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#Ma version de toi
alexlacquemanne · 2 months
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Ma version de toi, chapitre premier.
Je vais vous parler d’une femme que j’aime beaucoup, enfin, non pas vraiment je vais vous parler de la version d’elle que je me suis créer. En fait, je ne la connais pas tant que ça, j’ai du passer grosso modo un ou deux mois en sa compagnie, mais ces moments resteront en moi pour toujours. C’est une des ces personnes que vous croisez rapidement sans savoir qu’elles vont marquer votre vie pour toujours.
Précédemment je lui écrivais directement, mais quand je me suis aperçu que c’était à sens unique, j’ai arrêté, j’espère tout de même qu’elle a compris a quelle point je n’ai pas menti à propos de ce que j’ai dit sur elle et sur mes sentiments, chaque mots a été mûrement réfléchi, chaque chansons représente mon état d’esprit, j’espère que je n’ai pas fait tout ça pour rien. Mais ont peut difficilement sauver quelqu’un qui a décidé d’arrêter de vivre et qui ne veut pas d’aide. Je crois malheureusement qu'elle a arrêté de vivre, elle ne ressent plus rien, elle est comme une coquille vide, une bouteille à la mer sans message à l’intérieur, elle dérive. Je me bats pour exister à ses yeux, j’ai besoin d’elle, j’ai envie d’elle, mais ça ne sert à rien parce que c’est à sens unique, elle a décidé de ne plus rien vivre. 
Quoi qu’il en soit, j’ai besoin d'écrire sur elle, d’une manière ou d’une autre, elle m’inspire de l’écrit. J’ai eu besoin d’un peu de temps pour trouver une autre façon de le faire, et j’ai décidé de vous en parler.
Je l’ai rencontré, il y a longtemps maintenant, dans une contrée qui n’existe plus aujourd’hui, la contrée de l’oiseau bleue, là-bas, j’avais une activité de colporteur de news sur l’univers Kaamelott, j’ai rencontré des amis, des amis que je croyais être sincère mais je me trompais, et il y avait elle, au début nous parlions très occasionnellement, puis petit à petit, je ne me rappelle plus vraiment comment c’est arrivé, mais nous nous sommes rapprochés, elle était seule et malheureuse, elle avait besoin d’aide, à cette époque j’étais bien naïf et je me suis dit que je pourrais l’aider. J’ai appris à la connaître, à l’aimer, doucement, nous passions des nuits à parler de tout et de rien, j’avais l’impression qu’elle allait mieux, ou tout du moins qu’elle allait bien quand nous étions ensemble, j'avais l'impression d'être utile à quelqu'un. Au même moment avec quelques amis nous avions créé un groupe de conversation sur Kaamelott, j’ai beaucoup aimé cette période, elle m'a donné confiance en moi, j’avais des amis, une meilleure amie avec qui parler, presque une compagne, je pensais que ça allait durer pour toujours, un mirage de l’esprit.
Comme souvent quand on fait des rencontres, on fait des projets, une rencontre a été organisé lors d’un rendez-vous de fans, à la base elle ne devait pas venir, à la base je ne voulais pas qu’elle vienne, mais elle a insisté, et je ne regrette absolument pas d’avoir fait sa rencontre en réel, mais je ne me doutais pas que j’allais la perdre aussitôt après. Il est vrai que je ne me suis pas comportée de la meilleure des manières. Lors de notre première rencontre, j’étais très stressé, c’est ma nature, mais curieusement le contact c’est fait très naturellement, ça collé entre nous, quelque chose que je n’aurais jamais imaginé. Ces moments sont gravés en moi, pour toujours comme tous les moments passés avec elle. Le reste de la rencontre je ne me suis pas très bien comporté, j’ai juste réalisé que je voulais passer du temps avec elle, et pas forcément avec les autres, je l’avoue, mais j’ai encore passé des moments incroyables avec elle, main dans la main.
Je ne pensais pas que ce serait la presque dernière fois que je serais en sa compagnie, mais j’aurais dû m’en douter à cause de mon comportement.
Ce que je ne savais pas c’est qu’il y avait un ver dans fruit dès le début, un ver qui allait détruire le groupe, nos vies, et tout ce que j’aimais. Le créateur du groupe avait ses propres desseins dans l’affaire et surtout il mentait comme un arracheur de dents, c’est vrai que certains détails sur sa vie avez l’air assez curieux mais je pense que tout les autres membres s’en moquer un peu, du moment que l’ont passé des moments, ce qui était le cas. Mais petit à petit il s’est rapproché de la femme que j’aimais, même si à l’époque je n’en avais pas conscience. Il m’a vite éloigné du groupe comme un malpropre, personne n’a rien dit, même moi, j’imagine que nous étions tous un peu ensorcelés. En un temps infiniment court je me suis retrouvé seul, sans rien, n’y personne, plus ces gens que je considérais comme des amis, et surtout plus elle, je venais de la perdre à tout jamais, sans espoir de la retrouver. L’espace d’un instant j’ai décidé d'en finir, mais je me suis repris, j’ai continué ma route, cassé, sans repères et seul. Je n’en ai jamais parlé à personne, personne n’aurait compris. J’ai essayé plusieurs fois de reprendre contact avec elle sans succès, elle m’envoyer balader, je cherchais ce que j’avais bien pu faire pour mériter ça, je n’ai jamais vraiment trouvé, avec le temps je me suis fait une raison mais je ne l’ai jamais laissé tomber, même à distance. Comme elle n’était plus là, je suis passé par différent stade, celui où je l’a voyait partout, le moindre détails me rappeler ce qu’elle était, une période compliqué, que je préfère laisser derrière, puis j’ai décidé de ne plus me battre pour l’oublier et des versions aléatoires d’elle m’ont accompagné depuis ce moment là. 
Certains facettes de sa personnalité ont trouvé une résonance avec d'autres personnes, sa voix qui me plaisait tant, à était remplacé par les voix de Dido et surtout Adèle, son côté charnel a trouvé une résonance avec Chanel Preston, son côté sentimental correspond un peu aux rôles de Scarlett, et le fait qu'elle partage souvent des photos de Katheryn Winnick joue aussi, elle est un mélange de tout cela, avec son caractère à elle au centre, c'est le plus important, ça peut paraître ridicule mais ces versions d'elle vivent en moi, c'est pour ça que j'écris ici, pour les faires vivre, pour la faire vivre, elle a peut être décider d'arrêter, mais je ne suis pas de cet avis. C'est une fille géniale, elle n'en a juste pas conscience, elle se dévalorise trop, je sais ce que c'est, je fais pareil. J'ai besoin de la faire vivre. Dans les prochains chapitres je partagerais des histoires inspirées avec ces versions d'elle.
Pour A.
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notleclerc · 1 month
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Too Hot
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🤍Charles x Fem!Reader
🤍summary: in which the game „Too Hot“ challenges ones desires
🤍warning: getting a little steamy here but nothing to big
🤍a/n: I got inspired by @yuwuta with the JJK version and was like „ok slay lemme try it as well“ // English is not my first language so please have mercy on me🥺
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In the heart of Monaco, where the streets echo with the roar of engines and the glitz of the Grand Prix, a different kind of heat simmers beneath the surface. It's not the scorching sun or the adrenaline of racing that sets hearts racing, but a playful game of Too Hot. And amidst the glamorous backdrop, you find yourself entangled in a steamy encounter with none other than Charles Leclerc.
Ever since Lando started to learn how to be a Dj, he‘s been throwing parties left and right, having only VVIP‘s in the club. Models, Actors, Athlete‘s - you name it. Obviously, that means the whole Grid is always welcome to join the fiesta. Charles, being the supportive friend he is, gets ready to dress up and waits for his girlfriend.
Y/n makes sure to wear a beautful red dress. God, that dress could make the devil go weak in his knees. Charles couldn‘t help but admire her.
„Tu es très belle, mon amour“ (you look beautiful my love)
he says, his voice tender with a soft look on his face.
You smile as you feel your cheeks getting warmer, giving yourself a natural blush. You give him a peck on his chin, as you are smaller even in heels.
„Merci Cha“ (thank you)
The two of you leave his appartement and go straight to his oh-so-famous Ferrari, the one that puts everyone in awe of its beauty (or the beauty driving it). The ride was smooth and no words were exchanged as the two of them enjoyed the calm and warmth.
It didn‘t take them long to reach the club, the music already indicating that Charles and Y/n were fashionably late. Charles hands his keys to a valet since he can‘t, for the love of god, park the car right. You tease him about it way too often.
„Et ils disent que les femmes ne peuvent pas se garer“ (and they say women can‘t park)
you say teasingly.
Charles chuckles and places his hand on your waist, guiding you towards the entrance. He made sure to get down to your ear and whispered softly
„Surveille ta bouche ou je le ferai pour toi, bébé“ (watch your mouth or i‘ll do it for you babe)
As you both enter, one with a smirk and the other with flushed cheeks, Lando greets the two of you with a wave from the DJ booth and makes sure to let you both know where the others are.
The party can begin.
As the night unfolds and the party reaches its peak, you catch sight of Charles across the room, his charismatic smile drawing you in like a magnet. You were dancing with the girlfriends of the drivers and having the time of your life. Your pulse quickens as Charles suddendly approaches, his confident stride sending a thrill down your spine.
"Hey there," he greets you with a charming grin, his eyes twinkling with mischief. "Fancy a game of Too Hot?"
You're taken aback by the invitation, but the thrill of the challenge beckons you. "Sure, why not?" you reply, unable to resist the allure of his playful proposal. The two of you love challenges no matter what the situation is.
The rules are simple: two people kiss while keeping their hands to themselves, and the first to touch their partner loses. With a shared glance and a silent agreement, you both dive into the game, the tension between you palpable.
As your lips meet in a teasingly tender kiss, the world around you fades into obscurity, leaving only the electrifying connection between you and Charles. His touch is intoxicating, igniting a fire within you that blazes with each passing moment.
"Tu es un sacré compétiteur“ (You're quite the competitor)
Charles murmurs against your lips, his voice husky with desire.
„Mais je n'y vais pas de main morte avec toi, ma petite fleur“ (But I won't go easy on you, my little flower)
he adds playfully.
