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#* toi c'est comme cela et nous c'est ainsi
empiredesimparte · 11 months
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Hortense: What's the matter, Louis? Aren't you getting ready for the evening? Napoléon V: I still have a few files to read and sign. I've received a letter from King Alexander of Scotland Hortense: Is there a problem?
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Napoléon V: No, no, it's just that everything has gone so fast since Papa died… It's as if I were living another life. Hortense: I understand you. I feel that way too
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Hortense : Why did you ask me to come? For the letter? Napoléon V : Yes. I want to be frank with you: Oliver's father would like to discuss a formal engagement between you and Oliver.
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Napoléon V: I have nothing against it, naturally. But it can't happen now, you know that, don't you?
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Hortense: Louis… Napoléon V: I'm sorry, you know that. I'm doing this for you too. I wouldn't want my next ceremonies to overshadow yours. And that would be too costly for the Crown
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Hortense: That's not the point, Louis Napoléon V (annoyed): I'm going to say yes to the King, but you'll have to wait until it's official. That's the way it is. I'm not against you
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Hortense: I don't care if the event is overshadowed by your coronation, all I want is to be with Oliver. Everyone knows it now, it's stupid to…
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Napoléon V (angry): You haven't behaved well enough lately, I don't want to risk any more shameful magazine headlines over trifles. You promised me at Compiègne to…
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Hortense : That's not fair, Louis! Uncle Henri told me everything that happened in Cannes, and on the yacht with Charlotte. Don't talk to me about behaviour after that! Charlotte isn't… Napoléon V : That's enough! That's enough of that! We'll talk about it another time, leave me alone!
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⚜ Le Cabinet Noir | Yacht impérial l'Aigle, 9 Prairial An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Hortense : Qu'y a-t-il Louis ? Tu ne t'apprêtes pas pour la soirée ? Napoléon V : J'ai encore quelques dossiers à lire et signer. J'ai reçu une lettre du roi Alexander d'Ecosse Hortense : Il y a un problème ?
Napoléon V : Non, non, seulement tout va si vite depuis la mort de Papa... C'est comme si je vivais une autre vie Hortense : Je te comprends. Moi aussi je ressens ça
Hortense : Pourquoi m'as-tu fait venir ? Pour la lettre ? Napoléon V : Oui. Je veux être franc avec toi : le père d'Oliver aimerait discuter de fiançailles officielles, entre toi et Oliver
Napoléon V : Je n'ai rien contre, naturellement. Mais ça ne peut pas se passer maintenant, tu le sais bien, n'est-ce pas ?
Hortense : Louis... Napoléon V : Je suis désolé, tu le sais. Je le fais aussi pour vous. Je ne voudrais pas que mes prochaines cérémonies éclipsent les tiennes. Et cela serait trop coûteux pour la Couronne
Hortense : Ce n'est pas la question, Louis Napoléon V (agacé) : Je vais répondre positivement au roi, seulement, il vous faudra attendre d'officialiser. C'est ainsi. Je ne suis pas contre vous
Hortense : Je me fiche que l'événement soit "éclipsé" par ton couronnement, tout ce que je veux c'est être avec Oliver. Tout le monde le sait maintenant, c'est idiot de...
Napoléon V (fâché) : Tu ne t'es pas assez bien comportée ces derniers temps, je ne veux pas risquer de nouvelles unes de magazines honteuses pour des broutilles. Tu m'as promis à Compiègne de...
Hortense : C'est injuste Louis ! Oncle Henri m'a raconté tout ce qui s'est passé à Cannes, et sur le yacht, avec Charlotte. Ne viens pas me parler de comportements après ça ! Charlotte n'est pas...
Napoléon V : Ca suffit! Ca suffit! Nous en reparlerons à un autre moment, laisse-moi tranquille!
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selidren · 3 months
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Printemps 1916 - Champs-les-Sims
5/9
Mais même en deuil, Constantin reste Constantin. Il côtoie sans doute de nombreux pères au front, qui doivent parler avec nostalgie de leurs enfants et de ce qu'ils auront envie de faire avec eux une fois la guerre finie. Connaissant mon mari, il est fort probable que de telles conversations aient éveillé un sentiment de culpabilité chez lui. Car son absence m'a définitivement fait prendre conscience qu'il ne s'implique pas assez dans la vie de nos enfants. Mais je laisse cette frustration pour la fin des combats. Comment pourrait-il concevoir de telles considérations domestiques alors qu'il craint pour la survie d'Adelphe chaque jour et voit sa propre vie menacée quotidiennement ? Il m'arrive même de me dire, en pensant à vous, que vous avez vécu d'impensables souffrances mais qu'au moins vous êtes en sécurité chez vous.
Dans tous les cas, un inconnu lui a mis en tête l'idée d'embrasser les enfants. Adelphe le fait, mais ce n'est pas aussi général qu'il semble le croire. Sauf que comme la plupart des promiscuités entre un père et ses enfants, il déteste cela, à tel point qu'il rechigne à prendre les petits dans ses bras. Dans son esprit, il s'est donc dit qu'il pourrait faire un effort, et réserver cette marque d'affection à Noé uniquement. Les leçons de sa grand-mère sur l'importance de l'héritage n'ont pas eu que l'effet escompté, car il ne réalise pas à quel point ses deux soeurs en ont été jalouses. Il a ainsi enlacé Noé devant ses soeurs et ensuite refusé de leur offrir la même chose alors que j'étais partie lui chercher ses pantoufles. Cléo a donc fait une immédiate crise de larmes et c'est avec un air offensé et dramatique digne de Sarah Bernhardt qu'elle lui a remis sa carte de voeux au matin de Noël. Sélène a boudé de façon plus discrètes pendant plusieurs jours. Antoine n'a pas montré son émotion, comme c'est de plus en plus commun chez lui, et sa ressemblance avec son père semble alors dépasser le physique.
En tant que mère, comment puis-je expliquer à mes enfants que seule la plus grande reçoit l'affection de leur père ?
Transcription :
Arsinoé « Papa, c’est toi ? Qu’est-ce que tu fais ici ? »
Constantin « J’ai les chaussures si sales que ta mère m’a ordonné de rester ici en attendant qu’elle m’amène mes charentaises. Elle ne veut pas que je souille le tapis du salon. »
Arsinoé « Ce n’est pas ça, mais Maman a dit que tu étais encore à la guerre pour Noël. »
Constantin « Et bien non, je suis ici pour la semaine, nous allons passer les fêtes ensembles.  Tu es contente ? »
Arsinoé « L’institutrice dit que peu d’enfants ont la chance d’avoir leur Papa pour les fêtes. Avec les autres élèves, nous avons rédigé des cartes de voeux pour nos pères courageux qui restent au front pour nous protéger. J’ai de la chance, je vais pouvoir te la donner moi-même. »
Constantin « C’est très gentil. Tu me la donneras au matin de Noël. »
Constantin « Arsinoé, pourquoi n’embrasses-tu pas ton père ? »
Arsinoé « Mais on ne t’a jamais embrassé. »
Constantin « Nous allons changer cela. Un bon père embrasse ses enfants. »
Arsinoé « Cléopâtre et Sélène ont demandé à Maman pourquoi nous n’embrassions qu’elle. Elle a répondu que tu n’aimais pas. »
Constantin « C’est vrai. Mais je ferai une exception pour toi. »
Arsinoé « Pourquoi moi ? »
Constantin « Parce que tu es mon aînée. »
Arsinoé « Et alors ? »
Constantin « Tu es mon aînée et mon héritière, cela fait de toi quelqu’un de plus important. Je dois donc faire une exception pour toi. Maintenant, embrasse ton père. »
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lepalaisdeslarmes · 8 months
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Fatih
Plus que jamais, Fatih profita de sentir ton parfum, la sensation de ta peau blottit entre ses bras. Pendant votre séparation, il aurait été prêt à se damner pour ne serait-ce qu'un instant, être à nouveau ainsi. Il te serra comme rarement. - Toi et moi, moi et Orhan...On ne rattrapera jamais ce temps perdu, malheureusement. La chose qu'on peut faire, c'est savourer chaque seconde les uns avec les autres. Et, anéantir mon père avec ce qu'il n'a jamais su apprécier. Il vint déposer un baiser sur le haut de ton crâne avant de se détacher pour défaire sa cravate, pensif. L'homme fronça les sourcils, comme à chaque fois qu'il avait une idée. Il murmura ensuite " la famille...". - Il me semble qu'il te reste des vacances niveau soldes. J'aimerais qu'on parte en Turquie, le mois prochain avec le petit. La première raison est que je veux profiter de vous deux et lui faire découvrir ses racines... Mais, faut aussi que je retrouve les miennes. J'ai très peu de souvenirs mais Il a coupé le contact de manière violente avec mes tantes et grands-parents. Personne n'a jamais compris. Dernièrement, mon géniteur les a évoqué en les qualifiant de " gênantes pour l'entreprise". En tant que personne qui sommes nous aussi pas à la hauteur de lui, on devrait peut-être se pencher sur leur cas. Qu'en dis-tu? Il avait eu l'idée des vacances bien avant de se rappeler de l'existence de sa famille paternelle. Fatih redoutait la fin de ce week-end malgré tout et pouvoir s'imaginer en Turquie avec toi était un élément pour le rassurer aussi.
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- C’est certain, mais maintenant que tu es là, hors de question de te maintenir à l’écart de la vie de notre.. fils. La brune pince ses lèvres entre elles brièvement avant de te regarder faire, un petit sourire en coin. Cependant elle fronce les sourcils à cette proposition. C’est une bonne idée. - Tu crois ? J’ai perdu le compte sur mes vacances je dois avouer, enfin... Ça serait bien d’aller rendre visite à nos famille, ça leur fera plaisir de voir le petit. A vrai dire, Efsun n’avait rien dit à ses tantes concernant sa grossesse le sujet était bien trop douloureux. Et comment expliquer ta disparition ? Enfin fausse disparition pour le coup.  Revenant à elle, elle te regarde, surprise. - Gênantes dis-tu ? Qu’est-ce qu’il veut cacher à tout prix ? Est-ce que ta famille pourrait savoir quelque chose ? Peut être que cela vaut le coup d’aller là-bas et mener une petite enquête. Bon au moins vous serez loin de tout, et vous pourrez profiter tranquillement.
