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#éditions du jour
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André-Pierre Boucher - Ces mains Qui Vous Racontent - éditions du jour - 1966 (maquette de la couverture Jacques Gagnier; photo Denis Plain)
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angelitam · 1 year
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Le jour et l'heure de Carole Fives
Le jour et l’heure de Carole Fives, présentation Audrey travaille aux urgences. Elle est gynécologue. Ils ont sauvé un bébé mais la mère est en réanimation. ll est 2 heures du matin, c’est la fin de sa garde. Elle s’est mise en congés sans explication. Elle a rendez-vous avec sa famille Gare de Lyon. Avis Le jour et l’heure de Carole Fives En commençant ce roman, lu en avant-première, lu dans le…
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dixvinsblog · 1 year
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Un jour, un poème -Parme Ceriset « Boire la lumière à la source » (éditions du Cygne, janvier 2023).Extrait
Je marcherai loinaussi libre que l’amouraussi nue que la vagueet tu seras lumièreeffleurant mes rivages,et les cieux en furielargueront leurs grêlonsmais nous serons heureuxcondamnés et vibrants,de tempête et d’extase.
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fieriframes · 7 months
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[Farewell vicious night. The Ancient Fire calls your name. The invisible spiral will always remember the responders to the Midnight Caller. The ones who write the stories. And to whom the stories go. Perhaps the eternal moon will rise again. Perhaps the darkness has reached its end.]
XIV - La Ville Invisible
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
Des années de mystère m'avaient amené à ce seul paragraphe. Un voyage où, à chaque étape du chemin, j'espérais une conclusion, mais j'ai reçu davantage de questions à la place. Cette fois ne faisait pas exception.
Je l'ai répété encore et encore dans mon esprit. C'était enivrant. Ça ressemblait à une incantation pour des esprits puissants, comme écrit dans les livres. Mais les esprits ne sont jamais venus à moi. Même mes rêves avaient commencé à échapper à ma mémoire, comme l'amnésie dans une berceuse.
J'ai appris autant que possible sur la partie la plus significative du paragraphe : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus. Je fus Daphnis, habitant des bois, d’où mon nom s’est élevé jusqu’aux cieux. Cette épitaphe qui apparaît sur de nombreuses pierres tombales arcadiennes. Les origines mêmes de l’expression Et In Arcadia Ego. Les mots qui ont précédé les ténèbres.
J'ai appelé Mars Éditions encore et encore, personne ne répondait. Je suis allé au 12 Rue Jacob, mais l'enseigne au néon était éteinte et il n'y avait personne à l'intérieur. J'ai appelé The Library of Babel à Londres où j'ai acquis Nuit Sans Fin, sachant exactement à quoi m'attendre. C'est-à-dire pas de réponse.
Il me semblait que j'étais vraiment seul.
Dès le début, on avait eu l’impression que quelqu’un, ou peut-être l’univers, essayait de parler sans voix. Si j'étais honnête avec moi-même, aussi fou que ça puisse paraître, j'avais l'impression que Leonora elle-même essayait de me dire quelque chose. Chaque fois que j’arrivais dans une impasse, j’avais l’impression de la laisser tomber.
Cette ultime impasse n’a fait qu’intensifier mon intérêt pour cette phrase latine particulière et tout ce qui l’accompagnait. J'ai plongé non seulement dans le monde de l'épopée romaine et de la mythologie celtique, mais aussi dans celui de Leonora et d'autres artistes surréalistes. Livres, expositions, cours du soir, documentaires, tout ce que je pouvais trouver.
Je dois admettre que le rayon de ce nouvel intérêt s'est élargi de jour en jour et j'ai découvert de nouvelles avenues et de nouveaux mystères à explorer. Remedios Varo, Dorothea Tanning, Noëmi Manser, Kati Horna, Hilma af Klint, Julia Soboleva ont tous transformé ma vie en un rêve ambulant et ont ajouté une touche de magie à ma façon de penser et de voir le monde. Comme si mes yeux s'étaient ouverts sur “l'autre Paris”, l'invisible, les passages secrets entre les couches.