You respond with a playful challenge of your own, reveling in the thrill of the chase as you dance on the edge of temptation. Each kiss becomes a daring game of brinkmanship, testing the limits of self-control.
Time loses all meaning as you lose yourself in the heated exchange, the boundaries between reality and desire blurring into a tantalizing haze. The world outside ceases to exist as you and Charles become locked in a battle of wills, neither willing to concede defeat.
But as the game reaches its climax, a surge of longing courses through you, threatening to overwhelm your resolve. With a breathless gasp, you instinctively reach out, your hand brushing against Charles's cheek in a moment of unguarded passion.
"Je gagne“ (I win)
he whispers triumphantly, a smug grin playing on his lips as he leans in to claim victory with a searing kiss.
„Je te laisse gagner parce que c'est la seule fois où tu le fais“ (I let you win because that‘s the only time you do)
You teased him again and couldn‘t help but laugh, seeing his baffled face. He puts his hand on your cheeks and squeezes them together. He looks down at me and shakes his head softly with a certain intensity to his eyes.
„Tu veux vraiment jouer à la cochonne avec moi ? Tu sais ce que les sales gosses obtiennent de mon amour.“ (you really want to play dirty with me? You know what brats get my love)
He caresses your cheek with his thumb as he tilted his head.
Ne m'oblige pas à te faire ça, ma belle. (Don‘t make me do it to you sweetcheeks)
He goes back to squeeze your cheeks together and pulls you closer to him with a warning look in his ocean eyes. As the night draws to a close and the party fades into memory, you carry with you the lingering warmth of Charles's touch, a tantalizing reminder of a fiery encounter that ignited sparks in the heart of Monaco.
As for what happens after the party? Only the two of them and maybe the neighbour will know ;).
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Now that escalted quickly👀 HAVE MERCY ON ME!! I don‘t know how to write intimate moments aka the humpy dumpty so please take this as a chance to let your mind run freely 🥹
Reblog, comments and likes are aprreciated
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kilfeur · 4 months
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Alors j'ai remarqué des différences dans le passage d'Alastor dans la chanson "Hell's Great Dad". Dans la version anglaise, quand il dit "I'm truly honored that we build such a bound" dans la version française "On a un lien que rien ne peut remplacer" (We have a bond that nothing can replace). Je sais que ça implique Lucifer mais aussi j'ai aussi l'impression qu'il écarte Vaggie aussi dans cette ligne en vf.
On continue en anglais avec "You're like the child that I wish I had" mais en français ça dit "On devient une famille grâce à cette affaire" (We're becoming a family thanks to this affair.) Déjà les deux réplique implique l'idée d'écarter la famille Morningstar en isolant Charlie. Mais la ligne en français, pourrait aussi renforcer l'idée qu'Alastor travaille pour Lilith dans cette réplique. Puis en anglais "I care for you like the daughter I spawned" en français c'est "Je veille sur toi et je vais même jusqu'à te border" (I'll watch over you and even tuck you in). Ouais, ça va pas juste à garder à un oeil sur elle, ça va jusqu'à ce qu'elle s'endort et qu'elle fasse des cauchemars avec Alastor qui les regarde avec plaisir.
On continue avec Alastor aidant Charlie en anglais "they say when you're looking assistance it's smart to pick the path of least resistance." Et là pour le coup je me demandais si c'était une expression. Une rapide recherche semble dire que c'est le cas vu que c'est plus rester dans sa zone de confort. En vf ça dit "Si le poids de tes soucis est immense tu pourras toujours compter sur ma puissance" (If the weight of your worries is immense you can always count on my power). Je pense que c'est pareil dans le sens que ça reste dans la zone confort mais qu'Alastor parle plus de puissance que de résistance en va. Puis dernière ligne en anglais Alastor dit "Sadly, there are times a birth parent dud. They say the family we choose is better" en vf il dit "Malheureusement on ne choisit jamais ses parents alors qu'on choisit toujours ses amis." (Unfortunately, we never choose our parents, but we always choose our friends) Ce que je trouve un peu plus rude dans la vf mais les deux se valent bien.
So I noticed some differences in Alastor's part in the song "Hell's Great Dad." In the English version, when he says "I'm truly honored that we build such a bound" in the French version "On a un lien que personne ne peut remplacer" (We have a bond that no one can replace). I know it implies Lucifer, but I also have the impression that he's dismissing Vaggie in this line too.
We continue in English with "You're like the child that I wish I had" but in French it says "On devient une famille grâce à cette affaire" (We're becoming a family thanks to this affair.) Already both lines imply the idea of sidelining the Morningstar family by isolating Charlie. But the French line could also reinforce the idea that Alastor is working for Lilith in this line. Then in English "I care for you like the daughter I spawned" in French it's "Je veille sur toi et je vais même à te border" (I'll watch over you and even tuck you in). Yeah, it doesn't just go to keeping an eye on her, it goes all the way to her falling asleep and having nightmares with Alastor looking with pleasure.
We continue with Alastor helping Charlie in English "they say when you're looking assistance it's smart to pick the path of least resistance." And here I was wondering if it was an expression. A quick search seems to say it is, since it's more about staying in your comfort zone. In French it's "Si le poids de tes soucis est immense tu pourras toujours compter sur ma puissance." (If the weight of your worries is immense you can always count on my power). I think it's the same in the sense that it stays in the comfort zone but Alastor talks more about power than resistance in goes. Then last line in English Alastor says "Sadly, there are times a birth parent dud. They say the family we choose is better" in French he says " Malheureusement on ne choisit jamais ses parents alors qu'on choisit toujours ses amis." (Unfortunately, we never choose our parents, but we always choose our friends) Which I find a little rougher in the French version, but both are equally good.
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perduedansmatete · 7 months
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aujourd'hui on devait se voir au final on s'est pas vus car il était pas bien apparemment à m'envoyer sa tête de malade là vraiment je me questionne toujours plus sur la résistance des hommes face à la douleur moi ma chiasse et mes migraines continues à cause de lui depuis une semaine on se plaint pas mais je m'égare à ce moment là je suis triste de ne pas le voir et un peu inquiète de son état, je voulais qu'on se fasse un goûter tous les deux et je comptais lui apporter son graal à savoir un chausson aux pommes (puis un pour moi) avec les six euros restants sur mon compte, mais bon il me dit qu'on se verra demain s'il va mieux et moi qui était toute mignonne je me démignonnise car j'ai la flemme d'être belle du coup, je réfléchis à ma solitude et je me dis que j'aimerais bien voir des amies pour boire un chocolat chaud ou n'importe quoi mais soit elles bossent soit elles ont cours soit je demande même pas car je sais que ça va pas être possible bref comme j'avais personne à voir je profite de ce temps libre pour aller récupérer une jupe de vinted qui au final est trop grande mais ça je ne le sais pas encore lorsque sur le chemin je me dis bon autant rentabiliser cette sortie, et que je marche alors longtemps vers un parc que j'aime bien pour que pile quand j'arrive un gars ferme la grille alors que c'était pas l'heure mais bon soit je rebrousse chemin et je rentre chez moi avec lorde dans les oreilles en voulant pleurer comme quand j'avais treize ans la soirée commence à tomber je me rends compte que la jupe est trop grande je veux encore pleurer car j'ai une pile atroce de fringues à remettre à ma taille et une flemme encore plus monumentale que cette pile à le faire donc je me pose dans mon lit et pendant un instant je me dis que cette journée était vraiment inutile et décevante pour quelqu'un qui en attendait beaucoup après avoir absolument rien fait ces derniers jours mais ce qui me fait le plus rire c'est que quand on parlait tout à l'heure il était tout mimi et ça allait un peu mieux puis il m'a envoyé une photo de lui dans l'endroit où on sort souvent alors que la soirée du jour est nulle de ses propres dire (c'est vrai c'est une des plus nazes) du coup je suis là bah pourquoi t'y es si c'est nul et que t'es malade j'ai envie de rajouter qu'on aurait pu se voir ce soir surtout qu'il sait que j'aurais pris soin de lui ou version plus énervée et lamentable que j'ai presque l'impression qu'il veut juste pas me voir moi mais bon peut-être que j'exagère en tout cas je crois que je vais quand même aller me faire foutre surtout qu'il continue de se plaindre qu'il est pas bien bah t'avais qu'à rester chez toi mon grand
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loopscereal · 3 months
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Día 4: Picnic!
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Yeaaah un redrawww de ese boceto de eddo (abajo del corte)
Poquito contexto para ustedes (tambien abajo del corte lol),
esto en mi mente toma lugar cuanda ellos tienen 15 años? 14? Ellos se conocieron primero y tenian un tiempo que "los toys" solo eran ellas dos. UHH tal vez notan que Joy tiene el pelo casi en el estilo de Golden, y su vestido para mi version de ella es un poco fuera de su estilo personal. Uh es que ella estaba mucho mas bajo el "control" de su familia. Yyyy no se. lol. Le di pulseras y un collar que tienes "b" (uno dice "G" pero eso fue error) porque en nuestro au el sur de su familia es Belmonte. Y tiene las pulseras y collar como representación de esposas. Yhh yeah El collar de Mangle es un corazon como el que le damos a Spring, y adentro tendria una foto de los brothers. Meg tambien esta más sonrojada que joy xq el nene era completamente inutil y Perdidamente enamorado de ella. Ehhh algo un poco agridulce de esto es que Meg nunca dice nada, nuna reconoce sus sentimientos. Solo cuando Joy consigue novia, Mangle nota como se sentia. lololol
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maddiesbookshelves · 5 months
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Coraline, by Neil Gaiman & P. Craig Russell (Illustrator)
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When Coraline steps through a door in her family's new house, she finds another house, strangely similar to her own (only better). At first, things seem marvelous. The food is better than at home, and the toy box is filled with fluttering wind-up angels and dinosaur skulls that crawl and rattle their teeth. But there's another mother there and another father, and they want her to stay and be their little girl. They want to change her and never let her go. Coraline will have to fight with all her wit and all the tools she can find if she is to save herself and return to her ordinary life.
