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#Marcus Goldman
dimyturner · 14 days
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LO MAS IMPORTANTE ES SABER CAER.
«Harry, si tuviera que quedarme con una sola de todas sus lecciones, ¿cuál sería?
—Le devuelvo la pregunta.
—Para mí sería la importancia de saber caer.
—Estoy completamente de acuerdo con usted. La vida es una larga caída, Marcus. Lo más importante es saber caer».
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liqueuramere · 1 year
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À l'amour à la mort
Chronique de La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert, Joël Dicker, 2012
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Il m'aura fallu une vingtaine de jours pour venir à bout de ce pavé de 850 pages, best-seller du début des années 2010, trimballé de la montagne haut-savoyarde au littoral marseillais tout au long du mois de juillet. Son auteur : Joël Dicker, alors 27 ans au moment de la publication, jeune coqueluche de la littérature suisse romande au sourire Colgate et au regard charmeur - un écrivain à l'époque prisé des plateaux télé, passablement agaçant à mon goût, je dois dire, qui fantasmait ses polars aux États-Unis et qui semblait éprouver une certaine jouissance à conférer à ses récits une dimension métatextuelle (pour se donner un air intelligent, peut-être). Vous l'avez compris, j'avais un apriori très sévère sur ce roman depuis sa sortie, l'impression d'une énième esbroufe littéraire qui n'allait pas résister à l'épreuve du temps. Sauf que, pour ce livre, Joël Dicker, bah, il a gagné des prix. Puis il a continué à écrire des livres. Et son succès n'a pas faibli. Et si finalement La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert était un bon roman policier, avec une bonne intrigue et surtout, élément sur lequel je ne transige que peu, une bonne écriture ? Il me fallait vérifier cela par moi-même, et en faire, en bonne grosse brique qu'il était, une lecture estivale.
La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert, c'est donc un roman policier qui met en scène des écrivains et qui parle de l'acte d'écrire. Je ne résumerais pas mieux les débuts de l'intrigue que ne le fait l'éditeur sur la quatrième couverture du livre, donc je la reproduis ici :
À New York, au printemps 2008, Harry Quebert, l'un des écrivains les plus respectés du pays, se retrouve accusé d'avoir assassiné, en 1975, Nola Kellergan, une jeune fille de 15 ans, avec qui il aurait eu une liaison. Convaincu de l'innocence de son ami Harry, Marcus Goldman, jeune écrivain à succès, abandonne tout pour se rendre dans le New Hampshire et mener son enquête.
Le personnage de Marcus, narrateur de l'histoire, c'est un peu l'alter ego fantasmé de Joël Dicker : un écrivain en panne d'inspiration qui va trouver dans cette affaire criminelle le sujet rêvé de son prochain livre (je renvoie d'ailleurs aux pages 504-505 de l'édition poche pour constater que Dicker se décrit en creux dans le portrait de son protagoniste). De ce fait, ce dernier se retrouve à mener l'enquête en parallèle de la police, parfois en collaboration avec elle, interrogeant un par un les divers habitants de la ville d'Aurora où a eu lieu le drame, ainsi que son mentor Harry Quebert, afin de tirer au clair ce qui a bien pu se passer trente-trois ans plus tôt. Rencontre après rencontre, la narration procède donc par analepses qui éclairent progressivement l'affaire et mettent en danger le personnage principal, enquêteur novice et un peu fouineur dont la présence ne va pas plaire à tout le monde. Premier bon point : il faut admettre que cette structure éclatée est suffisamment bien pensée pour rester lisible de bout en bout du roman.
En terme de pure construction, je trouve également que l'intrigue de La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert est une solide intrigue policière. Sans en révolutionner le genre, Joël Dicker nous mène habilement de suspect en suspect, de faux-semblant en faux-semblant, de manière assez tranquille tout d'abord, avant de s'accélérer dans une troisième partie énergique où s'enchaînent les rebondissements et où tout prend sens. En outre, la mise en abyme de l'écriture qui traverse tout le roman trouve une conclusion et une justification, disons... satisfaisantes, en lien avec l'affaire criminelle.
En revanche, ce à quoi je m'attendais et qui n'a pas loupé, c'est qu'on a le droit dans ce roman à tous les clichés du polar américain : l'écrivain new-yorkais face au syndrome de la page blanche, la petite bourgade en apparence tranquille (mais en apparence seulement), la jeune adolescente candide qui cache un secret plus trouble, etc. Ça passe, mais uniquement si l'on prend tout cela comme un jeu malicieux avec les codes du genre. Dans la même veine, les leçons de Harry Quebert à Marcus Goldman, qui constituent les amorces des chapitres et qui sont autant de pseudo-vérités éculées sur l'écriture, censées mettre en évidence à la fois les affres de la condition d'écrivain et les artifices de la fiction, dont on ne sait jamais vraiment si elles sont à prendre au premier degré (dans ce cas elles sont affligeantes) ou avec ironie (dans ce cas, elles peuvent prêter à sourire). Personnellement, je pencherais plutôt vers la première hypothèse.