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garadinervi · 2 months
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Francs-tireurs et partisans - main-d'œuvre immigrée (FTP-MOI) – Groupe Manouchian, Fort Mont-Valérien, Paris, February 21, 1944 / 2024
Celestino Alfonso (27 years old), Olga Bancic [Pierrette] (32) (deported to Stuttgart and decapitated on May 10, 1944), Joseph Boczov (or József Boczor; Ferenc Wolff) (38), Georges Cloarec (20), Rino Della Negra (20), Thomas Elek (Elek Tamás) (18), Maurice Fingercwajg (19), Spartaco Fontanot (22), Jonas Geduldig (26), Emeric Glasz (Békés (Glass) Imre) (42), Léon Goldberg (19), Szlama Grzywacz (34), Stanislas Kubacki (36), Cesare Luccarini (22), Missak Manouchian (37), Armenak Arpen Manoukian (44), Marcel Rayman (21), Roger Rouxel (18), Antoine Salvadori (24), Willy Schapiro (29), Amedeo Usseglio (32), Wolf Wajsbrot (18), Robert Witchitz (19)
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«21 février 1944, Fresnes Ma chère Mélinée, ma petite orpheline bien-aimée. Dans quelques heures, je ne serai plus de ce monde. On va être fusillés cet après-midi à 15 heures. Cela m’arrive comme un accident dans ma vie, je n’y crois pas, mais pourtant je sais que je ne te verrai plus jamais. Que puis-je t'écrire ? Tout est confus en moi et bien clair en même temps. Je m'étais engagé dans l'armée de la Libération en soldat volontaire et je meurs à deux doigts de la victoire et du but. Bonheur à ceux qui vont nous survivre et goûter la douceur de la liberté et de la paix de demain. Je suis sûr que le peuple français et tous les combattants de la liberté sauront honorer notre mémoire dignement. Au moment de mourir, je proclame que je n'ai aucune haine contre le peuple allemand et contre qui que ce soit, chacun aura ce qu'il méritera comme châtiment et comme récompense. Le peuple allemand et tous les autres peuples vivront en paix et en fraternité après la guerre qui ne durera plus longtemps. Bonheur ! à tous ! J'ai un regret profond de ne t'avoir pas rendue heureuse, j'aurais bien voulu avoir un enfant de toi, comme tu le voulais toujours. Je te prie donc de te marier après la guerre, sans faute, et [d'] avoir un enfant pour mon honneur, et pour accomplir ma dernière volonté, marie-toi avec quelqu'un qui puisse te rendre heureuse. Tous mes biens et toutes mes affaires. Je [les] lègue à toi et à ta sœur, et pour mes neveux. Après la guerre, tu pourras faire valoir ton droit de pension de guerre en tant que ma femme, car je meurs en soldat régulier de l'armée française de la Libération. Avec l'aide de mes amis qui voudront bien m'honorer, tu feras éditer mes poèmes et mes écrits qui valent d'être lus. Tu apporteras mes souvenirs, si possible, à mes parents en Arménie. Je mourrai avec 23 camarades tout à l'heure avec le courage et la sérénité d'un homme qui a la conscience bien tranquille, car personnellement, je n’ai fait [de] mal à personne et, si je l'ai fait, je l'ai fait sans haine. Aujourd'hui, il y a du soleil. C'est en regardant au soleil et à la belle nature que j’ai tant aimée que je dirai adieu à la vie et à vous tous, ma bien chère femme et mes bien chers amis. Je pardonne à tous ceux qui m'ont fait du mal ou qui ont voulu me faire du mal, sauf à celui qui nous a trahis pour racheter sa peau et [à] ceux qui nous ont vendus. Je t'embrasse bien bien fort, ainsi que ta sœur et tous les amis qui me connaissent de loin ou de près, je vous serre tous sur mon cœur. Adieu. Ton ami, ton camarade, ton mari. Manouchian Michel P.S. : J'ai quinze mille francs dans la valise de la rue de Plaisance. Si tu peux les prendre, rends mes dettes et donne le reste à Armène. M.M. On va être fusillés cet après-midi à 15 heures. Cela m'arrive comme un accident dans ma vie, je n'y crois pas, mais pourtant je sais que je ne te verrai plus jamais.» – Missak Manouchian (or Michel Manouchian) (Միսաք Մանուշեան) to Mélinée Manouchian (Melina Assadourian or Soukémian) (Մելինէ Մանուշեան), Fresnes, February 21, 1944
(image: Missak Manouchian (or Michel Manouchian) (Միսաք Մանուշեան), Lutte, Translated from the Armenian by Archag Tchobanian, «Les Lettres françaises», August 16, 1946. Bibliothèque nationale de France, Paris)
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ameretat · 1 year
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Journal, 4 mars 2023
Je retrouve enfin ma joie dans la solitude. Le silence, mon meilleur ami.  Le soleil a réchauffé mon cœur et la prière m'a apaisée. Je n'ai besoin que de cela. 
Je veux respecter tes tourments, aussi, malgré une envie de te voir que je ne peux réfréner, je ne te demanderai rien. Je reste dans mon espoir, sereine et muette. Je sais en vérité que je ne suis pas prête à vivre ce qu'il pourrait se passer lors d'une nouvelle rencontre avec toi. J’ai besoin de temps encore, ces trois dernières années ne m’ont pas suffit. Dans mon dernier rêve avec toi c’était si fort. C’était comme retrouver des parties de moi. Je me souviens de cette sensation d’être enfin chez moi la dernière fois que je me suis retrouvée dans tes bras. Je n’avais jamais eu cette sensation auparavant. J’ai si peur de me bercer d’illusions et en même temps je sais. Depuis trois ans, je sais comment tout cela va finir. Mais tout peut encore changer. Alors je prie, je prie pour toi, pour nous... Un nouveau souffle, une guérison, un coeur vif et vaillant comme celui de notre première jeunesse. Évidemment, le mystère qui t'entoure continue de m'attirer. Et les souvenirs de nos conversations n'ont pas cessé d'actualiser un passé qui s'éloigne toujours plus vite. La sensation d'inachevé me ramène constamment à toi en dépit de toutes les rencontres que je fais. Alors ma patience est infinie, n'en déplaise à ceux qui me disent que je perds mon temps, que je ne vis pas si je ne profite pas. La vie n'est pas une marchandise, il n'y a pas de profit à en tirer et l'idée de consommer une relation comme un vulgaire produit me donne la nausée. Je me préfère seule à rêver, ne serait-ce que pour la profondeur des sentiments que j'y trouve. Mon rêve, ne fusse qu'une illusion, m'apporte bien plus que n'importe quelle satisfaction immédiate. Et je pourrais passer toute une vie ainsi s’il le faut, car c'est en t’aimant qu’enfin je me respecte. 
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carolemm · 5 months
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Qu’est ce qui poussa Agatha Christie, 36 ans, à mettre en scène sa disparition ? C’est ce que Frédérique Deghelt nous invite à découvrir.
Un roman intimiste, sensible sur l’amour , l’introspection…
« Je suis sûre que les maisons existent dans notre désir d'y vivre, qu'elles sentent les êtres qui les aiment. »
« Maman, tu as été mon alliée depuis toujours, me comprenant sans que je dise un mot, sachant avant moi ce que je ne pouvais pas comprendre de ma propre vie. Ton intuition à mon égard était sans faille. J'ai vécu blottie dans ton amour comme dans un écrin me protégeant de tout. Comment vais-je faire sans toi ? »
« Quand on devient haissable aux yeux de l'étre aimé, on traverse sa propre vie comme une souris qui rapetisse jusqu'à vouloir devenir invisible, et on finit par s’ oublier. Je me terre, je me tais, recroquevillée sur la peine qui me dévaste. Mon chagrin insondable est un océan intérieur dans lequel je ne cesse de me noyer. Moi qui aime tant nager, je ne savais pas qu'on pouvait avoir l'eau de sa mort à l'intérieur de soi. »
« Nul autre n'est suffisamment proche pour cela. Nul autre n'a assez d'ascendant pour avoir l'outrecuidance de vouloir me façonner à sa sauce. Ainsi ma plus grande erreur est-elle d'avoir placé en lui le baromètre de ce que je suis. »
« Le summum de ma détestation est de découvrir qu'en réalité il ne m’a dévalorisée que pour trouver des raisons valables à sa désaffection et justifier son envie d'ailleurs. »
« Sans doute chaque être humain a-t-il la honte de ne plus aimer chevillée au corps pour avoir ainsi envie de justifier les inclinations de son cœur dans une autre direction. »
« On ne peut convaincre un homme de cette chose s'il ne la découvre pas tout seul : la grande différence entre une femme qu'il vient de rencontrer et la sienne, c'est que la première n'est pas prête à lui pardonner tout ce qu'il pourrait lui faire d'odieux et dont elle n'est pas encore informée. Ce que sait de vous une femme qui vous aime, quand même et depuis longtemps, est irremplaçable. »
« Oui, le voyage est un bienfait. Il occupe l'esprit en lui présentant autre chose que ce qui menaçait de l'envahir ! Ajoutons à cela le charme indicible d'aller dans un endroit où absolument personne ne vous connait.
« On ne vous entretient pas de ce que l'on croit savoir de vous, on ne vous crédite de rien, on ne vous discrédite pas non plus, et l'on attend de vous ce que vous pourrez en dire. Autrement dit, la confiance règne. »
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Je réalise aujourd'hui seulement
Que je suis celle qui donne tout le temps
Je suis là, je t'écoute
Je m'intéresse à ta vie, à tes doutes
Je reviens sans cesse vers toi
Parce que je suis faite comme ça, et que tu es tout pour moi
Mais qu'en est-il de toi ?