Malgré cela, Leonora ne m'a jamais quitté. J'ai une obligation envers elle que je n'ai pas remplie. Je ne sais pas quand, je ne sais pas comment, mais j'espère plus que tout qu'un jour je pourrai répondre à l'appel. Que si je peux enfin être là pour elle. Pour son esprit. Pour jouer mon rôle. Il y a une raison pour laquelle elle m'a trouvé, mais je ne la connais pas encore.
En attendant, je la garde dans ma vie. Dans mes rêves, en cette nuit sans fin. 𑁍
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abridurif · 3 months
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Le journal est une forme d’écriture désœuvrée. On n’y cherche pas la représentation. C’est la vie même qui s’y déverse. Encore plus que dans les lettres, parce que les lettres qu’on écrit peuvent subir l’influence de leurs destinataires. Le journal a une pureté qui procède de son impureté. Il n’y a pas de sujet noble ni dérisoire dans un journal intime, n’importe quoi peut être livré aux pages du cahier. Il le faut. Tenir une main courante prend du temps mais cela permet aussi d’en conserver l’esprit ; l’esprit du temps. C’est important de déposer les réflexions et les faits, parce que sinon tout s’évapore. Il ne reste rien d’il y a trois jours. Si j’écris chaque jour ce que j’ai vu, en regardant simplement autour de moi, en saisissant ce qui se passe, c’est parce que je sais que tout s’évapore. Si j’écris ce qui se passe en moi quand je regarde une image fixe, un tableau, un film, c’est parce que je sais que mes impressions vont se désintégrer. Mon esprit est plein de déchets. Ce sont les résidus de pensées nées dans la solitude ou dans une conversation. Un peu comme dans notre galaxie où gravitent des millions de déchets. Dans l’infiniment grand, cela représente un problème de sécurité. Tandis qu’à mon échelle, c’est bénin. Inoffensif, mon journal est dur, pourtant. Dur et pas beau. Mais nous n’avons pas à nous demander si c’est laid ou si c’est beau, à vrai dire. Le sentiment d’avoir créé quelque chose qui a de la vie est supérieur à ces deux notions de laid et de beau. Pour moi, c’est le seul critère en matière d’art. Et ce qui a de la vie ne cherche pas à devenir une œuvre d’art, cela advient. Ou pas. Gaëlle Obiégly, Sans valeur, Bayard Éditions, 2023
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laurierthefox · 2 days
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Le week end du 28 et 29 Septembre 2024 je serais à la convention Geek Days Brest !
C'est la première fois que je fais une convention, c'est bien plus gros (on attends environ 10 000 visiteur'ses sur deux jours) que les marchés de créateurices que je faisais jusqu'à présent, et j'avoue que j'ai un peu d'appréhension ^^.
Vous pourrez retrouvez sur mon stand :
Des livres
- ReconnaiTrans (éditions lapin) - J'ai un'e ami'e trans et/ou non binaire (auto édition) - Les derniers exemplaires de Féministes (édition Vide Cocagne)
Des Goodies
- Badges LGBTIAP+ dont le tout nouveau badge licorne en 45mm ! - Badges sur la NeuroDiversité / NeuroAtypie - Stickers LGBTIAP+ - Les tout derniers exemplaires de la broche "Care" - Prints féministes et LGBTIAP+
Pour cette fois ci je ne serais pas seul à mon stand !
Je partagerais ma table avec Gwên, une autrice de light novels de genre science-fiction, fantasy, et fantastique.
J'espère vous y voir !
Prenez soin de vous et des autres si vous pouvez !
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D'amour danse ma délivrance
à la cadence des ailes et des voyelles
.
Au solfège du Rêve mon coeur ruisselle
d'un refrain qui m'improvise
.
Je ne m'appartiens plus
Il me semble ouïr toutes les ruches de l'île
.
de connivence chanter
--------
... Car toute nostalgie n'est que collier de lianes
au cou des chimères de l'âme ...
---------
... ici il n'est fragment qui ne me donne jour
.
