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#La morte-saison des amours
nicoooooooon · 8 months
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La morte-saison des amours (1961) featuring Françoise Arnoul and Pierre Vaneck
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auxoubliettes · 1 year
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La Morte-Saison des Amours, dir. Pierre Kast (1961)
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kilfeur · 13 hours
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Ce qu'un enfant ferait pour ses parents
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Lors de l'épisode 8 de la saison 3, Rayla décide de rester à la flèche de tempête pour payer le prix de la faute de ses parents et Callum voit sa raison de rester comme une fierté. Dans l'épisode 9 de la saison 6, Callum a fait un bracelet de phoenix de lune pour qu'elle puisse revenir dans le monde des vivants. Dans le nid de Zubeia, Callum a utilisé un sort de lune pour connaître la vérité sur ce qui s'est passé ! C'est grâce cette information que Rayla a pu dire que c'est grâce à ses parents que l'oeuf est en sécurité et qu'ils ont pu le ramener à sa mère. Malheureusement, elle se sépare d'eux et bien que ça lui brise le coeur. Ses parents comprennent mais ils savent qu'elle aura une bonne vie. Ce qui contraste avec Claudia qui retrouve Viren car elle a besoin qu'elle lui montre le bon chemin, que c'est grâce lui, qu'elle a pu se construire. Mais Terry essaie de la raisonner car un mort ne peut pas donner de réponses. Viren était son phare qui s'est éteint dans les flammes.
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Rayla décide de sauver Runaan lui rappelant qui il était, l'assassin mais aussi le père qui l'a élevée. Et par son amour et celui d'Ethari, elle le ramène dans le monde des vivants auprès de Callum. Tandis que Claudia en apprenant le passé d'un père aimant sa défunte fille. Cela lui permet de retrouver l'amour nécessaire, celui malsain et auto destructeur, pour exécuter le sort. Encore une fois leurs amours envers leurs parents se confrontent à nouveau (J'en parle plus ici). Rayla peut enfin tourner la page concernant ses parents. Elle avait quitté Callum pour traquer Viren, qualifiant même de vengeance dans la saison 4 pour avoir des réponses concernant sa famille. Alors que Claudia qui voit son modèle détruit, elle trouve du réconfort avec Aaravos en sympathisant avec sa peine. Quand à Terry, il trouve que cette histoire d'amour est devenu tordu par la suite. Aaravos la manipule en choisissant les bons mots pour décrire Leola mais aussi Viren. Il le qualifie d'un père aimant, un grand homme qui était prêt à tout sacrifié quitte à être mal compris. Ce qui se complète avec la phrase "peu importe si c'est ignoble ou dangereux".
En parlant avec mon ami, il trouve qu'il y a un contraste entre ces deux là, sur comment elles gèrent leurs deuils :
Claudia a longtemps été dans le déni en étant obsédé de ressusciter son père que quand ce dernier voit toute les erreurs qu’il a faite et qu'il décide d’en subir les conséquences, dans la paranoïa, sa fille croit que tout le monde l’abandonne pour au final essayer d’accepter la vérité.
Rayla se résigne à la mort de ses parents au début car elle les voyait comme des traîtres. Avant que Claudia lui donne les pièces deux ans plus tard pour qu'au final elle accepte qu'ils se soient sacrifiés en héros. Ramener ses parents aurait été égoïste de la part de Rayla, alors qu'Ethari attend toujours le retour de Runnan. Donc au final c’est Claudia qui a agit par égoïsme et Rayla par abnégation.
What Would a child do for their parents
In episode 8 of season 3, Rayla decides to stay at the storm spire to pay the price for her parents' wrongdoing, and Callum sees her reason for staying as pride. In episode 9 of season 6, Callum made a moon phoenix bracelet so she could return to the world of the living. In Zubeia's nest, Callum used a moon spell to learn the truth about what happened! With this information, Rayla was able to say that it was thanks to her parents that the egg was safe and that they were able to return it to his mother. Unfortunately, she's parting ways with them and although it breaks her heart. Her parents understand, but they know she'll have a good life. This contrasts with Claudia, who finds Viren because she needs him to show her the right path, that it's thanks to him that she's been able to build herself. But Terry tries to reason with her, because a dead man can't give answers. Viren was her lighthouse, which was consumed by flames.
Rayla decides to save Runaan, reminding him of who he was, the murderer but also the father who raised her. And through her love and that of Ethari, she brings him back to the world of the living, back to Callum. Claudia, on the other hand, learns of the past of a father who loved his deceased daughter. This allows her to regain the love she needs - the unhealthy, self-destructive love - to carry out the spell. Once again, their love for their parents collides (more on that here). Rayla can finally turn the page on her parents. She had left Callum to track down Viren, even calling it vengeance in season 4 to get answers about her family. While Claudia sees her role model destroyed, she finds comfort in Aaravos, sympathizing with his grief. As for Terry, he finds the love affair twisted in the aftermath. Aaravos manipulates her by choosing the right words to describe both Leola and Viren. He calls him a loving father, a great man who was ready to sacrifice everything even if it meant being misunderstood. This is complemented by the phrase “no matter how vile or dangerous”.
Talking with my friend, he finds that there's a contrast between the two of them, in terms of how they deal with grief:
Claudia has long been in denial, obsessed with bringing her father back to life, but when he sees all the mistakes he's made and decides to face the consequences, in paranoia, her daughter believes that everyone has abandoned her, and finally tries to accept the truth.
Rayla resigns herself to her parents' death at first, seeing them as traitors. Then, two years later, Claudia gives her the coins, and she finally accepts that they sacrificed themselves as heroes. Bringing back her parents would have been selfish on Rayla's part, while Ethari is still waiting for Runnan's return. So in the end it was Claudia who acted out of selfishness and Rayla out of self-sacrifice.
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octoberbluegates-fr · 5 months
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Qu'est-ce que Beltane a à nous apprendre?
Je suis d'avis qu'une fête ne sert pas juste à comémorrer ou à s'amuser. Certes, c'est peut-être une déformation professionelle de chercher du sens partout XD Mais je pense que beaucoup de personnes s'accordent à dire qu'une fête est une occasion de réfléchir à quelque chose, et d'en retirer une intention ou une morale, comme dans les contes de fée.
Alors, qu'est-ce que Beltane a à nous apprendre? Ca dépend des traditions, bien sûr, on ne retire pas la même intention de Walpurgisnacht, de May Day ou de Floralia. Mais ce que je trouve en commun dans la plupart des traditions c'est l'idée d'expression.
Le printemps se termine et l'été pointe son nez, les insectes sont déjà en effervescence depuis que les bourgeons se sont ouverts, c'est la saison des amours pour beaucoup d'animaux, en particulier les oiseaux. S'il y a une partie de l'année où la vie est à son comble, c'est celle-là.
D'ailleurs, Beltane est à l'opposée de Samhain sur la roue de l'année. Samhain est traditionnellement le moment où l'on se replie sur soi et où l'on honore les morts, il fait donc sens qu'à Beltane, on célèbre au contraire la vie.
Et célébrer la vie, pour beaucoup, c'est célébrer l'origine de la vie, la conception, bref, le sexe. Cela peut donc être une première chose que l'on peut apprendre de Beltane : la sexualité est quelque chose que l'on peut célébrer. C'est assez basique, mais c'est un message qui échappe à certaines personnes, en particulier dans la culture de la pureté qui s'étend partout en ce moment.
La sexualité, c'est quoi? C'est la reproduction, l'accouplement, la perpétuation de l'espèce, certes, et cet aspect est plus que présent dans les célébrations où l'on retrouve nombre de symboles sexuels, dont le mât de Mai est un des exemples les plus connus : l'arbre, symbole phallique, entouré par les rubans tressés autour pour symboliser l'union.
Mais la sexualité, c'est bien plus que cela, en particulier chez les humains où elle est si complexe que nous ne la comprenons pas encore réellement. C'est l'attirance, d'une part, le fait d'aimer ou non une personne, et comment et pourquoi. La sexualité, ça représente donc aussi l'ouverture aux autres, la confiance, le respect. C'est une chose qui nous lie aux autres êtres humains, même si c'est loin d'être la seule.
La sexualité, c'est aussi, (et surtout d'après moi), une recherche du plaisir, et c'est, bien plus que l'aspect reproducteur, ce qui relie la sexualité à la vie. Le plaisir est la motivation principale de toutes nos actions. Plaisir au sens large, je ne parle pas juste de l'orgasme, même s'il en fait partie. Nous avons du mal à manger lorsque la nourriture ne nous plaît pas, même si elle contient tous les nutriments nécessaires. Certaines études montrent même que nous assimilons moins de nutriments lorsque nous ne prenons pas de plaisir à manger. Nous prenons des bains parce qu'ils nous détendent plus que parce qu'ils nous lavent. Nous avons inventé le sport parce que jouer nous procure du plaisir, la mode parce que la beauté nous procure du plaisir. Même les kinks qui jouent sur la douleur ou l'absence d'orgasme procurent du plaisir, simplement un plaisir différent.
