Tumgik
#Cuisine suisse
mdameninie · 11 months
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Un weekend à Zurich
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Fondée le 06 avril 1929 et fière d'apporter les spécialités tessinoises à toute la Suisse 🇨🇭
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Merci à tous nos Mastri Salumieri qui nous ont transmis au fil des ans leur savoir, leurs traditions et surtout leur amour pour l'art de la charcuterie ! ❤️💙
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Et merci du fond du cœur à vous qui chaque jour nous donnez la motivation et la joie en cuisinant et en dégustant nos produits ! Quelle fierté !
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Découvrez notre histoire avec
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LE DOCUMENTAIRE LA BOTTEGA DI MARIO RAPELLI : 👉 https://www.rapelli.ch/fr/la-bottega-rapelli/documentaire
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olgachangblr · 11 months
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蘇黎世風味牛肉Émincé de Veau à la Zurichoise-德國Maggi調味包
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再記錄一道德國Maggi調味包料理:蘇黎世風味牛肉Émincé de Veau à la Zurichoise。
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<食材準備>
德國Maggi蘇黎世風味調味包-1包
牛梅花肉-800g  片成肉片狀
洋蔥-1個  切細末
蘑菇-600g  1/4剖切
奶油-30g
鮮奶-500ml
海鹽
黑胡椒
巴西里
<做法>
1.以15g奶油熱鍋,加入牛腩,煎炒至上色,撈起備用
2.再加入15g奶油,加入洋蔥炒至呈透明狀
3.加入蘑菇,炒軟
4.加入煎炒過的牛肉
5.加入鮮奶,加入蘇黎世風味調味包,拌勻
6.以中溫煮至沸騰
7.以海鹽與黑胡椒調味,關火
8.盛盤後,以巴西里增色添香即可
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必須說,滋味並沒有真材實料做出來的Émincé de Veau好吃,而從頭料理也並不困難,除了打發鮮奶油要小小花一點時間之外。不過,道地的Émincé de Veau有著難以言喻的香醇濃郁,口感柔滑,純樸之中帶著細膩,百吃不厭。料理,果然是含糊不得,每一縷氣味都會忠實反映出每一個無聲的細節。
在瑞士餐廳見到的Émincé de Veau,常常會搭著瑞士薯餅一起吃,也能搭配米飯。今天,我蒸煮了馬鈴薯做為side dish。裝入餐盒,搭配烤蔬菜,就成就了一頓溫潤卻不顯負擔的午餐。
然而這種超市調味包,象徵的是城市日常,是旅遊延伸,也是餐桌地景。當然,我會繼續蒐羅下去。
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hi-technique · 2 years
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tututfdp · 4 months
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Modern AU Kaamelott
(j'ai lut La petite hétéro by TheHappyEgg et ça ma rongé le cerveau donc voila mon AU foireux sur les perso de Kaamelott étudiant).
Arthur Pendragon
 " il sent la monster et la clops dès huit heure trente, baptiser “l’accumulateur compulsif”, j’ai nommer; Arthur Pendragon! "
Je vois Arthur étudiant en histoire de l'art avec options Archéologie, ses subjects préféré: Rome Antique/Grèce Antique - Moyen-Age. Il a redoublé sa L2.
Il a EVIDEMENT fait un Erasmus à Rome.
Il est aussi au conservatoire, musique classique ou modern.
Certainement président d'une association étudiante qu'il a repris ou créer ( Surement un truc du genre "La table ronde" pour que tous vos droit soit respecté)
Grinder/Tinder: Peux importe l'appli', il est dessus.
Surement boursier, doit certainement bossé à la BU ou à un U.
Vous pouvez pas m'enlevé qu'il écoute SUREMENT, du Kyo, il en a honte mais il a tous les albums et les a vue en concert.
Il conduit surement une monospace acheté sur le boncoin pour pouvoir trimbalé toute l'équipe.
A un décapsuleur/couteau suisse baptisé Escalibur.
Depression, burnout, anxiété, manque affectif, le con a un cocktail.
Bonus: Bisexuel voir Pansexuel ? Certainement polyamoureux.
Lancelot Du Lac
" Élus mister Université trois années de suite! le fière le fringant, Lancelot Dulac! "
Troisième années de droit, surement de droite qu'il dit "modéré".
Il est obviously, le secrétaire de l'asso' d'Arthur, ils l'ont créer ensemble à l'époque.
Un conte tinder qu'il assume pas, avec une description genre " Capitaine de l'équipe de badminton, j'aime les balade sur la plages, recherche relation sérieuse".
Je sais pas Lancelot c'est le connard qui conduit une mini, ou une voiture deux places...
Si il fait pas aussi partit du BDE/ est le chouchou des profs c'est pas normal.
Il fait de la poésie en cachette.
Je dirais BPD, ou problème de gestion de la colère, problème obsessionnelle, OCD meme ?
Bonus: Hétéro qui pourrait avoir une seul relation gay dans sa vie, genre pour être sur qu'il est bien hétéro.
Perceval De Galle
"Revoyant à peine la lumière du jour, sortit l’année dernière d’une prépa Math-Physique, je vous présente,  Perceval De Gales! "
Je peux pas être objectif c'est mon chouchou.
Premier année en école d'ingénieur.
C'est se genre de gars mauvais au collège/lycée mais qui est inaltérable à la fac.
Il a fait un bac pro Mécanique Auto pour bossé dans le garage de ses vieux, mais son prof de math la poussé à tenter une prépa.
Ce con a fait une prépa Math-Physique et il c'est jamais autant fait chier de ça vie car tous était trop facile.
Dyslexique, j'ai raison c'est tout.
Membre du club d’astronomie et de l’association de la table ronde en temps que fouteur de merde première catégorie.
Octogone sans règles des que quelqu'un parle de la théorie de la terre plate.
Le connard que Arthur va voir quand son monospace lâche.
La définition d'un "con intelligent"
C'est le con qui à donné "Escalibur" à Arthur.
Bonus: Celui la est technique: "Le genre qui sort avec une personne pour son âme et rien d'autre" Il s'en fout, beau moche, trans, cis, nonbinaire tous ca, si l'amour est là, il est là, sinon demi-sexuel.
Karadoc de Vanne
" Un petit creux ? Une baisse de sucre ? Besoin de savoir quel est le meilleur kebab rapport qualité pétage de bide? Alors il vous faut : Karado de Vanne!"
A rencontrait Perceval durant les années lycées.
Je le vois pas étudiant ? Ou peut etre un truc genre STAPS, mais plus pour la blague.
Lui il a fait un CAP cuisine.
Deuxième fouteurs de merde de première catégorie dans l'assos, mais il serre aussi de traiteur quand ils font une soirée.
Il conduit un kangoo, un véhicule de chantier qu'il prend à ses vieux.
C'est le type qui a réussis à couper une tranche de saucisson avec sa carte étudiantes
A une note google map avec tous les meilleurs restorant, bar, fastfood et kebab de la ville classé part ordre de qualité/prix.
Il connait toutes les petites boulangerie et fromageries de la ville.
A surement gardait sa carte METRO de son anciens job d'été.
Connait beaucoup trop de monde dans l'industrie agro-alimentaire.
Personne ne sait comment il a eu une copine.
Bonus: Hétéro part défaut, pas de questionnement rien, c'est les réglage d'usine.
Bah c'est déjà pas mal dis donc, si vous en voulez plus hésité pas à me demandé, j'ai encore Merlin, Bohort et Elias dans un coin.
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olympic-paris · 2 months
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story: SOUMISSION & DOMINATION 225
Vacances 2012-1
Le vol est sans histoire, j'admire en passant les Pyrénées les lignes d'éoliennes qui surplombent les lignes de crêtes coté Espagnol.
Quand nous arrivons à Barcelone, Javier nous attend avec une voiture de location. Il nous a trouvé une Chrysler 300C comme celle que nous avons. Nous embarquons les bagages et suivons sa voiture jusqu'à la location qu'il nous a trouvé. Finalement ce n'est pas la même villa.
Comme l'année dernière, la villa surplombe Sitges tout en étant à quelques minutes du centre ville et guère plus de la plage. De toutes les façons, il y a de grandes chances que nous n'y allions pas souvent.
La villa est grande, avec piscine et les frigos et placards ont été remplis selon nos demandes.
Nous jetons les valises dans l'entrée car une surprise nous y attendait.
