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#être inconditionnellement aimant
energiologue · 1 year
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PLUS TÔT VOUS RÉALISEREZ CECI, PLUS TÔT VOUS POURREZ ASCENSIONNER.
Nous allons finir par convaincre chacun d’entre vous d’abandonner la lutte, de cesser de voir le monde, ou certains éléments du monde, comme agissant contre vous. Nous finirons par vous convaincre que tout est là pour votre croissance et votre évolution spirituelles et que c’est vous qui l’avez mis en place. En d’autres termes, avec notre aide, vous finirez par lâcher prise, par vous rendre et…
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christophe76460 · 19 days
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Prêcher L’évangile
Mes frères sœurs sur Internet, nous ne sommes pas dans une église locale ou toute l’assemblée est d’un même cœur et d’une même pensée !!
Ici, nous sommes confrontés à toutes confessions chrétiennes et autres religions mondaine, et même des athées qui ne croient pas en Dieu !!
Il est donc logique que dans cet endroit les esprits s’agitent entre eux pour se contredire, preuves que l’évangile est terriblement mal comprises !
Pourquoi ?
Ils en ont fait chacun leur doctrine !
Pentecôtismes, Baptiste, réformiste, charismatique, catholique et bien d’autres
De nos jours, le véritable évangile de la grâce est de moins en moins prêché.
L’évangile doit être une bonne nouvelle !
Elle doit réjouir le cœur des hommes et donner l’envie de vivre au côté d’un dieu qui nous comprend dans nos faiblesses et qui nous pardonne. ! Afin que les hommes se rapprochent de Dieu en paix et en toutes sécurité dans sont amour inconditionnel !
Les chrétiens de plusieurs dénominations sont malades, Dieu ne répond pas, ils jeunes, ils s’humilient tous les jours et demandent pardon encore et encore pensant que Dieu ne les trouve pas assez bons pour les bénir !
Voilà le travail des enfants du Diable envoyé dans le monde chrétien et voilà leurs fruits !
L’évangile est une source de paix, de joie, d’espérance et d’amour qui marche par l’esprit, prêcher l’évangile, c’est donné la vie au mort au désespéré, leur donner de l’espoir, relever les cœurs détruits et donner de l’espérance en un Dieu qui les pardonnes pour qu’ils puissent avoir la paix et une communication avec lui sans aucune condition et dans l’amour.
Jean 7:38 ►
Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Ecriture.
Des sources d’eau vie pas des eaux salles et polluées de mort où tu dois mériter un Dieu qui est exigeant pour t’aimer !
Psaume 34:18 ►
L'Eternel est près de ceux qui ont le coeur brisé, Et il sauve ceux qui ont l'esprit dans l'abattement.
Vous comprenez qu’il est normal que sur Internet beaucoup n’aiment pas les prédicateurs de la grâce et du salut éternel en Christ !
Ici, on vous jette des Pierres , ont vous maudit, mais quand vous connaissez Dieu dans votre vie rien ne peut vous empêcher de prêcher l’amour de Dieu !
Dans la rue ou sur Internet dans les cartiers musulman et autre, j’ouvre ma bouche sans aucune crainte, je n’ai même pas peur devant la menace yeux dans les yeux, des fois même embarqués dans une voiture de police, je prêche au policier arrivé au poste, je prêche au commissariat, j’ai l’esprit en moi qui me donne le feu et rien ne peut m’arrêter, je connais mon identité et je connais ma mission !
J’aime Internet, car ici, je trouve la possibilité de parler au monde de Jésus.
Je n’aime pas trop prêcher dans les églises, car la plupart sont corrompues par le mérite !
Je vous aime prêcher l’amour et l’espérance !
Un enfant de Dieu 👇👇
Psaume 147:3 ►
Il guérit ceux qui ont le coeur brisé, Et il panse leurs blessures.
La mission de jésus est la nôtre !
Luc 4:18 ►
L'Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu'il m'a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres; Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, Pour proclamer aux captifs la délivrance, Et aux aveugles le recouvrement de la vue, Pour renvoyer libres les opprimés,
Luc 6:38 ►
Donnez, et il vous sera donné: on versera dans votre sein une bonne mesure, serrée, secouée et qui déborde; car on vous mesurera avec la mesure dont vous vous serez servis.
Dieu est avec toi marche avance fait du bien aux autres, aimants sans juger les autres, mais en les aimants comme il t'a aimé.
Eddy L’évangéliste
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suchi05 · 6 months
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PODnow® — Livre PODnow: une Formule pour l’Abondance
Solutions pratiques pour passer simplement et rapidement des réactions de survie à l’état d’esprit PODnow®
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PODnow: une formule pour l’abondance ou comment retourner une adversité en opportunité
Pause, Observe… et Décide maintenant de te respecter à 100%, de respecter à 100% la rencontre avec chaque être et de ne rien attendre en retour ! Le monde devient de plus en plus complexe, incertain et ambigu. Nos mécanismes de survie sont activés et se traduisent par des comportements de fuite, d’agression, d’abus, de soumission et de déresponsabilisation. Pourtant, nous voulons être heureux, aimant et en paix. PODnow est un état d’esprit qui facilite l’abondance, l’innovation, l’agilité, le détachement, la liberté, la conscience, la connexion, le pardon, la gratitude, la compassion et l’amour inconditionnel. Ce livre propose des solutions pratiques pour passer simplement et rapidement des réactions de survie à l’état d’esprit PODnow.
Read more: https://www.podnow.org/produit/livre-podnow-une-formule-pour-labondance/
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DIMANCHE 26 NOVEMBRE 2023 (Billet 3/3)
« RIEN A PERDRE » (1h52)
Un film de Delphine Deloget, avec Virginie Efira, Félix Lefebvre, Anne Steffens, Jean-Luc Vincent, Mathieu Demy, Andréa Brusque, Arieh Worthalter, India Hair…
Présenté en sélection officielle « Un Certain Regard » au dernier Festival de Cannes.
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Nous avons lu avant d’aller voir ce film, et après… toutes les critiques parues à son sujet et celle que nous avons sélectionnée (voir ci-dessous) nous a paru la plus pertinente par rapport à ce que nous avons ressenti : 1) tout au long du film 2) à travers les premiers mots que nous avons échangés après le générique de fin et 3) après quelques jours de réflexion.
Peut-être juste souligner quelques détails…
Nous pensions que nous allions être surtout émus lors des scènes entre l’enfant le plus jeune et sa maman mais ces scènes sont finalement peu nombreuses et très pudiques. Non, c’est, tout au long du film, la maman qui nous a émus. Et la maman, c’est Virginie Efira, elle y est tellement vraie, de la première à la dernière image, et tellement poignante !
Jean-Jacques, le grand frère, est un très grand jeune acteur. Il est censé avoir 15-16 ans dans l’histoire. On y croit, on ne se pose même pas la question, or il en a 24 ! Quand il a su qu’il avait été choisi par la metteuse en scène pour jouer un ado un peu boulimique, il a pris 20 kilos pour être « raccord » avec le rôle. Pas mal, non ? Nous ne savons pas si c’est son personnage dans le film qui le rend si touchant ou si c’est lui, Félix Lefebvre, qui l’est au naturel… Qu’importe, il mérite largement d’être cité en second sur l’affiche et le générique du film. Bien sûr, tous les acteurs sont très bons mais Félix nous a épatés dans la sobriété et la justesse de son jeu.
Nous avons aussi beaucoup apprécié la mesure dans le développement de l’intrigue. Aucun manichéisme… ou si peu.
Et, pour finir, ENFIN un film sur des « pauvres » qui ne se passe pas dans une banlieue ! Et oui, c’est incroyable, ça va surprendre beaucoup de gens (surtout à gauche !), il y a aussi des « pauvres » qui vivent dans des petites villes de province… et qui sont « blancs » ! On n’en voit pas souvent dans notre production nationale.
Nous avons au début donné ❤️❤️❤️,5 à ce film mais, avec un peu de recul, au moment d’écrire quelques jours plus tard ce Billet, nous avons décidé de lui donner ❤️❤️❤️,8 sur 5.
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Résumé : Sylvie vit à Brest avec ses deux enfants, Sofiane et Jean-Jacques. Ensemble, ils forment une famille soudée. Une nuit, Sofiane se blesse alors qu’il est seul dans l’appartement et sa mère au travail. Un signalement est fait et Sofiane est placé en foyer. Armée d’une avocate, de ses frères et de l’amour de ses enfants, Sylvie est confiante, persuadée d’être plus forte que la machine administrative et judiciaire…
Critique : Les débats sur la maltraitance et l’Aide Sociale à l’Enfance sont de plus en plus nombreux dans le paysage médiatique français du moment. Et pour cause. Les dysfonctionnements, le manque de moyens, les abus de pouvoir de certains professionnels sur les familles, nourrissent les scandales au sein d’un secteur social en plein tourment. « Rien à perdre » est l’histoire d’une erreur judiciaire, du moins une brillante démonstration que l’éthique, le respect inconditionnel des familles et des enfants placés peuvent parfois faillir devant la machine administrative et judiciaire de l’Aide Sociale à l’Enfance.