Bref, célébrer la vie, c'est célébrer le plaisir de vivre, et c'est une deuxième chose à retenir de Beltane. Nous ne vivons pas pour travailler, mais nous travaillons à être heureux. Les difficultés endurées servent à arriver à ce sommet du plaisir que représente Beltane, et il est très important de ne pas perdre cela de vue. Beltane pourrait donc nous permettre de nous interroger sur ce qu'est le plaisir, qu'est-ce qui nous en procure réellement? Et ainsi, on peut en venir à ce qui est important dans notre vie, quelles sont ces choses qui nous procurent du plaisir et que nous avons besoin de protéger? Les rituels de protection font partie des traditions de Beltane, c'est donc une autre question à se poser.
Ce qui me ramène à l'idée que j'avais à la base, l'idée d'expression. Nous savons, au fond de nous, ce qui nous procure du plaisir, c'est quelque chose d'animal, et célébrer Beltane, c'est exprimer cette partie animale, naturelle, de notre être. Nous sortons de la période sombre de l'année, où nous nous refermons et regardons en nous, et entrons dans la partie claire où nous pouvons faire "fleurir" métaphoriquement ce que nous renfermons, nous ouvrir aux autres.
Que pouvons nous donc apprendre de Beltane? A accepter sa sexualité, et celle des autres. A profiter de tous les plaisirs que la vie offre, de la bonne nourriture à la reconnaissance des êtres aimés. Et à creuser au fond de soi pour exprimer, pour faire sortir, cette partie de nous naturelle et animale que nous avons tendance à réprimer.
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janelher · 1 year
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« Automne malade »
Le ciel orangé
Se laisse emporter
Par des je t’aime très
Bientôt
Noël peut attendre
Nos cœurs en septembre
S’automnent et s’entendent
Tout seuls
Évitant les flaques
Mon sourire se braque
De peurs et de claques
Pourtant
Ma peine s’est éteinte
Mes envies distinctes
Volettent sans crainte
Vers tes yeux bleus clairs
Le ciel effacé
Cartable écaillé
Par mes je t’aime très
Bientôt
Ce tableau colporte
Un espoir, de sorte
Que la nature morte
De nous
Se mue en eau vive
Mi claire mi captive
Et qu’amour s’en suive
Venez
Colères sanguines
Et doutes en glycine
Frayeurs sous-marines
Vous pouvez entrer
Mon amour ne tousse
Que quand l’hiver mousse
Mais si tu me touches
Alors
Je sens sur mes lèvres
Mes larmes se taire
Tes bras me soulèvent
Brûlants
La saison des fables
Se terre, incapable
De lire une étoile
Sans toi
La saison des peintres
Se déchire, enceinte
De tes rages saintes
Et de mes dix doigts
La pluie ne bouscule
Que les cœurs qui hurlent
D’amours minuscules
D’abord
Aucune inquiétude
J’ai fait mes études
Au lycée Prélude
C’est bon
Je saurai nous vaincre
Mon encre est en nacre
Je m’ancre à tes frasques
Et toi
Aime-moi sans peine
Appelle-moi ta reine
Et je serai tienne
Jusqu’en au-delà
Le ciel orangé
Se laisse emporter
Mais je t’aimerai
Demain
Que la fête vienne
La haine s’en aille
Sans gêne, si tu m’aimes
Je t’aime
Ma tristesse est morte
Ta tendresse m’apporte
Des joies en cohortes
Venez
Colères sanguines
Et doutes en glycine
Frayeurs sous-marines
Vous pouvez entrer
Je suis tant aimée
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heartpeeler · 7 months
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good doctor fait officiellement parti des séries que je ne regarderais plus ou du moins pas avant un bon bout de temps. je déteste quand les scénarios vont dans un sens qui ne suis pas ce que j’attendais et la mort de Melendez n’est absolument pas la bienvenue en vu de tout ce que je vis en ce moment. j’avais besoin de la relation brown x melendez, c’était la relation la plus saine et tendre que j’ai vu en 4 saisons. depuis les premiers épisodes j’ai attendu que ça évolue, et quand ils commencent à éprouver des sentiments l’un pour l’autre, on sacrifie l’un des amants ?! comment peuvent ils faire autant souffrir leurs personnages, des personnages qui ont déjà tellement souffert et qui méritaient ne serait ce qu’un semblant de bonheur. j’ai besoin d’un amour qui perdure dans le temps, je peux plus gérer les fictions massacrantes qui réduisent mes joues à de grosses bassines à larmes. pourquoi même dans la fiction je peux pas apaiser mon cœur et me perdre dans un amour mielleux qui me donnerait presque envie de rendre mes tripes. ils étaient fascinants ensemble, là où avec d’autres partenaires ils se seraient prit la tête, tous les deux ils riaient, ils étaient partenaires et amis et un quelque chose en plus qu’ils n’auront jamais l’opportunité de faire exister. je déteste cette facilité exécrable à faire souffrir les personnages, à les utiliser et les tuer à notre guise comme si c’était si facile et que dans une partie de ma tête tout ça n’était pas réel..? dans une dimension fictive ces personnages existent et les scénaristes sont les dieux perfides qui font s’abattre sur eux mille et un tourments JE SUIS FÂCHÉE TRISTE ET FRUSTRÉE je veux juste que ça soit simple et qu’on arrête d’avoir tout le temps mal alors que c’est pas censé faire si mal
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gai2024 · 7 months
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Un été inoubliable
La beauté de la saison la plus chaude de l'année est incomparable, et cet été-là... oh, cet été était définitivement inoubliable. Tout a commencé avec l'anticipation des mois qui se terminaient, des valises faites et des rêves se réalisant sous le ciel bleu immaculé et le soleil qui reflétait la lueur dorée dans le cœur des aventuriers.
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Le voyage a commencé avec un kaléidoscope de paysages qui passait à travers la vitre de la vieille voiture qui, malgré ses bruits et ses caprices mécaniques, était la capsule temporelle qui nous transportait dans un univers parallèle où les soucis quotidiens n'existaient tout simplement pas. Les chansons jouées étaient la bande originale d'un film d'été, où chaque chanson mélodieuse portait en elle la promesse de moments éternels.
La destinée? Un petit village côtier accueillant, dont les plages étaient des franges de pure magie baignées par l'océan. Chaque grain de sable, chaque coquillage sur le rivage, chaque vague déferlant avec une force délicate sur la plage était une invitation à recommencer, à inspirer quelque chose de nouveau. C'était comme si le temps avait son propre rythme, une sorte de cadence paisible qui apaisait l'âme.
Et c’est là, dans la douceur des après-midi langoureux et des nuits étoilées, que les amitiés se sont renforcées. Les rires partagés à l'ombre des cocotiers, les jeux et défis improvisés que seul le détachement des routines permet, les saveurs tropicales qui se marient parfaitement avec la brise marine... Tout a contribué à construire la tapisserie d'expériences que l'on en viendrait à appeler " le meilleur été de notre vie."
L'amour donnait également un air de grâce, d'une manière aussi naturelle qu'un coucher de soleil qui teinte le ciel d'une palette incroyablement vibrante. Les amours estivales sont faites de différentes matières, tissées avec la lumière dorée du soleil et la liberté du vent qui ne connaît pas de frontières. Et même si toutes ne durent pas au-delà de la saison, leur saveur est ravivée à chaque vague qui embrasse la plage dans un éternel retour.
Il y a eu aussi des moments d'introspection : les promenades solitaires le long de la plage à l'aube, quand le soleil répète ses premiers accords à l'horizon et que la brise porte encore la fraîcheur de la nuit qui s'en va. Dans ces moments-là, des conversations silencieuses avec soi-même étaient possibles et la mer devenait la meilleure auditrice des confidences et des rêves.
Alors que le mois d'août touchait à sa fin, la nostalgie commençait déjà à projeter son ombre, mais c'était une ombre douce, car chaque souvenir était déjà enregistré dans des couleurs vives, prêtes à être consultées lorsque le froid des autres saisons soufflerait à travers les feuilles mortes du futur. jours. .
Cet été inoubliable nous a appris à vivre, à aimer, à être libres. Il a montré que le bonheur est fait d'instants et que la beauté de la vie réside souvent dans la simplicité : une baignade dans la mer, un sourire partagé, la chaleur du soleil sur la peau.
Lorsque les sacs ont été refaits et que la vieille voiture nous a ramenés à la maison, nous avons compris que quelque chose en nous avait changé. Nous étions chargés non seulement de souvenirs, mais aussi d'une expérience qui nous avait transformés. Ainsi, chaque été porterait ensuite un peu de cette magie, une flamme éternelle qui nous réchaufferait avec le souvenir de jours d'un été absolument inoubliable.