Ernesto, en maillot ES déjà tout bronzé arrive du salon. Il nous saute au cou et j'ai même droit à une pelle interminable mais trop courte. De la cuisine Pablo sort en tablier blanc et nous précise que nous arrivons juste à temps pour manger. Il est suivit d'un mec qu'il nous présente comme notre cuisinier, lui étant toujours en contrat avec ses Suisses.
Le mec est canon, Pablo nous dit qu'il avait lui-même fait la sélection. Comme il est torse nu sous son tablier, nous pouvons admirer un torse bien développé, imberbe (ou rasé) avec des tétons qui transparaissent au travers du tissu blanc.
Je lui tourne autour. De dos il est bien balancé aussi. Je peux mieux voir son bassin étroit portant d'un cul bien rond, empaqueté dans un slip de bain bien tendu, qui surplombe des cuisses épaisses et des mollets assortis.
Pablo conclu la présentation en nous informant que Paco était bien " équipé " et recto verso dans ses pratiques sexuelles.
En attendant, il est 15h et effectivement, surement aidé par les odeurs sortant de ses casseroles, nous nous apercevons que nous mourons de faim.
Avant tout nous passons tous entre ses bras et j'ai le plaisir de voir que nous ne le laissons pas indifférent. Tout comme Ernesto et les autres mâles, il commence à bander et son tablier se soulève.
Paco nous observe et je vois qu'à son tour, sa queue commence à se gonfler de sang (même si le maillot réduit la visibilité de l'expansion).
Marc invite Javier à rester avec nous. Il se laisse convaincre rapidement et téléphone à son agence pour prendre le reste de sa journée.
Avant tout, nous nous mettons à l'aise, c'est-à-dire nu pour Marc et en maillots Aussiebum pour PH et moi. Javier n'ayant pas prévu le plan se met nu et nous pouvons voir que c'est son mode de bronzage.
Pour nous débarrasser le la " poussière " du voyage, nous piquons tous une tête dans l'eau. Evidemment, l'eau est bonne et nous faisons les fous jusqu'à ce que Pablo nous engueule pour le risque que ce qu'il ait préparé soit trop cuit.
Comme il nous a fait le plaisir de prendre sa journée auprès de ses suisses pour nous accueillir, nous faisons honneur à ses tapas. Le tout servi avec un petit rosé bien frais, c'est le paradis !
Nous le prévenons que pour le mois à venir, il trouvera son frère chez nous, il n'est pas question qu'il s'installe ailleurs. Ça lui convient car il se souvient que l'année passée, c'était lui qui nous avait demandé ce service.
PH s'attarde sur Paco. Quand ce dernier retourne à la cuisine avec les plats vides, il l'accompagne. Je les suis discrètement. Arrivé dans la cuisine, PH n'attend pas que Paco ait déposé ses plats sur la table pour lui mettre la main au cul.
Après s'être débarrassé de sa charge, Paco se retourne et engage une pelle avec PH. Pas farouche le cuistot ! je vois les mains de PH soulever le tablier et tâter l'équipement qui déforme bien le maillot.
Il ne lui faut pas longtemps avant de baisser le bout de tissus sur les genoux et je peux voir que Pablo nous a bien choisi son remplaçant. Sa queue bande dur et se dresse impérieusement entre les deux corps. De plus ses fesses sont blanches (relativement par rapport au reste de son corps très bronzé) c'est très sex !
Je ne peux plus me retenir, j'avance et me plaque au dos de Paco. S'il est surpris, il ne le laisse pas paraitre et mes mains se posent directement sur sa bite. A vue de nez, je dirais un bon 23cm par minimum 6 de large (plus tard nous le mesurerons à 23,5cm x 6,5 à 7 de diamètre).
Ma propre bite sort de mon maillot et se calle entre ses fesses. Pas de rejet, il n'interrompt pas son roulage de pelle.
Mon PH a l'air de bien apprécier le démonte pneu de notre nouveau cuisinier.
Avec un synchronisme parfait, nous glissons tyous les deux le long du corps de notre cuisto et alors que PH embouche le morceau de monsieur, moi je lui écarte les fesses et entame une feuille de rose sur un oeillet bien serré.
Nous lui faisons suffisamment d'effet pour qu'il soit obligé de prendre appui sur la table centrale.
Paco est le premier à nous lancer plus loin. Il tire de son tablier deux kpotes qu'il nous tend.
J'en prends une pour coiffer mon gland alors que PH déroule la sienne sur la bite ancillaire.
PH se redresse et se plie sur la table en écartant les jambes. Paco ne le laisse pas s'impatienter et juste après l'avoir lubrifié avec sa salive, il pousse sa bite dans le cul de mon mec. Je le laisse s'installer et attends qu'il soit entré jusqu'aux couilles pour l'enculer à mon tour. J'écarte ses fesses de mes deux mains et ajuste mon gland sur sa rondelle. Avec ma préparation et le lubrifiant de la kpote, je glisse sans trop de résistance jusqu'au fond de son anus. J'ai quand même le plaisir de l'entendre apprécier l'enculage.
Je m'écarte jusqu'à n'avoir plus que le gland prisonnier de son anneau, puis cesse tout mouvement. Paco comprend de suite ce qu'on attend de lui et s'anime de plus en plus vite.
Quand il encule PH il se décule de ma bite et inversement. Son anneau serre plus que ce que la première saillie m'avait laissée penser.
Il adopte un bon rythme et nous nous lâchons question expression de nos plaisirs. Du coup, quand Ernesto nous rejoint, il appelle les autres d'un " v'nez voir, ils sont déjà en train de baiser ".
Du coup nous continuons sous des regards intéressés, chauds, lubriques et ... finalement détournés, captés par les augmentations de volumes des bites présentes.
La cuisine se transforme en baisodrome et Marc en profite pour enculer Ernesto pendant que Pablo se fait le petit trou de Javier.
Je fais la remarque que cette année Ernesto garde aussi son cul blanc. Il rigole et me dit que finalement lui aussi a trouvé cela plus " sex ".
Par-dessus l'épaule de Paco, je m'inquiète de PH. Il me dit que Pablo nous a bien choisi son remplaçant et que l'équipement qu'il a en haut des cuisses est très efficace. Du coup j'ai hâte de me le prendre dans le cul.
Je n'y tiens plus et demande à mes partenaires de bouger. Je me fais enculer par Paco et je sodomise PH.
J'entre facile dans PH ne laissant pas le temps à son anneau de se refermer. Il s'emploi aussitôt à serrer sa rondelle jusqu'à ce que je me sente bien les bords du boyau.
Ayant changé de kpote bien que ce ne soit pas nécessaire (entre PH et moi il n'y a pas de barrières en synthétique), Paco se plante dans mon cul. Bien que préparé psychologiquement à me faire saillir par un étalon, je sens bien passer les 23cm et demi de chair raide. Je me détends et profite rapidement des bienfaits que procure un tel engin. Surtout que poussé par un Paco plutôt bien expérimenté, je prends un maximum de plaisir. PH s'en rend compte et me demande si comme lui, je jouis du limage en profondeur de mon anus.
C'est le cas et tous s'en aperçoivent aux gémissements qui sortent de ma bouche.
Je ne peux tenir plus longtemps et je cède aux coups de gland dans ma prostate et éjacule au fond de mon PH. Mon anus en pulse de contractions sur la hampe de Paco réussissant à le bloquer temporairement. Il apprécie les compressions et jute dans sa kpote, bien planté au fond de mon cul, accrochant mes épaules pour me souder à lui. 
Nous sommes les premiers à avoir juté. Paco nous sert un rafraichissement alors que nous matons les autres. Ils sont bien partis et leurs " gesticulations " finissent par porter leurs fruits et ils jutent les uns après les autres. Marc explose au fond d'Ernesto (avec Kpote) et ce dernier recouvre la table de cuisine de son sperme !
Pablo se retire juste à temps de Javier pour juter sur son frère alors que le sperme de Javier tombe sur le carrelage.
Nous remercions Pablo pour la sélection de notre nouveau cuisinier. Comme nous avons très faim après cet intermède sexuel, Paco nous concocte une omelette géante augmentée de poivron, tomate et pomme de terre.
Après une période de somnolence due au déjeuner tardif (et surtout à la baise), nous nous installons.
