui craignaient d’affronter ses poings, mais elle, ne voyait qu’un gros nounours. Elle sentit la main forte de son écossais se poser sur sa taille.
« So, why do you look so nervous ?
- Because I waited quietly for you until you come to me… »
L’écossais comprit alors les préoccupations de la banshee. Il était le premier homme et certainement le seul qu’elle connaîtrait ! Mais elle ne devait pas s’inquiéter, lui aussi, s’était réservé pour elle ! Finalement, il sourit et se leva pour aller chercher une bouteille de whisky sur la table. Selene se leva pour le rejoindre et il lui passa un verre. Ils s’étaient connus comme ça, en quelques sortes : Matthew lui avait payé une bouteille qu’ils avaient partagé, pour l’aborder. Et malgré tout ce qu’ils avaient bu avant de monter, ils marchaient toujours droit, eux ! Il faut dire que leurs corps étaient entraînés !
« How did you choose me ? demanda Matthew pour détendre Selene en discutant avec elle.
- I’ll tell you a secret, dit-elle en rougissant. Even the girls don’t know it, poursuivit la banshee en faisant référence à Claudia et Myrrha. I fell in love with you twice. The first time when we were both drunk the first night we spend together, because you cared about me all the time. And just after that, because I saw that I loved take care of you more than anything else. But you, how did you ?
- It was obvious, lassy ! s’exclama-t-il. When I was thinking about my life and how I wanted to live it, I did to the conclusion that I couldn’t imagine my long and full of fights life without you in it. What you said can be related so. But I choose you too because you can’t see it lassy, but you’re so gracious when you hit people ! »
Les jeunes mariés se mirent à rire en même temps. Matthew vint prendre Selene dans ses bras et embrassa sa tempe, la conclusion était évidente, ils s’étaient bien trouvés ! La banshee ferma les yeux en se laissant bercer dans les bras de son mari quelques instants. Elle se détendait, le nécromancien pouvait le sentir. Ainsi, cela vint naturellement. Ils échangèrent un baiser, suivit d’autres, tendres et doux, loin de la passion dévorante. L’écossais défit doucement la robe de sa jeune épouse et la laissa glisser jusqu’au sol, rapidement rejointe par la chemise qu’il portait. L’écossaise déboucla ensuite la lourde ceinture qui tenait le kilt de son mari. Lui, semblait toujours vêtu avec son corps quasi entièrement recouvert de tatouages ! Il passa ses mains sous les fesses de Selene pour la soulever et qu’elle place ses jambes autours de ses hanches. Leurs lèvres continuaient de s’embrasser et ils expérimentaient pour la première fois le contact de leurs peaux nues l’une contre l’autre, se prenant à apprécier cela bien plus que ce qu’ils avaient pu se l’imaginer. Matthew déposa finalement la banshee sur le lit qui était imposant et semblait terriblement confortable. Selene rougit un peu, en se prenant à regarder tous les tatouages qu’elle n’avait pas encore eu l’occasion de voir quand son écossais était vêtu. Mais son attention fut assez vite détournée par ce dernier, qui décida de poursuivre l’exploration du corps de sa femme de ses lèvres. Il embrassa sa mâchoire, son cou, son épaule, s’attarda sur sa poitrine puis sur son ventre, avant de déposer quelques baisers à l’intérieur de ses cuisses. Finalement, Matthew arracha les premiers gémissements à son épouse, venant taquiner son intimité de sa langue tout en tenant les cuisses de cette dernière sur ses épaules. Il fallait dire qu’au début, surprise, Selene s’était mise à gesticuler. Parfois, elle sentait aussi les doigts de l’écossais caresser son intimité, la faisant alors découvrir un plaisir jusque là inconnu. Matthew, lui, se délectait des premiers gémissements qu’il provoquait chez une femme. Puis il était remonté, venant reprendre ses lèvres dans des baisers plus appuyés, plus passionnés que les premiers. La température de leurs corps semblait se réchauffer, alors que l’un comme l’autre était des êtres de sang-froid. Les mains de Selene parcouraient la peau de son époux, le faisant frissonner en parcourant son échine du bout des doigts alors qu’elle le sentait prendre place entre ses jambes. D’un coup, les mains de la banshee s’accrochèrent fermement au dos tatoué de Matthew, alors qu’il venait de s’introduire en elle, venant lui arracher un nouveau gémissement. Il venait tout juste de quitter ses lèvres mais gardait tout de même leurs deux visages proches, se maintenant d’une main à plat sur le matelas, tandis qu’il avait glissé les doigts de son autre main dans les cheveux de Selene. L’écossais débuta alors ses coups de reins alors que les sons qui sortaient de la bouche de sa femme étaient de plus en plus forts, si bien qu’il s’arrêta un instant pour caresser ses cheveux, un peu inquiet.
« Am I hurting you ? souffla-t-il doucement, tout proche de son visage.
- No… No, you’re not, rassura Selene en venant tendrement caresser le visage de Matthew. Don’t worry.
- You’re sure ?
- Sure, répondit-elle en venant lui voler un baiser. I love ya’, soupira l’écossaise avec son accent assez prononcé. »
Matthew esquissa alors un sourire en venant déposer un nouveau baiser sur les lèvres de Selene, reprenant ses coups de reins, pendant de longs instants, jusqu’à qu’elle ne vienne planter ses ongles dans son dos en y crispant ses mains, poussant un gémissement d’extase qui fut suivi de son propre râle. L’écossais roula alors sur le côté pour s’allonger sur le dos et reprendre son souffle, ramenant la banshee tout contre lui. Il embrassa sa tempe et esquissa un sourire.
« Why are you smiling ? demanda l’écossaise en souriant légèrement.
- I was thinking about my father congratulations when I will come to him after that. »
La jeune femme rit à la réponse de son époux, qui suivit juste après. Mais Matthew ne pu pas se libérer aussi tôt qu’il le pensait, et surtout, neuf mois après leur mariage, déjà, Selene donna naissance à leur premier fils : Wallace McKenzie, affectueusement surnommé « Wally », pour le plus grand plaisir de Freya et Fergus McKenzie qui devenaient enfin grand-parents !
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🅱🆁🅴🅰🅺🅸🅽🅶 🆃🅷🅴 🅸🅲🅴 de @ninalorenauteur aux éditions @ed_addictives ⁣ ⁣ ✔️Résumé⁣ Transgresser les règles n’a jamais été aussi tentant.⁣ Paige a enfin réalisé le rêve de toute sa vie : elle intègre le staff médical des Rangers, la célèbre équipe de hockey new-yorkaise.⁣ Passé le choc de soigner les superstars qu’elle voyait habituellement à la télé, la jeune femme profite à fond de cette nouvelle vie.⁣ Tout est parfait sauf côté cœur, car là, c’est plutôt le désastre ! Mais Paige refuse d’y penser : elle a trop de boulot et, au travail, son contrat lui interdit de sortir avec un collègue ou un joueur. Et c’est mieux comme ça.⁣ Enfin, ça, c’était avant l’arrivée de Soren Pettersen dans l’équipe des Rangers…⁣ Ce dernier est beau, talentueux, mystérieux, sexy… et Paige n’est pas prête du tout à lui faire des massages tout en restant professionnelle !⁣ Pour préserver leur carrière, il leur est impossible de craquer.⁣ Un seul mot d’ordre : respecter les règles. Mais les transgresser n’a jamais été aussi tentant !⁣ ⁣ ✔️Mon avis⁣ Tout ce que j'aime dans une romance ! Une héroïne à laquelle on peut facilement s'identifier nous lectrices car c'est une fille au physique ordinaire qui n'a rien a voir avec les bimbos des magasines, de l'humour (vive les BFF forever) des scènes très hot mais aussi pleines de tendresses. On découvre aussi l'envers du décors et on se rend compte que c'est sportifs au physique très impressionnant sont en fait de gros nounours plein d'amour.⁣ J'adore les romance qui se passent dans l'univers du hockey et avec celle-ci je suis comblée.⁣ Bravo Nina Loren j'ai vraiment passé un excellent moment (et vive les Dallas Stars & Tyler Seguin 💚🏒)⁣ ⁣ ⁣ #newromance #loverluv #bookstagram #hockey #romance #lecture (à Clermont-Ferrand, France) https://www.instagram.com/p/CDdjqMXHNdZ/?igshid=g06h6vghf5nh
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janeneyrouss · 4 years
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Le rugbyman
Les quelques rayons de soleil de ce vendredi après midi m'ont encouragé à rentrer du boulot à pied. Il fait même assez chaud pour retirer mon manteau que je fermais jusqu'au cou depuis plusieurs mois...