I've been wanting to read the book for a while, and then during my internship I started reading every Neil Gaiman comics I could get my hands on (minus Sandman and his work for DC). I really love the movie so seeing this version of Coraline was weird, but it helped me see them as two separate things, which was a plus. I've got to admit, I don't really remember my reading experience, I only remember liking it a lot and it making me want to rewatch the movie and finally read the book, haha
French version under the cut
Lorsque Coraline passe une porte dans la nouvelle maison de ses parents, elle découvre une autre maison, étrangement semblable à la sienne (mais en mieux). Au début, tout semble merveilleux. La nourriture y est meilleure qu'à la maison, et le coffre à jouets est rempli d'anges mécaniques volants et de crânes de dinosaures qui rampent et claquent des dents. Mais il y existe aussi d'autres parents, copies conformes des vrais avec des boutons cousus à la place des yeux. Coraline devra employer toute son intelligence et tous les outils à sa disposition pour se sauver et retourner à sa vie ordinaire.
Je voulais lire le livre depuis un moment puis pendant mon stage je me suis mise à lire tous les comics de Neil Gaiman auxquels j’avais accès (sauf Sandman et ses comics pour DC). J’aime énormément le film donc voir cette version de Coraline était bizarre, mais ça m’a aidé à les voir comme deux choses séparées, ce qui est un plus. Je vous avoue que je me souviens pas bien de ma lecture, je me souviens juste avoir beaucoup aimé et avoir eu envie de revoir le film et d’enfin lire le livre, haha
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marie-swriting · 20 days
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Ramener Votre Cœur À La Vie - TASM!Peter Parker
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Marvel Masterlist
Speak Now TV Masterlist
Résumé : Ta mère et May ont arrangé un rendez-vous entre toi et Peter en pensant que vous étiez fait l'un pour l'autre, toutefois vous penser que ça ne marchera pas.
Warnings : mention de la mort de Gwen et d'Oncle Ben, mention de relation toxique (pas de détail), anxiété, un peu d'angst, fin heureuse, ditees-moi si j'en ai loupé d'autres.
Nombre de mots : 3.4k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Electric Touch par Taylor Swift Feat. Fall Out Boys (Taylor's Version) (From The Vault)
Tes vêtements sont éparpillés de partout dans ta chambre. On dirait un véritable chantier, mais ça ne t’arrête pas pour autant. Tu continues de fouiller dans ton placard à la recherche de la tenue parfaite. Enroulée dans ta serviette de bain, le désespoir prend un peu plus possession de ton corps. Tu n’aurais jamais dû écouter ta mère. Au moins, tu ne serais pas dans cette situation. Tu pousses un grognement de frustration quand on frappe à ta porte de chambre. Tu invites la personne à entrer et ta mère apparaît.
-Tu n’es toujours pas prête ? Il va arriver dans une trentaine de minutes !
-Oui, maman, je sais ! rétorques-tu, sèchement avant de prendre une voix plus douce. Désolée. Je sais pas quoi mettre, j’en ai marre. 
-Mets quelque chose dans lequel tu te sens bien.
-Plus facile à dire qu’à faire ! Je ne trouve que des défauts à tous mes vêtements. Je sais même pas pourquoi je t’ai écouté, en fait. Je le connais même pas et on a déjà un rendez-vous. Ça se trouve, ce gars est quelqu’un d’horrible, commences-tu à déblatérer en faisant les cent pas. Enfin, tu le connais pas réellement non plus. Tu sais juste ce que ta collègue, May, t’a raconté. Peut-être qu’elle a embelli la réalité ! 
-Je ne connais peut-être pas Peter personnellement, mais je l’ai déjà vu plusieurs fois et tu l’as aussi vu une fois, je te rappelle. Tu l’as même trouvé mignon.
-Je l’ai vu cinq minutes il y a deux ans, ça ne compte pas vraiment. 
-Je suis sûre que Peter est quelqu’un de gentil, affirme ta mère en caressant ta joue pour te calmer. Pour te le prouver : quand May oublie d’amener son repas, il l'emmène toujours avec un grand sourire et un bisou sur la joue. Il l’accompagne souvent au travail quand il fait nuit. Et toutes les fois où je lui ai parlé, je l’ai trouvé très poli. Tu crois vraiment que je t’aurais arrangé un rendez-vous avec le premier venu ? J’ai de l’instinct, ma puce.
-Je ne suis toujours pas convaincue. On s’est à peine échangé trois messages et c’était juste pour s’assurer que c’était toujours bon pour aujourd’hui. Et puis, ça se trouve, je ne vais même pas lui plaire. Et même si ça fonctionne ce soir, qui dit que ça durera dans le temps ? Mes histoires se finissent toujours mal. C’est bon, je vais annuler, c’est mieux, déclares-tu en tentant de prendre ton téléphone, mais ta mère te l’enlève de tes mains.
-Tu ne vas pas annuler. Respire, détends-toi, ça va aller, dit-elle avec douceur. Écoute, je sais que ta dernière relation avec George s’est mal passée et que tu en as beaucoup souffert, mais tu ne peux pas continuer à fermer ton cœur à de nouvelles rencontres, car tu penses que tu vas retomber sur une autre version de lui. Et puis, même si le courant ne passait pas entre toi et Peter, ce dont je doute, tu aurais au moins fait un pas en avant. Tu n’as pas à avoir peur. Allez, enfile ça et tu verras, tu seras belle et à l’aise dans tes vêtements, ajoute ta mère en te donnant une robe mi-longue. Je dois aller au travail. Préviens-moi quand tu es rentrée, d’accord ? Faites attention à vous. Ça va aller, ma puce, j’en suis sûre.
Ta mère t’embrasse une dernière fois sur le front avant de quitter ta chambre. Tu pousses un long soupire puis, tu finis de te préparer. Pendant que tu fais ton maquillage, tu ne peux t’empêcher de regarder ton téléphone, attendant un potentiel message de Peter t’informant que le rendez-vous est annulé. Ta mère avait réussi à faire descendre ton anxiété, mais tes peurs ont vite repris le dessus une fois seule à nouveau. Pour toi, ce rencard peut se terminer uniquement de deux seules façons : soit ça finit mal et tu as le cœur brisé, ce qui est probable, soit il se finit bien et ton cœur peut enfin guérir, ce dont tu doutes. Tu te demandes si Peter est dans le même état que toi.
La réponse est simple : il est encore plus en panique que toi. Il a seulement accepté ce rendez-vous pour faire plaisir à Tante May. Depuis la mort de Gwen, il s’est beaucoup renfermé, mais, à présent, il veut faire des efforts. Toutefois, parmi ces efforts, il n’avait pas inclus “sortir avec d’autres personnes”, surtout si c’est pour mettre une autre personne qu’il aime en danger. Il ne veut pas reproduire ce qui s’est passé avec Gwen. Au début, il avait essayé d’y échapper, mais May a tellement insisté qu’il a fini par céder. Pour lui, ce rencard est une ultime tentative pour voir si sa vie amoureuse peut marcher tout en étant Spider-man. Il aimerait que ça fonctionne pour une fois, mais il ne peut s’en empêcher d’être pessimiste.
Sachant que votre rendez-vous est en fin de journée, Peter a décidé de faire sa patrouille quotidienne un peu plus tôt. Il n’y a pas grand-chose qui sort de l’ordinaire, par conséquent, il arrive à rentrer chez lui pile à temps pour se préparer. Au moins, même si ce rendez-vous est catastrophique, il est sûr qu’il sera à l’heure. 
En entrant dans sa chambre, il enlève vite sa tenue de Spider-man et se jette sous la douche. Dans son placard, il prend d’abord la première tenue qui lui tombe sous la main puis, il commence à paniquer. 
“C’est un premier rendez-vous, je peux pas mettre n’importe quoi”, se dit-il. 
Il s’apprête à se changer quand il se demande pourquoi est-ce qu’il se casse tant la tête alors que ça ne va pas aboutir. Il ne va sûrement pas te plaire ou vice-versa. Alors, il renfile son tee-shirt noir et se regarde rapidement dans le miroir. Sa tenue est décontractée, peut-être un peu trop pour un premier rendez-vous. Il devrait peut-être ajouter une veste. Il ne voit pas vraiment quelle différence ça fait. Il n’arrive pas à deviner si sa tenue va. Après tout, il ne veut pas faire trop d’effort, mais d’un côté, il a envie d’en faire un peu. Tu mérites d’avoir un rencard avec un mec à peu près présentable. Il finit par troquer son tee-shirt noir pour un bleu foncé. C’est un peu moins triste, n’est-ce pas ? Quand il regarde l’heure, il voit qu’il n’a pas le temps de réfléchir plus longtemps et s’occupe de ses cheveux en faisant sa coupe habituelle. May l’interrompt rapidement pour lui signaler qu’elle part au boulot.
-T’es mignon comme ça, je suis sûre que Y/N sera de mon avis.
-J’sais pas, marmonne Peter en se tournant vers May.
-Crois-moi, c’est déjà le cas. Sa mère m’a dit que tu lui avais tapé dans l'œil, affirme-t-elle avec un grand sourire. 
-Ça ne veut pas dire que ce rendez-vous sera bien. Je ne suis même pas sûre de vouloir sortir avec quelqu’un d’autre, Tante May.
-Peter, je sais que la mort de Gwen a été compliquée pour toi, mais tu ne peux pas rester enfermé dans une boucle où Gwen est encore à tes côtés, commence May en posant ses mains sur les épaules de son neveu. Tu dois avancer. Ça ne veut pas dire que tu vas l’oublier. Gwen sera toujours dans ton cœur et c’est normal, mais ça ne veut pas dire que personne d’autre ne doit rentrer. Et puis, ce rendez-vous n’est pas obligé de se finir sur une relation amoureuse. Peut-être que tu te feras une nouvelle amie et ça, ça sera déjà un grand pas. Je suis déjà fière de voir que tu t’autorises à avancer, malgré la douleur.
-Elle me manque, murmure Peter en regardant le sol.
-Je sais, mon grand.
-Tu crois que la douleur s’arrête un jour ?