Ernesto ayant prévu nos envies avait déjà déménagé la literie et avec Paco, avait, dans la chambre principale apporté un deuxième grand lit, histoire de pouvoir tous les 4 coucher ensembles comme lors de son passage à la maison.
Marc lui fait savoir son approbation avec une pelle suivie d'une légère tape sur les fesses.
Nous continuons le tour, trois autres chambres constituent la partie nuit. Chacune a sa propre salle de bain avec baignoire et douche. La chambre principale est équipée d'une baignoire géante, plutôt un spa.
Le séjour est immense et ouvre grand sur une terrasse équipée pour le bronzage (grand tapis avec draps de bain) et fauteuils, tables basses... le tout cernant une grande piscine de 10m x 5 avec nage à contre courant.
Sur le coté de la maison, à l'est, la terrasse est équipée de quelques postes de musculation. Un banc de développé couché avec sa barre et ses 120Kg de poids et un combiné permettant de faire les dorsaux, les bi et triceps. Quelques altères finissent l'équipement.
Cela nous permet de voir qu'une pièce supplémentaire donne de ce coté. Curieux nous entrons. C'est la chambre de Paco. Elle donne sur la cuisine directement et est équipé de sa propre salle d'eau avec douche.
Comme l'année passée, Javier nous a trouvé une belle villa.
Nous ne devrions pas avoir besoin de trop descendre en ville sauf pour se faire des connaissances pour les touzes. Car cette année j'ai bien envie de faire nos propres choix avec PH et Ernesto.
Nous fainéantons jusqu'au diner (21h) sur la terrasse. Heureusement que nous avions déjà pris un peu le soleil, mais cela ne nous empêche pas de nous couvrir de crème protectrice (réciproquement c'est meilleur !!).
Comme nous avons presque 4 semaines sur place, nous ne nous rpécipitons pas en ville dès la première soirée.
Nous finissons notre installation et faisons mieux connaissance avec Paco.
Nous apprenons que c'est un copain de formation de Pablo qui, sachant nos besoins et ayant appris que Paco était au chômage, avait vu là un bon deal à faire.
Marc rassure Paco sur ce que nous attendons de lui. Coté cuisine nous ne sommes pas chiants, il nous fait ce qu'il veut dans le cadre d'un budget déjà assez conséquent, à lui de nous faire connaitre les plats espagnols et autres s'il le désire. Il devra aussi préparer des buffets froids quand nous organiserons des touzes. Coté sexe, il lui confirme qu'il n'y a rien d'obligatoire. Il est embauché comme cuisto et le reste est en plus. S'il veut baiser avec nous et les invités qui ne manquerons pas de faire venir à la villa, il est libre.
Paco le remercie pour cette mise au point et nous assure qu'il fera de son mieux et ajoute " coté cuisine comme coté sexe ".
Pablo nous a trouvé un bon plan !!
Le lendemain, après une grasse matinée qui s'est finie plus que coquine et un bon repas, avec Ernesto et PH, nous descendons à la plage histoire de voir ce que nous pourrions ramener à la villa.
Un peu de marche a pieds et nous voila sur la plage gay. Nous faisons un aller complet les pieds dans l'eau à mater les corps en train de bronzer (on va dire ça, c'est plus correct !). Puis retour et installation vers le milieu de la plage.
Notre arrivée n'est pas passée inaperçue. Faut dire que trois mecs, jeunes pas trop mal gaulés avec des maillots de bain à la bosse proéminente, ça ce remarque de suite !
Nous étalons nos serviettes collées les unes aux autres et nous couchons dessus après nous être recouvert de crème. Cette opération s'est bien sur, faite avec tous les regards du coin sur nous. Faut dire que question lascivité nous y avions mis le paquet !
Il faut quand même une heure avant que nous nous fassions abordés et seulement alors que nous étions partis nous rafraichir dans la méditerranée.
En effet, après avoir cuit une demi-heure sur chaque face, nous avons ressenti un besoin de fraicheur. En quelques pas, nous sommes entrés dans l'eau en courant puis avons crawlés vers le large. Petite course entre nous, Ernesto est le meilleur en pleine mer !
Après avoir joués ensemble quelques minutes, nous sommes revenus sur le sable. C'est en sortant de l'eau que nous avons été abordés par deux mecs, plutôt jeunes. Un probablement local très brun mais imberbe, bronzé avec un maillot bien rempli et l'autre blond, imberbe aussi, déjà bronzé bien que partant d'une peau pâle, type allemande maillot idem.
Ils se présentent. L'espagnol se prénomme Gustavo et le hollandais (en fait), Karl-August mais il nous dit de l'appeler KA. Ils ont l'air sympathique et nous nous installons sur nos serviettes pour discuter.
Ce sont d'anciens correspondants qui ont continué à se voir après les échanges et bien sur en vacances. Ils ont 18 ans tous les deux et ils nous disent carrément que s'ils sont bien ensemble, ils cherchent aussi à diversifier leurs expériences. Je les regarde de plus près. Ils sont pas mal eux aussi, sportifs, vu leurs musculatures plus formées que la moyenne et leurs maillots sont bien pleins même si je pense qu'ils ne sont déjà plus au repos complet.
Ils nous disent n'avoir trouvé, avec leur budget, qu'une chambre chez l'habitant et ne peuvent y ramener leurs " rencontres ".
Je jette un oeil à PH et Ernesto, ils ont l'air aussi bien disposés que moi envers eux
Je n'hésite plus et leur propose de venir chez nous pour la soirée. Ils acceptent aussitôt.  Je leur précise qu'à la villa il y aura aussi Marc et leur précise que c'est mon mec, cela ne les gêne pas plus que cela.
Comme je commence à en avoir assez de nous faire mater, je propose de lever le camp et de continuer notre conversation sur les bords de la piscine. Ils sourient et acceptent quand je leur dis de nous suivre.
JARDINIER
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l'équipe des animateurs du camping
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petit superrmarket pour les urgences
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Des amours passantes et passagères
Dans l’un de tes poèmes, tu lui demandes de te parler des endroits où il a grandi, qu’il te montre sa maison, ses peines et ses souffrances, afin que ses souvenirs viennent tenir compagnie aux tiens. J’aimerais à mon tour te raconter, leur raconter, ce lieu où toi et moi avons grandi, où tes souvenirs sont devenus les compagnons des miens. J’aimerais raconter comment cette compagnie de souvenirs fusionna pour que ton souvenir vienne tisser la toile de ma mémoire. J’écris pour que la trace de ton souvenir ne puisse plus jamais quitter les miens. J’aimerais leur parler de cet endroit où a grandi notre romance contingente, éphémère, passagère, parisienne, printanière, tragique et dramatique.
Il existe au midi de Paris un endroit unique au monde, étonnant, cet endroit prend la forme d’un immense parc qui abrite en son sein différentes maisons liées à des pays ou à des institutions. Cet endroit, la Cité internationale universitaire de Paris, n’a comme unique cohérence que la bigarrure des architectures, où chaque maison trahit le souci d’exprimer un attachement à un temps, à un lieu, voire aux deux à la fois : ainsi cohabitent dans un même voisinage et en un même parc une « machine à habiter » brutaliste qui n’a de suisse que le nom et une maison aux allures de temple traditionnel japonais. Cet espace pas comme les autres, un espace autre, différent – différant – n’est pas une utopie. L’utopie c’est cet espace sans emplacement sur lequel nous projetons, fantasmons, rêvons, idéalisons une société parfaite. Cette cité puisque réelle – inscrite effectivement dans notre espace en un lieu donné – n’est pas une utopie, mais une hétérotopie. L’hétérotopie c’est un espace autre, une utopie effectivement réalisée comme nous le dit Foucault. Ce sont ces espaces autres ou différents qui sont hors de l’espace dominant. La Cité U est une hétérotopie en raison de la manière d’y habiter. Plutôt que de parler de résidentes, il nous faudrait parler de passagères : c’est un lieu où par définition nous y restons que de passage, le temps d’un échange académique, d’un stage, d’une résidence ou d’une thèse. Y venir, c’est déjà se préparer à partir. C’est un chez-soi qui ne sera jamais à soi. La résidente est nécessairement une passagère.
