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#vitamine C
The Power of Vitamin C: Exploring Benefits, Uses, Dosage, and Safety
 Hello, cherished readers of Fit and Fabulous! Today, we embark on a captivating odyssey through the enigmatic realm of Vitamin C - an illustrious nutrient that holds the promise of elevating your vitality and well-being to unprecedented heights. Be it the fortification of your immune bastion, the revival of your skin's luster, or the orchestration of a symphony of health within, Vitamin C stands as a beacon of possibility. Read more
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Veux-tu boire mon p'tit jus?
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vitalite-bien-etre · 3 months
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La Puissance des Antioxydants
Comment Ils Protègent Votre Corps et Où les Trouver Les antioxydants sont devenus un mot à la mode dans le domaine de la santé et du bien-être, et pour de bonnes raisons. Ils jouent un rôle crucial dans la protection de notre corps contre les dommages cellulaires causés par les radicaux libres, qui peuvent mener à des maladies chroniques et au vieillissement prématuré. 1. Qu’est-ce qu’un…
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75 - Vitamine C, vitamine D et zinc : Pourquoi votre système immunitaire a besoin des trois
Il est très important d’apporter à vos cellules immunitaires suffisamment de vitamine C, de vitamine D et de zinc pour soutenir vos défenses naturelles .
⇒ La vitamine C 
Elle est la nourriture indispensable des macrophages, des cellules dendritiques et des cellules NK qui doivent rester en alerte 24h/24 car elles sont en première ligne des défenses naturelles1. On parle d’immunité innée.
Une alliée pour les périodes de fatigue, les changements de saisons ou comme revitalisant :
La vitamine C intervient dans de nombreux processus physiologiques comme les défenses naturelles, le métabolisme énergétique, l'absorption du fer.... Elle est donc indispensable au bon fonctionnement de l'organisme et idéale à prendre en cure revitalisante et anti-fatigue.
Comprimé avec 1000 mg de vitamine C et des bioflavonoïdes afin de renforcer l'assimilation et la disponibilité de la vitamine C
⇒ La vitamine D3 
quant à elle joue un rôle important dans la production des anticorps par les lymphocytes. C’est la deuxième ligne des défenses naturelles. On parle aussi d’immunité adaptative.
Elle est indispensable au maintien du moral, à la construction osseuse, la santé dentaire et aux défenses naturelles :
L'étude ESTEBAN conclut que 75 % des français ont des apports insuffisants en vitamine D. La vitamine D est fabriquée par notre organisme sous l'action des rayons du soleil (UVB). Dès lors, beaucoup de facteurs peuvent expliquer les courants déficits dans la population : la zone géographique, la saisonnalité, la pollution (taux d'ensoleillement), mais aussi des apports alimentaires trop faibles ou une fragilité immunitaire. La vitamine D est pourtant indispensable à la santé osseuse, dentaire, musculaire, au système immunitaire et au maintien du moral.
Hautement dosée : 2000 UI
Couvre 1000 % des Apports de Référence
⇒ Le zinc 
Il est le « gardien » de la fonction immunitaire. En effet, il est impliqué dans le processus de réplication des cellules immunitaires et il assure la bonne communication entre elles. 
Il aide au bon fonctionnement de l’organisme humain :
Le Zinc est un antioxydant puissant, il participe à de nombreux processus cellulaires. Possédant des propriétés pour lutter contre l'excès de sébum, ce minéral essentiel contribue au maintien d’une peau normale. Le zinc protège contre la prolifération des radicaux libres responsables du vieillissement prématuré des tissus, il aide donc au maintien de cheveux et d’ongles sains. Le Zinc contribue également au maintien d’une reproduction et d’une vision normales.
Un Zinc 50 mg de très haute qualité :
Couvrant 100 % des valeurs nutritionnelles de référence nécessaires, le complément alimentaire Zinc de Orfito est gage de qualité. La forme pidolate permet au Zinc une biodisponibilité et une assimilation optimales. 
Cerveau et vitamine D :
Ne faites pas cette erreur (risque de démence + 33%)
C’est une petite étude qui a fait grand bruit au sein de la communauté scientifique.
Car elle pourrait constituer une piste très prometteuse pour protéger votre cerveau, prévenir la démence et diminuer le risque de développer la maladie d’Alzheimer chez les seniors.
Une équipe de chercheurs américains de l’Université de Tufts, dans le Massachussetts, a publié ce 7 décembre 2022 les résultats d’un programme d’étude démarré en 1977*.
Tous les ans, les 290 sujets de l’étude devaient passer des tests de mémoire pour évaluer leurs capacités cognitives.
Et au bout d’un moment, les scientifiques ont découvert quelque chose d’incroyable…
>> Les patients qui avaient les meilleurs résultats aux tests de performances cognitives étaient ceux… qui avaient des taux élevés de vitamine D dans le cerveau.
>> Et au contraire, ceux qui présentaient de faibles taux de vitamine D dans le cerveau avaient 25 à 33% de risque supplémentaire de développer une forme de démence.
+33% de risque de démence 
Juste parce qu’on manque de vitamine D.