Néanmoins, il faut rester prudent devant de telles affirmations, et c’est toute la qualité de Delphine Deloget qui brouille les pistes et complexifie la réalité de cette famille confrontée à la séparation.
« Rien à perdre » trouve toute sa force dans l’interprétation magistrale de Virginie Efira. La comédienne est capable de tous les rôles et elle démontre une nouvelle fois son incroyable talent à se fondre dans des personnages multiples. Car cette mère, Sylvie, est complexe. D’apparence aimante, impliquée dans l’éducation de ses deux enfants, elle donne à voir rapidement des zones d’ombre, qui finissent par semer le trouble et donner raison aux travailleurs sociaux qui suivent la famille. On reconnaît dans cette capacité à raconter des histoires ancrées dans le réel, l’expertise du regard de la documentariste qu’a été Delphine Deloget. La réalisatrice déroule tous les points de vue autour de la question de l’Aide Sociale à l’Enfance. Elle ne dénonce par frontalement les dysfonctionnements éventuels, mais nourrit le débat d’une administration parfois peu soucieuse du droit des parents, mais réellement préoccupée des besoins des enfants.
Des voix critiques vont dénoncer le risque mélodramatique d’un tel récit. Mais la réalisatrice échappe aux poncifs larmoyants en mêlant dans sa narration une série de personnages originaux, attachants et hors norme. L’humour n’est jamais loin non plus, même si peu à peu, au fur et à mesure du récit, le drame l’emporte sur le rire. Le film dresse un magnifique portrait d’une famille monoparentale, confrontée à l’adolescence et aux troubles de comportement du plus jeune enfant. Il y a beaucoup d’amour dans cette cellule familiale. On est loin de la vision noire d’un certain Ken Loach devant un pareil sujet. Delphine Deloget parvient à mettre en scène un film qui apporte beaucoup d’espoir en l’humanité, malgré le drame que subit la famille. « Rien à perdre » est un morceau de cinéma où le spectateur aura plaisir à glisser une larme et à espérer avec cette mère formidable.
(Source : « avoir-alire.com »)
PS Ne manquez pas la bande-annonce ci-dessous :
youtube
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omagazineparis · 1 year
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L'importance de la supervision parentale : un regard critique sur les incidents récents
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Dans une société en perpétuelle mutation, la supervision parentale reste un pilier fondamental pour garantir la sécurité et le bien-être des enfants. Récemment, un événement troublant a mis en lumière l'importance cruciale de la responsabilité parentale. Le 11 octobre 2023, à Nîmes, une jeune femme de 19 ans a laissé son enfant de deux ans sans surveillance pour profiter d'une soirée en ville, une négligence qui aurait pu avoir des conséquences tragiques. Un réveil brutal : le scénario à Nîmes Mercredi soir, une ambiance festive régnait dans les rues de Nîmes. Toutefois, la soirée a pris une tournure alarmante lorsqu'un bambin de deux ans a été retrouvé nu, errant dans la cour de son immeuble. L'absence de surveillance parentale a conduit à une intervention rapide de la police, qui a récupéré l'enfant et a dû assumer un rôle de gardien temporaire jusqu'à l'arrivée de la mère. Les répercussions d'un manque de surveillance Ce cas n'est pas isolé et souligne l'impératif d'une surveillance attentive. Les parents doivent comprendre que les sorties nocturnes sans arrangements préalables pour la garde des enfants peuvent mener à des situations dangereuses. Ce n'est pas la première fois que de tels incidents se produisent. Un cas similaire a été signalé en Espagne où un couple, après une soirée arrosée, avait laissé leur bébé sur le palier de leur immeuble. La responsabilité parentale : un engagement indispensable La responsabilité parentale va bien au-delà des besoins élémentaires de nourriture, d'abri et de vêtements. Elle englobe la sécurité, l'éducation et l'amour inconditionnel. Un manquement dans l'un de ces domaines peut avoir des conséquences durables sur le bien-être de l'enfant. Négligence infantile La négligence infantile est une forme de maltraitance qui peut avoir des conséquences graves sur la santé physique et le bien-être psychologique des enfants concernés. Elle se manifeste souvent à travers l'absence de soins adéquats, comme une hygiène insuffisante, une alimentation inadéquate ou des vêtements inappropriés pour la météo. La négligence peut également prendre la forme d'un manque de supervision ou d'un manque d'attention aux besoins émotionnels de l'enfant. Les facteurs sociaux et économiques, tels que l'instabilité résidentielle, peuvent souvent contribuer à la négligence et à la maltraitance chroniques. Dans certains cas, la négligence parentale peut être le résultat d'un manque de connaissances ou de ressources plutôt que d'un désintérêt volontaire. Les enfants qui sont négligés peuvent s'adapter au manque de soins en se taisant, ce qui peut rendre la détection de la négligence plus difficile pour les observateurs extérieurs L'appel à la conscience collective Il est impératif de rappeler et de renforcer l'importance de la supervision parentale dans la société. Les parents, la famille élargie, les amis et la communauté en général ont un rôle à jouer pour s'assurer que les enfants grandissent dans un environnement sûr et aimant. Il est de notre devoir collectif de protéger les plus vulnérables parmi nous et de veiller à ce que des incidents comme celui de Nîmes ne se reproduisent plus. L'incident de Nîmes doit servir de leçon à tous, illustrant que la négligence parentale, même momentanée, peut entraîner des situations effrayantes et dangereuses. En cultivant une conscience collective et en soutenant les parents dans leur rôle, nous pouvons œuvrer pour un futur plus sûr pour nos enfants. Read the full article
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journaldaline · 1 year
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Y a t il plus bouleversante émotion que l’Amour ?
Ce mot, ce sentiment, intergénérationnel, parfois beau, parfois moche, douloureux, puissant, magique, débilitant, interdit, inconditionnel, désarmant… A quel mot peut on associer autant de qualitficatifs ? Et bien que l’amour ait de nombreuses significations, parce qu’il peut être amical, fraternel, ou encore maternel, je parle ici surtout de l’amour amoureux.
Cet amour là est sûrement le plus difficile à apprivoiser. J’ai du mal à parfois cerner les raisons de mon amour pour une personne en particulier. J’ignore la part de moi qui regarde les qualités d’un individu et l’autre part, chimique, qui me semble irrationnelle. Ne serait-ce pas nos sens, que nous bridons dans notre monde moderne, qui nous pousseraient vers quelqu’un, tel un aimant. Deux amants aimantés, qui cherchent inlassablement à garder une flamme dansante entre eux. L’amour brûle à ses débuts, pour créer avec le temps, lentement, une atmosphère tendre et douce, un cocon dans lequel on doit pouvoir se réfugier. Parfois, le feu perd de sa puissance, pour ne laisser ensuite que les braises d’une histoire riche, heureuse et douloureuse, comme la vie.
Il n’y a pas de règles, pas de clé, ni de dictionnaire de l’amour. Il n’y pas non plus d’assurance, de certitudes, d’exactitudes. Il existe mille langages de l’amour, de façons d’exprimer et démontrer son attachement unique et exclusif a l’élu de son cœur. Verbal, muté, timide, démonstratif, pudique, exprimé, électrique, passionnel, il est là, à la portée de tous, ce sentiment auquel nous n’échapperons jamais.
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beatlesonline-blog · 2 years
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nofraildoll · 2 years
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Jinx’s Night Routine ☾
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FanArt by || IralVORY ||
Imaginez un instant, Jinx, ayant des troubles, a besoin de repères pour se sentir en sécurité, dans une sorte de zone de confort. Elle la trouve auprès de Silco et Silco a bien compris que s’il n’y avait pas cette routine rassurante pour Jinx, elle n’était pas bien — plus agressive, plus déprimée, plus renfermée...
Alors un rituel s’est naturellement mis en place au fil des années : tous les soirs, ils se retrouvent seuls tous les deux dans le bureau de Silco pour discuter. Son arrivée marque le moment pour lui d’arrêter de travailler et de décompresser, de penser à autre chose — sinon il aurait déjà fait vingt-quatre burnout. Il est également rassuré de la voir puisqu’il ne sait quasiment jamais où elle est, ni ce qu’elle fait, ni avec qui, alors il a toujours cette appréhension que quelque chose lui arrive, celle que tout père aimant a envers sa fille adorée.