Au levant de cet immense parc se niche une maison blanche aux volets bleus, cette maison est la plus petite de toute la cité et peut-être aussi la plus hétérotopique de toutes. À en croire son directeur, elle serait la seule qui applique les souhaits de M. Honnorat de par son architecture. Hétérotopie dans l’hétérotopie, cette maison ne nous rappelle pas une usine, un hôpital, une école ou une prison. Les chambres ne sont pas juxtaposées le long d’un corridor, évoquant ainsi les couloirs lugubres et sans vie des architectures de l’enfermement, mais sont disposées de telle manière qu’elles encerclent le cœur de la maison qui devient véritablement un foyer. Chaque passagère, si elle veut rejoindre sa chambre, aller à la cuisine ou se rendre dans les salles d’eau devra nécessairement traverser la pièce commune. À chaque sortie ou entrée apparait la possibilité d’une rencontre – heureuse ou fâcheuse au gré de la passagère que l’on rencontrera.
Au cours des deux années passées dans cette petite maison blanche, pléthore de rencontres ont eu lieu: souvent celles-ci se limitaient à un seul et unique bonjour, un signe de tête ou un regard ; parfois s’établissait au fil des jours une forme de complicité pas tout à fait naturelle mais non plus pas feinte du simple fait de cette cohabitation nécessaire ; qu’en de rares occasions ces rencontres devinrent véritablement relations de telle sorte que le lien qui nous unissait n’était plus de l’ordre du passage mais de la pérennité de l’amitié excédant le bref temps de nos passages. Une seule et unique fois une passagère est devenue une amante.
Cette amante, c’était toi. Je te regarde et tu ne te doutes pas que je rédige ces lignes. Je vois ta gracieuse et fine silhouette, ta haute taille et ta démarche assurée. Je vois tes yeux bleus cernés de chaque côté par deux fines m��ches de chaque côté de ton front, ces mèches se torsadent légèrement et prennent une courbe au niveau des joues roses et rebondies maculées de tâches de rousseur comme le reste de ton visage et qui te donnent un air espiègle. Ce que j’aime par-dessus tout dans ton visage ce sont tes rides qui témoignent d’une vitalité et une expressivité riche détonnant avec notre première impression de sévérité qui se dessine dans ton visage au repos. Il y a les rides de ton front : celles à la jonction du haut de ton nez et du coin intérieur de tes yeux. De l’autre côté, là où se torsadent tes mèches, des pattes d’oies se révèlent comme celle de ma tulipe noire. Si nous regardons ta bouche, tes fossettes nous sautent aux yeux ; celles-ci me ravissent à chacun de te sourires J’aime encore plus tes rides quand elles s’accentuent par une grimace, car je sais que tu délaisses un certain esprit de sérieux pour faire place à la malice et à la complicité. Ces rides sont d’autant plus touchantes car elles possèdent une certaine dimension dramatique, celle d’une perte qui t’a fait grandir trop vite à un moment, celui de l’adolescence, où le champ des possibles ne parait plus aussi infini qu’à l’enfance mais semble toujours marquée d’une incommensurabilité. Tes rides, dans la mesure où elles suggèrent un autre visage qui n’est plus, tracent sur ton visage la présence d’une absence, celle de la fin du monde, du monde qui t’a mis au monde. Celle-ci se devine aussi quand on observe ton petit nez d’une finesse délicate, ce nez minuscule orné de deux narines toute ronde encore plus prononcée par le contraste que produit ces rides. Il y a finalement ta bouche, cette bouche que tu tords et distords lorsque tu es prise par la cogitation ou la circonspection ; cette bouche aux lèvres roses et pulpeuses qui ne s’embrassent jamais réellement et de cette béance nous pouvons entr’apercevoir tes dents absolument blanches.
Nous oublions trop souvent d’écouter les mots, nous devons apprendre à entendre ce que les mots nous disent. Ta présence est ravissante, ravissante au sens le plus littéral du terme, je me suis senti comme pris de force par l’éclat de ton être, ton aura. Celle-ci m’a happé d’emblée. Puis nous nous sommes séduites et tu m’as ravie. Ton sens de l’écoute, ton sens de l’humour, ta curiosité et ta légèreté ont permis à un sentiment de confiance s’installer. Toute confiance véritable est une fiance, c’est-à-dire un engagement solennel et une promesse qui proclame : je veux que tu sois – je veux que tu existes (je veux que tu sois) et je veux que tu deviennes toi (je veux que tu sois). C’est dans le ravissement et la fiance que peut émerger le sentiment amoureux. Celui-ci émerge en s’abimant, ce n’est pas un hasard que l’on dit tomber amoureuse, car tomber amoureuse c’est s’abimer dans l’aura de l’être aimé, c’est désirer une errance infinie dans le paysage du corps de l’autre et s’aventurer dans le dédale des souvenirs de cet être afin que cette compagnie des mémoires puisse exister réellement. Le monde est chamboulé et l’on ne souhaite que l’être aimé devienne notre seul et unique cosmos.
Comment savoir si l’on est amoureux ? Est amoureuse, écrit Barthes, la personne qui attend. Force est de constater que chaque fois que je me rends dans le foyer de notre hétérotopie, c’est l’attente, ce tumulte d’angoisse, qui me submerge : seras-tu là ? Daigneras-tu discuter avec moi ? T’asseoir à mes côtés ? J’attends ta présence, mais plus encore j’attends un sourire, un regard et même une caresse ; je n’attends qu’un seul signe de tendresse ou d’affection qui à nouveau pourra me ravir et me rassurer. Chacune de mes venues dans les pièces communes s’accompagne de l’impatience de celle qui attend.
Cet amour, chère passagère, il doit être à la mesure du lieu où nous vivons, du lieu où je t’attends. Au sein de l’hétérotopie, je veux vivre avec toi une histoire inscrite dans un temps autre que celui des horloges et des calendriers, en dehors du temps physique et linéaire. Une romance authentique dans une hétérotopie doit s’inscrire dans une autre temporalité : une hétérochronie. Dans un lieu autre, penser un amour autre à partir d’un temps autre. Ce n’est pas l’amour des contes de fées que j’attends, je sais bien que nous ne vivrons pas heureuses jusqu’à la fin de nos jours et ayant beaucoup d’enfants. Toi et moi partirons au début de l’été dans nos contrées respectives et reprendrons le cours de nos vies comme ils s’étaient arrêtés le temps de notre passage. C’est évidemment un amour tragique car dès le moment de son éclosion il est voué à disparaitre à la fin de nos passages, il est par essence éphémère. C’est un amour qui jaillit, fleurit, éclot et périt. Cet amour sort du temps chronologique, ces successions de moments inscrits dans une linéarité, il est sans but hormis lui-même. Cet amour qui s’inscrit dans un temps autre, dans une hétérochronie, doit être kairologique pour qu’il puisse exister. Kairos dans la mythologie grecque prend la forme d’un petit dieu ailé, il représente l’occasion ou l’opportunité, ce petit dieu ailé ne se laisse apercevoir que par une touffe de cheveux au sommet de sa tête. Lorsqu’il passe devant nous, trois opportunités s’offrent à nous : ne pas le voir ; le voir et ne rien faire ; le voir et au moment de son passage tendre la main pour saisir l’occasion propice. Dans le cas d’un amour hétérochronique au sein de l’hétérotopie, il importe aux amantes de tendre la main à ce dieu ailé pour que les amantes puissent se tendre la main mutuellement, la prendre, la caresser et sentir la présence de l’autre en touchant et en étant touché. Cela exige d’être présent au moment présent, d’écouter son intuition et d’habiter l’instant dans une spatialité qui n’est pas linéaire. Dans le cas d’un amour passager, ce qu’il convient de cueillir est le sentiment amoureux propre dans tout son tragique et sa fugacité – Carpe amorem et qu’advienne l’amour passager.
À mes futures amours, ce sera cette saga que je narrerai quand je parlerai des lieux où j’ai grandi afin que mes souvenirs viennent tenir compagnie aux leurs. C’est cette même saga qui, à la fin de nos passages hétérotopiques, viendra à jamais hanter notre mémoire et les murs de cette singulière maison blanche aux volets bleus, où fugacement mes souvenirs ont tenu compagnie aux tiens.