C’est d’autant plus effrayant quand on sait qu’en France, 8 personnes sur 10 sont en déficit de cette molécule vitale.
Et la situation est encore pire chez les personnes de plus de 65 ans.
Il est bien sûr possible de faire un peu « remonter ses niveaux » de vitamine D quand on expose ses bras, ses jambes ou son visage au soleil.
C’est d’ailleurs pour ça qu’on la surnomme « l’hormone du soleil ».
Les rayonnements solaires vont réagir avec le cholestérol qui se trouve dans la partie supérieure de notre peau, le derme, pour former de la vitamine D3.
Mais ça n’est jamais suffisant.
Même si c’est l’été et que le soleil « tape » fort
Même si vous habitez dans le sud de la France ou dans une région ensoleillée toute l’année
Même si vous sortez vous promenez au soleil tous les jours
On en manque tous.
Et plus on avance en âge, moins notre corps est capable de fabriquer de la vitamine D.
Lisez bien ce que dit le Dr Lecerf, chef du Service Nutrition de l'Institut Pasteur de Lille :
“Une personne âgée de 70 ans produit 4 fois moins de vitamine D cutanée qu’une personne de 20 ans”.
Résultat : quand on a dépassé la cinquantaine, nos niveaux de vitamine D dégringolent.
D’ailleurs, la France détient un triste record : c’est là que les personnes âgées ont les valeurs les plus basses d’Europe.
Dans les EHPAD, la situation est encore plus préoccupante : en maison de retraite, on estime que l’insuffisance en vitamine D touche 100 % des personnes âgées.
Voilà pourquoi, à 30, 40, 50 ans et encore plus après 60 ans, il est indispensable de prendre une supplémentation en vitamine D.
C’est d’ailleurs un des rares compléments alimentaires
recommandés par les médecins.
Car tout le monde ou presque en a besoin :
* beaucoup disent que c’est ça agit comme une sorte d’antibiotique naturel d’une remarquable efficacité1 et qui ne dérègle pas votre flore intestinale ;
* que cette substance précieuse contribue à stimuler vos défenses immunitaires et à vous protéger contre de nombreuses maladies ;
* qu’elle diminue aussi le risque d’hypertension ;
* une étude américaine a montré qu’elle agit sur le moral, et qu’un bon taux sanguin de cette substance diminue de 85% le risque de faire une dépression ;
* elle aurait aussi un effet très intéressant face au cancer, notamment en prévention ;
* son efficacité en prévention des maladies cardiovasculaires est également étudiée.
Mais aussi au quotidien :
* contre la grippe et les infections respiratoires en hiver.
* pour lutter contre la dépression saisonnière ou les périodes de déprime passagères.
* pour maintenir vos dents en bonne santé.
* et réduire le risque de fractures osseuses quand elle est associée au calcium.
Vous voyez comme cette substance est un véritable trésor pour notre santé... et surtout pour notre immunité.
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kachmedcom · 11 months
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Compléments alimentaires immunité
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Le système immunitaire protège l’organisme des agressions extérieures. Tout au long de l’année, mais surtout lors des changements de saison, ce dernier peut être mis à rude épreuve, ce qui peut entraîner une baisse de forme. Découvrez notre sélection de complément alimentaire pour l'immunité et maintenez vos défenses naturelles. Oui, je découvre !
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signs0fbeauty · 11 months
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Geef uw huid de perfecte oppepper naar de zomer of winter maanden.
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Deze VitamineCocktail zorgt voor een mooie, stevige, gehydrateerde huid, klaar om zich te verdedigen tegen vrije radicalen die ontstaan oxidatieve stress in de cellen (bijvoorbeeld zonnen of roken).
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how dangerous are vitamin c supplements that expired in february?
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shoopingtagswords · 2 years
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attyrocious · 9 months
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90s-2000s-barbie · 5 months
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Vitamin C - Graduation (Friends Forever) [1999]
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THE UMPTEENTH WAVE | LA ÉNIÈME VAGUE | LA ENÉSIMA OLA by Ernesto Prieto Gratacós
See bellow in 🇬🇧English, voir ci-dessous en 🇫🇷Français, y abajo el texto original en 🇪🇸Español
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THE UMPTEENTH WAVE by Ernesto Prieto Gratacós A fundamental action to be taken in the face of viral epidemics has been, is and will be, the strengthening of the Immune System through the molecules responsible for its germicidal power. As we have shown since the beginning of the health crisis, these substances are precisely the immunoessential nutrients: vitamin D, ascorbate (vitamin C), zinc and selenium. Having the necessary nutrients, the two phases of our formidable immune response – innate and acquired – have prevailed for millennia against viruses, bacteria and fungi.