Depuis combien de temps ne m'as-tu pas demandé ce que je devenais, moi ?
En dehors de la politesse, avec intérêt, je veux dire !
Et voilà, c'est ça qui me fait tant souffrir...
Je dois apprendre, me résigner
A laisser partir ce qui le veut ainsi
Même si cela me blesse aussi
Lâcher prise...
Me libérer de cette emprise
Parce que j'ai beau t'aimer, ça ne va pas...
Je ne peux pas nous porter sans cesse comme cela
Et même si je veux te garder près de moi
Est-ce seulement possible dans ces conditions là ?
Alors, vas y pars...
L'histoire nous dira un jour si c'était un adieu ou un aurevoir.
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LPS
30.09.22
©Tout droits réservés-2022
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uneessencesensible · 7 months
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N°1352– Mercredi 04 janvier 2017
Lorsque nous avons un ami en mal-être, qui souffre de quelque chose, nous avons tellement envie de l'aider que, quand cela n'est pas possible, un sentiment d'impuissance se réveille. Nous nous posons de multiples questions, des « pourquoi il ne veut pas ? » ou « pourquoi je ne pourrais pas ? ». Nous commençons, pendant quelques secondes, à délirer. Pourtant, c'est normal. C'est normal que nous ne pussions pas faire plus pour cette personne. Parce que nous ne pouvons pas se battre à sa place. Nous ne pouvons pas prendre cette putain de douleur qui la ronge. Nous pouvons simplement lui parler, l'écouter, lui donner des conseils ou la rassurer. Des fois, nous pouvons juste être présent, être à ses côtés. Lui offrir son épaule pour pleurer. Ses bras pour la réconforter.
Alors, voilà les péripéties de la vie. Des hauts, des bas, au fil de la journée, de la semaine ou de l'année. Ce n'est que ça. Parfois, c'est supportable. Des fois, nous ne ressentons rien. Puis, il y a ces fois où c'est dur de tenir, d'encaisser. De continuer à vivre comme si nous n'avons rien vécu.
« J'ai eu mal au cœur quand je t'ai vu pleuré dans mes bras. J'ai pensé qu'à ça tout le long du cours. Pourtant, je sais faire abstraction des choses quand il le faut. Mais là, je n'ai pas su. Cela me fait chier que ce soit ainsi et excuse-moi de ma vulgarité, mais c'est le cas. Toi qui es sensible, tu paies encore les frais de la vie. Pourtant, c'est ainsi. Pourtant, nous allons tous y passer, mais c'est vrai que, quand il s'agit d'une personne chère à notre vie, nous n'avons pas envie qu'elle vive ça. Nous pensons pouvoir la protéger, alors que personne n'est à l'abri. »
Édit du 27.09.2023 :
5 ans après, je relis ces mots. 5 ans après, nous ne sommes plus amis. 5 ans après, je ne regrette rien. J'ai fait les choses avec le coeur. Puis, les relations, ça va, ça vient. Non ?
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oracledekokuto · 8 months
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Rerise of Poseidon - Chapitre 1
Le retour de l'empereur des mers
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Hadès : … don… Hadès : Poséidon ! Poséidon : Muh… Poséidon : Qui ose… Poséidon : … perturber mon sommeil ?! Hadès : Pardonne mon impolitesse mais en voilà une apparence misérable. Hadès : Dire que tu es Poséidon, le dieu qui gouverne les sept mers. Hadès : Et tu ne peux même pas bouger au sein des ténèbres. Poséidon : Pft. Je prends simplement un peu de repos. Poséidon : Il n’y a pas de quoi rire. En revanche, toi tu es devenu bien petit…
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Poséidon : Hadès, empereur des ténèbres !!! Hadès : Effectivement…. J’ai été vaincu par Athéna lors de la Guerre Sainte et j’ai tout perdu. Hadès : Mon précieux corps des temps mythologiques… mon armée des 108 étoiles maléfiques… ainsi que le vaste domaine des Enfers que j’ai bâti de mes mains… Hadès : Mais un jour où l’autre, je récupérerai tout. Hadès : Y compris la Terre. Poséidon : Toujours aussi avide. Poséidon : Et donc… que veux-tu ? Hadès : … J’ai une requête.
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Hadès : Très bientôt, la Terre sera frappée par un cataclysme sans précédent… Sa fin est proche. Hadès : J’aimerais que tu la protèges. Poséidon : … Quelle curieuse demande… Poséidon : … de la part de celui qui a dérobé la lumière de la Terre pour la transformer en monde de ténèbres. Poséidon : Mais ton ambition a été écrasée, tout comme mon déluge, par Athéna et ses Saints… Hadès : … La suite va se dérouler différemment. Poséidon : Comment ça ?
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Hadès : Les Saints ont été emportés dans la destruction des Enfers. Ils ne sont pas encore revenus sur Terre et dérivent actuellement entre les dimensions. Hadès : Grâce à la protection divine d’Athéna, ils finiront par rentrer. Hadès : Mais en ce moment, la Terre est sans défense face à une invasion extérieure. Hadès : D’où le fait que je m’abaisse à te demander ça. Poséidon : Muh… Poséidon : Que fais-tu au sceau d’Athéna… ? Hadès : Tu devrais te sentir plus léger maintenant. Poséidon : Ooh… !
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Hadès : Poséidon. Parmi les âmes des morts errants… Hadès : … je vais renvoyer temporairement sur Terre celles qui sont liées à toi. Hadès : Tu commanderas une nouvelle fois tes troupes pour repousser la véritable menace… ! Poséidon : J-Je vois. J’ai compris. Tu vas jusque là car tu crains cette grande calamité. Poséidon : Ne me dis que celle qui apportera la ruine à la Terre n’est autre que… Hadès : Qu’ils vivent ou qu’ils meurent, les humains ne sont bons qu’à être gouvernés. Hadès : Mais c’est parce qu’ils vivent que la peur de la mort me donne du pouvoir. Hadès : Quel intérêt à la destruction qui renvoie tout au néant ?
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Hadès : Adieu… Hadès : Je te confie la suite…
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Grèce, Attique, nord de la péninsule. Vestiges de Rhamnonte. Némésis : Vous ne savez pas rester à votre place. Vous ne cessez de pointer vos flèches vers les dieux… Némésis : … et vous finissez par les assassiner… Némésis : Votre insolence a dépassé les bornes.
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Némésis : C’est l’heure du châtiment divin !!
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On observe des boules de feu aux quatre coins du monde. La chute d’une énorme météorite au large des côtes de l’Indonésie provoque un tsunami dévastateur. Après Paris, une météorite chute dans la banlieue de Shanghai. Un feu de forêt est toujours en cours sur la côte ouest des États-Unis. L’état d’urgence est déclaré par les Nations Unies. La Terre lance un SOS !!!
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Kiki : Némésis ? Shaina : Oui. Dans l’Antiquité s’élevait ici le sanctuaire de Némésis, la déesse de la Vengeance. Shaina : Mais cela fait longtemps que le site a été abandonné. Aujourd’hui, il ne reste plus que des ruines. Shaina : Pourtant, il a retrouvé son apparence passée…
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Kiki : Alors, le coup des météorites, ce serait l’œuvre de Némésis ?! Kiki : Franchement, j’aimerais qu’on nous laisse tranquilles ! L’éclipse d’Hadès vient juste de se terminer ! Shaina : Tais-toi, tu me fatigues, Kiki. C'est pour tirer les choses au clair qu'on y va. Shaina : Jusqu'à ce que Seiya et les autres reviennent, la paix sur Terre dépend de nous. Kiki : J-Je sais bien, Shaina. Kiki : Ouuuh ! La lune est toute rouge, trop flippant. Shaina : Voilà le comité d’accueil. Kiki : Hein ?
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Kiki : Brrr, d-d-des squelettes… Shaina : T’en as vu un paquet à Jamir, non ? Shaina : Ils ne sont pas là pour nous souhaiter la bienvenue. Shaina : Et ça n’a pas l’air d’être une maison hantée… Shaina : Montrez-moi qui vous êtes !!
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Shaina : Thunder Claw !!
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Kiki : Vous voulez quoi, sales monstres ? Kiki : Mangez-vous la psychokinésie qui m’a été directement transmise par le grand Gold Saint Mu !
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Shaina et Kiki : Ouh !
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Kiki : I-Ils sont revenus à la vie ! Shaina : Tss, c’est sans fin. Shaina : Des illusions ? Ou des marionnettes ? Shaina : Je dois les couper de la source de leur pouvoir. Shaina : Où peut-elle bien se trouver… !? Shaina : Q-Quoi… ? Kiki : Ce… Ce son, c’est…
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Shaina : Mais tu es… Kiki : … un Marina ! Sorrento : Pft. Effectivement. Je suis Sorrento de la Sirène, l’un des sept généraux de Poséidon. Sorrento : Ça fait longtemps, chers Saints… Non, l'un de vous fait encore partie de l'armée de réserve. Sorrento : Je vous suis reconnaissant pour votre aide au sanctuaire sous-marin. Kiki : N-Ne me dis pas que c’est toi qui les contrôles ? Kiki : Pourtant, il me semblait que tu avais changé lors du dernier combat…
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Sorrento : Je ne pense pas que ces monstres sans âme ont des oreilles pour écouter ma flûte. Sorrento : Tant pis, la mélodie de la mort les emportera quand même !
Pages 22-23
Sorrento : Dead End Symphony !!
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Kiki : Wahouuu, ils ont disparu sans laisser de traces ! Kiki : Beau boulot, général. Je suis rassuré que tu sois devenu notre allié. Sorrento : Pft. Ennemi ou ami, je n’ai pas encore décidé. Sorrento : J’ai moi aussi remarqué quelque chose d’étrange. Je suis venu ici pour en savoir plus. Shaina : Alors Poséidon n’a rien à voir avec ça. Sorrento : Non. M. Julian est toujours en paix. Sorrento : Depuis le combat contre Hadès, je n’ai ressenti pas même une fois la présence du seigneur Poséidon en lui.