L’attente amoureuse est l’attente que l’autre sache aussi saisir cet amour en attrapant la touffe du dieu ailé pour qu’advienne en l’hétérotopie la romance hétérochronique. La première fois que je t’ai pris la main chère passagère, j’ai cru que tu avais toi aussi aperçu ce dieu ailé, que tu l’avais attrapé par sa maigre touffe. Que les nuits d’amour qui suivirent cet évènement de la première caresse étaient la preuve que le dieu de cet autre temps était passé et que dyadiquement nous avions su le saisir. De simple amante, tu serais devenue l’amoureuse passagère. Les semaines s’écoulent et plus je passe du temps en ta compagnie, plus je me rends compte que certes Kairos est passé mais tu ne l’as pas saisi.
Le drame de cette romance est que toi mon amante, tu n’es pas devenue l’amoureuse passagère mais simplement la passante. La passante c’est l’incarnation de l’irréel du passé, de la contingence, de ce qui aurait pû ne pas arriver. En ne cueillant pas mon amour chère amante, il ne me reste que ta figure comme passante. Et mélancoliquement, je porterai ta présence de passante, dont la réminiscence sera teintée à la fois les souvenirs effectifs, ceux où les tiens ont tenu que trop brièvement compagnie aux miens, et les souvenirs du non-évènement de tout ce que nous aurions pu vivre mais que nous ne vivrons pas. C’est la compagnie de ces souvenirs réels et contingents qui viendront habiter mon cœur.
« Ô toi que j’eusse aimée ».
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bonsoirs37 · 1 year
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7 mai étape 33 Lorca - Torres del Rio. Tjrs un départ à 6h00, personne jusqu'à Estella (ville étape) . J'essaie de ne pas respecter les étapes décrites et surtout suivies par une grande partie des Pèlerins, ainsi j'évite la cohue a l'arrivée pour obtenir une place dans une albergue et aussi les départs groupés. Tous sont unanimes : il y a beaucoup de monde cette année, ça me change par rapport au tracé français de la voie de Tours jusqu'à St Palais. Il y avait beaucoup plus de monde sur la voie du Puy-en-Velay. Il y a quelques Français, il faut les trouver. Hier soir à table 1 Français sur 14...mais aussi 2 suisses francophones. Sur le chemin j'ai rencontré 4 femmes retraitées bretonnes, elle sont parties de Bretagne mais elle ne font que 3 semaines par an, normalement elle termineront l'année prochaine, autre rencontre,je n'ai pas retenu son prénom, mais elle a un gros problème, son sac à dos l'a lâché et donc rafistolage mais elle est déséquilibré et devra attendre demain pour trouver un magasin ouvert. Et enfin j'ai terminé le chemin avec une Jeune Blandine, de Lyon, elle fait un break de 6 mois dans son boulot et en profite pour faire el camino depuis le Puy-en-Velay. Ce soir, comme j'adore faire la cuisine, ce sera resto (repas de L'albergue en commun). Je me suis reposé et vais aller faire un tour dans le village pour me dégourdir les jambes.
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swedesinstockholm · 1 year
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10 mars
j’ai négocié du temps pour écrire dans mon journal pendant qu’elles font la cuisine en échange de faire la vaisselle après manger. j’ai passé tout le trajet jusqu’à zurich à noter ce que je voulais écrire sur mon téléphone mais je crois que je suis passée à autre chose, ça y est, j’ai fait la transition à genève avec r. et s. et notre bulle-résidence autogérée dans la salle du cinquième étage du bâtiment a de la head avec la vue sur les montagnes qui disparaissent quand il pleut. dans la cage d’escaliers en verre on voit un pic entièrement recouvert de neige. quand on fait les courses j’essaie de me persuader que “money is not a problem” comme disait pauline quand elle nous racontait la fois où ils ont joué en suisse avec sa compagnie de théâtre et qu’ils stressaient à cause de l’argent. mais ça va, je crois que j’ai fait des progrès. je me demande si ç’a un lien avec mes autres progrès. si tout est lié. je me demande aussi si tout ça, toute cette lente lente renaissance, c’est pas un peu lié à c. qui m’a délivrée de mes ancêtres dans sa maison aux meubles blancs et roses remplie d'orchidées à l’automne dernier. je sais vraiment pas quoi en penser. cet après-midi en discutant de l’histoire de r. on parlait de souvenirs, de flashs, ou de sensations qu’on pouvait avoir mais qui venaient pas de notre propre vie, de notre propre vécu, des trucs qu’on a hérités de nos ancêtres, des traces qu’ils ont laissées dans notre corps, dans nos os, comme l’explique camille de toldedo dans son livre sur son trauma de famille. mais je leur en ai pas parlé. je sais pas pourquoi.
parfois j’ai un peu peur de servir à rien parce que c’est le projet de r. et c’est s. qui prend les choses en main parce qu’elle a de l’expérience et qu’elle a un million d’idées qui lui viennent à la seconde et j’ai l’impression de rien avoir à apporter parce que c’est pas mon projet avec mon idée de départ et les idées me viennent plus lentement. alors j’essaie de me dire que je suis pas là pour rien, elles voulaient de moi à prague, elles m’aiment bien, je suis là, j’ai le droit, je fonctionne juste à mon rythme. même si aujourd’hui en les regardant balancer les boules de plâtre avec les micros attachés à un câble je me demandais si je voulais vraiment m’embarquer là-dedans. parfois je me demande si ce que je veux vraiment faire en fait c’est pas juste un one woman show où je raconte ma vie mais juste d’une manière un peu poétique et avec des chansons. est-ce que je suis vraiment une artiste, ou tout ce que je veux c’est juste raconter ma vie et me débarrasser de mes traumas? est-ce que j’utilise l’art uniquement comme thérapie et si ç’a aucun lien avec ma vie ou mon vécu, je m’en fous? elles parlent déjà d’un festival de performance en mai et d’un autre en janvier prochain et ça me fait un peu bizarre de me dire que ça va durer, dans le futur.
11 mars
quand je lui ai posé des questions sur ses études de théâtre, s. m’a parlé de tous les cours qu’elle avait dont un de moving, et donc elle est une mover, une bougeuse, there’s dancers and then there’s movers comme dit laura a. dans la conversation avec bruno, pas de manière péjorative, mais dans ma tête, un peu quand même. mover. on est tous des movers. c’est quoi ce terme. ce terme à ma portée. je deviendrai jamais une danseuse mais je peux devenir une mover. avec quelques workshops de plus et une bonne thérapie pour arrêter de me tenir voûtée. dans la conversation à un moment elle dit le mot performing arts comme si c’était un mot magique avec des étoiles qui clignotaient dans ses grands yeux, ou peut être que c’était dans les miens. mais depuis que je suis ici, tout ce à quoi je pense, c’est l’écriture. jeudi r. était plongée dans son trafic de mixer et de subwoofer et de câbles et de waveform et d’ableton live et d’échos et de reverb et d’ampli et d’aigus et de graves et de fréquences et de modulations et moi pendant ce temps j’étais assise par terre et je notais sur mon téléphone tout ce que je voulais écrire dans mon journal parce que je l’avais pas avec moi et je me sentais démunie. raconter la vie, toujours toujours, peut être que c’est le seul truc qui m’intéresse vraiment, mais peut être que tout art raconte la vie, mais vraiment, rien ne vaut l’écriture d’un bon livre. la technologie me gonfle. je suis une taoïste. un stylo et puis c’est tout. transformer la vie en histoire, comme avec a., raconter la vie des autres, celle de r. et de son père astronome en chine et de sa relation avec lui par exemple.
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claudehenrion · 2 years
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La loi des usines à gaz…ou “de la complexification sans raison”.
   Avant-hier, les p'tites anglaises… Hier, les belges… Et aujourd'hui, les gourdes…  ‘’No comment’’ ! Mais il y a quelques jours, feuilletant un catalogue électronique (car les versions papier sont très mal vues par les écolos et surtout par les arbres !) à la recherche de quelque chose d'inutile dont une pub’ vicelarde avait réussi à me donner envie à l'insu de mon plein gré, je suis tombé sur un objet genre “OVNI” –sauf qu'il n'avait pas l'air de voler (ce n'était donc pas un ballon espion lancé par les chinois pour voir en étant vus). La lecture du texte m'a inquiété : il était question d'une “gourde”, mais c'était à une vraie “gourde” ce qu'un couteau suisse (modèle avec 28 lames, scalpel, bistouri, allume-cigarettes, réserve de cannabis, etc)… est à un couteau de cuisine (modèle standard pour terroriste en mal de massacre).