 Ça me donne même envie de m'arrêter prendre un verre dans ce bar près de chez moi.
 Ouh là, il est blindé ! Match de rugby ce soir ! J'y vais, j'y vais pas ? Une bonne pression me ferait du bien...
 Allez, je me fraye un chemin parmi les habitués du PMU, les cadres sup' décravatés et les fans en maillot les yeux fixés sur l'écran.
 J'arrive à commander mon petit demi, un "Etche quelque chose" marque un point à la télé et je me retrouve par terre, le contenu de mon petit demi sur mon chemisier... Le responsable de ma chute me délivre des dizaines de jambes qui m’entourent en me soulevant d’une facilité déconcertante et commence à se confondre en excuses… 1m82 je dirais, gabarit d’un joueur de défense, un petit côté homme préhistorique mais avec une barbe bien taillée… Il a vraiment l’air confus…
 En moins de deux, avec l’aide de ses collègues, j’hérite d’un maillot de rugby trop grand pour moi et d’une pinte pour se faire pardonner… Je vais mettre deux heures à finir ce verre, enfin cette carafe devrais je dire…
 Assez de temps pour regarder le match avec mes nouveaux amis. A la découverte de ma non-connaissance des règles du rugby, Denis (c’est comme ça qu’il s’appelle…) décide de me les expliquer. Je comprends rien. Il recommence, je comprends toujours rien… Enfin si, j’ai compris la base : quand c’est un gars avec le même maillot que moi qui a le ballon, c’est bien. De plus, les cris et les applaudissements de tout le bar m’informent aussi du bon ou du mauvais déroulement du match.
 Rentrée vite dans le jeu, je suis autant excitée que les autres et au fur et à mesure que notre équipe marque, je deviens de plus en plus proche de Denis. Accolade pour les points marqués, main posée sur ma hanche pendant les moments de tension… Main qui reste posée sur ma hanche même pendant la pause…
 Avec sa grande carrure et sa barbe, il ressemble à un nounours qu’on aimerait câliner mais si on lui cherche des noises, il devient un véritable grizzli. Pendant la mi temps, j’arrive à lui parler un peu de moi et lui, un peu de lui mais ayant été de nature très joviale pendant le match, les gars du bar m’embarquent dans un concours de hurlements de loup !
 Reprise du match, re accolade, re main sur les hanches/un peu sur les fesses et c’est la victoire ! Quatre armoires à glace me soulèvent pour fêter ça ! Denis me récupère en douceur pour me serrer dans ses bras, les pieds à 10 cm du sol. Il me repose tout en douceur et m’embrasse ! Juste un gentil baiser, lèvres contre lèvres… Il recule un peu gêné par cette aplomb mais c’est peut être l’alcool, la victoire de notre équipe ou simplement une véritable attirance pour lui, je l’embrasse à mon tour ! Mais avec plus d’ardeur, avec ma langue, mes bras autour de son cou pour ne pas le laisser s’enfuir. J’entends à peine les sifflets de ses amis et leurs moqueries concernant notre baiser mais je m’en fous !!
 S’en suit la 3e mi temps, avec une dixième reprise de « Allez le Lou » et une pseudo mêlée avec les garçons.
 Mais toutes les bonnes choses ont une fin… Le gérant nous demande gentiment de sortir, les derniers clients me font la bise et espèrent me retrouver au match retour. Le groupe se disperse et je me retrouve seule avec Denis. Je n’ai que 5 minutes à pied à faire mais il insiste pour me raccompagner « Sait on jamais ! » C’est ça, sait on jamais…
 La rue devient alors notre terrain de jeu. Je rallonge le trajet comme je peux pour rester plus longtemps en sa compagnie. Je le ralentis en « essayant » de le plaquer mais toutes ces ruses n’ont fait que repousser l’inévitable : le bas de mon immeuble…
 Il me donne un premier baiser d’au revoir, un second, un troisième… Au bout de deux minutes de bouche à bouche, mon regard persistant suffit à lui demander de monter et son clin d’œil accompagné d’un sourire suivi d’un baiser fut sa réponse…
 Plaquée contre la paroi de l’ascenseur, je suis couverte de baiser : sur la bouche, dans le cou. Mon maillot ne lui permet pas d’atteindre mes seins… Il faudra attendre encore pour lui montrer… Tout lui montrer…
 J’arrive maladroitement à ouvrir ma porte d’une main, l’autre est trop occupée à lui tâter le fessier…
 L’entrée franchie, il redouble d’énergie, me soulève pour me porter sur ses épaules comme un sac à patates et se met en quête de ma chambre. (C’est bien la première fois qu’un de mes amants arrive à me porter. Ce n’est pas comme si je sortais qu’avec des gringalets mais on risque une foulure du poignet à vouloir trop tripoter un de mes seins…).
 Dans 35 m2, la recherche sera de courte durée. Objectif atteint mais un occupant à poil et à longue queue attendait lui aussi un câlin de ma part… Il déguerpit en un éclair à la vision de cet ours portant sa maitresse en butin !
 Il me renverse sur mon lit, enlève son maillot et son pantalon, laissant apparaître un tatouage tribal sur son torse ainsi qu’une bosse à un certain endroit…
 Tellement fascinée par ce spectacle que j’en oublie de me déshabiller… Il rectifie mon erreur rapidement et me débarrasse de tous tissus superflus. A présent entièrement nue, j’ai envie de sa langue dans ma bouche, de ses mains sur ma poitrine, de son corps contre le mien. Je tente de le renverser pour le chevaucher mais je suis prisonnière de ses mains. Son sexe se fait de plus en plus gros contre mon bas ventre. Il tête mes seins, les lèche, les caresse de sa barbe. Il me donne l’impression de ne pas en avoir eu entre les lèvres depuis longtemps… Tellement doux et fort en même temps… J’ai l’impression qu’il pourrait me protéger de tout…
 Sa main se glisse entre mes cuisses pour tâter le terrain et découvre un milieu humide non hostile prêt à accueillir un invité (un invité muni d’une protection quand même…). Je mouille depuis le bas de la rue aussi…
 Ma main libérée en profite pour fouiller dans le tiroir de ma table de nuit pour trouver de quoi « le » protéger. Je n’ai en stock qu’une boite non entamée de Durex Tutti Frutti reçue en cadeau à mon dernier anniversaire. Pas le temps de choisir le parfum !
A présent doté d’une protection, il me pénètre doucement mais continue sa frénésie de baisers sur mon corps. Il me caresse le visage en me regardant dans les yeux… Son regard est si doux, si tendre… et il enfonce sa langue dans ma bouche… Son sexe et sa langue sont au plus profond de moi…
 Moment de tendresse…
 Soudain, il descend son visage sur mon sexe pour le prendre à pleine bouche. Sa langue s’occupe de mon clito, ses doigts de mon vagin… Je gémis à cette double stimulation.. puis triple stimulation… Premier orgasme…
 Il saisi mes jambes et me retourne sur le ventre. Ses mains s’agrippent à mes fesses pour les embrasser, les lécher… Il remonte ma colonne vertébrale de baisers… Ecarte mes cuisses de sa main pour y remettre son sexe dur…
  Il reprend les coups mais cette fois-ci, plus forts, plus profonds, plus animal…
Première fessée suivie d’une caresse… une seconde… Alternance de douleur et de douceur… Cette alliance contradictoire me donne encore plus de plaisir…
 Doucement, son pouce se glisse mon autre orifice… Juste quelques effleurements…
 Puis sa main caresse mes cheveux, les agrippe pour les serrer fort entre ses doigts et redresse ma tête… Juste assez pour me montrer que c’est lui qui mène la danse… Il est en train de me monter sauvagement comme si je lui appartenais et j’adore ça !