-Je crois que ça devient plus facile de vivre avec, répond May délicatement. Tu sais, maintenant, j’arrive à penser à ton Oncle Ben sans avoir mon cœur qui se déchire complètement. J’arrive à penser d’abord aux bons souvenirs avant de me rappeler qu’il n’est plus là. Ça ira bien pour toi aussi, Peter. J’en suis sûre. 
Peter fait un dernier sourire à sa tante alors qu’elle quitte la pièce. Quand Peter est prêt, il regarde son téléphone et voit que tu n’as pas annulé à la dernière minute, il n’a donc pas d’autre choix que de partir prendre le métro. Logiquement, il devrait arriver à sept heures pile chez toi pour que vous puissiez aller au diner à une quinzaine de minutes de ta maison. 
Dans le métro, Peter commence à stresser de plus en plus en pensant à ce qu’il pourrait te dire. Après tout, il ne te connaît pas. Vos conversations seront sûrement vides et si c’est le cas, le rendez-vous va être très, très long. Alors qu’il réfléchit à une question qu’il pourrait te poser pour briser la glace, le métro s’arrête abruptement. Peter regarde par la vitre et voit qu’ils ne sont pas arrivés à une station. Soudain, une voix interrompt les interrogations de Peter et des personnes à côté de lui en informant : 
“Chers voyageurs, nous vous informons que nous avons actuellement un problème technique. Nous faisons tout pour régler la situation au plus vite. Nous nous excusons pour ce désagrément.” 
Peter soupire en entendant l’information. Il risque d’être en retard. Super. Il sort son téléphone pour te prévenir, mais bien évidemment, son téléphone n’a pas de réseau. 
Pour lui, cette panne sonne comme un présage, il n’aurait pas dû accepter ce rencard. Même si toute cette histoire ne se termine pas comme avec Gwen, le fait est que ça ne marchera pas, c’est sûr. Il aimerait ne pas souffrir à nouveau, mais Peter a l’impression d’être allergique au bonheur. 
Peter tente de calmer son anxiété en repensant aux mots de Tante May et range son téléphone avant de prendre son mal en patience jusqu’à ce que la situation soit réglée. 
De ton côté, tu attends Peter, assise sur le canapé du salon. Il est bientôt sept heures, il devrait arriver d’une seconde à l’autre. Une fois de temps en temps, tu jettes un coup d'œil par la fenêtre, mais tu ne le vois pas arriver. Plus les minutes passent et moins tu arrives à tenir en place. 
“Respire, détends-toi, ça va aller”, la voix de ta mère résonne dans ta tête en vain. 
Tes yeux voyagent entre la fenêtre et ton téléphone, les deux ne t’apportent aucune nouvelle sur l’arrivée de Peter. Tu commences à te mordre la lèvre en t’imaginant les pires scénarios. Il t’a peut-être posé un lapin ? Non, ta mère t’a assuré qu’il était gentil donc il ne l’aurait pas fait. Tu as peut-être donné la mauvaise adresse ? Tu regardes tes messages et découvres que tu n’as pas fait d’erreur. Peut-être que tu as mal compris le jour et l’heure ? Tes messages prouvent que tu ne t’es pas trompée. Il lui est peut-être arrivé quelque chose de grave, alors ? Non, tu ne peux pas commencer à imaginer des choses horribles. Il a juste du retard, rien d'autre. N’est-ce pas ?
Tu attends encore un peu et quand la demie est passée, tu lui envoies un message pour savoir où il est. Tu n’obtiens pas de réponses. Tu commences à ronger tes ongles alors que ton cœur bat de plus en plus vite, le stress devenant trop important. Tu n’arrives pas à comprendre et tu commences à douter de tout ce rendez-vous. C’était clairement une erreur, tu n’aurais jamais dû accepter. Tu aurais aimé que ça marche pour une fois, mais tu sembles être maudite. Tu avais raison, tu vas avoir le cœur brisé et ce rencard va mal se finir - si Peter finit par arriver.
Après plus de quarante minutes bloqué dans le métro, Peter descend enfin à ta station. Il se faufile entre les gens en courant, ne voulant pas être plus en retard. Cinq minutes plus tard, il voit enfin ta maison au loin. Quand il passe devant la fenêtre de ton salon, tu le vois courir telle une furie. En regardant ton téléphone, tu vois que c’est huit heures cinq. Il a plus d’une heure de retard, à cette réalisation, tu lèves les yeux au ciel. Il a intérêt à avoir une bonne excuse. Tu as déjà donné dans les mecs qui ne sont pas ponctuels, tu n’as pas besoin d’un de plus ! 
Quand il est devant ta porte, il passe rapidement une main dans ses cheveux, prend une profonde inspiration avant de frapper. Il patiente un instant avant que tu ouvres la porte. En te découvrant, Peter est subjugué par ta beauté alors, il reste planté, là, à ne rien dire. Quand tu lui lances un regard, il reprend ses esprits avant de parler.
-Je suis terriblement désolé pour le retard. J’étais bloqué dans le métro et…
-Un message n’aurait pas été de trop, l’interromps-tu sèchement.
-J’avais pas de réseau. J’en ai eu quand je suis enfin arrivé à la station. En temps normal, je suis ponctuel, je te promets. Je suis désolé de t’avoir fait attendre. Tu as sûrement pensé que je t’avais posé un lapin et c’est normal, mais ce n’est pas mon genre. J’ai essayé de faire au plus vite quand le métro a redémarré, explique Peter et tu sens qu’il est sincère. Tout est ruiné, n’est-ce pas ? Ce n’était pas mon but. Je comprendrais si tu ne voulais plus qu’on sorte ce soir.
-Je veux bien qu’on sorte. Le métro est tombé en panne, ce n’est pas de ta faute, assures-tu en souriant. 
En entendant ta phrase, Peter te fait un sourire. Même s’il n’avait pas forcément hâte pour ce rendez-vous, le fait est qu’il s’est engagé avec toi et il met un point d’honneur à tenir ses promesses. 
Tu prends ton sac à main et fermes la porte de chez toi. Peter te laisse passer en premier et vous marchez en direction du diner. Sur le chemin, tu demandes à Peter de te donner un peu plus de détails sur la panne du métro, ignorant par quel sujet commencer la conversation. 
Quand vous êtes installés à votre table, vous continuez d’échanger des banalités. Juste en vous regardant, on peut deviner que vous n’êtes pas à l’aise, vous ne savez pas comment agir avec l’autre. Aucun de vous n’ose commencer une conversation profonde, comme si vous aviez oublié comment agir lors d’un premier rencard. Tu contemples même l’idée d’inventer une excuse pour partir. La discussion reste embarrassante jusqu’à ce que vous commandiez à manger. Après avoir évoqué une énième banalité, Peter lâche un soupire avant de prendre la parole : 
-Je suis sûr que cette situation est aussi gênante pour toi que pour moi. C’est ta mère et ma tante qui ont organisé tout ce rendez-vous, mais ça n’a pas à être aussi embarrassant. Je ne sais pas pour toi, mais c’est mon premier rencard depuis un moment et je suis un peu rouillé. Ma dernière relation s’est terminée… de manière tragique, disons et donc, on a pas forcément besoin de se mettre de grandes attentes pour ce soir. On devrait juste apprendre à se connaître sans s’attendre à quelque chose en particulier et juste voir où ça nous mène, si ça te convient. 
-Ça me convient, acceptes-tu en poussant un soupir de soulagement. Ma dernière relation s’est mal terminée également. C’était assez toxique, et j’avoue que j’ai du mal à être à l’aise.
-Alors, allons-y doucement. Pas besoin que ça soit un grand rendez-vous romantique, apprenons simplement à être à l’aise avec une nouvelle personne. Qu’est-ce que tu en dis ? 
-Je suis d’accord avec toi. 
À partir de ce moment, la tension quitte votre table, vous laissant vous découvrir tranquillement. Peter te pose quelques questions sur le livre que tu as lu dernièrement et rapidement, vous parlez de vos centres intérêts, qu’ils soient communs ou non. 
Finalement, vous arrivez à passer un bon moment. Tu rigoles plusieurs fois, suite à des remarques de Peter. On ne t’avait pas fait rire de cette façon depuis longtemps. Peter est tout de suite sous le charme de ton rire, adorant la manière dont ton visage s'éblouit. Peter te parle un peu plus de lui et tu dois avouer que tu apprécies de plus en plus sa personnalité. Ta mère avait raison, Peter est quelqu’un de réellement gentil. À certains moments, vous rentrez un peu plus en détails de vos anciennes relations, sans trop vous attarder, certaines blessures encore trop fraîches, mais vous comprenez que l’un comme l’autre, vous avez encore un peu de chemin à faire, mais vous n’êtes pas contre l’idée de le faire ensemble. 
Après avoir mangé, vous restez encore un peu au restaurant, ne voyant pas les minutes défilées. Quand vous finissez par partir vers les vingt-deux heures passées. À peine dehors, tu as un frisson à cause de la fraîcheur de la nuit. Peter le remarque et te propose sa veste. Tu essayes d’abord de refuser, mais il insiste et tu finis par accepter. Alors qu’il te la mets sur tes épaules, sa main droite frôle ta peau et tu frissonnes à nouveau, mais pas à cause du froid, ton cœur bat également plus rapidement, mais pas à cause de l’anxiété. Son toucher était comme électrique et en relevant la tête, tu vois Peter proche de toi et tu te dis qu’il est encore plus beau à cette distance. Tu essayes de ne rien laisser paraître alors que vous commencez à marcher vers chez toi.
Sur le chemin, vous continuez à discuter et tu aimerais que ce moment n’ait jamais de fin. Tu n’aurais pas pensé que tu aurais pu te sentir autant connecté avec un autre homme aussi rapidement. Pour Peter, il n’aurait jamais cru qu’il arriverait à s’autoriser à regarder une autre femme que Gwen. Tante May avait raison, Gwen est toujours dans son coeur, mais il n’est plus aussi contre de laisser quelqu’un d’autre rentrer. Peut-être pas tout de suite, mais si tu devais le faire, il en serait content.
Quand vous êtes devant ta porte d’entrée, tu redonnes la veste à Peter et tu espères secrètement toucher sa main, mais le vêtement t’en empêche. Tu souris à Peter alors qu’il finit de parler du début de sa théorie sur le multivers. 