Suivre sur Instagram: @mylife.usa2024
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sh0esuke · 10 months
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" My Dear "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Gojo Satoru
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Sous cette averse assommante, accompagnant le traintrain quotidien des habitants de Kawasaki, deux vieux amis se retrouvent. Le moment n'est plus à l'espoir et aux rêves, mais, à travers leurs paroles, ils se prouvent le contraire.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : spoil de la saison deux, premier amour, pas de violence.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟔𝟗𝟐.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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La pluie s'abattait lourdement sur la terre fraîchement retournée. Elle était dure, violente, bruyante, elle ne me laissait aucun répit, inapte à me plonger dans mes propres pensées. Elle me frappait, elle me secouait, elle me maintenait consciente. Inconnue des conditions météorologiques de ma ville natale, je n'avais pas emporté de parapluie avec moi, j'avais été trop pressée lors de mon départ pour me préoccuper d'un détail qui, sur le moment, m'avait semblé futile. De la tête aux pieds, j'étais donc trempée. Le foulard sur mon visage me collait à la peau, ma longue jupe était couverte de boue et mon épais t-shirt à manches longues était devenu inconfortable, rongeant mon épiderme. Tous mes vêtements étaient étroits, ils m'étouffaient, à deux doigts de m'étrangler. Et l'averse qui avait pris pour otage l'endroit n'aidait pas. Elle n'était pas seulement la cause de ma condition, elle l'aggravait.
Les perles de pluie qui tombaient du ciel me frappaient, elles s'effondraient durement sur moi. Certaines explosaient sur mes paupières, forçant mes yeux à se fermer, d'autres, au contact de mes bottes à plateforme. Mes chaussures pointaient le bout de leur nez sous ma jupe.
Ça n'était pas confortable par un tel temps, mais j'étais accroupie au sol.
Accompagnée par deux jolies fleurs meurtries, j'étais accroupie. Les pétales étaient éparpillées un peu partout par terre, quelques unes couvertes de boue, d'autres noyées par des petites flaques. Je les tenais fermement dans le creux de ma main, j'en avais presque mal. Elles n'avaient plus aucune valeur, pourtant. Elles ne dégageaient qu'un fort sentiment d'amertume en moi, sachant que je n'avais pas été capable de les protéger.
Ils étaient morts.
Mon père, ma mère avaient été assassinés, et je n'avais pas été capable de les protéger.
Je me penchai en direction de leur tombe, déposant une fleur sur la pierre tombale de ma mère, puis sur celle de mon père. Je penchai la tête en bas en signe de respect, et la relevai pour y contempler les gravures inscrites.
À l'intérieur des lettres, des gouttes d'eau avaient trouvé refuge, elles s'accrochaient désespérément aux nombreux creux. La plupart glissaient sur les pierres. Elles coulaient sur le marbre épuré, telles les larmes de désespoir de mes parents. La terre autour était presque noire. Dans cette partie du cimetière, il n'y avait pas de verdure, l'enterrement s'était fait dans le plus grand des silences et nos proches ne s'étaient sûrement pas encombrés de faire cela en beauté. Ils s'en étaient assurés sachant que je n'étais pas là. Le cœur meurtri, je laissais mes larmes se mêler à l'averse et aux pleurs de mes parents. Honteuse, je détournai le regard.
J'observai ma valise, abandonnée sur ses roues sales, tout aussi mouillée que le reste, et la poignée rétractée. Elle m'avait accompagnée jusqu'ici, de ma chambre d'étudiante jusqu'à l'aéroport, le taxi, et le cimetière. Dans ce moment bouleversant, elle avait été ma seule compagne, ma seule confidente. Car, à présent, je n'avais plus rien.
Aussitôt, je fermai mes paupières.
Le bruit autour de moi devint assourdissant. Je me concentrai sur ma respiration, tout en frôlant du bout de mes doigts les morceaux de terre sur la tombe de ma génitrice. Mon souffle était étrangement calme. Mes pleurs n'étaient pas paniqués, j'étais encore dans le déni, peut-être... Oui, peut-être que si je m'assurais que tout cela était bien réel, je me mettrais à hurler et à attaquer le premier venu. Je n'étais pas encore prête. Je préférais me recueillir ainsi ici. Cela apaisait le trou béant dans ma poitrine, cela rassasiait sa faim.
Le temps sembla se stopper au moment où quelque chose me toucha.
Au début, je crus rêver : la pluie s'était arrêtée, elle ne m'écrasait plus, elle ne camouflait plus mes pleurs. Et une main s'était posée sur mon épaule. Quelqu'un m'avait rejoint.
Il prononça mon prénom, et je me retournai violemment afin de lui faire face.
« Je savais bien que je t'avais reconnue. »
Mon cœur me tomba dans le ventre.
« Su.. »
Tremblantes, mes mains s'accrochèrent à ma poitrine. Je peinais à y croire. J'étais... Il... Mes doigts raffermirent leur prise sur mon t-shirt à manches longues. Mes lèvres s'entrouvrirent. Je ne pris la parole qu'après quelques secondes.
« Satoru..? » murmurai-je. « Qu'est-ce que tu fais ici ? »
Accompagné d'un parapluie transparent, et vêtu de son uniforme, il se tenait devant moi, lui aussi était accroupi. Satoru avait la tête penché sur le côté. Puisque ses lunettes tombaient de son nez, mes yeux et les siens se regardaient sans aucune barrière. La fenêtre de son âme m'était dévoilée. Je le questionnai du regard.
« Je pourrais te poser la même question. » répliqua-t-il. « Je te pensais en France pour tes études. »
Déglutissant, je jetai mon pouce par dessus mon épaule et pointai du doigt les tombes de mes parents.
« Je suis rentrée, mes.. mes parents sont morts. »
Immédiatement, mes larmes brouillèrent ma vue. Ma lèvre inférieure commença à trembler violemment, je n'étais pas assez rapide pour me reprendre, je ne pouvais que tourner la tête et inspirer un grand coup.
« Je⸺ Ça⸺Ça fait un bail. »
Évidemment qu'il était là, je ne comprenais pas pourquoi j'étais surprise. Après tout ce temps, le fait qu'il vienne ici n'était pas une surprise, mais plutôt une évidence. Pas pour moi, non, mais pour lui et mes parents. La culpabilité devait le ronger, tout comme moi.
« Tu as revu Suguru depuis ton retour ? » me questionna Satoru.
Je secouai la tête.
« Je n'ai pas eu de nouvelles depuis un mois et demi, j'ai⸺je n'ai pas la moindre idée d'où il peut être. »
Triturant les plis de ma jupe sur mes genoux, je replongeai mes yeux dans les siens. J'avais comme besoin de le contempler, pas seulement parce que nous discutions, mais plutôt parce que cela m'aidait à m'accrocher à la réalité. Fixer le bleuté galactique de ses pupilles me certifiait que cela n'était pas un rêve. Car, même dans mes plus beaux songes, Satoru n'arborait pas une telle expression rongée par la peine. L'intensité de son regard me prit par surprise. J'avais gentiment tourné la tête et, à présent, j'étais comme figée sur place.
« Satoru... »
Secouée par mes sanglots, je me mordis la lèvre inférieure.
« Il l'a vraiment fait ? Suguru, il.. il a vraiment tué nos parents ? Ça n'est pas un rêve ? »
« J⸺Je.. »
Subitement, sa main libre attrapa la mienne, faisant s'écarquiller mes yeux. Satoru la serra fort. Il entremêla presque nos doigts ensemble.
« C'est ce qui s'est passé, n'est-ce pas ? Ne me mens pas. » j'insistai.
« Oui. »
Satoru caressa le manche du parapluie de son pouce. Il me paraissait hésitant, comme si chaque parole extirpée d'entre ses lèvres lui faisait mal. Je n'osais pas le lui dire, mais c'était de même de mon côté. À force de pleurer, mes yeux me brûlaient et mes poumons me faisaient mal. Je ne pus que le contempler davantage, incapable de lui sourire.
« Il.. Il a disparu ? »
« Oui. » acquiesça-t-il. « J'ai eu l'occasion de l'arrêter, mais je suis désolé, j'ai pas réussi. J'ai perdu sa trace. »
Ce fut à mon tour d'hocher la tête. Dans une grimace, j'essuyai mes larmes de ma main libre et reniflai.
« Non, c'est à moi de m'excuser. »
« Quoi ? Non. »
Je secouai vivement la tête.
« C'est moi, Satoru. C'est ma faute. »
Mes doigts s'écartaient, découvrant le tatouage à l'intérieur de mon auriculaire. Un papillon noir. Simultanément, une larme perla le long de ma joue jusqu'à ma jupe. Celle-ci était déjà bien trop humide pour s'en rendre compte. Je contemplai le dessin, minuscule et symbole du lien fraternel me reliant à ce fichu bon à rien de Suguru.
« Tout est de ma faute.. »
J'essuyai ma larme et déglutis.
« Je suis désolée de vous avoir laissé seuls, tu n'aurais pas dû traverser ça. »
Satoru serra ma main.
« Je t'assure, tu n'y es pour rien. Suguru, il⸺ »
« J'aurais dû m'en rendre compte, j'aurais dû le remettre sur le droit chemin ou juste l'aider.. »
Il expira un faible soupir.
« Ne culpabilise pas.. »
« C'est mon frère, Satoru, je ne peux pas ne pas culpabiliser. » me justifiai-je. « Est-ce qu'il.. Il a au moins dit quelque chose quand tu l'as revu ? »
« Il m'a demandé de prendre soin de toi, et de te ménager si jamais je te revoyais. C'est tout. »
Je ne le remarquai qu'en cet instant, mais le froid avait fait rosir ses joues. Satoru avait le regard un peu plus pétillant, sûrement était-il sur le point de pleurer. Cela me força à lui sourire gentiment. Le mettre dans un tel état était bien la dernière de mes envies.