Louis-Axel Montlouis Elmin, A l'aquarelle des mers, extraits, édition Aux Cailloux des chemins
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jogallice · 4 months
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Aujourd’hui, vendredi 07/06/24, 26e Journée mondiale anti contrefaçon 👌 Journée mondiale de la course à pied 🏃🏻 et Journée mondiale des martinets 🐦
Annecy : deuxième jour de la première édition du Festival Citoyen du Vivre Ensemble qui a lieu depuis hier jusqu'à samedi 8 juin à la MJC Centre social Victor Hugo Meythet. Des thématiques telles que l'environnement, le harcèlement et le numérique choisies par les habitant·es 👌
Deux dictons du jour pour le prix d’un : « Si le sept juin, le soleil ne veut pas se montrer, c’est bien mauvais pour ce qu’on a semé. » 🌱 « À la saint Gilbert phalènes (papillon nocturne) en l’air. » 🦋
Et deux autres dictons du jour pour la route : « À la saint Gilbert, si prend fin l'hiver, y'a la Saint Médard qui arrive en fanfare. » 🎺 « Quand le chou passe la saint Gilbert, du vigneron vide sera le verre. » 🥬
Bon cinquième jour de la semaine à tous et à toutes 🖱
Bonne fête aux Gilbert·e 😘
📷 JamesO PhotO à Annecy le mercredi 05/06/24 📸
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learabeau · 4 months
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Nouveau photozine des éditions du Poireau
Un jour en manif
Participantes : Zoé Andrieux, @chlcavalier , Nathalie Man, Léa Rabeau et Sandy Wegfliegen
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aurevoirmonty · 5 months
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« Le « confort » apporté par l’infrastructure numérique dans laquelle nous baignons se paie cher, générant dans nos corps et nos esprits un épuisement tel que seules des activités « passives », comme le visionnage de séries, nous sont ouvertes lorsque nous disposons d’un peu de temps pour nous. Il est ainsi difficile de ne pas céder à la tentation à portée d’un simple clic se trouve la possibilité de ne plus rien avoir à décider, s’ouvre un tunnel fictionnel conçu pour nous faire oublier les soucis du jour et ceux du lendemain, tout en nous déchargeant de cette lourde responsabilité d’être nous-mêmes. »
Bertrand Cochard, « Vide à la demande », éditions L’Echappée
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swedesinstockholm · 5 months
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5 avril
j'aimerais pouvoir instaurer un quota de temps de pensée quotidien consacré à un sujet. j'accorderais quinze minutes par jour au sujet r. par exemple, quinze minutes quotidiennes que j'aurais épuisées dès 8h15 du matin et hop je serais tranquille pour le reste de la journée. je lui ai parlé de pessoa et il m'a dit qu'en grand romantique il avait adoré le berger amoureux ou un truc comme ça, j'étais assise sur la marche devant la véranda au soleil et je me suis pris la tête dans les mains en gémissant. autre sujet: ce soir dans le train pour revenir de sète je parlais du sud avec maman, je disais que vivre ici était plus sain que vivre au luxembourg, et puis j'ai vu mon reflet dans la vitre avec ma casquette mes nouvelles lunettes de soleil et mon double denim et j'ai imaginé que c'était le reflet de mon moi d'ici. mon moi qui est là où elle est censée être.
6 avril
cet après-midi dans la voiture pour aller à pézenas je me disais que je devais rediriger mon énergie et remplacer r. par le sud de la france. ne plus tomber amoureuse que de territoires. me concentrer sur les arbres et les champs et les vignes qui défilent par la fenêtre ouverte de la voiture et le vent qui s'engouffre dedans et qui fait du bruit par dessus nostalgie et la colline de sète et celles d'agde et les bateaux qui rentrent dans l'hérault et ceux amarrés aux quais et sur le vocabulaire marin et le bruit des vagues sur la plage et l'odeur de marée et le pin du port de la pointe courte et les falaises du cap d'agde et les marais du bagnas et les flamants roses qui marchent avec la tête dans l'eau et les mouettes qui crient dans le ciel quand le soleil commence à se coucher. ne plus tomber amoureuse que de territoires et de littérature. j'ai trouvé la nouvelle édition décensurée de ravages dans une librairie à pézenas, le gros livre mauve qui trônait en exposition sur la table en ellipse de la librairie exc quand j'y avais lu géotropismes. maman me l'a acheté et je l'ai serré contre moi jusqu'à la voiture. autres cadeaux de la journée: une glace caramel beurre salé-chocolat à la mirondela, une vieille chemise de nuit à bords rouges que j'ai trouvée en triant des cartons chez mamie dans la pièce du fond, une bouteille de thé glacé rooibos-pastèque-menthe que h. avait déposée sur la table en bas parce que j'avais dit que j'adorais la bouteille rouge et rose quand on était chez elle.