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Cadmos : D'accord, il n'y avait pas que des Saints parmi les rats qui se sont infiltrés ici. Cadmos : Je comprends pourquoi les Spartoï n’ont pas été de taille.
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Sorrento : Gahah ! Cadmos : Les misérables humains ne sont pas autorisés à dévaster le sanctuaire de ma déesse. Cadmos : Vous allez être jugés !
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Némésis : Des Saints d'Athéna et un Marina de Poséidon… hein ? Némésis : En voilà une visite qui manque terriblement de courtoisie. Némésis : Mais je comprends, c’est typique des humains. Shaina : O-On ne peut pas bouger… Sorrento : Cette peur… C’est la même que j’ai ressentie au Japon, face à Athéna. Sorrento : C’est bien la majesté d’une divinité… !! Kiki : H-Hé ! Oh ! Parlez pour vous, vous nous devez des explications ! Kiki : C’est vous qui avez commencé en élevant ce temple sans permission et en balançant des météorites ! Shaina : Abruti ! Shaina : Tu vas tous nous faire tuer ! Sorrento : Déesse Némésis, veuillez pardonner ce manque de respect. Pourriez-vous nous dire pourquoi vous avez décidé d’apparaître maintenant ?
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Cadmos : Comment un misérable humain comme toi ose-t-il questionner les intentions d'une déesse ? Némésis : Ce n’est rien, Cadmos. Némésis : Dans ma grande mansuétude, je vais te répondre, cela te fera un souvenir pour l’au-delà. Némésis : Je suis effectivement Némésis. Némésis : Je dispense le châtiment divin et la juste colère au nom des magnanimes dieux de l’Olympe. Némésis : Mon réveil est la preuve d’un terrible manque de respect de l’humanité envers les dieux. Némésis : Ne me dites pas que vous ne voyez pas de quoi je parle.
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Némésis : Thanatos, dieu de la mort… Némésis : Hypnos, dieu du sommeil… Némésis : … et Hadès, l’empereur des ténèbres… Némésis : Ces trois dieux ont été abattus par des humains aux Enfers. Némésis : Il s'agit indubitablement d'un péché capital depuis la création du ciel et de la terre. Kiki : M-Mais Hadès voulait transformer la Terre en contrée des ténèbres. Kiki : Seiya et ses amis ne l’ont combattu que pour protéger tout le monde. Némésis : Un bon humain accepte la mort donnée par un dieu en silence.
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Sorrento : D-Donc vous voulez dire que vous faites souffrir des gens à la place d'Hadès… Sorrento : … pour un crime commis par une poignée d’entre eux… Némésis : Faire souffrir ? Némésis : Que dis-tu là ? Némésis : Ne te méprends pas. Némésis : Observez ! Sorrento : La lune… ? Sorrento : Cette couleur… On dirait du sang. Sorrento : O-On dirait qu’elle grossit, non… ?
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Némésis : Ce n'est pas la lune mais mon alter ego : l'astéroïde Adrastée. Némésis : Je le guide vers la Terre pour exécuter le châtiment divin. Némésis : Dans dix heures, Adrastée sera disloqué par l’attraction gravitationnelle terrestre… Némésis : … puis ses innombrables débris tomberont sur la planète.
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Némésis : Pour protéger la Terre, les Saints ont tué des dieux… Némésis : Anéantir la Terre qu’ils doivent protéger est donc la juste punition. Némésis : Fin de la discussion. Némésis : Vous pouvez vous retirer. Shaina et Kiki : Sorrento ! Sorrento : J’en ai trop entendu. Sorrento : Tu penses vraiment que je vais rentrer ? Sorrento : Némésis !
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Sorrento : Tous les êtres vivants ont la volonté de vivre. Sorrento : Même si on parle de châtiment divin, je ne vais pas sagement attendre la mort en restant assis. Némésis : Abstiens-toi. Némésis : Si tu gardes le silence, il te restera dix heures à vivre alors pourquoi précipiter ta mort ? Sorrento : Assez parlé ! Sorrento : Dead End Climax !!
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Sorrento : Ouh ! Shaina et Kiki : Sorrento ! Bellérophon : Hep ! Bellérophon : Vous aussi vous voulez mourir ? Terpsichore : Enfants stupides. Terpsichore : Vous osez montrer les crocs devant une divinité… Cadmos : Pft. Que ton vœu soit exaucé… Cadmos : Je vais prendre ta tête, impudent !
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Cadmos : Muh ?! Bellérophon et Terpsichore : Q-Quoi ?!
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Némésis : Mais c’est… ! Sorrento : Accrochez-vous à moi !!
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Terpsichore : Ah ! Bellérophon : Ils fuient !
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Némésis : Hum… Némésis : Il a déchiré l’espace pour les sauver. Némésis : Quelle gentillesse…
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Kiki : Ouaaah… On est sauvés. Kiki : Et, euh, on est où ? Sorrento : J-Je m’en doutais. Vous vous êtes réveillé. Sorrento : Mais quand…
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Sorrento : Seigneur Poséidon, l’empereur des mers !! Baian : Pft. Il n’est pas le seul. Kanon : Nous aussi on est là. Sorrento : O-Oooh… Sorrento : Vous êtes… !
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Sorrento : Les sept généraux Marinas de Poséidon !! Sorrento : C’est impossible. Lors du combat passé, vous avez été… Sorrento : De plus… Sorrento : Ces Scales qui brillent d’un noir profond… Qu’est-ce que tout cela signifie ? Poséidon : Pft. Désormais, nous sommes au complet.
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Poséidon : Au nom de Poséidon, l’empereur des mers, je vous ordonne… Poséidon : … de mettre immédiatement tout en œuvre pour arrêter le châtiment divin de Némésis !!
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pikmininaplane · 11 months
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F et P pour l’ask game ?
F: Share a snippet from one of your favorite dialogue scenes you’ve written and explain why you’re proud of it.
. Y'know what, j'arrive pas à me décider sur un dialogue de mes fics RPZ donc fuck it, j'ai choisi ma fic Les Légendaires :D
"Valiha ne pouvait pas excuser Larsen. Elle ne pouvait pas lui pardonner ce qu’il avait fait.
Et au vu des yeux fous qu’il leva vers elle, lui non plus.
« Tu sais, Valiha, » susurra-t-il d’un ton à peine humain, « je te déteste. Je t’ai toujours détestée, depuis ton arrivée au palais. Toi, l’enfant prodige, annoncée et amenée par notre prophétesse. Toi, oh toi, qui brillais si fort que ta lumière éclipsait la mienne. Et de quel droit ? Hein ? De quel droit pourrais-tu prétendre au trône ? Toi, l’enfant de pouilleux, l’amnésique sans nom, sans famille, sans honneur ?
- Tu vas trop loin, Larsen, » siffla la jeune femme entre ses dents, rétractant sa main pour avancer sa lame, « et tu te trompes d’ennemi. »
Le prince ricana. « Ah ? Et dis-moi, quel est mon ennemi ? Qui ? Qui, ici, m’a dérobé mon trône ? Darkhell, peut-être ? Non, Valiha. Tout ça, c’est de ta faute ! Si tu n’étais jamais venue au palais, si tu n’avais jamais été adoptée par mon père, les choses seraient différentes. Je serais seul héritier. Mais tu m’as tout volé ! L’admiration du peuple, l’affection de mon père ; tout cela aurait dû m’appartenir, mais regarde où nous en sommes !
- Rien de tout cela ne t’a jamais été dû, Larsen ! Tu as eu ta chance, et tu l’as gâchée lorsque tu as choisi d’agir comme tu l’as fait !
- J’ai perdu ma chance lorsque nous étions enfants, Valiha ! » Le regard du prince était sanglant, fou, et pourtant les larmes avaient recommencé à couler sur ses joues. « Jamais on ne m’a donné l’occasion de faire mes preuves ! Jamais on ne m’a laissé montrer que je serais un bon roi ! Dis-moi, est-il juste que les choses se soient passées ainsi ? Est-il juste que mon père m’ait délaissé, abandonné à ton profit ? Hein ? Est-il juste qu’on m’ait tant promis pour tant me retirer ? »
Valiha voulut se défendre, rétorquer qu’il était seul coupable, qu’il n’avait aucun droit d’accuser le roi, leur père.
Mais les mots qu’elle cherchait ne furent pas ceux qui sortirent de sa bouche.
« Je suis désolée. »
Sa propre voix lui parut étrangère.
« Il est trop tard pour être désolée, » cracha Larsen, « trop tard pour utiliser les mots. Lève ton sabre, Valiha. Laissons parler nos lames. »"
J'aime bien écrire les personnages en colère, les personnages qui se sont beaucoup retenus mais qui, enfin, crachent tout ce qu'ils ont sur le cœur :) C'est quelque chose que j'ai fait dans certaines de mes fics DSMP, aussi, mais pas tellement dans mes fics RPZ. C'est dommage. À moins qu'un jour... ?
P : Are you what George R. R. Martin would call an “architect” or a “gardener” ? (How much do you plan in advance, versus letting the story unfold as you go?)
Hmm... un mélange des deux ? Tout dépend de la complexité du concept de base, à vrai dire– pour la plupart de mes OS j'ai une idée, parfois une vague ligne directrice, et je vais là où m'emporte mon inspiration, là où pour ma longue fic DSMP, par exemple, j'ai genre. 6 pages de notes sur ce que je veux écrire quand et comment X) Après je dirais plus gardener, parce que même quand j'ai un plan je m'autorise beaucoup de petites déviations, des passages par-ci par-là qui restent dans l'ensemble là où j'avais prévu qu'ils soient mais divergent un peu de ce que je voulais – difficile d'ignorer la voix d'un personnage quand elle t'amène autre part :]
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selidren · 10 months
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Printemps 1906 - Champs-les-Sims
13/19
Albertine, ainsi que Grand-Mère peu de temps après, s'est aperçue qu'elle portait un enfant. Elle a attendu plusieurs mois, le temps de profiter encore un peu de leur lune de miel, mais elle n'avait pas envie de donner naissance à son enfant loin de son foyer. Foyer qu'elle n'avait d'ailleurs pas eu le temps d'apprivoiser. Au cours des semaines suivantes, nous avons fait les préparatifs et la chronologie de sa grossesse n'a cessé de changer. Un jour elle pensait être à quelques mois du termes, parfois plus, parfois moins. D'où l'urgence de la faire voir par un médecin du cru au plus vite. Elle était par ailleurs fort indisposée de ne pas pouvoir anticiper la date de la naissance.