Each winter season brings a "wave" of malnutrition of varying intensity, peaking every few years. This wave has always been and will continue to be, as long as food, behavioral and pharmacological measures are not taken to counteract it. This book was born from the intention of giving precise instructions on how to implement this strategy and a selection of almost 300 scientific articles that support it. It is not fear but rational action that will allow us to resume the normal productivity that our society needs. Those who insist on the alarmist discourse announcing daily a second wave and new mutant strains seem to ignore the bases of epidemiology and molecular biology or deliberately lie in the service of economic and political interests. The articles referenced above describe how "six classes of Human Coronaviruses (HCoV) have been previously identified, including HCoV-NL63 and HCoV-229E, belonging to the genus Alphacoronavirus, as well as HCoV-OC43, HCoVHKU1, SARS-CoV (Severe Acute Respiratory Syndrome) and MERS CoV (Middle East Respiratory Syndrome), belonging to the genus Betacoronavirus." The reason we quote such a description is to make it clear that coronaviruses have long been among us, and new variants are continually appearing.
Humanity already has almost 8 billion inhabitants, while the animals that are raised for the food industry are counted in tens of billions. For this reason, the mathematical probability of mutations in one or several genes, which give a virus characteristics necessary to infect humans, are increasingly high. Each of the almost fifty specialists with whom we have spoken admits – at least privately – that the Immune System is the key to success. At the same time, everyone agrees that, given the high prevalence and distribution of coronaviruses in animals close to us, their immense genetic diversity, the frequent recombination of their genomes and the increasing interaction between the human species and the rest of the Animal Kingdom, it is to be expected that new coronaviruses will periodically jump more and more frequently towards our species. Systematic population supplementation is the safest and most cost-effective measure possible to deal with the hundreds of diverse viruses that swarm among us.
Seasonal Flu Cycle and Its Link to Vitamins
The notion that viral respiratory infections flare up with autumn-winter and dissipate with spring-summer has long been established in the epidemiology of influenza and other seasonal flus and pneumonias. It's no secret that vitamin D levels decline rapidly with the disappearance of sunny days, while poor nutrition prevents them from compensating for their decline. The same happens with the levels of vitamin C in the blood plasma as winter worsens and the sources of fresh food, source of vitamin C, zinc and selenium decline. While vigorously opposed early in the pandemic by various academic, industry, and media societies — which really inclines you to think of a mix of misinformation and commercial interests — vitamin D has emerged triumphant in the scientific literature related to COVID-19. Indeed, as of the date of this publication, the database PubMed.gov recorded more than 450 scientific articles on the positive role of vitamin D levels in the incidence, severity and mortality from COVID-19.
Unfortunately, blood levels of 25-(OH)-D (vitamin D) present in urban populations are very low, often extremely deficient. The bulk of COVID-19 deaths occurred in people who, unfortunately, had catastrophically low levels of calcefidiol, the active form of the vitamin, even from the most orthodox perspective. Ignoring established scientific information, most medical professionals consider a chalcefidiol level around 20 ng/dL to be "healthy" for the simple reason that this number is within the normal distribution range of the population, which tends to be between 15 ng/mL and 30 ng/mL. But normal is not synonymous with good. From a nutrigenomic perspective, the optimal amount of vitamin D consistent with the evolutionary history of the human species is one that is reached by sunbathing or eating plenty of quality fatty foods. The seasonality of influenza and influenza epidemics has a causal link with vitamins D and C, but nutritional recommendations remain unjustifiably low, ignoring all epidemiological, biochemical, and anthropological evidence in favor of levels ten times higher. That the majority of the population has very low levels of vitamin D is not good, although it has become the most frequent fact, that is, normal. Generalized vitamin D deficiency has epidemic proportions (never better said), especially in latitudes where the incidence of sunlight is lower, and even more so among dark-skinned people. The same happens with vitamin C, whose generalized deficiency in the population is also aggravated by chronic hyperglycemia (high glucose induces urinary excretion of ascorbic acid). The food paradox of contemporary society, the hypercaloric malnutrition that characterizes more than half of the population, has a direct and proportional correlation with the severity and mortality of viral epidemics.An immense body of evidence obtained in the last twenty years shows unequivocally that the optimal range of this vitamin is well above 40 ng / mL, a concentration that, on the other hand, is easily achieved when exposed to an hour of perpendicular sun several days in a row. Numerous studies (and our own clinical experience on more than 3,000 patients) have shown that it is possible to obtain – and safely sustain – levels of between 60 and 90 nanograms/milliliter through adequate vitamin D supplementation, in the range of 5,000 to 10,000 IU daily, taken with fatty foods.
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LA ÉNIÈME VAGUE par Ernesto Prieto Gratacós
Une action fondamentale à entreprendre face aux épidémies virales a été, est et sera, le renforcement du système immunitaire grâce aux molécules responsables de son pouvoir germicide. Comme nous l’avons montré depuis le début de la crise sanitaire, ces substances sont précisément les nutriments immunoessentiels : vitamine D, ascorbate, zinc et sélénium. Ayant les nutriments nécessaires, les deux phases de notre formidable réponse immunitaire – innée et acquise – ont prévalu pendant des millénaires contre les virus, les bactéries et les champignons.