ce matin j'étais encore en train de feuilleter le catalogue immobilier de sète et je me disais que quand je sortirais de ma non-vie, ce serait comme si je revenais de la mort. et quand on revient de la mort, tout est du bonus. quand on revient de la mort les choses sont moins graves et elles pèsent moins lourd, la gravité perd de son pouvoir, le centre de la terre n'a plus le même attrait. j'imagine. quand je reviendrai de la non-vie je veux faire les choses sans réfléchir. je sais pas quelle forme ça prendra de revenir de la non-vie, peut être que j'arriverai jamais à en sortir, mais dans ma tête ça va quand même finir par arriver.
8 avril
petit journal d'amour qui était caché dans ma banane toute la soirée d'hier dans les loges de la maison poème puis sur mes genoux pendant ma discussion intime interminable avec r. assis sur l'accoudoir du canapé puis sur la banquette du bar avec l., d. et c. et les autres et enfin sous la pluie de bruxelles pour rentrer chez m. en chantonnant don't go wasting your emotions lay all your love on me toute seule dans les rues de st. gilles. au bar l. m'a dit qu'elle adorait ma banane et je l'ai ouverte pour lui montrer sa meilleure qualité: mon journal rentre dedans! et elle a dit c'est de là que viennent tes poèmes! elle a fait une remarque sur le pendentif en perles et j'avais envie de lui raconter l'histoire de r. qu'y a derrière mais c'était pas trop le moment. ils se sont rencontrés hier soir. j'étais en train de discuter avec l. et d. quand je l'ai vu accoudé au bar en train de discuter avec la serveuse mais j'ai fait semblant de pas le voir, jusqu'à ce qu'il se retourne et me voie. je lui ai pas sauté dans les bras comme dans mes fantasmes, je l'ai pas serré fort contre moi, j'étais trop timide, et lui aussi était timide, c'était un peu bancal, et puis l. a dit mais tu connais des gens ici! et je me suis rapprochée de lui en disant c'est mon seul ami. elle a demandé comment on s'était rencontrés et j'ai dit ici à la maison poème et on aurait dit que je racontais une histoire de rencontre amoureuse très romantique.
j'ai passé la soirée à discuter avec lui au lieu de me joindre aux autres. il parlait beaucoup et parfois je m'ennuyais et je me disais est-ce que je suis vraiment amoureuse de lui au point de me priver de discussions avec mes pairs poètes? visiblement oui. il m'a confié plein de trucs intimes sur ses névroses et j'ai remis les deux pieds en plein dans la delulu. j'ai de nouveau réussi à me persuader qu'il était juste terrorisé de m'avouer et surtout de s'avouer à lui-même qu'il avait des sentiments amoureux pour moi. je veux pas en démordre. il m'a confié qu'il aimerait avoir une expérience homosexuelle et je me demandais s'il me disait ça parce qu'il me prend pour une lesbienne et que donc il a moins peur d'être jugé. il m'a dit que ça coinçait encore un peu parce qu'il craignait le regard des autres mais ok OK non mais j'y crois pas, est-ce que je suis vraiment en train de parler de la sexualité de r. alors que hier soir j'étais de retour sur les planches, derrière un micro, j'avais de nouveau les genoux qui tremblaient mais à part ça j'étais archi à l'aise, même avec les gens, quand j'étais pas prise en otage par les états d'âme de r. j'étais avec l. et d. et c. et j'étais normale et l. était un coeur avec moi, je me sentais même presque jolie, je portais mon double denim de sète et j'étais bronzée de la mer mon amour merci ma peau coopératrice. r. m'a écrit que j'avais l'air dans un méga mood en rentrant et je sais pas trop ce que ça veut dire mais j'ai dit ça c'est parce que je reviens de la mer lol. j'allais pas lui dire que c'était à cause de lui. ça c'est parce que t'étais là r. la vérité c'est que j'étais pompée à bloc parce que j'avais des interactions sociales avec des gens qui n'étaient ni des retraités ni des gens de ma famille, j'ai rencontré des nouveaux gens cool j'étais dans mon monde et les gens m'aimaient bien ET j'étais contente d'être avec r. c'était tout ça à la fois.