« Je vois. »
Ravalant mes larmes, je mordis l'intérieur de ma joue.
« Merci, Satoru. »
Je séparai nos mains pour sécher rapidement le dessous de mes yeux. J'y passai la pulpe de mes index, récoltai mes pleurs, clignai des yeux et grimaçai. Ma peau était inconfortable, elle me brûlait. Je devais être effroyable à voir, j'étais trempée de la tête aux pieds, mon visage était tiraillé sans cesse par l'inquiétude et l'amertume, et ma voix était cassée. J'avais dû attraper froid.
Cependant, Satoru ne semblait pas y porter attention. Il me regardait avec une certaine tendresse dans le regard, un peu de joie aussi, sûrement parce que nous venions de nous retrouver. Dans de telles circonstances, je le comprenais. Ça me faisait du bien de le revoir aussi, je ne me sentais plus aussi seule qu'auparavant.
Satoru se redressa. Il me surplomba grandement de toute sa hauteur, faisant cependant attention à me garder en dessous de son parapluie.
« Écoute. »
Je clignai des yeux.
Il me présenta sa main, je la saisis et le laissai m'aider à me redresser à mon tour. Satoru me garda près de lui.
« Je tiens encore à te présenter mes excuses. »
Je secouai de nouveau la tête, prête à l'interrompre, mais il me devança.
« Je te promets de le retrouver, peu importe ce que ça me coûtera. » déclara-t-il. « Je sais pas ce qui lui a pris, je sais juste qu'il avait l'air bizarre depuis quelques temps. Mais je vais le ramener et je vais le forcer à entendre raison. »
Satoru entoura mon auriculaire du sien, il m'offrit un coup d'œil rempli de détermination qui me prit au dépourvu.
« Je te le promets. »
Je pleurais à nouveau.
Mes larmes s'étaient mises à couler le long de mes joues et alors que mon cœur se serra dans ma poitrine, je me retrouvais dans l'impossibilité de conserver notre contact visuel. Je le brisai et tournai la tête.
Tout autour de nous, la pluie continuait de tomber, jusqu'à l'extérieur du cimetière et au delà.
Le bruit de l'eau tombant tout autour de nous s'était fait muet le temps de mes retrouvailles avec Satoru, mais à présent, je l'entendais de nouveau se faire fort. Si fort.. Il m'en brisa presque les tympans. L'averse creusait la terre, la malaxait jusqu'à obtenir un mélange boueux odorant, elle la faisait briller et la rendait si fragile. Elle nous entourait, nous avait prise au piège et mon échine fut prise d'un frisson à cette constatation. Ma gorge se faisait lourde, presque gonflée par ma tristesse, telle une éponge gorgée d'eau. La pluie trempait mes chaussures, elle tombait dessus et les éclaboussait à répétition, la boue les salissait et le froid accompagnant ce temps dépressif me rendit presque bleu tant il était insupportable.
Retirant ma main de l'emprise de Satoru, je croisai mes bras contre ma poitrine. Tout cela dans l'optique de me réchauffer, je ne me sentis pas désolée, pas même lorsque Satoru me contempla désespérément, dans une mine frôlant l'absurde.
J'étais frigorifiée, mon corps tremblait. À cause de l'absence de mon propre parapluie, j'allais sûrement attraper un vilain rhume. Cet oubli qui m'eût semblé infime sur le moment, allait bientôt avoir des conséquences drastiques sur ma santé. J'y songeai en cet instant, ce moment qui, pourtant, n'était pas à la météo, mais plutôt au deuil et à l'espoir.
Je baissai la tête et forçai l'extrémité de ma botte à plateforme dans un tas de boue. Lorsque je la sortis de là, la pluie se chargea de la nettoyer.
« J'aimerais⸺ Je⸺ »
Intriguée, je relevai mes yeux. De sa main libre, je vis Satoru se gratter la nuque, cela me rendit embarrassée, alors, pour chasser ce sentiment, je raffermis la prise de mes doigts sur mes bras. Je plantai mes ongles dans ma chair et me débattis pour soutenir l'intensité de son regard.
« Est-ce que tu comptes repartir en France ? »
« Je n'ai pas encore décidé. »
Satoru ne répondit pas.
« Je pensais trouver des réponses en venant ici, mais tout est encore flou. »
« Je peux t'aider, si tu veux. »
« Ça ira, Satoru. » lui souris-je. « Je n'ai pas envie de prendre encore plus de ton temps, tu dois avoir à faire. »
L'idée me m'accaparer Satoru quelques instants de plus me plu plus que je ne l'aurais cru. Je ne le connaissais pas très bien, mais de ce que je savais, il était quelqu'un de bien. Malgré ses taquineries et ses propos ironiques envers lui, Suguru m'avait énormément vanté son bon cœur et sa détermination. Avec le temps, j'avais fini par le comprendre. À mon tour, j'avais remarqué la splendeur de son âme. Satoru était quelqu'un de bien, un garçon généreux. Il avait un cœur bien plus gros que lui-même, parfois, ça devait l'étouffer. J'en venais à me demander comment il faisait pour tenir. J'aurais pu jurer qu'entre lui et mon frère, il aurait été le premier à payer le prix de sa gentillesse, j'en aurais mis ma main à couper.
Et pourtant, il était celui qui se tenait devant la tombe de mes parents. Il était celui qui se chargeait de me réconforter et de me redonner espoir, pas cet abruti de Suguru.
Je n'étais peut-être pas aussi perspicace que je le pensais...
« J'insiste. »
Satoru avança d'un pas. Nous étions déjà proches, mais, à présent, nous l'étions davantage. Sa main tenant le parapluie était presque collée à moi et ses lèvres entrouvertes, quant à elles, laissaient un petit éclat de son souffle parvenir jusqu'au sommet de mon nez glacé. Figée sur place, je me retrouvais incapable de le repousser.
« Je peux faire quoi que ce soit ? »
« Il n'y a rien que tu puisses faire. »
Ma contestation lui fit froncer les sourcils. Gravement, Gojo me fixa.
« Je pourrais t'inviter à boire un café. »
« Satoru.. »
J'appréciais la tournure que notre rencontre hasardeuse prenait. Cependant, je ne me sentais pas prête. Plus que tout au monde, je désirais faire le deuil de mes parents. J'avais le besoin de pleurer leur mort, seule. Satoru aurait été une épaule idéale sur laquelle j'aurais pu trouver refuge, et je le regretterais sûrement quelques années plus tard, cependant, je n'en voulais pas. Pas maintenant.
« Je suis désolé d'insister. Je voudrais juste⸺ »
Satoru s'arrêta de parler. Il se figea en me sentant passer mes bras autour de sa taille.
J'ignorai son sac posé sur son épaule, afin de trouver grand réconfort à toucher le tissu chaud et sec de son uniforme. Je serrai mes bras autour de son corps, je me collai contre lui, mes paupières à présent fermées, et savourai ce moment de silence. J'étais humide et frigorifiée, je m'en voulais presque de lui transmettre tout cela, je m'en voulais presque de l'encombrer ainsi. J'étais prête à me reculer et à soudain m'excuser pour mon geste irresponsable.
Toutefois, Satoru m'en empêcha en passant son bras libre dans mon dos.
À son tour, il m'enlaça.
« J'aurais aimé faire plus. »
« Tu en fais déjà assez comme ça. » le rassurai-je.
Notre étreinte péri à une vitesse frôlant le blessant, Satoru se sépara de moi, me forçant à l'imiter.
« Merci d'être venu. »
« Je vous devais bien ça. »
Je jetai un coup d'œil par dessus mon épaule, admirant les tombes de mes parents. Outre les fleurs abandonnées à leur chevet, elles n'étaient pas très agréables à regarder. Elles avaient un bien triste aspect, et, malgré leur récente présence en ces lieux, j'avais cette douloureuse impression qu'elles se fondaient joliment dans le décor. Comme si elles y avaient leur place. J'admirai les gravures inscrites dans les pierres. Leur nom, prénom... Voilà tout ce qu'il restait de mes parents. Voilà tout ce qu'il restait de ma famille.
Je détournai le regard, incapable de voir ce spectacle plus longtemps.
Je m'approchai de ma valise et enroulai mes doigts autour du manche. Satoru ne m'eût pas quittée du regard. Pas un seul instant.
« Je crois qu'il est temps qu'on se dise au revoir. »
Il avait remonté ses lunettes, si haut, désormais, j'étais incapable de percevoir le bleuté de ses jolies pupilles. Cela m'en brisa le cœur.
« Je crois aussi. » répondit-il.
Esquissant un sourire timide, je relevai ma main entre nous deux. J'extirpai mon auriculaire de ma rangée de doigts et lui présentai mon tatouage. Toujours le même dessin noirâtre, comme figé dans le temps. Aussi resplendissant que le jour où il m'avait été gravé dans la peau.
« Tu as fait du mieux que tu as pu pour l'aider. J'en suis persuadée. »
Je me pinçai les lèvres et plissai les yeux.
« Merci du fond du cœur, Satoru. »
Au moment où il tendit sa main, j'avais rétracté la mienne. Il me manqua de peu.
« Je⸺ »
Satoru se racla la gorge.