-C’était vraiment bien ce soir. Je ne pensais pas passer un aussi bon moment, sourit-il.
-Moi non plus. J’avais beaucoup d’appréhension. 
-Je te comprends. 
-Tu sais, je ne serais pas contre l’idée de refaire quelque chose dans le genre, commences-tu en évitant son regard. Je serais contente de voir où ça nous mène, même si on prend notre temps.
-J’en serais content aussi. Est-ce que tu crois que ça serait trop rapide si je te disais que tu es très belle ? J’y ai pensé toute la soirée et je me suis dit que je devais te le dire avant de partir et de regretter d’avoir rien dit. 
À son compliment, tes joues se mettent à chauffer alors qu’un sourire prend place sur ton visage que Peter trouve plus que mignon. Savoir qu’il t’a fait sourire réchauffe son coeur. 
-Ce n’est pas trop rapide, j’apprécie le compliment. Tu es mignon également. Et tu crois que ça serait trop rapide si je t’embrassais la joue ? demandes-tu et Peter se fige. Tout de suite, tu regrettes ta question et tu ne sais plus où te mettre. Désolée, je suis allée trop loin, je n'aurais pas dû le dire.
-Je m’y attendais pas, c’est tout, mais ça me dérangerait pas.
Légèrement embarrassée, tu te rapproches de Peter et poses ta main sur sa joue avant d’embrasser sa joue droite. En sentant ce contact sur sa peau, Peter ne respire plus pendant une seconde. Il ne pensait pas que ton toucher serait aussi éléctrique contre sa peau. Le baiser était court, mais il l’a en mémoire. Il sait qu’il va y repenser chaque seconde de la journée. Quand tu t’éloignes, tu souhaites une bonne nuit à Peter avant de rentrer chez toi. Peter reste planté jusqu’à ce que ta porte soit totalement fermée puis, il quitte ton porche, un grand sourire aux lèvres. 
Tous les deux, vous repensez à cette soirée avec tendresse. Vous savez que ce n’est que le tout début, mais vous savez déjà que l’un comme l’autre saura ramener votre cœur à la vie. Vous avez déjà envie de vous revoir et peut-être que ça vous prendra un peu de temps avant de vous autoriser à tomber amoureux à nouveau, mais ce n’est pas grave. Pour une fois, vous savez que ça va bien se passer.
Marvel Masterlist
Speak Now TV Masterlist
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destructo-range · 1 month
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wee introduction
ENGLISH VERSION
hi hello hope you're having a lovely evening friends! ! ! this is just a quick intro to me might edit later idk
WHO AM I?
idek lol
you can call me valian, val, vali, any other nickname you could ~possibly~ derive
use any pronouns/neos for me i dont particularly prefer any
i'm a creative person so i'm probably mainly going to be posting visual art (messy sketches and doodles, digital stuff and photos of my sketchbook) and maybe some writing? idk lets see how this goes! ! ! i will take requests but i'm pretty inconsistent and life gets busy so do me a favor and don't rage at me in my inbox if i don't take your request / it doesn't come out how you wanted it to.
im bilingual french / english so i may post in french sometimes! i'll be providing translations moooost of the time (and image IDs ofc) but do remind me if i forget also i do tend to speak in frenglish/franglais but that should be comprehensible
i don't think i'll post much vent art or triggering stuff, but if i do it will be tagged so you can avoid it since i do sometimes draw gore. speaking of triggering topics - for fucks sake, do not tag me in posts that mention s/a or message me stuff about it, please and thank youu.
fandoms i generally tend to participate in (can't believe i nearly forgot this): TOH, GI, my own ocs, ramshackle, dead plate, and pjo a little
IMPORTANT: please do not repost my art without asking permission first! feel free to use for pfps though. my art belongs to me and if you use it to train an AI, i will make a soup broth from your bones <3
yeah thats basically it. chill vibes around here feel free to message me :D
VERSION FRANCAISE
salut bonjour ca va la compagnie? ce post est juste une petite intro lol amusez-vous a le lire
T'ES QUI?
g aucune idee
vous pouvez m'appeler valian, val, vali ou quelconque autre surnom que vous pourriez ~possiblement~ inventer.
vous pouvez utiliser n'importe quels pronoms pour moi ca ne m'importe pas, il/elle/iel ou autre chose je m'en fous
en general puisque je suis une personne creative ce blog aura probablement majoritairement de l'art visuel (petits dessins vite faits, gribouillages, quelques trucs digitaux peut-etre et des photos de mon sketchbook) et peut-etre de l'ecriture? jsp on decouvre ensemble! ! ! si vous avez des idees hesitez pas a me les donner mais je ne peux pas vous garantir que je les ferai! je suis assez inconsistent.e et la vie est compliquee alors svp sois mon pote et ne viens pas rager dans ma messagerie quand je ne les prends pas ou je les fais et ils ne sont pas assez detailles pour toi, d'accord?
je suis bilingue (comme vous avez probablement deja remarque lol) francais-anglais alors dcp je posterais parfois en anglais! je donnerai des traductions (et des image ID, bs) la plupart du temps mais n'hesitez pas a me rappeler si j'oubliee aussi g tendance a parler en franglais/frenglish mais ca devrait etre comprehensible
je ne pense pas que je vais poster des choses particulierement morbides mais je dessine parfois des trucs assez sanglantes mais ce devrait etre dans les tags. aussi, tant qu'on y parle - s'il vous plait, ne me 'mention' pas dans des posts parlant du viol, meme si c'est qu'un petit truc, merciiii.
fandoms dans lequelles je participe plutot frequemment (g failli oublier): TOH (ou luz a osville si vous avez regarde en francais mais moi g regarder en anglais mais c quoi osville wsh????), genshin impact, mes propres personnages, ramshackle, dead plate et percy jackson un peu
IMPORTANT: svp demandez moi avant de reposter qqc que j'ai poste! mais vas-y si tu veux utiliser comme pdp. aussi si tu utilise mon art pour creer une IA, je bouillerai tes os pour faire une soupe <3
ok bon je pense que c tout! mon blog c une zone chill hesitez pas a me balancer des mesages a toutes :D
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voluxpa · 8 months
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Hey hello ! J'espère que ma question n'est pas déplacée, mais je comptais m'inscrire sur BTT et je vois qu'à présent le forum est lock et les inscriptions closes. Le forum va définitivement fermer ses portes ou il faut juste que j'attende un peu ? Merci pour ton attention !
bonjour à toi et merci pour ta question, ça me permet d’ailleurs pour des possibles intéressés qui passeraient par là de clarifier la situation 🖤
long story short, après pratiquement 3 ans sur un contexte réel et à interpréter nos personnages (les adapter avec les arrivées et les départs) nous avons remarqué que notre imagination et notre envie étaient de plus en plus limitées. BTT étant avant tout une communauté (ceux qui en font partie pourront l’attester) il n’était pourtant pas question que nos routes se séparent avec les membres que l’on considère maintenant comme une petite famille;
de fait le contexte va être remis à neuf dans un univers fantastique, pseudo pirate/mythologique post-apocalyptique. nous sommes en train de créer tout ça avec nos membres, et nous ouvrirons le forum aux inscriptions bientôt! je me doute que c’était pas vraiment ce que tu recherchais si tu t’intéressais à un contexte city gang, mais j’espère que tu pourras jeter un coup d’œil à notre future intrigue et nous rejoindre plus tard 🖤
je tiens aussi globalement à remercier tous ceux qui ont permis à BTT d’être ce qu’il a été, et nous vous retrouvons bientôt sur la version 2.0 ✨
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jeanchrisosme · 3 months
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Je te laisse Et ce n’est pas parce que je ne t’aime plus Je te quitte parce que je dois toujours te demander de l’amour, du temps, de l’attention et ça, Ce n’est pas demandé ou supplié dans une relation. Je te quitte parce que tu ne me donnes pas ce que je te donnecar c’est à toi que je donne mes jours mon cœur et mon âme. —La meilleure version de moi-même— Et ça me ronge. Je te laisse Parce qu’on n’est pas faits l’un pour l’autre car si c’était le cas, Nous ne nous éloignions pas l’un de l’autre Avec ton indifférence Me faire choisir Entre ton amour et mon amour-propre. Je te laisse Parce que nos vies ne vont pas ensemble Parce qu’à côté de toi, j’ai l’impression que Que la vie m’échappe Parce que même avec votre entreprise Je me sens triste, vide, solitaire et que... Cela ne devrait pas arriver. Et bien que nous en ayons parlé mille fois, Finalement, rien ne semble changer... Ce n’est pas juste pour moi de rester à l’écart De quelqu’un qui sait que je la veux dans ma vie Mais agissez comme s’il s’en fichait Parce qu’à côté de toi, je me sens comme si je nageais à contre-courant. Je te laisse Et ce n’est pas parce que j’ai cessé de t’aimer Comprendre! Que pour l’amour il est important de montrer l’affection, la réciprocité et non le manque d’amour, prendre soin de la fragilité de l’autre Si c’était le vôtre, Et j’ai le pire goût de toi dans ma mémoire. Je te quitte et ce n’est pas parce que je ne t’aime plus Parce que je ne peux pas effacer mes sentiments Du jour au lendemain (j’aimerais pouvoir le faire) Mais je te quitte parce que tu m’as mis Poussé à la limite tellement de fois que je n’en peux plus Parce que c’est juste notre heure C’est terminé. Parce qu’il m’est impossible d’aimer Quelqu’un d’autre, sans m’aimer d’abord moi-même Parce que même si je t’aime à chaque fragment De mon âme et de ma peau Cette relation ne me fait aucun bien « Ça me détruit... Je te quitte, parce que si je reste Tu vas m’achever Et avec le peu que j’ai encore Parce que si je reste, tu vas me retourner Dans un cœur froid C’est pour ça que je te laisse...