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Nous sommes en 1990 à Baltimore, Maryland. Un jour, l'enseignante de la maternelle appelle d'urgence Maman Debbie. "Michael ne peut pas s'asseoir, il n'est jamais silencieux, il ne peut pas se concentrer", explique le professeur. "Peut-être qu'il s'ennuie juste", répond Debbie. "Impossible. Démissionnez-vous, votre fils n'est tout simplement pas doué, il ne pourra jamais se concentrer sur quoi que ce soit", explique la femme sans appel.
Le garçon en question, que Michael, dont le nom de famille est Phelps, a 5 ans, il a grandi sans père dans une famille entièrement féminine, avec sa mère et ses deux sœurs, et jusqu'alors il n'a presque jamais mis les pieds dans une piscine. Lorsqu'il le fait pour la première fois, il est tellement terrifié de se mouiller le visage que l'instructeur est obligé de lui apprendre le dos. Michael a un talent inné mais discontinu. Ce n'est pas mieux à l'école. Tous ses professeurs répètent toujours les mêmes choses à Debbie: "Il ne peut se concentrer sur aucune tâche", "il n'est pas adapté à telle ou telle matière", "agace le camarade de classe". Debbie décide alors de le soumettre à une visite spécialisée. Le diagnostic est clair: TDAH ou DDAI, mieux connu sous le nom de trouble déficitaire de l'attention / hyperactivité.
Mais Debbie, en plus d'être maman, est également enseignante et directrice. Et il se met dans la tête pour prouver que tout le monde a tort. "Je savais que si j'avais travaillé dur avec Michael, il aurait pu atteindre tous les objectifs qu'il s'était fixés." Elle travaille en étroite collaboration avec les professeurs de Michael et chaque fois que l'un d'eux dit "il ne peut pas faire ça", elle répond: "Eh bien, que pouvons-nous faire pour l'aider?" Face à ses difficultés mathématiques, trouver un tuteur et une méthode qui suscite l'intérêt de Michael, avec des problèmes de ce type: "Combien de temps vous faut-il pour nager 500 mètres si vous nagez à une vitesse de 3 mètres par seconde?".
Transformez les limites de votre enfant en opportunités. Chaque fois qu'il a une explosion de colère ou de frustration dans la piscine, elle lui donne un signal conventionnel en forme de C depuis les tribunes qui, dans leur langage privé, signifie "se remettre ensemble".
Michael s'améliore à l'école, alors que dans le réservoir, il est déjà un petit requin: à 11 ans, il est plus fort et plus rapide que tous ses pairs qui ont déjà nagé aux États-Unis. Debbie est ensuite convoquée pour la deuxième interview la plus importante de la vie de Michael. Cette fois, elle n'est pas une enseignante de maternelle mais son entraîneur, Bob Bowman. Nous sommes en mai 1996.
"Madame, maintenant je vais vous dire ce qui va se passer," commença-t-il. "En 2000, Michael participera aux essais olympiques. Je ne sais pas s'il gagnera l'appel, mais on en parlera sûrement. Et en 2004, il sera sans aucun doute un athlète qui gagnera des médailles olympiques. Et nous ne serons qu'au début."
Bob avait tort. En 2000, à Sydney, non seulement Michael se qualifierait au 200m papillon, mais il atteindrait la finale, terminant à la cinquième place, touchant le podium et une médaille. Il avait 15 ans. À partir de ce jour, pour les 16 prochaines années, Phelps remportera 83 médailles, dont 66 d'or, 28 olympiques, 33 championnats du monde, dans huit disciplines différentes, devenant, en 2008 à Pékin, l'athlète avec le plus d'or (huit) en une édition de l'histoire des Jeux et, en affichant, le nageur le plus titré de tous les temps, en plus de l'un des sportifs les plus forts de tous les sports ou de toutes les époques.
Ce champion incomparable et icône planétaire était un enfant ayant un déficit d'attention diagnostiqué, comme des dizaines de millions d'autres enfants comme lui dans le monde. Avec la seule chance d'avoir une femme et un professionnel à ses côtés qui ne l'ont jamais jugé ou justifié, mais l'ont poussé à faire ressortir son talent là où les autres ne voyaient que des troubles, de l'inattention et de l'hyperactivité. Elle aurait pu se résigner, comme son premier professeur de maternelle l'avait conseillé. Au lieu de cela, Debbie a décidé de faire quelque chose de bien plus long et de plus fatigant: croire en son fils.