Une fois rentré, nous l'avons laissée se reposer quelques jours. De mon côté, j'ai été assez peu présent car les retrouvailles avec mon épouse et mes enfants ont été effusives. Ma fille ne me reconnaissait pas, ce qui m'a brisé le coeur et m'a fait jurer en mon fort intérieur de ne plus les laisser aussi longtemps. J'ai donc passé du temps à tisser de nouveaux liens avec elle. Par la suite, mes affaires professionnelles laissées en suspens m'ont grandement absorbé.
Quand je suis revenu aux préoccupations de Constantin, très anxieux à l'idée de devenir père, le médecin avait rendu un verdict inattendu. Il pensait pouvoir se tromper mais qu'il avait entendu plusieurs battements de coeur distincts pendant l'examen. Il pense donc que la grossesse est moins avancée qu'escomptée. Albertine doit apparemment s'attendre à mettre au monde au moins trois enfants selon lui. Constantin n'a pas semblé excessivement paniqué face à la nouvelle, commentant simplement que du coup, cela remontait à leur visite du cénotaphe. Quoi que cela veuille dire.
Transcription :
Albertine : L'Egypte te manque, pas vrai ?
Constantin : Oui, mais c'était important de rentrer pour prendre soin de ta santé. Tu es mon épouse et je t'aime, alors ta santé est importante pour moi.
Albertine : Qu'est-ce qui te tracasse alors ?
Constantin : Je ne sais pas comment faire pour être père.
Albertine : Cela s'apprend sur le tas j'imagine. Comme tu as fait en Egypte avec Monsieur Hautbourg.
Constantin : Ne le prends pas mal, mais je n'ai jamais eu envie d'avoir des enfants. Je sais comment... et bien comment cela arrive, mais je ne pensais jamais que cela arriverai vraiment.
Albertine : Si tu ne voulais pas en avoir, il fallait me le dire. Je me serai procuré de quoi faire en sorte que nous n'en ayons pas.
Constantin : Je le sais, c'est ma faute. Pardon. Je ne t'ai jamais posé la question, mais tu veux avoir des enfants ?
Albertine : J'en ai toujours voulu, mais j'aurai été d'accord pour attendre. Nous aurions du en parler bien avant, à présent c'est trop tard. Et ne t'inquiète pas, je suis heureuse. Et toi ?
Constantin : Si toi tu l'es, moi aussi. Je demanderai à Adelphe comment faire pour bien s'occuper de ses enfants. Alexandre et Emma ont l'air heureux, je dois donc le prendre pour modèle.
Constantin : Hum... je n'entends rien. Les enfants de cet âge ne sont pas très bruyants.
Albertine : Bientôt, il donnera des coups. Je te ferai sentir.
Constantin : Quand j'y réfléchis, c'est plutôt une bonne chose pour moi d'avoir un enfant. Grand-Mère m'a toujours dit que c'était mon devoir d'avoir un héritier pour perpétuer le nom et l'héritage de la famille. Je devrai peut-être nommer l'enfant moi-même dans ce cas.
Albertine : C'est vrai que c'est la prérogative du mari. Tu as déjà des idées ?
Constantin : Si c'est un garçon, nous le nommerons Khäemouaset. Si c'est une fille, ce sera Nebettaouy.
Albertine : Réflexion faite, il me semble que la mère de l'enfant à aussi son mot à dire.
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allen-san · 10 months
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Type : Yaoi
Genre : Action - Lemon - Aventure
Couple : Allen x Kanda .
Ame sensible ou homophobe s'abstenir
Cela à commencer pendant une mission comme une autre; Allen, Kanda, Lenalee ainsi qu'un Finder étaient à Albuquerque pour trouver une Innocence. Ils avaient réussi à avoir une chambre dans un petit hôtel de la ville et avait cherché l'Innocence toute la journée chacun de son côté.
La nuit arrivée, tout le monde étaient rentré à l'hôtel sauf Allen. - Lenalee, Où est Moyashi ? Demanda Kanda. - On a rencontré des Akuma pendant notre recherche et Allen-kun m'a demandé de revenir avant lui. - Tch ! Quel idiot ! . Quelques minutes plus tard Allen arriva la joue droite en sang . - Mr Walker ! Cria le Finder. Vous allez bien ? . - Oui je vais bien Hiroki. Rassura le blandinet. Kanda s'approcha de celui-ci et l'attrapa par le col de sa tenue. - Tu était censé être sous la surveillance de Lenalee, alors pourquoi l'avoir retiré du combat ?. - Je sais très bien combattre tout seul. - Vraiment ?. - Kanda s'il te plaît lâche-le. Fit la jeune fille. C'est entièrement ma faute, j'aurais dû rester. - Peu importe. Dit le brun en lâchant Allen. Demain j'irai avec lui et Lenalee ira avec le Finder. - D'accord . Dit-elle. - Je prend le premier tour de garde avec Hiroki. Annonça Allen.
Dans l'hôtel alors que Hiroki commençait à s'endormir dans la chambre d'Allen, Kanda arriva et le congédia. - Tu es venu me surveiller ou pour me remplacer ?. - Selon toi . - Le 14ème ne c'est pas encore montré et je trouve ça vraiment énervant. - Tu sais que tu es mignon quand tu t'énerve ?.Demanda Kanda avec une voix suave. - Qu...Quoi ?!. S'exclama le blandinet avec stupéfaction . - Tu devrais soigner cette blessure à la joue. Lui dit-il en la lui caressant. - Mais qu'est-ce qui te prend Kanda ?! . Celui-ci lui agrippa la tête et la rapprocha afin de l'embrasser. Cela surpris Allen mais il ne résista pas, puis Kanda lâcha les lèvres de son compagnon . - Ose me dire que cela t'a déplu Moyashi . Lui susurra-t-il. Le blandinet se mit à rougir et le Kendoka ne lui laissa pas le temps de répondre, lui prenant amoureusement ses lèvres; puis le baiser s'intensifia, Allen senti alors quelque chose d'humide entrer dans sa bouche à la recherche de sa jumelle. Ils s'enlacèrent tendrement. Alors que leur baiser devenait sulfureux, Kanda commença à vouloir déshabiller son amant lorsqu'ils entendirent un bruit qui venait de l'autre côté de la porte .Les deux Exorcistes s'arrêtèrent dans leurs mouvements. - Allen-kun tu es encore là ? Je suis venue relever Kanda . Cria Lenalee avant d'entrer et les trouver tout deux . - Je n'avais pas sommeil, alors Kanda est venu me surveiller. Mais je pense maintenant que je vais me coucher. - Je vais le suivre pour continuer la surveillance . Annonça Kanda . - Ok, dans ce cas je monte la garde extérieur seule . Bonne nuit tout les deux . Leur dit-elle doucement . - Bonne nuit . Lui répondit Allen .
Le lendemain .
- Kanda derrière toi ! . Cria Allen. - Mugen !! . L'Akuma de niveau 2 fût taillé en pièce par le Kendoka . - Il en reste d'autres ? . Demanda-t-il . - Non c'était le dernier qui restait . - Aaaah! Oh mon Dieu !! Hurla une femme non loin d'eux. Mais qu'est-ce que c'est que cet oeil ?!! . Tout de suite, Allen cacha son oeil avec sa main gauche. - Euh ... Ecoutez Mme, ce n'est rien, c'est tout à fait normal si je puis dire ... - Normal ? Normal ?!. -Moyashi, regarde ce qu'elle tient . En effet, elle avait à la main une dague dont on ressentait le pouvoir de l'Innocence. - Une compatible. Dit Allen en enlevant sa main de son œil, celui-ci s'étant enfin calmé et revenu à la normale. - Mais qui êtes-vous bon sang ?!. Et qu'avez-vous fait à ces créatures ?! Lança-t-elle. Nous sommes des Exorcistes, des hommes au service du Vatican et utilisant un pouvoir Divin nommé Innocence, que d'ailleurs vous possédez aussi. Lui annonça Lenalee . - C'est n'importe quoi !! . - Activation de l'Innocence ! Cria Allen . - V.. Vôtre bras !. Qu... Que lui est-il arrivé ? . - J'ai activé mon Innocence, c'est elle qui me permet de battre ces créatures que l'on nomme Akuma . - Je ne comprends pas . -Moyashi, emmenons-là à l'hôtel . - Oui tu as raison. Suivez-nous s'il vous plaît.
Une fois à notre hôtel, les trois Exorcistes apprirent qu'elle s'appelait Rose, son histoire et en retour lui parlèrent des Akuma ainsi que du monde sombre des Exorcistes. Cela accompli, les compagnons rentrèrent à la Congrégation avec leur nouvel amie. - Bon retour chers Exorcistes. - Nous sommes rentrés Grand-Frère ! . - Je vois que vous avez trouver une compatible, c'est très bien . Les félicita Komui . - Oui, elle est de Type Equipement . - C'est fort bien, enchanté, je me nomme Komui Lee et je suis le Grand-Intendant de la Congrégation . - Enchantée, mon nom est Rose Cabera. - Je te souhaite la bienvenue Rose ! . Bien, suis-moi je te prie, quand à vous Exorcistes et Finder vous pouvez disposer, Kanda, tu me fera un rapport plus tard dans la journée . - Très bien . - A plus tard Grand-Frère ! . Fit Lenalee. - A pluuuuuus tarrdd Lenaleeeee !! Tu va me manqueeeeeeeer !!!!! .