Chaque saison hivernale apporte une « vague » de malnutrition d’intensité variable, culminant toutes les quelques années. Cette vague a toujours été et continuera d’être, tant que des mesures alimentaires, comportementales et pharmacologiques ne seront pas prises pour la contrer. Ce livre est né de l’intention de donner des instructions précises sur la façon de mettre en œuvre cette stratégie et une sélection de près de 300 articles scientifiques qui la soutiennent. Ce n’est pas la peur mais l’action rationnelle qui nous permettra de retrouver la productivité normale dont notre société a besoin. Ceux qui insistent sur le discours alarmiste annonçant quotidiennement une deuxième vague et de nouvelles souches mutantes semblent ignorer les bases de l’épidémiologie et de la biologie moléculaire ou mentir délibérément au service d’intérêts économiques et politiques. Les articles référencés ci-dessus décrivent comment « six classes de coronavirus humains (HCoV) ont été précédemment identifiées, y compris HCoV-NL63 et HCoV-229E, appartenant au genre Alphacoronavirus, ainsi que HCoV-OC43, HCoVHKU1, SARS-CoV (syndrome respiratoire aigu sévère) et MERS CoV (syndrome respiratoire du Moyen-Orient), appartenant au genre Betacoronavirus ». La raison pour laquelle nous citons une telle description est de préciser que les coronavirus sont parmi nous depuis longtemps et que de nouvelles variantes apparaissent continuellement.
Chaque saison hivernale apporte une « vague » de malnutrition d’intensité variable, culminant toutes les quelques années. Cette vague a toujours été et continuera d’être, tant que des mesures alimentaires, comportementales et pharmacologiques ne seront pas prises pour la contrer. Ce livre est né de l’intention de donner des instructions précises sur la façon de mettre en œuvre cette stratégie et une sélection de près de 300 articles scientifiques qui la soutiennent. Ce n’est pas la peur mais l’action rationnelle qui nous permettra de retrouver la productivité normale dont notre société a besoin. Ceux qui insistent sur le discours alarmiste annonçant quotidiennement une deuxième vague et de nouvelles souches mutantes semblent ignorer les bases de l’épidémiologie et de la biologie moléculaire ou mentir délibérément au service d’intérêts économiques et politiques. Les articles référencés ci-dessus décrivent comment « six classes de coronavirus humains (HCoV) ont été précédemment identifiées, y compris HCoV-NL63 et HCoV-229E, appartenant au genre Alphacoronavirus, ainsi que HCoV-OC43, HCoVHKU1, SARS-CoV (syndrome respiratoire aigu sévère) et MERS CoV (syndrome respiratoire du Moyen-Orient), appartenant au genre Betacoronavirus ». La raison pour laquelle nous citons une telle description est de préciser que les coronavirus sont parmi nous depuis longtemps et que de nouvelles variantes apparaissent continuellement.
L’humanité compte déjà près de 8 milliards d’habitants, tandis que les animaux élevés pour l’industrie alimentaire se comptent par dizaines de milliards. Pour cette raison, la probabilité mathématique de mutations dans un ou plusieurs gènes, qui donnent à un virus les caractéristiques nécessaires pour infecter les humains, est de plus en plus élevée. Chacun des près de cinquante spécialistes avec lesquels nous avons parlé admet – au moins en privé – que le système immunitaire est la clé du succès. Dans le même temps, tout le monde s’accorde à dire que, compte tenu de la forte prévalence et de la distribution des coronavirus chez les animaux proches de nous, de leur immense diversité génétique, de la recombinaison fréquente de leurs génomes et de l’interaction croissante entre l’espèce humaine et le reste du règne animal, il faut s’attendre à ce que les nouveaux coronavirus sautent périodiquement de plus en plus fréquemment vers notre espèce. La supplémentation systématique de la population est la mesure la plus sûre et la plus rentable possible pour faire face aux centaines de virus divers qui pullulent parmi nous. Le cycle de la grippe saisonnière et son lien avec les vitaminesL’idée que les infections respiratoires virales éclatent avec l’automne-hiver et se dissipent avec le printemps-été est établie depuis longtemps dans l’épidémiologie de la grippe et d’autres grippes et pneumonies saisonnières. Ce n’est un secret pour personne que les niveaux de vitamine D diminuent rapidement avec la disparition des journées ensoleillées, tandis qu’une mauvaise nutrition les empêche de compenser leur baisse. La même chose se produit avec les niveaux de vitamine C dans le plasma sanguin à mesure que l’hiver s’aggrave et que les sources d’aliments frais, de vitamine C, de zinc et de sélénium diminuent. Bien que diverses sociétés universitaires, industrielles et médiatiques s’y soient vigoureusement opposées au début de la pandémie – ce qui vous incline vraiment à penser à un mélange de désinformation et d’intérêts commerciaux – la vitamine D est sortie triomphante dans la littérature scientifique liée à la COVID-19. En effet, à la date de cette publication, la base de données PubMed.gov enregistré plus de 450 articles scientifiques sur le rôle positif des niveaux de vitamine D dans l’incidence, la gravité et la mortalité dues à la COVID-19.