Peut-être qu'aucun de ces millions d'enfants ne deviendra jamais Michael Phelps, mais derrière la stigmatisation d'un diagnostic et d'un jugement incontestable, il y a des gens avec des talents et des capacités extraordinaires dans n'importe quel domaine ou profession. Parfois, ce qui manque, c'est seulement quelqu'un qui veut les voir et les reconnaître. Tout comme maman Debbie.
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jahanmp4 · 8 months
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Je regarde la rediff de la Nuit du Musée au Louvre (live que j'avais manqué </3) et la conversation autour de l'art et de la connaissance où Etoiles avait mentionné Amine m'a automatiquement ramenée à son édition avec lui.
La discussion a certes été abordée de nombreuses fois mais je pense qu'il est important de réitérer les intentions d'Etoiles depuis le début.
J'avais adoré le live avec Amine, il posait des questions auxquelles je n'aurais jamais pensé et c'était rafraîchissant d'entendre quelqu'un avec une méthode de réflexion très différente de la mienne. Etoiles a mentionné plusieurs fois les réserves d'Amine parce qu'il n'avait jamais visité le musée et avait peur de passer pour un con alors que le principe même des Nuits au Musée est de montrer que la culture n'est pas réservée et accessible qu'aux élites coincées et riches.
Quelques jours après le live, j'ai vu tout le backlash qu'Amine s'est pris sur les réseaux, entre le racisme et les propos absolument dégradants à son égard, le jugeant "pas assez intelligent" pour ce genre de contenu, ALORS QUE LE PRINCIPE C'EST DE RAMENER DES GENS QUI NE CONNAISSENT PAS TANT DE CHOSE DE CE GENRE DE CONCEPTS !!!!!!! Et ça m'a rendu fou. L'accès à la culture devrait être célébré, mais non, les gens ont décidé d'être des idiots de première classe en s'attaquant à un homme qui posait juste des questions PERTINENTES (un homme arabe de surcroît, histoire de remuer le couteau dans la plaie vu le nombre de tweets odieux et racistes qui m'ont vraiment fait froid dans le dos considérant qu'ils se désignent comme étant fans d'Etoiles et viewers réguliers...). Juste parce que votre vision de l'art vous paraît têêêêêêêllement supérieure au commun des mortels, cela n'en fait pas une vérité fondée. Vous êtes juste de sales gosses insupportables incapables de penser à quelqu'un d'autre que votre petite personne. Vous ne méritez pas le contenu exceptionnel fourni par Etoiles, sincèrement.
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fieriframes · 8 months
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[I am the hunter, and the hunted, joined together.]
XI - Les Esprits
À ce stade, je ne savais pas pourquoi je pensais que toute nouvelle information m'aiderait. Au lieu que je me rapproche d'une réponse, le labyrinthe venait de recevoir une nouvelle aile nommée d'après ce Trithemius.
En fait, je savais exactement quelle amie appeler.
Salut Snow, ça va ?
Snow: Ça va ! Et toi ? Comment était ton voyage à Londres ?
C'était trop bien ! Quoi de neuf ? Comment se passent les études ?
Snow: Honnêtement, je suis fatigué. J'ai vraiment hâte la fin du semestre. Je vais voir les darons pendant une semaine puis partir en vacances dans un endroit exotique et chaude aussi longtemps que possible. 
En parlant d'exotique; j’ai une question pour toi. Je me retrouve dans un mystère qui est récemment devenu obscur et je savais que tu étais la seule personne qui pouvait m'aider. Le nom Trithème, ça te dit quelque chose ?
Snow: Johannes ? Le mec qui a inventé la cryptographie et communiqué avec les esprits ? 
C’est lui. Je suis tombé sur une étrange maison d'édition qui réédite ses livres et j'ai voulu en savoir plus.
Snow: Réédite ses livres ? Bizarre, autant que je sache, aucun de ses livres n'a même été traduit. Mais je suppose qu'il y a toujours des gens qui connaissent le latin.