 Il gémit… Il va jouir en moi… Il pose ses mains sur mes seins… Il m’embrasse le haut de mon dos et dans un long souffle dans mon cou, il joui…
 Il se retire, s’allonge à côté de moi et m’enlace pour ne pas laisser m’échapper… Nous sommes à bout de souffle, incapables de parler mais ses quelques baisers sur mon front suffisent à me dire qu’il a apprécié…
 Tant d’émotions en quelques heures… Et j’ai envie de recommencer…
 C’est à mon tour de dompter la bête, de montrer que malgré ses 100 kgs de muscles, je peux faire de lui ce que je veux…
 A califourchon sur lui, il se demande à quelle sauce il va être mangé… Il caresse doucement mes cuisses… et me regarde prendre les commandes…
 Je peux enfin utiliser mes mains pour le caresser, palper ses muscles, me frotter à lui… … Abuser de lui quoi… Je passe doucement mes seins près de son visage mais je les retire avant qu’il n’arrive à les toucher de ses lèvres… Son regard est fixé sur mes seins ce qui les fait pointé encore plus. Je sens dans ses yeux qu’il veut les toucher, les sentir, les dévorer. Il devra patienter, je veux le voir me désirer, je veux le rendre fou à ne pas pouvoir les toucher.
 Second passage, mais cette fois ci, je lui laisse le temps qu’il les attrape avec sa bouche pour les téter.
 Plusieurs baisers sur ses lèvres, puis plus bas, encore plus bas…
 Il écarte ses jambes pour me faciliter la tâche. Son sexe recommence à être aussi tendu que tout à l’heure. Il a encore de l’énergie après cette longue soirée. Je commence la dégustation et découvre un goût de fraise, mon parfum préféré ! Le hasard fait bien les choses ! De petits coups de langue sur ses testicules puis je les mets entièrement dans ma bouche pour bien les sucer. Puis c’est au tour de sa verge d’être goûter, d’être lécher de bas en haut par ma langue, d’être entourer de mes lèvres. Je prends mon temps pour qu’il apprécie toutes mes qualités buccales.
 A présent bien dur et droit, il est prêt à être chevauché.
 Bien ancrée sur lui, je commence les ondulations avec douceur en prenant mon temps pour tout ressentir.
 Puis j’accélère le rythme, mes doigts plantés dans sa chair. Plus vite, encore plus vite. Il me chope les hanches pour accompagner le mouvement. La force de ses mains permette une meilleure pénétration, de couvrir tout mon intérieur. Il caresse mes fesses, mes seins… A présent, c’est moi qui monte la « Bête »…
 C’est une position que j’aime mais je ne vais pas tarder à plus avoir de cuisses à forcer de sauter sur lui…
 Je dois avoir réveillée tout mon immeuble à force de crier… mais je ne peux pas m’en empêcher… Son sexe ne fait que frôler mon point G et c’est un mini orgasme à chacun de ses passages… Je vais exploser… Orgasme… Suivi d’un autre… Et il jouie une nouvelle fois…
 Il m’attrape la taille pour m’allonger contre lui car je n’ai plus la force de tenir accroupie…
 Nous mettons au moins 10 minutes à reprendre nos esprits et je veux maintenant dormir près de lui, sentir son odeur pendant mon sommeil...
 Il pose sa tête contre mon sein, sa main sur mon ventre et s’endort en moins de deux…
 Mon chat attiré par le retour au calme monte sur mon lit et se blottit à son tour contre moi.
 Entourée de deux gros minous, je m’endors comblée par cette soirée…
Juillet 2015
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claudehenrion · 3 years
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Lavage des cerveaux
  La semaine dernière, une information est ''tombée'', présentée comme étant fondamentale par les sélectionneurs de grain-à-moudre : le ''Baromètre annuel de la Fraternité'' (avec un grand ''F'', comme dans IFOP), était très heureux de nous annoncer que la première des caractéristiques "fraternelles" reconnues par les Français pour leur pays, c’est la "diversité" (91% des suffrages, à en croire les cocoricos des fraternisateurs barométrés). Et aussi, constat n° 2 : la diversité est une "bonne chose", pour 85% d’entre nous. Seulement, voilà... constat n° 3 : ''74% d’entre nous jugent que la diversité crée des problèmes, des conflits" et 54% qu’elle nous fait "perdre notre identité, nos valeurs…", ce qui est plus conforme à ce qu"on peut constater. Des fraternistes militants ou des tenants du ''bémol'', qui a raison ?
Notre siècle bavard est déconstructeur comme peu d'autres avant lui. Il adore énoncer des listes de ses soi-disant ''succès'' qui sont le plus souvent autant de défaites à venir, litanies interminables (et minables) dont les maîtres du jour se gargarisent... alors qu'elles sont à l'opposé exact de toute synthèse salvatrice : ressasser des mots creux et enfoncer des portes ouvertes n'a jamais permis à qui que ce soit d'avancer d'un pas, et dans ce domaine, les caciques nuls et macroniens sont imbattables : ils tendent à faire passer pour des victoires chacun de leurs délires qui, pourtant, s'accumulent, et construisent... leur échec global (on pense à tout ce qui touche au ''sociétal'' : chaque loi votée ouvre la porte à --ou ‘’la ferme sur !’’-- une pléiade de problèmes qui n'existaient pas, avant elle. Avant que les députés En Marche ne s'en emparent, ces atteintes à tout ce qui est bon pour l'Homme furent une spécialité de Jospin, puis de Hollande, c'est tout dire !).
Créé en 2017, Le Laboratoire de la Fraternité est un collectif inter-organisations, issu du collectif #NousSommesUnis (?) et du ''Labo du Faire ensemble'' (?). Cet attelage, impensable sans les subventions qui le font survivre, est l'enfant adultérin de 8 organisations ultra-confidentielles (Coexister, Unis-Cité, Singa, Pacte Civique, Kawaa, Fabrique Spinoza, La Cloche & Fraternité Générale), soutenues par 5 ''acteurs de la fraternité (re- ?)'', dans le genre Solidarités Nouvelles Contre le Chômage et la Fabrique du Nous (sic !), et 5 partenaires-clés que rien ne relie et qui sont là... pour s'acheter une virginité : l’Agefiph, les Pompiers de Paris, Entreprises pour la Cité, l’Observatoire de la Laïcité et la Fondation Monoprix. Autrement dit, exactement comme le ridicule ''Conspiracy Watch'' qui donne son avis sans savoir de quoi il parle, ils n’existent pas, ne sont rien... mais leurs élucubrations sont reprises et citées : elles vont ''dans le bon sens'', pour ceux qui n'en ont aucun. On note un gros manque, dans cette liste : un raton-laveur !
L'objectif de ce ramassis que le monde entier attendait sans le savoir (et nous envie ?) est de  ''Promouvoir les initiatives existantes, démultiplier les actions concrètes et porter un plaidoyer visant à inscrire la fraternité comme finalité nécessaire de l’action politique et citoyenne'' (NB : Plus ''concret'' et plus ''opérationnel'' que ça, tu meurs ! Et plus con... ''je te dis pas'' --pour parler ''djeunz''). Depuis 2018, ce machin produit chaque année, avec l'aide de l'IFOP, des données sur ''l’état du lien social en France'' (ça veut dire quoi ?) : ce Baromètre de la Fraternité. Et comme si tout ce qui précède ne suffisait pas à démontrer son appartenance à ces coûteux ''Comités Théodule'' à supprimer de toute urgence, ''il promeut les actions des citoyens et des organisations qui favorisent la fraternité sur le terrain et porte un plaidoyer autour de propositions fortes et concrètes'' (dans le genre charabia, ''y a pas mieux'' !)