Malheureusement, les taux sanguins de 25-(OH)-D (vitamine D) présents dans les populations urbaines sont très faibles, souvent extrêmement déficients. La majeure partie des décès dus à la COVID-19 sont survenus chez des personnes qui, malheureusement, présentaient des niveaux catastrophiquement bas de calcéfidiol, la forme active de la vitamine, même du point de vue le plus orthodoxe. Ignorant les informations scientifiques établies, la plupart des professionnels de la santé considèrent qu’un taux de chalcéfidiol autour de 20 ng / dL est « sain » pour la simple raison que ce nombre se situe dans la plage de distribution normale de la population, qui tend à se situer entre 15 ng / mL et 30 ng / mL. Mais normal n’est pas synonyme de bien. D’un point de vue nutrigénomique, la quantité optimale de vitamine D compatible avec l’histoire évolutive de l’espèce humaine est celle qui est atteinte en prenant un bain de soleil ou en mangeant beaucoup d’aliments gras de qualité. Le caractère saisonnier de la grippe et des épidémies de grippe a un lien de causalité avec les vitamines D et C, mais les recommandations nutritionnelles restent injustement faibles, ignorant toutes les preuves épidémiologiques, biochimiques et anthropologiques en faveur de niveaux dix fois plus élevés. Que la majorité de la population ait de très faibles niveaux de vitamine D n’est pas bon, bien que ce soit devenu le fait le plus fréquent, c’est-à-dire normal. La carence généralisée en vitamine D a des proportions épidémiques (jamais mieux dit), en particulier sous les latitudes où l’incidence de la lumière du soleil est plus faible, et encore plus chez les personnes à la peau foncée. Il en va de même pour la vitamine C, dont la carence généralisée dans la population est également aggravée par l’hyperglycémie chronique (un taux élevé de glucose induit une excrétion urinaire d’acide ascorbique). Le paradoxe alimentaire de la société contemporaine, la malnutrition hypercalorique qui caractérise plus de la moitié de la population, a une corrélation directe et proportionnelle avec la gravité et la mortalité des épidémies virales.Un immense corpus de preuves obtenues au cours des vingt dernières années montre sans équivoque que la gamme optimale de cette vitamine est bien supérieure à 40 ng / mL, une concentration qui, en revanche, est facilement atteinte lorsqu’elle est exposée à une heure de soleil perpendiculaire plusieurs jours de suite. De nombreuses études (et notre propre expérience clinique sur plus de 3 000 patients) ont montré qu’il est possible d’obtenir – et de maintenir en toute sécurité – des niveaux compris entre 60 et 90 nanogrammes / millilitre grâce à une supplémentation adéquate en vitamine D, de l’ordre de 5 000 à 10 000 UI par jour, pris avec des aliments gras.
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LA ENÉSIMA OLA por Ernesto Prieto Gratacós Una acción fundamental a tomar frente a las epidemias virales ha sido, es y será, el fortalecimiento del Sistema Inmune por medio de las moléculas responsables de su potencia germicida. Como hemos demostrado desde el inicio de la crisis sanitaria, dichas sustancias son precisamente los nutrientes inmunoesenciales: vitamina D, ascorbato, zinc y selenio. Teniendo los nutrientes necesarios, las dos fases de nuestra formidable respuesta inmunitaria -innata y adquirida- han prevalecido durante milenios contra virus bacterias y hongos.
Cada temporada invernal trae una “ola” de malnutrición de intensidad variable, con picos máximos cada cierto número de años. Este oleaje ha estado siempre y lo seguirá estando, mientras no se tomen medidas alimentarias, conductuales y farmacológicas para contrarrestarlo. Este libro nació de la intención de dar instrucciones precisas de como implementar esta estrategia y una selección de casi 300 artículos científicos que lafundamentan. No es el temor sino la acción racional lo que permitirá retomar la normal productividad que nuestra sociedad necesita. Quienes insisten en el discurso alarmista anunciando a diario una segunda ola y nuevas cepas mutantes, parecen ignorar las bases de la epidemiología y la biología molecular o bien mienten deliberadamente al servicio de intereses económicos y políticos. En los artículos referenciados arriba se describe cómo “seis clases de Coronavirus Humanos (HCoV) han sido identificados previamente, incluyendo el HCoV-NL63 y el HCoV-229E, pertenecientes al genus Alphacoronavirus, así como el HCoV-OC43, el HCoVHKU1, el SARS-CoV (Síndrome Respiratorio Severo Agudo) y el MERS CoV (Síndrome Respiratorio del Medio Oriente), pertenecientes al genus Betacoronavirus.” La razón por la que citamos dicha descripción es para dejar claro que los coronavirus están hace mucho entre nosotros, y nuevas variantes aparecen continuamente.
La Humanidad cuenta ya casi 8000 millones de habitantes, al tiempo que los animales que se crían para la industria alimenticia se cuentan en decenas de miles de millones. Por esta razón, la probabilidad matemática de mutaciones en uno o varios genes, que lesconfieran a un virus características necesarias para infectar a los humanos, son cada vez más altas. Cada uno de los casi cincuenta especialistas con que hemos conversado admite -al menos en privado- que el Sistema Inmune es la clave del éxito. Al mismo tiempo, todos concuerdan con que, dada la alta prevalencia y distribución de los coronavirus en los animales cercanos a nosotros, su inmensa diversidad genética, la frecuente recombinación de sus genomas y la creciente interacción entre la especie humana y el resto del Reino Animal, es de esperar que nuevos coronavirus salten periódicamente cada vez con más frecuencia hacia nuestra especie. La suplementación sistemática de la población es la medida más eficaz, segura y costo-efectiva posible para hacer frente a los centenares de virus diversos que pululan entre nosotros.