Dit moi un peu plus de sa cryptographie, je pensais que tu avais besoin d'un ordinateur pour ça. 
Snow: Le mec était un ordinateur. Certains des chiffres secrets étaient si compliqués qu'ils n'ont été décodés qu'il y a environ 20 ans.
Peut-être qu'on peut commencer avec des chiffres un peu moins compliqués ?
Snow: Le chiffre Ave Maria est probablement le plus drôle. Chaque lettre qu'on veut décoder a un (et parfois deux) mot latin correspondant. Par exemple, pour la lettre "E", les mots sont "dominus" et "magnus". On peut choisir entre les deux, en fait. Donc, si on veut décoder le mot "secret", le texte décrypté devient "Omnipotens dominus conditor fabricator magnus pacificus". Si on traduit ça en français, ça veut dire "Le Tout-Puissant, le Seigneur, le Faiseur, le Grand Pacificateur", une phrase qui pourrait facilement être une vraie prière latine, bien que peu créative. Son deuxième livre Polygraphie comprenait des centaines de pages de ce type d'écriture.  
Les gens ont dû penser qu'il était fou.
Snow: Oui, probablement même après son premier livre Stéganographie. 
Ah, c'est ça. Stéganographie est le livre que Mars Éditions a réédité.
Snow: Vraiment ? Pour moi c'est encore plus bizarre. Stéganographie se compose de trois parties. La dernière partie est incroyablement compliquée et contient des tableurs de données planétaires. Quelqu'un découvrait récemment que les nombres dans ces tableurs cachaient les messages secrets. Je n'arrive pas à comprendre moi-même.
Et les deux premières parties ?
Snow: Elles proposent des méthodes pour communiquer avec les esprits. En fait, les esprits spécifique ce qui Trithème mentionné par nom. Pamersiel, Padiel, Camuel, etc. Chacun régnant sur une différente partie du monde (sud, nord, etc.) et combien d'esprits subordonnés ils dirigent pendant le jour et pendant la nuit.
Quoi ? 
Snow: Oui, c'est vraiment quelque chose d'une autre planète. Chaque esprit a même son propre symbole, un sceau. Et, bien sûr, des instructions pour l'appeler.
Appeler les esprits ?
Snow: J'oubliais exactement comment, mais caché dans le livre sont des instructions pour appeler les esprits. Par exemple, si on veut convoquer l'esprit Pamersiel, on doit chanter une expression précise. Quand Pamersiel apparaît, on peut lui donner un message à transmettre à n'importe quoi. Mais, et c'est important: ce message doit être crypté avec des règles spécifiques pour cet esprit. Pour Pamersiel, on garde juste la première lettre de chaque mot. 
Si je veux transmettre le mot "secret", j'écris quelque chose comme "soudain, elle crie, ravie et triomphante"?
Snow: Exactement.
Et pour Padiel ?
Snow: C’est un peu plus compliqué. On doit prendre chaque deuxième lettre de chaque deuxième mot. Très différent que Pamersiel. Donc, si tu reçois un message, pour le décoder, tu dois savoir quel esprit l'a délivré.
Encore une fois, pour le mot "secret" avec Padiel, tu peux par exemple écrire "c'est assez, tu écartes or et argent". 
Snow: Tu es incroyablement doué pour ça. C'est correct. Une phrase un peu absurde mais aussi parfaitement Trithème-esque. Ce livre est une sorte d'annuaire téléphonique spirituel. Les gens ne savent toujours pas ce qui était le plus important pour Trithème : le spiritisme ou la cryptographie. 
Je pense que pour lui, les deux sont liés. Évidemment même l'astronomie si tu inclus le dernier partie de Stéganographie.
Snow: C'est vrai. Il a suscité l'intérêt de nombreux astronomes et mathématiciens de renom et même de linguistes, c'est ainsi que je suis tombé sur son travail. Mais je ne suis jamais allé trop loin dans le terrier du lapin.
Je pense que c'est exactement là où je vais aller maintenant.
Snow: Bonne chance. Fais attention, et dis moi si tu as besoin d'aide. 
Bien sûr ! Je te tiens au courant.
Snow: Parfait. A tout à l'heure !
Ciao !