Dans mon jeune temps, j'en ai pourtant connu, des gourdes. Et même… j’en ai fréquenté quelques unes –sans en tirer la moindre gloriole ! Il existait d’ailleurs un modèle pour scoutisme (en plus de certaines “cheftaines” qui l'étaient aussi). C'était un machin, ou plus exactement, un truc, mais en fer blanc et de forme vaguement “oblronde”, qu'on trimballait, tintinabulant à la ceinture ou sur le côté du sac à dos grâce à un mousqueton d'un modèle déposé –mais tout-au-fond, où on l'a d’ailleurs oublié, depuis. Avant de partir, on y versait une eau-du-robinet “à température dite ambiante”, qui devenait très rapidement tiédasse puis, la marche se prolongeant, carrément chaude, limite imbuvable. Pour dire la vérité, cet objet était très moche, intrinsèquement, et il était, en plus, rempli de bosses, preuves visibles de son “avoir servi”. Mais tel quel (pour le truc) ou telle quelle (pour la gourde), on l'aimait bien.
Puis le temps a passé, et je retrouve aujourd'hui “ma” gourde, revue et corrigée par les folies du progrès et du marketing réunis : la voilà donc devenue une espèce de n'importe quoi compliqué, qui a besoin d'un mode d'emploi de 8 pages, pliées par un origamiste nippon –où sont listés des quantités impressionnantes d'interdits et de contre indications, écrit en anglais “pidgin” par un coréen du sud et traduit en français (enfin… vous me comprenez, s’pa !) par un canado-burkinabé scolarisé en Tunisie !). Réinventée par des “designers” à la mode, c'est  –je les cite–  “un objet furieusement tendance, voire une pièce de collection”… Qui plus est, élevée au rang convoité d “alternative écoresponsable”, la voilà enrichie de tous les prodiges prodigues de la technologie la plus progressiste (éco-décarbonnée et Thunberg-compatible, garantie sans sucre ni sel, et tout, quoi…) : “Synchronisée avec votre smartphone, votre montre, votre bracelet connecté, ou n'importe quelle ’‘appli” qui vous aide à régler vos activités sportives’’ (car il est exclu que vous n'en ayez pas au moins une : il faut vivre avec son tank, comme dit Zélensky !)… votre gourde va déterminer la quantité d'eau que vous devez (vous avez bien lu : “devez”!) avaler, en fonction de votre âge, de votre corpulence, de votre activité physique, de la température et de l'hygrométrie ambiante et de la lubie du jour de la folle Sandrine Rousseau’’. Traduit en français : “C'est vous, la gourde, si vous en achetez une !”.
D'autant qu'on ne vous a pas (encore) tout dit : comme les machines vous estiment incapable de subvenir à vos besoins élémentaires et qu'elles vous croient inapte à survivre sans leur assistance à et de chaque instant –à un point tel qu'on en arrive, cette dépendance et notre docilité augmentant avec le temps qui passe, à même se demander très sérieusement si elles n'ont pas de bonnes raisons de le penser !–… “votre gourde (franchement pas si gourde que ça !) vous enverra, en temps et en heure, des messages d'alerte, en s'illuminant (avec des leds… laides. C’est un exemple, mais elle peut aussi faire dring-dring, ou pouêt-pouêt…) chaque fois qu'il sera utile ou nécessaire que vous buviez de l'eau (car cette gourde-à-tout-faire sait, elle, quand vous devez boire et combien, elle. Mais apparemment, vous…pas !).
Cerise sur le fer-blanc (qui est entre temps devenu de la couleur que vous voulez, vert-lagon-des-mers-du-sud ou mauve ’'Yette”, et qui offre –au choix– un toucher pashmina, soyeux ou cachemire et un contact de pétale de rose (verte ou mauve, comme on l'a dit !), “le modèle B 5533 M 87 -le plus cher, vous vous en doutiez– peut même vous tenir informés  du nombre de bouteilles de plastique que vous n'avez pas achetées grâce à elle, donc le nombre de tortues-lyres qui ne mourront pas étouffées, et donc (au carré), votre contribution au sauvetage de la planète (calculée par la norme d'ECO-Nantes, reconnue d'utilité éco-con (pas- ’'tible”) par le Giec et Greta Thunberg, pacsés pour l'occasion. Vous pourrez très facilement en déduire votre empreinte-carbone, ce qui, reconnaissez-le honnêtement pour une fois, est de toute première nécessité quand vous avez déjà 4 heures de carapate dans les semelles et qu'il ne vous en reste plus que 5 à tirer avant votre douche salvatrice… (vérifiez avant de la prendre qu'elle est équipée du zizi-panpan qui empêche que l'eau coule une fois que vous êtes savonné : ce geste peut aider des gens, indéterminés mais quintuple-vaccinés, à éviter les coupures d'eau. “C'est bon pour la planète !” (NB : “Ceci est un message du Ministère de la transmission déconologique”, comme le rappelle McKinsey sur les chaînes du “Sévice public”).
Plus j'avançais dans la lecture de cette mine d'informations utiles (à quoi ? Je n'ai pas réussi à trouver, encore… mais ça va venir : je ne suis pas une gourde, tout de même !) et dans la découverte atterrée de tout ce dont le fait d'être né en 1934 m'a privé… plus je revivais mes 2 pèlerinages à Saint Jacques de Compostelle, et tous les autres, des “chemins de Saint Paul” à ceux de François d'Assise (pèlerinage qui se fait debout, contrairement à son nom), au Mexique, au Moyen-Orient, en Bosnie, au Portugal, et en France, tant de fois ! Que d'infos utiles j'aurais pu avoir… Dire que je serai enterré sans savoir ni quoi, ni combien, ni qu'est-ce, dans ma caisse ! Que de regrets, pour avoir pérégriné surtout dans les années 2000 ! J'en ai les phalanges gourdes, de taper la liste de mes éco-échecs (et mat, comme ma vieille gourde). Depuis hier, je me demande  sérieusement si je ne vais pas en remettre un coup, rien que pour savoir combien de litres j'ai bu tel mardi par rapport au jeudi de la semaine précédente… Que j'ai été gourd, de faire ça si tôt ! Quelle gourde !
Il me reste tout de même une série d'informations à vous fournir : le prix ! En ces temps de course poursuite après un pouvoir d'achat “inflatué”, c'est fondamental, non ? Alors… j'ai sélectionné pour vous le modèle “Starter Kit Inox 480 mL + 5 Pods Hiver offert” (NB : ne me demandez pas ce que ça veut dire, s'il vous plaît !), à 59,95 €, TVA incluse (ça fait tout de même dans les 420 balles ! Ma vieille avait dû coûter 10 à 12 francs !). Livraison : 2-4 jours ouvrés (+1 BEL) (et là, même demande). Capacité : 480 ml. Adapté à l’eau plate & pétillante (Ouf !). Poids : 452 g (vide, bien sûr). Fraîcheur : jusqu’à 14h. Embout : silicone adapté à la bouche, comme les tétines (?). Sangle : silicone adapté à la bouche (comprenne qui peut !).
Pour tout vous dire… deux recommandations ont pesé lourd dans ma sélection : (1)-Conserver à un endroit frais et sec (ils nous prennent vraiment pour des grosses gourdes), et (2)- “Oui oui, air up®”, n’est pas de la chimie, mais avant tout de la science qui stimule ton (sic) sens olfactif ! (Ça vous fout un coup de gourde hein !). Mais, in cauda venenum, il y a, sous la description de cette gourde pour gourdes, une petite notule qui précise: ’'Livraison : “Ajouter 29,00 € pour bénéficier de la livraison gratuite” (NB : je jure que je n'invente rien. Le coup de la livraison gratuite à 29,00 € , soit dix fois le prix… c'est la preuve qu'ils savent ce que c'est qu'une gourde, une vraie… et que j'ai été sélectionné !).
Moralité : je vais retourner de fond en comble (plutôt que ‘’de cond en fomble’’, comme m'a suggéré un de mes petits fils) la maison de mes parents pour retrouver ma bonne chère vieille gourde “en duralumin”, et écouter de mes deux es-gourdes ce qu'elle a à me raconter pour me dé-gourde-ir, après ce plongeon dans la folie du monde et la passion de notre temps pour les usines à gaz inutiles. Mais au fond,   “Pourquoi faire simple quand on a la chance de pouvoir faire compliqué ?”.
H-Cl.