Il est évident qu'un truc pareil se doit de souscrire à toutes les mauvaises idées qui traînent dans les caniveaux. Bingo ! (je recopie, en toute horreur sémantique) ''Le Labo de la Fraternité rassemble, mobilise et accompagne les ''citoyen.ne.s'' (en volapük inclusif dans le texte), grâce à une approche positive (?), basée sur la création de lien social (?), le ''faire ensemble'' et la promotion de la diversité comme force pour notre société''. Ben voyons ! Un peu de démagogie diversitaire, et de scribouillis féminino-élgébéto-inclusive... ça ne fait pas de bobo aux bobos !
Mais reprenons les chiffres ci-dessus : ''à 91%, la première des caractéristiques fraternelles (?) reconnues par les Français à leur pays, c’est la "diversité". Relisez bien cette phrase : sous des dehors statistiques, elle n'a rigoureusement aucun sens ! Et la suivante est à la hauteur : ''Et la diversité est une "bonne chose", pour 85% d’entre nous'', surtout si on la rapproche de l'enquête IFOP 2021, pour laquelle ''74% des français jugent que la diversité crée des problèmes et des conflit, qu’elle nous fait perdre notre identité, nos valeurs, à 54%… qu’on n’est jamais assez prudent quand on a affaire aux autres (à 72%), et que notre pays compte déjà beaucoup d’étrangers et (qu’) accueillir des immigrés supplémentaires n’est pas souhaitable" (pour 71% des Français. Qui faut-il croire ? Moi, j'ai bien une petite idée et, comme le recommandait un blog lu hier (TTSO, je crois), je réécoute Poulailler's song, d'Alain Souchon : ''Dans les poulaillers d'acajou, dans les belles basses-cours à bijoux, on entend la conversation de la volaille qui fait l'opinion... Ils disent : ''Comprenez-moi : c'est une migraine, tous ces campeurs sous mes persiennes. Et comprenez-moi, c'est dur de voir ces gens, sur mon plongeoir !''
Dans cette période pour le moins imprévisible, il serait sage de mettre la méfiance et la prudence à l'ordre du jour, même si ce n'est pas du tout le message que l’UE fat passer à Ceuta et à Melilla, ces jours-ci. Alors... essayons de planter le décor. Comme le rappelle l'excellent XERFI (le premier institut d’études économiques privé en France), la population en âge de travailler diminue partout en Europe : déjà --8M de travailleurs (l’équivalent de la population active de la Belgique), et on prévoit d'avoir perdu 37M de travailleurs (= toute la population active de l’Italie !) dans dix ans. En France, selon  le Commissariat au Plan, il manque "40 à 50 000 naissances par an pour assurer le renouvellement des générations". Or, sans enfants et sans actifs, il est évidemment impossible de financer notre système social qu’ils disent ''à la française'' ( c'est-à-dire : ''en rupture de paiement'').
Que faire ? Notre frétillant Commissaire au Plan voit deux solutions : 1) booster la politique familiale pour refaire faire des enfants aux Français. Mais vu là d’où nous partons (1,8 enfant/femme, < au seuil de renouvellement = à 2,05), ça ne suffira pas, affirme-t-il. Vive la solution n°2 : "l’apport des migrations"… pour sauver nos retraites''. Nous aurons évidemment à revenir longuement sur ces deux points cruciaux pour notre avenir et le bonheur de nos enfants...  avec des convergences évidentes et des désaccords facilement démontrables devant les deux ''solutions'' proposées. (NDLR : Nous en avons  déjà parlé mercredi dernier).
Mais en attendant, ''Welcome, les migrants... Vous êtes chez vous, chez nous'' (sauf chez les gauchos et les bobos qui disent ça, bien sûr !). Vous avez aimé la vague Merkelo-naïve de 2015 ? Vous allez adorer la submersion suivante, Erdogano-haineuse, fin 2021 et en 22,... Et vous serez prêts pour la troisième vague... qui sera vraisemblablement l'avant dernière : après elle, tout retour en arrière sera pratiquement impossible. D'ici-là on peut toujours somnoler en écoutant les berceuses sirupeuses  et trébuchantes de Bayrou, qui sont autant de crimes contre l'intelligence ! Dodo, les petits, Nounours veille sur vous... et travaille activement à hâter la fin de tout ce que vous avez aimé, et vos pères, avant vous. Lorsque les naïfs se réveilleront, il sera trop tard : c'est nous qui serons punis, à jamais...  ''Un vrai manque de Pau'' !
H-Cl.
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universallyladybear · 6 years
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songedunenuitdete · 6 years
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  Hello les filles, on se retrouve cette semaine pour le tant attendu Fais-moi mâle, si tu peux ! Vous l’attendiez avec impatience inutile de nier 😏. Alors le voici, le voilà. Vous connaissez la chanson, rangez vos maris, vos enfants, vos chiens, chats ou tout autre animal qui pourrait venir vous déranger pendant votre léchage d’écran heu lecture excusez-moi. C’est bon vous êtes toutes là ? Allez c’est parti ! 🤗
Avant de parler du duel de cette semaine regardons d’abord lequel de nos concourant de la semaine dernière est ressorti gagnant…
Il semblerait que le père Noël et Mister Jack ne vous aient pas convaincu ! Quel dommage ils avaient pourtant de quoi faire rêver chacun à leur manière. Boudez pas les gars un jour viendra votre tour d’être l’objet de fantasmes… ou pas  😆
Vous vouliez des mâles, beaux, sexy qui donnent chaud ? Les voilà !!! 
Veuillez acclamer Trent Andrews et Hayden Stricker 😳
Messieurs avancez pour que ces dames puissent se rincer l’œil s’il vous plait. Hayden bougonne dans sa barbe.
— Je n’étais pas d’accord pour faire ce truc moi, je suis là juste parce que tu m’as promis un camion de cupcake, dit-il en croisant les bras sur son torse.
Ça commence bien, il a l’air de bonne humeur  🙄
Bon puisque monsieur bougonne nous allons commencer par Trent, ouvrez bien vos yeux 👀.
  Trent , issue de Sous ta peau de Scarlett Cole, est un très séduisant tatoueur, il excelle dans ce domaine et fait de chaque tatouage une véritable oeuvre d’art. Beau comme un adonis grec, il est le patron du Second Circle Tattoos, salon de tatouage dont la réputation n’est plus à faire. Trent à des allures de bad boy mais il n’en est rien c’est un véritable nounours. Il a été blessé par une femme et sa confiance a été ébranlé (le pauvre chéri). Il n’attend que vous pour se remettre de son gros chagrin. 
Comment ça tu as Harper maintenant ? C’est un détail ça mon chou, un ridicule petit détail  😈
Regardez-moi tous ces muscles 😱
  Merci pour ta participation Trent, on passe au grincheux. Applaudissez bien fort Hayden Stricker !
  Hayden, de Bad Boy de Helena Hunting, est un bad boy, un vrai. Il est tatoueur tout comme son concurrent. Très doué lui aussi, n’importe quelle fille voudrait passer sous ses aiguilles. Il a des piercings bien placés, est-ce qu’il est vraiment nécessaire que je vous fasse un dessin ? Oh la la Hayden donne chaud mesdames, et si vous ne connaissez pas encore son histoire il faut aller la lire maintenant ou je ne vous parle plus ! Son point faible est les cupcakes, alors imaginez cet homme viril tremper son doigt dans un glaçage pour vous le faire goûter ? J’ai faim tout d’un coup et j’ai chaud sortez le ventilateur, de l’air s’il vous plaît.
  Il est l’heure de voter pour votre mâle préféré, celui qui vous émoustille et qui gagnera une place dans votre lit. Non je plaisante, je repars avec les deux. Non pas les deux en même temps enfin ! Bande de perverses 😳😂.
A la semaine prochaine pour un nouveau numéro du FMMSTP !
https://poll.fm/10162432
Fais-Moi Mâle, Si Tu Peux 2018 ! #7 : Les mâles vous attendent mesdames, à vos votes ! Hello les filles, on se retrouve cette semaine pour le tant attendu Fais-moi mâle, si tu peux !