Ciclo estacional de la gripe y su nexo con las vitaminas
La noción de que las infecciones respiratorias virales recrudecen con el otoño-invierno y se disipan con la primavera-verano ha sido establecida en la epidemiología de la influenza y otras gripes y neumonías estacionales desde hace mucho. No es ningún secreto que los niveles de vitamina D declinan rápidamente con la desaparición de los días soleados, al tiempo que la nutrición deficiente impide compensar su declinación. Otro tanto sucede con los niveles de vitamina C en el plasma  sanguíneo a medida que recrudece el invierno y declinan las fuentes de alimentos frescos, fuente de vitamina C, Zinc y Selenio. Si bien recibió una vigorosa oposición al principio de la pandemia por parte de varias sociedades académicas, de la industria y de los medios –lo que realmente inclina a pensar en una mezcla de desinformación e intereses comerciales- la vitamina D ha emergido triunfante en la literatura científica relacionada con COVID-19. Enefecto, a la fecha de esta publicación, la base de datos PubMed.gov registra más de 450 artículos científicos sobre el rol positivo de los niveles de vitamina D en la incidencia, la severidad y la mortalidad por COVID-19.
Lamentablemente, los niveles de 25-(OH)-D (vitamina D) en sangre presentes en las poblaciones urbanas son muy bajos, a menudo deficitarios en extremo. El grueso de las muertes por COVID-19 ocurrió en personas que, por desgracia, tenían niveles catastróficamente bajosde calcefidiol, la forma activa de la vitamina, incluso desde la perspectiva más ortodoxa. Haciendo caso omiso de la información científica ya establecida, la mayoría de los profesionales médicos consideran como “sano” un nivel de calcefidiol en torno a 20 ng/dL, por la sencilla razón de que dicho número se encuentra dentro del rango de distribución normal de la población, que tiende a ubicarse entre 15 ng/mL y 30 ng/mL. Pero normal no es sinónimo de bueno. Desde una perspectiva nutrigenómica, la cantidad óptima de vitamina D congruente con la historia evolutiva de la especie humana es aquella a la que se arriba tomando abundante sol o comiendo abundantes alimentos grasos de calidad.
La estacionalidad de las epidemias de influenza y gripe tiene un nexo causal con las vitaminas D y C, pero las recomendaciones nutricionales continúan siendo injustificadamente bajas, ignorando toda la evidencia epidemiológica, bioquímica y antropológica a favor de niveles diez veces más altos. Que la mayoría de la población tenga niveles bajísimos de vitamina D no es nada bueno, aunque se haya convertido en el hecho más frecuente, es decir, en lo normal. La deficiencia generalizada de vitamina D tiene proporciones epidémicas (nunca mejor dicho), en especial, en las latitudes donde laincidencia de los rayos solares es más escasa, y más aún entre las personas de piel oscura. Otro tanto sucede con la vitamina C, cuya deficiencia generalizada en la población se ve agravada además por la hiperglucemia crónica (la glucosa elevada induce la excreción urinaria de ácido ascórbico). La paradoja alimentaria de la sociedad contemporánea, la malnutrición hipercalórica que caracteriza a más de la mitad de la población, tiene correlación directa y proporcional con la severidad y mortalidad de las epidemias virales.
Un inmenso cuerpo de evidencia obtenido en los últimos veinte años muestra de manera inequívoca que el rango óptimo de dicha vitamina está muy por encima de los 40 ng/mL, concentración que, por otra parte, se consigue con facilidad al exponerse a una hora de sol perpendicular varios días seguidos. Numerosos estudios (y nuestra propia experiencia clínica sobre más de 3.000 pacientes) han demostrado que es posibleobtener –y sostener con seguridad- niveles de entre 60 y 90 nanogramos/mililitro por medio de la suplementación adecuada de vitamina D, en el rango de las 5.000 a 10.000 IU diarias, tomadas con alimentos grasos.
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herbagaia · 2 years
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Comment garantir votre apport journalier en vitamine C ?
Comment garantir votre apport journalier en vitamine C ?
La vitamine C est probablement le complément alimentaire le plus consommé en Occident. Elle intervient dans de nombreuses fonctions du métabolisme. C’est une formidable alliée de notre santé mais notre organisme est incapable de la produire. Alors comment nous garantir un apport suffisant en vitamine C ?  Dans la suite de cet article vous allez comprendre à quoi elle sert exactement, apprendre à…
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jeanmarcfraiche · 2 years
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LipoVital-C Mag+ : Complexe à la Vitamine C et au magnésium
LipoVital-C Mag+ : Complexe à la Vitamine C et au magnésium
LipoVital-C Mag+ : Complexe à la Vitamine C et au magnésium Pourquoi prendre de la Vitamine C ? Parce que la vitamine C est une vitamine indispensable pour la résistance  : des os, des dents, de la peau, des vaisseaux sanguins, du système nerveux et pour l’apport énergétique. Elle favorise également la fixation du fer et elle protège du processus de vieillissement contre l’oxydation…
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salt-n-salt · 2 months
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harvey’s worst patient
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kachmedcom · 11 months
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Complément alimentaire pour la peau
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38 - L'ORTIE
1 - les fruits
2 - les feuilles
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Si les feuilles, les graines et les racines peuvent être utilisées ce sont les feuilles qui sont le plus consommées. Véritable cocktail de nutriments, l’ortie est l’une des plantes les plus intéressantes d’un point de vue nutritionnel. 
j’ai testé une recette à base de graines d’ortie.