« De rien.. J'imagine. »
Il ne bougea plus.
Il ne m'offrit pas son parapluie, il ne chercha pas à m'arrêter. Satoru restait devant la tombe de mes parents, dos à eux afin de me regarder partir. Armée de ma valise, je m'en étais rapidement allée. Je n'avais pas osé regarder en arrière. Le poids de sa culpabilité et de la mienne me pesait assez comme ça sur les épaules, je n'avais pas besoin de regretter ma décision. Le temps s'en chargerait avec les années.
Je quittai Satoru, je quittai le cimetière. Avec en mémoire, le souvenir des deux tulipes que j'avais offert à mes défunts parents, leur cadavre décorant leur tombe.
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satinea · 11 months
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La brume s’échevèle au détour des allées,
Un souvenir épars s’attarde et se recueille,
Il flotte une douceur de choses en allées
Un songe glisse en nous, comme un pas sur les feuilles.
Les jardins de Novembre accueillent vos amours,
Ô jeunesse pensive, ô saison dissolvante,
Les grands jardins mélancoliques et qui sentent
La fin, la pluie - odeurs humides de l’air lourd,
De choses mortes qui retournent à la terre.
Iris mauves aux parfums âcres, aux tiges pâles,
Ployés un peu, et qui se fanent, solitaires,
Et laissent tristement pendre leurs longs pétales
Transparents, trop veinés, trop fins - comme une lèvre
Dont les baisers ont bu le sang et la tiédeur
Cherchent encore une bouche où poser sa langueur.
Le grand jardin brumeux sommeille. Sourde fièvre
Ô parfums trop aigus des iris et des roses
Flétris - parfums et mort - serre chaude d’odeurs.
Tout l’univers mourant qui s’épuise en senteurs
Et puis dans la tristesse odorante des choses
Effeuillant, inclinant, chaque feuille du jardin
D’un battement furtif, égal et doux, se pose
L’aile silencieuse et lasse du déclin.
Louis Chadourne
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coeurencrise · 1 year
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Cette année encore, l'été sera lourd. Le ciel sera brodé dans la grâce de la douleur et la chaleur, comme à son habitude, un joug visant à m'achever. Avant que mon chat ne quitte ce monde, j'espérais conquérir les saisons. Envelopper mon esprit de leurs attributs respectifs en me laissant petit à petit regagner par la joliesse de la vie battant au creux de ma nuque... jusqu'à hier, du moins. Ce drame s'est produit. Retour à la case départ, retour à la case "mais si, tu savais". Au fond, j'imagine qu'on est tous au courant et qu'on se persuade du contraire : l'existence est une belle merde.
Pourquoi est-ce que je ne me fais à rien ? C'est moi qui fais la difficile ? Je m'accroche à chaque once de regret et d'espoir gâté pour brasser mon amertume et, aussi rapidement que viscéralement, elle continue à macérer. Le processus s'accélère. À force, j'ai l'impression que ça me plaît : cueillir tout ce qu'il y a de désespérant pour encore plus me désespérer.
Je pense que je fais ça parce que la tristesse nécessite moins d'entretien que la joie. Que nulle lumière ne risque de s'éteindre en vivant dans l'obscurité, et quand je parle d'obscurité, je parle de fermer très fort les yeux pour ne pas se laisser tenter par la beauté des étoiles.
Ça fait quelques mois que je n'accueille plus les belles choses. Il n'y avait que mon chat, mon meilleur ami, pour aisément défaire le verrou ayant condamné mon cœur. Les animaux doivent être envoyés par Dieu en personne pour être capables de tels miracles.
Quand je regardais Kuro, j'apercevais un ange. Ses miaulements étaient pour mes oreilles le tintement des clochettes réservé aux âmes montant aux cieux. Ce "simple" chat était un symbole de paix, une aide à la guérison. Un royaume de tendresse tenant sur quatre pattes. La preuve même que ce monde abrite du bon. Près de lui, tout semblait soudain beau et juste. Bien sûr que je suis aujourd'hui dévastée face à toute cette lumière réduite à néant. Mon soleil est mort.
Il y a une solitude propre à l'homme : la solitude ressentie près des siens. Ce manque d'appartenance qui tache et qui tue. Une solitude ne faisant pas sens en présence d'un ami animal.
Connaissant la portée des mots, quelle stupéfaction est-ce de se trouver face à une créature capable de faire surgir les merveilles de l'univers à travers sa simple existence.
C'est donc ça, la pureté ? Une chose qui ne s'apprend pas et que j'ai connu de près grâce à un amour de chat.
Je savais que le perdre ferait basculer mon quotidien en enfer. Ma souffrance n'a bien entendu rien d'étonnant, mais peut-on être préparé à ça ?
Kuro, qu'est-ce que tu me manques. Ça ne fait qu'une semaine que tu es parti mais tu me manques terriblement parce que je sais que ce n'est que le début. Que ce manque va s'accroître, qu'il va prendre encore plus de place.
Mon petit frère m'a dit qu'il se sentait vide et que même si rien ne pouvait te remplacer, il songeait à adopter un autre chat afin de lutter contre l'espace grandissant dans cette maison. Je pourrais le faire pour lui mais j'ai peur. Je ne m'en sens pas encore capable. Une voix me dit que toi, mon petit Kuro, aimerais qu'un autre profite de l'amour que j'ai à donner mais je ne sais pas. Je t'aime trop. Je t'aime toi. Tu m'as tout appris.
Sans toi, je ne suis qu'une terre de désolation.
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baalto · 1 year
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La mélancolie m'a rattrapé dès le pas de la porte Rien ne me porte là-bas, à des lieues de Paris La maison vide lit en moi le souvenir des amours mortes Et la campagne s'en trouve moins jolie, par l'absence tarie La saison commence sans joie Funeste année deux mille vingt Qui vit mourir quatre-vingt fois Nos seuls plaisirs sans ne laisser rien. À mort les étés doux et insouciants À bas les étés d'amour et d'étreintes Place à l'ère éternelle des enterrements Place au règne des amours défuntes Et maintenant, que vais-je faire ? Vers quel néant glissera ma vie ? Je vais élire domicile en enfer Cela me rappellera Paris.
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monannee2016etc · 1 year
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S4 - TV, Fr2
En début de Saison 4, Melissa et Gaëlle sont désespérément seules. Cyril et Franck sont repartis en métropole. Mais, surprise, lors d’une enquête, Melissa tombe sur Cyril, secrètement revenu en Martinique pour infiltrer l’univers d’un homme d’affaire impliqué dans divers trafics. Entre danger et trouble amoureux, les deux infiltrés sont démasqués et Melissa va sauver Cyril de la mort. Ils retombent dans les bras l’un de l’autre, mais le retour de Pascal, l’ex-mari de Melissa, tout juste sorti de prison, bouleverse leur amour. Melissa va tout faire pour résister aux manipulations de son ex-mari…
Ce n’est pas à un homme que Gaëlle sera confrontée, mais à une petite voleuse de 15 ans, Thaïs, qu’elle surprend en train de cambrioler un bateau. Gaëlle la remet aux services sociaux mais la jeune fille fugue à nouveau et demande à Gaëlle de la garder provisoirement avec elle… Drôle de cohabitation pour Gaëlle qui doit apprendre à assumer un peu d’autorité et de responsabilité vis-à-vis de l’adolescente. Gaëlle semble transformée par cette nouvelle expérience mère-fille, mais le bruit court qu’elle est menacée : un contrat serait conclu sur elle…
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kilfeur · 2 months
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Un roi et un serviteur
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Ezran traverse un moment compliqué en saison 6. Pendant la réunion concernant la perle, il sait que la menace est dangereuse en amenant la perle. Opeli a suggéré de prévenir les autres seigneurs de la Pentarchie et mettre la meilleure sécurité pour la perle. Callum propose de la détruire mais n'a pas de solution concrète. Ezran finit par se dire qu'il vaut la garder à Katolis. Ce qui reste un choix dangereux vu qu'Aaravos a pu le manipuler pour le pousser à se rendre à la tour céleste. Ce qui laisse Ezran tout seule à Katolis et ça fait depuis la saison 3 qu'il n'a été seule. La scène où justement il revoit Viren et lui dit qu'il mérite pas son pardon est assez dur. Mais de l'autre je peux comprendre pourquoi il a agit ainsi. Viren est le roi précédent et Ezran est celui qui le succède. Viren a voulu que l'humanité prospère mais ses actions ont eu de graves conséquences comme par exemple Lux Aurea ou bien l'attaque de la flèche de tempête. Pour au final révéler qu'il voulait avant tout le pouvoir. Ezran est connu pour son pacifisme et la saison 6 avait teasé que ses principes seraient défiés.
Mais je trouve que les deux précédentes saisons montrait que son pacifisme pouvait le rendre aveugle sur certains points. Dans la saison 4, il a essayé d'unir les dragons et son peuple ensemble dans l'endroit où les morts sont enterrés. Certains le verraient comme une insulte, vu comment Tempête a tué Sarai, leur défunte reine. Et quand le tableau est saboté. Ça a failli dégénérer jusqu'à ce qu'Ezran parle de son deuil de ses parents, permettant à son peuple de faire leur deuil et garder l'amour dans leurs coeurs.