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aisakalegacy · 2 years
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Automne 1894, Al Simhara, Égypte (4/6)
Al Simhara se trouve à moins de trente minutes à pied du site de Deir al-Bahari, un complexe funéraire qui regroupe des constructions des trois premiers millénaires avant Jésus-Christ.
La découverte du site de Deir al-Bahari s'est faite en trois étapes : la première, conduite par un groupe de pilleurs locaux, les frères Abd el-Rassoul, a mené à la découverte du temple de la reine Hatchepsout - que Champollion a longtemps pris pour un homme et que, si vous en avez lu les ouvrages, vous connaissez sous le nom du roi Aménenthé. La seconde, dirigée par des explorateurs français, a permis la découverte de nombreux reliefs magnifiques mais a mené au pillage de la tombe. Et la dernière est celle à laquelle je participe actuellement : menée par Edouard Naville, égyptologue suisse, elle a pour but d’enregistrer et de copier les reliefs peints avant que ces derniers soient abimés par l’exposition au jour, ou pire, dérobés.
Le camp est installé à la sortie du village d’Al Simhara. Les palmiers permettent de se protéger du soleil du désert, et c'est un bon endroit pour dormir la nuit et pendant la journée si les températures deviennent trop élevées. C’est un camp de dimensions modestes, composé de neufs tentes où dorment les archéologues et les travailleurs. Au centre du camp se trouve le seul bâtiment en dur, qui abrite la cuisine et sert également de réfectoire. Les artefacts découverts y sont abrités puis déplacés à Louxor, à une heure de chameau.
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gfrino · 4 days
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Découvrez la beauté culinaire de Grotto al Ritrovo : le nouveau site qui enchante les sens
Un restaurant pittoresque avec une vue splendide : situé dans un village suisse pittoresque, le Grotto al Ritrovo est un restaurant charmant qui séduit depuis longtemps les habitants et les voyageurs à la recherche d’une expérience authentique de la cuisine suisse. Sur leur nouveau site web, les amateurs de cuisine trouveront une expérience visuelle attrayante et une vitrine numérique des…
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latribune · 5 days
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lebeausite · 9 days
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Vivez la tranquillité à l'Hôtel-Restaurant Le Beausite : le meilleur hôtel de Saint-Luc
Niché au cœur des Alpes suisses, l'Hôtel-Restaurant Le Beausite offre un mélange parfait de confort, de charme et de vues à couper le souffle. Ce refuge serein, situé dans le village pittoresque de Saint-Luc, est un havre de paix pour les voyageurs en quête d'une escapade tranquille au milieu des plus belles richesses de la nature. Avec ses services exceptionnels et son hospitalité chaleureuse, l'Hôtel-Restaurant Le Beausite a acquis sa réputation de meilleur hôtel de Saint-Luc, ce qui en fait une destination idéale pour les amateurs d'aventure et de détente.
Un cadre alpin incomparable
Saint-Luc, un village pittoresque de la région du Val d'Anniviers, est réputé pour ses paysages époustouflants, allant des vallées verdoyantes aux majestueux sommets enneigés. Hôtel-Restaurant Le Beausite est parfaitement situé pour permettre aux clients de profiter de ce cadre grandiose. Que vous soyez en visite en été ou en hiver, les vues panoramiques sur les Alpes sont tout simplement fascinantes. L'emplacement de l'hôtel permet un accès facile aux sentiers de randonnée, aux pistes de ski et aux autres activités de plein air de la région, ce qui en fait un lieu de prédilection pour les amoureux de la nature et les aventuriers.
Hébergements exceptionnels
L'hôtel-restaurant Le Beausite propose une gamme d'hébergements conçus pour répondre aux besoins de tous les clients. Que vous voyagiez seul, en couple ou en famille, vous trouverez des chambres confortables, spacieuses et soigneusement décorées pour refléter le charme alpin de la région. Chaque chambre est équipée d'équipements modernes pour vous assurer un séjour relaxant et agréable.
L'atmosphère chaleureuse de l'hôtel est complétée par la vue imprenable depuis les fenêtres, vous permettant de vous réveiller chaque matin face à la beauté des montagnes. La décoration chaleureuse et rustique de l'hôtel, combinée aux commodités modernes, crée un environnement accueillant qui donne l'impression d'être chez soi.
Dîner à son meilleur
Le restaurant du Beausite est une destination culinaire en soi. Proposant un menu qui mélange la cuisine suisse traditionnelle aux saveurs contemporaines, le restaurant est connu pour son utilisation d'ingrédients frais et locaux. Les clients peuvent se régaler d'une variété de plats, des classiques alpins copieux aux délices gastronomiques, tous préparés avec le plus grand soin et la plus grande créativité par les chefs talentueux.
Dîner à l'Hôtel-Restaurant Le Beausite n'est pas seulement une question de nourriture, c'est aussi une question d'expérience. Le restaurant offre une ambiance chaleureuse et accueillante, parfaite pour profiter d'un repas avec ses proches après une journée d'exploration. Que vous savouriez un petit-déjeuner tranquille ou que vous vous régaliez d'un dîner composé de plusieurs plats, l'expérience culinaire au Beausite laissera certainement une impression durable.
Explorez Saint-Luc et au-delà
Saint-Luc offre un large éventail d'activités dont les visiteurs peuvent profiter tout au long de l'année. En hiver, le village se transforme en un paradis hivernal, avec un accès à certaines des meilleures pistes de ski de la région. Que vous soyez un skieur chevronné ou un débutant, les pistes s'adressent à tous les niveaux d'expertise. Pour ceux qui préfèrent un rythme plus tranquille, la raquette et la luge sont également des activités populaires.
En été, le village est un paradis pour les randonneurs et les vététistes. Les sentiers autour de Saint-Luc offrent des vues imprenables sur les montagnes et les vallées environnantes, avec des options allant de la promenade facile à la randonnée difficile. Le village abrite également plusieurs sites culturels et historiques, dont le célèbre observatoire François-Xavier Bagnoud, où les visiteurs peuvent observer les étoiles et en apprendre davantage sur l'univers.
Détendez-vous et ressourcez-vous
Après une journée passée à explorer la beauté naturelle de Saint-Luc, il n'y a pas de meilleur endroit pour se détendre que l'Hôtel-Restaurant Le Beausite. L'atmosphère sereine de l'hôtel, combinée à ses équipements haut de gamme, garantit à chaque client de se détendre et de se ressourcer pendant son séjour. Que vous vous imprégniez de la beauté des montagnes dans le confort de votre chambre ou que vous savouriez un verre sur la terrasse, l'hôtel offre un refuge paisible loin de l'agitation de la vie quotidienne.
Conclusion
Pour ceux qui recherchent une expérience alpine inoubliable, l'Hôtel-Restaurant Le Beausite se distingue comme le meilleur hôtel de Saint-Luc. Avec son mélange parfait de confort, de luxe et de beauté naturelle, il offre à ses clients la possibilité de se connecter avec la nature tout en profitant d'une hospitalité de classe mondiale. Que vous soyez en visite pour une escapade aventureuse ou une retraite paisible, l'Hôtel-Restaurant Le Beausite est l'endroit idéal pour découvrir la magie des Alpes suisses.
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prairiehotel · 13 days
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Vivez un Nouvel An mémorable à Hôtel Vue Des Alpes à Crans Montana
Niché au cœur de la Suisse, Hôtel La Prairie offre un refuge serein entouré par la beauté naturelle époustouflante des Alpes suisses. Situé dans la ville pittoresque de Crans-Montana, ce charmant hôtel allie l'hospitalité suisse traditionnelle à des équipements modernes, créant ainsi un mélange parfait pour une escapade relaxante. Que vous soyez en visite pour skier, faire de la randonnée ou simplement pour vous détendre, Hôtel La Prairie vous garantit une expérience mémorable avec son atmosphère chaleureuse et son service exceptionnel.
Niché au cœur des Alpes suisses, Crans Montana est l'une des destinations les plus captivantes pour une escapade hivernale. Le charme de la région, en particulier pendant la saison des fêtes, est sans égal. Que vous souhaitiez profiter d'un séjour luxueux, vous adonner à un dîner gastronomique ou vous immerger dans les vues alpines à couper le souffle, Hôtel Vue Des Alpes offre le cadre idéal pour célébrer le Nouvel An avec style.