Quant à Jinx, c’est le moment où elle a toute son attention et Dieu sait qu’elle aime lui parler de ses projets, de leurs avancées, l’entendre dire qu’il est fier d’elle quand elle réussit et l’encourager quand elle échoue. Il est son soutien perpétuel, sa raison d’être. La mort de ses parents, celle de Vander et l’abandon de sa sœur ont déclenché en elle un besoin constant d’affection. Il faut qu’elle se sente aimer à tout prix et elle a trouvé cet amour inconditionnel auprès de Silco.
Il lui apprend des leçons de la vie, répond à ses questions, lui raconte des détails anodins de son enfance. 
Jinx, ne sachant pas tenir 2 minutes sans bouger, change constamment de place, se contorsionne dans des positions parfois étranges — Silco la réprimande lorsqu’elle se balance sur sa chaise ou qu’elle met sa tête en bas sur le canapé — puis finalement au bout d’une heure de papotage, elle finit par être fatiguée et a besoin de son câlin du soir. Elle s’étale sur Silco qui n’a pas bougé de sa place tout le long, il la prend dans ses bras et tout deux restent silencieux quelques instants, profitant simplement de ce moment précieux.
Il arrive par moment que Jinx s’endorme sur lui. Sinon, ils reprennent leurs occupations, Silco dans ses affaires, Jinx dans son laboratoire.
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elle-mood · 3 years
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La louve a cette habitude de s’enrouler autour du cou de son loup car le cou est chez l’animal la partie la plus vulnérable.
Agissant ainsi elle lui montre alors son amour inconditionnel.
Pour les éthologues : les loups sont les animaux les plus fidèles et les plus aimants : ils n’ont qu’un seul et même partenaire tout au long de leur vie. Le loup est réputé pour être d’une tendresse et d’une affection presque hors norme envers sa louve... qui elle, sait parfaitement le lui rendre.
Honorine Ortiz via Facebook
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Moi face à moi
Je suis Estelle, j’ai 57 ans, je n’ai pas d’enfants. Je vais me livrer sans fard, avec honnêteté, pour partager ce qui va certainement bouleverser complètement ma vie. C’est avec le plus d’humour possible que je veux écrire ce blog.
Je n’ai pas toujours pris bien soin de moi, cependant depuis la dépression qui m’a mené à mon invalidité je fais attention à moi, depuis 14 ans je ne fume plus, je bois peu, bien qu’en surpoids je fais de l’exercice régulièrement. Piscine Kiné 2 fois par semaine depuis au moins 10 ans, marche régulière, j’ai fait un peu de rando avant les confinements, je reprendrais plus tard. Je travaille mes abdo chez moi avec un appareil que j’adore. J’espère avoir pour Noël mon disque de torsion qui va m’éclater. Pour résumé, je suis une inconditionnelle du sport à la télé, mais je ne pratique pas de ouf sans pour autant ne rien faire.
Mon mode de vie est normal, mon alimentation n’est pas forcément des plus équilibré, mais comment peut-on avoir une alimentation équilibré en dépendant en majeur partie de la distribution des resto du coeur. Oui ma situation est à ce point difficile, que ma pension d’invalidité ne suffit pas pour vivre correctement et j’ai besoin de cette aide pour survivre. En dessous du seuil de pauvreté, il n’est pas facile pour une personne seule de réussir à survivre, mais je suis débrouillarde et inventive. Comme je dis toujours “Quand on est pauvre, il faut être malin”. J’ai toujours des bons plan comme l’application GEEV qui est merveilleuse, l’application M... pour avoir des points gratuits et bénéficier des cadeaux sympa, Emmaüs et recycleries sont des mines d’or pour moi. La solidarité et la gentillesse de mes amis me permettent d’avoir des objet hight-tech ce qui fait que je ne suis pas déconnectée (dans tous les sens du terme).
Je vis seule sans un humain sentimentalement dans ma vie, mais avec Opus Caligula Sémiramis, mon chat noir. J’ai la chance d’avoir une famille et des amis, des personnes stables et aimantes dans mon entourage. Je pense que je ne vais pas vivre seule cette épreuve si le verdict lundi 8 novembre 2021 est  : Un cancer du sein.
J’ai déjà eu la trouille en attendant des diagnostic d’examens, mais jamais autant que ce que je vis depuis mardi dernier. Je suis dans l’angoisse, dans la terreur même, et pour une chose futile. Ce n’est pas la douleur qui me terrifie, ce n’est pas les épreuves des traitements. J’étais ambulancière, d’abord sur Lyon ma ville et sur Bordeaux ensuite là ou j’habite maintenant. Des cas j’en ai vu, des patients en chimio, radio, j’en ai transporté des tas, je connais les effets secondaires. La seule chose qui me terrifie, c’est de perde mes cheveux. J’ai une belle chevelure longue, mes cheveux descendent  jusqu’au dessous de mes fesses, je suis brune. J’adore mes cheveux long et c’est une angoisse de penser que je pourrais les perdre.
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Il était 13h quand je suis sortie du cabinet de radiologie, et j’ai foncé au KFC pour la promo du mardi : 11 tenders + 3 sauces pour 6,95 euros. C’est un des rare plaisir que je m’offre, mais il m’est presque impossible de résister aux Tenders KFC le mardi (j’avoue humblement que je prends mes rendez-vous médicaux sur bordeaux les mardis de préférence, ou tout autre rendez-vous pour passer au KFC après). Après je suis rentrée chez moi, j’ai pleuré. Depuis j’espace les moments de résignation et de pleure. Je ne dors presque pas. J’ai déjà établit le scenario catastrophe, opération, radiothérapie, chimiothérapie ect...
Aujourd’hui 5 novembre 2021, j’ai vu mon médecin traitant qui fait parti de mon cercle d’ami. Nous avons fait le point sur ce qu’il fallait faire si le résultat n’était pas bon. Je sais un peu où je vais, une chose est rassurante c’est qu’il n’y aura pas de mammectomie, la masse est placé en-dessous du sein, c’est pris au tout début, toutes les chances sont de mon côté en cas d’opération.
Le week-end commence, certainement le week-end le plus stressant depuis 57 ans.
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feluz9 · 4 years
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Il était une fois...
Il était une fois une petite princesse née dans le plus beau et le plus riche de tous les royaumes, le royaume de l’Amour. La beauté de ce royaume était d’une splendeur telle, sa lumière était si pure et resplendissante que l’on voyait là le signe d’une origine autre que l’origine terrestre. Oui, le royaume de l’Amour n’appartient pas à la terre, mais au plus haut, au plus élevé de tous les cieux. La petite princesse était donc d’origine céleste, née de Dieu. L’Amour étant ses parents, elle était elle-même la plus pure figure de l’Amour. Dès sa naissance, Dieu lui a dit : “Va, ma fille divine, descends sur terre et parfume les cœurs humains de ton innocence, enveloppe les âmes de ta bonté et réchauffe-les de la chaleur de ta lumière. Parsème, partout où tu passeras, les pétales de ton amour pour embellir ce monde ; ensemence la terre du ciel de ta présence.” La petite princesse a obéi à Dieu et est venue sur terre ; elle a laissé visible à tous le rayonnement de ses yeux purs mais a caché ses blanches ailes d’ange. Sa vraie identité, Dieu et elle seule pouvaient la connaître — mais les cœurs emplis de bonté, les seuls capables de percevoir les choses divines dans les choses humaines, ces cœurs limpides qu’elle croiserait sur sa route auraient peut-être une chance de soupçonner son origine.
La petite princesse est donc devenue une petite fille humaine, tout en restant divine. Sa plus grande et unique joie était de faire don de son amour, et elle le faisait sans limites. Née pour aimer, son cœur était toujours ouvert, toujours rempli, toujours débordant ; elle le partageait avec le monde sans rien demander en retour. Car le vrai don, celui qui vient d’un cœur imprégné de ciel, est toujours inconditionnel. 
Elle ne donnait aucune importance aux richesses de ce monde : l’argent, les biens matériels, le pouvoir, la gloire, la carrière, la réussite, la reconnaissance, elle refusait fermement toutes ces fausses et vaines satisfactions. Ces appâts n’avaient aucun pouvoir sur son intégrité et sa loyauté, qui étaient inébranlables. Elle ne désirait qu’aider ; son bonheur était de voir le monde heureux, de voir y régner la paix, l’harmonie, la justice, la beauté, le respect, la liberté ; sa seule joie était de servir le monde dans l’amour. Elle aimait les choses simples car elle savait que la beauté et la vérité ne se trouvent que dans la simplicité de l’authentique. 