Les trois amis se séparèrent et se retrouvèrent, sauf Kanda qui mangeais toujours seul, le soir lorsque était venue l'heure de manger. Leur ami Lavi se joignit à eux et parlèrent de leur mission respective. Plus tard, Kanda alla trouver Allen qui ranger son plat et lui demanda discrètement à l'oreille de le rejoindre plus tard dans sa chambre. Allen, gêné, déglutit difficilement et avoua aux deux autres qu'il était fatigué, il fit alors semblant d'aller se coucher , puis alla rejoindre son amant. " Toc, toc " . - Te voilà enfin Moyashi. Fit le Kendoka en lui ouvrant la porte et en s'approchant de lui. - Mon nom c'est Allen !. - Tu es vraiment irrésistible lorsque tu t'énerves. Kanda lui prit tendrement la main et l'attira vers sa chambre, ils commencèrent par s'asseoir sur le lit et le brun pris l'initiative .
* Lemon .
Les lèvres du Kendoka alla sur celles du blandinet et leurs langues entrèrent en contact, tournant et retournant dans leur bouche. Kanda commença à déshabiller son amant, ainsi que lui-même. Alors que celui-ci baisait le cou d'Allen, ses mains touchèrent le torse du blandinet, celui-ci sentit le désir monter en lui; puis le brun se mit à titiller de ses doigts le téton gauche de son compagnon, ce qui eut pour effet de faire gémir Allen. Les baiser du bruns descendirent et se dirigèrent vers le téton, il se mit alors à le lécher goulûment . Allen rougissait de plus en plus et le désir était de plus en plus fort. C'est alors que la main du Kendoka s'immisça dans la partie la plus au Sud du jeune homme qui se mit à gémir de plus belle. -K..Kanda ! Fit-il dans un souffle. Pas là.. Mais celui-ci n'écouta pas et se mit à faire des va-et-vient. La respiration d'Allen était saccadée, ne pouvant plus supporter pour très longtemps le désir de la chair qui grimper en flèche. Kanda délaissa le téton pour aller saisir à pleine bouche le membre de son amant. C'était fini, la goutte d'eau qui fait déborder le vase, il ne pouvait plus tenir et laissa éclater ce qui bouillonnait en lui, un liquide blanchâtre apparu et Kanda se réjouit de le voir enfin venir. Il continua à lécher avec délectation le membre d'Allen et chercha l'entrée de son intimité avec ses doigts. -K...Kanda !!! . S'essouffla le jeune homme. Il lâcha le membre du blandinet avec un sourire en coin. - Je l'ai trouvé. - Hein ?!. - Prépare-toi, je vais " entrer ". Allen sentit alors une chose aller dans son intimité dans un mouvement lascif et tendre. Kanda se pencha et embrassa à nouveau son amant . Au fur et à mesure le brun accéléra, ses coups de reins se faisant sentir, il entendait Allen jouir de plaisir
* Fin du Lemon .
Lorsque ils eurent fini leurs ébats, Kanda murmura un " je t'aime Allen " au creux de l'oreille de celui-ci puis s'endormit de fatigue.
Le lendemain matin.
- Bonjour Allen. - Bonjour Kanda .Susurre-t-il. - Comment tu vas ? Pas trop mal ?. - Si un peu, il faut avouer que tu as été plutôt brusque cette nuit. Avoua le blandinet, rouge comme une tomate. - En effet ... Excuse-moi. Le silence s'installa. - Tu sais ce qui est vraiment dommage ?. Allen ne répondit pas . - C'est qu'on ne pourra pas montrer notre amour aux autres . - Oui, on sera obliger de faire comme cette nuit et se voir dans ta chambre ... Dans la mienne ça sera impossible, je peut échapper à Link mais pas faire des choses de ce genre avec lui à côté ... D'ailleurs, il va bientôt se réveiller et commencer à me chercher, je ferais bien d'y aller . - En effet, nous devrons agir ainsi à chaque fois . Allen eu un regard triste et parut démoralisé. - Ne t'inquiète pas, Le rassura Kanda en lui caressant doucement la joue. Nous pourrons toujours êtres ensemble et je profiterais de chaque occasion où nous serons seuls pour t'embrasser comme je vais le faire maintenant . Il prit les lèvres de son compagnon et joignit leur langue . - Je t'aime Allen et rien ni personne ne m'empêchera de ressentir cela. Ils s'embrassèrent langoureusement de nouveau, puis Kanda s'habilla et demanda à Allen d'attendre quelques minutes après son départ avant de faire de même. Cela fait, la vie reprit son cours et les amants firent ce qu'ils s'étaient promis ce matin-là, ne s'embrassant seulement qu'une fois de temps en temps lorsqu'ils étaient sûrs et certains d'être seuls dans une pièce ou au dehors lorsqu'ils étaient en mission .
Voilà, c'est un One-shot Yullen que j'ai écrit il y à hyyyyyyper longtemps lol et que je réécris ici en l'ayant un peu amélioré ( sauf les fautes, je ne suis pas très bonne ... ) . Qu'en pensez-vous ? .
PS : j'avais écrit cet article en 2017 et ça faisait déjà hyper longtemps que l'avais inventé, alors maintenant elle est encore plus ancienne XD
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L’endométriose dans la pop culture
Ici et là, dans la pop culture, on parle de l'endométriose. Cela ne paraît rien mais c'est la preuve que le tabou recul, que la population est informée.
Faisons un tour non exhaustif des cas où la pop culture parle d’endométriose :
Dans sa chanson “Déclaration”, le chanteur Stromae évoque ainsi la maladie "Toujours obligée d'aimer enfanter La contraception qui te détruit la santé Endométriose, enchantée J'suis mieux payé que toi sans vouloir me vanter".
L’épisode 5 de la saison 5 de la série Chesapeake shores, l’un des personnage a une endométriose. J'ai beaucoup aimé la façon dont la maladie a été abordée, avec un médecin qui rassure, en disant que l'infertilité n'est pas automatique.
La France n’est pas en reste avec la série Cherif (saison 6, épisode 3). Ce qui m’a le plus plu, c’est que l’endométriose était abordée comme un sujet mainstream. Le père d’une endométriosique, tue un gynéco qui a tardé à poser le diagnostic et a tranché dans le vif, en retirant l’utérus de sa fille malade. Inutile de préciser que, non, le meurtre n’est pas la solution aux violences gynécologiques. Cependant, je trouvais bouleversant de voir les scénaristes montrer à quel point, notre mauvaise prise en charge, peut nous anéantir.
Kelly dans Beverly Hills en souffre aussi (saison 7, épisode 30). Comme quoi, une série bien kitsch des 90's, peut être en avance sur notre gouvernement en matière de sensibilisation ! 
Bien sûr, les séries médicales ne sont pas en reste. Dans The Good Doctor (saison 2, épisode 3) une patiente vient se faire opérer pour réussir à tomber enceinte. On ne voit pas tout sur une imagerie médicale et souvent, au moment d'ouvrir c'est la surprise : il y a plus d'endo que ce que l'on pensait. Ce côté là est bien évoqué. Cependant, on se serait passé de la remarque qui laisse entendre que la douleur est liée au nombre de lésions (c'est faux). Du reste, le nombre d'heures au bloc et l'hystérectomie sans consentement, sont des ressorts scénaristiques discutables.
Impossible d’évoquer les séries médicales, sans évoquer Grey’s Anatomy (saison 18, épisode 10). On aime le médecin qui pense endo face à des douleurs lombaires chroniques, évoque les douleurs pendant les rapports et le fait que la pilule n'y change rien. Bonus pour la demande de consentement avant l'examen et la remarque sur le fait qu'on manque de recherche pour les femmes.On n'aime pas la vieille définition, le médecin qui laisse entendre que l'on connait la cause de la maladie et la réplique "ça se soigne, c'est traitable".
Sur Netflix, Plan cœur (saison 3, épisode 4) aborde la maladie sous l'angle de l'infertilité, un peu cliché. Toutefois cette série a le mérite de montrer sans détour, la violence médicale qu'il peut exister en parcours PMA. Un bonus pour la sororité quand son amie subit la même violence en voulant avorter !
Conversation with friends aborde l'endométriose sous l'angle qui manquait cruellement : celui du quotidien ! On peut y voir comment la maladie peut être handicapante, comme les malaises causés par la douleur. Bien sûr on y retrouve aussi l'accueil "chaleureux" que nous réservent les médecins mais ça fait du bien de sortir de l'éternel épisode au bloc opératoire.
Le Dr House a une approche qui laisse perplexe, aussi bien sur les symptômes (lèvres bleues), que sur la cause (l'opération d'un myome utérin). Certes Dr House n'est pas connu pour son réalisme scientifique mais tout de même...
Dans La vie à cinq (saison 6, épisode 4), on apprend que l'infertilité de Karen est liée à l'endométriose. Dans les épisodes suivants, on mesure les avancées faites, aussi bien au matière de prise en charge de l'endométriose, que de la PMA, au cours des années 1990.
Voilà ! Connaissez-vous d’autres références à l’endométriose dans la pop culture ?
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iranondeaira · 2 years
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🎶 c’est extra 🎶 hier encore j’avais vingt ans 🎶 presque 🎶 l’âge d’or 🎶 pourrait-on dire .
🎶 ex-fan des sixties où sont les années folles 🎶 mes amours mes emmerdes 🎶 la bohème 🎶 .
🎶on est bien peu de choses et mon amie la rose me l’a dit ce matin 🎶 de mémoire de rose on a vu mourir un jardinier … 🎶 .