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omgdarksideddump · 6 years
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European Skies
Allongé dans le canapé Louis XV, la jeune blonde contempla le plafond, ornementé comme les plafonds des palais français, un style rococo  marque de fabrique de l'exubérance à la française. Et elle, elle en était la figure de proue. Un corps de rêve, un visage parfait et la voix aussi douce que le velours. Elle se leva et traversa le couloir, entendant les gémissements des filles et de certains hommes... Un bordel... voilà ce qu'était l'European Skies... mais un bordel très chère. Il fallait des milliers de won pour s'offrir une demi-heure de tendresse et bien plus pour du sexe. Le maître des lieux Zhen Nan, avait trier ses putes, fait les meilleurs choix et les avait ranger dans des cases. SM, Love, Sweet, Hard et Once... Elle était une Sweet... elle n'offrait que la tendresse et une nuit en elle coûtait une petite fortune. Elle passa devant la porte ouverte de l'homme le plus rentable de l'établissement...Elrick. Elrick était un Hard penchant sur le SM et ne vivait que de sexe. En une demi-heure il faisait jouir tout ses clients, en une nuit il les vidait et sans avoir besoin de compléments... Là il était a cheval sur un vieux, à le chevaucher sans douceur. Il la vit et lui fit signe d'approcher.
« Lucie... » il sourit en se mordant la lèvre « Tu peux m'ramener un tube. » lui fit-il en français.  
La jeune blonde hocha la tête et sortit de la chambre pour se rendre à la réserve. Elle n'avait plus le temps d'être choquée par les pratiques d'Elrick, elle l'avait déjà vu défoncer le cul d'une cliente dans la cage d'escalier... Si l'allemand préférait les hommes, il se faisait une joie de baiser des femmes aventureuse... Enfin c'est ce que pensait la jeune française. Elle entra dans la réserve, prit un tube de lubrifiant anal et remonta vers la chambre ou elle posa le tube sur la table de nuit. Elle ressortit et ferma en douceur la porte. Dans le couloir elle croisa l'une de ses collègues féminine entrain de galèrer avec son corset.
« Veux-tu que je sers ton corset Morganna ? » murmura Lucie doucement
« Aye j'veux bien. » soupira la jeune irlandaise
Ah Morganna, quelle femme. Une perle qui avait les plaines du Connemara dans les yeux, les tâches de rousseurs sur le nez et les cheveux noirs bouclés si longs. Un corps ravissant, des courbes pulpeuse et cette peau laiteuse. Elle était l'un des fleurons du bordel et pour une bonne raison. Morganna était Là dominatrice. Celle qui avait sur sa porte un signe de danger …  Maîtresse Mona, sa chambre était tapisser de rouge et de noir pourtant dans un cadre trônait un petit trèfle à quatre feuilles, son mot de sécurité préféré. Trèfle... Lucie aimait l'ironie et le sarcasme piquant de cette celte au regard intense. Lucie laça le corset avec un regard tendre. Elle aimait beaucoup cette dame. Morganna attacha ses longues mèches noires en un chignon et sourit tendrement à Lucie en enfilant un long manteau en cuir.
« Le boulot m'attends. » fit la noiraude en calant cravache dans ses cuissardes en cuir « Mon client du jour est un acharné … je crois que c'est sa 8eme fois ici. »
« Quel succès. » fit Lucie en souriant
« Succès succès... toi et ta douceur en avez plus que moi. »  fit Morganna en souriant
« Simplement parce que Zhen veut vendre les nuits dans mes draps à un prix irraisonnable. » souffla Lucie
« C'est certain » fit Morganna en riant « J'y vais. » dit-elle en montant les escaliers « Monsieur Jungkook n'aime pas attendre. »
« Bon courage. » souffla Lucie
« Va m'en falloir. » dit Morganna en disparaissant
« Lucie ! » cette voix... la jeune blonde se tourna vers son patron
« Oui Monsieur Nan ? » Elle sourit tendrement
« Salle ocre. Hommes d'affaires. » fit Zhen calmement « Emmène Lily. »
Lucie hocha la tête et alla prévenir sa petite sœur... la seule vierge de ce beau bordel. Zhen comptait en tiré un pont en or. Et les deux blondes dans leurs robes blanches translucide vinrent servir le thé aux hommes d'affaires... souriant tendrement à ces hommes d'affaires. Quand Zhen entra avec le carnet rouge. Ahhh les prix. Soudain Sören arriva avec un nœud autour du cou.... Oh tiens donc. Lily elle servait le thé à un homme à la peau plus hâlée que les autres quand Zhen lui tendit la main à elle.
« Lucie. » c'était un appel pour du travail ça.
La jolie française s'approcha de son patron et s'assit à ses côtés.
« Lucie, Monsieur Kim Junmyeon vient d'acheter une nuit dans tes draps. Veille à ce qu'il ne le regrette pas. » cette voix emplie de remontrances ah Zhen ne la laisserait pas oublier le Prince qatari qui était repartit déçu. « Ainsi que ton exclusivité. »
« Oui monsieur Nan... » souffla la jeune blonde « Monsieur veut-il que l'on se dirige vers ma chambre ? »
« Allons-y » dit l'homme le moins hâlé du duo.
Lucie lui prit la main avec tendresse et l'embarqua dans la chambre. Elle l'invita à s'installer sur l'un des canapés louis quinze, elle lui servit un thé et sourit tendrement à l'homme.
« Monsieur souhaites-t-il quelque chose en particulier ? » demanda-t-elle
« Zhen m'a dit que tu n'étais pas habitué et pas un bon investissement pour le plaisir. » fit l'homme d'affaire « mais que tu étais d'excellente compagnie et une hôte parfaite. »
« Il est vrai que je n'excelle pas en sensualité, je ne suis pas Malia ou Mona en ce domaine, mais si Monsieur désire je peux m'informer ... » dit Lucie en servant avec douceur un verre de vin rouge
« J'apprécie l'attention... mais pour cette nuit je veux simplement dormir dans vos bras, et non pas souiller vos draps. » Junmyeon sourit « Un Château cheval blanc... mademoiselle à du goût. »
« Je vous remercie... Monsieur comment souhaiter vous que je vous appelle ? » demanda Lucie tendrement
« Junmyeon. » fit-il amusé « comment voudriez-vous que je me fasse appeler autrement ? » demanda-t-elle
Lucie sourit... Ohh elle en avait des clients... qui voulait qu'on les appelle 'mon gros nounours des steppes'.... Elle sourit tendrement et caressa les cheveux de Junmyeon avec délicatesse. Il avait du payer un pont en or pour son exclusivité.
Le salon ocre était maintenant rempli de prostituée moins cher, celles qui venaient de Corée, et qui ne résidait pas sur place. Un seul homme n'était pas du lot. Et il trônait telle une montagne entre  tous. Avec son nœud au cou il était sous un jeune homme un peu perdu. Le jeune homme s'appelait Taeyong et n'osait pas toucher le torse musclé à outrance de cet montagne. Le regard bleu glace transperçait son âme et Taeyong rougit.
« Allez emmenez le dans votre chambre monsieur ! » fit l'homme qui avait offert Sören à Taeyong pour la nuit. Il s'appelait Ten
« Bien. » La montagne souleva Taeyong et monta l'escalier avec lui dans les bras. Arrivé dans le couloir, Sören cacha les yeux de son client ou une des prostituées coréenne se faisait démonter le cul par un des hommes d'affaires. Sören leva les yeux au ciel et redressa un des vases avant de sussurer à la prostituée le prix du vase renverser. Cette dernière recula de la commode et se laissa prendre au sol... c'était moins risqué. Puis Sören entra dans sa chambre. Elle était différente de autres. Drapée de bleu glacier et de blanc, dans un style nordique voir même viking. Un tapis en fausse peau d'ourse blanc, le couvre lit semblait être en faux loup blanc mais les draps étaient en satin bleu glace. Taeyong regardait l'homme qui était à lui pour la nuit. Il portait un simple pantalon en toile bleu glace et rien au dessus. Son corps était parfait et en plus il était bel homme. Un visage carré, des yeux perçant et une symétrie parfaite... Comment un homme comme lui avait pu se retrouver ici ?