Si l'on peut se consoler de ces facilités en se disant que ce ne sont des stéréotypes inoffensifs, il n'en est rien d'un autre qui, pour le coup, est vraiment problématique, à savoir la manière dont est traitée la relation entre Harry Quebert, écrivain charismatique et admiré, et la jeune Nola, adolescente de 15 ans plus que fragile d'un point de vue affectif, qui se met littéralement à idolâtrer le jeune trentenaire. Dans le roman, leur relation est idéalisée et présentée comme une sincère histoire d'amour, et non questionnée comme une relation asymétrique de nature pédophile (ce terme est, il me semble, celui qui convient car la relation n'est décrite que dans sa dimension platonique). Il y a bien des personnages qui s'opposent à cette relation, mais toujours par l'insulte, ce qui les décrédibilise. À la fin, cette vision romantique n'est pas écornée et est même réaffirmée par le narrateur, alors qu'on aurait été en droit d'attendre de Dicker un traitement plus informé et plus nuancé de cette thématique, en posant, à travers au moins l'un des personnages par exemple, un regard critique sur les rapports de pouvoir entre les deux "amants", et non en convoquant un cliché qui flirte avec l'apologie. Quitte à se saisir de cette problématique, autant le faire bien...
Enfin, le style... Je serai tout d'abord magnanime en admettant que La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert est un roman qui se lit bien. On tourne, pour sûr, facilement et rapidement les pages, car il n'est pas mal écrit. Seulement, l'écriture de Dicker reste toujours parfaitement banale et sans originalité, explicitant tout dans une grande transparence, ce qui la rend assez fade et largement quelconque. C'est assez ballot de devoir se contenter de cela dans un roman qui met en scène des personnages d'écrivains présentés comme géniaux, à commencer par Marcus Goldman, dont on comprend très vite qu'il est, dans la fiction, l'auteur du livre que nous sommes en train de lire.
En définitive, je résumerais mon sentiment vis-à-vis de ce livre en disant que je m'attendais à pire, mais que j'espérais mieux. Avec ce roman, Joël Dicker s'inscrit sans conteste dans cette tendance francophone du "roman atlantiste" identifiée et dénoncée par Johan Faerber dans son essai Après la littérature (2019) : on est là face à un romancier qui essaie de singer le roman américain, mais qui ne parvient en réalité qu'à le parodier, dans une version française très fabriquée, construite à partir de lieux communs et de fantasmes. On ne peut donc pas du tout dire que La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert brille par l'éclat et la subtilité de son écriture ; tout au plus peut-on dire que c'est une ingénieuse fabrication, au sens où la construction de son intrigue, pour artificielle qu'elle soit, a de la tenue (il n'y a en cela rien de surprenant à ce que le roman ait été adapté par la suite en série par Jean-Jacques Annaud en 2018). Cela ne compense pas tout, mais c'est déjà pas mal.
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itszulli · 1 year
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“Che te ne pare?”
“Non male. Ma penso che tu dia troppa importanza alle parole.”
“Ma le parole sono importanti quando si scrive, no?”
“Sì e no. Il senso delle parole è più importante delle parole in sé.”
"Cosa vuol dire?”
“Be’, una parola è una parola, e le parole appartengono a tutti. Ti basta aprire un vocabolario e sceglierne una. È lì che la faccenda comincia a farsi interessante: saresti capace di dare a quella parola un senso particolare?”
“In che modo?”
“Scegli una parola e ripetila spesso nel tuo libro. Prendiamone una a caso: gabbiano. Parlando di te, la gente dirà ‘Hai presente Goldman, quello che parla dei gabbiani?’ E poi arriverà il momento in cui, vedendo dei gabbiani, quelle stesse persone si metteranno improvvisamente a pensare a te. Guarderanno quei piccoli uccelli urlatori e si diranno: ‘Chissà cosa ci trova di speciale Goldman’. Poi cominceranno ad assimilare gabbiani e Goldman. E ogni volta che vedranno dei gabbiani, penseranno al tuo libro e a tutta la tua opera. La loro percezione di quegli uccelli non sarà più la stessa. Solo allora saprai di avere scritto davvero qualcosa. Le parole appartengono a tutti finché non riesci a dimostrare di essere in grado di appropriartene. Ecco cosa definisce uno scrittore. Qualcuno vorrà farti credere che i libri hanno a che fare con le parole, ma è falso: in realtà, hanno a che fare con le persone.”