🎶 j’ai laissé le temps s’étirer sans le maudire 🎶 et là ce matin de ce dix-huit septembre 🎶 je me lève comme d’habitude 🎶 je me réveille avec ce chiffre rond de 🎶la cinquantaine consommée … 🎶. Les cinquantièmes hurlants … car oui il n’y a pas de bons marins sans de belles tempête, je suis quelque part du cap de la colère au bout du monde 📖
mon dieu cinquante … voilà … la moitié … et déjà quelques vies et 🎶 Madame Nostalgie 🎶 me rappelle 🎶 les amis d’autrefois , les amis du passé 🎶 mes amours mes emmerdes 🎶 ce fut une belle ballade mais il n’est pas encore le temps de fermer la porte 🎶 il me reste tant de poèmes à lire 🎶 le temps qui reste 🎶.
aujourd’hui je suis encore à la fenêtre ( avec un café 😉 ) je regarde et je m’interroge 🎶 est-ce ainsi que les hommes vivent 🎶 Et qu'on s'demande
Si c'est utile
Et puis surtout
Si ça vaut l'coup
Si ça vaut l'coup
D'vivre sa vie !... 🎶
… 🎶 on aurait dit le Sud Le temps dure longtemps
Et la vie sûrement
Plus d'un million d'années
Et toujours en été 🎶 .
L’automne arrive et 🎶 les feuilles mortes à son vent mauvais 🎶 me rappelleront quelqu’un 🐇 que j’ai croisé enfin je crois car parfois je me dis que c’était un rêve et puis c’était dans une autre vie , depuis je suis mort car oui il y’a des multiples façons de mourir … 🎶 il me reste la vie 🎶 dit le poète et puis 🎶 c’est beau c’est beau même sans toi 🎶 … 🎶 Pour une amourette, l'amour éternel
Dure le temps d'une fête, le temps d'un soleil
Et mon amourette qui était trop jolie
Vers d'autres conquêtes bientôt repartit … 🎶 .
oui 🎶 elle était si jolie 🎶 Je souffre d’indifférence et elle croit se couvrir d’amour 🎶 Ain’t no sunshine 🎶 .
il me reste ces rues mortes où j’erre parfois au hasard cherchant sa silhouette 🎶 quelqu’un qui ne ressemble qu’à toi 🎶 et espérant ne plus jamais me voir dans ses yeux … 🎶 souvenirs attention danger 🎶 les parfums de sa vie 🎶 me hantent …
Il y a toujours l’air d’un accordéon 🎶 à Paris 🎶 Padam Padam 🎶 trois petites notes de musique qui vous font la nique 🎶 et puis un jour il suffit d’un parfum pour qu’on retrouve soudain la magie d’un matin et l’on oublie l’avenir pour quelques souvenirs 🎶 .
🎶 j’aurais voulu danser 🎶j’aurais voulu te danser jusqu’au bout … au bout de quoi … jusqu’au bout … 🎶 désormais on ne nous verra plus ensemble 🎶 .
mais dis-moi 🎶 quand tu danses y songes-tu ? 🎶 jolie môme 🎶 pourquoi je saigne et pas toi 🎶 .
moi parfois je me sens 🎶 pauvre comme Job 🎶 et puis après je me la joue à la 🎶 Richard Toll 🎶 en pensant à un 🎶 Monsieur Richard 🎶 la nuit 🎶 devant une machine à sous 🎶 dans un bistrot qui n’a plus d’nom tell’ment les gens sont habitués à y danser 🎶 .
Tu sais 🐇 je crois qu’il n’y a pas plus douloureuse sensation 🎶 j'aurais su
Que le seul sentiment qui dure
C'est le chagrin d'une rupture
Où je n'aurais jamais rompu 🎶 .
Mais passons 🎶 n’en parlons plus c’est du passé elle ne l’aime plus 🎶
Je suis heureux d’être triste et triste d’être heureux . 🎶 Les beaux moments sont trop courts 🎶.
Et puis oui la vie 🎶il me reste la vie🎶
Il me faut juste changer de mémoire 🎶 c’est ainsi, les choses de la vie 🎶 un homme et une femme … depuis la nuit des temps … 🎶 un jour tu verras 🎶…
🎶 non je n’ai rien oublié 🎶 je sais aussi que tu n’oublieras jamais la baie de Rio 🎶 ni son homme 🎥 mais je sais que 🎶 même même si tu revenais 🎶 …
Allez ne m’en veuillez pas c’était juste une petite 🎶 mise au point 🎶 …
🎶 les jolies dansent sont rares 🎶
Je n’ai plus 🎶besoin de personne 🎶 c’est peut-être cela devenir adulte … qui sait ?
🎶 Comme tous les joueurs il cherchait
La carte qui est si délirante
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre🎶
Je me permets de piquer un post d’une amie fb « Partager des regards, du temps, des effleurements de peau, du café, des fous rires, et de la peau, et encore de la peau.
Plus on vieillit, plus on recherche la rondeur de la délicatesse »
- Stela Est
Et moi qui ne suis pas encore 🎶vieux comme l’hiver je vous dis
🎶 - merci - merci pour la tendresse et pour vos petites chansons 🎶 et tous vos mots 🎶 des copains d’abord 🎶 vous 🎶 les "auvergnats" qui sans façon m’avez donné des feux de joie 🎶 je vous souhaite une vie de chansons, de scènes de films, de pages de livres, de l’eau d’une claire fontaine, 🎶 de fruits des fleurs des feuilles et des branches 🎶 et de verres d’eau fraîche 🎶 .
Je suis à ma fenêtre avec un café je songe je regarde et je m’interroge 🎶 épique époque 🎶 est-ce ainsi que les hommes vivent? 🎶 passenger 🎶 ?
🎶 assis devant le restant de portion de frites 🎶
🎶 oh faites que jamais ne revienne le temps du sang et de la haine 🎶 et si j’y jouais mal mon rôle c’était de n’y comprendre rien 🎶 je ne fais pas de la merde grand public 🎶 moi je vis la vie d’à côté 🎶 Je ne crois pas que je cherchais la gloire.
J’avais peut-'tre seulement du mal ' jouer le jeu 🎶 .
Je crois que je ne pourrais pas l’avoir 🎶 jusqu’à la ceinture 🎶
je suis d’un autre pays que le leur 🎶 j’aurais pu m’appeler Max 🎶 je suis fils de marin 🎶. Je voyage en solitaire 🎶
🎶 il neige sur le lac majeur 🎶 et heureux celui qui meurt d’aimer 🎶 au pied de mon arbre 🎶 je chante pour passer le temps 🎶 car oui 🎶tous les marins sont des chanteurs 🎶.
🎶 Bella Ciao 🎶 il n’y en a pas un sur cent et pourtant ils existent 🎶 .
à tous bon vent et belle mer …🎶 dans cette caravane 🎶 le vent l’emportera 🎶 cette amitié qui a la douceur des plus beaux paysages et la fidélité des oiseaux de passages 🎶 que nous partageons … 🎶 dans le temps 🎶 il y aura toujours un coin qui me rappelle 🎶 cette maison bleue 🎶 où Faut passer par un chemin à péter un essieu, Où l’on peut voir les nuages courir dans les flaques d’eau 🎶 .
si j’étais québécois 🎶 je reviendrai à Montréal 🎶 et à tout hasard j'vous enverrai des becs
Chaque fois que je repasse à Québec
En espérant qu'un p'tit coup de vent
te les apportent pour rappeler le temps🎶
🎶 mais il faut que je m’en aille 🎶 c’était bien le petit bal 🎶 sera sans doute la pensée que j’aurai au bout des cinquante prochaines … et 🎶 qu’une heure, rien qu’une heure durant … 🎶
Je vais me refaire un café et chaque grain sera une pensée pour vous .
Sur une dernière musique sans paroles
( Amélie Poulain )
Ps :
à toi 🐈 que je garde comme un de mes plus beaux souvenirs .
à toi 🐇 malgré que je t’en veux de ne pas pouvoir t’en vouloir .
à toi ❄️ de Sibérie ( je te dirais plus tard )
à toi 🐁 pour ne pas m’avoir laissé à ma douleur … et patiemment presque inconsciemment de refaire fleurir ce jardin saccagé …
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ameretat · 6 months
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Georg Trakl, Marie Madeleine
MARCELLUS. - [...] Les dieux aiment poser à l'homme d'insolubles énigmes. Mais la terre ne nous sauve pas de la perfidie des dieux; car elle aussi est pleine de choses qui dérèglent les sens. Moi, les choses et les hommes me troublent. Certes ! Les choses ne sont pas bavardes ! Et l'âme humaine ne dévoile pas ses secrets. Lorsqu'on l'interroge, elle se tait.
AGATHON. - Vivons et n'interrogeons pas. La vie est pleine de beauté.
MARCELLUS. - Il y a beaucoup de choses que nous ne saurons jamais. Oui ! Et c'est pourquoi il serait souhaitable d'oublier ce que nous savons. Assez ! Nous voici presque arrivés. Vois comme les rues sont désertes. On ne voit plus personne. (Un vent se lève.) Cela est une voix qui nous dit qu'il nous faut contempler les étoiles. Et nous taire.
AGATHON. - Marcellus, vois comme le blé est haut dans les champs. Chaque tige s'incline jusqu'à terre - lourde de fruit. Nous aurons de magnifiques moissons.
MARCELLUS. - Oui, des jours de fête ! Des jours de fête, mon Agathon !
AGATHON.- Je vais aller avec Rachel à travers champs, à travers les champs fertiles, les champs prospères ! Ô merveilleuse vie!
MARCELLUS. - Tu as raison ! Réjouis-toi de ta jeunesse. Jeunesse seule est beauté. À moi, il convient de cheminer dans l'ombre. Mais ici se séparent nos routes. Ta bien-aimée t'attend, et moi - le silence de la nuit ! Adieu, Agathon. Nous allons avoir une admirable nuit. On pourra rester dehors longtemps.
AGATHON. - Et regarder les étoiles - ce grand calme. Je veux joyeusement poursuivre mon chemin et célébrer la Beauté. C'est ainsi que l'on s'honore et qu'on honore les dieux.
MARCELLUS. - Fais ainsi que tu dis, et tu feras bien ! Adieu, Agathon !
— trad. Jacques Legrand
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alexlacquemanne · 1 year
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Chapitre VII : C'est déjà ça..
« You'd know how the time flies. Only yesterday was the time of our lives. »
J’aime quand tu me dis que je sais des choses.