La petite princesse aimait la terre de tout son cœur ; elle se sentait toujours émerveillée et émue devant le spectacle somptueux de la Nature ; elle cultivait dans son âme une gratitude infinie envers cette planète qui l’accueillait dans son sein avec un amour et une générosité sans mesure. Elle vouait à la terre et à tous les êtres vivants qu’y habitaient son plus profond respect et elle pleurait beaucoup devant la méchanceté qu’on infligeait aux animaux, devant l’impitoyable froideur avec laquelle ont détruisait les forêts, devant l’indifférence avec laquelle on polluait l’air et les océans, enfin, sa peine était très profonde en présence de tant d’ignorance, tant de cruauté. Elle pleurait de tristesse car elle savait que, la Vie étant sacrée, on doit l’honorer, la préserver, la chérir.
La liberté était pour la petite princesse le plus sublime, le plus grandiose trésor parce qu’elle connaissait sa grandeur et son origine divine, elle était consciente que la Vie dans sa plénitude, que Dieu et l’Amour ne peuvent se manifester que dans la liberté absolue. Elle aimait regarder les oiseaux voler, libres, dans le vaste ciel et cette puissante respiration de liberté la touchait au plus profond de son âme ; car étant céleste, étant l'amour, elle était elle-même la liberté ; elle connaissait donc très bien sa saveur et sa magnificence. C’est pour cela qu’elle la défendait avec toutes ses forces ; pour sauvegarder l’essence sublime de la Liberté la petite princesse n’hésitait pas à laisser de côté sa robe étoilée pour prendre son armure et son épée, et de princesse elle devenait guerrière pour affronter les forces obscures qui voulaient asservir, subjuguer et enchaîner la Sainte Liberté. Son épée était la plus puissante et toujours invincible : la Vérité.
La petite princesse se sentait seule dans ce monde ; elle regardait autour d’elle et ne se sentait pas à sa place, le décalage entre son cœur qui vibrait le divin et ce monde qui vibrait le plus bas matérialisme, était immense. Les gens n’acceptaient pas cet amour infini qu’elle donnait, ils résistaient, l’ignoraient, parfois le méprisaient, d’autres fois ils doutaient ou même abusaient de sa générosité. Dans des moments de grande solitude elle se demandait qu’est-ce qu’elle faisait encore là dans ce monde si sombre et si vide de nobles valeurs ; et quand la tristesse était trop profonde, elle levait les yeux au ciel et demandait à Dieu quand elle pourrait rentrer à sa maison céleste. Dieu alors la prenait dans ses bras aimants, l’enlaçait avec la plus grande tendresse et lui disait : “Mon ange, ne sois pas triste car si les humains n’accueillent pas ton amour, qui est mon amour vibrant en toi, la terre, elle, le reçoit comme le plus précieux des cadeaux, elle s’en imprègne et s’illumine de ton don. Continue à marcher et à embaumer le monde de ton amour, à l’adoucir de ton innocence, à l’éclairer de ta lumière. Tu as été créée pour être l’Amour et tu es née pour le personnifier. Tu te donnes au monde à partir de moi, alors quand tu aimes, c’est moi qui aime à travers toi. Le monde a besoin d’amour et de beauté, le monde a donc besoin de ta présence.”
Écoutant ces divines paroles, l’âme de la petite princesse se sentait réconfortée, elle savait qu’elle n’était pas seule, que Dieu l’Éternel l’habitait, l’accompagnait et la couvrait de son amour infini ; elle vivait en totale communion avec la Vie, la Terre et l’Univers, et son être tout entier palpitait la sainteté du Sacré.
La petite princesse continuait à marcher sur cette terre offrant son cœur au monde et aimant sans conditions ; à chaque pas qu’elle faisait, elle laissait derrière elle les empreintes du Ciel mêlées à des plumes blanches qui tombaient silencieusement de ses ailes d’ange… en attendant le jour où elle s’envolerait avec les oiseaux, pour retourner dans son Pays Natal...
La Vie est offrande infinie et perpétuelle d’Amour.
Fernanda
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christophe76460 · 2 months
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Je vous aime de l'amour de Yeshua HaMashiah ❤⚘️
Les chrétien(ne)s ont peur d'aimer leur prochain. Parce qu'ils attende de l'amour en retour.
Nous avons été créé pour aimer et être aimé. En aimant les autres nous aimons Yahwhe, car c'est un de ses commandements. Si les autres ne veulent pas vous témoignez de l'amour, c'est leur problème, vous continuez à les aimer, sans attendre rien en retour, car si vous agissez ainsi, ils verront Christ en vous, car ils verront que vous êtes ses disciples.
L'amour et le sentiment le plus élevé que nous pouvons avoir, et il nous a été donner par Yahwhe.
Si il y avait dans chaque être humain cette amour, il n'y aurait plus de guerres, ni famine, ni pauvreté.
Alors aimons car nous avons été aimés les premiers. Aimons car ce don est donné gratuitement. N'ayons pas "peur" de l'amour. Moi je choisi l'amour " Agape", qui représente l'amour de Yeshua HaMashiah pour nous, c'est a dire un amour inconditionnel.
En Christ pour toujours ❤⚘️
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Extrait du livre : « Les Rouages de l’Indivisible »…
L’imaginaire.
  -Drôle de songe, rêve éveillé, ou troublante perception, ce témoignage d’un voyage intérieur ne présente aucune explication rationnelle. Telle une pensée vagabonde, cette utopie se dévoile pas à pas, par le truchement d’une fiction dont voici le dérouler.
Il y a d’abord ce long couloir, sombre, angoissant, aux murs couverts de symboles mystiques, d’écrits en tous genres et d’images effrayantes. Je le parcours lentement, juste éclairé par quelques flambeaux, tout en observant avec angoisse ce qui s’étale sur les parois. J’y vois mes peurs transcrites, des dessins sur certains passages de ma vie, des mots placés çà et là, des fragments d’histoires intimes, et des textes aux sens ambigus.
Puis, après ce dédale incongru, quelques marches d’escalier m’entraînent plus bas, vers une sombre pièce. Sans attendre, à peine le pied posé sur le sol, surgit brusquement un énorme serpent bleu. Il se dresse face à moi, me toise de toute sa prétention, et m’oblige à reculer, afin que je renonce d’aller plus loin.
Il s’annonce comme le gardien des lieux, le protecteur de l’ordre et des conventions, et l’ego qui m’a conçu.
Cette dernière affirmation me révolte intérieurement, c’est une véritable gifle, une révélation.
Depuis si longtemps, ce qui me maintient dans un mal-être permanent, n’est rien d’autre que l’invention d’un ego tyrannique qui me retient dans la geôle qu’il a construite.
Cet usurpateur, sous prétexte de me protéger, m’ôte ma liberté, et se considère comme le maître de ma destinée.
Bien décidé à mettre fin à cette dictature, je saisis l’animal à la gorge et je serre de toutes mes forces. Il se débat, et tente de me traîner dans sa tanière, au plus profond de mes peurs.
Je résiste, je m’accroche et ne lâche pas ma prise. La lutte contre cette erreur d’appréciation de ma nature, contre cette construction mentale qui fait de moi son esclave, se prolonge, dure, encore et encore, pour en finalité stopper soudainement. En un clin d’œil plus de serpent, plus de monstres ni de symboles couvrant les murs, plus d’obscurité, mais une douce lumière. Le calme revenu, il m’est alors possible de distinguer au fond de ce corridor une porte épaisse. À proximité, posée sur une table, une clé semble attendre d’être utilisée, je la saisis, l’engage dans la serrure et tourne l’objet avec facilité. La porte s’ouvre bruyamment vers l’inconnu, la clarté du jour envahit la pièce, et je me trouve face à un désert de sable fin balayé par le vent léger.
Je fais un pas, j’entre dans cet espace surréaliste, et me laisse emporter par les parfums qui me viennent.
La chaleur des rayons solaires me brûlant la peau, je porte mon regard aux alentours, à la recherche d’un peu d’ombrage. Non loin de là, quelques roches me proposent leurs protections, doucement je me glisse près d’elles.
Assis, tranquille et serein, j’observe ce monde. Aussi loin que ne porte mon regard, il y a des dunes, rien d’autre, cela apparaît à la fois comme une œuvre inachevée, tout en évoquant un monde mourant.
C’est alors que doucement, venant, je ne sais d’où, le murmure se fît entendre. Portée par le vent, cette voix aimante, accompagnée de visions floutées, envahit ma perception, et le déroulement de l’histoire qui a bouleversé ces lieux m’apparaît.
 « Ils sont nombreux et obéissent à cette exigence primitive qui tend à maintenir, coûte que coûte, la survie d’une espèce. Ils se construisent une identité depuis cette nécessité, convaincus qu’elle représente la seule orientation possible. La peur du monde qui les entoure, les superstitions qui en découlent, la sécurité apparente qu’offre la tribu, l’obligation de la reproduction et la quête de nourriture sont leurs préoccupations majeures. Ils  apprennent peu à peu à comprendre la nature, découvrent le feu, utilisent les plantes pour leurs vertus, et lèvent les yeux vers le ciel.