Avec cet homme excentrique frais dans mon esprit, j'ai attrapé le livre Nuit Sans Fin et l'ai recouvert avec des yeux neufs.
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abridurif · 8 months
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Il y a un mot qui commence sérieusement à me faire rire. C’est le mot solitude. Je ne l’entends plus prononcer qu’avec gaieté. C’est un mot, si vous voulez, dont je me souviens. Parce que voilà. Quand on est jeune, je veux dire jeune par l’âge, on croit à la vie ; que la vie, les hommes, les femmes, les autres, c’est dur. C’est du dur. Et on y va bravement, sans se casser la moindre dent, en général. Mais il est bien vrai qu’on souffre. C’est agréable de souffrir, quand on quelque chose à mordre, à briser, à faire souffrir. Puis peu à peu on s’aperçoit que non, c’est faux. C’est du toc. C’est mou. La vie est molle. Les hommes, les femmes, les autres, sont mous. Dans une certaine mesure ils ont bien raison de se foutre pas mal de vous. Mais dans une autre, on n’a pas tort de s’en rendre compte et d’aller chercher ailleurs le dur, l'indestructible. Le dur, le solide, je crois qu’il ne faut pas le demander aux autres hommes. Parce qu’ils sont aussi faibles que nous. Et que deux hommes face à face, voilà une sacrée faiblesse en pleine mer poétique. La poésie ridiculise la notion de solitude. Elle sauve Beethoven de sa surdité, Van Gogh de son vertige, elle sauverait tout le monde si le beau n’était pas l’apanage dérisoire des gens qui ont besoin de pisser dans de l’or. La poésie est dans la rue, dans le ruisseau, elle est tout à fait dénuée de hiérarchie, elle ne sait pas, elle ne sait rien. Elle est le chant de notre ignorance. Elle ne connaît pas son homme, ni ses amours, ni ses idées politiques, ni ses ambitions sociales. Elle est ce qui est toujours là, dans nos jours et nos nuits difficiles, et pourquoi rêvons-nous la nuit, sinon parce qu’elle ne nous lâche pas. Je ne sais évidemment pas si Dieu est mort. Non, je ne sais pas. Mais je me sens travaillé du matin au soir, et vice versa, par ce que j’ignore et qui m’ignore, que j’essaie de récupérer, pour ne pas mourir à moitié, pour que de l’homme qui est en moi ne subsiste rien. Pour ne pas mourir à côté de moi. Georges Perros, Papiers collés II, Éditions Gallimard, 1973, p. 159-160
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nathanparisi · 12 days
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Les Jeux Paralympiques de Paris 2024 s'achèvent. La prochaine édition, ce sera en 2028.
Je dédie ce dessin à Susanne Pollatschek, la voix d'Olivia Flaversham dans Basil, détective privé (1986) qui fut son unique prestation dans un film et la directrice du marketing et du parrainage de la comité internationale olympique.
Je doit beaucoup à cette femme parce que elle a fait appel à des grandes marques, tels que Coca Cola, Samsung, Toyota, Carrefour et Décathlon en tant que partenaires des Jeux Olympiques de Paris 2024, même si je ne la connais pas, hormis sa voix dans Basil, détective privé.
J'ai voulu publié ce dessin sur X (Twitter) aux dernières minutes du dimanche 8 septembre, le jour de la cérémonie de clôture et aux premières heures, il a fait le buzz avec plus de 500 vues. Je suis surpris et content de ce résultats parce que mes dessins publiés sur X dépassent très rarement les 200 vues.
The Paris 2024 Paralympic Games are coming to an end. The next edition will be in 2028.
I dedicate this drawing to Susanne Pollatschek, the voice of Olivia Flaversham in The Great Mouse Detective (1986) which was her only performance in a film and the director of marketing and sponsorship of the International Olympic Committee.
I owe a lot to this woman because she called on big brands, such as Coca Cola, Samsung, Toyota, Carrefour and Décathlon as partners of the Paris 2024 Olympic Games, even if I don't know her, apart from her voice in The Great Mouse Detective.
I wanted to publish this drawing on X (Twitter) in the last minutes of Sunday September 8, the day of the closing ceremony and in the early hours, it created a buzz with more than 500 views. I am surprised and happy with these results because my drawings published on X very rarely exceed 200 views.
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