« Je suis tellement étonnée que tes mots semblent si vrais.. tu as raison pour de nombreuses choses. J'aime tes phrases. Certaines ici résonnent fort. »
Et tu dis que tu ne ressens plus rien ? Si les mots résonnent, c’est qu’il a un ressenti, peut être infime, mais un ressenti quand même.
Tu dis attendre le moment où je disparaîtrai à force de me pousser, tu risques d’attendre longtemps, je te préviens. Si tu veux me tester, vas-y, je suis assez confiant dans ma faculté à rester pas loin, de t’être utile, d’une manière ou d’une autre. Tu dis que plus personne ne pourra te blesser, c’est donc un moyen de défense ce qui est normal, mais je pense pas que tu es quelque chose de tel à craindre de moi, je pense pas t’avoir blessé par le passé, si peut-être une fois, qui en y repensant était totalement ridicule, mais bref, je n’ai aucunes intentions de te blesser, je ne suis pas là pour ça et je ne l’ai jamais était.
Tu compares souvent ta vie à une route, j’aime bien cette comparaison, par le passé, nous avons fait un bout de chemin ensemble, et aujourd’hui nos routes se recroisent, enfin non je préférais dire qu’elles sont de nouveau côte à côte, j’espère ne pas être un rond point pour toi, je veux être une aire de repos plutôt, avec un arbre gigantesque, quelques fleurs et des oiseaux, j’espère que tu y feras des arrêts fréquents.
Appelle-moi Alex, il y a d’autres personnes qui m’ont appelé ainsi, mais c’est comme une chanson, en fait, il peut avoir de bonnes reprises mais le sentiment de l’original est incomparable.
J'ai envie que l'on prenne le temps, j'aimerais qu'on écoute Dido, Adèle, ensemble.
S'il faut qu’à l’avenir, mes textes restent sans réponses, comme des bouteilles à la mer, et bien soit, je peux l’endurer, le simple fait que tu m’es dit que mes textes de fond du bien, me va. Et puis après tout, ça fait six ans que je m’entraine.
Bon, attention, ça va être mon moment un peu mégalo, tu dis que tu n’as pas toujours fait les bons choix par le passé, que tu aurais dû choisir une autre voie, je sais pas si ça me concerne, mais peut être, tu aurais peut-être dû ne pas me lâcher, en tout cas pas comme cela, et de mon côté, j’aurai peut-être dû me battre pour des gens que je considérais comme des amis au lieu de partir comme une merde en pleurant, mais bon. Tu dis, que quand on est bien avec soi, on sait de quoi on a besoin, ce qui est vrai, donc je ne vais pas trop mal avec moi-même, je sais ce dont j’ai besoin, d’amis, j’en ai deux qui sont très importants, et aujourd’hui je me battrai pour les garder parce que d'une certaine manière ils me sont vitaux, mais j’ai besoin de toi aussi, pour différentes raisons, l’une d’elles sera expliquées dans un texte qui viendra début juillet, pas sur toi, mais qui te concerne.
Tu sais, je suis très attaché aux symboles, tu as dû t’en rendre compte avec le temps, par exemple, quand je publie un texte, sauf exception je le publie le 12 du mois, même s'il est prêt bien avant, de même, souvent le 22 de chaque mois je publie quelque chose de Scarlett Johansson ou Katheryn Winnick, car elles sont liés à toi, et 22 est ton nombre. Le nombre 12 est très important pour moi. Donc, étant très attaché aux symboles, je pense que c’est peut-être le bon coup, cette fois, tu vas peut-être rester, le jour où tu m’as refait un message l’année dernière était le 12 juin, tu ne l’as sans doutes pas faits intentionnellement mais j’ai pris cela comme un signe, de même, à ce moment j’étais en Lozère pour un rallye historique, dans la location que j’ai l’habitude de prendre, ce même endroit où nous nous étions parlé la dernière fois, avec une fin, assez désastreuse. C’est peut-être le pont qu’il fallait pour recoller les morceaux. C'est sûrement rien du tout, mais j’aime bien le voir sous cet angle.
Il faudrait que je t’explique le rapport entre toi et Scarlett, car il est très important pour moi, à l'époque où l'on s'est connus, tu partageais souvent ce GIF de Scarlett qui fait un clin d’œil ou qui envoie un baiser, ou peut être les deux d’ailleurs, c’est devenu un symbole ça aussi, comme les chansons, With or Without You, If I Needed You, Toi et Moi ou Shape of You. Et après que tu sois partie, Scarlett a pris une place centrale, comme une version cinématographique de toi, c’est difficile à expliquer. L’un des premiers jours de 2018, donc grosso modo quatre mois après, j’ai vu Lost In Translation, ça a été comme une révélation, je sais c’est ridicule, mais j’ai fait une transposition, d’ailleurs le chapitre III est librement inspiré de ce film. Par la suite, chaque film avec Scarlett a été puissant et compliqué à voir en même temps, certains font partie de mes films préférés, comme La Jeune Fille à la perle. Puis, en janvier dernier j’ai vu L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, et j’ai pensé à toi tout du long, elle est liée à toi, pour moi, et j’aime ça.
La série Castle est liée à toi aussi, tout simplement parce que je regardais quand on s’est connus, beaucoup de citations me font penser à toi - il faudrait que je m’y remette pour les retrouver - encore plus maintenant que tu ressembles vraiment à Kate Beckett sur le plan affectif, et que moi j'écris, et que ma source d'inspiration c'est toi. Je pense aussi qu'inconsciemment, c'est grâce à cette série que j'ai écrit sur toi, et surtout que j'ai publié ici, j'avais besoin de faire de notre histoire quelque chose, une fiction, peut-être, je crois que je te l'avais dit il a longtemps avant le grand silence.
En effet, on est peut-être bloqué dans un espace-temps, mais ça me dérange pas d’être bloqué avec toi. Le fait que tu es peur que je n’avance pas reviens souvent dans les mots que tu m’envoies, c’est ridicule, il est vrai que j’avance lentement, mais je peux t’assurer que ça n’a rien à voir avec toi, je n'ai juste pas l’envie, le besoin d’avancer. J’ai une relation particulière à la vie, mais ça, tu n’y peut absolument rien.
Tu dis être devenu tout ce que je déteste, c’est que tu en sais plus que moi, sur moi. Je n’ai pas l’impression de savoir ce que je veux. Si tu avais été celle-là par le passé je ne t’aurais jamais parlé, tu dis, mais c’est toi qui es venue me parler si ma mémoire est bonne, d’une manière générale, je ne vais pas vers les gens, et il ne me semble pas avoir était vers toi, ou alors c’était une version de moi qui n’existe plus non plus.
Profite de ce que je t’offre, mes mots, ils ne coûtent rien. Peut-être que le fait que tu me blesses est inhérent, mais je suis prêt à prendre ce risque. Si tu veux que je te raconte des choses qui m’ont blessé, j’en ai quelqu'une en réserve. Reste, ne me laisse pas.
Il y a sûrement une raison pour laquelle on se retrouve dans cet espace-temps ensemble, encore, après tout ce temps, reste, je n'ai pas grand-chose à t’apporter mais je resterai là temps que tu en auras besoin, même si peut être tu ne t’en rend pas compte, et quand tu en auras assez, je disparaîtrai, comme par le passé, comme toujours.
La chanson Wrecked d’Imagine Dragons raconte tout notre histoire, au moins de mon côté, je l’écoute souvent en t’écrivant, elle m’inspire. Je ne sais pas bien pourquoi je n’ai pas réussi à t’oublier, le temps à fait son œuvre pour le reste de la période que l’on a partagé, mais toi tu restes là, gravé dans ma mémoire, et malgré les moments pas toujours sympas que tu m’a fait passé, le sentiment est positif, tu sais, je suis très fière que tu sois revenu, même si ce n’est pas totalement. J’ai abandonné l’idée de t’oublier il a un long moment déjà, si tu n’étais pas revenu, j’aurais continué à faire comme je fais depuis deux ans maintenant, vivre ma vie, avec des échos de toi qui viennent de temps en temps, je t’ai gardé avec moi depuis tout ce temps, et ton fantôme ne veut pas me lâcher, je lui laisse sa place, elle est conciliante, comme une ancienne version de toi, même si ce n’est pas l’adjectif qui te qualifié le mieux. Je sais que tu resteras pas tout le temps je l’ai compris, plus comme avant, malheureusement, mais ne pars pas trop loin, j’ai besoin de toi dans les parages, je continuerai de chanter des chansons en pensant à toi, même si tu ne m’écoute plus. J’ai besoin de toi pas loin, et crois-moi ce n’est pas une chose malsaine et ça ne m’avance absolument pas d’avancer. En bref, que tu reste ou pas ne change pas grand-chose pour moi, mais reste, s’il te plaît, j’ai besoin de mettre à jour mon souvenir de toi.
Pendant longtemps j’ai voulu t’envoyer une lettre manuscrite, si j’avais eu ton adresse je l’aurais fait je crois, et j’aurais glissé dans l’enveloppe une clé USB avec des chansons importantes.
Je prends chacun de tes messages comme si c’était le dernier, un enseignement du passé, et je sais très bien qu'un de ces jours ça sera l'autre toi qui me répondras, celle qui me trouve chiant, sans intérêt et qui crois perdre son temps en me parlant, elle reviendra un jour c'est certain, je ne sais pas pourquoi elle n'est pas encore réapparue, et j'espère que ce sera le plus tard possible, ou même jamais.
Je vais sûrement t’écrire plus souvent, j’ai peur que tu m’oublies, pour être honnête, j’ai besoin de repousser ce moment au maximum, car il est inéluctable, puisque je n’ai pas d’impact sur les gens et qu’il m’oublie assez vite, ce qui m’arrange la plupart du temps, mais pas avec toi. Mais c'est bien que tu me surprennes aussi, comme la dernière fois. J'aimerais te manquer, même si je pense que cela n'est plus possible.
« Don't forget me, I beg, I'll remember you said :"Sometimes it lasts in love but sometimes it hurts instead" »
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