Dès lors, ils pensent autrement, et s’inclinent devant l’immensité du firmament. Leur curiosité, attisée par ces visions, les conduit à oser entreprendre, imaginer, et évoluer. Ils domptent leurs peurs ancestrales en les enfouissant au fond des grottes obscures à coup de rituels, et de cérémonies à la gloire des dieux protecteurs. Ils apprennent à modifier leur mode de fonctionnement à l’aide d’incantation magique, de prières et d’utilisation de drogues. Leur monde change d’apparence à leurs yeux, ils n’en sont plus esclaves, ils s’en considèrent les maîtres.
Ils s’inventent des religions pour justifier leur supériorité face à l’ensemble des espèces partageant la même planète.
Ils manipulent la matière, la décortiquent et la forcent à se plier à leurs désirs. Ils font de même avec le vivant, commettant des horreurs au nom de la science, et ils chargent leur ego de croyances plus excessives les unes que les autres.
Tout ceci les conduit à l’insatisfaction, à vouloir plus, toujours plus, à s’entre-tuer parfois, en oubliant le temps où la tribu les protégeait.
L’individualisme et l’esprit de supériorité les élèvent les uns contre les autres, la manipulation et la recherche du pouvoir deviennent les moteurs de leur existence, et ils s’enfoncent peu à peu dans une obscure destinée. »
 -Je me suis alors posé la question, mais que s’est-il donc passé ?...  Aussitôt, la réponse se fit murmure, et une sorte de dialogue prit place.
  « Ils avaient tout pour réussir, et ils avaient un monde naissant empli de richesses. Il suffisait qu’ils s’associent au mouvement naturel des éléments pour en comprendre toute la beauté et la perfection. Il suffisait de ce peu de choses pour que tout soit différent.
Au lieu de combattre pour imposer au monde leur vision, et forcer les éléments à se plier à leurs exigences, ils avaient juste à écouter le monde, accompagner l’ordre naturel du mouvement, et encourager la nature à atteindre la perfection. »
  -D’accord pour ces belles paroles, mais en fait que devaient-ils réellement faire ?
  « Constater que, quoi qu’ils fassent, et que, quoi qu’il se passe, les choses se font et s’harmonisent en un mouvement perpétuel, partant d’une dissociation, pour un retour à l’unité.
C’est toujours parfaitement ajusté, une situation désordonnée en apparence se modifie d’elle-même selon son rythme, pour finalement s’harmoniser en une réalité parfaite, puis se défaire selon la nécessité de l’instant, pour laisser place au nouveau.
Tout ce qui est nécessaire est donné au moment pour atteindre la perfection, rien ne manque.
Il suffit d’accompagner cette vitalité de la manifestation en répondant au mieux à ce qui est demandé, pour ressentir toute la beauté offerte.
Ensuite, comprendre qu’en fait ce mouvement vital correspond dans les moindres détails, à ce que l’individualité faisant l’expérience de l’instant réclame depuis son silence intérieur.
La nature n’improvise pas, elle joue la mélodie du cœur, c'est-à-dire la musique de l’état émotionnel profond du sujet.
Pour chaque moment, il en est ainsi, le jeu des pensées, des désirs, des peurs, et des émotions, se cristallise en une structure émotionnelle, que la nature prend pour modèle de manifestation.
Par cette valeur de « compréhension » du rouage de la manifestation, apparaissent, au-delà des apparences, les motivations, les causes et la perfection de l’expérience.
Tout y est, rien ne manque.
Cette « intelligence » voit les objectifs au-delà des événements, en un mouvement codifiant toutes les nuances. Cette intelligence sait que le plus noble, et unique choix est offert dans l’instant, par le sentiment de pleine confiance qui ouvre sur le meilleur.
Il est important de s‘accorder à respecter ce qui est réclamé comme expérience, aussi bien pour le sujet concerné que pour tous les sujets partageant le même monde.
Il est important de s’ouvrir à la valeur de « respect », en tant qu’accueil inconditionnel.
Le respect que l’on s’accorde, le respect pour ses valeurs, pour la vie et pour tout ce qu’elle offre.
Le respect de l’autre, de ses différences, de ses propres valeurs et de ce qu’il reçoit comme expérience.
Un respect sans arrogance, unificateur et aimant, pour un « sentiment de Paix ».
Ceci permet d’être libre, détaché de tous concepts et de toutes croyances limitantes, pour  s’accorder au « sentiment profond d’Être-Soi ».
Pouvoir exprimer la « Liberté de se sentir Uni à la source » à cette nature qui permet « ce qui est », honorer cette Union, en écoutant son intuition et en suivant le chemin du cœur.
Ce sentiment de Liberté offre le véritable libre arbitre, du seul choix possible, celui de s’offrir en confiance au mouvement de la Vie.
Ainsi s’impose en fonction de la nuance vibratoire émotionnelle du sujet, l’engagement dans le mouvement vital.    
C’est la transmutation du moment, l’instant de l’immédiat, l’instant du « présent » consacré.
Cet acte posé, selon les valeurs universelles, offre à la liberté d’être, la compréhension que le meilleur est présenté à chaque moment.   Dès lors, une harmonieuse expérience prend forme et engage le sujet sur le chemin du bonheur. »
 -À première vue, cela semble évident, et relativement accessible, pourtant ils ne l’ont pas fait ! Pourquoi ?
 « Pour répondre à la nécessité du moment ! La création ne consiste pas uniquement à présenter des sujets pris dans un flux expérimental, cette création répond à l’exigence d’une finalité.
S’ouvrir à la capacité de manifester le vivant, de lui permettre d’exprimer toutes les nuances possibles, d’expérimenter le meilleur comme le pire afin d’harmoniser ce tout, dans la seule intention de  récolter un monde parfait.
La perfection n’a rien de statique, la perfection est ici le mouvement de l’impermanence qui permet par la connaissance de tous les possibles de construire depuis un désordre, une harmonieuse et heureuse expérience.
Ceci s’entend par l’évocation de moments éphémères, aboutissant inexorablement à l’unification amoureuse.
Donc, pour répondre à cette nécessité, l’humanité naissante doit s’approprier les connaissances nécessaires avant de pouvoir comprendre ces principes.
Contrairement au savoir qui se veut une approche purement intellectuelle d’un thème, la connaissance se gagne par l’expérience.
Il faut des siècles avant que quelques sujets s’ouvrent  à une autre vision du monde, et il faut des millénaires pour qu’enfin le but soit atteint. »
  -Me voici seul face à cette immensité, un peu perdu dans mes pensées et me demandant où sont passés tous ces gens. Ont-ils réussi, ont-ils échoué ?    
 « Il y a beaucoup d’échecs, ils recommenceront, encore et encore, dans une autre dimension, une autre vie, pour après bien des errances, s’accorder au mouvement vital.
Ici c’est ton monde, et il n’y a que toi, va à la rencontre de ton désert intérieur, va au-delà de ces dunes, vers les jardins luxuriants, va, avance, et ne te retourne pas.
À chaque fois qu’une personne  s’accorde à la compréhension de ce que nous évoquons ici, à chaque fois, elle s’engage au-delà des dunes pour retrouver son oasis.
Va à présent, prend le chemin qui s’ouvre à toi ».
 - J’avance d’un pas lent sur ce sable, me libérant, dune après dune, de mes croyances limitantes, et de mes convictions erronées. J’avale une longue distance pour enfin percevoir au loin, un peu de végétation. Une oasis peut- être ! Mon oasis ?
Plein d’espoir et porté par la curiosité, je me dirige vers une étendue d’eau calme bordée d’arbres. Cheminant au travers de cette végétation, je perçois des chants d’oiseaux et le murmure du vent dans les feuillages. Je m’installe près de l’étang, sous l’ombrage d’un flamboyant, et  j’en profite pour me désaltérer et me rafraîchir.
C’est très agréable et revigorant, de se poser un moment sans objectif précis ni obligation.
Apaisé et détendu, je me laisse de nouveau emporter par le doux murmure.
 « Tu viens de traverser ton désert intérieur, tu as abandonné au fil du chemin tes encombrantes croyances, pour dépasser tes peurs et tes limites, voici ton lieu de renaissance.
À présent regarde bien ce qui t’entoure, discerne au-delà des apparences.
Ce lieu est ton reflet, il se construit peu à peu, au rythme de ce que tu mets en place depuis ton « sentiment d’être ».  
Ces sentiments qui te définissent, ne sont ils pas identiques à ce cadre de verdure, liés à une solitaire sérénité, et accordés à l’essentiel.
À présent, laisse-toi être, ne cherche pas à te définir d’une manière particulière, laisse ce qui te correspond émotionnellement venir sans effort, et construit ton monde.