« Comment en es-tu venu... à vendre ton corps ? » demanda Taeyong
« Héritage. » c'était court et simple quand le suédois s'assit face à lui « de dette. »
« Oh. » Taeyong rougit « Euhm... j'ai jamais eut de … pr... »
« de pute. » Sören ne semblait pas gêné
« ... oui... »  Taeyong vit au loin dans un coin une boîte de monopoly « Euhm... on peut jouer une partie ? »
Sören afficha un rictus amusé et se leva pour aller chercher le monopoly. Il installa le plateau et sourit amusé
« C'la première fois qu'on m'demande ça. » Dit Sören amusé
« De jouer au monopoly ? » demanda Taeyong
« Ouais. » Sören sourit « t'fais quoi dans l'vie ? » demanda le suédois
« Oh mannequin.. » dit Taeyong « Mais tu serais meilleur que moi, avec ce corps là. »
« P't'être dans une autre vie. » dit Sören « J'prend la voiture »
« Le dé à coudre. » fit Taeyong en souriant  
Et le duo commença sa partie de monopoly en souriant. Un client comme Taeyong, Sören en voulait bien tous les jours. C'était une bouffée d'air frais dans sa vie monotone de clients divers et variés mais surtout, Taeyong et sa timidité étaient attachant.
Prostitué  par vocation... voilà ce qu'il était. Il se foutait bien des raisons des autres, lui était là parce qu'il aimait le sexe. Ce soir là il sortit de sa chambre après son 6e client de la journée et croisa Sören qui ramenait du thé, il vit le suédois s'installer à sa table avec son client avec qui il jouait au monopoly. Tiens... certains avaient des fantasmes étranges. Il descendit dans le salon ocre et vit la jolie sauterie. Il referma la porte et se dirigea vers le bar pour boire un coup. Arrivé au bar de la Maison, il s'assit sur un tabouret et fixa la jolie rousse au commande du bar ce jour là. Comme d'habitude il prit un schnaps et un café serré.  De l'alcool pour son quota d’alcoolémie histoire d'éviter de trop se concentré sur ce qu'il baisait et un café pour rester éveillé. Oui il avait des rituels étrange. Mais dans le fond du bar un regard était poser sur lui. Choi Minho, le joueur de foot le plus cher du monde, le meilleur joueur du monde... Il tendit sa carte visa a Zhen, se leva et approcha doucement d'Elrick.
« Bonsoir je peux vous offrir un verre ? » demanda Minho
« Est-ce que ton portefeuille peut te payer 1000€ la minute ? » demanda Elrick en buvant son verre « Parce que mon patron n'est pas le genre à ne pas me rentabiliser. »
« Ne vous en faites pas pour mon portefeuille. » fit Minho « Choi Minho, enchanté » dit-il
« Le Choi Minho ? » Elrick leva enfin les yeux de son café « Oh... »
« Vous me connaissez ? » demanda Minho
« Mec je suis bavarois, le Foot est inscrit dans mon ADN avec la bière, le schnaps et l'edelweiss. » Elrick sourit amusé « Et t'as jouer dans mon équipe. »
« Bavarois... J'ai passer mes premières saisons au Bayern de Munich en effet... » dit Minho amusé
« Et donc t'as payé pour quoi ? Une heure ? Une nuit ? » demanda Elrick
« Une exclusivité. » fit Minho
« Ah ouais carrément. » Elrick ricana « Donc dorénavant c'est toi et uniquement toi le mec qui va me sauter ? »
« En effet. » dit Minho assez secoué par les paroles si crues de cet homme au visage d'ange. 
« Allez belle gueule, on va voir c'que ça vaut un joueur de foot dans un pieu. »
Elrick monta l'escalier direction sa chambre. Il entra dans sa chambre et laissa Minho entrer dans sa chambre. Minho s'assit sur le lit alors qu'Elrick ferma la porte. L'allemand aux yeux verts se déshabilla entièrement et s'assit nu sur les genoux de Minho.
« Toutes les qualités, belle gueule, belle silhouette, bien foutu, bien monté... que des qualités. » dit Elrick en souriant
« Je vous retourne la phra-aaah-se... » Minho gémit alors que la main d'Elrick se baladait dans son pantalon
Elrick sourit... Amusé il sortit sa main du pantalon, descendit de ses genoux et poussa Minho plus loin dans le lit avant de se munir d'un préservatif, du tube de lubrifiant puis il entreprit de déshabiller son client. Il s'installa sur les genoux  de son client, lui enfila le préservatif, y ajouta une goutte de lubrifiant et vint s'empaler sur le membre durement dressé. C'était le premier client qui était aussi bien monté et quand après quelques va-et-vient, Minho le renversa dans le lit pour le baiser en bonne et due forme, ça aussi c'était la première fois depuis très longtemps qu'on le baisait et qu'est-ce que c'était bon.
Ils s'envoyèrent en l'air toute la nuit empêchant Elisa d'avoir une nuit de sommeil complète.
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jeveuxdusoleil · 7 years
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Le départ se profile
Je devrais dire “Enfin”. Mais je ne me le dis pas. Je devrais être gênée : j’ai la chance de faire un tour du monde ! Ou un tour dans le monde comme j’aime le dire. Non mais tu imagines? Et moi, je ne sais pas m’emballer. Pauvre fille...
En fait si. Je pense que tout au fond de moi je suis emballée. C’est comme quand on regarde mes abdos. Ils sont là, si si, je vous assure. Si maintenant on me prenait mon billet d’avion, je râlerais (en fait tu râles tout le temps). Non mais j’ai le goût du défi. Et puis j’ai tellement mis de choses en place. Louer ma maison, quitter mon job, caser mon chat d’amour... et j’ai même contracté une assurance maladie à 450 euros hier. Tu rajoutes ça aux 400 euros du 1er vol : on y va maintenant ! Et puis, je dois y aller...pour savoir, me trouver...parce que mon corps en a besoin (si si, la déconnexion, le sport, l’air différent...).
Donc il est où le problème? Suis-je dépressive? Aurais-je dû prendre les médocs conseillés par le médecin? Non. Je ne suis pas dépressive. J’aime blaguer, j’aime rire et j’ai une envie incroyable d’être heureuse.
Le trio problématique central : J’ai envie d’aimer, d’être aimée et de m’aimer.  Pour le moment : J’aime sans retour et sans conviction, je suis aimée par mes amis - mais ils ne dorment pas avec moi, je ne m’aime plus (vieillesse, 10kg..). 
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Sur ce, je vais me chercher un chocolat, je reviens... MMhhhh
...
MMhhhh, rhaa le Côte d’or, je vais avoir du mal de m’en passer. Finalement voilà ce que j’aime. Le chocolat. 
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Le problème il se situe à différents niveaux et j’ai l’impression qu’un pourcentage important de personnes auraient la même attitude que moi. Ou pas. En même temps, peu importe. C’est juste pour me réconforter sur le fait que NON JE NE SUIS PAS DINGUE.
Je te donne les aventures en vrac d’un départ au bout du monde (même si au final, oui, je sais, je l’ai voulu...gniark gniark) : 
Louer ta maison meublée (ah oui elle est belle, toute refaite... eh bien tu mets ton côté matérialiste au garage, dans 25 caisses à bananes).
Louer = nettoyer du sol au plafond, faire tes caisses, aller en déposer en t’excusant un peu partout, établir un contrat, trouver un locataire...
Caser ton chat que tu adores (et croiser les doigts pour le retrouver à ton retour). La ronronthérapie te faisait du bien? Achète un nounours.
Voir ton mec partir 1 mois avant toi (c’est lui qui a insisté pour ce voyage... et jolie brebis a suivi). Depuis son départ, ne jamais l’entendre te dire par messenger “Je t’aime”, “Tu me manques”, “Courage” ou “ça a été ton projet?” mais plutôt “C’est génial, je veux vivre ici”, “J’avais besoin de ce mois pour déstresser”...  Pendant que toi... tu boutes... 