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whisperinglines · 2 years
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“Harry, com’è possibile trasmettere emozioni che non si sono vissute?” ”È esattamente il lavoro di ogni scrittore. Scrivere significa riuscire a sentire le cose con più forza degli altri e trasmetterle di conseguenza. Scrivere significa permettere ai propri lettori di vedere ciò che a volte non possono vedere. Se fossero solo gli orfani a raccontare storie di orfani, sarebbe un problema. Significherebbe che non potresti parlare di madri, di padri, di cani o di piloti d’aereo, né della rivoluzione russa, perché non sei né una madre né un padre, né un cane, né un pilota d’aereo, e non hai vissuto la rivoluzione russa. Tu non sei altro che Marcus Goldman. E se ogni scrittore dovesse limitarsi a se stesso, la letteratura sarebbe di una tristezza spaventosa e perderebbe il proprio senso. Noi scrittori abbiamo il diritto di parlare di tutto, Marcus, di tutto ciò che ci tocca. E non c’è nessuno che possa criticarci per questo. Noi siamo scrittori perché facciamo in maniera diversa una cosa che tutti sanno fare: scrivere. In questo sta tutta la sottigliezza.”
- J. Dicker, La verità sul caso Harry Quebert
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marcusgoldmansachs · 1 year
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vishal1595 · 18 days
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nakedcomedy · 2 months
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#LA THIS THURSDAY 7/26 The Love Island franchise FINALLY comes to Los Angeles/Frogtown!
Unscripted presents LOVE ISLAND: ELYSIAN THEATER! See who will couple up, who will have the most chemistry, and who will win BEST COUPLE!!
Featuring: EJ Marcus, Brian Bahe, Bri Giger, Nick Norcia, Marissa Goldman & Saidah Belo-Osagie!
ONE NIGHT ONLY! #LoveIsland-heads DON'T MISS THIS SHOW!!
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Tag Dump: Muses
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gwydionmisha · 1 year
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hauntnowpod · 3 months
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Episode Twenty-Five - The Drawing
While Frankie debates whether she wants to keep searching for her family, trouble brews for our ghost hunters who are still doing their best to deal with Portland’s poltergeist problem. This episode references Block 14 in Portland’s Lone Fir Cemetery which has an important, long-ignored history: we encourage you to learn more about it here
Transcript here!
The Way We Haunt Now is supported in part by an award from the Vermont Arts Council and the National Endowment for the Arts. This episode of The Way We Haunt Now was written by Courtney Floyd and Georgia Mckenzie, with sound design by Brad Colbroock and voice acting by:
Ariane Marchese as TV Voices
Ali Hylton, Jeff Goldman, Kirsty Woolven, and Natalie Hunter as the Apartment
Becca Marcus as Lota
Brad Colbroock as Cas
Carl G Brooks as Theodore
Courtney Floyd as Eulalie
Danny Spiller as Aaron
Deniss C. as Cecilia
Eleanor Grey as Frankie
Ella Gans as Nurse
Emma Skinner as TV Voices
James Molloy as TV Voices
Jenna Rose as Minerva
Jess "Bear" Winston as Alicia
Kirsty Woolven as Fidelia
Lindsay Zana as Danny
Marlon Dance-Hooi as Chief Inspector Turnbubble
Marnie Warner as Parker
Mary-Anne Stanek as Sister Prudence
Mihai Matei as Poltergeist 4
Paul H. Rollins as Nick
Sneha Kumar
Tal Minear as Myrtle
Tim Lowe as Jon Harker
There’s no need to bust out your Ouija board to keep in touch. Whether you’re new to the spirit world or simply a ghost in need of some entertainment, you can visit www.hauntnowpod.com for information about our cast and crew, content warnings, and transcripts.
You can also find us screaming into the void of social media at, you guessed it, @HauntNowPod. Remember to HAUNT RESPONSIBLY.
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wilhelm--fink · 6 months
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Books wishlist 2
Become the media - Jello Biafra
Bellas para morir - Esther Pineda G.