Fais surgir ces pâturages que tu aimes fouler de tes pieds nus, couvre l’horizon de ces montages que tu aimes grimper, fais paraître ici une rivière, et plus loin l’océan.
Sois sans limites, invite à ta table des présences aimantes, partage et aime à ton tour.
Ouvre les vannes de l’abondance, appelle à toi la présence bienfaisante des animaux et anime ce monde de vie, de bonheur et d’amour.
Tu peux reconstruire des villes gigantesques si tel est ton désir, tu peux te perdre dans la foule et jouer incognito un rôle à ta mesure.
Tu peux à ta guise, te transférer dans un temps passé ou futur, visiter d’autres dimensions, et même partager des moments de joie avec ces personnes que tu aimes et qui te manquent.
Tout est possible du moment que tu t’accordes pleinement aux valeurs universelles et unificatrices de la Vie.
Tu n’es alors plus soumis à l’autorité des concepts et des croyances ni aux obligations d’un système social, religieux ou intellectuel. Tu es le seul maître à bord, libre et respectueux de ta création, car celle-ci, c’est toi, manifesté en totalité. »
 -Comment cela se peut-il ?
 « La matière telle qu’elle est définie de manière conventionnelle, n’a aucune existence.
La matière est uniquement la mise en place de ce qui est nécessaire, pour que ta structure émotionnelle trouve, durant l’événement ainsi manifesté, la parfaite représentation d’elle-même.
Il en a toujours été ainsi, même, lorsque tu es englué dans des croyances limitantes. D’ailleurs, ce qui se manifeste alors correspond toujours à ce que ces croyances exigent, et tu expérimentes ta petitesse. »
 -Mais les autres alors, comment font-ils ? Existent-ils ?
 « Les autres tout comme toi, dans ton aspect corporel, sont la manifestation et la mise en forme d’une individualité de nature émotionnelle.
Or il n’y a jamais de franche séparation entre les émotions, elles sont indissociables les unes des autres, et elles se révèlent mutuellement par leurs présences.
Cette origine de toutes choses se conçoit d’une part, par le sentiment d’être qui induit la présence, et d’autre part, par le sentiment du non-être qui induit l’absence.
Cette structure émotionnelle d’origine, qui détient en son sein, la présence et l’absence unifiées, se nomme « amour ».
Tout ce qui se manifeste dans le monde, quelle qu’en soit la nature, est une nuance de cette origine.
Elle se forme de manière désordonnée en évoquant une des   facettes de cette unité, pour, durant l’expérience, parvenir à manifester les compléments et réunifier l’ensemble.
C’est ça « aimer » !
Il y a une multitude de manifestations matérielles des individualités, mais il n’y en fait qu’une seule origine qui se répartit en nuances d’elle-même.
Tu es seul et unique au plus au niveau, et tu es aussi la multitude qui se considère au travers de ses nuances, comme autant d’individualités distinctes.
Si tu te considères sur le plan individuel, tu construis ton monde à ton image.
Si tu te considères depuis ta nature universelle, tu construis ton monde en tenant compte de toutes tes nuances à la manière d’un consensus, où chaque particularité est respectée, et la liberté de chacun apte à s’épanouir.
Donc toi et l’Autre au plus haut niveau ne faites qu’un, l’idée de vivre une expérience séparée tient uniquement à l’illusion que procure la projection durant l’histoire.
Il est évidemment plus fonctionnel de te considérer comme une individualité pour partager ton quotidien, mais il est aussi essentiel de conserver le lien avec ta  nature universelle à tous moments.
Il est évidemment plus fonctionnel de considérer l’Autre comme une individualité autonome pour partager son quotidien, mais il est aussi essentiel de conserver le lien avec ta nature universelle, pour comprendre que vous n’avez qu’une seule et unique origine. »
 -Je prends un moment de réflexion avec cette idée d’universalité, j’essaie de comprendre, mais surtout d’en faire l’expérience.
Si une définition intellectuelle prend place peu à peu, manifester cet état d’être, de manière consciente, est une tout autre affaire.
Je me rappelle que parfois lors de méditations profondes je m’approche suffisamment de cette réalisation, pour en ressentir l’ampleur. A d’autres moments, c’est lors d’une promenade en pleine nature, ou au volant de ma voiture que je perçois cette présence, cela peut se produire n’importe où, et n’importe quand. Souvent, durant mes occupations les plus banales, lorsque je suis totalement détaché de toute pensée intrusive, sans pour autant être absorbé par ce que je fais, il se passe quelque chose de particulier. Durant l’automatisme du geste, l’esprit, libre d’aller où il veut, me transporte vers l’inattendu, et je réalise que je ne suis pas uniquement celui qui agit et celui qui pense.
  «  Être celui ou celle qui touche, être ce qui est touché, et la douceur du toucher. Être celui ou celle qui écoute, être ce qui est écouté et la pensée qui surgit. Être celui ou celle qui voit, être ce qui est vu et la vision du moment. Être celui ou celle qui goûte, être ce qui est goûté et le goût par lui-même. Être celui ou celle qui respire, être ce qui est respiré et le parfum qui enivre. Être celui ou celle qui ressent, être ce qui est ressenti et l’émotion qui en résulte. Être toutes les choses, les mouvements, les pensées, les désirs, et savoir que rien ne peut se manifester, sans que tu sois cela. Il y a juste toi, il n’y a pas d’extérieur à toi ».
C’est là, dans tes mains, durant l’action du moment, lorsque tu es bien présent et contemplatif que le meilleur est disponible.
Il n’y a pas de moment plus propice, il n’est pas utile de te mettre dans un état particulier. Cela vient naturellement, quand il faut, au bon moment. C’est une offrande de la Vie, un cadeau non ordinaire, qui ouvre à la perception de l’unité.
Tu n’observes rien, ne goûtes rien, ne respires aucune odeur, touches quoi que ce soit, et n’entends aucune musique. Accorde-toi dès à présent à cette vérité : « Je suis   ce qui est vu, goûté, senti, touché et entendu. Je suis  le moment  qui résulte de l’expérience de ma propre nature ». 
 Depuis ton « Être » universel, les nécessités de chaque instant sont exprimées. Elles sont présentées, à ton « sentiment d’être » qui tel un filtre s’accorde à celles-ci selon deux possibilités.
L’une consiste à opter pour une idée de contrôle et une considération de séparation d’avec ta véritable nature, l’autre s’accorde à répondre aux nécessités offertes.
Il n’y a pas de choix émotifs, intellectuels ou conscients entre ces deux options, il y a une orientation forcée selon la manière dont tu te définis face à la Vie.
En fait soumis à l’idée de séparation, le sujet est incapable de discerner la nécessité du moment.
Il lui arrive d’y répondre inconsciemment, lorsque lors d’une mise en situation qui échappe à sa compréhension, il abandonne l’idée de contrôle. Cela se passe le plus souvent dans les moments de stress extrêmes, de blocages infranchissables, ou lorsque le corps lâche. Cela est encore plus présent pour les moments joyeux, ou le plaisir est surpassé par un élan du cœur incontrôlable, et inexplicable.
 Pour une individualité consciente de son origine et de sa nature liée à l’Unicité, les nécessités véhiculées par chaque vague de la manifestation sont perceptibles. Elles se traduisent sous la forme d’évidences, se propagent en un élan du cœur, ou se présentent de manière intuitive.
Elles se manifestent en un événement particulier, ou une synchronicité qui réclame une action, un peu comme une question ouvre à la réponse.
 Les turbulences, les obstacles, ou les situations inconfortables sont en fait les présentations imagées, dans l’histoire du moment, des nécessités émises depuis l’Unicité.
Il y a toujours un cadeau qui accompagne ces événements, il y a toujours un instant de bonheur à la clé.
Même si tu doutes, même si tu hésites, ou que la peur te tiraille, comprends que c’est un ressenti nécessaire pour mieux savourer ta victoire.
Répondre à une nécessité consiste à suivre le chemin du cœur, à oser ce qui n’est pas conventionnel, à modérer l’intellect au profit du ressenti et de l’intuition.
Tout devient alors possible, pour le miracle du plus simple au plus improbable. Cette adhésion au-delà de tout contrôle apporte la maîtrise au sens le plus noble du terme.
Cette façon d’être et d’orienter ton expérience s’accorde en tout point à ce que la Vie réclame pour manifester sa plénitude. Ce qui peut être envisagé dans de telles conditions échappe à l’imaginaire du personnage, il appartient désormais à l’imaginaire de la multitude, infiniment plus vaste…
 TABLE DES MATIÈRES
·         Le mouvement des possibles.
·         Les rouages de la manifestation.
·         Le filtre de la personnalité.
·         L’épiphénomène.
·         L’origine.
·         Le pouvoir de l’intention.
·         Les valeurs universelles unificatrices.