Un enfant roi
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Dans l'acte 1, il essaie de se faire entendre en tant que roi. En parlant de ses idées mais Kasef ne le voit pas comme un roi. Et c'est quelque chose qui revient assez souvent. Comme avec Finnegrin quand il a essayé de lui parler. Mais que Finnegrin ne voit pas la valeur de sa couronne. Et que quand il apprend qu'il va utiliser les bébé crapauds pour ses plans. Ezran décide de les lui voler causant indirectement la torture de Callum, le sang gelé de Rayla. Et Soren qui se fait aussi passer à tabac. En saison 6, Ezran voyant que le mariage va se changer en champ de bataille. Il propose d'être leur émissaire pour résoudre le conflit. Et encore une fois, Karim ne le voit pas comme un roi. Se montrant arrogant ordonnant aux humains de partir et qu'ils devraient retourner d'où ils viennent. Toutefois il réussit à atteindre Karim en parlant de sa soeur, montrant que oui, il l'aime toujours. Mais il croit fermement qu'elle va dans la mauvaise direction. Certains se demandent sûrement pourquoi Ezran continue de vouloir parler avec l'ennemi sachant que ça marchera pas ? Pour la même raison que son grand frère continue de vouloir arrêter Aaravos. Ils veulent faire ce qui est juste bien que leurs méthodes sont différentes.
Katolis brûle
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La scène où Sol Regem brûle Katolis fait parallèle à la scène où il brûle Elarion. Mais Elarion, tu voyais le massacre de loin dans Katolis, tu le vois de plus près. La scène est horrible à regarder, voir les gens s'enfuir alors que les flammes continuent de se propager. Soren vient voir son père et lui demande d'utiliser la magie pour sauver le peuple. Mais il peut pas faire la magie primale sans pierre primale. Il parle alors du sort pour les immuniser contre le feu mais pour ce faire, il a besoin d'un coeur humain. Et c'est là que je trouve l'acte de Viren impactant, c'est qu'hormis la mise en scène, qui nous fait croire que Soren est mort alors qu'en fait c'est le coeur de Viren. Bien que je me demande comment il a réussi à tenir le coup et ainsi exécuter le sort. Viren donne son coeur à Katolis, se rappelant pourquoi il fait ça, par amour envers sa famille. Et que le sort qui avait servi à assiéger le mont tempête est un sort qui a permit de protéger le peuple de Katolis montrant qu'il est le serviteur de ce royaume. Quand à Ezran, le fait qu'il n'a pas été là va le faire culpabiliser. Il a crû que la menace a été évité pour Janai et Amaya jusqu'à apprendre la terrible nouvelle. Comment on peut être un roi si au final on est pas capable de veiller sur son peuple ? Car certes bien que le pire a été évité pour Janai et son peuple, Ezran va devoir s'occuper de ce qui reste de Katolis, sa maison n'est plus. Mais les survivants de son peuple sont encore là.
A king and a servent
Ezran is going through a complicated time in season 6. During the meeting about the pearl, he knows that bringing the pearl is a dangerous threat. Opeli suggests warning the other lords of the Pentarchy and setting the best security for the pearl. Callum suggests destroying it, but has no concrete solution. Ezran finally decides to keep it in Katolis. Which remains a dangerous choice, given that Aaravos may have manipulated him into going to the celestial tower. This leaves Ezran all alone in Katolis, and he hasn't been alone since season 3. The scene where he sees Viren again and tells him he doesn't deserve his forgiveness is pretty harsh. But on the other hand, I can understand why he did it. Viren is the previous king and Ezran is his successor. Viren wanted humanity to prosper, but his actions had serious consequences, such as Lux Aurea and the storm spire attack. In the end, he revealed that he wanted power above all else. Ezran is known for his pacifism, and season 6 teased that his principles would be challenged.
But I felt that the previous two seasons showed that his pacifism could blind him to certain issues. In season 4, he tried to unite the dragons and his people together in the place where the dead are buried. Some would see this as an insult, given how Storm killed Sarai, their late queen. And when the painting is sabotaged. It almost got out of hand until Ezran spoke of his grief for his parents, allowing his people to mourn and keep the love in their hearts.
A child king
In Act 1, he tries to make himself heard as a king. Talking about his ideas, but Kasef doesn't see him as a king. And this is something that comes up quite often. Like with Finnegrin when he tried to talk to him. But that Finnegrin doesn't see the value of his crown. And when he learns that he's going to use the baby toads for his plans. Ezran decides to steal them, indirectly causing Callum's torture and Rayla's frozen blood. And Soren, who also takes a beating. In season 6, Ezran sees that the wedding is about to turn into a battlefield. He offers to be their emissary to resolve the conflict. And once again, Karim doesn't see him as a king. Arrogantly ordering the humans to leave and that they should go back to where they came from. However, he manages to get through to Karim by talking about his sister, showing that yes, he still loves her. But he firmly believes she's going in the wrong direction. Some may wonder why Ezran keeps trying to talk to the enemy, knowing it won't work? For the same reason his older brother keeps trying to stop Aaravos. They want to do the right thing, even though their methods are different.
Katolis burn
The scene where Sol Regem burns Katolis parallels the scene where he burns Elarion. But Elarion, you saw the massacre from afar in Katolis, now you see it up close. The scene is horrifying to watch, people fleeing as the flames continue to spread. Soren comes to his father and asks him to use magic to save the people. But he can't do primal magic without primal stone. So he talks about the spell to make them immune to fire, but to do that, he needs a human heart. And that's where I find Viren's act impactful, is that apart from the staging, which makes us believe Soren is dead when in fact it's Viren's heart. Although I wonder how he managed to hold it together and execute the spell. Viren gives his heart to Katolis, remembering why he's doing this, out of love for his family. And that the spell used to lay siege to Mount Storm was a spell to protect the people of Katolis, showing that he is a servant of the kingdom. As for Ezran, the fact that he wasn't there will make him feel guilty. He thought the threat had been averted for Janai and Amaya until he heard the terrible news. How can you be a king if you can't look after your own people? While the worst may have been avoided for Janai and his people, Ezran will have to deal with what's left of Katolis, his home no more. But the survivors of his people are still there.
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jules-and-company · 2 years
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donc alors oui william meyer. bon déjà il ressemble à ça :
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(matez moi cet HOMME premièrement. à la base moi je regardais la série que pour ses beaux yeux hein)
donc oui. william meyer. on va faire saison par saison si vous le voulez bien
saison 1 :
milliardaire suisse, il a investi 24 milliards d’euros dans une mission spatiale pour être le premier sur mars avec son équipe de scientifiques. sauf qu’ils sont pas les premiers. il lâche cette ligne de texte absolument incroyable « je pourrais vous dire que c’est un demi-échec, que ça fait partie du jeu, mais je préfère la franchise, et franchement on s’est fait baisés » i am in love with you. parce qu’en fait il a cette sorte d’arch nemesis en la personne d’un autre milliardaire américain, ivan goldstein, ils se tirent la bourre tout le temps. et c’est la mission envoyée par goldstein (bloqué sur terre par une maladie mortelle) qui arrive en premier. des gens viennent de mourir, plus de carburant, ils sont morts dans 24h si ils font rien, et ce CONNARD avec son petit sourire là « bienvenue sur mars ! » PTN TA GUEULE WILLIAM. ils trouvent un pelo russe qui date de 1963 et qui a pas vieilli et qui en fait a des super pouvoirs. c’est la merde tout le monde pète un câble l’informaticien essaye désespérément de faire remarcher l’AI et lui il est à faire du bruit en sirotant son café en lâchant « c’est toi le meilleur tkt poto ! par contre bouge ton cul mais genre vraiment ». c’est la grosse merde avec le russe qui révèle des trucs, on se rend compte que william est une petite salope qui ment à tout le monde. le truc à savoir vraiment en fait avec william c’est qu’il a de grosses control issues, ce qui est à la fois son pire défaut et son meilleur atout. il m’énerve avec son t shirt rolling stones de merde là si il consent à fermer sa grande gueule je pourrais l’aimer tranquille mais NON faut que ce soit un mec qui n’a aucune race. donc la psy qu’ils avaient emmené en gros c’est le jésus martien. il tente un move bien dans sa vie, il se prend une balle dans la jambe et j’ai en tête cette très belle scène où il a son t shirt à moitié ouvert trempé des pieds à la tête de sueur et whimpers. un grand moment de cinéma. il s’est pris un coup dans le bide, une balle dans la jambe et il a enfin avoué qu’il était un connard fini. donc bref tout ce petit monde repart sur terre mais sans jeanne la psy/jésus martien. pour conclure je l’adore il me fait trop rire c’est tellement un bâtard j’ai envie de le gifler. moi @ william dès qu’il parle : ferme ta gueule mon amour 🥰🥰🥰 s’il te plaît.