Un séjour unique à l'Hôtel Vue Des Alpes
Hôtel Vue Des Alpes est plus qu'un simple lieu de repos ; c'est une porte d'entrée vers une expérience alpine luxueuse. Situé dans un endroit pittoresque avec une vue imprenable sur les montagnes environnantes, hôtel allie le confort moderne au charme d'une retraite alpine traditionnelle. Les clients peuvent profiter de chambres spacieuses et élégamment conçues qui offrent une atmosphère chaleureuse après une journée passée sur les pistes ou à explorer la beauté pittoresque de Crans Montana.
Les excellentes installations de l'hôtel, dont un spa, un centre de remise en forme et un service de classe mondiale, garantissent un séjour à la fois confortable et mémorable. L'Hôtel Vue Des Alpes est réputé pour son souci du détail, offrant des services personnalisés pour que chaque client se sente spécial.
Dîner au restaurant Vue Des Alpes
L'un des points forts de votre séjour à Hôtel Vue Des Alpes est la possibilité de dîner au restaurant Vue Des Alpes. Connu pour son menu exquis, le restaurant propose une fusion de cuisine suisse traditionnelle et de plats gastronomiques modernes. En utilisant des ingrédients d'origine locale, les chefs créent des repas qui non seulement satisfont vos papilles gustatives, mais reflètent également l'essence de la région.
Des fondues délectables aux plats de viande et de poisson finement élaborés, le restaurant Vue Des Alpes offre une expérience culinaire qui complète parfaitement le paysage alpin à couper le souffle. L'ambiance du restaurant est à la fois chaleureuse et élégante, ce qui en fait un endroit idéal pour un dîner romantique ou une célébration festive en famille et entre amis.
Célébrez le réveillon du Nouvel An à Crans Montana
Crans Montana est un pays des merveilles hivernal qui devient encore plus magique pendant les célébrations du Nouvel An. La station balnéaire est célèbre pour ses fêtes de fin d’année animées, qui attirent des visiteurs du monde entier. L’atmosphère vibrante, combinée à de superbes feux d’artifice sur le paysage enneigé, crée une expérience inoubliable.
Séjourner à Hôtel Vue Des Alpes vous permet d’être au cœur de l’action tout en profitant de la tranquillité d’un refuge luxueux. La proximité de l’hôtel avec les festivités vous permet de participer facilement aux célébrations tout en ayant un sanctuaire paisible où revenir à la fin de la nuit.
Pour ceux qui préfèrent une célébration plus calme, l’hôtel propose un dîner spécial de réveillon du Nouvel An au restaurant Vue Des Alpes. Laissez-vous tenter par un menu soigneusement élaboré qui propose les meilleurs ingrédients de saison, associés à des vins et champagnes exceptionnels pour trinquer à la nouvelle année. L’ambiance chaleureuse du restaurant et son service impeccable en font l’endroit idéal pour commencer l’année en beauté.
Crans Montana : un paradis hivernal
Au-delà des célébrations du Nouvel An, Crans Montana est un paradis pour les amateurs de sports d’hiver. La région offre un large éventail d’activités, du ski et du snowboard aux randonnées en raquettes et au patin à glace. Les pistes de Crans Montana sont connues pour leur variété, s’adressant aussi bien aux débutants qu’aux skieurs confirmés.
Pour ceux qui préfèrent explorer la beauté de la région à un rythme plus lent, les environs offrent des sentiers de randonnée à couper le souffle et des vues panoramiques. La combinaison d’une nature intacte, d’un hébergement de luxe et d’activités passionnantes fait de Crans Montana une destination idéale pour une escapade hivernale.
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Si vous cherchez à célébrer le Nouvel An dans un endroit inoubliable, Hôtel Vue Des Alpes à Crans Montana est le choix idéal. Que vous soyez attiré par le charme du paysage alpin, l’effervescence des festivités du Nouvel An ou le confort d’un hôtel de luxe, votre expérience à l’Hôtel Vue Des Alpes vous laissera des souvenirs précieux pour les années à venir.
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suisse-ch · 29 days
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La Chaux-de-Fonds, située dans le canton de Neuchâtel en Suisse, est une ville unique avec une riche histoire, notamment en horlogerie, et un patrimoine culturel intéressant. Voici quelques suggestions pour profiter pleinement de votre visite à La Chaux-de-Fonds :
1. Visiter le Musée International d'Horlogerie (MIH)
Le Musée International d'Horlogerie est un incontournable pour les amateurs d'horlogerie. Ce musée abrite une collection impressionnante de montres, d'horloges, et d'instruments de mesure du temps. Vous y découvrirez l'histoire de l'horlogerie et les techniques de fabrication des montres suisses, célèbres dans le monde entier.
2. Explorer la Maison Blanche
La Maison Blanche est l'une des premières réalisations architecturales de Le Corbusier, l'un des architectes les plus influents du 20e siècle. Cette villa, construite en 1912 pour ses parents, est un exemple précoce du style qui allait marquer l'architecture moderne. La visite vous permet de plonger dans l'univers de cet architecte visionnaire.
3. Découvrir le Parc Zoologique du Bois du Petit-Château
Ce parc zoologique est parfait pour une sortie en famille. Il abrite une variété d'animaux, principalement indigènes, dans un cadre agréable et verdoyant. Le parc est gratuit et propose également une mini-ferme pour les enfants, où ils peuvent découvrir de près les animaux de la ferme.
4. Promenade dans le Quartier des Musées
Le quartier des Musées regroupe plusieurs musées intéressants, notamment le Musée des Beaux-Arts, qui propose une collection d'art moderne et contemporain, et le Musée d'Histoire, qui raconte l'histoire locale et régionale. Ce quartier est parfait pour une après-midi culturelle.
5. Visiter la Villa Turque
Autre œuvre de Le Corbusier, la Villa Turque, également connue sous le nom de "Villa Schwob", est un autre exemple remarquable de l'architecture moderniste. Elle est généralement ouverte pour des visites guidées, mais il est recommandé de vérifier à l'avance les horaires de visite.
6. Découvrir la Manufacture Cartier
La Chaux-de-Fonds est un centre historique de l'horlogerie, et la ville abrite encore plusieurs manufactures de renom, dont Cartier. Certaines manufactures proposent des visites guidées (sur réservation), où vous pouvez découvrir le processus de fabrication des montres de luxe.
7. Explorer les Montagnes Neuchâteloises
La Chaux-de-Fonds est entourée par les montagnes du Jura, offrant de nombreuses possibilités de randonnées, de promenades et d'activités en plein air. En hiver, la région est également propice aux sports d'hiver comme le ski de fond.
8. Visiter l'Atelier de la Main
Cet espace est dédié à la création et à l'artisanat, mettant en avant le savoir-faire local. Vous pouvez y découvrir des ateliers d'artistes et d'artisans, et parfois même participer à des ateliers pour apprendre des techniques artisanales.
9. Admirer la Ville Patrimoine de l'UNESCO
La Chaux-de-Fonds, avec sa voisine Le Locle, est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO pour son urbanisme horloger. La ville est construite selon un plan en damier conçu pour optimiser la lumière naturelle dans les ateliers d'horlogerie. Une promenade dans les rues permet d'apprécier cette architecture unique.
10. Profiter des Événements Locaux
La Chaux-de-Fonds propose tout au long de l'année divers événements culturels et festifs, comme le festival "La Plage des Six Pompes", un festival international de théâtre de rue, ou encore des concerts et expositions temporaires. Consultez le calendrier local pour ne rien manquer lors de votre visite.
11. Déguster la Cuisine Locale
Ne manquez pas de goûter à la cuisine locale, notamment les spécialités neuchâteloises comme la fondue au fromage, la raclette, ou la saucisse neuchâteloise. Plusieurs restaurants de La Chaux-de-Fonds proposent des plats traditionnels dans une ambiance conviviale.
12. Faire du Shopping Local
Promenez-vous dans le centre-ville pour découvrir des boutiques locales, notamment des magasins d'horlogerie, des galeries d'art et des boutiques de produits artisanaux. Vous trouverez sûrement des souvenirs uniques à ramener de votre visite.
Conclusion
La Chaux-de-Fonds est une ville riche en histoire et en culture, avec un lien fort avec l'industrie horlogère. Que vous soyez passionné d'architecture, d'histoire, ou simplement à la recherche d'une belle escapade dans les montagnes suisses, La Chaux-de-Fonds offre une multitude d'activités pour tous les goûts.
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