Gustavo Chaos
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alexlacquemanne · 3 days
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Ma version de toi, troisième chapitre
Second jour,
Sur nos traces
La chambre était assez vaste, les murs blancs avec des incrustations rouge, au-dessus du lit entre deux appliques on pouvait lire les mots « PaiSible et PaciFier » un radiateur en fonte était situé juste en dessous de la fenêtre relié au gaz par des tuyaux, c’était un vieille hôtel mais avec beaucoup de charme, en arrivant la veille au soir il n’avait pratiquement pas regardé la décoration, il n’en avait pas besoin, il connaissait par cœur cet endroit, pourtant il n’était venu qu’une seule fois, l’espace de trois jours il y a de longues années, mais chaque espaces de cet hôtel était gravé dans sa mémoire comme une photographie. On raconte que le temps est supposé nous guérir, mais ça ne l'avais pas vraiment guérie. Bien sûr il s’était demandé si c’était vraiment une bonne idée de revenir dans ce même hôtel passé une nuit, mais ses doutes avaient vite disparu, ce road-trip était entièrement consacré à ses souvenirs d’elle donc quitte a pensé à elle autant venir ici, et puis cette journée serait sous le signe de tous ces endroits qu’il n’avait pas pu oublier. Il devait être à peine six heures du matin, une faible lumière passait par les interstices des volets, il avait assez mal dormi, mais il s’y était préparé en allant se coucher, les souvenirs allaient remontés à la surface dans cette zone comme hantait par sa présence. La dernière fois qu’il avait était dans ces lieux, elle avait disparu juste après pour réfléchir. Encore aujourd’hui il se demandait à quoi elle avait pensé quand elle s'était éclipsée juste après leur première rencontre. Avec le temps il avait réussi à formuler ce qu’il voulait lui dire à l’époque et c’était toujours aussi vrai aujourd’hui, il voulait lui dire qu’elle pourrait toujours comptais sur lui, aussi longtemps qu'elle tolérerai sa présence il serait là pour elle, cela n’avait sans doute pas beaucoup d’importance pour elle, mais pour lui cela voulait dire beaucoup, il ne donnait pas facilement sa confiance, mais quand il l’a donnait, c’était sans réserve. Peu importe le temps qu’il resterait éloigné, par la distance ou par les sentiments, il ne la laisserait jamais tomber. 
Le hall d’accueil n’avait pratiquement pas changé, il descendait l’escalier recouvert de moquette rouge, le bar d’accueil était à droite, un superbe meuble en bois massif, derrière sur le mur se trouvait un présentoir à clefs constitué d’une vingtaine d’alvéoles lui aussi en bois. Le hall donnait sur une porte-fenêtre à petit carreaux ouvrant sur le trottoir, sur la droite se trouvait une grande salle de restaurant d’une trentaines de couverts, dans l’enfilade une autre salle de même capacité comportait une magnifique fresque du château de Villandry tout proche. Il s’installa sur la terrasse pour profiter de la fraîcheur matinale. Son petit déjeuner était tout simple, un croissant, un chocolat chaud et un jus d’orange, il n’avait pas vraiment faim, la veille il n’avait même pas dîné, tout cela était assez perturbant, il avait l’impression d’être là à la fois maintenant et en même temps de sentir la présence de son ancien lui présent ici il a bien des années.
Il réfléchit brièvement à l'itinéraire du jour, mais il n'en avait pas besoin, il savait très bien où il irait, tout cela était aussi gravé dans sa mémoire. Il reconnaîtrait les lieux parfaitement alors qu’il n’est jamais revenu. Il bu son jus d’orange et alla payé avant de reprendre ses affaires dans sa chambre. Le parking n’avait pas changé non plus de l’autre côté de la rue, le même mélange de terre et de sable au sol, la dernière fois il avait plu la veille et il y avait des ornières et des flaques, cette fois c’était sec. Sa voiture l’attendait là, il mit son sac dans le coffre, avant de rentrer dans l'habitacle il mit une main sur le toit regarda une dernière fois l’hôtel en face et se dit à lui même « Allez on y retourne. ». Il s’installa sur le siège conducteur et pris un moment, il alluma son enceinte Bluetooth et mit la playlist en mode aléatoire, la voix d’Ed Sheeran résonna, il eu un sourire, il chantonna les premières paroles, pendant de longues années tous ces souvenirs lui avait fait atrocement mal, mais ce n’était plus le cas aujourd’hui, il aimait la sensation que ces souvenirs lui apportait, il arrivait à écouter toutes ces chansons pendant longtemps bannis, il arrivait à les chanter à nouveau. Il tourna la clef de contact, le moteur s'extirpa de la nuit fraîche, après une longue route elle démarrait toujours au quart de tour et elle tournait comme une horloge pendant toute la journée, c’était une routière. La voix d’Adèle se fit entendre quand il passa le panneau de fin d’agglomération de Villandry, la dernière fois qu’il était à cet endroit, elle était dans son rétroviseur. C’était une belle départementale jalonnée d’arbres, il suivait une Citroën AX Spot blanche toute cabossée parfaitement dans son élément dans cette campagne. Il tourna à droite pour prendre l’autoroute A85 en direction de Saumur-Angers, à cette heure matinale la deux fois deux voies était quasiment déserte, il devait prendre la prochaine sortie, un viaduc enjambait la Loire, tout était paisible. Le soleil s’élevait progressivement dans le ciel quand il passa le panneau de Langeais, commune du parc régional Loire-Anjou-Touraine, quelques mètres plus loin il arrivait sur carrefour, sur la droite on distinguait la silhouette du magnifique château du XVe siècle, il alla se garer en bataille devant la mairie.
Sur la place trônait un majestueux kiosque à musique, il regarda autour de lui, il se dirigeât vers le château, il essayé de se rappeler, cette étape était la seule zone d’ombre de la journée, il cherchais le restaurant où ils avaient mangé tous ensemble avant de se rendre au rassemblement. Il erra pendant un moment dans les ruelles de ce magnifique village, le château en pierre de Tuffeau éblouissait de sa blancheur dans le soleil matinale, tout était très clair, les murs, les trottoirs en pavé blanc. Il ne trouvait pas ce qu’il cherchait, il se résolut de retourner à sa voiture, quelques mètres avant de retourner sur la place de la mairie, il vit un vieux bâtiment sur la droite où était inscrit « La Conciergerie, Bar Brasserie» une terrasse s’étalait devant en-dessous de mûriers platanes, c’était là, il s’étaient assis à une de ces tables tous les quatre, il avait eu une guêpe qui avaient tournait autour de leurs assiettes, tout cela semblait tellement loin, comme dans une autre vie. Un frisson le prit, il retourna à sa voiture et reprit la route.
Il sorti de Langeais par le grandiose pont suspendu sur la Loire, il y avait un parking avec plusieurs camping car sur la droite, il se rappelait s’être arrêter ici après être arrivé dans la région la toute première fois, avant d’enjamber la Loire il vit sur les panneaux directionnelles le nom de Bréhémont, c’était là sa destination finale. Il se rappelait parfaitement la route, étroite, un peu sinueuse, avec des arbres sur la gauche, et puis la Loire viendrait la longer à droite. Il distinguait au loin le clocher de l’église du village, rien n'avait changé comme si le temps s’était arrêter, alors que non il n’avait jamais arrêter de s’écouler, les années passés, sans elle, encore et toujours, il roula sur des ralentisseurs, le souvenir de sa voix lui demandant si c’était des vrais lui revient en mémoire, plus fort qu’à l’habitude, il avait eu l’impression de vraiment entendre sa voix, un frisson parcourut sa peau. Il continua tout droit sans vraiment réfléchir, il savait parfaitement où il allait, sur la droite des bateaux étaient encrés en bord de Loire. Il tourna à droite derrière l’église, toujours tout droit et puis sur la droite, rien n’avait bougé, il se gara sur le parking devant la salle comme il y a une éternité, il ne se rappelais pas qu’il y avait un terrain de tennis au fond du parking, pour le reste tout était identique, les tables de pique-nique, les poubelles, les arbustes à l’entrée devaient avoir grandi un peu, évidemment. Il n’était pas revenu ici depuis près de dix ans maintenant, et pourtant il n’avait rien oublier, il avait l’impression d’avoir l’ancien soi à côté de lui en permanence comme un écho, elle aussi était là, elle ne l’avait pas quitté une seconde depuis tout ce temps, et il ne lui aurait pas permis de partir tant qu’elle n’aille pas mieux.
Il fit le tour du bâtiment, sur la gauche une rampe pour personnes handicapés rejoignait l’arrière, sur le mur en crépis un écriteau précisé « Centre de Séminaires de Loire » à l’arrière une sorte de préau prolongé la vue vers un champ, il se rappelait avoir était ici c’était un sensation étrange comme si une partie de lui était rester ici après tout ce temps et qu’il venait la rechercher, c’était peut être ça le but de ce voyage, retrouver une partie de soi perdu, il n’avait plus vraiment était le même après tout cela. Il alla s’asseoir à une table de pique-nique, une de ces tables où il avait sûrement fait quelque chose qui avait contribué à ce qu’elle choisisse un connard plutôt que lui.
Il regarda en direction d’un panneau sur le bord de la route, sur la droite se trouvait une boite à livre, en bois, petite, peinte en jaune et bleu, les étagères étaient remplies, c’était un beau clin d’œil, les livres avait toujours était reliés à elle, depuis son départ il avait consacré pas mal de temps à la lecture, les bouquins avaient comblé un vide qu’elle avait laissé. Après avoir jetez un œil aux livres présent dans la boite, il était temps de reprendre la route vers chez lui, il était déjà midi passé, il ne rentrerai pas tôt mais ça faisait parti du road-trip, de toute façon ce voyage allait remuer ses souvenirs dans les heures à venir, il ne dormirait sûrement pas de la nuit, il remonta en voiture et mit sa playlist de longue route, la voix de Christopher Cross retentit. Il était temps, il rentrait chez lui comme il en était parti, anonyme, mais avec l’impression de s’être rapproché d’elle.
"Aussi paumé qu'un navire
Si j'en ai perdu la tête
Je t'ai aimé et même pire"
Pour A.