·         La science de la Vie.
·         La conscience d’Être
·         Les rouages de la maîtrise.
·         L’Unicité.
·         L’imaginaire.
·         De l’élan du cœur au chemin de Vie.
  Jean-Jacques Lemaire
Artisan de la psychologie positive
www.eriamel.net
« La meilleure formation que reçoit l’être humain est celle de l’école de la Vie. Elle offre le savoir par une approche intellectuelle des choses, et la connaissance par la profondeur de l’expérience ».
Finalisé en janvier 2020
ISBN 978-2-9562337-5-6
EAN 978295233756
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valeriehervo · 6 years
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Les traces laissées par la violence émotionnelle sont peut-être invisibles mais elles n'en sont pas moins douloureuses.
Si la violence physique est facilement reconnaissable, ce n'est pas le cas de la maltraitance psychologique. Si vous êtes une victime ou que vous soupçonnez quelqu'un d'être dans cette situation, il est donc important de reconnaître les signes.
D'après Beverly Engel, psychothérapeute et autrice du livre The Emotionally Abusive Relationship, "des mois, voire des années de harcèlement émotionnel peuvent déformer notre perception des choses, et affecter notre santé mentale. Tout se passe dans la sphère privée et il n'y a généralement aucun témoin pour confirmer les faits".
La violence morale prend de nombreuses formes: insultes, critiques, accusations, humiliations, etc. Elle se caractérise aussi par des tentatives de destruction psychologique en rabaissant la personne et en donnant de l'affection au compte-gouttes pour garder le contrôle de la relation. Un pervers émotionnel tente également de maîtriser les dépenses d'argent, les déplacements, la tenue et les fréquentations de l'autre.
La première étape est cruciale, bien que difficile: prendre conscience d'être piégé(e) dans une relation émotionnellement violente.
"Accepter la vérité sur sa relation abusive est quelque chose d'effrayant", déclare Lisa Ferentz, travailleuse sociale clinicienne et éducatrice spécialisée dans les traumatismes. "Dans un couple, on s'investit corps et âme, et notre monde tourne autour de l'autre. Minimiser les défauts et inventer des excuses pour expliquer le comportement de son partenaire est une solution de facilité compréhensible."
Il est conseillé de consulter un professionnel, de rejoindre un groupe de soutien et de se confier à un proche qui pourrait aider à mettre un terme à la relation, en toute sécurité.
Pour aider à identifier ces dynamiques malsaines au sein d'un couple, des experts en relations humaines nous ont révélé ces habitudes toxiques qu'ont les pervers émotionnels.
1. Ils n'assument pas leurs responsabilités et trouvent toujours un moyen de rejeter la faute sur vous
"Il est très rare qu'un pervers émotionnel prenne ses responsabilités. Sa tactique est de projeter sa faute sur la victime en déformant la réalité pour prouver que l'autre est coupable. Le problème importe moins que le fait de nier son propre rôle dans l'échec." — Carol A. Lambert, psychothérapeute et autrice du livre Women With Controlling Partners.
2. Ils sont aimants et attentionnés au départ, mais ça ne dure pas
"Un partenaire émotionnellement violent sait user de ses charmes pour séduire sa victime. Ensuite, il fait croire que tous les comportements suivants sont des preuves de son amour inconditionnel: une surveillance continue, des textos incessants, de plus en plus de temps en tête à tête, et le refus de toute volonté d'indépendance. Ce qui pourrait être pris pour de la jalousie au premier abord devient rapidement une tentative acharnée de contrôle qui amène à douter de soi et à déposséder l'autre de son amour-propre." — Lisa Ferentz
3. Ils minimisent vos forces et vos réussites
"Imaginons que vous ayez obtenu le premier prix lors d'un concours d'écriture. Au lieu de vous féliciter, il dira: 'Oui, en même temps, vous n'étiez que dix.' Les pervers émotionnels ont également tendance à discréditer vos sentiments, avec des remarques telles que: 'Pourquoi tu en fais tout un plat?' ou bien 'Oh, ma pauvre, tu es vexée'. Pour eux, vous êtes trop sensible, trop émotive ou folle. Ils méprisent totalement vos opinions ou vos idées et les tournent en ridicule ('Tu racontes n'importe quoi.'). Vos intuitions sont fausses et ils le font savoir par des phrases comme: 'Tu en fais tout un plat' ou 'Il faut toujours que tu exagères.'" — Beverly Engel
4. Ils s'énervent lorsque vous n'êtes pas d'accord avec eux
"Ils ne tolèrent pas que leur partenaire soit d'un avis différent du leur. Ils considèrent cette différenciation comme une attaque personnelle. Ils se sentent persécutés et partent dans des accès de colère. Dans leur esprit, le pervers émotionnel, c'est l'autre, pas eux." — Carol A. Lambert
5. Ils trouvent des excuses pour expliquer leur comportement destructeur
"Ils justifient leur conduite abusive en la mettant dans un contexte précis: le stress, la fatigue, l'émotion, l'alcool, etc. Leur cerveau a alors la permission de réitérer le comportement violent dès que le contexte le permet. Le pervers émotionnel puise ainsi dans l'adrénaline produite pour amplifier sa confiance en soi." — Steven Stosny, psychologue et auteur du livre Empowered Love.
6. Ils vous isolent de votre famille et de vos amis pour devenir le centre de votre monde
"Un partenaire émotionnellement violent essaye systématiquement de séparer sa victime de son entourage: ses amis, sa famille, ses collègues, sa communauté religieuse, etc. Cet isolement rend la victime dépendante et réduit les chances qu'une personne extérieure soit témoin des abus. Plus la victime est seule, plus il est compliqué pour elle de renouer des liens extérieurs et de sortir de cette relation abusive." — Lisa Ferentz
7. Ils ont des attentes irréalistes de leur relation et de leur partenaire
"Ils ont des exigences invraisemblables envers leur victime et insistent pour passer tout leur temps avec elle. Il faut que l'autre mette tout de côté pour s'occuper du pervers émotionnel. Peu importe les efforts fournis, ils ne sont jamais satisfaits et dénigrent tout ce qui n'est pas conforme à leurs standards. Ils s'attendent à ce que l'autre partage leurs opinions et s'emportent si ce n'est pas le cas." — Beverly Engel
IL Y A LA VIOLENCE QUE L’ON VOIT, CELLE QUE L’ON NE VOIT PAS ET CELLE QUE L’ON OUBLIE...
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omagazineparis · 1 year
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L'importance de la supervision parentale : un regard critique sur les incidents récents
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Dans une société en perpétuelle mutation, la supervision parentale reste un pilier fondamental pour garantir la sécurité et le bien-être des enfants. Récemment, un événement troublant a mis en lumière l'importance cruciale de la responsabilité parentale. Le 11 octobre 2023, à Nîmes, une jeune femme de 19 ans a laissé son enfant de deux ans sans surveillance pour profiter d'une soirée en ville, une négligence qui aurait pu avoir des conséquences tragiques. Un réveil brutal : le scénario à Nîmes Mercredi soir, une ambiance festive régnait dans les rues de Nîmes. Toutefois, la soirée a pris une tournure alarmante lorsqu'un bambin de deux ans a été retrouvé nu, errant dans la cour de son immeuble. L'absence de surveillance parentale a conduit à une intervention rapide de la police, qui a récupéré l'enfant et a dû assumer un rôle de gardien temporaire jusqu'à l'arrivée de la mère. Les répercussions d'un manque de surveillance Ce cas n'est pas isolé et souligne l'impératif d'une surveillance attentive. Les parents doivent comprendre que les sorties nocturnes sans arrangements préalables pour la garde des enfants peuvent mener à des situations dangereuses. Ce n'est pas la première fois que de tels incidents se produisent. Un cas similaire a été signalé en Espagne où un couple, après une soirée arrosée, avait laissé leur bébé sur le palier de leur immeuble. La responsabilité parentale : un engagement indispensable La responsabilité parentale va bien au-delà des besoins élémentaires de nourriture, d'abri et de vêtements. Elle englobe la sécurité, l'éducation et l'amour inconditionnel. Un manquement dans l'un de ces domaines peut avoir des conséquences durables sur le bien-être de l'enfant. Négligence infantile La négligence infantile est une forme de maltraitance qui peut avoir des conséquences graves sur la santé physique et le bien-être psychologique des enfants concernés. Elle se manifeste souvent à travers l'absence de soins adéquats, comme une hygiène insuffisante, une alimentation inadéquate ou des vêtements inappropriés pour la météo. La négligence peut également prendre la forme d'un manque de supervision ou d'un manque d'attention aux besoins émotionnels de l'enfant. Les facteurs sociaux et économiques, tels que l'instabilité résidentielle, peuvent souvent contribuer à la négligence et à la maltraitance chroniques. Dans certains cas, la négligence parentale peut être le résultat d'un manque de connaissances ou de ressources plutôt que d'un désintérêt volontaire. Les enfants qui sont négligés peuvent s'adapter au manque de soins en se taisant, ce qui peut rendre la détection de la négligence plus difficile pour les observateurs extérieurs L'appel à la conscience collective Il est impératif de rappeler et de renforcer l'importance de la supervision parentale dans la société. Les parents, la famille élargie, les amis et la communauté en général ont un rôle à jouer pour s'assurer que les enfants grandissent dans un environnement sûr et aimant. Il est de notre devoir collectif de protéger les plus vulnérables parmi nous et de veiller à ce que des incidents comme celui de Nîmes ne se reproduisent plus. L'incident de Nîmes doit servir de leçon à tous, illustrant que la négligence parentale, même momentanée, peut entraîner des situations effrayantes et dangereuses. En cultivant une conscience collective et en soutenant les parents dans leur rôle, nous pouvons œuvrer pour un futur plus sûr pour nos enfants. Read the full article
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ollymallory-blog · 6 years
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Chrysalide de souffrance
4 mois et 18 jours sous testostérone.