Enfin les “fruits” d’ortie, pour être exact.
On confond souvent, mais les petites grappes vertes qui pendent des plants femelles de l’ortie dioïque (Urtica dioica) sont ses fruits, pas ses graines.
Je savais depuis un moment qu’ils étaient comestibles, j’en mangeais régulièrement cru, mais je n’avais jamais essayé de les cuisiner.
C’est chose faite !
Des super-aliments sauvages pour l’hiver
Les feuilles d’orties ont une concentration exceptionnelle en nutriments, minéraux et vitamines.
Dans 100 g de feuilles fraîches, tu trouves :
Du calcium, 80 % des AJR (apports journaliers recommandés) ;
Du fer, 60 % des AJR ;
Des protéines complètes ;
De la vitamine C, 4 fois les AJR ! (et 6 fois plus que dans l’orange) ;
Des vitamines A, E, B, K…
Des minéraux ; Etc.
C’est également l’un des végétaux les plus riches en protéines complètes (environ 8 g/100 g dans les feuilles fraîches). L’ortie contient en effet 18 acides aminés dont 8 essentiels que le corps ne synthétise pas, ce qui en fait une protéine parfaitement assimilable par l’organisme au même titre qu’une protéine animale et contient davantage de protéines végétales que le soja, qui fait pourtant référence en la matière.
- Ses feuilles sèches contiennent 40% de protéines
L’ortie renferme également une forte concentration de potassium, de calcium (4 fois plus que le yaourt), de zinc, de magnésium, de manganèse, de silice.
Elle sait calmer les douleurs articulaires et les allergies (les Egyptiens l’utilisent depuis l’Antiquité !)1.
Et argument non négligeable : elle a très bon goût !
1 - les fruits
Mais les fruits d’Ortie, c’est un concentré de concentré.
Ils sont tellement riches qu’il est déconseillé d’en manger le soir que si tu souhaites bien dormir…
Mais c’est parfait pour te booster en hiver !
Comment reconnaître les fruits d’Ortie ?
L’ortie dioïque (comme son nom l’indique) est une plante dioïque, c’est-à-dire qu’elle a des plants mâles, et des plants femelles.
Les deux portent des fleurs, mais seuls les plants femelles portent les fruits, c’est donc eux qui nous intéressent.
Les fleurs et fruits de plant femelle sont des grappes vertes pendantes qui ressemblent à des chatons de noisetier, alors que les fleurs de plant mâle sont de très petites billes verdâtres/rougeâtres, en grappes dressées ou horizontales.
Je t’ai fait un montage comparatif, pour t’aider à les distinguer :
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A gauche, inflorescences de plant femelle ; à droite, inflorescences de plant mâle.
Récolter et conserver les fruits d’Ortie
Tu peux récolter les fruits d’Ortie à la fin de l’été, d’août à octobre, voire un plus tard si tu fauches régulièrement tes orties pour qu’elles poussent toute l’année.
En fonction de la période, ils peuvent encore être bien verts, ou tendre vers le marron.
Mets des gants, coupe les grappes et, une fois rentré, tu auras juste à tirer le long des grappes pour faire tomber les fruits.
Tu peux facilement les conserver une semaine dans un petit tupperware au frigo.
Mais pour en avoir tout l’hiver, je les sèche dans un endroit sec et aéré !
Tu as deux options :
Récolter les orties entières, les sécher tête en bas puis récolter les fruits plus tard ;
Récolter seulement les grappes et les sécher sur du papier journal.
J’ai testé les deux, le résultat est le même.
Puis une fois secs, je les ai placés dans des pots à confiture, c’est ma réserve pour cet hiver ;)
Tu peux aussi congeler ces fruits ou les lacto-fermenter dans une saumure, mais je n’ai pas encore essayé.
Les recettes avec des fruits d’Ortie !
J’ai testé les fruits d’Ortie :
Ajoutés aux soupes d’ortie, mixés avec les feuilles ;
Mélangés à du fromage frais (type chèvre frais ou sérac, en Suisse) pour l’apéro .
Revenus à la poêle dans un peu d’huile, sur des galettes.
Évidemment, tu peux aussi les manger cru, ils ont un goût de “vert” (chlorophylle) et ça croustille.
Mais ce que je préfère, c’est beurrer une tartine de bon pain au levain et y ajouter les fruits d’Ortie.
2 - les feuilles
Crues ou cuites, en soupe, infusion, tarte, salade…. il y en a pour tous les goûts !
L’ortie est ensuite plutôt simple à cuisiner. 