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chal-latte · 2 years
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ok I’m here to drop some inspo ✨☝🏻 what about y/n!actress with timmy at a friend’s wedding and well of course y/n sings so she performs ‘my man’ (Barbra’s song but glee version, yeah I’m a musical person lol) and of course she glares and looks at timmy all the time (maybe some fans uploading photos of their outfits and stories about hearing y/n singing) 💌🌷 I hope I can send some more inspo soon <3 love you!
a/n: HI LOVER <33 wait fuck I LITERALLY REAd ur text wrong this whole time i fucking thot u asked for them getting married not them attending a friend’s wedding IM SO 😭😭😭😭 SORRY OMG SJFJJSJDJS PLS DONT HATE ME FOR MAKING U WAIT AND THEN PROCEEDS TO GET THE MESSAGE WRONG 😭😭😭😭 I WAS DONE W ALL THIS THEN I REREAD UR TEXT omg i hope this could do it anyway haha lmk what u think
y/i/n
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pauline.chalamet having you by my side until now has been the greatest gift life could ever give to me. then you brought y/n along and now we’re content and complete. she’s been in the family since forever but onto eternity 🥂 everybody welcome y/n chalamet! 
tagged: @y/i/n @tchalamet 
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sillyblondepsycho Y/N 🗣🗣🗣 CHALAMET 🗣🗣🗣
fanpage83 IM SO HAPPY FOR THEM 
fanpage19 SHE’S BEEN IN THE FAMILY SINCE FOREVER 😩😭😩😭
stephanebak 🔥🔥
fanpage11 that all black suit slaps i swear 
jeannedamas congratulations!!
fanpage90 CONGRATULATIONS TO YOU TOO PAULINE FOR HAVING A NEW SISTER IN THE FAMILY
fanpage88 they r so hot!!! best siblings of the century tbh
itsjuliebowen truly happy for you! can’t wait to meet the newlyweds
fanpage22 cant get over the fact that pauline wrote a poem for them both 
↪️ fanpage20 i thought it was a no phone party
↪️ fanpage22 @fanpage20 check deuxmoi
irisapatow cUUuuuuUtEee
helenepambrun trop trop trop contente ❤️❤️❤️
tchalamet
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tchalamet la femme de ma vie, y/n chalamet. 
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y/i/n et toi, mon coeur ❤️‍🔥
*pinned
fanpage29 theyre so fucking in love its beautiful oh my god
fanpage11 for fucking real!!!
fanpage28 me when
gretagerwig i believe i wrote about you guys in the past life. but anywho, let’s celebrate! 
fanpage13 it should’ve been meeee
↪️ fanpage98 lol let them be happy ffs
h.a lovebirds
jamie_grooming you guys are shining ✨✨
jessicachastain there you go tim! promise i’ll make it up for my absence ❤️
↪️ tchalamet we’ll happy to welcome you
↪️ y/i/n @jessicachastain YAY MOTHER 
theweeknd true love 🖤
dunemovie from arrakis with love🔥
fanpage81 i believe they have had several photoshoot together pre wedding bc this isn’t what he wore yesterday
↪️ fanpage67 i think so too based on hélène pambrun’s insta
fanpage33 HIS SPEECH THO
↪️ fanpage48 when he quoted, “whatever our souls are made of, hers and mine are the same.” yeah. people died. y/n cried and i DIED.
opheliamillaiss they made me believe in love again
jacquemus LOVE WINS ❤️✨🕊
vogue
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vogue congratulations to the it couple, @tchalamet​ and @y/i/n. settling down their vows they have celebrated a private enchanting wedding in bali. discover more about their relationship timeline link in our bio. (photo: @gregwilliamsphotography)
tagged: @tchalamet @y/i/n
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fanpage92 the most beautiful couple
fanpage10 i wish i was invited
fanpage20 they were glued together all night! 
fanpage16 harry styles performed golden in their ceremony and it was the most. charming. thing. ever. i cried so bad omg
↪️ fanpage43 and when y/n walked down the aisle with lana’s video game playing <\333
fanpage77 young love <3
fanpage71 ❤️❤️❤️
tchalamet tagged @y/i/n in a story
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150 notes · View notes
logogreffe · 2 months
Text
A Song in French
youtube
Hey-excuse-moi, tu me disais quoi ?
[ the formal version of "tu me disais quoi ?" : "qu'est ce que tu me disais ?"]
J’me suis perdue dans ma tête
[je me suis perdue -> j'me suis perdue]
Je sais que c’est bête
C’est pas très bien pour un premier date
[NOTE : You can say « un rendez-vous » ou « un date »]
Hey-excuse-moi, ça m’intéresse pas
T’as grandi loin de la ville,
[Tu as grandi -> t’as grandi]
C’est ça, tu dis « chocolatine »
[Note : This is a reference to a « debate » in France relating to a pastry that some people call pain au chocolat or chocolatine depending on where they grew up]
T’aimes bien le cinéma
[tu aimes bien -> t’aimes bien]
Mais hey, y a pas si longtemps avec lui
[Il n’y a pas si -> y a pas si]
J’parlais d’amour, j’parlais d’envie
[Je parlais d’amour, je parlais d’envie]
Le nom des gosses et leur av’nir
[Gosses = slang for children ; avenir -> av’nir]
Et comment on finirait ensemble
Dans un chalet au mois d’décembre
[de décembre -> d’décembre]
Près d’un feu et de ses… cendres
Alors excuse-moi de pas paraître enchantée
[de ne pas paraître enchantée –> de pas paraître enchantée]
Quand tu m’demandes : « C’est quoi ta couleur préférée ? »
[tu me demandes -> tu m’demandes ; "quelle est ta couleur préférée ?" is the proper formal formulation, « c’est quoi ta couleur préférée » is unformal ]
Ah, dalala la da
Regarde-moi, dis-moi c’que tu vois
[ce que tu vois -> c’que tu vois]
Une jolie jeune fille, pleine de vie
Que tu penses pouvoir aimer pour toute ta vie
Mais regarde-toi, tu as tout pour toi
Tu m’as tiré la chaise pour que je puisse m’asseoir
T’as payé pour mon verre dans ce bar
Mais, hey, y a pas si longtemps avec lui
J’refaisais l’monde entre deux rires
[je refaisais le monde –> j’refaisais l’monde]
On s’criait dessus puis dans son lit
[on se criait -> on s’criait]
Il m’dit qu’on s’ra toujours à deux
[il me dit qu’on sera toujours à deux]
Qu’on vivra mieux, vivra heureux
Qu’il pourrait mourir pour mes yeux
Alors excuse-moi de pas paraître enchantée
Quand tu m’demandes : « C’est quoi ta couleur préférée ? »
J’te réponds gentiment mais j’veux me barrer de là
[Je te réponds gentiment mais je veux me barrer de là ; se barrer = (slang) to leave]
Je sais tu veux m’parler mais rien ne m’intéress'ra
[tu veux me parler mais rien ne m’interessera -> m’parler mais rien ne m’interess’ra]
Ma tête est pleine, mon cœur est vide, je ne sais pas
Si ça chang'ra
[changera –> chang’ra]
J’te réponds gentiment mais j’veux me barrer de là
Je sais tu veux m’parler mais rien ne m’intéress'ra
Ma tête est pleine, mon cœur est vide, je ne sais pas
Si ça chang’ra-aha
Peut-être je devrais essayer
[the proper formulation should be « peut-être que je devrais essayer]
Essayer de m’intéresser
Désolée, j’vais recommencer... Dis-moi
[je vais recommencer -> j’vais recommencer]
C'est quoi ta couleur préférée ?
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stardancerluv · 2 years
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A Time To Love and to Fight
Part Nine
Summary: Enjolras reveals his feelings.
Warning/Notes: Mentions of possible death, dying…angst. May have strayed a bit more away from Enjolas in this chapter. That said, I still tried to keep it to how I believe it would play out with him. That said.. Be nice! Feedback is welcome! Want to be tagged, please let me know!
Notes: Tried to show the innocence of reader, how when one is upset…thoughts can spiral out of control.
My sweet angel. - “Mon doux ange. No, my sweet treasure or I fear I will not finish. - “Non, mon doux trésor ou j'ai peur de ne pas finir.” My sweet treasure, use your words like I know you can. - “Mon doux trésor, utilise tes mots comme je sais que tu peux.” You are my sensitive girl. It’s ok. - “Tu es ma fille sensible, ça va.” After you, my treasure. - Après toi mon trésor. Mr, Mister and then Miss - “Monsieur? Mademoiselle?”
“Within six months, if I am not dead, I shall have seen you again, madam even if I have to overturn the world.” - Alexander Dumas - Three Musketeers. This is another French novel I am a huge fan of. In the version, I am creating for Enjolras with Reader…I can see him appreciating the friendship, loyalty between the men.
It was a particularly lovely day. There was a gentle breeze, it was nice to not be in the recesses of your family’s home and moving things around. You had long since grown tired of all the dust and the memories.
The bench you found, wasn’t terrible. You were grateful for your gloves. You wouldn’t want a splitter slip into your hand. They could smart horribly. Opening your book, sighing you smiled. This was truly one of your favorites. You were soon enveloped in its epic world.
Overhead you paused, as you heard some birds, looking up from your book you smiled as you caught sight of them. It was wonderful. Soon, you lost yourself into your book.
“Within six months, if I am not dead, I shall have seen you again, madam even if I have to overturn the world.” Spoke the smooth, warm voice whose owner was very good at making your heart beat harder.
“Enjolras.” Was all you could say as a smile spread across your face. You turned to look at him.
He placed a hand over his heart and bowed slightly. “Mon doux ange.” A soft smile played on his lips as your eyes met.
“You know The Three Musketeers?” Closing your book, you laid it in your lap.
“Yes. It is a story I’ve enjoyed reading from tome to time, when I wanted to escape all that is bad.” Something entered his eyes that you had never seen before. It was gone by the time, he came around and sat beside you.
“Now I have you so I don’t need to slip between those pages.” You saw as he glanced around before he finally placed a hand over yours. You flushed, as you felt the warmth of his hand through your glove.
You watched as the smirk you had first seen curl his did so now. “You wouldn’t think I had seen your bare legs with how you are blushing over me holding your hand.”
Your breath caught at his words. His voice had been sharp. You adverted your eyes away from him.
You don’t know why, but they really hurt. Tears well up, your bottom lip shook. You bit down on it, so it would stop. You knew you should have never shown you that silly scar or even shared that stupid moment.