L’entendre te dire qu’il a été se coucher à minuit et savoir qu’il te ment car il était en sortie, accompagné, à 1h du mat... (Tu ne donneras point ton détective oeil de Moscou mais tu le SAIS). Pleurer en silence.
Continuer de bosser jusqu’à J-3 en ayant 2 gros projets à terminer. T’épuiser des heures durant (évidemment personne ne te le rendra mais tu as une conscience professionnelle qui te colle comme une chique aux baskets). 
Etre stressée par le départ car tu ne prépares rien du tout...que tu es figée, bloquée, que tu ne sais pas où tu vas et que cela te stresse encore plus... Mais qu’est-ce que tu fous sur Tumblr?
Savoir que tu ne vas plus voir toutes ces personnes qui comptent pour toi pendant quelques mois. Sur le coup, Facebook est ton ami pour être connectée... Ah zut, tu voulais déconnecter. On verra combien de temps tu tiendras. 
Bon là, ça va, je me suis plainte assez ? Maintenant je vais tout faire pour changer d’état d’esprit et faire en sorte que le reste de ma vie (le 1er jour du reste de ma vie) soit sublime. Parce que... parce que je le mérite. Voilà. Seule ou accompagnée mais une chose est certaine, je veux définitivement arrêter de pleurer tous les jours. Je veux être heureuse, je veux être amoureuse. Je veux me découvrir... en découvrant le monde. Et j’veux du soleil, ça m’aidera.
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kayedeepthink · 7 years
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        08/09/2017
La vie est une pute au même titre qu'elle est sublime, bien trop injuste elle laisse un goût amer dans la bouche que se passés t il la terre tourne mais le temps semble m'échapper comment en remontés on les aiguilles, comment on inverse les choses ? Il suffit d'une seconde, les roues dans le mauvais sens - comme ce monde - et c'est comme un univers qui s'écroule. J'vous en pris faites attention sur la route, je n'en peux plus de ces disparus sur le bitume écarlate, reposez en paix les gars ~
Lionel, Tony, Yuna reposez en paix après cette accident tragique. Laeticia tu es forte je sais que sortira de l’hopital un d’ces jours.
Johanni toi qui est la cause de tout ça je te jure qu’un jour tu le paiera.
Lionel mon p’tit Lionel t’imagines pas à quel point tu me manque, à quel point j’aimerai pouvoir te parler une dernière fois et entendre ton rire qui emplit la piece, à quel point j’voudrais revoir ton sourire d’enfant, tes yeux innocents me manque mon ptit tappeur de caisson. Comment ça se fait que la peluche de mon enfance ne t'ai pas protégé dans cette fichue citroen ?! '"J'étais là sans y être" et je peins ma peine sur les murs dans une espèces de vaine tristesse qui ne changera rien mais qui est irrémédiable, les événement sont passé et rien ne pourra y remédier car le monde continue d'tourner. J'me souviens de toi, des manifs à courir comme les cons qu'on étais parfois les matraques au cul, c'week end où vous étiez au drift avec mon pain au riz à la con, j'ai toujours le bout de pneu tu sais, on s'est jamais fait ce gateau au crêpes je regrettes, les ventolines qu'on se dépannait sans cesses, toutes ces fois où je te rouspétais dessus car tu ne prenais peut-être pas assez soin de toi, et voilà où ça vous à mené, mais au moins tu me l'a dis tu t'es enfin sentis toi même, autour d'ces gens qui t'acceptaient et te comprenaient, tu t'es fais ta place en si peu de temps dans un tout autre univers avec tes mixes des plus extravagants, et taper de la pat e de tout temps, j'adorais te rendre conseil que tu écoutais minutieusement, ou quand je préparais vos affaires quand vous en alliez vers d'autres vents,cette fois où tu m'a emmené à mon fichus bafa apparaissant aussi inopinément que t'es partis le 07/08/2017 à 3h du matin, les teufs où putain t'a finis par venir devant le son et par abus de confiance c'est ici que sonne le glas de la fin dans un torrent de larmes merde ! Mon ptit nounours honnêtement rare sont les gens qui me connaissent comme toi car souvent je me livrais à toi sans raison de ton oreille attentive, Kyra qui t'as toujours adoré et passé cette dernière cette semaine à la maison à veiller sur tes nuits, tu m'avais dis la dernières fois que je t'avais manqué le temps d'une semaine, mais t'imagine gros ? A quel point tu va me manquer à moi ?! J'me sens con là, la vie est injuste, j'suis heureuse d'avoir parcourue ce p'tit bout de chemin avec toi mon gros j't'ai dis à quel point j'tenais à toi et j'suis soulagé d'ça, tu m'avais dis pour la dernières fois je vais allé au dodo bis j'te souhaite un repos apaisant, attend moi là haut je vous rejoindrais bien assez vite, laissez moi quelques bars sur le pet ! Reposez en paix ~
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A fleur de l’eau
Du sang paternel vendéen coule dans mes veines. Pas peu fier. Dans notre immersion dans le patrimoine culturel et historique français, les ventres à choux occupe une place de choix. Au début du XIXème siècle, refusant de s’enrôler dans les forces armées napoléoniennes, des milliers de royalistes vendéens combattirent avec bravoure pendant 3 ans la conscription imposée par l’Empereur. Aidés par les Chouans, cet épisode sanglant démontra pour l’éternité la résistance des paysans vendéens, malgré un désavantage certain. Plus de 300 000 morts plus tard, le territoire trouvait enfin la paix.
Attendus à La Rochelle, véritable fief de mon enfance, nous dévalons la Vendée.
De chemins de terre en lit de rivière, de bistrot du coin en étable à foin, nous trouvons le temps de déguster les meilleures spécialités de la région. De loin, la gâche et le jambon vendéen supplante les mogettes et les choux. Bien sûr, les deux ne s’associent pas mais, séparément, ils sont tout à fait étonnants.
Nos victuailles dodus chargés dans l’habitacle, nous nous perdons bruyamment sur les petites routes de campagne, entre Luçon et…Luçon je crois, enfin peut-être, bref. Le ton s’abaisse, les soupirs cessent, continuons.
Le problème avec les surprises, c’est précisément qu’on ne les attend pas.
Personne donc ne nous attend ce soir à notre arrivée à La Rochelle. Nous restons donc comme deux couillons, devant une porte close. Trois heures plus tard, un individu se pointe et daigne nous arrive. Je reconnais l'homme, c’est mon frère. Parasitant le logement maternel comme une puce sur un chien, le jeune adulte fête ce jour ces 24 ans. Frottant ses cheveux de paille et ses couilles de plomb, la bête nous fait visiter les lieux. Le nouvel appartement de ma mère est autrement plus confortable que l’ancien, c’est neuf et spacieux, en plus d’être judicieusement pensé. Le demi-bossu nous ouvre la porte de sa tanière et nous découvrons l’antre du renard. Une infecte odeur de ménagerie englobe la surface de la chambre, de l’appartement, de la ville. Nous refermons l’écurie et offrons à ce zouave quelques bières sélectionnée afin d’initier le manant au bien boire. Il se les enfile comme un gant…
La nuit tombe, le match France – Allemagne débute. Nous écrasons nos raies sur le canapé.
Arrosée de bonne bières fraiches, la correction infligée aux teutons clôt admirablement la soirée. Le lendemain, nous bullons encore notre houblon quand arrive l’heure de bouger. Ce soir, nous dînons. Pas au hasard, pas sur la plage, pas dans la tente mais chez ma tante. Un bout de femme nerveuse et rieuse qui partage sa vie avec un nounours massif et puissant, dont le courage au travail n’a d’égal que la bonhomie naturelle. Je partage du sang avec cet homme, et du tempérament. Je n’ai jamais donné la moindre considération au devoir d’aimer, à l’obligation de contact sous prétexte qu’un même sang coule dans nos veines. Aussi, je sélectionne et cultive les amitiés en fonction de mon ressenti et de l’affection que je porte aux individus, qu’ils soient de ma famille ou non. Avec Stéphane et Sabrina, nous entretenons des rapports familiaux certes, mais surtout d’estimes réciproques. Nous aimons, Alice et moi, passer du temps avec ces gens-là ; passant du rire aux larmes avec une facilité déstabilisante. Preuve en est ce soir, sur la terrasse au clair de lune. Une soirée et une nuit idéale, entre anecdotes et confidences. Ce rendez-vous familial est devenu un incontournable de nos séjours rochelais.