En soupe ou en risotto, elle apporte un petit goût en plus, en omelette, dans des smoothies, des jus, en quiche, en salade, en pesto, en infusion, dans un cake, un appareil à tarte, elle remplace le basilic en pesto ou encore les épinards , dans le muesli… L’ortie se consomme de 1001  façons, comme un légume classique finalement. L’ortie séchée (en poudre ou en feuilles) se trouve facilement chez les herboristes, dans les magasins bio et naturels. La plante fraîche est plus rare dans le commerce. L’ortie est tout aussi intéressante dans sa version fraîche ou sèche, à une nuance près, comme l’explique Caroline Gayet : "La plante fraîche est majoritairement composée d’eau. Dans la plante sèche, l’eau est évaporée, elle est donc plus concentrée en principes actifs, à l’exception des vitamines".
En revanche (les feuilles), lorsqu’on la fait cuire, qu’on la plonge dans l’eau bouillante ou qu’on la fait sécher, l’ortie perd tout effet irritant.
Un tel palmarès hisse l’ortie au rang de "super aliment". Et contrairement à ses consœurs plus exotiques comme les baies d’açaï ou de goji ou encore la spiruline, l’ortie est moins chère, surtout si vous vous donnez la peine d’aller la cueillir vous-même !
Pas de contre-indications à la consommation d’orties
L’ortie ne présente pas de contre-indications particulières, même les femmes enceintes peuvent en consommer à dose nutritionnelle en version sèche (évitez l’ortie fraîche pendant les mois de grossesse). Toutefois, la phytothérapeute met en garde : "L’ortie est très riche en principes actifs, il ne faut donc pas la surconsommer et il faut bien respecter les dosages".
Notamment si vous suivez un traitement contre l’hypertension, un traitement diurétique, anti-inflammatoire, anticoagulant, l’ortie peut entrer en interaction avec ces traitements. Ne faites pas de surdosage et demandez conseil à votre médecin avant de commencer une cure d’ortie.
Idées recettes express
Pour faire des infusions ou des décoctions on utilise un mélange de feuilles + tiges. En effet,  la tige a son intérêt car c’est la partie la plus riche en silice.
En infusion :
20 à 30 g de plante sèche par litre d’eau, infusion 30 minutes
En décoction :
30 à 60 g de plante fraîche par litre d’eau en décoction pendant 5 mn
L’ortie en cuisine
Les jeunes pousses et feuilles font de l’ortie un des meilleurs légumes sauvages. Le goût des jeunes pousses est très délicat; par contre celui des feuilles un peu âgées est plus fort et rappelle assez nettement le poisson.
Pour la cuisine, on utilise :
les jeunes pousses de l’ortie pour les salades
les jeunes pousses (avec les 4 premières feuilles) de la petite ortie (moins fibreuses que la grande ortie) pour la cuisson.
Les salades
Pour les salades, attendre 6 à 12 heures avant de les consommer, et bien arroser d’huile pour éviter le piquant résiduel éventuel. Goûter avant pour sentir si le piquant est effectivement parti.
Pesto d’ortie :
Mixez 50 g de feuilles d’ortie fraîches, 25 g de parmesan râpé, 1 c. à s. de pignons de pins, 2 gousses d’ail et 5 cl d’huile d’olive. Salez et poivrez selon votre convenance.
Potage d’ortie :
Faites revenir 2 oignons. Ajoutez 4 pommes de terre, 50 g de feuilles d’ortie séchée, du sel, du poivre. Ajoutez un litre d’eau, cuire 15 mn à ébullition. Mixez et dégustez !
Omelette aux orties
Fouettez 6 œufs avec le sel et le poivre. Ajoutez 200 g de feuilles d’ortie fondues, mélangez. Cuire 15 mn.
Les plats
La petite ortie peut se cuisiner comme des épinards ou des blettes.  En gratin, en purée, la seule limite sera votre imagination.
En tant que condiment
La poudre séchée d’ortie peut se mettre dans toutes les salades et dans tous les plats. Elle se marie très bien avec les céréales et les légumineuses.
L'eau d'orties
Cette recette est parfaite pour recharger les batteries, car elle est riche en sels minéraux. Elle est connue en tout premier lieu, pour sa capacité à soutenir la détoxification de l’organisme.
POUR LA RECETTE :
Vous aurez besoin d’une carafe, d’eau et de feuilles d’ortie.
Mettre deux grosses poignées d’orties préalablement nettoyées, dans un litre d’eau froide.
La laisser reposer à température ambiante pendant une nuit.
Le lendemain filtrer les feuilles et c’est prêt !
Un léger goût de banane est perceptible, ce qui plaira aux enfants. Je vous recommande d’ailleurs de la préparer avec eux !
À boire comme de l’eau, sans exagération.
Sources
Apprendre Préparer (Sur)vivre
Entretien avec Caroline Gayet, diététicienne-phytothérapeute, auteure de Ma Bible des secrets d’Herboriste et conseillère à l’Herboristerie du Palais Royal
L’ortie c’est malin, Alix Lefief-Delcourt, Editions Leduc.s
Les vertus de l’ortie, Alessandra Moro Buronzo, Editions Jouvence
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