You stood up, you took a hold of the skirt of your dress. Trying not to let the tears slide down your face, you glanced down at him. “Goodbye Enjolras.”
You walked away then. You felt silly, naïve.
“Wait, what is the matter? Where are you going?” You heard him call after you. You didn’t look back. With each beat of your heart your pain grew.
Girls, flaunted themselves all the time. They didn’t blush. Images of that barmaid floated into your minds eyes. She favored him. She had probably seduced him at some point. The tears finally spilled then.
Somehow, you had managed to walk faster
“Stop.” His face was harsh as his breath had shallowed in catching up with you. You felt as his fingers wrapped just under the cuff of your sleeve. You struggled. Right now, that was the last place you wanted to be. “What is the matter with you?” His voice wavered but was still rough. You did not look up.
“Monsieur? Mademoiselle, are you alright?”
The suddenness of a stranger broke through turbulent haze of emotions crashing and attempting to consume you.
You swallowed. “I am fine.” You flatly replied. Actually, you were surprised at how even your voice was.
You barely glanced their way before finally looking up at Enjolras. Your eyes met, his jaw was tight, the rest of his features were as sharp as a razor-blade. His ragged breath was warm as you felt it on your face.
“Are you sure, Mademoiselle?”
He looked away. “You heard her. Now leave us be.”
“Yes, of course monsieur. Mademoiselle.”
You didn’t look their way.
“What is the matter with you?” He finally asked you again.
You took a breath. “I..I am not like other girls who can just flaunt themselves, or seduce their patrons.” You could see his brow furrow as you spoke. “I..I…it wasn’t easy for me to show you my legs. I probably shouldn’t have.” You finally tore your gaze away from him and looked down.
With a firm touch, he drew your face up. It made you inhale.
“First, I am grateful that when my heart chose for me fall for someone it was you. You’re special, you’re different. You read, and mend my wounds .” He smiled. “Somehow you managed to break through all that I have come to be in this life.”
“I..”
“Non, mon doux trésor ou j'ai peur de ne pas finir.”
You simply nodded.
“Everyday, I am prepared to die.” He swallowed.
This admission of his, this one line, ripped you apart harder then what you felt mere moments ago.
“The day that bullet grazed my arm, I thought then and there I was about to draw my last breath.” He closed his eyes for a breath before meeting yours once again. “Lachesis decided that day, she would not slice my thread clean through.” He swallowed. “She showed kindness and allowed my thread to continue entwining with yours.”
Tears welled up and slid from your eyes. “Oh, Enjolras.” You shook.
“I am sorry my sweet treasure. Please don’t cry any more.” Gently he brushed the tears away. “I am just telling you the truth. When you flushed by me merely holding your hand while a few mere days ago, you gave me the gift of seeing your bare leg. And even allowing me to kiss it, I realized just how much, I had come to truly care for you.”
You grabbed onto his coat’s lapels, not caring who saw and buried your face there. “Enjolras, please.” Was all you could mutter.
You felt as his arms went around you. You felt safe, secure. “Tell me, how long do I have you, till you have to leave?” He spoke while rest his chin on the top of your head.
“When the sun,” A hiccup overtook you. You buried you face, your face was aflame.
He chuckled then pressed a kiss to the top of your head. “Mon doux trésor, utilise tes mots comme je sais que tu peux.”
You swallowed down a few more hiccups before you finally continued, looking up at him. “When, the sun sets, I have to go and fetch the doctor. Greta, is making her cherry glazed pheasant.”
“Ahh, then we have enough time. Do you trust me?”
Confusion sprinkled over you but you nodded. “Yes, of course. I am sorry I ran away earlier.” A soft whisper came from you.
“Tu es ma fille sensible, ça va.”
*******
He had no idea that he would ever care for another as much as he did for you. It had been an incredibly long half months time when the two of you were apart. He did not ever wish for that to happen again.
For s moment, he considered taking you to The Aviary. Though he didn’t want to deal with anyone. He didn’t want prying eyes or words spoken or speculation made from the others.
So instead he walked with you to where he kept his room in the boarding house.
“I had refused to take anymore then what is truly needed. My room is sparse.”
“Enjolras, you are taking me to your room?” Pink dusted your cheeks.
“Yes.” He scratched at his facial hair. He pressed his lips together. “I wanted us to have privacy.”
“That is a good idea.”
“Here take my hand, the staircase is quite narrow. And umm,” He considered things as he looked you up and down. “You had better hold the skirts of your dress up like you had earlier.”
Worry filled you. “It will be alright once we are in my room, I promise.”
He replied with his own smile as he met your eyes. He gave your hand a squeeze. Reaching the second floor, he dipped his hand into his pocket to retrieve his key. “One more floor.” He whispered.
Once on the landing, he finally let go of your hand. He gestured to his door. “This one is mind.”
You stood beside him as he unlocked the door. Glancing around, he gave the door a push, the wood and the hinges creaked as they moved.
Splaying one hand he opened his door wider. With his other hand over his heart he bowed with a smile on his lips, “Après toi mon trésor.”
Once you were inside, he closed and locked the door behind the two of you.
“Allow me to light a few candles.”
He didn’t know how light was able to come that filthy window but it did. Yet, the candles would make it feel less of a cold room. Reaching up, he light the one on a high shelf and the other which sat on on his desk. With flick of his wrist, the match extinguished.
“You have your own..” Shock and worry filled your face, as you covered your mouth. You ran to the door.
Reaching into his pocket, he pulled out your book. “You may have run away from me,” He swallowed, it had hurt and confused him. “But there was no way, I would let you ever lose this.” He held up your book.
He watched a glow of joy flushed your face. It was only a few steps, but turning you rushed back to where he stood. His heart swelled when with no hesitation, your arms wrapped around him.
Chuckling, he stumbled a few steps back at the force of your enthusiasm but did not let go of you. “Oh Enjolras, thank you.” A huge smile was spread across your face. “Thank you.” The candle light flickered in your eyes.
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Une poupée dans la vitrine
C'est une poupée dans la vitrine / There is a doll in the shop window Qui me regarde et qui s'ennuie. / Who looks at me and who gets bored Je crois qu'elle se cherche une maman, / I think she's looking for a mom Et moi je veux qu'elle soit ma fille / And I want her to be my daughter Dans une maison pleine de jouets, / In a house full of toys Où les petites filles de mon âge / Where the little girls my age Cousent les toilettes de leurs poupées / Sew their dolls' outfits Et ne font jamais le ménage. / And never do the housework. Je la vêtirai de dentelles, / I will dress her in lace Elle aura des jupons de soie / She will have silk skirts Je veux que ma fille soit la plus belle / I want my daughter to be the most beautiful Et qu'elle soit fière, / And for her to be proud Qu'elle soit très fière de moi. / For her to be very proud of me. C'est une poupée dans la vitrine; / There is a doll in the window; Je la regarde et elle m'appelle. / I look at her and she calls me. Si seulement je savais écrire / If only I knew how to write J'la demanderais au Père Noël. / I would ask her of Father Christmas.
Lyrics: Les Misérables musical, Paris 1991 English translation by me (let me know if I mistranslated anything!) Other song versions: Mon Prince est en Chemin, Castle on a Cloud
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If anyone knows where I can find a higher resolution version of this image, let me know!
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juke-box67 · 3 months
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Discographique 45 tours France Gall de 1965
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Le 20 mars 1965, France Gall remporte l’Eurovision de la chanson à Naples avec « Poupée de cire, poupée de son » (PMD : 5,00€) . Sa collaboration est à son apogée avec Serge Gainsbourg qui lui écrit ses textes et ses musiques . La même année, elle sort également « Attends où va-t-en » du même Serge Gainsbourg (PMD: 8,50€) ainsi que « L’Amérique », écrite par Guy Magenta et Eddy Marnay (PMD: 4,45€). Le 45t « Dis à ton capitaine » aura un succès modeste . ( PMD: 29,99€)
« Poupée de cire, poupée de son » révèle France Gall au monde entier . C’est un morceau écrit par Serge Gainsbourg à partir du 4eme mouvement prestissimo de la 1ere sonate pour piano de Beethoven. Elle représentait le Luxembourg qui gagnait ce concours pour la seconde fois . Ce 45 tours sera numéro 2 au hit parade français, numéro 3 en Belgique mais numéro 1 en Espagne et en Norvège . Il sera vendu à 250000 exemplaires en France mais a 2000000 d’exemplaires dans le monde . France Gall entretient alors une relation secrète avec un certain Claude François qui lui jalouse son succès grandissant , allant jusqu’à rompre leur relation lors de l’annonce de sa victoire à l’Eurovision, expliquant les larmes de France Gall sur le podium de la remise de son sacre. La séparation entre France Gall et Claude François va inspirer à celui-ci, la composition de la chanson « Comme d’habitude » qui sera ensuite reprise par Frank Sinatra sous le titre « My way ».
Serge Gainsbourg démontre une nouvelle fois qu'il est le roi de la métaphore et, en quelques paroles insérées dans cette chanson, il traduit le mal-être ressenti par France Gall à cette époque-là , mais décrit également le merveilleux avenir de chanteuse qu'elle finira par connaître.
Autour de moi j’entends rire Les poupées de chiffon Celles qui dansent sur mes chansons […] Elles se laissent séduire Pour un oui pour un nom(...)
Mais un jour je vivrai mes chansons Sans craindre la chaleur des garçons...
« Poupée de cire, poupée de son » devient un succès international, notamment au Japon . Une version allemande est également écrite et ce morceau devient « Das war eine schöne party » . En Italie, il devient « Lo si, tu no ». Serge Gainsbourg devient riche et décide de se consacrer uniquement à la composition. La chanson sera reprise de très nombreuses fois , y compris par des groupes punk rock ou plus récemment par Calogero ou encore Jennifer dans son album «  Ma déclaration » .
En 1965 , France Gal devient « L’égérie » d’une marque de coloration de cheveux , la marque Polycolor , en sortant un 45 tours commercial ou est repris le titre « L’Amérique » en face A et «  On se ressemble toi et moi » en face B . Ce vinyle, devenu rare et recherché par les collectionneurs, reprend des photos de France Gall avec une évolution de sa coloration capillaire. ( PMD: 15 € )
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