saison 2 :
donc bref tout ce petit monde repart sur terre mais sans jeanne la psy/jésus martien, ils décident de tous repartir sur mars aller chercher jeanne parce que depuis leur adn même à muté et eux aussi ils commencent à développer des sortes de connexions/super pouvoirs chelous. sauf que. et il est primordial ce sauf que. william a carrément merdé entre temps. il a eu une aventure y’a 21 ans avec une meuf a singapour, la meuf a eu une fille, il a jamais voulu la rencontrer, il a décidé de prendre contact avec elle devant sa porte d’appart le jour de l’enterrement de sa mère (bravo william le tact c’est vraiment ton fort). « alice je suis ton père » et il lui file une copie de l’odyssée d’homère parce que c’est hyper important pour lui parce que son propre daron lui avait donné après la mort de sa grand-mère donc c’est hyper symbolique pour lui. ils passent un contrat père-fille sur un an renouvelable je déconne même pas ET ILS NÉGOCIENT ENSEMBLE CAR ILS SONT TOUT AUSSI TARÉS L’UN QUE L’AUTRE. finalement ils finissent par s’entendre, sauf que. alice était malade d’une maladie orpheline qui l’a tuée pas si longtemps que ça après les retrouvailles avec son papa. on pensait que goldstein était crevé, oui et non. son vrai corps est crevé, mais il a réussi à transmettre sa conscience dans un corps « artificiel » qui n’en est pas vraiment un, c’est compliqué, car « personne ne devrait enterrer son enfant ». william « ah ouais j’suis pas PDG de la firme de mon ancien ennemi? dans trente minutes je le suis officiellement fdp » meyer. il fait la plus grosse connerie de sa vie, il tente de refaire ce que goldstein a fait pour sa gamine, sauf que comme elle est morte avant qu’il puisse transférer sa conscience, eh bah il s’est dit je garde le corps par contre j’implante l’IA super intelligente.
alexandra : vous êtes humain, finalement.
william, avec la voix qui craque : j’ai pas pu passer beaucoup de temps avec elle. la vie me l’a reprise. une maladie orpheline. elle m’a rien dit pour qu’on profite de notre temps ensemble. à chaque fois que je la regarde [alice IA], elle me rappelle que ma fille est morte.
WILLIAM STOOOOP AVEC LES PARALLÈLES AVEC TES PROPRES TRAUMAS. sauf que du coup alice IA devient hyper puissante et hyper méchante et elle bute la meuf qu’ils étaient venus chercher (c’était pas vraiment elle en fait) sur mars devant eux lui il détourne le regard en mode « putain… » BRO C’EST LES CONSÉQUENCES DE TES PROPRES ACTIONS. ils sauvent jeanne jésus martien, sauf qu’il tente de tuer alice IA pour la stopper, elle tente la carte le prendre par les sentiments dans une scène absolument déchirante, il tire, ça loupe, elle le FUCKING POIGNARDE. jeanne utilise ses super pouvoirs pour remonter dans le temps, comme elle sait qu’elle pourra pas empêcher william de faire ce qu’il a fait elle lui dit juste de leur donner un moyen d’arrêter alice IA, d’une façon ou d’une autre. il écrit une ligne de code qui basically la tue si on lui dit dans l’IA qu’il lui implantera, jeanne le dit, alice IA meurt, WILLIAM AUSSI. IL EST MORT EN MÊME TEMPS QUE SA FILLE JE VAIS M’EXPLOSER LE CRÂNE CONTRE UN MUR. ils. ils meurent côte à côte. leurs mains se touchent presque. i’m gonna go fucking insane. je l’ai tellement bien diagnostiqué depuis le début en fait il a tellement de control issues parce qu’il veut être le seul à blâmer pour tout sauf que quand ça sort de son contrôle il panique il fait de la merde et ça éclabousse tout le monde he has crippling depression and he’s the kind of man ready to burn the world for someone he truly loves (they are not many) i’m gonna fucking kill myself he’s just a silly little guy. i need a moment.
saison 3 :
saison 3 le seul qui a décollé de mars se retrouve dans une réalité alternative où personne n’est jamais allé sur mars, où tous nos protagonistes n’ont pas les mêmes vies. la vraie alice n’est jamais morte et a toujours connue son père, son père n’est pas fasciné par l’espace, ils n’arrivent plus à se parler, PEU IMPORTE L’UNIVERS LEUR RELATION N’EST PAS BONNE. et cette fois c’est william qui est mortellement malade. et il est pote avec l’arch nemesis. à partir de l’épisode 3 environ on comprend qu’il est complètement tarjmoule, mais en fait c’est pas trop sa faute. 2e jeanne dans cet univers alternatif, que j’appellerais evil jeanne, a merdé sévère parce que quand l’autre jeanne de la saison 2 a voyagé dans le temps pour demander à william d’aider à arrêter alice IA ça a créé cet univers alternatif. ce qui fait que william n2, que j’appelerais williain’t, a les souvenirs du vrai william. ce qui lui a filé une dépression depuis la plus tendre enfance, un don de prémonition + une tumeur au cerveau. il vrille assez fort en prenant en otage sa propre fille, son mec et evil jeanne pour qu’ils l’aident à faire disparaître la tumeur et qu’il arrête de souffrir deux minutes. evil jeanne a un flashback bonus de williain’t jeune qui a essayé de la tuer quand elle était gamine, elle veut se venger, elle apprend par le deus ex machina providentiel qu’elle doit accomplir son Destin™️ donc williain’t ne crève pas de suite. evil jeanne s’énerve sur des mecs et les tue violemment, williain’t prévient que ça va merder (et pour une fois dans sa vie il a raison). ils partent en mission spéciale avec evil jeanne, williain’t est bien engagé sur le chemin du décès. elle utilise ses pouvoirs pour buter les mecs qui sont après eux, sauf qu’en faisant ça elle influe directement sur le lien télépathique/super pouvoir entre elle et williain’t, et ÇA LE BUTE. DANS TOUS LES UNIVERS IL CRÈVE OU QUOI. on le laisse sur le bord de la route comme une vieille merde. evil jeanne ouvre un super portail, rencontre jeanne de la saison 2, elles « fusionnent », evil jeanne devient dieu, elle crée un trou noir qui détruit le monde voire même cet univers tout entier. fin de la série.
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christophe76460 · 22 days
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PRIÈRE DE FEU🔥🔥🔥
On craindra le nom de l'Éternel depuis l'occident, et sa gloire depuis le soleil levant; quand l'ennemi viendra comme un fleuve, l'Esprit de l'Éternel le mettra en fuite (Ésaïe 59:19).
Si l'on forme des complots, cela ne viendra pas de moi; Quiconque se liguera contre toi tombera sous ton pouvoir (Ésaïe 54:15).
L'Éternel te donnera la victoire sur tes ennemis qui s'élèveront contre toi; ils sortiront contre toi par un seul chemin, et ils s'enfuiront devant toi par sept chemins (Deutéronome 28:7).
👉PRIONS :
Cher Père céleste, Dieu Tout-Puissant, je viens humblement Te remercier pour le souffle de vie renouvelé et Tes multiples bontés que Tu uses envers moi à cause de Ton amour et Ta fidélité. Tu es mon rocher où je trouve un abri, mon bouclier et la force qui me sauve, ma haute retraite et mon refuge. Béni sois-Tu, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur, sanctifie-moi par Ta Parole et crée en moi un coeur pur et sage, au nom de Jésus-Christ.
Abba Père, remplis-moi du Saint-Esprit et élève-moi au-dessus de tous mes adversaires, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur, garantis-moi du piège que mes ennemis me tendent et des embûches de ceux qui font le mal, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que les flots de la mort ne m’environnent pas, les torrents de la destruction ne m’épouvantent pas, les liens et les filets de l'ennemi ne me surprennent pas, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que les méchants qui cherchent ma perte tombent dans leurs propres pièges, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur, fais retentir Ta voix, lance l'épée de Ta Parole et disperse les ennemis qui complotent contre moi, lance Ta foudre, et mets-les en déroute, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur, mon puissant guerrier, lève-Toi et brise toutes les armes que l'ennemi utilise pour me combattre, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que toutes flèches de maladies, d'envoûtement, de sorcellerie, de magie (...) lancées contre moi, soient anéanties et brisées, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que toute arme diabolique forgée contre moi et ma maisonnée, soit nulle et sans effet, au nom de Jésus-Christ.
Que toute œuvre de l’adversaire pour me faire tomber, soit vouée à l'échec, au nom de Jésus-Christ.
Que tout agenda diabolique mis en place contre mon progrès, soit dévoré par le feu de Dieu, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que le méchant soit pris dans son propre piège tendu contre mon foyer, mes affaires, mes finances et mon ministère, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que le conseil des méchants contre ma vie, échoue et se retourne contre eux-mêmes, au nom de Jésus-Christ.
Que tout homme fort diabolique bloquant mes projets, mes affaires, mes finances, soit frappé par la foudre de Dieu, au nom de Jésus-Christ.
Que tout réseau de sorciers organisé pour créer des blocages autour de moi, soit confondu et dispersé par le feu de Dieu, au nom de Jésus-Christ.
Que tout complot préparé par les esprits des eaux pour me terrasser, soit démantelé par le feu de Dieu, au nom de Jésus-Christ.
Je brise toute cage diabolique programmée pour capturer mes ressources, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que la confusion soit dans le camp de tous mes ennemis, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur Éternel, Tu es mon appui, mets-moi au large, sauve-moi, restaure-moi et protège-moi par Ton puissant bras, au nom de Jésus-Christ.