Berlín. La caída: 1945 - Antony Beevor
Beyond illustration: Design and applications - SendPoints
El Bolso - María José Ferrada
This Book Is Full of Spiders - Jason Pargin
Brand Built - SendPoints
La Bruma - Ely Galvar
The Clash: Autobiografía grupal - The Clash
The Complete Printmaker - John Ross
El Corazón y la Botella - Oliver Jeffers
Los Demasiados Libros - Gabriel Zaid
The Digital Ape - Nigel Shadbolt
Earthlings - Sayaka Murata
Una extraña seta en el jardín - Luis Eduardo García
Feminist Fight Club - Jessica Bennett
Full Frontal Feminism - Jessica Valenti
Gender Queer - Maia Kobabe
Girl Power - Marisa Meltzer
Girls to the front - Sara Marcus
The Hollow Ones - Guillermo Del Toro
Homo Deus - Yuval Noah Harari
Horrorstör - Grady Hendrix
House of Leaves - Mark Z. Danielewski
Invisible Women - Caroline Criado Perez
John Dies at the End - Jason Pargin
Journals - Keith Haring
Library - Michael Dumontier
The Loneliness of the Long-Distance Cartoonist - Adrian Tomine
Meet Mr. Product - Warren Dotz
Nocturno - Isol
Pandemonium - Ed Simon
Pedro Páramo - Juan Rulfo
The People vs Tech - Jamie Bartlett
Playful data: Graphic design and illustration for infographics - Wang Shaoqiang
The Purity Myth - Jessica Valenti
Revenge of the She-Punks - Vivien Goldman
Salvaje - Emily Hughes
La sexualidad humana - William Masters
El Soñador - Pablo De Bella
The Street Art Manual - Bill Posters
Tender Is the Flesh - Agustina Bazterrica
Woolgathering - Patti Smith
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tumovs · 2 years
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In 2023, Apple can become the biggest bank
in the world 🤯
Without actually being a bank…
When you think about it, a bank effectively has:
1. A giant balance sheet
2. Lots of data and capabilities to process it
3. Distribution
4. A license and/or regulatory oversight
Apple has it all even without the banking charter.
More importantly, recent moves into Buy Now, Pay Later and Savings accounts are yet another building blocks for the Apple Finance empire showing the tech titan is seriously planning on diving deeper into the financial services sphere.
And it makes a ton of sense for Apple to become a bank (directly or not):
- Revenue diversification 📊 52% of Apple’s revenue today comes from a single product - iPhone. By doubling down on the finance sector, Apple would be able to diversify its revenue streams and tap into a stable and growing market. A case in point here could be Shopify which now makes 73% of its revenue from FinTech solutions.
- Strong brand recognition 🔥 Apple has the most valuable and trusted brand in the world. This brand recognition is a major advantage for the tech giant vs. any other FinTech or challenger bank. Plus, every 6th person in the world already has an iPhone in his/her pocket.
- Strong financial position 💸 Apple is a financially strong company with large cash reserves. With $20.7 billion in profit just in the last quarter and more than $23 billion of cash at hand, the tech giant has all the resources it needs to compete pretty much with anyone in the banking world. Also, with massive valuation declines in both public and private markets, it might be a brilliant time for Apple to go on a buying spree and further solidify its market dominance. Potential acquisitions could be Goldman Sachs’ consumer banking division aka Marcus, Revolut, or Dave.If Apple executes this strategy the way it does its software and hardware, it’s going to be massive.
And a game-changer to FinTech as we know it.
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bonersniper · 10 months
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This is going to sound so scammy HOWEVER I've vetted it for a year and feel comfortable referring it now.
I hate hate hate investing in stocks and risky shit so I prefer to invest in a high yield savings account. I chose Marcus by Goldman Sachs [4.4% annual interest, accrued and paid monthly].
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https://www.marcus.com/share/MIC-YSD-7SYU
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whisperinglines · 2 years
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“Non si è mai sicuri di niente, signor Kellergan. È per questo che a volte l’esistenza è così complicata.”
- J. Dicker, La verità sul caso Harry Quebert
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marcusgoldmansachs · 1 year
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Marcus rate gets bumped up to 4.40% APY
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edgarallanhoetry · 11 months
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References from How to Suppress Women's Writing, Joanna Russ
Joanna Russ related
Somebody's Trying to Kill me and I Think It's My Husband: The Modern Gothic
AK Press, Riot Grrl, Grove Press Kathy Acker
General
Women Artists: Recognition and Reappraisal from the Early Middle Ages to the Twentieth Century - Karen Peterson, J.J. Wilson
Thinking about Women - Mary Ellmann
Nancy Milford's biography of Zelda Fitzgerald
Literary Women - Ellen Moers
"Brown Menace or Poem to the Survival of Roaches" Audre Lorde
"Aurora Leigh" Virginia Woolf
The Autobiography of a Sexually Emancipated Communist Woman - Emma Goldman
Jane Anger Protection for Women
"Art and Anger" J Marcus
"The Great American Bitch" Dolores Barracano Schmidt
"La Prieta" Gloria Anzaldua
"billie lives! billie lives!" Hattie Gosset
"Anatomy Lesson" Cherrie Moraga
Reminder to read A Room of One's Own, Villette, Wuthering Heights, The Tenant of Wildfell Hall, Middlemarch, Their Eyes Were Watching God
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