Chaque matin planté devant mon miroir, je scrute mon visage à la recherche de poils naissants, passant mes doigts sur ma peau devenue rugueuse, épaisse.
Ma mâchoire s’est élargie, mon  implantation capillaire a changée elle aussi. Je suis à la fois heureux et terrifié. Une boule d’angoisse roule dans ma gorge, et je remarque que mon coup aussi est différent. Il semble plus large et massif, comme mes épaules robustes, déformés par les injections mensuelles.
J’aimerai pleurer mais je n’y arrive plus. Depuis que je suis sous testostérone, ma façon de gérer mes émotions, ou plutôt de me faire submerger par elles a radicalement changé. Je ne m’attache plus aux personnes, je ne tombe plus amoureux, je me trouve distant et détaché.
Incapacité à pleurer ou à me morfondre.
J’aurais tout donné pour ressentir cette froideur émotionnelle avant, mais aujourd’hui elle m’effraie.
La sonnerie de mon téléphone m’arrache à mes pensées, affichant à l’écran un numéro inconnu.
C’est un client, il veut me rencontrer chez lui ce soir, pour une heure. Il me demande si je peux me vêtir d’une robe noir et d’une paire de talons. Je soupire. L’idée de porter une robe me met mal à l’aise, mais j’ai besoin d’argent. J’ouvre mon placard et choisi une petite robe noir, un peu ample pour ne pas me sentir trop à l’étroit. Je me trouve affreux, mes épaules sont larges et massives, mon visage déformé.
C’est comme si j’étais un imposteur dans cette petite robe, avec mon corps étranger. Un corps qui n’était pas encore mien, que j’allais devoir apprivoiser doucement.
Parfois, j’ai envie de balancer mes ampoules d’Androtardyl par la fenêtre, de les éclater au sol pour ne plus être tenté de les injecter dans mes muscles. Retrouver cette silhouette dite féminine, que je trouvais pourtant repoussante à l’époque, mais me manque dans les instants d’insécurités.
La vie me semblait plus facile quand j’étais perçu comme une femme cis, et pourtant, c’était loin d’être le cas, mais mon cerveau me joue des tours dans les moments de doutes.
J’ai grandi avec une éducation sexiste, qui m’a toujours appris que je devais être belle, fragile, drôle mais sans être envahissante, salope pas trop. Mon rôle était d’être dévoué aux hommes, de les craindre aussi, mais de toujours répondre à leurs besoins jugés plus importants que les miens.
Jusqu’à mes 15 ans, j’étais toujours fringué dans le rayon «homme ». Je cachais ma poitrine naissante avec des bandages, je trouvais les filles ennuyantes tout en les aimant secrètement. J’étais dans une petite bulle de confort, caché derrière mes T-shirt XXL, protégé de la rudesse et de la violence de cette société patriarcale.
C’est autour de mes 17 ans que j’ai compris les pseudo-avantages de porter des vêtements près du corps. En sortant dans les bars le soir, j’avais droit à des verres de vin et de l’attention. Beaucoup d’alcool et d’attention. Ce que je traduisais par de l’amour. J’avais besoin qu’on m’aime, profondément, inconditionnellement. Alors je sortais toutes les nuits, toujours plus aguicheur, dans l’espoir d’apaiser mes carences affectives.
J’ai toujours vécu avec l’idée que plaire était au centre de tout, et que ma « féminité » et toutes les injonctions et les standards qui vont avec étaient comme un espèce d’enclos : Il prive d’une liberté mais rassure et protège ceuxelles qui restent à l’intérieur.
En prenant de la testostérone, j’ai pris la décision de quitter ce havre de violence par amour pour moi, en privilégiant ce qui me semblait être juste et fluide.
Je travaille en tant que meuf cis pour des clients hétéros car c’est plus simple pour moi, la demande est plus forte et cela paye mieux. Je n’ai aucun problème à porter des robes ou du maquillage, mais voir son corps changer, se « masculiniser », s’épaissir, alors que tu es censé représenter une image féminine standardisée, c’est déstabilisant et j’ai peur que le client sente que je ne suis pas totalement une femme. C’est extrêmement binaire comme discours, mais c’est volontaire, je ne cherche pas ici à déconstruire le genre, mais à exprimer un ressenti émotionnelle qui ne concerne que moi, une personne assignée femme à la naissance, ayant grandi avec une éducation réservée aux femmes.
Mon téléphone vibre deux fois. Un sms s’affiche et je commence alors à paniquer. Mon client s’impatiente, il veut savoir si je vais la porter, cette foutue robe.
Je réponds machinalement un oui avec un smiley content, pour montrer que je suis quelqu’un de sympathique ( connard ).
Il me répond qu’il a hâte, et que je suis une très belle femme. Je suis pris d’une frisson de dégoût . J’ai envie de pleurer, mais je ne peux plus, et puis j’ai du mascara plein les yeux alors ce n’est pas le moment.
La testostérone me donne une furieuse envie de baiser, j’en profite alors pour débrancher mon cerveau et me persuader qu’une bite pourrait me soulager.J’enfile mes baskets et je fourre mes talons dans mon sacs, histoire de ne pas souffrir inutilement dans le métro mais de rester désirable pour mon cher client hétéronormé.
Je suis prêt à partir, mi angoissé mi excité. Des images d’un porno maté la veille défilent dans mon esprit, je crois qu’il s’agit d’une femme de plus de quarante ans, avec des faux seins énormes qui suce un mec carrément moche dans un bar. Même mes désirs et mes fantasmes ne sont plus les mêmes depuis la T.
Tant que ça me fait bander, c’est très bien, j’ai juste besoin de ça pour baiser avec mon client. Oui, car c’est moi qui le baise, il pense que je suis à son service, mais dans l’histoire, moi je me fait payer pour tirer mon coup. Et ça, c’est bandant.
Dans le métro, je sens les regards posés sur moi, chose qui ne m’arrive plus depuis que mes jambes sont pleines de poils et que je binde mes seins. Aujourd’hui je suis en robe et maquillé, alors c’est différent, je redeviens une femme baisable pour la société, un morceau de viande avec des trous pour fourrer sa queue dedans. Je déteste les hommes, je ne veux pas en devenir un, mais je ne veux pas non plus être une femme.
A cette milf blondes aux seins énormes de resurgir dans ma tête, je me laisse vaguer dans mes pensées, loin des connards voyeurs souterrains. Je ne reconnais plus mes fantasmes, je me sens honteux d’avoir des désirs aussi hétéronormés. J’évite de politiser ma vie sexuelle mais c’est plus fort que moi, je voudrais me branler éthique, mais je n’y arrive plus depuis la T.
Pour m’éviter de sombrer dans ce cercle de culpabilité, je pense à mon client, à sa queue, à la tune qu’il va me donner, je pense aux amandes bio hors de prix que je vais pouvoir me payer après ça, et cette pensée me réchauffe le cœur, et pas que.
Arrivé devant chez lui, c’est la panique.
Je ne peux pas le faire, il va sentir la testostérone, c’est certain, il va cramer que je ne suis pas une fille, mais pas non plus un mec, jamais il ne voudra me payer ni me baiser. Putain, pourquoi est ce que je me suis embarqué là-dedans. C’est toujours la même rengaine en arrivant devant chez les clients : panique, découragement, peur, stress puis je monte et finalement je me calme.
 Je l’imagine se moquer, me dire que je suis laide et m’invalider. Lui, ce mec de plus de cinquante ans qui me paye pour  me baiser, il a se droit là, celui de me juger sur mon physique et de me faire me sentir nul.
Je déteste mon éducation.
Je déteste les hommes.
Je déteste mon conditionnement.
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