Ô Dieu, que Ta lumière brille sur tous mes sentiers et qu'elle dissipe toutes les ténèbres qui s'y trouvent, au nom de Jésus-Christ.
Que l'ennemi le veuille ou pas, je déclare que je serai la tête et non la queue, je serai en haut et non en bas, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que mon temps de chagrin, de misère et d'échec est terminé et voici, je rentre dans ma saison de victoire, de succès, d'abondance et de témoignage, au nom de Jésus-Christ.
Père Éternel, merci d'avoir exaucé ma prière, à Toi soient la louange et la gloire dans tous les siècles, au nom de Jésus-Christ ! Amen !
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alexlacquemanne · 6 months
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Mars MMXXIV
Films
Le Petit Baigneur (1968) de Robert Dhéry avec Louis de Funès, Andréa Parisy, Franco Fabrizi, Robert Dhéry, Colette Brosset, Michel Galabru, Jacques Legras et Pierre Tornade
Coup de foudre (1983) de Diane Kurys avec Isabelle Huppert, Miou-Miou, Guy Marchand, Jean-Pierre Bacri, Robin Renucci, Patrick Bauchau et Jacques Alric
Agence matrimoniale (1952) de Jean Paul Le Chanois avec Bernard Blier, Michèle Alfa, Julien Carette, Marcelle Praince, Madeleine Barbulée et Anne Campion
Les Suffragettes (Suffragette) (2015) de Sarah Gavron avec Carey Mulligan, Helena Bonham Carter, Brendan Gleeson, Ben Whishaw, Anne-Marie Duff, Meryl Streep et Natalie Press
Titanic (1997) de James Cameron avec Leonardo DiCaprio, Kate Winslet, Billy Zane, Frances Fisher, Danny Nucci, Gloria Stuart, Bill Paxton et Suzy Amis
Boléro (2024) d'Anne Fontaine avec Raphaël Personnaz, Doria Tillier, Jeanne Balibar, Emmanuelle Devos, Vincent Perez, Sophie Guillemin, Anne Alvaro et Alexandre Tharaud
Le Coup de l'escalier (Odds Against Tomorrow) (1959) de Robert Wise avec Harry Belafonte, Robert Ryan, Shelley Winters, Ed Begley, Gloria Grahame, Will Kuluva, Kim Hamilton et Mae Barnes
Sister Act, acte 2 (Sister Act 2: Back in the Habit) de Bill Duke avec Whoopi Goldberg, Kathy Najimy, Wendy Makkena, Maggie Smith, Mary Wickes, Lauryn Hill, James Coburn et Jennifer Love Hewitt
Le Discours d'un roi (The King's Speech) (2010) de Tom Hooper avec Colin Firth, Geoffrey Rush, Helena Bonham Carter, Guy Pearce, Michael Gambon, Timothy Spall, Jennifer Ehle et Derek Jacobi
Downton Abbey (2019) de Michael Engler avec Hugh Bonneville, Elizabeth McGovern, Michelle Dockery, Laura Carmichael, Maggie Smith, Allen Leech, Brendan Coyle, Rob James-Collier, Joanne Froggatt et Tuppence Middleton
Dune, deuxième partie (Dune: Part Two) (2024) de Denis Villeneuve avec Timothée Chalamet, Zendaya, Rebecca Ferguson, Josh Brolin, Austin Butler, Florence Pugh, Dave Bautista, Christopher Walken et Léa Seydoux
Katia (1959) de Robert Siodmak avec Romy Schneider, Curd Jürgens, Pierre Blanchar, Antoine Balpêtré, Françoise Brion, Monique Mélinand, Michel Bouquet et Bernard Dhéran
Séries
Maguy Saison 1, 2
Crise cardiaque - Aux armes mitoyens ! - Le prix concours - Fou et usage de fou - Le péril John - La position du démissionnaire - Changer de look, quel souk ! - Échec aux maths - Ni fête, ni à faire - Maguy lave plus blanc - Un ami qui vous veut trop de bien - En avant l'amnésique - Connu comme le loulou blanc - Pour le meilleur et pour le Pierre - Play black - Médecin malgré elle - Juste a rigolo - L'entre deux mères - Cœur de pierre - La plus belle girl - L'homo, ça pince - C'est grève, docteur ? - La marche funeste - Un mari classé ex - Électrode à la joie - Le vide par le nettoyage - Héla ! Elle est là - A votre bunker, messieurs dames - Souvent l'infâme varie - Fossiles et marteaux - Recherche sosie désespérément - Macho effroi - La comtesse aux pieds noirs - L'humour en héritage - L'amère porteuse - Hip hip hip Oural - Ça déménage à trois - Papy fait de la résidence - L'envers du jeu - Silence, hospitalité ! - Des flics et des claques - Une Maguy… démagogue - Épouse et maire - Fiançailles aïe ! aïe ! aïe ! - Tiens-toi à Caro
La croisière s'amuse Saison 2, 3, 4
La Fête à bord - Meurtre au large - La Fête des mères - Tiens mon frère - Mais vous êtes toujours jeune - La Sérénade - Sauve qui peut ! - Du rythme, toujours du rythme - Un peu de cœur, que diable ! - La Perfection - Bizarre, bizarre - Sacré Gopher ! - Les Amis - Ah ! C'est la fête - Qui est le maniaque ? - Amis et Amours - La Proposition : première partie - La Proposition : deuxième partie - Un trait de génie - Folie double - Boomerang
The Grand Tour Saison 4, 1
Seamen - Virée à l'Italienne
Les Simpson Saison 2
Aide-toi, le ciel t'aidera - Le Saut de la mort - Simpson et Delila - Simpson Horror Show - Sous le signe du poisson - Le Dieu du stade - Mini golf, maxi beauf - La Fugue de Bart - Tous à la manif - Toute la vérité, rien que la vérité - Un poisson nommé Fugu - Il était une fois Homer et Marge - Tu ne déroberas point - Jamais deux sans toi - Fluctuat Homergitur - Une vie de chien - Un amour de grand-père - Le Pinceau qui tue - Mon prof, ce héros au sourire si doux - La Guerre des Simpson - Un pour tous, tous contre un - Le sang, c'est de l'argent
Affaires sensibles
La malédiction du triangle des Bermudes - Les Brigades rouges : la fin de l'exil ? - Qui a eu la peau du tramway ? - Le « Grand smog » de 1952 : Londres asphyxiée - 1972, le rapport Meadows : premier cri d’alarme pour la planète - Le roi maudit de Pyongyang - Mediapart, l’indépendance en bandoulière - Jeffrey Epstein, le prédateur de la Jet Set - Front National : petit meurtre en famille - Ku Klux Klan : histoire d'une Amérique de la haine - La rumeur d'Orléans : l'histoire d'un délire antisémite - Les zones d'ombre de l'affiche rouge
Coffre à Catch
#157 : Goldust ne vieillit pas! - #158 : Prochain arrêt : Night of Champions 2009! - #159 : Christian ECW Champion 2.0 ! - #160 : Extreme Rules avec Dimby !
Messieurs les jurés
L'Affaire Lusanger - L'Affaire Hamblain - L'Affaire Savigné Montory
Les Petits Meurtres d'Agatha Christie Saison 3
Meurtres au Pensionnat
Kaamelott Livre V
Corvus corone - La Roche et le Fer - Vae soli
Commissaire Dupin
Un cadavre disparait
Castle Saison 5
Après la tempête - Nuageux avec risques de meurtre - Œil pour œil - Meurtre dans les Hamptons - Sans doute possible - Tueur intergalactique - Rock haine roll - Seuls dans la nuit - Pas de pitié pour le père Noël
Alfred Hitchcock présente Saison 4, 5, 7
La Gentille Serveuse - La commère - Flic d'un jour
Top Gear France Saison 9
Ceux qui partent en Allemagne - Ceux qui infiltrent la police - Ceux qui revivent leurs années tuning
Inspecteur Barnaby Saison 23
La fin du monde - Secrets et mensonges
Les Brigades du Tigre Saison 2
Collection 1909 - L'Auxiliaire - Les Compagnons de l'Apocalypse - Le Défi - La Couronne du Tzar - De la poudre et des balles
Meurtres au paradis Saison 13
Une vie gâchee
Spectacles
Billy Cobham & George Duke Band Live At Montreux Jazz Festival (1976)
Deux sur la balançoire (2006) de Bernard Murat avec Jean Dujardin et Alexandra Lamy
Billy Idol In Super Overdrive (2009) Live from Congress Theater, Chicago
Bungalow 21 (2024) de Jérémie Lippmann et Sarah Gellé avec Mathilde Seigner, Emmanuelle Seigner, Michaël Cohen et Vincent Winterhalter
Livres
Une enquête du commissaire Dupin : L'inconnu de Port Bélon de Jean-Luc Bannalec
Kaamelott, tome 2 : Les Sièges de Transport d'Alexandre Astier, Steven Dupré et Benoît Bekaert
Kaamelott, tome 3 : L'Énigme du Coffre d'Alexandre Astier, Steven Dupré et Benoît Bekaert
Deux sur la balançoire de William Gibson et Jean-Loup Dabadie
J'écris mon premier roman de Louis Timbal-Duclaux
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