Les dégustations croisées ont fait quelques dégâts et le petit jour trop rapidement levé nous rappelle nos tergiversations noctambules.
Rien de mieux qu’une virée au bistrot pour soigner le bois de nos gueules.  Si pour mon amoureuse, la scène est surréaliste, elle constitue pour moi un relatif retour aux sources. Je n’ai pas passé mon enfance au PMU mais j’ai de nombreux souvenirs de ces fresques de comptoirs ; où j’entendais tinter les verres, murmurer les secrets, insulter les patrons, contredire les politiques et miser sur les chevaux. Une sociologie de la campagne française, dans tout ce qu’elle a de bon sens et d’aberrations, d’exaspérations et d’espoirs, de bons mots et de conneries. Je me suis toujours plu dans ces décors humbles, où l’apparente rusticité contraste avec la sensibilité de bon nombre de ces hommes sérieux au travail honnête. Audiard père –qui avait le talent quand son fils n’a que la prétention- a magnifiquement mis en scène cette France abusivement nommée « d’en bas », aux lèvres fines d’où ne sort que des phrases coupantes, à la virilité tendre. Génialement interprétés par Gabin, Ventura, Blier et consorts, les personnages de cette frange de la population sont désormais snobés par les réalisateurs moralistes de la nouvelle génération mais subsiste encore, dans la vie réelle.  
Légèrement nauséeux, je retrouve mon paternel.
Au menu plateau de fruit de mer. Parfait un lendemain de cuite. Après 2 crevettes, j’en suis plus si sûr. Je repousse discrètement au bord de l’assiette, les malheureux crustacés qui n’ont assurément aucune envie de pénétrer dans ma gueule avinée. Les retrouvailles avec mon père sont chaleureuses et chargées d’émotions muettes. Les plus grands sentiments sont muets. Il en est ainsi, avec mon vieux, une reconnaissance évidente, un amour dématérialisé, une admiration non feinte pour cet homme droit, aux mains solides, franc comme l’or et juste avec autrui. Sportif accompli et curieux de tout, ce beau mec d’une cinquantaine de balais en parait 10 de moins et je ne dis pas ça parce que je possède la moitié de ces gènes. Au fil du temps, nous apprîmes à nous connaitre et à nous respecter profondément en tant qu’homme. Les moments passés ensemble sont maintenant plus rares mais plus intenses, plus passionnants aussi. Je regrette de ne pas pouvoir passer d’avantage de temps avec lui. Présentement, nous épaississons les secondes en discutant autour d’un café sur la terrasse. Sa compagne et la mienne se moquent gentiment de notre assoupissement simultané. La mienne, plus sournoise et perfide que les autres, en profitent pour photographier le père et son fils, séchés lascivement au soleil.  Nous profitons d’une course au supermarché voisin pour revenir les bras chargés de cadeaux. Disons, un cadeau, mais un gros cadeau. Nous installons l’immense lampe dans le salon tandis que l’amie de mon géniteur impose l’apéro. Blonde, jolie, drôle et sans bavures, ce brin de femme à l’insolente énergie comble les vides de la vie du pater et illumine l’intérieur de cette carcasse timide. Une soirée encore trop vite terminée. Nous prenons congés en planifiant un prochain petit déjeuner ensemble.
 Après le père, je demande la mère. Bonne pioche.
Nous retrouvons celle-ci, chez elle, en bonne compagnie, a 10km de La Rochelle. Le matin est brumeux, nos yeux également ; mais nous discernons au réveil le crâne dégarni d’un solide gaillard, haut et sec, au sourire timide et à la sympathie naturelle. Philippe, le nouveau compagnon de ma mère à l’allure a le physique d’un marin brestois et la timidité d’une pucelle à son premier bal. Un homme charmant, en somme, qui nous convies instantanément à célébrer son 50ème anniversaire prochainement, chez lui. Nous acceptons avec joie et trinquons à cette rencontre. Dans son coin, discrète comme un chat, ma mère observe, juge et se réjouis de la tournure des événements. Ce petit bout de femme d’un mètre 60 –ce qui est plutôt grand pour un nain- se contente de rire et d’approuver les moindres sorties buccales de nous autres. Alors non, ma génitrice n’est pas une naine excitée à demie dingue qui passe son temps à rire en faisant des bonds de zébulon. Il est plus juste de l’imaginer en jolie brune dynamique, au rire facile j’en conviens, généreuse, courageuse, avenante, sympathique au premier regard et ouverte aux autres. Le cœur sur la main, elle se pose en maman évidente, avec un instinct maternelle démesuré. Il y a longtemps que j’ai arrêté de téter et pourtant je me sens toujours très proche d’elle. Une fusion taiseuse, mais bien ressentie.
Après avoir suivi en diagonale les matchs de l’Euro de football, nous assistons ce soir à ce qui doit être l’apothéose de notre équipe nationale. Face à des finalistes improbables, nous devons gagner. Mais en football, la loi de Murphy s’applique encore plus qu’ailleurs, et un coup de pied malheureux d’un portugais dont j’ai oublié le patronyme renvoie les français à la niche. Les bleus à l’âme, nous ne fêterons pas le titre européen. J’annule mes vacances au Portugal et supprime tous mes contacts supporters de l’équipe championne. Je n’ai jamais aimé les demi-mesures. La soirée se termine, heureusement.
Le lendemain matin nous retrouvons mon père et Muriel sa compagne, pour le petit déjeuner. A vrai dire un peu avant. Nous nous croisons à la boulangerie avec une idée similaire en tête. Puis viens le soleil, la terrasse en hauteur, le salon de jardin, les croissants, le jus de fruit, le café, le thé, les croissants à nouveau… Parfait. Nous quittons nos hôtes sur cette question… Pourquoi ne pas se retrouver de l’autre côté du pays, en Savoie, dans un mois ? Nous avons semé une graine, elle va lever…
Dans cette attente, place aux copains. Quelques bipèdes, mâles et femelles, se sont donné rendez-vous pour rompre le pain et boire le vin. Un moment suspendu, trop rare, avec des amis.
Retour au voyage avec un crochet dans la direction opposée. Suite à l’invitation du compagnon de la madré, nous remontons au Nord le temps d’un weekend à la campagne. Au programme : Achat du cochon de lait élevé en plein air, transport du cochon de lait, meurtre au 1er degré du cochon de lait, étripage du cochon de lait, cuisson du cochon de lait, dégustation du coch… Vie et mort d’un porcin. Piquer à l’ail, farcie ras la gueule, arroser soigneusement, un délice bénie des dieux, fondant à souhait. Nous séjournons sur les hauteurs de Niort, en plein cadre bucolique, dans une grande maison dominant les champs alentours. Les trois enfants de Philipe s’ébrouent autour de la mare dans l’espoir de pécher l’unique brochet censé nager dans ces eaux. Deux poules caquettent cuisine autour d’un festin d’épluchures de pommes, les ânes se questionnent inutilement et les vaches chient et mangent en même temps. La poésie rupestre à son paroxysme. Tous les invités présent à la fête se pressent comme des gosses autour des différentes activités de plein air, crées pour l’occasion. Football, palets, apéro… Mais celle qui affiche le plus grand taux de remplissage propose de transformer les candidats en phoques huileux glissant sur une bâche savonneuse. Drôle et ludique. On flingue l’après-midi comme ça et nous quittons les gais lurons, le cœur chargé d’ondes positives.  Ma mère s’essuie les joues et nous enlacent affectueusement. La géographie n’est rien quand on a une histoire commune... mais quand même.
 Nous reprenons le bitume et creusons dans les terres de Dordogne.
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